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Sicherheit 2011 - Center for Security Studies (CSS) - ETH Zürich

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<strong>Sicherheit</strong> <strong>2011</strong>Recommander de faire une carrière militaire: En <strong>2011</strong>, environ six sondés surdix recommanderaient à une connaissance de faire un service d’avancement (57%,–6%), un sur quatre donnerait une réponse négative (24%, –3%). Le prestige sociétald’une carrière militaire semble avoir regagné de l’importance depuis l’introductionde l’Armée XXI. Toutefois, on constate qu’un cinquième des personnes interrogéesne voulait ou ne pouvait pas répondre à cette question.Cadres de milice: Une tendance à long terme montre que depuis 1983 le prestigedes cadres de milice a diminué. Mais, contrairement à ce qui est courammentsupposé, cette perte de prestige ne se poursuit pas, car une hausse est enregistréeaprès 2005. Le gain de prestige observé déjà en 2010 se confirme dans les relevés decette année. Ainsi, 69% (–1%, et +7% comparé à 2005), estiment que l’expériencemilitaire en matière de conduite présente des avantages pour la vie professionnellecivile. 62% (–1% et +10% en comparaison avec 2005) considèrent un avancementmilitaire comme un honneur. Ce taux est presque le même qu’en 1983. Par contre,depuis 1998, la perception qu’une carrière militaire peut présenter des désavantagessur le marché du travail est restée en moyenne constante, soit 38% (–3%) en<strong>2011</strong>. En comparaison avec l’année précédente, le refus de l’obligation de gradera significativement diminué. Alors qu’en 2010 seule une personne interrogée surcinq approuvait l’obligation de grader, en janvier <strong>2011</strong> une personne sur quatre yest favorable (25%, +5%).Dépenses de l’armée: La pression exercée sur les dépenses pour la défense nationales’est affaiblie, ce qui se manifestait déjà en 2010 dans le relevé d’une autrequestion. Depuis le début de cette série de relevés en 1986, le taux de personnesinterrogées qui estiment que la Suisse dépense «trop peu» (14%) ou «beaucoup troppeu» (2%) pour la défense n’a jamais été aussi élevé. Par rapport au dernier relevéeffectué en 2009, ce taux a plus que doublé. Il a passé de 7% à 16%. Alors que 39%(–1%) considéraient en 2009 que les dépenses de l’armée étaient trop élevées, soitun taux constant, en <strong>2011</strong> nettement moins de personnes interrogées sont d’avisque les dépenses sont «raisonnables» (38%, –8%).38

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