Editorial

Travaux concernant les bâtiments communaux
- réfection des façades arrière de l’école élémentaire et du sol d’une salle de classe
- réfection de la cour de l’école maternelle
- création d’un WC pour handicapés à la Salle des Fêtes communale
- création d’un accès pour handicapés aux bureaux de la Mairie et modification des toilettes
- installation d’une paroi de verre pour former un sas dans le hall de la Mairie
Le « trou » entre le 144 et le 148 rue Burrus
En octobre 2003, une maison de la rue Burrus était
détruite par une explosion. Il y eut essentiellement à
déplorer de gros dégâts matériels. Les gravats ont été
évacués, le pignon de la maison voisine consolidée
par des troncs prenant appui sur le sol de la cave
et la cave de la maison détruite s’est retrouvée à
ciel ouvert. Des barrières de chantier empêchent
les passants de tomber dans le trou ; ces mêmes
barrières obstruent le trottoir, très étroit à cet endroit.
Les piétons sont priés de prendre le trottoir d’en
face. Certains longent malgré tout les barrières en
marchant sur la chaussée, au risque de se faire
écharper par une voiture.
La Commune a multiplié les démarches pour
assurer la sécurité des piétons et pour trouver une
solution à cette verrue paysagère. Ont été sollicités
les propriétaires du chaînage d’angle et du pignon
Ouest ainsi que l’assureur GROUPAMA qui se trouve
être celui de la Commune et celui de la propriétaire
de l’emprise de la maison disparue.
Une double procédure de péril a été engagée par le
Maire ; la 1 ère a abouti, concernant l’angle de la maison
en amont du trou ; mais pas la seconde concernant
le pignon soutenu par des troncs d’arbres. L’expert a
conclu en la solidité de ces étais. Donc la Commune
ne peut se substituer à l’ensemble des propriétaires
pour faire à leur place les travaux qui redonneraient
au quartier sa sécurité et un aspect satisfaisant.
La balle est dans le camp de GROUPAMA qui a
mis en demeure la propriétaire de remblayer le trou.
Le Code des assurances précise que « l’indemnité
versée, suite à un sinistre ayant atteint un immeuble,
doit être utilisée à la remise en état de l’immeuble ou
de son terrain d’assiette d’une manière compatible
avec son environnement. »
A défaut de régler la gêne esthétique (les troncs
resteraient en place), la sécurité sur le trottoir serait
à nouveau assurée.
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