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MERCURES D'OR - CCI Nice Côte d'Azur

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Dossier<br />

communautés<br />

thématiques.<br />

Conçu pour favoriser<br />

le travail collaboratif,<br />

ce réseau<br />

des réseaux propose<br />

à ses membres<br />

un annuaire,<br />

de la documentation,<br />

un espace<br />

Forum pour<br />

échanger, un espace Opportunités d'affaires<br />

pour publier des offres ou des demandes de<br />

produits et de services, rechercher des partenariats…<br />

Bref, tous les outils susceptibles<br />

d’accroître la performance et la connaissance<br />

des utilisateurs. Actuellement, Ecobiz<br />

rassemble 39 communautés, 5982 entreprises<br />

membres et 8637 adhérents. La plateforme<br />

s’enrichira bientôt avec l’arrivée de la<br />

chambre syndicale des bijoutiers et de 3 nouvelles<br />

communautés: e-commerce, Cinéma<br />

et Audiovisuel et Club Europe.<br />

Se développer à l’international<br />

La 8e édition de Comm’ Export commencera<br />

en septembre. Ce programme soutenu par la<br />

Région PACA est ouvert à dix entreprises<br />

qui souhaitent aborder les marchés internationaux<br />

pour la première fois. Ce programme,<br />

qui alterne formation collective et<br />

personnalisée, offre aux dirigeants des outils<br />

pour structurer leur organisation commerciale,<br />

découvrir et décrypter les réseaux,<br />

connaître les appuis existants aussi bien<br />

techniques, logistiques que financiers.<br />

Céder, transmettre son entreprise<br />

Au quotidien, la <strong>CCI</strong> s’investit auprès des cé-<br />

14 I Azur Entreprises I N° 86<br />

Valérie Mora-Jeroundi<br />

co-fondatrice de<br />

Vivadia (Antibes).<br />

« LE PROGRAMME COMM’EXPORT<br />

A ÉTÉ UN FORMIDABLE DÉCLENCHEUR »<br />

Vivadia est un e-commerçant spécialisé dans des produits adaptés<br />

aux seniors dans les domaines du loisir, du bien-être, de la<br />

sécurité, de la communication… L’innovation de cette TPE antiboise<br />

? Démultiplier son offre Produits à travers une galaxie de<br />

sites spécialisés thématiques ou par marque accessible via le portail<br />

vivadia.com. « Le programme Comm’Export a été un formidable<br />

déclencheur précise Valérie Mora-Jeroundi, co-fondatrice<br />

de l’entreprise. Entièrement développé en français, Vivadia.com<br />

ne réalise pour l’instant que 5 % de son chiffre d’affaires à l’export<br />

: Afrique francophone, Belgique, Suisse, etc. Mais plutôt que<br />

de nous orienter dans la commercialisation des produits via un<br />

site en anglais, les experts du programme nous ont fait prendre<br />

conscience du potentiel commercial que représente notre savoirfaire<br />

technique. Mieux, une réflexion conjointe nous a permis de<br />

définir les clients susceptibles d’être intéressés par un tel<br />

concept. Actuellement, nous formalisons cette offre qui ouvre de<br />

belles perspectives pour Vivadia. Personnellement nous n’avions<br />

pas conscience de la valeur de ce savoir-faire. Par ailleurs,<br />

Comm’Export nous a permis de connaître les missions économiques<br />

d’UBI France. Grâce à cela nous avons participé à deux<br />

salons majeurs aux USA sur le e-commerce et le marketing direct.<br />

dants et des repreneurs. Pour favoriser la<br />

mise en relation, elle développe une bourse<br />

de cession/reprise, consultable sur son site<br />

web et le site c-cible, ainsi que dans chaque<br />

numéro d’Azur Entreprises & Commerces<br />

(voir en page 37 de ce n°). Elle a créé un nouveau<br />

concept de rencontres face à face entre<br />

vendeurs et repreneurs potentiels, «Les soirées<br />

de la transmission » au cours desquelles<br />

interviennent également ses experts et des<br />

professionnels (avocat, expert-comptable). ■<br />

ACTIVITÉS NOUVELLES<br />

ET NOUVELLES COMPÉTENCES<br />

Pour une TPE ou un commerce recruter n’est pas<br />

chose facile. Le droit à l’erreur n’existe pas. Un salarié<br />

de plus dans une entreprise qui en compte<br />

moins de 10, parfois moins de 5, est un pari sur<br />

l’avenir. Aujourd’hui, il existe des solutions spécifiquement<br />

adaptées aux petites structures. Encore<br />

faut-il les connaître. Parmi elles, Activités Nouvelles<br />

et Nouvelles Compétences (ANNC). Ce dispositif<br />

financé par le CNAM (Conservatoire<br />

National des Arts et Métiers) et le Conseil Régional<br />

Provence Alpes <strong>Côte</strong> d’Azur (PACA), permet de recruter<br />

un demandeur d’emploi pendant 6 mois<br />

pour mettre en place un nouveau projet ou pour<br />

occuper une nouvelle fonction à un coût net de 5<br />

500 euros pour l’entreprise. Sur la <strong>Côte</strong> d’Azur,<br />

c’est la <strong>CCI</strong> qui porte ce programme. Le dispositif<br />

concerne toute société et tout emploi sans restriction.<br />

Au terme du contrat, il n’y a pas d’obligation<br />

d’embauche mais l’ANNC se traduit dans 80 %<br />

des cas par une pérennisation du poste. L’ANNC<br />

permet également aux personnes embauchées, de<br />

bénéficier d’une enveloppe formation de 1500<br />

Infos, contacts et adresse<br />

de la Maison des entreprises<br />

la plus proche:<br />

appelez le 0 800 422 222<br />

ou visitez le site www.cote-azur.cci.fr<br />

« SANS LA SOLUTION<br />

CONSEILLÉE PAR LA <strong>CCI</strong>,<br />

JE N’AURAI PAS PU<br />

RECRUTER...»<br />

Le constat est de Marc Allouche, le fondateur<br />

de L.E.D. Engineering, une TPE du<br />

Cannet spécialisée dans la collecte et le<br />

traitement des données vocales médicales.<br />

« Nous développons une technologie<br />

très pointue. Dans une TPE comme la<br />

mienne, une personne doit savoir tout<br />

faire: gestion, commercial, administratif...<br />

Ce dispositif est idéal car il concilie le<br />

coût, la souplesse et offre aux embauchés<br />

une enveloppe de formation. Grâce à ce<br />

dispositif j’ai pu recruter un technicien<br />

pour le suivi de clientèle que j’ai formé.<br />

Lui-même a complété sa formation par<br />

une approche à la gestion et à la direction<br />

d’entreprise. Au terme du contrat<br />

il a été embauché en CDI ». Séduite,<br />

la TPE a une nouvelle fois fait appel à ce<br />

dispositif (une entreprise ne peut bénéficier<br />

que d’un ANNC par an) pour recruter<br />

un développeur. Aujourd’hui, elle compte<br />

4 salariés.

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