les gestes qui sauvent

ACTUS COMMUNAUTAIRES
L’ASSAF vous apprend
les gestes qui sauvent
Née en 2000, l’Association de sauvetage et de secourisme de l’agglomération de Forbach (ASSAF)
forme aux gestes qui sauvent tous ceux qui le souhaitent. Avec d’autres perspectives à la clé.
Qui n’a pas, un jour, été confronté à une
situation d’urgence ? Chez soi ou
dans la rue, au bord d’une piscine ou
à la plage, qui n’a jamais aidé ou porté
secours à son prochain à l’occasion d’un
malaise, d’une blessure, d’un accident, parfois
lié à la vie courante, avec les dommages plus
ou moins dramatiques qu’il peut causer ?
Angoissés à l’idée de ne pouvoir apporter
notre aide dans un tel cas de figure, nous
avons tendance à ôter de notre esprit cette
éventualité. Pourtant, la réponse à cette hantise
existe, accessible à tous : apprendre les gestes
qui sauvent. L’Association de sauvetage et de
secourisme de l’agglomération de Forbach
(ASSAF), soutenue par la Communauté
d’Agglomération Forbach Porte de France,
affiliée à la Fédération Française de
Sauvetage et de Secourisme, agréée par le
Ministère de la Jeunesse et des Sports, propose
à tous de remédier ce petit manquement.
L’ASSAF a en effet pour fondement de
former les gens aux premiers secours mais
également de proposer des formations qui
vont encore plus loin dans les degrés de sauvetage
et de secourisme. « Actuellement, en
France, seuls 7% de la population sont formés
aux premiers secours, relève René Steinort,
président de l’ASSAF. Un chiffre totalement
ridicule à côté de celui affiché par
l’Allemagne ou certains pays nordiques,
où l’AFPS (Attestation de formation aux
premiers secours) est obligatoire pour obtenir
son permis de conduire. La France est le
parent pauvre du secourisme et du sauvetage.
Les associations cherchent à se faire
connaître, faire découvrir cette voie.»
Le secourisme ne fait pas partie de la culture
française, à en croire les chiffres. Et pourtant,
qui, parmi vous, ne juge pas nécessaire
d’acquérir des notions de secourisme ? Qui ne
souhaiterait pas s’initier aux premiers gestes
qui peuvent sauver une vie ? Encore faut-il
prendre conscience du phénomène et des
potentialités de danger qui nous entourent.
« Les gens s’y intéressent sans véritablement
s’y intéresser, estime René Steinort. Ceux qui
franchissent le pas sont ceux qui y sont
obligés dans un cadre professionnel par
exemple, ou les personnes qui ont été confrontées
à une situation de problème dans leur
famille ou ailleurs. »
Les formations proposent, notamment, une approche
sur la réanimation cardiaque et pulmonaire, encadrée
par un médecin.
« Une orientation professionnelle »
Plusieurs formations sont proposées par
l’ASSAF, dont l’équipe est composée d’un
moniteur national de secourisme, René Steinort,
d’un médecin cardiologue, d’une aide moniteur
et enfin d’un éducateur sportif de natation,
Gérard Renaud, chef de bassin à la piscine
olympique. L’AFPS donc, une formation d’une
durée de 10 heures avec huit modules de programme
: la protection, l’alerte, l’étouffement
de la victime, etc. Pour suivre cette formation,
il faut être âgé d’au moins 10 ans. Suivent
plusieurs échelons, des degrés qu’il faut obtenir
pour passer à l’étape supérieure. C’est le cas de
l’AFCPSAM, l’Attestation de formation complémentaire
aux premiers secours avec matériel
(manipulation d’un défibrillateur par exemple),
dont la nouvelle appellation est désormais
« Premier secours en équipe niveau 1 ». Il faut
être alors âgé de 16 ans au minimum et la
formation dure 20 heures. Viennent ensuite le
CFAPSE (Certificat de formation aux activités
de premiers secours en équipe) renommé PSE
niveau 2 et le DAE (Défibrillateur automatisé
externe, anciennement DSA), où l’on touche à
la manipulation cardio-circulatoire, la réanimation
cardio-pulmonaire ou encore l’étude du
cœur, son anatomie et sa physiologie. Enfin,
pour ceux qui sont aptes à la pratique de la natation
et au sauvetage aquatique et ont plus de 18 ans,
il y a le Brevet de surveillant de baignade (25 à
30 heures) et le BNSSA, Brevet national
de sécurité et de sauvetage aquatique, une
formation au long cours, avec 146 heures au
programme. « Concernant le BNSSA, on retrouve
des gens qui souhaitent donner une autre
orientation à leur carrière professionnelle,
des chercheurs d’emploi ou des personnes
évoluant déjà dans le monde aquatique et qui
souhaitent passer à un autre statut », explique
Gérard Renaud, chargé, au sein de l’ASSAF, de
la partie sauvetage. Les titulaires du BNSSA
sont recherchés aussi bien dans les lieux de baignade
à accès gratuit (plans d’eau, hôtels, parcs
de loisirs, plages) que dans les centres nautiques
payants (obligatoirement accompagnés d’un
maître-nageur). L’obtention du BNSSA se fait
après cinq épreuves éliminatoires non notées et
trois épreuves notées. Cela va de l’épreuve
d’apnée et celle dite du mannequin à l’épreuve
de premiers secours en passant par la réglementation
et la prévention.
Depuis octobre dernier, plus de 200 personnes
ont ainsi été formées ou recyclées. Le recyclage
concerne tout le monde, et représente une obligation
pour les titulaires de certains diplômes.
Les prochaines sessions : AFPS : 7-8 juillet
2007, 25-26 août 2007, 8-9 septembre 2007 ;
Surveillant de Baignade : à partir d’octobre 2007 ;
BNSSA : réunion fin septembre 2007,
début du stage novembre 2007.
● Contact : ASSAF
Siège social : Piscine olympique de Forbach ;
Président : René Steinort (Tél. 06 17 12 09 80),
Secrétaire : Gérard Renaud (Tél. 06 72 12 97 51).
Mail : reneassafor@aol.com
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EN BREF
Friches industrielles :
Tour d’horizon
avec un ministre allemand
Le ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du Territoire du Land de Sarre,
Stefan Mörsdorf (à gauche) a pu constater l’évolution des sites en voie de développement
et des friches industrielles de Forbach et ses environs.
Un ministre allemand en visite à Forbach et ses environs.Il s’agissait en fait, le 1 er mars
dernier, du ministre de l’Environnement et de l’Aménagement du Territoire du Land de Sarre,
Stefan Mörsdorf, invité par les élus locaux, avec en tête Charles Stirnweiss, Président de
la Communauté d’Agglomération, et Gilbert Schuh, Vice-Président de la CA en charge
de la Coopération Transfrontalière.
Au programme de cette journée « découverte » : une visite des zones et des sites en voie de
développement (Eurozone, carrière de Schoeneck, voie de contournement reliant l’Eurozone
française et allemande à Sarrebruck via la Deutschmühlentahl) mais également des friches
industrielles encadrant le secteur de la ville de Forbach. Une sorte d’état des lieux et l’occasion,
pour nos voisins sarrois, de découvrir le traitement réservé aux terrains et aux carrières
exploités dans le passé à des fins industrielles. Et au ministre sarrois de rappeler :
« L’objectif que nous nous sommes fixé, c’est de travailler ensemble sur le sujet des traitements
des friches et des terrains industriels. Partageons nos expériences, bonnes ou mauvaises, nos
idées sans oublier nos moyens. C’est une grande et belle opportunité de coopération qui se
présente à nous. »
Gens du voyage :
La première aire d’accueil en service
La loi du 5 juillet 2000 relative
à l'accueil et à l'habitat des gens
du voyage a renforcé les obligations
des communes de plus
de 5000 habitants à accueillir
sur son territoire cette communauté
nomade. 60 emplacements,
répartis en deux
aires, doivent être implantés
sur le territoire de l’agglomération
de Forbach. Leur existence
interdira du même coup
les implantations sauvages sur le
territoire de la Communauté
d’Agglomération de Forbach.
La première aire d’accueil de
La première aire d’accueil de 32 emplacements, située sur le ban
de Forbach, à proximité de l’actuelle déchetterie de Stiring-
Wendel, est aujourd’hui en service.
32 emplacements, située sur le ban de Forbach, à proximité de l’actuelle déchetterie
de Stiring-Wendel, est aujourd’hui en service. La gestion de l’aire a été confiée à ADOMA,
anciennement SONACOTRA.
Une nouvelle salle pour les "percus". Les locaux
de l’Ecole Communautaire de Musique et de
Danse commençaient à devenir trop petits
pour les élèves de la classe de percussions.
Avec près de 600 élèves actuellement, difficile
de faire cohabiter toutes les classes,
surtout lorsqu’il s’agit de donner simultanément
des cours de batterie et de flûte ou de
solfège. Le problème a été résolu et l’enseignement
des percussions, mené par Tristan
Blum, s’organise aujourd’hui dans une salle
spécialement aménagée, située dans les soussols
du Centre d’Animation Culturelle de
Forbach. Les travaux ont été effectués par
la Ville de Forbach et financés par la
Communauté d’Agglomération. Coût de
l’aménagement : 132 000 €.
Agglo Infos fait une pause. La deuxième
saison du magazine produit par la Communauté
d’Agglomération, diffusé par l’ensemble des
télévisions locales du territoire, vient de
s’achever. Cette seconde saison aura vu
la naissance d’une nouvelle version, plus
en phase avec l’actualité fraîche de la
Communauté d’Agglomération, sans oublier
le tour d’horizon des communes afin que
chaque téléspectateur connaisse mieux sa
commune mais également les villes et les villages
voisins qui composent le territoire de la
Communauté d’Agglomération de Forbach.
Vos avis sur l’émission sont les bienvenus.
Pour cela, vous pouvez nous écrire à
l’adresse de la rédaction du Journal ou
par mail : courrier@agglo-forbach.fr
Un portail Emploi/Formation Santé
Lorraine. Le Centre Lorrain des
Technologies de la Santé a mis en place un
portail Emploi/Formation Santé Lorraine
(www.emploi-formation-sante.fr). Cet outil
Internet mis à disposition à titre gracieux, a pour
but de favoriser et de développer l’échange
entre demandeurs et recruteurs issus
du domaine de l’emploi et de la formation
dans le secteur des technologies de la Santé
en Lorraine et dans l’espace Sar-Lor-Lux.
Assainissement. Le collecteur communautaire
d’assainissement situé entre la rue
Bauer et la rue des Moulins à Forbach, doit
faire l’objet de lourdes opérations annuelles
de curage, du fait de l’existence d’une contrepente
liée aux affaissements miniers. Malgré
la réalisation régulière de ces opérations,
financées par Charbonnages de France,
les risques de mise en charge du réseau ont
conduit la Communauté d’Agglomération à
confier au BET SOGREAH une mission de
maîtrise d’œuvre pour l’établissement d’un
projet permettant de supprimer cette contrepente
par un écoulement gravitaire des
effluents. L’enveloppe prévisionnelle de ce
projet s’élève aujourd’hui à 700 000 € HT.
Après négociations, Charbonnages de France
s’est engagé à participer à hauteur de 300 000 €HT
pour la réalisation de ces travaux devenus
impératifs.
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LES GENS DE CHEZ NOUS
Association Intermédiaire :
« Reconnue mais pas assez connue »
Créée il y a tout juste vingt ans, l’Association Intermédiaire « Travailler dans le Bassin Houiller »
n’a jamais eu autant sa place qu’aujourd’hui dans le tissu associatif, a fortiori dans la branche
insertion par l’activité économique. Son credo : aider les personnes sans emploi à s’en sortir...
par le travail.
Si, de la bouche des politiques, le
concept de cohésion sociale paraît
neuf aux yeux des citoyens, il n’en
est pas moins une formule usitée depuis
fort longtemps par les fers de lance
d’associations d’aide à l’insertion ou à la
réinsertion. Directeur de l’Association
Intermédiaire Travailler dans le Bassin
Houiller depuis 1996, Robert Hergott fait
partie de ceux-ci. Lui pour qui ce fut
« un challenge à relever que de reprendre
la structure après neuf années d’existence »,
en compagnie d’Yves Guldner, Président
de l’AI lorsqu’il n’est pas adjoint au maire
de la Ville de Forbach. Un duo qui a fait,
depuis, évoluer l’organisation dans le bon
sens du terme. Elle est passée d’un salarié
à cinq, chargés aussi bien du suivi social et
de l’insertion des personnes que du secrétariat
et de la comptabilité ou de la bonne
marche des travaux, sans oublier la petite
dose de polyvalence qui fait, généralement,
la fierté du monde associatif.
L’AI Travailler dans le Bassin Houiller
permet à des personnes sans emploi, rencontrant des difficultés particulières
d’insertion professionnelle de bénéficier d’un contrat dit
« d’usage ». C’est-à-dire ? Un contrat sans engagement, mais un
contrat de mise à disposition qui permet à celui qui en bénéficie de
demeurer demandeur d’emploi. « L’AI est un tremplin, un relais »,
relève son directeur, vers une sortie de secours à laquelle certains, parfois,
n’osent encore croire. « Notre rôle est d’accueillir et de soutenir
les personnes en difficulté socialement et professionnellement, qui
connaissent des problèmes pour subvenir à leurs besoins, qui ont des
soucis de logement, de transport », bref en situation financière inconfortable
et, collatéralement, en rupture d’un point de vue socioprofessionnel.
« Notre but est de rendre ces personnes employables.
Le fondement de l’AI, c’est la réinsertion sociale par le travail
rémunéré. On les fait travailler chez nous, ils sont déclarés avec fiche
de paie à l’appui. » Une première chance pour certains, une seconde
pour d’autres. Un même objectif : retrouver un job stable grâce à l’AI.
L’AI avec Pro 57
Les emplois proposés sont nombreux, à horaires et qualifications
variables : travaux ménagers, repassage, plonge, jardinage, nettoyage,
manutention, distribution, l’AI concentre les petits boulots. Des petits
boulots au service des particuliers (avec possibilité de déduction fiscale
pour certains travaux), des entreprises mais également des associations
sans oublier les collectivités. « La Communauté d’Agglomération
de Forbach est un de nos partenaires. Nous employons par exemple des
personnes chargées de la distribution des sacs de tri dans les foyers. »
En 2006, 333 vacataires se sont inscrits à l’Association Intermédiaire,
Des petits boulots au service des particuliers, des entreprises
mais également d’autres associations sans oublier les collectivités.
L’AI est d’ailleurs partenaire de la Communauté d’Agglomération
de Forbach pour ce qui est de la distribution des sacs
de tri dans les foyers de certaines communes.
avec à la clé près d’une quarantaine de
personnes réinsérées professionnellement,
un contrat en poche. 2007 voit la tendance
se confirmer. Et l’AI encore évoluer.
« Nous venons d’ouvrir une antenne à
Freyming-Merlebach. Les gens qui
connaissent des problèmes d’insertion et
donc de finances ne bénéficient pas forcément
des moyens de locomotion pour se
rendre à nos bureaux de Forbach. C’est
alors à nous de nous rapprocher d’eux »,
explique Robert Hergott. Car le champ
d’action de l’Association Intermédiaire ne
se limite pas qu’au seul secteur forbachois
mais concerne également, aussi bien
pour les bénéficiaires que les clients,
les cantons de Freyming-Merlebach,
Behren-lès-Forbach et Stiring-Wendel,
soit trente et une communes en tout.
L’AI a également d’autres projets qui
se concrétiseront prochainement. De nouvelles
perspectives comme l’aménagement de
nouveaux bureaux au siège social de l’AI
et le lancement d’une nouvelle association,
destinée plus particulièrement aux services à la personne.
« Ces bureaux seront loués à des associations quiπœuvrent, comme
nous, dans les activités économiques, afin de créer un partenariat
tripartite avec l’ANPE, notre partenaire privilégié mais également
voisin géographique (les locaux de l’ANPE ont en effet une nouvelle
adresse depuis l’année dernière, toute proche de l’AI). Pour ce qui est
de l’association, qui s’appellera Pro 57, elle est le fruit d’une étroite
collaboration entre les neuf Associations Intermédiaires du département.
Elle sera basée à Forbach, dans nos locaux. Nous serons là dans
un cadre de contrat classique et non plus d’usage. Les gens seront
formés, tout comme nos permanents, pour devenir auxiliaires de vie
afin d’aider les personnes âgées. »
Mais Robert Hergott a encore une envie, une ambition à assouvir :
« Que l’on soit davantage connu pour que l’on puisse faire appel à
notre main-d’œuvre plus souvent. Notre travail est reconnu mais pas
assez connu. »
Pour vous inscrire, il faut : -Etre demandeur d’emploi (inscrit à l’ANPE)
-Se munir des documents ci-après : carte d’identité, CV, carte ANPE,
Attestation de sécurité sociale et Carte Vitale, Notification RMI ou
Assedic, Permis de conduire, Reconnaissance Cotorep ou CPAM
pour les travailleurs handicapés. Inscriptions le mardi de 9 h à 11 h 30
et de 14 h à 17 h.
● Contact : l’Association Intermédiaire Travailler dans le Bassin
Houiller, 13 Rue de Marienau à Forbach ; Tél. 03 87 84 21 20 ;
mail : aitbh@wanadoo.fr - Ouvert du lundi au vendredi,
de 8 h à 12 h et de 14 h à 17 h.
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L’ACTU DE LA MINE
Des visiteurs par milliers
Le 27 octobre 2006, le fond de la mine ressuscitait. Six mois plus tard, la Mine grandeur
nature, somptueuse reconstitution des chantiers d’exploitation du charbon de la Mine musée
du carreau Wendel de Petite-Rosselle, connaît un vif succès, qui ne demande qu’à grandir
encore. Tour du propriétaire avec Estelle Fruleux, la Conservatrice des lieux.
La représentation du fond. Ce fut
l’événement de l’année 2006 dans
notre région. L’inauguration
et l’ouverture au public des chantiers
du fond de la Mine musée du carreau
Wendel, le 27 octobre dernier. Un événement
qui a sans doute su mettre du
baume au cœur à bon nombre de nostalgiques.
Mais pas seulement. Car le
projet de reconstitution du fond de la
mine de charbon, initié par le Syndicat
mixte de création et de gestion du
musée de la Mine, devenu une réalité, a
sans conteste su faire revivre la mine et
ses mineurs mais également resurgir le
passé d’une région et ses glorieuses
années. Pour garder intacts nos souvenirs
et investir pour la mémoire collective.
Depuis l’ouverture au public, le
site a attiré pas moins de 20 000 visiteurs !
« On peut s’attendre à ce que la courbe
évolue encore vers le haut. Si nous
parvenons à conserver ce rythme de
croisière, on peut volontiers imaginer
atteindre les 50 000 visiteurs par an »,
espère Estelle Fruleux, la Conservatrice du
musée. Des visiteurs qui viennent
« beaucoup » en groupes alors que « les
gens se rendent au musée individuellement
surtout pendant les vacances scolaires.
» Et contrairement à ce que certains
pourraient penser, nombreux sont
ceux qui n’hésitent pas un seul instant à
se déplacer de loin pour admirer les
lieux. « Les gens ont rallié la Lorraine
et Petite-Rosselle de Bretagne, du Sud-
Ouest et même d’Italie pour apprécier
le musée dans toute sa splendeur
ainsi que la reconstitution du fond. Ce
sont des personnes qui, le plus souvent,
sont issues de familles de mineurs
sans avoir connu cet univers. Pour eux,
c’est une sacrée découverte. Ils repartent
très enthousiastes », témoigne la
Conservatrice. Le petit train du musée
n’est pas non plus étranger au succès de
la Mine, un petit train qui est dorénavant
accessible aux personnes à mobilité
réduite mais également aux mamans
accompagnées d’une poussette.
L’expo. Ouverte au public depuis le
2 juin 2006, l'exposition intitulée "La
très étrange affaire du carreau Wendel"
bat encore son plein à la Mine musée du
carreau Wendel. Cette exposition interactive
basée sur une enquête policière
qui nous conduit sur les traces de
Sherlock Holmes et de bien d’autres
détectives, se poursuit jusqu’au 31
décembre prochain. Après, il sera trop
La Mine grandeur nature attire de plus en plus de monde, curieux,
touristes sans oublier les nostalgiques du charbon.
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L’ACTU DE LA MINE
tard puisque l’exposition quittera les
lieux. « Cet espace sera réutilisé
pour de l’événementiel », indique
Estelle Fruleux. Une nouvelle exposition
devrait voir le jour par la suite dans
ce même lieu. « Les gens en tout cas
adorent "La très étrange affaire du
carreau Wendel". Le concept plaît. »
Car c’est l’occasion de vivre une véritable
enquête policière et de découvrir
la vie des mineurs à travers les époques,
de 1866 à 2004, date de la fermeture de
la dernière mine de charbon française,
sans oublier l’évolution des techniques
policières d’hier et d’aujourd’hui. Cette
exposition ludique touche ainsi un large
public. On peut notamment y admirer
des pièces exceptionnelles issues de
la collection de l’Ecole Nationale
Supérieure de la Police. Rappelons
que cette exposition a été mise sur
pied par le Musée vivant du roman
d’aventure de Montpellier.
L’avenir. Charbonnages de France,
qui fermera définitivement ses portes
le 31 décembre prochain, a signé une
nouvelle convention avec la Mine. Une
convention qui porte sur la cession de
matériel minier et d’objets divers se
rapportant à cette entreprise et à son
univers. Du matériel qui sera évidemment
mis en valeur par le musée. En
octobre, un colloque sera organisé sur
le thème de la muséographie, avec au
centre des débats l’univers de Sherlock
Holmes et celui de la Police scientifique,
avec l’intervention de spécialistes.
Autres nouveautés à venir : un
atelier pédagogique et ludique sur les
données de la mine, le début du travail
sur le bâtiment consacré aux énergies et
la mise en service d’un train touristique
(un autorail 1960) qui circulerait, d’ici
septembre prochain, entre le carreau
Wendel et Freyming-Merlebach.
Enfin, le gros morceau, c’est le projet
du cœur du musée. Le hall d’entrée
du bâtiment principal va en effet subir un
sérieux lifting afin d’y améliorer sa
convivialité (signalétique, nouvelle
porte d’entrée, une billetterie et une
boutique souvenirs, une cafétéria, etc.)
Le cœur du bâtiment doit également
abriter la première partie de l’exposition
permanente axée notamment sur
l’environnement social et familial du
mineur. Des ateliers pédagogiques
seront également installés, avec en
complément une salle polyvalente ainsi
qu’un centre de ressources. Sans
oublier le parcours du mineur (salle des
pendus, douches, lampisterie, etc.) et
les présentations muséographiques
illustrant l’apogée du site minier du
carreau Wendel dans les années 1950.
Début des travaux en 2008.
● Infos et renseignements
www.la-mine.fr
ou www.agglo-forbach.fr
Page 29

L’ACTU DE LA MINE
Nicolas Sarkozy descend à la Mine
Evénement en ce mardi 17 avril en Moselle
Est. Il est 15 h 10, Nicolas Sarkozy sort
d'une berline noire, accueilli par de nombreux
élus locaux dont Charles Stirnweiss,
Président de la Communauté d'Agglomération
de Forbach et Pierre Lang, Député de la
circonscription, mais également une cohorte
de journalistes et de photographes. Nicolas
Sarkozy, candidat à la Présidence de la
République, a profité de son passage en
Moselle pour effectuer une halte d'une heure
dans le Bassin Houiller, et plus précisément
à Petite-Rosselle.
Le candidat UMP a ainsi été invité à visiter
les veines de charbon reconstituées de la
Mine musée du carreau Wendel. Attentif
aux explications de la Conservatrice du lieu,
Estelle Fruleux, tout au long de son parcours
bien étudié, Nicolas Sarkozy a ensuite pris
la parole devant une centaine de personnes
venues voir le candidat et salué « la population
d'une région qui a participé à la construction
de la puissance économique de la France ».
Avant de devenir Président de la République le 6 mai dernier, le candidat Nicolas Sarkozy
avait fait une halte trois semaines plus tôt à la Mine musée du carreau Wendel de Petite-Rosselle.
Les Enfants
du Charbon
sur les planches
Les Enfants du Charbon, spectacle son et lumière,
reconduisent la « légende des hommes et des femmes
de la mine », pour la troisième édition, du 23 au 27
août 2007 au Carreau Wendel de Petite-
Rosselle. Une grande fresque en plein air qui raconte
l’épopée captivante des mineurs et de leurs familles.
Un spectacle émouvant dans un décor authentique
où quelque 200 figurants réveillent l’âme du Puits
Vuillemin, berceau du charbon lorrain. A ne pas
manquer…
Plus d’informations
sur www.lesenfantsducharbon.com ou au 03 87 81 70 59.
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ENVIRONNEMENT
D3E:Une nouvelle vie
grâce à la recyclerie
En étroite collaboration avec la Communauté d’Agglomération, Emmaüs expérimente depuis
maintenant quatre mois une recyclerie, implantée dans le quartier de Bellevue à Forbach.
Objectif : récupérer un maximum d’objets dans les six déchetteries de l’agglomération et leur
redonner une seconde vie. Notamment aux déchets d’équipements électriques et électroniques,
les D3E. Tour du propriétaire avec Thierry Stauder, responsable du site.
Journal de la Communauté d’Agglomération :
De quelle manière est né ce projet de recyclerie ?
Thierry STAUDER : « Emmaüs a toujours milité pour un réemploi
des objets en fin de (première) vie. Le gisement est très
conséquent et finit habituellement sa route dans les centres d’enfouissement
dont la saturation est largement constatée. Nous
nous sommes dit, avec la Communauté d’Agglomération, partenaire
privilégié d’Emmaüs depuis de nombreuses années, qu’il
fallait se donner les moyens, dans le cadre de la protection de
l’environnement et du développement durable, de participer à la
limitation de l’enfouissement de ces déchets ultimes, ouvrir la
voie du réemploi des objets en fin de vie. Le coût élevé de
l’enfouissement de ces déchets ultimes était également une
donne à ne pas négliger. Dorénavant, les compagnons
d’Emmaüs collectent les objets que nous jugeons récupérables
dans les six déchetteries de la Communauté d’Agglomération.
Grâce à la recyclerie et au soutien des élus, l’investissement se fait
en faveur de l’insertion par l’activité économique, la structure
fonctionnant actuellement avec douze emplois aidés, des compagnons
et deux salariés. Nous sommes fiers de la confiance apportée par
les élus de la Communauté d’Agglomération de Forbach. »
La recyclerie regorge de déchets d’équipements électriques et électroniques,
comme des machines à laver, des ordinateurs, des congélateurs usagés, collectés
dans les déchetteries de la Communauté d’Agglomération Forbach Porte de France.
J.C.A. : Quels sont les objets récupérés
dans les déchetteries ?
T. S. : « Des vélos, des meubles, des livres, du matériel divers
mais aussi et surtout les déchets d’équipements électriques et
électroniques. La filière des D3E (lire par ailleurs) représente
d’ailleurs la spécificité de notre recyclerie. D’ailleurs, nous
sommes un site pilote unique en France en ce qui concerne les
D3E. Ces derniers regroupent le gros électroménager froid
(vieux réfrigérateurs et congélateurs), le gros électroménager
hors froid (machines à laver et sèche-linge usagés), les écrans
et le petit appareillage ménager (radio, grille-pain, sèche-cheveux, ...) »
J.C.A. : Quel est le mode de fonctionnement de la recyclerie
au sujet des D3E ?
T. S. : « Nous avons mis en place un cabanon dans chaque
déchetterie où les gens peuvent y déposer leurs D3E. Nous
effectuons deux tournées par jour dans chacune d’entre elles
pour y récupérer les objets qui, ensuite, sont déposés dans notre
hangar rue Bataille, constitué de plusieurs emplacements : cela
va de l’aire de pesage des objets au secteur dédié au conditionnement,
en passant par des ateliers, affectés aux appareils de
cuisson, de lavage, aux réfrigérateurs, aux ordinateurs, sans
oublier à la désinfection des gros appareils électroménagers.
Tous ces appareils sont testés, réparés si besoin, nettoyés
et enfin mis en vente. Pour les appareils totalement hors d’usage,
la recyclerie sert d’intermédiaire et permet leur conditionnement pour
qu’ils soient ensuite envoyés en usine de traitement et d’élimination. »
J.C.A. : La recyclerie tourne à plein régime. Les chiffres
sont déjà parlants...
T. S. : « En effet, nous récupérons énormément de choses en
déchetterie. Dès le premier mois de notre activité (mars, ndlr),
nous avons totalisé près de 25 tonnes d’objets récupérés.
22 tonnes étaient représentées par les D3E. Le mois suivant,
nous étions aux alentours des 30 tonnes. Les chiffres parlent
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ENVIRONNEMENT
● Contact :
Recyclerie Emmaüs ; 11, rue Bataille à Forbach.
Tél. 03 87 13 99 51.
Heures d’ouverture
Lundi : de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 17 h 30 ;
Du mardi au jeudi : de 9 h à 12 h et 14 h à 18 h ;
Vendredi : de 9 h à 12 h et de 15 h à 17 h 30 ;
Samedi : de 9 h 30 à 12 h et de 15 h à 17 h.
Tous les appareils sont
testés, réparés si besoin,
nettoyés et enfin mis en vente.
Quant aux appareils totalement
hors d’usage, ils seront conditionnés
et envoyés en usine de traitement spécialisée.
d’eux-mêmes. On se rend mieux compte des économies
d’enfouissement et des bénéfices pour l’environnement que cela
implique. »
J.C.A. : Existe-t-il des filières pour le traitement des D3E ?
T. S. : « La filière numéro 1 est celle figurée par les écoorganismes
qui articulent collecteurs, démanteleurs, repreneurs
sans oublier les logisticiens, ces derniers jouant les intermédiaires
entre ces différentes couches. Emmaüs, par le biais de la
recyclerie, est un collecteur. Les démanteleurs sont ceux qui
séparent les matières premières, vendues ensuite aux repreneurs.
Les logisticiens organisent quant à eux les migrations entre les
différents partenaires. En terme de filière, il ne faut évidemment
pas occulter le réemploi des objets ainsi que les dons aux
personnes dans le besoin, au travers des CCAS, notamment. »
J.C.A. : Dans quelles conditions un D3E est-il réemployé ?
T. S. : « Pour qu’il soit considéré comme réemployable, le D3E
doit se trouver dans un état suffisamment bon, c’est-à-dire complet.
Les gens doivent jouer le jeu. S’ils commencent à récupérer
des pièces sur un réfrigérateur, un lave-linge ou un four,
ils condamnent l’objet en tant que tel. L’objectif, il ne faut pas
l’oublier, est de redonner une seconde vie aux objets.
Par ailleurs, vu l’intensité des flux et les quantités admises, nous
n’avons que le temps de nous consacrer à de petites réparations
sur les appareils récupérés. »
J.C.A. : Peut-on s’adresser directement à la recyclerie ?
T. S. : « Mis à part les commerçants et les entreprises, tout le
monde peut en effet se rendre à la recyclerie rue Bataille ou à
notre dépôt situé 5, rue des Remparts à Forbach. Par ailleurs,
nous nous déplaçons chez les personnes à la seule condition
qu’elles aient au moins un élément recyclable à nous remettre. »
Ce qu’il faut savoir sur les D3E
La filière des D3E a démarré le 15 novembre dernier.
Elle vise à favoriser la collecte sélective des D3E en vue
de les orienter vers des filières de traitement appropriées.
Les producteurs de ces équipements sont désormais
responsables de l’enlèvement et du traitement des D3E
collectés sélectivement. Pour assurer collectivement
leurs obligations, ils se sont regroupés au sein d’écoorganismes
(Ecologic, Eco-systèmes et ERP) sous tutelle
de l’Etat. L’écotaxe, dorénavant intégrée à chaque prix
d’achat affiché en magasin, permet de financer ces
éco-organismes et donc le traitement des D3E, déchets
que nous produisons tous.
Les consommateurs peuvent ainsi, lors de l’achat d’un
équipement électrique et électronique neuf, remettre
au distributeur un équipement usagé de même nature
qui sera ensuite traité dans des conditions respectueuses
de l’environnement. De leur côté, les collectivités
territoriales locales volontaires peuvent mettre en place
des collectes sélectives de ces équipements, notamment
en aménageant les déchetteries. Le traitement réalisé
permet d’extraire les substances dangereuses que
certains de ces équipements contiennent et d’améliorer
leur recyclage. Au niveau national, le gisement des
D3E est estimé à 14 kg/an/hab.
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ENVIRONNEMENT
Un Espace Info Energie
au service de la population
Un Espace Info Energie (EIE) a été lancé, en partenariat avec
l’Ademe, par la Communauté d’Agglo-mération de Forbach,
l’un des sites pilotes pour le département de la Moselle.
Les espaces Info Energie, créés fin 2000, sont des lieux où
le grand public peut obtenir des informations objectives sur
la maîtrise de l’énergie et les énergies renouvelables ainsi que
des conseils dans les cas simples ne nécessitant pas une étude
particulière. En effet, l’EIE ne fait pas de maîtrise d’œuvre
mais peut accompagner le maître d’ouvrage dans l’analyse
des études et des suites à donner.
Ce service d'information et de conseil mis à la disposition
du public est gratuit.
Dans chaque Espace Info Energie, des spécialistes vous
informent et vous conseillent sur toutes les questions relatives
à l'efficacité énergétique et à la protection de l'environnement
: quels sont les gestes simples à effectuer, quel type
d'équipement choisir, quelles sont les aides accordées et
les déductions fiscales… Par exemple, si vous souhaitez
installer chez vous des panneaux solaires, des conseils vous
seront donnés sur l’adaptation d’une telle installation à votre
domicile, sur les conditions d’implantation et une aide vous
sera également proposée, si votre situation fiscale le permet,
dans l’optique d’une demande de subventions ou d’aides
financières.
Des brochures et des guides pratiques sont également mis
à votre disposition.
L’animation de cet espace a été confiée au Centre d’Amélioration
du Logement de la Moselle (CALM).
En France, 50% des consommations d'énergie et des émissions
de CO2 sont le fait des ménages. Chacun, par des gestes
simples et des équipements adaptés, peut non seulement
réaliser des économies substantielles sur ses factures énergétiques
en réduisant sa consommation, mais aussi participer
à la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre responsables
du changement climatique. L'information du citoyen/
consommateur est un maillon essentiel de la réussite de
ces actions.
Deux permanences ont lieu les deuxième et quatrième
lundis de chaque mois, de 10 h à 12 h dans les nouveaux
locaux de la Communauté d’Agglomération Forbach
Porte de France, 110 rue des Moulins à Forbach (ancien
bâtiment administratif des HBL du carreau de
Marienau).
● Contact : CALM - 9, rue du Grand Cerf
BP 14062 - 57040 METZ CEDEX 1 ; Tél. : 03 87 74 83 34 ;
Fax : 03 87 50 82 21 ; Mail : eie.moselle@wanadoo.fr.
Horaires d’ouverture : du lundi au vendredi de 8 h 30
à 17 h 30.
Les conseillers des espaces Info Energie de Lorraine
sont à la disposition des particuliers du lundi au vendredi
de 13 h 30 à 19 h 00 au numéro Azur : 0 810 422 422
(prix d’un appel local).
La tri-attitude au collège
Afin de sensibiliser les plus jeunes
aux enjeux environnementaux et
notamment au tri des déchets, les
ambassadeurs du tri de la Communauté
d'Agglomération sont intervenus toute
une semaine durant au collège Nicolas-
Untersteller de Stiring-Wendel. Slogan
de l'opération : "Découvrons la triattitude
!"
Au programme, des explications sur
les principes du tri, mais également sur
l'impact et les conséquences de ce
geste éco-citoyen, la découverte du
parcours des déchets après la collecte
ou encore un jeu de questions-réponses
pour savoir si tout le monde a bien suivi.
"Découvrons la tri-attitude !", un slogan choisi par les collégiens.
Page 34

ENVIRONNEMENT
La collecte des pneus arrêtée à partir
du 1 er octobre en déchetterie
Depuis la mise en place de la filière nationale gérée par ALLIA-
PUR, chaque revendeur de pneus est tenu de reprendre gratuitement
les pneus usagers en cas de remplacement. C’est le principe
du "1 pour 1" dont le financement est assuré par une taxe incluse
dans le prix d’achat de chaque pneu. En complément, la dépose en
déchetterie a été autorisée afin de permettre l’évacuation des
stocks anciens des particuliers, la tendance prévue étant une diminution
régulière des volumes déposés. Or il s’avère que les stocks
ramenés en déchetterie tendent à augmenter et qu’il n’est plus
possible de les gérer dans des conditions acceptables.
Vous êtes donc informés qu’à compter du 1er octobre prochain, le
dépôt de pneus ne sera plus autorisé en déchetterie.
Unité de méthanisation :
L'exemple suisse sous toutes les coutures
Une délégation d'élus morsbachois et allemands ainsi que
des représentants d'associations locales ont été invités à se rendre
en Suisse afin de visiter les installations de méthanisation Kompogas.
Le Syndicat Mixte de Transport et de Traitement des Déchets
Ménagers de Moselle Est (Sydeme) a retenu le procédé Kompogas
porté par Vinci Environnement pour l’usine de méthanisation qui sera
construite sur la commune de Morsbach à l'horizon 2009.
Une délégation d'élus morsbachois mais également d'homologues
allemands de Grande-Rosselle ainsi que des élus de communes
membres du Sydeme (dont fait partie la Communauté
d'Agglomération de Forbach) ou encore des représentants d'associations
locales liées au cadre de vie se sont rendus à Zurich, en Suisse,
en mars dernier pour se rendre compte sur place de l’intérêt du
procédé. Tout ce petit monde a pu visiter les installations de
méthanisation helvètes dont l'intégration dans le paysage
environnant est un modèle du genre.
Le Centre de Valorisation Biologique par méthanisation de Morsbach
permettra à terme de traiter près de 42 000 tonnes de biodéchets par an
dans une installation alliant une valorisation optimisée et un niveau
élevé de prise en compte des aspects environnementaux, à l’image
de ce que l’on peut trouver actuellement chez nos voisins suisses.
Le Sydeme
sur la toile
Le Syndicat Mixte de Transport et de Traitement des Déchets
Ménagers de Moselle Est, plus communément appelé le
Sydeme, possède désormais son site Internet. Vous y retrouverez
toute son actualité mais également toutes les informations
concernant les communes adhérentes, ses compétences,
ses outils, ses équipements sans oublier ses projets.
Bonne visite sur sydeme.fr
Horaires d’ouverture des déchetteries
jusqu’au 15 septembre 2007
Lundi - Mardi
15 h -19 h
Mercredi
10 h -12 h / 15 h -19 h
Jeudi
14 h -19 h
Vendredi - Samedi
9 h -12 h / 14 h -19 h
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IL ÉTAIT UNE FOIS...
Schoeneck :
80 ans d’autonomie, ça se fête
Le week-end du 19 mai dernier, la commune fêtait le 80 e anniversaire de son autonomie.
A cette occasion, étaient également présents les Comités de Jumelage de Jauldes
et Jurignac, communes de Charente jumelées à Schoeneck, qui ont accueilli, lors de la
dernière guerre mondiale, les Schoeneckois venus s’y réfugier.
La Charente fait partie de l’histoire
de la commune et les souvenirs,
si souvent évoqués par les
anciens, sont aujourd’hui encore bien
vivants dans le cœur de nombreux
Schoeneckois. Et le jumelage concrétisé
par une charte signée le 20 mai 1993
avec Jauldes et Jurignac scelle une
amitié durable issue de l’histoire du
passé. Evoquons un peu l’histoire de
cette autonomie.
Si on consulte les archives départementales
ou certains ouvrages de Raymond
Engelbreit, historien local, on relèvera
que la première commune autonome
de Schoeneck est née sous la révolution
le 15 février 1790, avec les réformes de
l’Assemblée Constituante et la réorganisation
territoriale de la France.
Cependant, par décret impérial du 28
novembre 1811, Schoeneck devint
annexe de Forbach, tout comme
Stiring.
Le 28 mars 1842, ces deux annexes
s’unirent pour demander leur séparation
de Forbach. C’est le 3 juin 1857
que Napoléon III signa le décret élevant
Stiring au rang de commune, avec
la dénomination Stiring-Wendel en
hommage à la famille De Wendel
très présente dans la commune.
Forbach n’avait aucun intérêt à se séparer
de Schoeneck, importante zone
artisanale et source de revenus avec la
tuilerie, la verrerie, la fabrique de pipes
en terre cuite, ses forêts et, à partir de
1836, la découverte de la première
veine de charbon, élément moteur
pour le développement de l’industrie
lourde dont c’était les débuts. L’avenir
le confirma.
Pourtant, les Schoeneckois ne perdaient
pas espoir. Un mouvement militant
pour la séparation se développa et ses
élus intervenaient régulièrement auprès
du Conseil municipal de Forbach pour
solliciter la séparation, justifiant leurs
doléances par le fait que Schoeneck
possédait tous les équipements et
infrastructures d’une commune : église,
écoles, commerces, corps de sapeurspompiers.
C’est lors d’une séance houleuse du
Conseil municipal de Forbach en date
du 7 juin 1926, les uns reprochant aux
autres de brader le patrimoine, que la
séparation fut enfin prononcée. Avec
l’appui de l’opposition, il faut le souligner.
Le maire de Forbach était alors
Félix Barth et le porte-parole de l’opposition,
Monsieur Couturier. Le 24 juin
1926, la séparation de la section de
Schoeneck et son institution en commune
autonome furent décrétées.
Le Président de la République, Gaston
Doumergue, et le Président du Conseil,
Raymond Poincaré, fixèrent au
1 er mai 1927 l’entrée en vigueur de
la séparation.
Les habitants furent appelés aux urnes.
Le premier maire élu fut Bastian Oscar.
La commune comptait alors 834 habitants.
Ce nombre évolua rapidement
pour atteindre 1 500 habitants suite à la
construction du quartier Sainte-
Stéphanie, érigé par la famille De
Wendel, propriétaire de la concession
des mines de Schoeneck, pour le logement
des mineurs.
Le week-end du 19 mai dernier, la commune fêtait
le 80 e anniversaire de son autonomie.
L’activité charbonnière prenait son
essor et nécessitait une main-d’œuvre
importante. La sidérurgie était également
implantée dans la commune avec
une annexe des aciéries de l’Arbed
Burbach, cette dernière fabriquant, à
Schoeneck, des sous-produits (engrais,
scories Thomas et laitier) avec les
déchets des hauts-fourneaux.
L’évolution prospère de la commune
fut compromise par la déclaration de la
Seconde Guerre mondiale en date du 1 er
septembre 1939. Débuta alors l’évacuation
de tous les habitants vers la
Charente, dans les communes de
Jauldes et Jurignac et vers le Nord-
Pas-de-Calais pour les mineurs.
A l’heure des houillères
Après l’armistice de juin 1940 où
l’Alsace-Moselle a une fois de plus été
bradée pour être annexée au III e Reich,
c’est le retour au village et la vie sous
le régime nazi avec ses cinq années
de drames, de souffrances et les durs
bombardements des combats de la
Libération. Le 13 mars 1945, jour de la
Libération, Schoeneck ressemblait à un
champ de ruines, un village détruit à
70 % : 30 tués, 15 blessés et 65 déportés.
Tel fut le tragique bilan de cette
époque dramatique.
Débuta alors la période de la reconstruction
et l’accroissement considérable
de la population qui passa à 2 500
habitants avec l’arrivée massive de
travailleurs migrants logés dans
les 132 baraques de la Ferme de
Schoeneck.
Les Houillères furent alors nationalisées.
Il fallait relever le pays de ses
ruines et le charbon était indispensable
pour redémarrer l’industrie et relancer
l’économie. Cela nécessitait une maind’œuvre
importante. Pour faire face aux
problèmes de logements, les houillères
Page 36

IL ÉTAIT UNE FOIS...
construisaient des cités provisoires qui
poussaient comme des champignons
dans de nombreuses communes
de la région dont une à la Ferme
de Schoeneck où logeaient environ
650 habitants issus de 14 nationalités
différentes. Et pourtant ils cohabitaient
en parfaite harmonie.
Cet accroissement de population participa
aussi à l’économie de la commune,
le commerce était florissant. On recensait
alors deux boucheries, deux boulangeries,
dix épiceries, une laiterie et
sept cafés-restaurants. Qu’en reste-t-il
aujourd’hui ? Deux boulangeries avec
petite épicerie de proximité et un
café-restaurant. Quant à la Ferme de
Schoeneck, il n’en reste plus que
quelques vestiges et les différents
chemins envahis par la végétation.
Ce site est désormais classé au plan
d’occupation des sols comme espace
naturel à préserver.
Les habitants ont quitté les lieux dès la
fin des années 50 pour des logements
plus confortables dans les cités de
Behren, Farébersviller et Rouhling.
Cette nouvelle situation a provoqué une
importante chute de la population et
incité la commune à s’orienter vers un
vaste programme d’urbanisation et de
développement économique.
Aussi, de 1960 à ce jour, ce sont
375 logements individuels qui ont été
réalisés dans les différents lotissements :
Clémenceau, Balzac, Vergers, Cyprès,
Stéphanie et Ferme et 165 logements
locatifs dans des immeubles construits
rue de la Ferme Les terrasses de
Schoeneck et au quartier Stéphanie
le Nouveau Logis et les Deux Chênes.
Ce programme d’habitat a été accompagné
par la réalisation de nouvelles
infrastructures routières et de nouveaux
équipements publics - groupes scolaires,
centre socioculturel, gymnase,
centre médico-social, caserne des
pompiers, plateaux sportifs, complexe
tennistique, salles des associations,
mairie qui regroupe tous les services
administratifs, régie d’électricité, régie
des eaux et Poste.
Comme toute la région, la commune
n’a pas échappé à la crise socio-économique
due à l’arrêt de l’activité minière
à laquelle s’est ajouté l’arrêt de l’usine
Arbed en 1980.
Schoeneck, berceau du charbon régional
avec la découverte l’an dernier
du premier puits lorrain.
« Village gaulois niché au cœur
d’une forêt »
Pour faire face aux pertes de ressources
et d’emplois générés par ces problèmes,
l’ancien carreau de mines du Puits IV
a été aménagé en zone industrielle.
Un pari sur l’avenir. Aujourd’hui,
250 personnes sont employées sur ce
site. Voilà résumées les grandes lignes
qui ont marqué les 80 ans de vie communale
: prospérité mais aussi guerre,
récession et enfin espoir. Rappelons
également la découverte du premier
puits de charbon lorrain l’année dernière,
preuve que Schoeneck est bien le
berceau du charbon lorrain.
Aujourd’hui, Schoeneck compte environ
3 000 habitants. De nombreuses
personnes issues de communes environnantes
et d’Allemagne (environ
600), sont venues y élire domicile.
Schoeneck bénéficie d’une qualité de
vie d’un bon niveau, grâce aux différents
services et activités dont disposent
les habitants. La vie associative,
très active, permet la pratique de
nombreux loisirs, sportifs, culturels ou
éducatifs. La commune est également
dotée d’une bonne activité scolaire :
écoles maternelles, primaire, lycée
technique régional. Les élèves disposent
d’une cantine, de cours de soutien
scolaire et d’un centre de loisirs
pendant les périodes de vacances.
Enfin, le cadre de vie à Schoeneck
possède des atouts considérables :
ses forêts représentent 40 % de la surface
du ban communal. Ce massif
boisé, véritable poumon vert, classé
zone naturelle à préserver, fait le charme
du village que d’aucuns qualifient de
« village gaulois niché au cœur d’une
forêt ». Et le premier magistrat de souligner
: « Nous sommes fiers de notre
identité schoeneckoise, fiers de notre
commune et de tout son patrimoine.
Néanmoins, dans le contexte actuel,
une commune ne peut plus rester isolée
dans son coin, indifférente à tout ce
qui se passe ailleurs. Notre région a
été durement marquée par l’arrêt de
l’activité charbonnière. Un redéveloppement
économique s’impose et
c’est là que l’intercommunalité à
laquelle nous adhérons prend toute sa
dimension. Elle n’est pas, comme
certains prétendent, précurseur de la
dissolution des communes. Mais, bien
au contraire, elle respecte l’identité
communale conformément à la loi
sur la coopération intercommunale.
Nos 36 000 communes sont une spécificité
bien française à laquelle nous sommes
profondément attachés, car la commune
est la base de la démocratie. »
L’intercommunalité assure uniquement
les compétences que les communes ne
peuvent plus assumer seules et qui ont
un intérêt communautaire telles que le
développement économique, l’environnement,
les transports. C’est dans cet
esprit que la Communauté d’Agglomération
Forbach Porte de France a
été créée. « Et nous sommes heureux
de participer, avec les 20 autres
communes et les 84 000 habitants qui
la composent, aux grands chantiers de
redynamisation et de redéveloppement
économique de notre ancien
Bassin Houiller appelé aujourd’hui
Le Val de Rosselle ».
Les différents maires qui
ont administré la commune :
Oscar BASTIAN de 1927 à 1929
Michel SCHULLER de 1929 à 1930
Oscar BASTIAN de 1930 à 1936
Emile SCHULLER de 1936 à 1940,
c’est lui qui a assuré l’évacuation
Jean MASSFELDER 1945,
maire nommé à la Libération
Joseph VALERO de 1945 à 1953,
Joseph MASSFELDER
de 1953 à 1977
Depuis 1977 : Paul FELLINGER
Page 37

BOUSBACH
COMMUNES À LA UNE
Bousbach
Le club-house se refait
une beauté
Après la remise en état de la pelouse du terrain de football et
l’installation de deux mats d’éclairage de 14 m sur le terrain
annexe d’entraînement, la municipalité a engagé d’importants
travaux au niveau du bâtiment communal du club-house, abritant
notamment les vestiaires. Toutes les ouvertures extérieures,
portes et fenêtres, sont désormais dotées d’huisseries en PVC
avec double vitrage. Les façades ont été refaites à neuf et toutes
les boiseries ont été traitées. Par ses couleurs, le bâtiment s’intègre
parfaitement à son environnement champêtre et forestier.
Ces derniers travaux ont été réalisés pour un montant global de
24 000 € TTC et subventionnés à hauteur de 69 % grâce au
concours de l’Etat (DGE2) et du Sénat (enveloppe parlementaire).
Y a du neuf au club-house !
DIEBLING
Diebling
Un verger pédagogique
pour sensibiliser les jeunes
Les vergers sont indissociables de l’image
traditionnelle et rurale du pays du
Strichbach. Ils sont le témoin d’une
époque où la production servait les
besoins locaux. Ces vergers entourent
toujours la commune de Diebling.
Afin de sensibiliser les habitants à
l’importance de ce patrimoine et à sa préservation,
la commune a initié un projet
qui a pu être réalisé grâce à l’association
des arboriculteurs et à l’équipe pédagogique
de l’école élémentaire.
D’une superficie de huit ares, le verger
pédagogique bénéficie d’une exceptionnelle
exposition. Il est composé de
32 arbres fruitiers parmi lesquels trois
espèces (cerisiers, pommiers et pruniers)
et de deux arbres pour la pollinisation.
De par son emplacement jouxtant les
écoles, il permet aux enfants de s’initier aux sciences de la terre et leurs enseignants
de les sensibiliser au respect de la nature.
Il servira également de support technique et d’aide à la formation des adultes.
Ce projet de verger pédagogique a été soutenu par le Conseil Général de la Moselle.
Afin de sensibiliser les habitants à la préservation du patrimoine local,
la commune a initié le projet de verger pédagogique.
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FORBACH
COMMUNES À LA UNE
Forbach
Croissance de fréquentation
à la médiathèque
Depuis son ouverture, la fréquentation de
la médiathèque ne cesse de croître.
L’outil plaît et cela bien au-delà des
seules limites communales. Un succès qui
s’explique notamment par la diversité de
l’offre culturelle et le professionnalisme
de l’équipe en place.
Implantée depuis 1996 au cœur de
Forbach, place Aristide Briand, la médiathèque
franchit chaque année un palier
supplémentaire, ce qui tend à prouver que
cet équipement culturel répond aux aspirations
d’un public toujours plus nombreux.
Le bilan annuel dressé récemment
par Laurence Galan, responsable de la
structure, est positif. 50 000 personnes
ont fréquenté la médiathèque en 2006. On
ne recense pas moins de 4 200 abonnés.
74% d’entre eux sont issus de l’agglomération
forbachoise. « Nous comptons également
une cinquantaine de Sarrois »,
souligne Laurence. Cette forte fréquenta-
tion s’est traduite par 134 412 prêts qu’il
s’agisse de livres ou de revues, de cd ou
de cd-rom. « Au premier rang se situe
bien évidemment les prêts de livres,
ils représentent 63% de l’ensemble »,
ajoute la directrice.
Signe intéressant, une hausse significative
du nombre de scolaires qui se rendent à
la médiathèque. « En 2006, le nombre
d’écoles inscrites a progressé de 26%
alors que le nombre de classes qui ont
50 000 personnes ont fréquenté la médiathèque
de Forbach en 2006.
fréquenté la structure est en augmentation
de 30% », indique Laurence Galan.
Des enfants qui viennent aussi bien
d’établissements forbachois qu’extérieurs.
« Nous accueillons des écoles de
Cocheren, Stiring-Wendel, Freyming-
Merlebach… mais aussi l’école francoallemande
de Sarrebruck ». Ces résultats
sont notamment le fruit d’une politique
d’animation plus diversifiée. Ce succès
s’explique également par l’attraction
toujours grandissante qu’exerce la galerie
d’exposition. « Notre programme est
mieux diffusé et les partenariats se multiplient
pour offrir au public des expositions
originales, diverses et de qualité »,
souligne Nathalie Gangloff, responsable
de la galerie. La médiathèque apparaît,
au niveau de la ville et de l’agglomération,
comme un outil culturel de premier
plan dont chacun s’évertue à reconnaître
l’utilité.
FORBACH
Forbach
toujours plus fleurie
Dès le printemps, Forbach prend des couleurs. Et chaque année
elle se montre plus chatoyante et plus attractive. C’est le fruit d’un
important effort de fleurissement et de verdissement voulu par la
municipalité. Incontestablement cette action trouve un accueil favorable.
Autochtones et visiteurs s’accordent pour constater que
Forbach est de plus en plus verte et fleurie. C’est le
résultat d’une politique municipale résolument tournée
vers l’amélioration du cadre et de la qualité de vie. Il est un fait
que les arbres plantés récemment au centre-ville et le long de
divers axes de pénétration ainsi que les efforts réalisés en matière
de fleurissement portent leurs fruits et contribuent à faire évoluer
positivement l’image de la ville. Cette politique a été
récompensée en 2005 par l’attribution au niveau départemental
d’une première fleur. Récompense qui incite l’équipe des
espaces verts de la Ville à faire preuve d’encore plus d’imagination
et de créativité. « Nos équipes plantent chaque année
des milliers de bulbes et plants. Nous multiplions les bacs à
fleurs et suspensions. Sur les grands chantiers de la Ville ou
de la Communauté d’Agglomération comme ceux du centre-ville
ou de la gare, nous intégrons
systématiquement
une importante dimension
végétale avec, entre
autre, la plantation
d’arbres en veillant à
Forbach est de plus en plus verte et fleurie.
varier les essences », souligne
Jean-Marc Telatin, responsable du service des espaces
verts à la Ville de Forbach. « L’objectif de cette politique est à la
fois d’améliorer le cadre de vie des Forbachois et de rendre
la ville plus attractive et plus conviviale », précise Charles
Stirnweiss. Améliorer l’image de la ville est positif pour
l’ensemble de l’agglomération. Ces efforts traduisent aussi
le souci de la municipalité d’inscrire son action dans une
dimension de développement durable.
Page 39

FARSCHVILLER
Farschviller
Une nouvelle salle polyvalente
COMMUNES À LA UNE
pour la commune
En 1974, la commune avait été dotée, dans le cadre de l’opération
« Mille-Club », d’une structure de 180 m 2 qui à l’époque
était le fleuron du village. Durant trois décennies, le "Foyer" a
donné satisfaction aux associations pour exercer leurs activités
et aux familles à l’occasion des manifestations festives.
Aujourd’hui, ce bâtiment est obsolète et vétuste, il ne répond
plus aux normes de sécurité ni aux règles sanitaires.
La municipalité a ainsi décidé de construire une salle polyvalente
à côté du stade. Cette construction, d’une superficie de
1400 m 2 , est constituée de plusieurs salles pour exercer diverses
activités, des salles de rangement pour le matériel, d’une
cuisine, d’un bar et d’une grande salle (avec scène et régie)
pouvant accueillir 280 personnes lors d’un repas dansant ou
350 personnes à l’occasion d’un spectacle.
Le coût de la construction s’élève à environ 1,2 M€ HT,
cet investissement étant subventionné à hauteur de 50 %.
Cette nouvelle structure permettra l’épanouissement des
associations et activités existantes mais aussi la naissance et le
développement d’autres activités créant ainsi une nouvelle
dynamique dans la commune.
La nouvelle salle polyvalente, d’une superficie de 1400 m 2 ,
est constituée de plusieurs salles pour exercer diverses activités,
des salles de rangement pour le matériel, d’une cuisine, d’un bar et
d’une grande salle (avec scène et régie) pouvant accueillir 280 personnes
lors d’un repas dansant ou 350 personnes à l’occasion d’un spectacle.
METZING
Metzing
Réfection de voirie et remise
en état de la digue de l’étang
au programme
L’étang de Metzing va connaître quelques réaménagements.
Lors de la réunion du 30 mars dernier, le conseil municipal
a arrêté le programme des travaux dont la réalisation est prévue
en 2007. Les deux projets retenus ont pour objet l’aménagement
de voiries, ainsi que la remise en état de la digue et des travaux
annexes à l’étang communal.
Concernant les travaux de voirie, la commune va procéder
à la réfection de la rue des Jardins et de la rue de la Paix.
S’agissant de l’étang, il a été décidé de restaurer entièrement la
digue, en la rehaussant et en la renforçant, après l’avoir nettoyée
et avoir évacué les matériaux qui la composent actuellement.
En plus de la digue, la commune va procéder à la réparation
d’un déversoir, ainsi qu’à la création de deux autres, et à la mise
en place de plusieurs postes de pêche.
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MORSBACH
Morsbach
L’école maternelle baptisée
"Les Frères Grimm"
Le 20 mai dernier, l’école maternelle
de Morsbach a pris le nom d’"Ecole
Maternelle Les Frères Grimm". Les
frères Grimm sont très connus en
Allemagne, mais également dans le
monde entier. Et qui ne les connaît pas,
connaît forcément Blanche Neige, les
musiciens de Brême, Hansel et Gretel,
Tom Pouce, la légende de Guillaume Tell
et bien d’autres productions à destination
des petits et des grands. Ce choix d’auteurs
allemands s’est fait dans le cadre du
jumelage entre Morsbach et sa voisine
allemande d’Emmersweiler. L’objectif
étant le rapprochement entre les écoles
des deux communes. La directrice,
Mme Basler, et son équipe pédagogique
souhaitent nouer des relations suivies
avec le Kindergarten d’Emmersweiler.
C’est là également une volonté des élus
de Morsbach et d’Emmersweiler.
L’idée est bien sûr d’aller plus loin et de
permettre aux enfants de se familiariser
Dix ans après le lancement du projet, la
restauration de l’orgue de l’église Saint-
Nabor vient de s’achever après six mois de
travaux. L’édification de l’instrument débuta
en 1914 par l’une des plus importantes
manufactures d’orgues du début du
XX e siècle, la Maison Rinckenbach
d’Ammerschwihr, puis après une interruption
durant la guerre pour cause de blocus,
s’acheva en 1919. L’ensemble n’a jamais
subi de transformation notable, si ce n’est
l’installation d’un ventilateur électrique en
1929. Derrière le magnifique buffet néobaroque
en chêne massif verni, les tuyaux
de façade en étain cachent pas moins de 23 jeux sur deux claviers
et pédales. Les travaux de relevage, sous maîtrise d’ouvrage
communale, furent confiés à la manufacture Blumenroeder de
Pfaffenhoffen.
La maîtrise d’œuvre fut assurée par M. Bizot, Technicien de Nancy,
et l’alimentation électrique par l’entreprise locale C. Brechbiell. Le coût
global de la rénovation se chiffre à 74 717,66 € TTC, financé
conjointement par le Conseil général, le Conseil de Fabrique et la commune.
avec la langue et la culture du voisin
allemand dès le plus jeune âge. Pour fêter
l’évènement, la date du 20 mai n’a pas
été choisie par hasard. Elle se place
quelques jours après la journée de
l’Europe, qui est célébrée tous les ans le
9 mai. Par ailleurs, l’Europe fête cette
année le cinquantième anniversaire des
Traités de Rome qui ont institué l’Union
Européenne.
C’est sous ce parrainage prestigieux que
la manifestation de Morsbach a été appelée
"Journée de l’amitié franco-allemande".
C’est en présence de Peter Duchene,
maire de Grande-Rosselle, Hans Georg
Schneider, Ortsvorsteher d’Emmersweiler,
Pierre Steininger, premier magistrat de
Rosbruck, des élus et enseignants des
communes jumelées, que le maire de
Morsbach, Gilbert Schuh, a dévoilé la
plaque au nom des Frères Grimm.
Puis tout le monde a pris le verre de
l’amitié franco-allemande. L’après-midi
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COMMUNES À LA UNE
Le 20 mai dernier, l’école maternelle de Morsbach
a été nouvellement baptisée "Ecole Maternelle
Les Frères Grimm".
a été animé par les écoliers français et
allemands. Le Cyclo club loisirs de
Morsbach avait mis en place un circuit
d’initiation à la conduite à vélo en toute
sécurité. Les parents d’élèves se sont
engagés dans l’organisation de la fête
et ont assuré la restauration.
Nousseviller
NOUSSEVILLER
L’orgue de l’église Saint-Nabor
restauré
C’est le 6 mai dernier, à l’occasion de la célébration du 100 e
anniversaire de la consécration de l’église, que l’orgue restauré
de l’église Saint-Nabor a été inauguré.
C’est le 6 mai dernier, à l’occasion de
la célébration du 100 e anniversaire
de la consécration de l’église, que le majestueux
instrument a été inauguré en
présence de nombreux invités de marque,
impressionnés par ses possibilités musicales
remarquables.
Afin d’utiliser pleinement les atouts de
l’instrument, il est envisagé d’en faire
profiter un maximum de mélomanes,
notamment par l’organisation de divers
concerts, la participation à la route des
Orgues et la mise à disposition à diverses
écoles de musique et au conservatoire.
Cette restauration vient dans la continuité d’un travail de remise
en état de cette église faisant partie du patrimoine local. Débuté
il y a plus de 15 ans par les travaux de conformité électrique, il
s’est poursuivi par la remise en peinture en 1995, puis la réfection
du Maître Autel en 1997, celle du beffroi en 1998 et celle
de la toiture en 2002 pour un coût global non négligeable
de 259 000 € !

COMMUNES À LA UNE
PETITE-ROSSELLE
Petite-Rosselle
Les valeurs des rejets de la centrale
d’incinération de Velsen affichées
en mairie
En avril dernier a été mis en place, dans le hall de la mairie
de Petite-Rosselle, un ordinateur affichant, en direct, les valeurs
des rejets de la centrale d’incinération de Velsen sur la base
des mesures effectuées en continu.
Accessibles à tous, ces valeurs sont identiques à celles qui
figurent sur le panneau situé à l’entrée de la centrale de Velsen.
Elles correspondent à la moyenne journalière à l’heure
de consultation.
Le tableau se présente sous la forme de trois colonnes. Sur
la colonne de droite figurent les résultats en direct. Dans celle
du milieu sont inscrits les rejets autorisés par le Ministère
de l’environnement de la Sarre. Et pour comparaison, la colonne
de gauche contient les normes de rejets en moyenne journalière
pour les installations d’incinération de déchets, fixées dans
la directive 2000/76/CE du Parlement européen et du Conseil
de l’Union européenne.
La Société Entsorgungsverband Saar - EVS, propriétaire
de l’usine d’incinération d’AVA VELSEN et la Municipalité
de Petite-Rosselle, permettent, par le biais de cet ordinateur,
de communiquer des informations réelles et concrètes.
Celles-ci sont également consultables, via Internet,
à l’adresse : www.ava-velsen.de
En avril dernier a été mis en place, dans le hall de la mairie de Petite-
Rosselle, un ordinateur affichant, en direct, les valeurs des rejets de la centrale
d’incinération de Velsen.
ROSBRUCK
Rosbruck
Un premier prix pour le site
Internet de la commune
Le maire Pierre Steininger et le concepteur du site David Amoroso.
Dans la catégorie des communes de moins de 4 500 habitants, la commune
de Rosbruck a remporté le trophée MIA (Moselle InterActive)
qui récompense le meilleur site Internet du département. La remise
du trophée a eu lieu dans les locaux du Conseil Général de la Moselle
le 30 mars dernier.
En ligne depuis le 28 février dernier, ce site créé et réalisé par David
Amoroso en collaboration avec les élus, le personnel communal de
la mairie et Pascal Flaus pour la partie historique, fut plébiscité par plus
de 3 720 internautes. Outre une mise à jour régulière, de nouveaux
thèmes devraient enrichir son contenu dans les mois et années à venir.
Afin de faire évoluer ce nouvel outil de communication, les remarques
des internautes seront les bienvenues à l’adresse courriel de la mairie :
mairie-de-rosbruck@wanadoo.fr. Il est à noter que l'adresse du site
est www.rosbruck.info.
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STIRING-WENDEL
COMMUNES À LA UNE
Stiring-Wendel
La place de Wendel fait sa mue
La ville de Stiring-Wendel poursuit actuellement la restructuration
de son centre. Après la rue Saint-François, la place Sainte-Marthe,
le boulevard Saint-Joseph et la rue Saint-Théodore, c’est au tour de
l’imposant chantier de la Place de Wendel d’avancer à grands pas.
Cette place centrale d’une centaine d’ares dont la vocation est de servir
de parking, d’accueillir les marchés (momentanément déplacés à la
Coulée Verte) ainsi que la Kirb ou d’autres manifestations, est en plein
relookage. Un calepinage clair et sombre remplace le bitume qui
s’était fortement dégradé.
Des emplacements de stationnement sont matérialisés par de nouvelles
dalles plus sombres. Ces emplacements, très larges, facilitent l’accès
aux véhicules en permettant d’ouvrir sans encombre les portes, notamment
pour les personnes à mobilité réduite. De part et d’autre de la Place, des
espaces de promenade et de repos sont aménagés pour les piétons. Ces
derniers pourront s’abriter du soleil sous de nombreux arbres parasols
dont la plantation a débuté du côté de la mairie. L’ensemble sera agrémenté
d’un éclairage par le sol et par pylônes. Cette importante modernisation
donnera à la Place de Wendel un aspect résolument contemporain,
fonctionnel et en harmonie avec le bâtiment de la mairie.
Opération relookage
pour la Place de Wendel.
TENTELING
Tenteling
Construction d’une nouvelle
salle communale
La construction de la nouvelle salle communale avance à grands
pas. En effet, après les travaux de gros œuvre, les différents
corps de métiers s'activent actuellement sur le chantier afin de
respecter le calendrier établi. Des réunions de chantier hebdomadaires
sont organisées avec les responsables des entreprises
ainsi que les représentants de la municipalité, permettant de
faire le point d'une part sur l'avancée des travaux et, d'autre part,
sur le respect du calendrier fixé par le maître d'œuvre.
La petite particularité de ce projet concerne le lot chauffage,
pour lequel la municipalité s'est positionnée en optant pour
la géothermie. A cet effet, il est à noter que cette structure sera
la première dans notre secteur équipée par ce système de chauffage,
privilégiant ainsi les énergies nouvelles et renouvelables
favorisant le respect de l'environnement.
Cette salle à vocation festive et culturelle a pour objectif d'offrir
à ses utilisateurs une structure adaptée à chacun de leurs besoins
(concerts, spectacles, cérémonies, danses, réunions associatives...).
Aussi, et compte tenu de la bonne coordination entre
les différentes entreprises, cette nouvelle salle communale
devrait être inaugurée au cours du quatrième trimestre 2007.
A noter que le coût de ce projet se chiffre à 775 596 € HT dont
414 556 € de subventions versées par nos différents partenaires
financiers (Département (SACR) - Etat (DGE) - Communauté
d'Agglo-mération de Forbach et Enveloppe Parlementaire).
Cette salle à vocation festive et culturelle aura pour objectif d'offrir
à ses utilisateurs une structure adaptée à chacun de leurs besoins
(concerts, spectacles, cérémonies, danses, réunions associatives...)
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JUILLET
Bousbach : Fête Nationale (le 14).
Farschviller : Fête de la Sainte Scapulaire "Amicale
des Pompiers" (le 15).
Forbach : La Roseraie en musique au Schlossberg
avec le groupe rock Pledge (le 1 er ) ; Fête Western
Country (le 8) ; Fête Nationale (le 14) ; Contes au château
Légendes de Lorraine salle des Chevaliers (le 15) ;
Fête des Métiers et de l’Artisanat (le 22) ;
La Roseraie en musique Harmonie Evergreen (le 29).
Morsbach : 30 e Anniversaire de la Section J.S.P.
(Jeunes sapeurs pompiers) au Centre Social et Culturel
(le 1 er ) ; Soirée de la Fête Nationale avec Feu d’artifices
organisée par la commune et la G.A.M. (le 13).
Oeting : Concours canin du TCC (le 1 er ).
Schoeneck : Centre aéré ; Fête Nationale
(le 13 au village et le 14 au quartier Stéphanie).
Spicheren : Feu d’artifice par le CSN (le 13).
Stiring-Wendel : Feu d’artifice fête du 14 juillet (le 13).
AOÛT
Bousbach : Fête du village (date à déterminer).
Farschviller : Challenge "Chantal "
au Stade (7, 9, 11 et 12).
Forbach : La Roseraie en musique les Chorales en
Fête (le 5) ; Contes au château Légendes de Lorraine
salle des Chevaliers (le 12) ;
Grande Fête Médiévale au Schlossberg (le 19) ;
La Roseraie en musique Jazz in Schloss (le 26).
Nousseviller : Nouss’Arts et Fête 2007 Spectacle
son et lumière dans les rues du village, animations
dans les rues (les 18 et 19 août).
Où sortir ?
Nouss’Arts et Fête (les 18 et 19 août).
Schoeneck : Centre aéré.
Spicheren : Commémoration de la bataille
de Spicheren (le 5).
Stiring-Wendel :
Concours d’obéissance Training Club canin (le 5) ;
Concours de pétanque de la Coulée Verte (le 29).
SEPTEMBRE
Bousbach : Nettoyage du ruisseau (le 1 er ) ;
Assemblée générale Sports et loisirs (le 7) ;
Soirée à thème de l’Amicale des pompiers (le 29).
Farschviller : Don du Sang "Salle de la Mairie"
(le 6) ; Championnat de Scrabble organisé
par le Skate-Belote-Club au foyer (le 23).
Morsbach : Fête Patronale (les 14 et 15) ;
Gala musical de l’Harmonie « Evergreen » (le 23).
Oeting : Tournoi de foot jeunes (le 15).
Schoeneck : Corrida pédestre (le 9).
Spicheren : Fête du village (les 1 er et 2).
Stiring-Wendel : Fête Slovène au foyer protestant
(le 1 er et le 2) ; Concours RCI Training Club Canin
(le 2) ; Soirée Handicoeur Espace Rémy-Botz (le 6) ;
Kermesse de la paroisse Sainte-Marie Espace Rémy-
Botz (le 9) ; Exposition peinture Mireille Rohr
(du 6 au 20 à la mairie) ; Journée du Patrimoine (le 16) ;
40 e anniversaire du CIA Espace Rémy-Botz (le 29).
OCTOBRE
Bousbach : Assemblée générale ABC + (le 19) ;
Bourse aux jouets Famille Lorraine (le 21) ;
Rencontre des anciens de la commune (le 28).
Farschviller : Championnat de tennis de table
au foyer (le 6) ; Kirb "Amicale des Pompiers" (le 14) ;
Concours de Belote au foyer (le 20) ;
Championnat de tennis de table au foyer (le 27).
Morsbach : Opération Riv’ actionraid cyclo - canoë
et course à pied avec arrivée au centre Social (le 7) ;
Expo du Cercle Ferroviaire de l’Est au Centre Social
(le 14).
Nousseviller : Gala twirling (le 6 à 20h salle polyvalente)
; Soirée ESEM (le 20 à 20h salle polyvalente) ;
Soirée cabaret de Bonne Fontaine
(le 27 à 20h, salle de l’école de Cadenbronn).
Oeting : Repas paroissial organisé par le Conseil
de Fabrique (le 21) ; Banquet des anciens au tennis
couvert (le 27).
Spicheren : Oktober Fest (le 4) ; Kirb (le 21).
Stiring-Wendel : Kirb Place de Wendel (du 7 au 14) ;
Soirée de gala Sclérose en plaque (le 13) ;
Concours des maisons fleuries (du 10 au 17) ;
Exposition avicole (les 27 et 28).
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NOVEMBRE
Bousbach : Fête de l’Armistice (le 11) ; Kirb (le 11) ;
Banquet des anciens combattants (le 18) ; Banquet de
l’Amicale des pompiers (le 24) ; Tournoi TTB (le 25).
Farschviller : Cérémonie de l'Armistice organisée
par la Municipalité (le 11) ;
Beaujolais Nouveau FC (le 17) ;
Banquet Sainte Barbe "Amicale des Pompiers" (le 25) ;
Banquet Ste Cécile "Chorale" (le 25).
Morsbach : Commémoration de l’Armistice 1918
place Marcel-Muller (le 11) ; Bourse aux jouets
organisée par l’ACSM au Centre Social (le 18) ;
Banquet des Mineurs (le 25).
Oeting : Assemblée générale Corps et Graphies (le 9).
Schoeneck : Commémoration de l’Armistice 1918
(le 11) ; Bourse aux jouets de l’Amicale du personnel
communal (le 18) ; Marché de Noël (le 25).
Spicheren : Fête du Beaujolais Nouveau (le 15) ;
Volkstrauertag (le 18) ; Fête de la Sainte-Cécile (le 25).
Stiring-Wendel : Salon des oiseaux au Cosec (les 3 et 4) ;
Bourse aux jouets Espace Rémy-Botz (les 3 et 4) ;
Loto du CSS Espace Rémy-Botz (le 10) ;
Soirée Beaujolais Nouveau Espace Rémy-Botz (le 15) ;
Exposition « Les rues de Stiring-Wendel »
(du 15 au 22 à la mairie).
Où sortir ?
DÉCEMBRE
Bousbach : Saint-Nicolas Famille Lorraine (le 2) ;
Fête de la Libération (le 6) ; Téléthon Sports et loisirs (les 7 et 8) ;
Banquet UNIAT (le 16) ;
Saint-Sylvestre avec l’USB (le 31).
Farschviller : Don du Sang à la Salle de la Mairie (le 6) ;
Arbre de Noël des Retraités au Foyer (le 9) ;
Championnat de tennis de table au foyer (le 15).
Morsbach : Banquet des Sapeurs Pompiers (le 1 er ) ; Noël des enfants
de la Commune organisé par la Commune et le G.A.M. (le 9).
Nousseviller : Repas des Mineurs (le 9 à 12h salle polyvalente)
Oeting : Concert de la chorale les Amis de l’Eglise (le 15).
Schoeneck : Repas de la Sainte-Barbe (le 2) ; Repas du
club des seniors au berceau du charbon lorrain (le 6) ; Saint-
Nicolas dans les écoles (le 6) ; Fête de Noël des Jeunes
Sapeurs-Pompiers (le 9) ; Banquet des anciens (le 16).
Spicheren : Marché de Noël (le 2) ;
Banquet de Noël du Bon Accueil (le 20).
Stiring-Wendel : Fête de Noël ACVG
Espace Rémy-Botz (le 2) ;
Exposition « Le soleil des Indiens » (du 4 au 14 à la mairie) ;
Fête de Noël personnel municipal Espace Rémy-Botz (le 8) ;
Fête de Noël Fraternité Espace Rémy-Botz (le 9) ;
Marché de Noël Place de Wendel (du 10 au 23) ;
Fête de Noël Amitié Loisirs (le 11) ;
Fête de Noël 3 e âge Habsterdick Espace Rémy-Botz (le 13) ;
Fête de Noël Karaté club (le 15) ;
Fête de Noël groupe folklorique Glück Auf (le 15).
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AGGLOpratique
Services d’urgence
Gendarmerie de Forbach : 03 87 85 10 93
Gendarmerie de Behren-lès-Forbach : 03 87 87 32 64
SAMU : 15
Police Secours : 17
Pompiers : 18
Centre Hospitalier Marie-Madeleine : 03 87 88 80 00
Centre Hospitalier Sainte-Barbe Hospitalor : 03 87 84 91 91
Communauté d’Agglomération
Forbach Porte de France
Siège administratif
(110, rue des Moulins à Forbach) : 03 87 85 55 00
Ecole de Musique et Danse : 03 87 85 04 37
Eurozone Forbach-Sarrebruck : 03 87 84 31 02
Piscine : 03 87 85 92 91
Sauna : 03 87 85 91 90
Déchetteries communautaires
• Forbach - Petite-Rosselle
Rue Principale à Forbach-Marienau : 03 87 85 87 45
• Rosbruck - Morsbach - Cocheren
Rue Nationale à Rosbruck : 03 87 81 39 91
• Behren-lès-Forbach - Bousbach - Oeting - Folkling - Kerbach
Rue du 1 er septembre 1939 à Behren-lès-Forbach : 03 87 88 71 84
• Spicheren - Alsting - Etzling
Rue d’Alsting à Spicheren : 03 87 88 05 30
• Diebling - Farschviller - Metzing - Nousseviller Saint-Nabor -
Tenteling - Théding Rue Principale à Diebling: 03 87 02 86 42
• Stiring-Wendel - Schoeneck
Rue du Centre à Stiring-Wendel : 03 87 85 16 07
Heures d’ouverture des mairies
Alsting : 03 87 99 15 20
Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 18h.
Behren-lès-Forbach : 03 87 87 67 51
Du lundi au vendredi de 8h à 12h et 13h à 17h ;
Permanence décès le samedi de 9h à 11h.
Bousbach : 03 87 84 51 00
Le lundi de 17h à 19h, le mardi de 8h30 à 11h, le jeudi de 8h30 à 11h et le
vendredi de 17h à 19h.
Cocheren : 03 87 29 77 33
Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 18h.
Diebling : 03 87 02 50 27
Du lundi au jeudi de 9h à 12h et 15h à 18h ;
vendredi de 9h à 12h et de 15h à 19h.
Etzling : 03 87 87 43 37
Du lundi au vendredi de 10h à 12h ;
les mardis et jeudis de 17h à 19h.
Farschviller : 03 87 29 82 85
Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 15h à 18h.
Folkling : 03 87 85 08 44
Du lundi au jeudi de 10h à 17h; le mardi de 10h à 12h et de 14h à 18h, le
mercredi de 8h à 12h; le vendredi de 8h à 13h.
Forbach : 03 87 84 30 00
Du lundi au jeudi de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 et le vendredi
de 8h à 12h et de 13h30 à 16h30.
Kerbach : 03 87 87 44 64
Le lundi de 9h à 11h et de 16h à 18h, les mardis,
jeudis et vendredis de 17h à 19h ; fermeture le mercredi.
Metzing : 03 87 02 43 10
Le lundi, mardi et jeudi de 9h à 11h et de 14h à 18h ;
le vendredi de 14h à 18h.
Morsbach : 03 87 85 30 56
Le lundi, mercredi et jeudi de 10h à 12h et de 13h à 17h ;
le vendredi de 10h à 12h et de 13h à 16h.
Nousseviller Saint-Nabor : 03 87 02 50 45
Le lundi, mardi, jeudi, vendredi de 8h à 12h;
le lundi, jeudi de 14h à 18h ; mardi et vendredi de 14h à 19h.
Oeting : 03 87 87 33 11
Le lundi de 9h à 12h et de 13h à 18h, les mardis et jeudis
de 8h à 12h, le mercredi et le vendredi de 8h à 12h
et de 13h à 18h.
Petite-Rosselle : 03 87 85 27 10
Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 13h15 à 17h.
Rosbruck : 03 87 04 67 02
Du lundi au jeudi de 8h à 12h et de 15h à 18h ;
le vendredi de 8h à 12h.
Schoeneck : 03 87 87 60 48
Du lundi au jeudi de 8h à 17h ; le vendredi de 8h à 16h.
Spicheren : 03 87 85 31 01
Du lundi au vendredi de 9h à 12h
et du lundi au jeudi de 13 h à 17 h.
Stiring-Wendel : 03 87 29 32 50
Du lundi au mardi de 8h à 12h et de 14h à 18h ;
du mercredi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 17h.
Tenteling : 03 87 02 51 80
Du lundi au vendredi de 10h à 12h et 14h à 18h ;
fermeture le mercredi après-midi.
Théding : 03 87 89 20 01
Du lundi au vendredi de 8h à 12h et de 14h à 18h.
Renseignements pratiques
ANPE 12, Place Robert-Schuman à Forbach : 03 87 29 33 00
ASSEDIC 1, Rue Jean-Monnet à Forbach : 03 87 87 65 18
Association Intermédiaire « Travailler dans le Bassin Houiller »
13, Rue de Marienau à Forbach : 03 87 84 21 20
Chambre de Commerce, d'Industrie et de Services de la Moselle
(Antenne Moselle Est)
9, Avenue Saint-Rémy à Forbach : 03 87 88 69 00
Centre de paiement de la Caisse primaire d’assurance maladie
65, Avenue Saint-Rémy : 03 87 29 81 00
Centre de transfusion sanguine
Rue Thérèse à Forbach : 03 87 87 39 35
Centre des congrès du Burghof
15, Rue du Parc à Forbach : 03 87 84 55 66
Centre des Impôts
1, Rue Félix-Barth à Forbach : 03 87 29 34 70
Forbus (agence commerciale)
39, Avenue Saint-Rémy à Forbach : 03 87 84 74 74
Le Républicain Lorrain
64, Rue Nationale à Forbach : 03 87 29 33 33
Médiathèque
Place Aristide-Briand à Forbach : 03 87 84 61 90
Office de tourisme de Forbach
174, Rue Nationale : 03 87 85 02 43
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Office de tourisme de Stiring-Wendel
Place de Wendel : 03 87 87 07 65
Pôle des Métiers de Forbach
1, Rue Camille-Weiss à Forbach : 03 87 87 66 70
Lycée Jean-Moulin - 7 Rue Maurice Barrès à Forbach :
03 87 84 66 60
Lycée Blaise-Pascal
Rue Paul Ney à Forbach : 03 87 29 31 50
Lycée de la Providence
2, Avenue du Général Passaga à Forbach : 03 87 85 45 23
Lycée d'Enseignement Professionnel Régional Hurlevent
Rue du Petit Bois à Behren-lès-Forbach : 03 87 85 84 75
Lycée Polyvalent Régional Condorcet
Rue de l’Etang à Schoeneck : 03 87 29 25 40
Sous-Préfecture de Forbach
11, Avenue du Gal Passaga : 03 87 84 60 60
Maison de Justice et du Droit
8, Avenue de l’Europe à Forbach : 03 87 88 66 66
Société Protectrice des Animaux (SPA)
Refuge du Creutzberg : 03 87 87 29 30
TV8 Moselle-Est
174 c, Rue Nationale à Forbach : 03 87 84 75 55
Université Populaire transfrontalière Forbach-Völklingen
Centre des congrès du Burghof : 03 87 84 59 67
Véolia Eau
ZI Carrefour de l’Europe : 03 87 88 09 98
EDF-GDF Accueil des particuliers
29, Rue de Marienau à Forbach : 0 810 57 57 57
(prix d’un appel local)
Agence pour l’Expansion de la Moselle-Est (AGEME)
2, Rue de Metz à Freyming-Merlebach : 03 87 81 77 07
Cap’Entreprendre
12, Place Robert Schuman à Forbach : 03 87 92 73 44
Cinéma Le Paris Avenue St Rémy à Forbach : 03 87 87 52 52 ;
08 92 68 01 25 (films à l’affiche ; 0,34 €/mn)
Centre d’Animation Culturelle de Forbach
Avenue St-Rémy à Forbach : 03 87 29 30 50
Le Carreau, Scène Nationale
Avenue St-Rémy à Forbach : 03 87 84 64 30
La Poste 57, Avenue St-Rémy à Forbach : 03 87 29 37 10
SNCF (infos voyageurs) : 36 35 (0,34 €/mn)
Structures d’enseignement et de
formation supérieure
IUT de Moselle-Est Département Science et Génie des Matériaux
Université Paul-Verlaine de Metz
Rue Camille-Weiss à Forbach : 03 87 13 07 67
IUT Génie Mécanique et Productique
Université Paul-Verlaine de Metz
Rue Camille-Weiss : 03 87 84 63 06
Pôles de compétence
• Alphéa hydrogène
Parc d’Activités Forbach-Ouest : 03 87 84 76 50
• Centre Lorrain des Technologies de la Santé (CLTS)
Avenue Saint-Rémy à Forbach : 03 87 87 23 99
• Centre de pyrolyse de Marienau (CPM)
Parc d’Activités Forbach-Ouest : 03 87 84 90 01
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