Pompe à chaleur géothermique sur aquifère - Géothermie ...
Pompe à chaleur géothermique sur aquifère - Géothermie ...
Pompe à chaleur géothermique sur aquifère - Géothermie ...
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
68<br />
installations de <strong>sur</strong>face<br />
- Études, ingénierie, as<strong>sur</strong>ances.<br />
- Génie civil réseau.<br />
- Canalisations (longueur, diamètres, coût par ml).<br />
- Modification ou création des sous-stations.<br />
- Création ou adaptation de chaufferies d’appoint-secours.<br />
- Télégestion.<br />
Coûts d’exploitation<br />
- Électricité de pompage (production + réinjection), circulation <strong>sur</strong>face.<br />
- Appoint.<br />
- Contrôles périodiques et suivi du réservoir.<br />
- Gros entretien et renouvellement.<br />
Couverture du risque géologique<br />
Le captage des <strong>aquifère</strong>s comporte des risques géologiques. Ils pourront être couverts<br />
par la garantie Aquapac®.<br />
Financements de l’opération<br />
Aides : ADEME, Région, Autres.<br />
Il sera également pris en compte les ressources provenant des crédits carbone, des<br />
certificats d’économies d’énergies et du crédit d’impôt, dont pourraient éventuellement<br />
bénéficier certains utilisateurs.<br />
analyse économique - Bilans<br />
Il s’agit de comparer la solution existante, <strong>à</strong> base d’énergies fossiles, et une solution<br />
de conversion <strong>à</strong> la géothermie.<br />
L’amortissement des investissements sera calculé sans subvention et avec subventions.<br />
On calculera ainsi les indicateurs financiers suivants :<br />
- Prix de revient du MWh de <strong>chaleur</strong> produite.<br />
- Temps de retour (brut, net).<br />
- Taux de rentabilité interne.<br />
Annexe 3 : Capteurs <strong>géothermique</strong>s verticaux<br />
Les pompes <strong>à</strong> <strong>chaleur</strong> <strong>sur</strong> capteurs <strong>géothermique</strong>s verticaux (sondes verticales<br />
ou géosondes) appelées également parfois « sondes sèches » exploitent<br />
par échange la <strong>chaleur</strong> souterraine du sous-sol <strong>à</strong> des profondeurs n’excédant<br />
pas en général 100 m, pour des raisons d’autorisation administrative. Elles ne<br />
nécessitent pas la mobilisation d’un <strong>aquifère</strong> et sont donc applicables en tout<br />
lieu.<br />
L’échangeur enterré dans le sous-sol est constitué d’une ou de plusieurs sondes<br />
verticales composées de deux tubes en U en matériaux synthétiques placés<br />
dans le forage. Le contact entre le capteur et le sous-sol se fait par l’intermédiaire<br />
d’un mélange de ciment et de bentonite.<br />
Ces capteurs enterrés verticaux sont parcourus par un liquide antigel, mis en<br />
mouvement par une pompe de circulation.<br />
Le dimensionnement des capteurs s’effectue en mode chaud <strong>sur</strong> la base d’une<br />
puissance soutirée au sous-sol de l’ordre de 50 W/ml (puissance source froide<br />
de la pompe <strong>à</strong> <strong>chaleur</strong>).<br />
La capacité de prélèvement dépend néanmoins de la nature des roches traversées<br />
et une étude spécifique est nécessaire pour déterminer la longueur <strong>à</strong> forer.