RAC-Q0217

anchlines or close wayside stations when there was
no longer any need for them without having to go to the
government first.”
“When I joined the RAC in 1998, we were still in
Montreal, and it was a very small outfit,” says Mike
Lowenger, who recently retired following a 40-plus-year
career in the railway industry, including close 20 years
with RAC. “When Paul Tellier was the president of CN,
he decided he wanted the RAC to play more of a role
in lobbying and economic research, so he directed the
organization to move their operations to Ottawa in 2000,
and we absorbed several CN and CP people who were
in Ottawa.”
When the association moved to Ottawa, its role
expanded beyond advocacy. “In 1999, we created a new
group within the RAC, the Dangerous Goods Team, which
has become a very important team,” says Lowenger.
“They have been very helpful, not only to our smaller
members who don’t have that kind of expertise, but also to
communities. They are one of the most impactful creations
within the RAC. We still have some of the original team;
that’s something I’m very proud of.”
The past century has seen enormous change in the
railway industry, says Cheasley.
“Through it all, the RAC has worked with both railways
and governments to adapt to the many changes brought to
Canada’s railways. I expect it will continue this important
role well into the future.” ■
Avec l’essor du camionnage et la baisse du nombre de
voyageurs, les entreprises avaient besoin de pouvoir
abandonner des lignes secondaires et fermer les
gares inutilisées sans devoir d’abord obtenir l’aval du
gouvernement. »
« À mon arrivée en 1998, l’ACFC était encore à
Montréal et c’était une très petite association, se souvient
Mike Lowenger, jeune retraité au terme de plus de
40 ans dans le chemin de fer, dont près de 20 ans à
l’ACFC. Alors qu’il était président du CN, Paul Tellier a
décidé que l’association devait faire plus de lobbyisme
et de recherche économique. Il l’a donc encouragé
à déménager à Ottawa en 2000. Nous avons alors
absorbé plusieurs personnes du CN et du CP qui vivaient
à Ottawa. »
Ce déménagement permet d’élargir le rôle de
l’ACFC au-delà de la représentation. « En 1999, précise
M. Lowenger, nous avons formé l’équipe des matières
dangereuses, qui est devenue très utile à nos membres de
petite taille, qui ne possèdent pas ce genre d’expertise,
mais aussi aux collectivités. Cette équipe est l’une
des créations les plus marquantes de l’ACFC. Certains
membres y sont depuis le début. J’en suis très fier. »
Le secteur ferroviaire a changé énormément en un
siècle, souligne M. Cheasley, « et l’ACFC a œuvré auprès
des chemins de fer et des gouvernements pour que tous
s’adaptent au changement. Je m’attends à ce qu’elle
continue à assumer ce rôle pendant longtemps. » ■
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