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Dossier de presse novart 2007 - Bordeaux

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Visuel <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>2007</strong> disponible par email auprès <strong>de</strong> canalcom@club-internet.fr<br />

Photos <strong>de</strong>s spectacles présentés dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux disponibles auprès <strong>de</strong>s organisateurs du spectacle concerné et par email auprès <strong>de</strong> canalcom@club-internet.fr<br />

Un numéro pour se renseigner et louer à partir du 15 octobre :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture : 05 56 79 39 56 - du lundi au samedi <strong>de</strong> 11H à 19H<br />

Service <strong>de</strong> <strong>presse</strong> : Canal Com<br />

Contacts : Noëlle Arnault & Laetitia Gicquel<br />

05 56 79 70 53 05 56 79 26 33 - canalcom@club-internet.fr


2<br />

Communiqué – Septembre <strong>2007</strong><br />

Créations mondiales en ouverture et en clôture<br />

d’un mois dédié par Bor<strong>de</strong>aux à la création contemporaine au travers <strong>de</strong> 30 manifestations<br />

Du 1 er au 30 novembre prochain, la 6 ème édition <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux fédère à nouveau toutes les expressions contemporaines, la diversité<br />

<strong>de</strong>s acteurs culturels majeurs <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux et <strong>de</strong> sa communauté urbaine. Carrefour <strong>de</strong>s arts, <strong>de</strong> leur mixité et <strong>de</strong> celle <strong>de</strong>s publics, <strong>novart</strong><br />

bor<strong>de</strong>aux présente 77 spectacles, en 114 représentations, présentées dans 24 lieux, du Grand-Théâtre à la base-sous-marine, mais aussi<br />

<strong>de</strong>s expositions et <strong>de</strong>s films. Avec notamment :<br />

« Zatoïchi » : une création mondiale en ouverture<br />

Répondant à l’invitation <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, Carlotta Ikeda, chorégraphe japonaise emblématique <strong>de</strong> la danse Butô, créera - sur une musique originale <strong>de</strong><br />

Christian Lauba - un ballet inspiré d’un conte <strong>de</strong> Kan Shimosawa, avec Charles Ju<strong>de</strong> et les danseurs du Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux. Alliant intensité,<br />

rigueur et poésie, jetant un nouveau pont entre Extrême-Orient et Occi<strong>de</strong>nt, cette création se présente d’ores et déjà comme un événement <strong>de</strong> la rentrée chorégraphique<br />

française (1, 2, 4, 5 et 6 novembre).<br />

BJF : le festival Jazz <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux<br />

Inspirations et cultures croisées cohabitent également au sein <strong>de</strong> la programmation du Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival conçue par Philippe Méziat. Accueillant <strong>de</strong>s artistes issus <strong>de</strong><br />

dix pays, elle intègre quelques fidélités, quelques écarts et quelques coups <strong>de</strong> cœur. Ainsi retrouvera-t-on entre autres : Sylvie Courvoisier, Mark Feldman, Bill<br />

Carrothers, avant <strong>de</strong> découvrir à Bor<strong>de</strong>aux Lucia Recio, David Linx ou Pedro Iturral<strong>de</strong> -77 ans ! …multiplicité <strong>de</strong> scènes (Halle <strong>de</strong>s Chartrons - Carré <strong>de</strong>s Jalles - Le<br />

Molière, Scène d’Aquitaine - Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux) et ren<strong>de</strong>z-vous exceptionnels avec également <strong>de</strong>s musiciens aussi repérés que Richard Galliano, Gary Burton,<br />

Omar Sosa ou Louis Sclavis (1 au 10 novembre).<br />

la gran<strong>de</strong> Traversée <strong>de</strong> Erna Omarsdöttir<br />

Du 11 au 17 novembre reviendra le temps <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées confiées chaque année à une ou un chorégraphe au parcours artistique contemporain décloisonné.<br />

En <strong>2007</strong>, cette « carte blanche » est donnée à l’artiste islandaise Erna Omarsdöttir. Cette jeune artiste qui a d’abord été interprète pour développer ensuite <strong>de</strong>s projets avec<br />

Sidi Larbi Cherkaoui, Jan Fabre, Björk et récemment Placébo, fera découvrir l’ensemble <strong>de</strong> ses chorégraphies et ses nombreux invités. Ce nouveau parcours organisé<br />

autour <strong>de</strong> spectacles, rencontres, concerts, traversera Bor<strong>de</strong>aux, Gradignan, Artigues et Saint Médard-en-Jalles.


le CAPC surfe avec <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux<br />

Nouveau partenaire <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, le CAPC musée d’art contemporain <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux a souhaité intégrer à cette sixième édition « Il Everybody had an Ocean –<br />

Brian Wilson, une exposition » qu’il conçoit autour <strong>de</strong> la fascination qu’a exercée sur plusieurs générations d’artistes, Brian Wilson, le mythique compositeur <strong>de</strong>s Beach<br />

Boys, musicien prolifique et novateur mélangeant le rock’n’roll, le jazz, la musique classique, le folk et même la musique concrète qualifiée alors « d’avant-gar<strong>de</strong> ». Cette<br />

exposition sera inaugurée à l’Entrepôt Lainé le 16 novembre et sera accompagnée d’une programmation musicale et filmique autour <strong>de</strong>s Beach Boys et <strong>de</strong> la culture surf.<br />

le TnBA, entre théâtre <strong>de</strong> résistance et arts circassiens<br />

A partir du 18 novembre, le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine, en connexion avec le Festival d’Automne à Paris proposera une sélection <strong>de</strong> spectacles du<br />

mon<strong>de</strong> arabe et du Moyen-Orient (Iran, Liban, Tunisie), en accueillant Fadhel Jaïbi, Rabih Mroué, Amir Reza Koohestani représentants d’une scène « si proche et<br />

pourtant si lointaine ».<br />

Musiques <strong>de</strong> Nuit s’associera à cette initiative par une programmation musicale dédiée notamment au musicien <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-mon<strong>de</strong>s, le Libanais Rabih Abou Khalil<br />

alchimiste singulier <strong>de</strong>s multiples traditions musicales du mon<strong>de</strong> arabe, les musiques savantes et populaires d’occi<strong>de</strong>nt, le jazz et la musique improvisée.<br />

La semaine suivante, également présentés par le TnBA en salle ou sous chapiteau, <strong>de</strong>s spectacles <strong>de</strong> cirque, dans la diversité <strong>de</strong>s approches <strong>de</strong>s nouveaux<br />

saltimbanques, renoueront le lien tissé avec les arts circassiens par <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>de</strong>puis sa création.<br />

L’univers <strong>de</strong> Mauriac sur la scène <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />

C’est une autre création mondiale proposée par l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux qui <strong>de</strong>vrait marquer le final <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>2007</strong> : « Genitrix », sur un livret tiré du<br />

roman <strong>de</strong> François Mauriac et une musique du compositeur hongrois László Tihanyi qu’il dirigera lui-même et dans une mise en scène <strong>de</strong> Christine Dormoy dont<br />

l’engagement dans le théâtre musical contemporain est unanimement reconnu. (4 représentations au Grand-Théâtre, les 25,28, 30 novembre et le 1 er décembre).<br />

Ces six coups <strong>de</strong> projecteurs ne recouvrent pas l’ensemble <strong>de</strong>s spectacles et manifestations qui feront le prochain <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, porté par 24 acteurs culturels <strong>de</strong> la ville<br />

et <strong>de</strong> l’agglomération qui défen<strong>de</strong>nt la création d’aujourd’hui. Ils reflètent déjà la diversité et l’ambition d’une manifestation qui réunira plus <strong>de</strong> 480 artistes originaires <strong>de</strong> 24<br />

pays.<br />

Location :<br />

dans les salles <strong>de</strong> spectacles et au Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture à partir du 15 octobre<br />

3


SOMMAIRE CHRONOLOGIQUE<br />

jeudi 1 Ballet <strong>de</strong> l'O.N.B. "Zatoïchi" Danses Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 6<br />

jeudi 1 7ème Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival Musiques B.J.F. p. 7<br />

jeudi 1 Fractures du Mon<strong>de</strong> Arts Plastiques Base sous-marine p. 10<br />

jeudi 1 Humain trop humain Arts Plastiques Morue Noire p. 11<br />

mercredi 7 Le rock au cinéma Films Centre Jean Vigo p. 12<br />

jeudi 8 Les Inouies Musiques Proxima Centauri p. 13<br />

vendredi 9 Mark Tompkins "Animal Mâle" Danses Glob'Théâtre p. 14<br />

dimanche 11 7ème parcours : Erna Omarsdottir Danses… gran<strong>de</strong>s Traversées p. 15<br />

mardi 13 C.C.N. Lorraine "Hymnen' Danses novembre @ bor<strong>de</strong>aux p. 20<br />

mercredi 14 Théâtre Noirs Blancs Associés Musiques Mc2a p. 21<br />

mercredi 14 Cie Nathalie Pernette "Animale" Danses Glob' Théâtre et O.N.B p. 22<br />

vendredi 16 Cie Nathalie Pernette " Les Naufragées" Danses Glob' Théâtre p. 23<br />

samedi 17 Brian Wilson, une exposition / If Everybody had an Ocean Arts Plastiques capc musée d'art contemporain p. 24<br />

samedi 17 No BeachToday Musiques Ma Asso p. 26<br />

dimanche 18 Ensemble Sphota "Antigone Orchestre" Musiques Renaissance <strong>de</strong> l'Orgue p. 27<br />

mardi 20 Les Lyricalistes "Les Yeux Fermés" Musiques Mc2a p. 28<br />

mardi 20 GdRA "Singularité ordinaire" Théâtres Carré <strong>de</strong>s Jalles p. 29<br />

mardi 20 Si loin, si proche : Iran / Liban / Tunisie Théâtres T.n.B.A. p. 30<br />

mercredi 21 Rabih Abou Khalil Musiques Musiques <strong>de</strong> Nuit p. 32<br />

jeudi 22 Jeff Rian Musiques Frac Aquitaine p. 33<br />

jeudi 22 Fondation Pr. Swe<strong>de</strong>nborg "Tout le bonheur est à l'intérieur" Théâtres Glob' Théâtre p. 34<br />

vendredi 23 Eclats "Songs" Musiques Cuvier <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au p. 35<br />

samedi 24 Burn out - Post Crash Musiques Présence Capitale p. 36<br />

dimanche 25 "Genitrix" Opéra Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 37<br />

mardi 27 Les nouveaux saltimbanques Théâtres T.n.B.A. p. 38<br />

mardi 27 Teatro la Maria "Tercera Obra" Théâtres Carré <strong>de</strong>s Jalles p. 41<br />

mardi 27 Quatuor Sax Rashèr Musiques Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 42<br />

mercredi 28 Echelle 1 :1 "Purgatoire" Théâtres T.N.T. p. 43<br />

jeudi 29 Orchestre national Bor<strong>de</strong>aux-Aquitaine Musiques Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 44<br />

jeudi 29 "Terrain Vague" Musiques Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 45<br />

vendredi 30 Hiroaki Umeda Danses Carré <strong>de</strong>s Jalles p. 46<br />

Radio<strong>novart</strong> i-médias p. 47<br />

Frédéric Desmesure O.A.RA. p. 48<br />

4


SOMMAIRE THEMATIQUE<br />

Arts Plastiques Brian Wilson, une exposition / If Everybody had an Ocean capc musée d'art contemporain samedi 17 p. 24<br />

Fractures du Mon<strong>de</strong> Base sous-marine jeudi 1 p. 10<br />

Humain trop humain Morue Noire jeudi 1 p. 11<br />

Danses Ballet <strong>de</strong> l'O.N.B. "Zatoïchi" Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux jeudi 1 p. 6<br />

C.C.N. Lorraine "Hymnen' novembre @ bor<strong>de</strong>aux mardi 13 p. 20<br />

Cie Nathalie Pernette "Animale" Glob' Théâtre et O.N.B mercredi 14 p. 22<br />

Cie Nathalie Pernette "Les Naufragées" Glob' Théâtre vendredi 16 p. 23<br />

Hiroaki Umeda Carré <strong>de</strong>s Jalles vendredi 30 p. 46<br />

Mark Tompkins "Animal Mâle" Glob'Théâtre vendredi 9 p. 14<br />

7ème parcours : Erna Omarsdottir gran<strong>de</strong>s Traversées dimanche 11 p. 15<br />

Films Le rock au cinéma Centre Jean Vigo mercredi 7 p. 12<br />

Musiques 7ème Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival B.J.F. jeudi 1 p. 7<br />

Burn out - Post Crash Présence Capitale samedi 24 p. 36<br />

Ensemble Sphota "Antigone Orchestre" Renaissance <strong>de</strong> l'Orgue dimanche 18 p. 27<br />

Eclats "Songs" Cuvier <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au vendredi 23 p. 35<br />

Jeff Rian Frac Aquitaine jeudi 22 p. 33<br />

Les Inouies Proxima Centauri jeudi 8 p. 13<br />

Les Lyricalistes "Les Yeux Fermés" Mc2a mardi 20 p. 28<br />

No Beach Today Ma Asso samedi 17 p. 26<br />

Orchestre national Bor<strong>de</strong>aux-Aquitaine Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux jeudi 29 p. 44<br />

Quatuor Sax Rascher Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux mardi 27 p. 42<br />

Rabih Abou Khalil Musiques <strong>de</strong> Nuit mercredi 21 p. 32<br />

"Terrain Vague" Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux jeudi 29 p. 45<br />

Théâtre Noirs Blancs Associés Mc2a mercredi 14 p. 21<br />

Opéra "Genitrix" Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux dimanche 25 p. 37<br />

Théâtres Echelle 1 :1 "Purgatoire" T.N.T. mercredi 28 p. 43<br />

Fondation Pr. Swe<strong>de</strong>nborg "Tout le bonheur est à l'intérieur" Glob' Théâtre jeudi 22 p. 34<br />

GdRA "Singularité ordinaire" Carré <strong>de</strong>s Jalles mardi 20 p. 29<br />

Les nouveaux saltimbanques T.n.B.A. mardi 27 p. 38<br />

Si loin, si proche : Iran / Liban / Tunisie T.n.B.A. mardi 20 p. 30<br />

Teatro la Maria "Tercera Obra" Carré <strong>de</strong>s Jalles mardi 27 p. 41<br />

Radio<strong>novart</strong> i-médias p. 47<br />

Frédéric Desmesure O.A.RA. p. 48<br />

5


L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

Zatoïchi<br />

CONCEPTION ARTISTIQUE ET CHOREGRAPHIQUE Carlotta Ikeda<br />

MUSIQUE Christian Lauba<br />

DIRECTION MUSICALE Geoffrey Styles<br />

SCENOGRAPHIE ET IMAGES Stéphane Vérité<br />

PRODUCTION D’IMAGES Romain Sosso<br />

COSTUMES Patrick Téroitin<br />

LUMIERES Christian Dubet<br />

ASSISTANTES A LA CHOREGRAPHIE Olia Lydaki et Valérie Pujol<br />

Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux - Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />

Il faut fermer les yeux pour voir clairement. J’ai besoin <strong>de</strong> voir <strong>de</strong>dans. Les yeux ne sont pas là, posés sur le visage, ils sont creusés dans la<br />

tête, retourné dans le corps... C’est le <strong>de</strong>dans qui doit danser... Zatoïchi est aveugle, il sait cela.<br />

Carlotta Ikeda<br />

La saison du Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux s’ouvre, dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, avec une création très attendue : Zatoïchi.<br />

Le Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux a choisir <strong>de</strong> s’associer pour cette production à <strong>de</strong>ux artistes implantés à Bor<strong>de</strong>aux, Carlotta Ikeda<br />

pour la chorégraphie et Christian Lauba pour la création musicale.<br />

Charles Ju<strong>de</strong>, directeur du Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, ancien danseur Etoile <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Paris, incarne Zatoïchi,<br />

mo<strong>de</strong>ste aveugle, redoutable expert au maniement du sabre (sa canne épée) et justicier <strong>de</strong>s pauvres. A ses côtés, l’ensemble du Ballet <strong>de</strong><br />

l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux est sollicité pour cette création où la solitu<strong>de</strong> du héros se révèle dans la multiplicité <strong>de</strong>s mon<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s<br />

groupes traversés.<br />

Cette rencontre improbable entre le Ballet et la chorégraphe japonaise donne lieu aujourd’hui à beaucoup <strong>de</strong> curiosité et Charles Ju<strong>de</strong>, dans<br />

le rôle titre, s’est lui-même fortement imprégné du personnage <strong>de</strong> Zatoïchi.<br />

Habité d’un souffle irrésistible, l’univers chorégraphique et sonore <strong>de</strong> Zatoïchi explore les multiples résonances du conte <strong>de</strong> Kan<br />

Shimosawa. Marqué par le buto et habillé <strong>de</strong> la musique originale du compositeur Christian Lauba, le travail <strong>de</strong> Carlotta Ikeda est empreint<br />

d’une intense poésie. Le ballet Zatoïchi s’envisage comme une suite <strong>de</strong> climats, d’ambiances. A l’image <strong>de</strong>s estampes <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> Tenpo,<br />

les saisons marquent les temps <strong>de</strong> la danse. Pluie, vent, neige, soleil rythment et racontent les vies <strong>de</strong> Zatoïchi. La narration se cadre dans<br />

les métamorphoses picturales <strong>de</strong> la nature. Le ballet est sollicité pour cette création où la solitu<strong>de</strong> du héros se révèle dans la multiplicité <strong>de</strong>s<br />

mon<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s groupes traversés. Zatoïchi est seul. Le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s voyants n’est pas pour lui. Il est à côté, sans nom : le Zatoïchi, l’aveugle.<br />

Désormais immortel, peut-être universel. Zatoïchi rejoint les héros mythiques <strong>de</strong> nos enfances.<br />

6<br />

GRAND-THEATRE<br />

place <strong>de</strong> la Comédie<br />

jeudi 1 er novembre à 20 h.<br />

vendredi 2 novembre à 20 h.<br />

dimanche 4 novembre à 15 h.<br />

lundi 5 novembre à 20 h.<br />

mardi 6 novembre à 20 h.<br />

DANSES<br />

Création<br />

Nouvelle production Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux.<br />

Coproduction Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux – Opéra<br />

National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />

réalisée avec le concours d’Ariadone.<br />

Librement inspiré <strong>de</strong> « Zatoïchi », personnage tiré<br />

d’une nouvelle <strong>de</strong> Kan Shimozawa publiée aux<br />

éditions Chûô Bunko (Japon).<br />

tarifs : <strong>de</strong> 8 à 35 €<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Grand-Théâtre<br />

05 56 00 85 95<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Canal Com<br />

05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />

canalcom@club-internet.fr


Le Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival présente :<br />

7 ème édition<br />

Sophie Alour quartet<br />

Serge Moulinier trio<br />

Bax (Coyral/Jo<strong>de</strong>t)<br />

Le peintre à l'orange quartet<br />

Echoes of Spring<br />

Christophe Maroye solo<br />

Lotte Anker trio<br />

Speeq<br />

Pedro Iturral<strong>de</strong> quartet<br />

Paul Rogers solo<br />

Wormholes<br />

Vincent Courtois quartet<br />

David Linx & Die<strong>de</strong>rick Wissels quartet<br />

Paolo Angeli solo<br />

Bill Carrothers solo<br />

The Zanussi five<br />

Louis Sclavis quintet<br />

Richard Galliano Tangario / Richard<br />

Galliano & Gary Burton quartet<br />

Eliott Sharp solo<br />

Jacques Bonnafé & Louis Sclavis duo<br />

Jean-François Pauvros & Hélène<br />

Breschand<br />

Trio Mephista<br />

Ellery Eskelin trio<br />

Grzegorz Karnas quintet / Omar Sosa<br />

trio<br />

Le Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival propose cette année 26 concerts, dans une édition centrée sur <strong>de</strong>s artistes au plus vif <strong>de</strong> leur pratique,<br />

<strong>de</strong> leur art, sans négliger pour autant l’apport essentiel <strong>de</strong> musiciens plus connus susceptibles <strong>de</strong> mobiliser un large public. Ainsi, <strong>de</strong><br />

la place du marché <strong>de</strong>s Chartrons qui accueille le festival <strong>de</strong>puis sa naissance en 2001, au Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux qui <strong>de</strong>vient<br />

un lieu fréquenté par <strong>de</strong>s publics variés, en passant par le Molière Scène d’Aquitaine, les lieux nouveaux, ainsi que tous les concerts<br />

en proche ou lointaine banlieue, ce sont plus <strong>de</strong> vingt occasions <strong>de</strong> jazz et <strong>de</strong> musiques improvisées que le « Bor<strong>de</strong>aux Jazz<br />

Festival » proposera du 31 octobre au 10 novembre.<br />

7<br />

MUSIQUES / Bjf7<br />

du mercredi 31 octobre<br />

au samedi 10 novembre<br />

tarif : 5 € par concert, sauf mentions<br />

particulières (concerts du 4 à 21 h.30,<br />

concerts du Casino Barrière <strong>de</strong><br />

Bor<strong>de</strong>aux, du Carré <strong>de</strong>s Jalles et <strong>de</strong><br />

l’Atelier <strong>de</strong>s Marches) entrée libre au<br />

Molière, scène d’Aquitaine<br />

Renseignements du public :<br />

05 56 81 95 88<br />

Réservations :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Philippe Méziat<br />

05 56 81 95 88<br />

06 85 21 19 25<br />

www.bor<strong>de</strong>auxjazzfestival.com


Fidélités et coups <strong>de</strong> cœurs<br />

Cette année, dans le registre <strong>de</strong>s coups <strong>de</strong> coeur, le BJF a choisi d’honorer un saxophoniste et compositeur espagnol, Pedro Iturral<strong>de</strong>, âgé<br />

<strong>de</strong> 77 ans. Créateur en 1965/66 <strong>de</strong> l’idée <strong>de</strong> « jazz-flamenco », aux côtés d’un Paco <strong>de</strong> Lucia <strong>de</strong> 17 ans, Pedro Iturral<strong>de</strong> est, avec Tete<br />

Montoliu - hélas décédé - le seul musicien <strong>de</strong> jazz <strong>de</strong> premier plan que la péninsule ibérique ait compté. Une rencontre est prévue à l’Institut<br />

Cervantes, le len<strong>de</strong>main du concert.<br />

Pour les fidélités, commençons par Sylvie Courvoisier, qui est du festival chaque année <strong>de</strong>puis trois ans. Cette pianiste suisse installée à<br />

New York voit sa réputation grandir chaque jour, et le BJF l’accuillera en <strong>2007</strong> avec ses amies et compagnes musicales Susie Ibarra<br />

(batterie) et Ikue Mori (Electronics). C’est dans le même esprit qu’il a <strong>de</strong>mandé à Ellery Eskelin <strong>de</strong> faire entendre, dans un nouveau lieu du<br />

festival (l’Atelier <strong>de</strong>s Marches), l’état actuel <strong>de</strong> sa musique en trio, avec Andrea Parkins (acc, sampler) et l’extraordinaire Jim Black<br />

(batterie). Tous ces musiciens occupent une belle place sur la scène du « lower east si<strong>de</strong> », à Manhattan. Ellery Eskelin dirige ce trio <strong>de</strong>puis<br />

plus <strong>de</strong> quinze ans, c’est un rare exemple <strong>de</strong> formation au long cours, dont on sait qu’elles seules permettent une véritable progression<br />

musicale.<br />

Musiciens exerçants dans la région, Serge Moulinier, Alain Coyral, Christophe Jo<strong>de</strong>t, Jean-Yves Moka seront <strong>de</strong> la fête aux Chartrons,<br />

le premier en trio (et quel trio puisqu’il vient d’être désigné pour représenter la région Aquitaine au concours « Rezzo » du festival <strong>de</strong><br />

Vienne !), le second en duo dans une toute nouvelle formule. Fidélité encore, à un principe cette fois, qui est <strong>de</strong> proposer un concert à<br />

l’artiste qui participe à une vaste tournée en Aquitaine et au nord <strong>de</strong> l’Espagne à l’initiative <strong>de</strong> l’association « Einstein on the Beach ». La<br />

chanteuse Lucia Recio vient au BJF dans le cadre d’un projet très en vue en France, « Wormholes », aux côtés <strong>de</strong> Didier Petit<br />

(violoncelle), Edward Perraud (batterie) et Camel Zekri (guitare), <strong>de</strong>s musiciens déjà reçus plusieurs fois <strong>de</strong>puis 2001. Quant au concert<br />

« Jazz Migration », il donnera à un landais d’origine (Brice Martin, saxophoniste mais aussi bassoniste) l’occasion <strong>de</strong> faire découvrir ce qu’il<br />

entend par « Peintre à l’Orange ».<br />

Dans le même esprit esprit <strong>de</strong> constance - qui conduit à Louis Sclavis en passant par tous ceux qu’il contribue à faire connaître- , Hasse<br />

Poulsen (guitare) a constitué avec Luc Ex (guitare basse), Phil Minton (voix) et Marc San<strong>de</strong>rs (batterie) un étonnant groupe appelé<br />

Speeq. Une musique engagée, vibrante, aux limites du jazz et d’un « punk-rock » éclaté, une sorte <strong>de</strong> déclinaison actuelle <strong>de</strong>s mythiques<br />

« Four Walls », aujourd’hui dissous.<br />

De la veine « anglaise » à la Norvège<br />

Toujours dans cette veine « anglaise », le quartet <strong>de</strong> Vincent Courtois (violoncelle), sans doute le « coup <strong>de</strong> cœur » le plus manifeste <strong>de</strong><br />

l’année, avec la présence magique <strong>de</strong> manifeste <strong>de</strong> l’année, avec la présence magique <strong>de</strong> Jeanne Ad<strong>de</strong>d (voix et violoncelle), <strong>de</strong> Marc<br />

Baron aux saxophones et <strong>de</strong> François Merville à la batterie. Poèmes <strong>de</strong> Cummings, chants d’amour, longues plages improvisées, encore<br />

un groupe à découvrir, et qui montre à quel point la scène actuelle est capable <strong>de</strong> vivacité et d’invention.<br />

Quelques-uns <strong>de</strong> ces musiciens seront à retrouver dans le nouveau projet <strong>de</strong> Louis Sclavis (clarinettes, saxophones) « L’Imparfait <strong>de</strong>s<br />

langues », qui viendra conclure en beauté les quatre jours intenses dans la halle du marché <strong>de</strong>s Chartrons.<br />

Auparavant, Bill Carrothers se sera produit en solo et ne <strong>de</strong>vrait pas manquer d’interpréter à sa façon un certain nombre <strong>de</strong> chansons<br />

traditionnelles américaines ; Stephan Oliva et François Raulin seront à écouter dans leur adaptation truculente et poétique <strong>de</strong>s musiques<br />

<strong>de</strong> piano « stri<strong>de</strong> » (« Echoes Of Spring »), avec Christophe Monniot (saxes), Laurent Dehors (anches) et Vincent Boisseau<br />

(contrebasse).<br />

8<br />

MUSIQUES / Bjf7<br />

mercredi 31 octobre<br />

Salle La Glacière (Mérignac)<br />

20 h. 30 Sophie Alour quartet<br />

meudi 1er novembre<br />

Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />

15 h. 30 Serge Moulinier trio<br />

17 h. Bax(A. Coyral / C. Jo<strong>de</strong>t)<br />

18 h. 30 « Le Peintre à l’Orange » quartet <strong>de</strong><br />

Brice Martin<br />

21 h. Echoes of Spring<br />

vendredi 2 novembre<br />

Gœthe Institut<br />

16 h. 30 Christophe Maroye guitare<br />

Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />

18 h. 30 Lotte Anker trio<br />

21 h. Speeq<br />

22 h. 30 Pedro Iturral<strong>de</strong> quartet<br />

samedi 3 novembre<br />

Institut Cervantes<br />

11 h. Rencontre P . Iturral<strong>de</strong> : entrée libre<br />

Gœthe Institut<br />

16 h. 30 Paul Rogers, contrebasse solo<br />

Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />

18 h. 30 « Wormholes »<br />

21 h. Vincent Courtois quartet<br />

22 h. 30 David Linx & D. Wissels quartet<br />

dimanche 4 novembre<br />

Gœthe Institut<br />

15 h. 30 Paolo Angeli guitare solo<br />

Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />

17 h. Bill Carrothers piano solo<br />

18 h. 30 The Zanussi five<br />

21 h. 30 Louis Sclavis quintet<br />

(tarif particulier : 13 €)<br />

tarif unique : 5 € par concert, sauf celui du 4<br />

à 21 h. 30 : 13 €


Lotte Anker, saxophoniste danoise qui fut présente en 2004, sera <strong>de</strong> retour avec un trio constitué <strong>de</strong> musiciens américains, Craig Taborn<br />

au piano et Gérald Cleaver à la batterie.<br />

Enfin, la présence d’un étonnant groupe norvégien, Zanussi Five, est à noter. Ce sera l’un <strong>de</strong> leurs premiers concerts en France.<br />

Dans les nouveaux lieux<br />

Nouveau lieu, le Goethe Institut, qui accueillera <strong>de</strong>s concerts d’après-midi, avec Christophe Maroye (guitare), Paul Rogers (contrebasse),<br />

et le guitariste italien Paolo Angeli. Un concert sera également proposé au Bouscat : le saxophoniste Ellery Eskelin (USA) viendra faire<br />

entendre la musique actuelle d’un trio fabuleux, qu’il a formé il y a plus <strong>de</strong> quinze ans avec Andrea Parkins (accordéon, sampler) et Jim<br />

Black (batterie) et qui n’a cessé <strong>de</strong> donner le meilleur <strong>de</strong> ce qui se peut entendre aujourd’hui en matière <strong>de</strong> jazz vif. Un événement qui sera<br />

très couru, à n’en pas douter !<br />

Les apéros-concerts<br />

Nous avons eu l’idée d’une série « 1, 2, 3 Molière ! » pour les apéros <strong>de</strong> 12h30, en <strong>de</strong>uxième semaine, avec un solo, puis un duo, puis un<br />

trio. Elliott Sharp, guitariste new-yorkais <strong>de</strong> la scène « Lower East Si<strong>de</strong> » se présentera en solo autour d’un répertoire centré sur les<br />

compositions <strong>de</strong> Thelonious Monk. Le len<strong>de</strong>main, Jean-François Pauvros (guitare) et Hélène Breschand (harpe), auront leur concert au<br />

BJF. C’est le trio <strong>de</strong> Sylvie Courvoisier (Méphista) qui complètera cette série.<br />

David Linx sera l’une <strong>de</strong>s attractions du festival ! Doté d’une voix exceptionnelle, il est également traversé par une joie <strong>de</strong> vivre qu’il sait<br />

faire partager sans la moindre idée <strong>de</strong> racolage, avec un quartet qui fonctionne à la perfection, rodé <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années. Richard Galliano,<br />

Gary Burton et Omar Sosa seront quant à eux les ve<strong>de</strong>ttes <strong>de</strong>s concerts au Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux. Concernant Richard Galliano<br />

(accordéon), il présentera lors <strong>de</strong> la même soirée son projet « Tangaria », autour <strong>de</strong>s musiques d’Amérique du Sud, et le tout nouveau<br />

quartet qu’il vient <strong>de</strong> former avec le grand vibraphoniste américain Gary Burton !<br />

Omar Sosa (piano) viendra conclure la <strong>de</strong>uxième semaine par sa façon unique <strong>de</strong> faire se rejoindre la musique cubaine et le lyrisme<br />

transversal <strong>de</strong> la musique « du mon<strong>de</strong> ». En douceur, d’autant qu’il sera précédé, en première partie, d’un <strong>de</strong>s « coups <strong>de</strong> cœurs » <strong>de</strong> cette<br />

année, le chanteur polonais Grzegorz Karnas que le BJF est heureux <strong>de</strong> pouvoir faire entendre en « primeur » à Bor<strong>de</strong>aux.<br />

9<br />

MUSIQUES / Bjf7<br />

lundi 5 novembre<br />

Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />

20 h. Richard Galliano « Tangaria » ;<br />

Richard Galliano / Gary Burton quartet<br />

Tarif : 25 €<br />

mercredi 7 novembre<br />

Molière scène d’Aquitaine<br />

12 h. 30 Eliott Sharp solo (entrée libre)<br />

Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />

20 h. 30 Jacques Bonnafé / Louis Sclavis<br />

tarifs : 20, 15 et 11 €<br />

jeudi 8 novembre<br />

Molière Scène d’Aquitaine<br />

12 h. 30 Jean-François Pauvros / Hélène<br />

Breschand duo (entrée libre)<br />

vendredi 9 novembre<br />

Molière Scène d’Aquitaine<br />

12 h. 30 Trio Mephista (entrée libre)<br />

Atelier Les Marches <strong>de</strong> l’Eté<br />

21 h. Ellery Eskelin trio<br />

tarif : 10 €<br />

samedi 10 novembre<br />

Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />

20 h. Grzegorz Karnas quintet<br />

21 h. Omar Sosa trio<br />

tarif : 20 €<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Philippe Méziat<br />

05 56 81 95 88<br />

06 85 21 19 25<br />

www.bor<strong>de</strong>auxjazzfestival.com


La Base sous-marine présente :<br />

Fractures du Mon<strong>de</strong> Baptiste<br />

Exposition -installation<br />

« Fractures du mon<strong>de</strong> » sont les <strong>de</strong>ux mêmes temps d’un sablier tourné tantôt par le peintre-écrivain-navigateur Baptiste, qui<br />

surajoute à l’explicite ou/et à la confusion <strong>de</strong>s mythologies périméditerranéennes ; Laurent Laffargue, homme <strong>de</strong>s malices et<br />

sortilèges du théâtre, verse, cette fois, dans l’installation monumentale, avec un singulier ludion <strong>de</strong> sable qui recouvre<br />

allégoriquement la dépouille (?) d’un antique Titan.<br />

Catafalque et mausolée animé pour l’un, course labyrinthique dans un palais crypté pour l’autre, la Base sous-marine alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />

Bor<strong>de</strong>aux ne saurait dissocier ces <strong>de</strong>ux enveloppes d’un même balancier intemporel (immémorial ?).<br />

Les dieux et les Héros inscrivent leurs géographies partout, à tout instant.<br />

Baptiste est <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, ville d’arrivées et <strong>de</strong> départs, port et estuaire, et il est d’Aquitaine, pays d’eau, pays à part, qui a longtemps gardé dans<br />

sa mémoire <strong>de</strong>s traces archaïques (pistes <strong>de</strong> transhumance, écriture <strong>de</strong>s pierres), ainsi que <strong>de</strong>s traces <strong>de</strong> culture ancienne, gréco-romaine en<br />

l’occurrence, et cela malgré l’oubli croissant.<br />

La vraie littérature avait déserté Rome, (Virgile et Ovi<strong>de</strong> morts <strong>de</strong>puis longtemps), elle continuait dans les cités helléniques <strong>de</strong> Provence ou encore,<br />

d’une façon plus discrète, ici en Aquitaine où le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> la pierre parlait encore à l’océan et où l’esprit était ouvert au vent.<br />

Ausone à Théon : « Vous qui labourez les terres sableuses <strong>de</strong> l’Atlantique » et à Paul : « là où les eaux gonflées <strong>de</strong> la Garonne provoquent la<br />

mer » (…) Baptiste a tout cela enfoui (je veux dire non explicitement programmé) en lui. Cette mémoire, ce sens d’un espace <strong>de</strong> plus en plus<br />

oublié, dont il essaie <strong>de</strong> recueillir et <strong>de</strong> réunir les traces, ce besoin <strong>de</strong> partir et d’arriver (avec l’espoir latent et lancinant d’abor<strong>de</strong>r peut-être un jour<br />

au grand rivage).<br />

C’est pour cela que le travail dans son atelier bor<strong>de</strong>lais est entrecoupé si souvent (« Prolongé » faudrait-il dire plutôt) par <strong>de</strong>s voyages vers les<br />

mers et les terres gréco-latines ou vers les antilles. Il y a chez lui <strong>de</strong> l’archéologie, <strong>de</strong> l’archéographie liée à un élan exotique.<br />

Baptiste donc voyage, vers Rome, Naples, Syracuse, Athènes, vers les îles <strong>de</strong> la mer Egée et <strong>de</strong> la Caraïbe, et il essaie <strong>de</strong> voir, il prend <strong>de</strong>s notes<br />

(pensées fugaces), il relève <strong>de</strong>s traces (sur les murs, les trottoirs), il fait <strong>de</strong>s empreintes au crayons gras, il fouille la terre pas à pas. Cette terre fait<br />

signe, elle parle. Mais c’est un langage confus, brouillé, polysémique, fait, peut-être, <strong>de</strong> plusieurs langues à la fois, <strong>de</strong> grammaires diverses, le tout<br />

essayant <strong>de</strong> dire une réalité immense, énorme. Commence alors avec notes, traces, empreintes, esquisses accumulées, éparpillées sur la table ou<br />

sur le plancher, avec aussi quelques pigments, quelques couleurs <strong>de</strong> la terre, ramassés ici où là au cours <strong>de</strong>s pérégrinations et <strong>de</strong>s périples, le<br />

travail dans l’atelier (…)<br />

Kenneth White, Le Festin, revue d’art, 1991<br />

10<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

boulevard Alfred Daney<br />

ARTS PLASTIQUES<br />

du jeudi 1 er novembre<br />

au dimanche 16 décembre<br />

du mardi au dimanche <strong>de</strong> 14 h. à 18 h.<br />

Tarif : entrées libres<br />

Accès : Bus 9 – arrêt place Latule<br />

Tram ligne B puis bus 1, arrêt place Maran<br />

Renseignements du public :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Agnès Lherm<br />

05 56 11 11 50<br />

base-sous-marine@mairie-bor<strong>de</strong>aux.fr


La Morue Noire présente :<br />

Humain trop humain [2 ème biennale <strong>de</strong> sculpture]<br />

À l’instar <strong>de</strong> l’édition précé<strong>de</strong>nte, cette manifestation entend réconcilier prioritairement le fond et la forme, le créateur et le spectateur,<br />

le désir et la générosité…<br />

Intitulée « Humain, trop Humain » en référence à Nietzsche, cette exposition s’efforcera <strong>de</strong> ne rien exclure <strong>de</strong>s grands courants<br />

actuels <strong>de</strong> la sculpture et <strong>de</strong> faire en sorte qu’ils soient valorisés et compréhensibles, avec la volonté <strong>de</strong> restituer à la sculpture sa<br />

dimension et par la même son mythe et sa nécessité.<br />

Les artistes<br />

Laurent Belloni Anne Bonthuon Judith Favarel<br />

Lucas Braaspad Jean Fontaine Audrey Joussain<br />

Rémi Trotèreau Yoann Pennard Philippe Doberset<br />

Bun Than Huynh Pierre Yvan Didry Lili Oto<br />

Eric Guerin Eric Sanchez Judith Avenel<br />

Hubert Patrice Jardin/Fontan Sophie Thierry Michel Lecoeur<br />

Xavier Lafeysse Araguas Quinie Cyril Bui Xuan Hy<br />

Aguire Wong Robert Keramsi<br />

Performance <strong>de</strong> Audrey Joussain Mardi 20 novembre – 19H<br />

Dimanche 25 novembre – 17H<br />

Bât. 59 – Site <strong>de</strong>s Terres Neuves<br />

11<br />

ARTS PLASTIQUES<br />

BAT 20<br />

Site <strong>de</strong>s Terres Neuves - Bègles<br />

du jeudi 1 er<br />

au dimanche 25 novembre<br />

<strong>de</strong> 14 h. à 19 h.<br />

(<strong>de</strong> 9 h. à 12 h., réservé aux scolaires)<br />

tarif : entrées libres<br />

vernissage le vendredi 2 novembre<br />

à 18 h. 30<br />

Renseignements du public :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Isabelle Champagne<br />

06 80 32 94 87<br />

champagne.isabelle@free.fr<br />

lamoruenoire@wanadoo.fr


Le Centre Jean Vigo présente :<br />

« Le rock au cinéma : l’insolence et le génie »<br />

Du 7 au 27 novembre <strong>2007</strong>, par « Le Rock au cinéma : l’insolence et le génie », le Centre Jean Vigo propose un voyage autour du<br />

Rock and Roll au cinéma, <strong>de</strong> l’avènement d’un style musical dans les années 50 jusqu’aux <strong>de</strong>rniers avatars d’une véritable culture au<br />

début <strong>de</strong>s années 2000. Le Centre Jean Vigo propose en effet <strong>de</strong> raconter cette histoire sous la forme d’une programmation <strong>de</strong> films<br />

et <strong>de</strong> 9 soirées alliant la force <strong>de</strong>s images cinématographiques, la puissance <strong>de</strong> la parole et l’énergie <strong>de</strong> la musique ou <strong>de</strong> la<br />

performance live. Un parcours subjectif à travers l’histoire <strong>de</strong> ce qui s’est affirmée au fil <strong>de</strong>s décennies autant comme une sousculture<br />

qu’une contre-culture à part entière.<br />

Cette programmation se fait l’écho <strong>de</strong> l’exposition consacrée à Brian Wilson, le lea<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s Beach Boys, à partir du mois <strong>de</strong> novembre<br />

par le CAPC musée d’art contemporain <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux.<br />

Car, <strong>de</strong>puis 50 ans, le rock n'influence pas seulement la mo<strong>de</strong>, mais plus généralement les arts, du cinéma à la peinture en passant<br />

par la littérature. L'œuvre d'un Andy Warhol, pour ne citer que lui, s'appuie ainsi clairement sur un socle rock. Signe d’une culture<br />

« oblique » qui tend à triompher peu à peu <strong>de</strong> la culture « noble », la culture rock met en évi<strong>de</strong>nce les contrastes et les ambiguïtés qui<br />

traversent notre mon<strong>de</strong> mo<strong>de</strong>rne. Le cinéma s’en est bien évi<strong>de</strong>mment fait l’écho.<br />

Cette histoire sera en images, mais également en musique et en spectacle. Le Centre Jean Vigo propose en effet <strong>de</strong> raconter – avec<br />

la collaboration précieuse <strong>de</strong> son partenaire la Rockschool Barbey – cette histoire sous la forme <strong>de</strong> 9 soirées alliant la force <strong>de</strong>s<br />

images cinématographiques, la puissance <strong>de</strong> la parole et l’énergie <strong>de</strong> la musique ou <strong>de</strong> la performance live.<br />

Soirées Spectacles : Génération Punk - Mercredi 7 (artiste invité : Patrick EUDELINE - Film : MONA ET MOI) - Le socle <strong>de</strong> la<br />

contre-culture : les « Monstres » - Jeudi 8 (artiste invité : Pascal TOURAIN / Spectacle : « L’homme tatoué » - Film : FREAKS LA<br />

MONSTRUEUSE PARADE) - « Psychédélires » - Mardi 13 (artistes invités : Sharitah Manush - Films : SCORPIO RISING et EASY<br />

RIDER) - Les années 50 : les débuts d’une aventure – Mercredi 14 (artiste invité : CHARLAZ - Film : LA FUREUR DE VIVRE) -<br />

80’s New Wave – Mardi 20 (artiste invité : The Garçon - Film : 24 HOUR PARTY PEOPLE) - Et aujourd’hui, new generation ? -<br />

Mercredi 21 (artiste invité : Kid Bombardos - Film : MODS) - Les enfants du Garage – Jeudi 22 (artistes invités : The Magnetix -<br />

Film : VIOLENT DAYS) - Drôle <strong>de</strong> rock – Vendredi 23 (artiste invité : Thomas VDB / Spectacle : « En Rock et en Roll - Film :<br />

SPINAL TAP).<br />

Mais aussi d’autres films, du 7 au 27 novembre : ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS (D. PENNEBAKER –<br />

USA – 1973) – KURT AND COURTNEY (N. BROOMFIELD – USA/GB – 1998 – 1h39’) - PSYCHO BEACH PARTY (R. LEE KING –<br />

USA – 2000) - RADIO ON (C. PETIT – GB/RFA – 1979) - QUATRE GARÇONS DANS LE VENT (A hard day’s night – R. LESTER –<br />

GB – 1964) - LENINGRAD COWBOYS GO AMERICA (A. KAURISMAKI – Fin/Suè<strong>de</strong> – 1989) - MORE (B. SCHROEDER –<br />

Esp/Fr/Lux – 1969) - DIG (O. TIMONER – USA – 2004) - LAST DAYS (G. VAN SANT – USA – 2005).<br />

Une soirée spéciale à la Rockschool Barbey le 15 novembre : Le monstre Métal<br />

Artistes invités : Jenx (un groupe en partie composé d'anciens membres <strong>de</strong> Nihil et d'Oversoul)<br />

Edp+ : A minuit, « vernissage nocturne » <strong>de</strong>s créations monstrueuses <strong>de</strong> l'artiste plasticien EdP+, avec ambiance musicale (DJ<br />

dark/indus/goth/electro), avec petite piste <strong>de</strong> danse aménagée (« Petit Bal Monstre »). Film : MÉTAL, VOYAGE AU CŒUR DE LA BÊTE.<br />

12<br />

CINEMA JEAN VIGO<br />

6, rue Franklin<br />

du mercredi 7<br />

au mardi 27 novembre<br />

tarifs : 4,60 € / 3,80 € (réduit)<br />

FILMS<br />

L’intégralité du programme <strong>de</strong>s projections et<br />

rencontres est consultable sur www.jeanvigo.com<br />

Renseignements du public :<br />

Centre Jean Vigo<br />

05 56 44 35 17<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Marie-Agnès Bor<strong>de</strong>s<br />

Centre Jean Vigo<br />

05 56 44 35 17<br />

ma-bor<strong>de</strong>s@jeanvigo.com


Proxima Centauri présente :<br />

Les Inouïes [expressions sonores contemporaines]<br />

Proxima Centauri / Ars Nova / Scrime / La Muse en circuit / EriKm<br />

Direction Artistique Marie-Berna<strong>de</strong>tte Charrier, Christophe Havel et Benoist Baillergeau<br />

Scénographie Bruno Lahontaa - Création lumières Florent Blanchon<br />

Musiciens <strong>de</strong> Proxima Centauri (direction artistique Marie-Berna<strong>de</strong>tte Charrier) - Christophe Havel (électroacoustique) - Clément<br />

Fauconnet (percussion) - Hervé N’Kaoua (piano) - Marie-Berna<strong>de</strong>tte Charrier (saxophone) - Sylvain Millepied (flûte) - Géraldine Keller (voix) -<br />

Laurence Lacombe (violoncelle) - Didier Lacombe (alto)<br />

Musiciens d’Ars Nova (direction artistique Philippe Nahon) - Pierre-Simon Chevryl (flûte) - Anne Regnier (hautbois) - Véronique Fèvre &<br />

Éric Lamberger (clarinette) - Jacques Charles (saxophone) - Michel Maurer (piano) - Benoît Gau<strong>de</strong>lette & Isabelle Comelis (percussions) -<br />

Philippe Recard (basson) - Fabrice Bourgerie & Patrice Hic (trompette) - Tanguy Menez (contrebasse) - Isabelle Veyrier & Agnès Vesteman<br />

(violoncelle) - Marie Charvet & Bénédicte Trotereau (violon) - Alain Tresallet (alto)<br />

Proxima Centauri inaugure les premières journées Inouïes à Bor<strong>de</strong>aux, nouveau ren<strong>de</strong>z-vous dédié à la musique d’aujourd’hui et à<br />

ses multiples expressions. Ces quatre jours <strong>de</strong> musique, d’images et <strong>de</strong> rencontres réunissent <strong>de</strong>s artistes, interprètes, compositeurs,<br />

scénographes, mélomanes autour d’une figure emblématique <strong>de</strong> l’évolution <strong>de</strong>s musiques d’aujourd’hui : Luc Ferrari (1929 – 2005).<br />

Son œuvre abondante et multiforme s’étend <strong>de</strong> l’écriture instrumentale à la composition électroacoustique, en passant par les<br />

reportages, les textes, les films, les installations… Un florilège d’œuvres <strong>de</strong> Ferrari ainsi que <strong>de</strong>s créations dédiées seront<br />

interprétées par les ensembles Ars Nova et Proxima Centauri dans <strong>de</strong>s mises en scène allant <strong>de</strong> 1 à 17 musiciens. Les studios <strong>de</strong><br />

création La Muse en circuit (créés par Ferrari en 1982 à Paris) et le Scrime (Talence) dresseront le portrait du compositeur toujours à<br />

l’affût <strong>de</strong>s nouvelles technologies. Enfin, une performance d’eriKm aux platines complètera ce tableau d’un musicien éclectique.<br />

Jeudi 8 novembre – Journée # 1 Ouverture au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />

20h30 – Concert création # 1 instrumental et électroacoustique / 22h – Performance électro d’eriKm<br />

Vendredi 9 novembre – Journée # 2 au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />

20h – Table ron<strong>de</strong> animée par David Jisse, directeur <strong>de</strong> La muse en circuit / 20h30 – Concert création # 2 instrumental et électroacoustique<br />

21h30 – Concert <strong>de</strong> casques par La muse en circuit (électroacoustique) ou projection du documentaire Presque rien avec Luc Ferrari (2005)<br />

22h30 – Concert <strong>de</strong> casques par La muse en circuit (électroacoustique) ou projection du documentaire Presque rien avec Luc Ferrari (2005)<br />

Samedi 10 novembre – Journée # 3 au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />

11h à 17h – Installation sonore par Le Scrime / 11h – Projection <strong>de</strong> Ferrari face à la tautologie / 13h30 – Concert # 3 instrumental et électroacoustique<br />

Samedi 10 novembre - Soirée <strong>de</strong>s musiciens au TnBA avec le soutien <strong>de</strong> la Spedidam<br />

19h – Spectacle musical <strong>de</strong> Proxima Centauri (Ferrari, Aperghis, Rossé) / 20h – Concerts créations hommage par Proxima Centauri et Ars Nova (Eloy, Kassap,<br />

Markéas, Havel, Suzuki, Rivet, Moultaka) / 21h30 – Concert <strong>de</strong> l’ensemble Ars Nova La Symphonie Déchirée (Ferrari) dirigé par Philippe Nahon<br />

Dimanche 11 novembre - Journée # 4 au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />

12h – Table ron<strong>de</strong> animée par David Jisse et Philippe Nahon / 12h30 – Concert # 4 (instrumental et électroacoustique) / 13h30 – Clôture : Pique-nique et bal dansant<br />

sur la Patajaslotcha <strong>de</strong> Luc Ferrari<br />

13<br />

du jeudi 8<br />

au dimanche 11 novembre<br />

MUSIQUES<br />

T.N.T.<br />

MANUFACTURE DE CHAUSSURES<br />

226, boulevard Albert 1 er<br />

du jeudi 8<br />

au dimanche 11 novembre<br />

tarifs : 10 € la journée<br />

30 € forfait 4 jours<br />

Réservations : 05 56 85 82 81<br />

T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />

Square Jean-Vauthier<br />

samedi 10 novembre à 19 h.<br />

tarifs : 25 € / 20 € (réduit)<br />

Renseignements du public :<br />

05 57 95 71 52<br />

infos@proxima-centauri<br />

Pass Inouïes : 45 €<br />

Réservations :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Proxima Centauri<br />

05 57 95 71 52<br />

infos@proxima-centauri<br />

www.proximacentauri.fr


Le Glob Théâtre présente :<br />

Animal Mâle<br />

Compagnie IDA / Mark Tompkins<br />

Direction artistique Mark Tompkins<br />

Avec Mark Tompkins, Jean-Louis Ba<strong>de</strong>t, David Farine, Rodolphe Martin, Jules Beckman, Joris Camelin, Michaël<br />

Hallouin, Matthieu Perpoint<br />

Musique Chansons <strong>de</strong> Mark Lewis and the Standards composées par Nuno Rebelo et Mark Tompkins<br />

SCENOGRAPHIE ET COSTUMES Jean-Louis Ba<strong>de</strong>t COLLABORATION A LA MISE EN SCENE Frans Poelstra<br />

LUMIERE – REGIE GENERALE David Farine ENTRAINEUR LUTTE Marco <strong>de</strong> Paola<br />

Animal est une fable contemporaine sur les forces du bien et du mal, sur le faux mensonge et le vrai faux-semblant, le sacrifice, le<br />

renoncement du sens, l’accueil <strong>de</strong> l’innommable. Plonger, encore et encore, dans les perceptions, les sensations, là où tout frémit. Ne<br />

surtout pas s’attar<strong>de</strong>r, ni s’agripper, mais embrasser le passage, naviguer dans les systèmes, rendre visible la circulation, accoucher<br />

<strong>de</strong>s images complexes qui naissent et meurent, nous laissant malheureusement stupéfaits, peut-être gênés, sûrement troublés.<br />

Animal se déroule à l’intérieur d’un espace scénique assez froid, blanc ou argenté, saturé <strong>de</strong> lumière. Par contraste, les éléments<br />

« humains », les lutteurs et les situations, apparaissent avec leurs spécificités organiques et mettent en évi<strong>de</strong>nce la dualité entre ce<br />

cadre concret et leurs jeux. La dramaturgie du spectacle repose sur la rigueur toute protestante <strong>de</strong> l’arbitre et les pulsions instinctives<br />

et délirantes <strong>de</strong>s animaux, « humaines ». Le rôle ambigu <strong>de</strong> l’arbitre se heurte à la résistance <strong>de</strong>s corps <strong>de</strong>s lutteurs. Il s’établit alors<br />

un va-et-vient entre la morale du « dominant » qui asservit et la permanence <strong>de</strong> l’instinct <strong>de</strong> vie ou <strong>de</strong> survie. Le public, assis sur trois<br />

côtés <strong>de</strong> l’arène <strong>de</strong> combat, proche <strong>de</strong> l’action, assiste comme un jury à une séance d’autopsie, à la fois témoin, voyeur, engagé et<br />

amené à prendre parti.<br />

Mark Tompkins, directeur artistique, danseur, chorégraphe<br />

Danseur, chorégraphe et pédagogue américain, Mark Tompkins vit en France <strong>de</strong>puis 1973. Après une série <strong>de</strong> solos et spectacles collectifs, il fon<strong>de</strong><br />

en 1983 sa compagnie, I.D.A. Parallèlement à ses activités <strong>de</strong> directeur artistique <strong>de</strong> la Compagnie I.D.A., il mène une recherche sur l'improvisation<br />

et la composition instantanée. Lauréat du Concours <strong>de</strong> Bagnolet en 1984, il réalise une trilogie Trahisons-Men, Women, Humen, présentée dans son<br />

intégralité au Festival Montpellier-Danse en 1987. L'année suivante, il crée au Festival d'Avignon Nouvelles d'après le roman “IDA” <strong>de</strong> Gertru<strong>de</strong><br />

Stein. De 1990 à 1992, il produit La Plaque Tournante, comprenant la danse, la musique, la vidéo et la lumière, dans dix villes européennes. En<br />

1993, il crée Home (Le meilleur <strong>de</strong>s mon<strong>de</strong>s), en 1994, Channels, et en 1996, Gravity. Il crée et danse <strong>de</strong>s solos, réunis <strong>de</strong>puis 1998, sous le titre<br />

« Hommages » : La Valse <strong>de</strong> Vaslav (89), Witness (92), Un<strong>de</strong>r My Skin (96), Icons (98). En rési<strong>de</strong>nce à Strasbourg <strong>de</strong> 1998 à 2000, il crée La vie<br />

rêvée d'Aimé (99) et RemiXamor (00). Artiste associé au Théâtre <strong>de</strong> la Cité internationale à Paris <strong>de</strong> 2001 à 2004, il développe le projet <strong>de</strong><br />

recherche et <strong>de</strong> création En Chantier qui accompagne les travaux <strong>de</strong> réhabilitation <strong>de</strong>s nouvelles salles et crée Song and Dance en 2003. Animal<br />

Mâle est créé en 2005.<br />

14<br />

GLOB THEATRE<br />

69, rue Joséphine<br />

jeudi 8 novembre à 20 h.<br />

vendredi 9 novembre à 20 h.<br />

tarifs : 12 € / 8 € (réduit)<br />

DANSES<br />

Coproduction : compagnie IDA, Les Subsistances –<br />

Lyon, Théâtre Pôle Sud / Scène conventionnée,<br />

Strasbourg / Kaaitheater, Bruxelles /<br />

Kunstencentrum Vooruit, Gand – Soutiens : Centre<br />

Chorégraphique National <strong>de</strong> Franche-Comté à<br />

Belfort – Coréalisation du Théâtre <strong>de</strong> la Cité<br />

internationale, avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’ONDA et <strong>de</strong> la Ville<br />

<strong>de</strong> Paris.<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Glob théâtre<br />

Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />

05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />

Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />

05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Billetterie GLOB<br />

05 56 69 06 66<br />

contact@globtheatre.net<br />

www.globtheatre.net<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56


Les gran<strong>de</strong>s Traversées présentent :<br />

Le 7 ème parcours <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées Erna Ómarsdóttir<br />

Erna Ómarsdóttir, danseuse et chorégraphe née en 1972, a étudié la danse à l’Icelandic Balletschool, à la Rotterdamse<br />

Dansaka<strong>de</strong>mie et à PARTS, l’école d’Anne Teresa <strong>de</strong> Keersmaeker, à Bruxelles, dont elle sort diplômée en 1998. En 1996, elle crée<br />

à Reykjavik sa compagnie <strong>de</strong> danse-théâtre, Ekka. Dès 1999, elle travaille avec Jan Fabre dans plusieurs spectacles mémorables :<br />

The fin comes a little bit earlier this siècle, As long as the world needs a warrior soul, My movements are alone like streetdogs. Elle<br />

s’insère dans l’univers <strong>de</strong> Sidi Larbi Cherkaoui (Foi en 2003), du collectif bruxellois PONI (A bacterial tour et Soma Sema), <strong>de</strong> la<br />

plasticienne et vidéaste Gabriela Fridriksdóttir (Katharsis et Melankólia) et, ensemble, avec la chanteuse Björk (Where is the line et<br />

Versations Tetralogia en 2005).<br />

Elle emmène avec elle <strong>de</strong>s compagnons aux univers puissants et originaux : Salva Sanchis (Compagnie Rosas/Anne Teresa <strong>de</strong><br />

Keersmaeker), Arthur Nauzyciel, Anne Brochet et Alexandra Gilbert, Gisèle Vienne, Mette Ingvarsten, Die<strong>de</strong>rick Peeters,<br />

Hans Bryssinck et Danai Anesiadou, Kate Macintosh, Margrét Sara Gudjonsdóttir et Knut Berger, Arco Renz, les réalisateurs<br />

Gilles Delmas, Pierre Coulibeuf, Matthew Barney, Anaïs et Olivier Spiro, les musiciens <strong>de</strong> PONI, KTL, Tape Tum, Reykjavik !,<br />

et Ólöf Arnalds, les plasticiennes Gabriela Fridriksdóttir et Kristín Geirsdóttir…<br />

The talking tree, event Erna Ómarsdóttir – Lieven Dousselaere (Belgique)<br />

CHOREGRAPHIE, TEXTE ET INTERPRETATION Erna Ómarsdóttir – MUSIQUE Lieven Dousselaere (Guitare)<br />

The talking tree est l’arbre <strong>de</strong> vie, <strong>de</strong> prospérité… C’est une créature mi-humaine mi-arbre née en 2006, lors du 250 e anniversaire <strong>de</strong><br />

Mozart à Salzbourg. Elle s’est développée pendant la préparation du PONI Project 2 Soma Sema en une sorte <strong>de</strong> conteur : un arbre<br />

chantant et dansant d’étranges histoires <strong>de</strong> personnages issus du mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> Soma Sema et <strong>de</strong> PONI. The talking tree pense être un<br />

prophète omniscient, vieux <strong>de</strong> 3000 ans, avec <strong>de</strong>s pouvoirs alchimiques. Il est suivi par une mélodie – chacun étant l’esclave <strong>de</strong> l’autre<br />

mais ne pouvant exister sans l’autre – personnage <strong>de</strong> la <strong>de</strong>stinée, clown triste, corps saignant et showman. Ils ont mission <strong>de</strong><br />

parcourir la terre en racontant <strong>de</strong>s histoires, certaines ayant le pouvoir <strong>de</strong> changer le mon<strong>de</strong>.<br />

The mysteries of love Erna Ómarsdóttir – Jóhann Jóhannsson (Islan<strong>de</strong>)<br />

CONCEPTION Erna Ómarsdóttir, Jóhann Jóhannsson - CRÉATION ET INTERPRETATION Margrét Sara Gudjónsdóttir, Jóhann Jóhannsson,<br />

Erna Ómarsdóttir, Flosi Thorgeirsson et Vladimar Johannsson - LUMIÈRES Sylvain Rausa, – SON Pall Einarsson - ASSISTANTE A LA DRAMATURGIE<br />

Karen Maria Jonsdottir. Production et diffusion : Esther Welger-Barboza - Coproduction : Festival d’Avignon 2005 ; CCN <strong>de</strong> Franche-Comté, Belfort ; Théâtre<br />

Lantaren/Venster, Rotterdam ; Emilia Romagna Teatro Fondazione, Mo<strong>de</strong>na ; Rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> création : La Ferme du Buisson –Scène nationale <strong>de</strong> Marne-la-Vallée.<br />

The mysteries of love est la <strong>de</strong>uxième collaboration entre Erna Ómarsdóttir et Jóhann Jóhannsson après IBM – 1401, a user’s manual<br />

où étaient déjà bousculées les limites entre concert vocal et représentation chorégraphique. Le projet a été imaginé comme un<br />

ensemble <strong>de</strong> dix chansons suivant la même structure, en combinant musique, gestes, chant, mots et performance. Par une approche<br />

sociologique et anthropologique, avec humour et exubérance, les thèmes <strong>de</strong> l’adolescence sont explorés.<br />

15<br />

DANSES / gT7<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Éric Bernard<br />

06 75 59 06 20<br />

www.lesgran<strong>de</strong>straversees.com<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

boulevard Alfred Daney<br />

dimanche 11 novembre à 18 h.<br />

Réservations :<br />

Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />

05 57 93 18 93<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

LE CARRE DES JALLES<br />

place <strong>de</strong> la République<br />

Saint Médard-en-Jalles<br />

lundi 12 novembre à 20 h. 30<br />

Réservations :<br />

Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />

05 57 93 18 93<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56


Ófætt Damien Jalet (Belgique) - Erna Ómarsdóttir<br />

CONCEPTION ET CREATION Damien Jalet, Erna Ómarsdóttir, Gabriela Fridriksdottir et Raven - CHOREGRAPHIE ET INTERPRETATION Erna Ómarsdóttir<br />

et Damien Jalet - MUSIQUE ET SON Tape Tum (Lieven et Benjamin Dousselaere) – LUMIERES Ronan Cabon - ASSISTANTE A LA CHOREGRAPHIE<br />

Alexandra Gilbert. Production et diffusion : Esther Welger-Barboza - Coproduction : Théâtre national <strong>de</strong> Bretagne, Rennes; Tanzhaus nrw, Düsseldorf; SW&G/sasha<br />

waltz & guests, Berlin.<br />

Ófætt (Unborn), prononcer [éfèyt], est basé sur le concept d’élan vital du philosophe Bergson : la manière dont la vie s’inscrit dans la<br />

matière <strong>de</strong> façon imprévisible, déclinant ses possibilités d’évolution à l’infini. Erna Ómarsdóttir : « Damien et moi revenons à l’instinct,<br />

avec un lien très fort entre nous <strong>de</strong>ux. Comme une poétique d’un mon<strong>de</strong> antérieur qui aurait à voir avec la conception. Il est question<br />

<strong>de</strong> mutation, avec un bestiaire qui se prête à toutes ces métamorphoses. ». Une créature hybri<strong>de</strong> s’ébroue, Erna sur le dos <strong>de</strong><br />

Damien, visage caché, voix sour<strong>de</strong>. On ne démêle plus l’un <strong>de</strong> l’autre, masculin-féminin déjoué. Une plongée dans la matière qui nous<br />

constitue pour donner naissance à une géographie <strong>de</strong> nos zones troubles.<br />

IBM 1401, a user’s manual Erna Ómarsdóttir – Jóhann Jóhannsson (Islan<strong>de</strong>)<br />

CONCEPTION Erna Ómarsdóttir, Jóhann Jóhannsson - CHOREGRAPHIE ET DANSE PAR Erna Ómarsdóttir – MUSIQUE Jóhann Jóhannsson –<br />

ORCHESTRATION J.J. et Arnar Bjarnason – LUMIERES Sylvain Rausa - Interprété par Jóhann Jóhannsson et les cor<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l’Orchestre<br />

symphonique du Conservatoire <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux Jacques Thibaud, direction Jean-Luc Portelli,<br />

IBM-1401, a user’s manual, solo pour 40 cor<strong>de</strong>s et ordinateur. La musique est fondée sur un hymne islandais, Island Ogrum Skorid <strong>de</strong><br />

Sigvaldi Kaldalons, programmé par Johann Gunnarsson et Elias Davidsson sur un ordinateur IBM 1401 en 1971. Sur cette base,<br />

Johann Johannssonn a composé <strong>de</strong>s mélodies hypnotiques et mélancoliques pour orchestre à cor<strong>de</strong>s interprétées sur scène, en<br />

version intégrale et en création. La danse d’Erna Ómarsdóttir évoque la complexité <strong>de</strong>s rapports entre l’homme et la machine.<br />

Production et diffusion : Esther Welger-Barboza.<br />

We are all Marlene Dietrich FOR - Erna Ómarsdóttir – Emil Hrvatin (Slovénie)<br />

Icelandic Dance Company and Maska<br />

CONCEPTION ET CHORÉGRAPHIE Erna Ómarsdóttir, Emil Hrvatin – MUSIQUE PONI - MUSIQUE ADDITIONNELLE Laibach – COSTUMES Elena Fajt –<br />

LUMIÈRES Miran Sustersic - DIRECTEUR TECHNIQUE Benedikt Axelson – ASSISTANT Mare Bulc – SON Xavier van Wersch – VIDÉO Jure Novak, Mare<br />

Bulc, Emil Hrvatin<br />

DANSÉURS ET MUSICIENS Peter An<strong>de</strong>rson, Lieven Dousselaere, Alexandra Gilbert, Katrín Ingvadóttir, Gudmundur, Elías Knudsen, Erna<br />

Ómarsdóttir, Die<strong>de</strong>rick Peeters, Valgerdur Rúnarsdóttir, Frostu Runolfsson<br />

We are all Marlene Dietrich FOR explore les genres du théâtre aux armées, <strong>de</strong>s concerts, ballets, événements médiatiques ou<br />

talkshows aux genres plus intimes ou cachés. Le spectacle s’adresse aux soldats <strong>de</strong>s missions internationales pour la paix comme au<br />

grand public. C’est une invitation à reconsidérer la position <strong>de</strong>s artistes, organisateurs, soldats et spectateurs, non pas une critique <strong>de</strong><br />

la guerre par l’artiste mais comment l’artiste répond à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> divertissement <strong>de</strong>s soldats.<br />

Production : Maska Production, Ljubljana ; Icelandic Dance Company, Reykjavik avec l’ai<strong>de</strong> du Programme culturel 2000 <strong>de</strong> la Commission Européenne / C’est un<br />

projet Trans Dance Europe 2003-2006.<br />

16<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

boulevard Alfred Daney<br />

mardi 13 novembre à 23 h.<br />

Réservations :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

T.n.B.A., Gran<strong>de</strong> Salle<br />

square Jean-Vauthier<br />

DANSES / gT7<br />

jeudi 15 novembre à 20 h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE, GRANDE SCENE<br />

boulevard Alfred Daney<br />

dimanche 18 novembre à 20 h. 30


Les invités d’Erna Ómarsdóttir<br />

Still live Salva Sanchis (Espagne) Compagnie Rosas / Anne Teresa <strong>de</strong><br />

Keersmaeker<br />

Création française<br />

Production : Rosas & De Munt / La Monnaie - Coproduction : Mercat <strong>de</strong> les Flors, Barcelona ; Tanzhaus NRW, Düsseldorf ; Impuls Tanz, Wien.<br />

Entre imperceptible et sensations pénétrantes, la danse <strong>de</strong> Rosas<br />

Dead Meat Margrét Sara Gudjónsdóttir (Islan<strong>de</strong>) – Knut Berger (Allemagne)<br />

Création française<br />

« Le pouvoir et les mécanismes du pouvoir, la déstructuration <strong>de</strong>s expressions »<br />

L’image Samuel Beckett – Lecture chorégraphiée par Arthur Nauzyciel<br />

Création française<br />

Production : Compagnie 41751 / Arthur Nauzyciel.<br />

La poésie <strong>de</strong> Beckett en éclats <strong>de</strong> voix, chant et danse, sou la houlette <strong>de</strong> Nauzyciel<br />

Desh : India Salva Sanchis (Espagne) – Anne Teresa <strong>de</strong> Keersmaeker<br />

(Belgique)<br />

Production : Rosas, De Munt / La Monnaie, Bruxelles - Coproduction : Théâtre <strong>de</strong> la Ville, Paris : Opéra <strong>de</strong> Rouen-Haute Normandie<br />

Métissée par les ragas indiens et le jazz <strong>de</strong> Coltrane, la délicatesse <strong>de</strong> Sanchis<br />

Hair from the throat Kate Macintosh (Nouvelle-Zélan<strong>de</strong>)<br />

Production : Margarita Production - Coproduction : Parc <strong>de</strong> la Villette, Paris; Sophiensaele, Berlin – en association avec : Monty, nadine, Kaaitheater, Bruxelles –<br />

avec le soutien <strong>de</strong> Vlaamse overheid, het Brussels Hoofdste<strong>de</strong>lijk Gewest.<br />

Théâtre-performance : suivez l’homme-poisson <strong>de</strong> l’excentrique Kate Macintosh<br />

Kin<strong>de</strong>rtotenlie<strong>de</strong>r Gisèle Vienne (France)<br />

Production déléguée : DACM avec la collaboration du Quartz – Scène nationale <strong>de</strong> Brest. - Coproduction : Le Quartz scène nationale <strong>de</strong> Brest ; Les<br />

Subsistances <strong>2007</strong>, Lyon ;<br />

CCN Franche-Comté, Belfort ; CNDC, Angers.<br />

Des poupées aux Perchten <strong>de</strong> carnaval, corps et fantasmes selon Gisèle Vienne.<br />

17<br />

DANSES / gT7<br />

LE CUVIER / CDC D’AQUITAINE<br />

boulevard Fey<strong>de</strong>au<br />

Artigues-près-Bor<strong>de</strong>aux<br />

mardi 13 novembre à 19 h.<br />

LE CUVIER / CDC D’AQUITAINE<br />

boulevard Fey<strong>de</strong>au<br />

Artigues-près-Bor<strong>de</strong>aux<br />

mardi 13 novembre à 21 h.<br />

THEATRE DES QUATRE SAISONS<br />

parc <strong>de</strong> Mandavit<br />

Gradignan<br />

mercredi 14 novembre à 20 h. 45<br />

THEATRE DES QUATRE SAISONS<br />

parc <strong>de</strong> Mandavit<br />

Gradignan<br />

mercredi 14 novembre à 22 h.<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

vendredi 16 novembre à 19 h. 30<br />

public adulte<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

vendredi 16 novembre à 20 h. 30


Jonathan covering Jonathan Cap<strong>de</strong>vielle<br />

Son adolescence, elle l’a passée sur les dancefloors du Must, du Broadway, du Number One, du Garage, du Retro…<br />

Chuck Norris doesn’t sleep, he waits...<br />

Die<strong>de</strong>rick Peeters (Belgique) – Hans Bryssinck – Danai Anesiadou<br />

Création française<br />

Production : Margarita Production - Coproduction : Beursschouwburg, Netwerk vzw, TIME festival.<br />

Trois plasticiens s’emparent du langage cinema pour abor<strong>de</strong>r la danse contemporaine<br />

Project 2 : Soma Sema PONI (Belgique)<br />

Production : In Utero vzw - Production exécutive : Margarita Production - Coproduction : Kaaitheater, Bruxelles ; Sophiensale, Berlin ; Festival 100 <strong>de</strong>ssus<br />

<strong>de</strong>ssous, Centre Pompidou-Parc <strong>de</strong> la Villette, Paris ; Bruda, Kortrijk - Partenariat : Recyclart, Bruxelles ; Monty, Anvers ; WP Zimmer, Anvers ; les Halles <strong>de</strong>s<br />

Schaerbeek, Bruxelles.<br />

Après s’être attaqué au punk, le collectif PONI démantèle les co<strong>de</strong>s du théâtre<br />

50/50 Mette Ingvarsten (Danemark)<br />

Rock, opéra , cirque, ou comment détourner le spectacle vivant<br />

.<br />

P.O.P. E.R.A. Arco Renz – Kobalt Works (Allemagne) Création française<br />

Production : Kobalt Works vzw. - Coproduction : STUK Kunstencentrum, Leuven ; Artefakt, Leuven ; Kulturama, Leuven<br />

Entre pop et opéra, une plongée aveugle dans l’univers singulier d’Arco Renz<br />

INSTALLATIONS<br />

La Zon-Mai Gilles Delmas (France) – Sidi Larbi Cherkaoui (Belgique)<br />

FILMS<br />

Production déléguée : Christian Pfohl et Marc Boyer – Lardux Films.<br />

Gabriela Fridriksdóttir (Islan<strong>de</strong>)<br />

Kristín Geirsdóttir (Islan<strong>de</strong>)<br />

De lama lâmina Matthew Barney (USA)<br />

Les guerriers <strong>de</strong> la beauté Pierre Coulibeuf (France)<br />

d’après une recréation spéciale <strong>de</strong> Jan Fabre (Belgique)<br />

Coproduction : Regards Productions, Periscope Productions en association avec Troubleyn.<br />

18<br />

DANSES / gT7<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

vendredi 16 novembre à 23 h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE,<br />

samedi 17 novembre à 19 h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

samedi 17 novembre à 20h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

samedi 17 novembre à 22 h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

samedi 17 novembre-<br />

17 h. / 17 h.20 / 17 h.40 / 18 h./ 18 h.30 / 19 h.<br />

dimanche 18 novembre<br />

18 h. / 18 h.20 / 18 h.40 / 19 h./ 19 h.20 / 19 h.40 / 20 h.<br />

ARTS PLASTIQUES / gT7<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

vernissages lundi 12 novembre<br />

à 12 h.30<br />

FILMS / gT7<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

mercredi 14 novembre à 23 h.<br />

samedi 17 novembre à 18 h.


Somewhere in between Pierre Coulibeuf (France)<br />

d’après une création spéciale <strong>de</strong> Meg Stuart (USA)<br />

Coproduction : Regards Productions, Halolalune Production, RBB/Arte, RTBF, SF DRS, Mezzo, TV 10<br />

The unclear age Anaïs et Olivier Spiro (France) – Erna Ómarsdóttir (Islan<strong>de</strong>) –<br />

Damien Jalet (Belgique)<br />

Coproduction : Théâtre <strong>de</strong> la Ville, Paris; Kunstencentrum Vooruit, Gand; Tanzquartier, Vienne; Hebbel Theater, Berlin<br />

Concerts<br />

Tape Tum / Lieven Dousselaere et Benjamin Dousselaere<br />

Guitares, vois, électro par les musiciens d’Öfaett et Chuck Norris<br />

KTL<br />

Drone roc, électro. Rencontre entre Peter Rehberg (PITA) <strong>de</strong>s Editions Mego et Stephen O’Malley du groupe Sonno)))<br />

Ólöf Arnalds<br />

La nouvelle voix islandaise<br />

Jóhann Jóhannsson / avec un « quatuor <strong>de</strong> cor<strong>de</strong>s et électronique » et Mona<strong>de</strong><br />

Le compositeur <strong>de</strong> Mysteries of love et IBM 1401<br />

Reykjavik !<br />

Punk rock<br />

PONI<br />

Punk rock par les musiciens <strong>de</strong> Soma Sema<br />

Autour <strong>de</strong>s spectacles<br />

Master-class <strong>de</strong> Salva Sanchis<br />

After en musique au Club <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées à la Base sous-marine<br />

Le gT – quotidien aléatoire <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées<br />

19<br />

dimanche 18 novembre à 19 h.<br />

samedi 17 novembre à 18 h.<br />

dimanche 18 novembre à 19 h.<br />

LE CARRE DES JALLES<br />

Saint Médard-en-Jalles<br />

lundi 12 novembre à 22 h.<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

jeudi 15 novembre à 23 h.<br />

FILMS / gT7<br />

MUSIQUES / gT7<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

vendredi 16 novembre à 22 h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

samedi 17 novembre à 23 h. 30<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

dimanche 18 novembre à 22 h.30<br />

BASE SOUS-MARINE<br />

dimanche 18 novembre à 22 h.30<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Éric Bernard<br />

06 75 59 06 20<br />

www.lesgran<strong>de</strong>straversees.com


<strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

HYMNEN<br />

CCN - Ballet <strong>de</strong> Lorraine<br />

MUSIQUE Karlheinz Stockhausen<br />

CONCEPTION Lia Rodrigues, Gérard Fromanger, Didier Deschamps (création <strong>2007</strong>)<br />

Danseurs : Bulat Akhmejanov, Pierre-François Badoud, Grégory Beaumont, Christophe Béranger, Emmanuel Bergoin, Amandine Biancherin,<br />

Jennifer Blasek, Larissa Boutenko, Xavier Chasseur-Daniel, Morgan <strong>de</strong> Quelen, Dmitri Domojirov, Valérie Ferrando, Julien Ficely, Baptiste Fisson,<br />

Miroslaw Gordon, Cyril Griset, Alexis Gutierrez-Wosylus, Marie-Séverine Hurteloup, Nina Khokham, Valérie Ly-Cuong, Aurore Longère, Juliette<br />

Mignot, Anastasiya Ne<strong>de</strong>lcheva, Joris Perez, Erdmann Phanuel, Ligia Saldanha, Florence Viennot.<br />

Avec la participation <strong>de</strong>s danseurs <strong>de</strong> la Cellule d'Insertion Professionnelle: Arnaud Bajolle, Marlène Braziewicz, Justin Cumine, Julien Folliot<br />

Villatte, Claire Pidoux, Sophie Renier, Séverine Wolff<br />

Avec, pour ces représentations, le soutien du Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux.<br />

DES HYMNES<br />

Les hymnes nationaux, les drapeaux, les questions liées à l'appartenance et aux racines, sont plus présents que jamais sur les<br />

plateaux <strong>de</strong> danse contemporaine. Alors que les frontières entre les pays se font soi-disant poreuses, elles se referment aussi sur<br />

<strong>de</strong>s crispations i<strong>de</strong>ntitaires violentes. C'est sur ce terrain miné par une actualité toujours pressante que la nouvelle création du Ballet<br />

<strong>de</strong> Lorraine entend tailler une route originale.<br />

Hymnen, partition composée entre 1964 et 1967 par Karlheinz Stockhausen, en est le socle. Un socle massif qui concentre durant<br />

une heure cinquante <strong>de</strong>s hymnes <strong>de</strong> différents pays, <strong>de</strong>s bruits <strong>de</strong> foule, <strong>de</strong>s conversations dans toutes les langues, pour en faire<br />

surgir une nuée électronique planétaire. Sous cette pluie sonore, une équipe artistique insolite se serre les cou<strong>de</strong>s et tente <strong>de</strong> trouver<br />

un accord aux dissonnances du mon<strong>de</strong> comme il va : le peintre Gérard Fromanger, acteur fameux <strong>de</strong> la nouvelle figuration dès les<br />

années 60, la chorégraphe brésilienne Lia Rodrigues, installée dans une favela <strong>de</strong> Rio, et Didier Deschamps, directeur du Ballet <strong>de</strong><br />

Lorraine et instigateur du projet. Autour <strong>de</strong>s thèmes <strong>de</strong> la patrie, du nomadisme obligatoire, <strong>de</strong> la discrimination, les trois complices<br />

tissent une trame spectaculaire, écho <strong>de</strong> cet état <strong>de</strong> guerre larvée qu'est aujourd'hui la vie dans certains pays comme le Brésil. Cette<br />

plongée dans le gouffre <strong>de</strong> l'actualité, les trente interprètes du Ballet <strong>de</strong> Lorraine se chargent d'en extraire un matériau brûlant.<br />

Lia Rodrigues - Elle fon<strong>de</strong> en 1990 à Rio <strong>de</strong> Janeiro sa compagnie, la Lia Rodrigues Companhia <strong>de</strong> Danças. En plus <strong>de</strong> mettre en scène et <strong>de</strong><br />

produire tous ses spectacles, Lia Rodrigues est aussi productrice culturelle. En 1992, elle crée le Festival <strong>de</strong> Danse contemporaine Panorama<br />

Rioarte <strong>de</strong> Dança dont elle est directrice jusqu'en 2005.<br />

Gérard Fromanger - Il peint dès le début <strong>de</strong>s années 60 <strong>de</strong>s figures en noir et blanc en réaction à l'art abstrait alors dominant. Considéré comme<br />

l'un <strong>de</strong>s pionniers du retour à la figuration, il rejoint, en 1965, "La Nouvelle figuration ou Figuration Narrative", dont il <strong>de</strong>vient l'un <strong>de</strong>s acteurs<br />

essentiels. A partir <strong>de</strong> 1980, expositions et rétrospective se suivent à travers le mon<strong>de</strong>.<br />

Didier Deschamps - Son parcours <strong>de</strong> chorégraphe se fait en France, pour Régine Chopinot, le ballet <strong>de</strong> l'Opéra <strong>de</strong> Lyon, le Théâtre <strong>de</strong>s Huits-<br />

Saveurs, le CNDC d'Angers, le CNSM <strong>de</strong> Lyon, la compagnie <strong>de</strong> Didier Deschamps, et à l'étranger au Danse'Hus (Copenhague), au London<br />

Contemporary Dance'School. Il enseigne la danse en France pour <strong>de</strong> nombreuses compagnies puis à l'étranger. En juillet 2000, il est nommé<br />

Directeur Général du Centre Chorégraphique National - Ballet <strong>de</strong> Lorraine.<br />

20<br />

CASINO BARRIERE DE<br />

BORDEAUX<br />

rue du Cardinal Richaud<br />

mardi 13 novembre à 20 h.<br />

mercredi 14 novembre à 20 h.<br />

jeudi 15 novembre à 20 h.<br />

DANSES<br />

tarif : entrées libres (dans la limite <strong>de</strong>s<br />

places disponibles, à retirer au<br />

Kiosque Culture ou au Casino Barrière<br />

<strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux)<br />

Renseignements du public et retrait<br />

<strong>de</strong>s places :<br />

Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />

05 56 69 49 00<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Canal Com<br />

05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />

canalcom@club-internet.fr


MC2a présente :<br />

Théâtre Noirs Blancs Associés<br />

Porte2a fête ses 10 ans au T.n.B.A.<br />

En 97, Ray Lema inaugurait le lieu Porte2a, animé par l’association MIGRATIONS CULTURELLES aquitaine afriques/MC2a.<br />

Aujourd’hui il est invité à parrainer cette nouvelle déca<strong>de</strong>. Entre temps et d’évi<strong>de</strong>nce, le territoire nous a rappelé à sa réalité et<br />

Bernard Lubat vient souffler naturellement avec Ray le feu <strong>de</strong> l’avenir.<br />

MIZILA, Ray LEMA<br />

« Musicien emblématique <strong>de</strong> l'apport <strong>de</strong> l'Afrique à la diversité <strong>de</strong> la scène française, homme <strong>de</strong> défis, Ray Lema n'en finit pas <strong>de</strong><br />

surprendre. Avec son album, Mizila le voici aujourd'hui dans un exercice <strong>de</strong> piano solo, alliant légèreté gazouillante et sereine<br />

élégance. » Patrick Labesse, RFI<br />

Avec Mizila, Ray Lema se moque <strong>de</strong>s frontières, rebelle à toute classification, ni Blanc, ni Noir, ni classique, ni jazz : « Je suis Africain<br />

et j’ai <strong>de</strong> l’Occi<strong>de</strong>ntal en moi. Cet album mêle les <strong>de</strong>ux ».<br />

VIVE L’AMUSIQUE ! Bernard LUBAT<br />

« […] Chercheur poético-scientifique <strong>de</strong> haut rang, à table il fredonne et tambourine, trousse un chabada pour fourchette et couteau,<br />

c’est en réalité quand il parle qu’il joue. Programme, en Lubat dans le texte : « C’est par où ? C’est par l’art ! : psy-comédie poïélitique<br />

autobiographitique. » … Francis Marman<strong>de</strong>, Le Mon<strong>de</strong><br />

21<br />

T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />

Square Jean-Vauthier<br />

MUSIQUES<br />

mercredi 14 novembre à 20 h. 30<br />

tarif : 20 €<br />

Renseignements du public et retrait<br />

<strong>de</strong>s places :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Cécile Quintin<br />

06 81 61 64 94<br />

migrationsculturelles@wanadoo.fr


Le Glob Théâtre et l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présentent :<br />

Animale (extrait du triptyque Les Naufragés)<br />

Nathalie Pernette<br />

CHOREGRAPHIE ET INTERPRETATION Nathalie Pernette COSTUMES Nadia Genez<br />

ASSISTANTE CHOREGRAPHIE ET INTERPRETATION Régina Meier MUSIQUE ORIGINALE Franck Gervais<br />

LUMIERES Caroline Nguyen CONSEIL SCIENTIFIQUE Isabelle Grandjoan<br />

« Animale », pièce pour 1 danseur et 50 souris<br />

« L'espace est clos : un petit enclos <strong>de</strong> plexiglas, à l’intérieur duquel évoluent les corps, humain et animaux. Un espace <strong>de</strong> silence,<br />

une sorte <strong>de</strong> cérémonial, <strong>de</strong> rituel ; <strong>de</strong>s spectateurs obligés à la discrétion afin <strong>de</strong> pouvoir assister, sans (trop) la perturber, à la<br />

rencontre d’une danseuse et <strong>de</strong> cinquante souris. Une rencontre étudiée. Elle combine une part <strong>de</strong> hasard et une connaissance<br />

approfondie <strong>de</strong> la nature et du comportement <strong>de</strong>s rongeurs. Leur sensibilité aux sons, aux mouvements, aux aliments, aux lumières, au<br />

stress, au corps étranger… Il s’agit d’être à l’écoute d’interactions possibles pour une partition à reproduire, presque exactement.<br />

Intéresser les souris, les faire s’approcher, <strong>de</strong>venir support, les faire courir, les éloigner, les attirer, les rassembler… Danse <strong>de</strong> lenteur<br />

et <strong>de</strong> décharges d’énergie. Fascination, répulsion."<br />

Nathalie Pernette<br />

Nathalie Pernette<br />

Chez cette danseuse-chorégraphe, la danse prend corps, preste, tout en angles vifs. Instinct et rigueur sur fond d'interrogation<br />

permanente. Ce pêché mignon, son passage par l'école <strong>de</strong> Françoise et Dominique Dupuy, ne fait que l'affirmer. Après avoir travaillé<br />

durant douze années avec Andréas Schmid, elle fon<strong>de</strong> en 2001 sa propre compagnie et conserve le répertoire <strong>de</strong>s créations<br />

antérieures. En seize ans et seize spectacles, Nathalie Pernette a fait du travail sa vertu. Dès le premier duo, « Les Ombres portées »<br />

(1989), cinéma et arts plastiques sont sources d'inspiration. L'interrogation du rapport entre la danse et la matière est récurrente dans<br />

toutes les pièces : « Frisson d'Alice » (1992), « Le Savon » (1997). « Verba, Volan »" (1995) émerge d'une observation <strong>de</strong> la perte <strong>de</strong>s<br />

repères. Nathalie Pernette revisite également « Le Sacre du Printemps » d’Igor Stravinski (1999). Une première confrontation à la<br />

musique vivante que Nathalie Pernette développe avec « Suites » (2001), une pièce librement inspirée <strong>de</strong>s « Cahiers » <strong>de</strong> Vaslav<br />

Nijinski. En 2002, quelques mois après la création <strong>de</strong> sa compagnie, elle signe « Délicieuses », une pièce pour 5 danseurs hip hop et un<br />

pianiste. Suivront « Les Inventions » <strong>de</strong> J.S Bach, « Le Nid ». Avec « Je ne sais pas, un jour, peut-être… », c'est enfin la création d'un<br />

solo. Après « Délicieuses » et « Les Inventions » <strong>de</strong> J.S.Bach, l'envie <strong>de</strong> creuser les rapports <strong>de</strong> la Danse hip hop à la musique<br />

classique persiste… Avec celle <strong>de</strong> risquer l'opéra. Nathalie Pernette s'attaque à « La flûte enchantée », qu’elle crée en 2005. 2006 voit<br />

la naissance <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux objets chorégraphiques très particuliers : « Animale » en mars puis « Le cabaret martien » en juin. « Animale »,<br />

premier volet d'un triptyque, sera suivi <strong>de</strong> « Pedigree » et du « Passage » à l'automne 2006<br />

22<br />

DANSES / JEUNE PUBLIC<br />

GLOB THEATRE<br />

69, rue Joséphine<br />

mercredi 14 novembre à 15 h. et 19 h.<br />

samedi 17 novembre à 15 h.<br />

tarif : unique 5 €<br />

Coproduction : Compagnie Pernette/Association NA,<br />

Le Théâtre-scène nationale <strong>de</strong> Mâcon,<br />

L'Arche <strong>de</strong> Bethoncourt-scène conventionnée pour<br />

l'enfance et la jeunesse-scène jeunes publics du Doubs.<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Glob théâtre<br />

Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />

05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />

Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />

05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Billetterie GLOB<br />

05 56 69 06 66<br />

contact@globtheatre.net<br />

www.globtheatre.net<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56


Le Glob Théâtre présente :<br />

Les Naufragés (Animale, Pedigree, Le Passage)<br />

Nathalie Pernette<br />

Les Naufragés - Un triptyque chorégraphique pour raconter l’animal en l’homme, et vice-versa.<br />

Outre Animale qui l’ouvre, la trilogie <strong>de</strong>s Naufragées s’attache, à travers <strong>de</strong>ux autres pièces, à son<strong>de</strong>r les accointances qui unissent les<br />

règnes humain et animal - que la présence <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier soit visible, audible ou suggérée. Ainsi, Pedigree juxtapose les mouvements<br />

d’un danseur aux pensées d’un chien, et Le Passage s’apparente à un cours <strong>de</strong> domestication du corps envisagé comme une matière<br />

brute et malléable. A travers ce parcours chorégraphique, les croisements se multiplient entre l’homme et la bête, le vivant et l’inanimé,<br />

le hasard et l’expérience.<br />

« Pedigree »<br />

« Il me reste une image tenace du film Vertigo d’Alfred Hitchcock. Celle d’une histoire dont les fils se resserrent peu à peu, puis se<br />

dénouent brusquement à l’ultime secon<strong>de</strong>. Cela provoque chez moi un choc sensible, une émotion intense. Le film entier me saute<br />

subitement à la figure et je bascule avec lui dans le vi<strong>de</strong>, évi<strong>de</strong>mment. Comment <strong>de</strong>ux histoires, l’une racontée en voix off, l’autre<br />

dansée sur scène, très opposées en leur commencement peuvent se retrouver le plus tard possible, pour faire corps, pour faire choc?<br />

En ce sens, le texte <strong>de</strong> Jean-Bernard Pouy me trouble… C’est une parole intérieure, facilement juxtaposable avec le mouvement, la<br />

présence d’un corps sur scène. Mais c’est la parole d’un chien. Tout rapport direct <strong>de</strong>vient alors impossible : restent les concordances,<br />

divergences, les écarts d’énergie et <strong>de</strong> sens qui pourront faire sourire ou grincer jusqu’à la double pirouette finale… L’une est comprise<br />

dans le texte, l’autre est à construire entre le mot et le mouvement. Tout faire basculer à la <strong>de</strong>rnière secon<strong>de</strong>.<br />

Un rêve… »<br />

SUR LE TEXTE DE Jean-Bernard Pouy « Histoire <strong>de</strong> truffe »<br />

Coproduction Compagnie Pernette/Association NA, Scènes du Jura – Lons- Le-Saunier. Ai<strong>de</strong> à la création <strong>de</strong> l'ADAMI / Avec le soutien du CCN <strong>de</strong> Franche Comté à Belfort et du Granit – Scène<br />

nationale <strong>de</strong> Belfort.<br />

« Le Passage »<br />

« Sur scène… J’ai manipulé <strong>de</strong>s ours, <strong>de</strong> vraies fausses carcasses sanguinolentes, <strong>de</strong>s poulets, quelques humains, <strong>de</strong>s ustensiles <strong>de</strong><br />

cuisines en tous genres, <strong>de</strong>s sala<strong>de</strong>s, <strong>de</strong>s vêtements, vestes, manteaux chargés d’argile, une petite cuillère… J’aimerais aujourd’hui<br />

que la manipulation <strong>de</strong>s corps soit au cœur d’un travail chorégraphique. Un corps « sans vie », un corps <strong>de</strong> vian<strong>de</strong> et d’os, un corps à<br />

expérimenter. Ouvrir, malaxer, refermer, articuler, « réanimer ». Présence <strong>de</strong>s corps inanimés, remis en mouvement malgré eux, par<br />

d’autres. Zone <strong>de</strong> friction. Crée-t-elle un autre état <strong>de</strong> présence, d’existence ? »<br />

Coproduction Compagnie Pernette/Association NA, Scènes du Jura – Lons-Le-Saunier. Ai<strong>de</strong> à la création <strong>de</strong> l'ADAMI qui gère les droits <strong>de</strong>s artistes interprètes (comédiens, chanteurs, musiciens, chefs<br />

d'orchestre, danseurs…) et consacre une partie <strong>de</strong>s droits perçus à l'ai<strong>de</strong> à la création, à la diffusion et à la formation. Avec le soutien du CCN <strong>de</strong> Franche Comté à Belfort et du Granit – Scène nationale<br />

<strong>de</strong> Belfort.<br />

CHOREGRAPHIE Nathalie Pernette LUMIERES Caroline Nguyen<br />

ASSISTANTE CHOREGRAPHIE Régina Meier COSTUMES Nadia Genez<br />

DANSEURS Laurent Falguiéras, Sébastien Laurent, Nathalie Pernette DIRECTION TECHNIQUE Stéphane Magnin<br />

23<br />

GLOB THEATRE<br />

69, rue Joséphine<br />

vendredi 16 novembre à 20 h.<br />

samedi 17 novembre à 20 h.<br />

tarifs : 12 € / 8 € (réduit)<br />

DANSES<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Glob théâtre<br />

Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />

05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />

Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />

05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Billetterie GLOB<br />

05 56 69 06 66<br />

contact@globtheatre.net<br />

www.globtheatre.net<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56


Le CAPC musée d’art contemporain présente :<br />

If Everybody had an Ocean.<br />

Brian Wilson, une exposition<br />

Commissaire Alex Farquharson<br />

Cette exposition a pour fil conducteur la fascination qu’a exercé Brian Wilson, le mythique compositeur <strong>de</strong>s Beach Boys, sur plusieurs<br />

générations d’artistes. Sa vie et sa musique sont un prisme à partir duquel on peut relire les développements <strong>de</strong> l’art <strong>de</strong>puis les<br />

années 60, en particulier dans sa relation à la culture populaire et au contexte social et urbain <strong>de</strong> la Californie. L’art <strong>de</strong>vient aussi le<br />

moyen <strong>de</strong> reconsidérer les contradictions qu’il y a entre l’image populaire et lisse <strong>de</strong>s Beach Boys et l’ambition musicale complexe et<br />

géniale <strong>de</strong> Brian Wilson.<br />

En se concentrant sur <strong>de</strong>s oeuvres qui mélangent Pop Art, peinture abstraite, Minimalisme et Art Conceptuel– un phénomène<br />

récurrent dans l’art <strong>de</strong> la Côte Ouest – l’exposition questionne implicitement la pertinence <strong>de</strong> ces catégories historiques. Ces<br />

convergences trouvent un parallèle dans la pratique musicale pionnière <strong>de</strong> Brian Wilson mélangeant le rock’n’roll, le jazz, la musique<br />

classique, le folk, et même la musique concrète avant-gardiste. L’exposition se concentre sur cette pério<strong>de</strong> brève et prolifique <strong>de</strong><br />

1962 à 1967 quand Wilson était la principale force créative <strong>de</strong>rrière l’entité Beach Boys.<br />

Les oeuvres (environ 60) seront disposées dans l’espace <strong>de</strong> la nef du CAPC (1000 m²) <strong>de</strong> manière à bro<strong>de</strong>r une histoire plus ou<br />

moins fictive autour <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong> Wilson. Fictive car la plupart <strong>de</strong> ces oeuvres n’ont pas été conçues spécifiquement sur Wilson ou les<br />

Beach Boys. Elles ont été choisies ici pour évoquer plus particulièrement le sens <strong>de</strong> la musique, le sentiment <strong>de</strong> la glisse, et les<br />

circonstances sociales, culturelles et psychologiques qui ont contribué à leur essor.<br />

Le principe <strong>de</strong> l’exposition joue <strong>de</strong>s conventions thématiques – une biographie conçue sur un mo<strong>de</strong> fictionnel – et fonctionne par<br />

association libre plutôt que <strong>de</strong> manière illustrative. Néanmoins le projet est né d’une conviction : Brian Wilson est une grille <strong>de</strong> lecture<br />

novatrice permettant <strong>de</strong> réécrire l’histoire <strong>de</strong> l’art à partir d’un assemblage disparate d’œuvres <strong>de</strong>s années 60 à nos jours.<br />

Présentée dans un format plus restreint à la Tate St Ives, en Cornouailles anglaise durant l’été <strong>2007</strong>, l’exposition au CAPC est<br />

complétée d’oeuvres historiques supplémentaires et <strong>de</strong> nouvelles productions.<br />

Elle s’accompagne d’une programmation musicale et filmique autour <strong>de</strong>s Beach Boys et <strong>de</strong> la culture surf, ainsi que d’un catalogue<br />

en forme <strong>de</strong> disque LP imaginé par le célèbre <strong>de</strong>signer Sanghon Kim.<br />

24<br />

ARTS PLASTIQUES<br />

CAPC<br />

musée d’art contemporain<br />

7, rue Ferrère<br />

du samedi 17 novembre<br />

au dimanche 16 mars 2008<br />

du mardi au dimanche <strong>de</strong> 11 h. à 18 h.<br />

le mercredi jusqu’à 20 h.<br />

vernissage<br />

le vendredi 16 novembre à 19 h.<br />

tarif : 5 € / 2,5 € ( réduit)<br />

En partenariat avec<br />

Tate, étant donnés, SFR, Groupe<br />

Carrère, Oxbow<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

François Guillemeteaud<br />

05 56 00 81 70<br />

f.guillemeteaud@mairie-bor<strong>de</strong>aux.fr


If Everybody had an Ocean.<br />

Brian Wilson, une exposition<br />

Liste <strong>de</strong>s artistes présentés :<br />

Trevor Bell, Larry Bell, Billy Al Bengston, Peter Blake, Mel Bochner, John Cage, Brian Calvin, Vija Celmins, Russell Crotty, Thomas<br />

Demand, Kaye Donachie, Isa Genzken, Liam Gillick, Jeremy Glogan, Joe Goo<strong>de</strong>, Rodney Graham, Richard Hawkins, Roger Hiorns,<br />

Pierre Huyghe, Jim Isermann, Roy Lichtenstein, John McCracken, Lee Mullican, Kaz Oshiro, Bruno Peinado, Raymond Pettibon,<br />

Richard Pettibone, Ken Price, Martial Raysse, Bridget Riley, Allen Ruppersberg, Ed Ruscha, Jim Shaw, Sister Corita Kent, Fred<br />

Tomaselli, Jennifer West, Pae White, Daria Wilson, Isaac Witkins<br />

AUTOUR DE L’EXPOSITION<br />

No Beach Today<br />

Le samedi 17 novembre <strong>2007</strong>, au TnBA, à partir <strong>de</strong> 16H jusqu’à 02H<br />

Conçue en partenariat avec MA asso et Monoquini<br />

Voir ci-après<br />

Nouvelles Vagues<br />

De novembre à mars, à l’auditorium du CAPC<br />

6 séances d’extraits <strong>de</strong> films et <strong>de</strong> vidéos liés à l’univers <strong>de</strong> la pop culture californienne <strong>de</strong>s 60’s.<br />

Programmation <strong>de</strong> Bertrand Grimault, Association Monoquini.<br />

Colloque Art et Pop<br />

Les 30 novembre et 1 er décembre, à l’auditorium du CAPC<br />

Coordination Yann Chateigné<br />

25<br />

ARTS PLASTIQUES<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

François Guillemeteaud<br />

05 56 00 81 70<br />

f.guillemeteaud@mairie-bor<strong>de</strong>aux.fr


MA asso et Monoquini présentent :<br />

No Beach Today (hommage à Brian Wilson)<br />

Pour l’inauguration <strong>de</strong> l’exposition If Everybody Had a Ocean, le CAPC invite les associations bor<strong>de</strong>laises MA ASSO<br />

(http://www.ma-asso.org/) et MONOQUINI (www.monoquini.net) à proposer un événement au T.n.B.A. en hommage au<br />

lea<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s Beach Boys, Brian Wilson.<br />

SCOPITONE A-GO-GO !<br />

Un scopitone, accessible au public, permettra <strong>de</strong> choisir parmi 36 films musicaux d'un temps où l'on dansait tamouré, twist et mambo.<br />

SAFE SURF – Installation interactive<br />

SAFE SURF reproduit le procédé utilisé par les studios <strong>de</strong> cinéma avant l'invention du "blue screen" (recréation d’un paysage en arrièreplan).<br />

En hommage aux "Beach Movies" hollywoodiens <strong>de</strong>s années 60, chacun pourra s'adonner au surf d'intérieur. Une caméra complète<br />

le dispositif, filmant la scène en pied qui sera re-projetée dans un autre espace du Tnba.<br />

PROJECTION <strong>de</strong> THE BEACH BOYS IN LONDON <strong>de</strong> Peter Whitehead (GB, 1966, couleur, 30 minutes)<br />

Restées inédites pendant 40 ans, <strong>de</strong>s images prises sur le vif par Peter Whitehead, avec un commentaire <strong>de</strong> Marianne Faithfull. On<br />

assiste à l'arrivée du groupe à Londres le 6 novembre 1966, puis l'on suit Al Jardine et Dennis Wilson chinant <strong>de</strong>s instruments <strong>de</strong> musique,<br />

entre <strong>de</strong>ux séquences <strong>de</strong> concert à Finsbury Park. Courtesy Contemporary Films, London<br />

PROJECTION <strong>de</strong> PACIFIC VIBRATIONS <strong>de</strong> John Severson (USA, 1970, couleur, vostf, 1H30)<br />

Documentaire mythique à la lisière <strong>de</strong> l'expérimental et du psychédélisme, réalisé par un pionnier <strong>de</strong> la glisse en Californie. Une occasion<br />

rare <strong>de</strong> découvrir un film <strong>de</strong>venu introuvable et <strong>de</strong> retrouver <strong>de</strong>s figures légendaires du surf (Mickey Dora, Greg Noll, Rick Griffin...).<br />

GREG DAVIS (Etats-Unis / Folkélectronique) création<br />

Faite <strong>de</strong> pop californienne, <strong>de</strong> sons concrets, <strong>de</strong> sons <strong>de</strong> guitares retraités, employant les techniques <strong>de</strong> field recording et mélodies<br />

minimales et répétitives influencées par Cage, la musique <strong>de</strong> Greg Davis évoque une promena<strong>de</strong> bucolique.<br />

HIGH LLAMAS (Irlan<strong>de</strong> / pop) création<br />

Sean O’Hagan est un entêté. Il creuse, laboure, défriche la même terre <strong>de</strong>puis une bonne dizaine d’années : Charles Ives, Ennio<br />

Morricone et Brian Wilson, avec ses High Llamas. Les chansons <strong>de</strong> The High Llamas exhalent un doux parfum <strong>de</strong> sable chaud.<br />

CHRISTIAN FENNESZ (Autriche / électronique) création - Création vidéo : oBuffet+esgrimo<br />

Fennesz est reconnu comme l’un <strong>de</strong>s plus grands musiciens expérimentaux. A partir d'une guitare et d'un laptop, ce guitariste <strong>de</strong><br />

formation produit une électro à la fois minimaliste et mélodique. Pour les amateurs <strong>de</strong> sensations nouvelles, <strong>de</strong> pureté électronique et <strong>de</strong><br />

recherche musicale pointue…<br />

> DJ Sélection pop sixties <strong>de</strong> Kurt Russel et Otto & Clara.<br />

> Arnaud Maguet, musicien plasticien, est invité à exposer une sélection d’œuvres graphiques, entre nostalgie d’un<br />

âge d’or du rock’n’roll et persistance d’une imagerie pop.<br />

> Présence et sélections du disquaire indépendant TOTAL HEAVEN et du libraire LA MAUVAISE REPUTATION<br />

26<br />

samedi 17 novembre<br />

T.n.B.A.<br />

Square Jean-Vauthier<br />

MUSIQUES / FILMS<br />

à partir <strong>de</strong> 16 h.– Hall du T.n.B.A.<br />

Scopitone a-go-go<br />

Safe Surf<br />

Exposition Arnaud Maguet<br />

Total Heaven & La Mauvaise<br />

Réputation<br />

tarif : entrée libre<br />

18 h. – Salle Jean-Vauthier<br />

Projection <strong>de</strong> The Beach Boys in<br />

London et Pacific Vibrations<br />

tarif unique : 3 €, gratuit pour les filles en<br />

bikini (salle chauffée)<br />

à partir <strong>de</strong> 21 h. - Salle Jean-Vauthier<br />

Concerts<br />

tarifs : 15 € / 10 € (réduit)<br />

à partir <strong>de</strong> 23 h. 30 – Tn’BAR<br />

DJ Sélection pop sixties<br />

Tarif : Entrée libre<br />

Contact <strong>presse</strong><br />

Hélène Perret<br />

06 87 26 22 77<br />

helene@ma-asso.org


La Renaissance <strong>de</strong> l’Orgue à Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

Antigone Orchestra<br />

Une relecture <strong>de</strong> l’Antigone <strong>de</strong> Sophocle<br />

GUITARE ELECTRIQUE Benjamin Dupé GRAND-ORGUE DOM BEDOS Eva Darracq-Antesberger<br />

VIOLON Benjamin <strong>de</strong> la Fuente ORGUE HAMMOND, CITHARE & SAMPLER Samuel Sighicelli<br />

Antigone, une pièce sur les puissances sonores, dans laquelle se répon<strong>de</strong>nt les voix du pouvoir, celles <strong>de</strong> la révolte et le gron<strong>de</strong>ment<br />

du peuple, dans laquelle les actions ne sont pas montrées mais littéralement « haut-parlées ».<br />

La musique exprime une idée d’Antigone, s’attachant plus à faire sonner le mythe qu’à incarner le personnage. La partie concertante<br />

du spectacle est un long chant <strong>de</strong> la révolte, un souffle lyrique et âpre, une marche ininterrompue, déterminée, sensible.<br />

Autour <strong>de</strong> cette idée d’Antigone résonnent, par le son, la musique et l’image, <strong>de</strong>s figures échappées <strong>de</strong> la pièce. Le roi Créon, muet<br />

et invisible, scan<strong>de</strong> le spectacle, la voix du peuple thébain soutient le pouvoir. Comme dans le théâtre antique, l’action avance grâce<br />

aux nouvelles rapportées <strong>de</strong> l’extérieur. Et, à la charnière <strong>de</strong> la pièce, la terrible prédiction du <strong>de</strong>vin Tirésias…<br />

En mars 2006, lors <strong>de</strong> la Biennale « Musiques en scène » <strong>de</strong> Lyon, la compagnie Sphota créait Antigone Orchestra, spectacle<br />

musical se définissant comme une relecture musicale <strong>de</strong> la tragédie <strong>de</strong> Sophocle. Aujourd’hui, Sphota propose une version<br />

concertante, adaptable aux lieux <strong>de</strong> concert, gardant néanmoins sa dimension pluridisciplinaire…<br />

Dans le rôle d’Antigone : une heure <strong>de</strong> musique vivante, une marche déterminée et éternelle. Dans le rôle du roi Créon : <strong>de</strong>s<br />

interventions textuelles vidéoprojetées, symboles <strong>de</strong> l’autorité. Dans le rôle <strong>de</strong>s messagers qui font avancer l’action : <strong>de</strong>s archives<br />

sonores utilisant l’acoustique du lieu (haut-parleurs mobiles).<br />

Pour symboliser la prédiction du <strong>de</strong>vin Tirésias, un rituel s’organise avec le public, répétant du grec ancien, jusqu’à la transe. Enfin<br />

dans le chœur antique : les orgues <strong>de</strong> l’église Sainte-Croix, jouées comme les multiples voix du peuple thébain…<br />

Chez les Indiens, le « sphota » est l’étincelle qui donne forme et vie. Renouveler la mise en forme du concert <strong>de</strong> création collective,<br />

donner vie à une musique qui leur est propre. C’est précisément ce que cherchent Benjamin Dupé, Benjamin <strong>de</strong> la Fuente et Samuel<br />

Sighicelli.<br />

C’est sous ce nom qu’est né en janvier 2000 « l’ Ensemble Sphota ». A l’aube du XXI ème siècle, ces trois musiciens arborent une<br />

attitu<strong>de</strong> résolument contemporaine dans une optique <strong>de</strong> spectacle vivant, utilisant les nouvelles technologies et en collaborant avec<br />

d’autres disciplines artistiques.<br />

La musique est aussi gestes et paroles ce qui la rend inventive, enjouée et fait se lever le public.<br />

27<br />

EGLISE SAINTE-CROIX<br />

place Sainte-Croix<br />

MUSIQUES<br />

dimanche 18 novembre à 16 h. 30<br />

tarifs : 15 € / 10 € (réduit)<br />

Renseignements du public et<br />

réservations :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Vente sur place<br />

Contact <strong>presse</strong><br />

Annie-France Banlier<br />

06 88 45 32 83<br />

orguebor<strong>de</strong>aux@neuf.fr


MC2a présente :<br />

Les Yeux fermés Création<br />

Les Lyricalistes<br />

Les yeux fermés est la <strong>de</strong>rnière création écrite et mise en scène par le collectif <strong>de</strong> slameurs bor<strong>de</strong>lais Les Lyricalistes.<br />

C’est une réflexion commune et croisée sur le regard que chacun <strong>de</strong> ses membres porte sur l’Afrique, sur les yeux fermés <strong>de</strong><br />

l’Occi<strong>de</strong>nt face à ses problèmes. Ce sont aussi nos yeux fermés par notre méconnaissance <strong>de</strong> ce continent. Les yeux fermés, c’est<br />

une journée qui se termine sur un voyage que l’on ne fera jamais.<br />

Les Lyricalistes animent une scène slam toutes les semaines à la Dibiterie, café/restaurant <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, où chacun est libre <strong>de</strong> venir<br />

déclamer <strong>de</strong> la poésie scandée. Ils travaillent également à la création d’un album, mélange <strong>de</strong> textes, d’habillages sonores et <strong>de</strong><br />

prises live, soutenu par la Rock School Barbey.<br />

28<br />

Porte2a<br />

16 rue Ferrère<br />

MUSIQUES<br />

du mardi 20<br />

au samedi 24 novembre à 20 h. 30<br />

tarifs : 10 € / 5 € (réduit)<br />

Renseignements du public et<br />

réservations :<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Cécile Quintin<br />

06 81 61 64 94<br />

migrationsculturelles@wanadoo.fr


Le Carré <strong>de</strong>s Jalles présente :<br />

Singularités ordinaires<br />

GdRA / Sébastien Barrier, Julien Cassier, Christophe Rulhes<br />

Une proposition conçue et jouée par le GdRA<br />

TEXTES, ECRITS ET CONSTRUCTION DECOR Sébastien Barrier CHARGEE DE PRODUCTION ET DE DIFFUSION Armelle Vernier<br />

ACROBATIE, SCENOGRAPHIE ET CHOREGRAPHIE Julien Cassier AIDE A LA DRAMATURGIE ET A LA MISE EN SCENE Jean Michel Guy<br />

MUSIQUE, ECRITURE ET MISE EN SCENE Christophe Rulhes AIDE A LA CHOREGRAPHIE ET A LA MISE EN SCENE Mathurin Bolze<br />

Equipe <strong>de</strong> création<br />

IMAGES Amic Be<strong>de</strong>l, Christophe Modica, Edmond Carrère CREATION COSTUMES, BIJOUX, PANTINS Céline Sathal<br />

MONTAGE ET MISE EN IMAGE Christophe Modica CONSTRUCTION DECOR Pierre Pailhès<br />

ILLUSTRATIONS ET GRAPHISMES Benoît Bonnemaison-Fitte DIRECTION TECHNIQUE ET REGIE LUMIERE David Lochen<br />

CREATION LUMIERE Adèle Grepinet CREATION ET REGIE SON Pedro Theuriet<br />

A la croisée <strong>de</strong>s arts pour sublimer le réel.<br />

Découvert aux Jeune Talents Cirque 2006, le GDRA, composé d'un musicien, d'un comédien et d'un circassien, allie théâtre, cirque, danse,<br />

vidéo, musique et sciences humaines.<br />

Au cours d’un récit scénique physique et spectaculaire, il passe l’œil sociologique au prisme <strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong> la convivialité, à partir <strong>de</strong> trois récits<br />

<strong>de</strong> vie :<br />

- Arthur Genibre, personnage incroyable <strong>de</strong> 86 ans, habite dans le Quercy. Puisqu'on lui dit, «Tu seras cultivateur et rien d’autre», il se cache<br />

pour apprendre la musique et <strong>de</strong>vient un musicien guérisseur qui lit ses œuvres dans les astres.<br />

- Wilfri<strong>de</strong> Piollet, 64 ans, est danseuse étoile retraitée <strong>de</strong> l’Opéra <strong>de</strong> Paris. Elle dit s’être marginalisée en créant les principales pièces postmo<strong>de</strong>rnes<br />

du répertoire <strong>de</strong>s années soixante-dix et quatre-vingt.<br />

- Michèle Eklou-Natey, 41 ans, d’origine algéro-togolaise éduquée par une famille italo-arménienne à Marseille, passe son temps dans un<br />

bar. On l’y appelle «la nègre» mais elle renvoie les mots et déjoue le racisme.<br />

Ces trois personnes, entre exceptionnel et ordinaire, vocation et bricolage biographique, inventent <strong>de</strong>s places, parviennent à se raconter et<br />

tiennent <strong>de</strong>bout, comme la majorité d’entre nous.<br />

Avec une liberté totale, un humour radieux et <strong>de</strong>s talents pluridisciplinaires, dans une scénographie inventive où films et réalité s'entremêlent,<br />

les trois artistes fouillent une théâtralité ordinaire et vive, à l’affût <strong>de</strong> gestes et <strong>de</strong> paroles puisés dans «la vie <strong>de</strong> tous les jours».<br />

Fait <strong>de</strong> danse, acrobatie, trampoline, <strong>de</strong> chants, <strong>de</strong> musique, d’images, <strong>de</strong> verbe et <strong>de</strong> textes, Singularités ordinaires est une o<strong>de</strong> à ces trois<br />

i<strong>de</strong>ntités qui finiront par se croiser au cours d’une improbable rencontre...<br />

GdRA<br />

Le GdRA allie arts et sciences humaines. Il passe l’œil sociologique au prisme <strong>de</strong> l’esthétique. Sous forme <strong>de</strong> propositions artistiques,<br />

spectacles, installations, expositions, performances, rencontres avec les publics, il évoque <strong>de</strong>s vécus ou <strong>de</strong>s « terrains » proches ou<br />

lointains, au sens que donnent les ethnologues à ce terme. Il souligne une ludique nécessité : chercher un art <strong>de</strong>s cultures<br />

communes, dont les formes se jouent <strong>de</strong>s frontières disciplinaires.<br />

29<br />

LE CARRE DES JALLES<br />

place <strong>de</strong> la République<br />

Saint Médard-en-Jalles<br />

mardi 20 novembre à 20 h. 30<br />

tarifs : 15 € / 10 et 8 € (réduit)<br />

THEATRES<br />

Coproductions : Agora, scène conventionnée <strong>de</strong> Boulazac<br />

/ Le Channel, scène nationale <strong>de</strong> Calais, Parc <strong>de</strong> la<br />

Villette, Paris / Le Carré <strong>de</strong>s Jalles, Saint-Médard-en-<br />

Jalles / Culture Commune, scène nationale du bassin<br />

minier du Pas-<strong>de</strong>-Calais<br />

Soutiens : Circuits, scène conventionnée d’Auch / La<br />

Grainerie lieu <strong>de</strong> fabrique <strong>de</strong>s arts du cirque Balma /<br />

Association Média 2 Méditerranée Marseille<br />

Ai<strong>de</strong>s à la création : Jeunes Talents Cirque / DRAC Midi-<br />

Pyrénées / Conseil Régional Midi-Pyrénées / Conseil<br />

Général <strong>de</strong> la Haute-Garonne<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />

05 57 93 18 93<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Valérie Borowyez<br />

05 57 93 18 80<br />

v.borowyez@saint-medard-en-jalles.fr


Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine présente :<br />

Si loin si proche : Iran / Liban / Tunisie<br />

Qu’en est-il du théâtre, <strong>de</strong> la danse, <strong>de</strong> la musique, du cirque ou <strong>de</strong> la performance dans le mon<strong>de</strong> arabe et au Moyen-Orient ? Y<br />

a-t-il une scène (contemporaine) là-bas ? Comment coexistent tradition et mo<strong>de</strong>rnité ? Comment se vivent, se détournent ou<br />

s’intègrent les inhibitions, les interdits, les i<strong>de</strong>ntités croisées ? Telles sont quelques-unes <strong>de</strong>s questions que le TnBA a voulu<br />

soulever en invitant quelques représentants d’une scène « si proche et pourtant si lointaine ».<br />

Les Tunisiens Fadhel Jaïbi et Jalila Baccar sont une référence dans tout le mon<strong>de</strong> arabe pour l’exigence politique, morale et<br />

esthétique avec laquelle ils mènent <strong>de</strong>puis plusieurs décennies un combat pour une parole libre et forte. Le TnBA tenait à<br />

présenter leur <strong>de</strong>rnière création Corps otages, une œuvre salutaire, exemplaire, un brûlot lancé avec humour et colère. A côté <strong>de</strong><br />

ces <strong>de</strong>ux gran<strong>de</strong>s figures, le TnBA a choisi d’accueillir Rabih Mroué et Lina Saleh, <strong>de</strong>ux jeunes Libanais qui questionnent avec<br />

humour le rôle <strong>de</strong> l’artiste dans un pays marqué par la guerre et les fractures religieuses, Amir Reza Koohestani, un jeune metteur<br />

en scène iranien en train <strong>de</strong> s’imposer sur la scène internationale, la toute nouvelle Ecole du Cirque <strong>de</strong> Tunis ou encore<br />

Radhouane El Med<strong>de</strong>b, un étrange comédien-danseur-performeur venu <strong>de</strong> Tunis.<br />

Ces créations témoignent <strong>de</strong> la diversité <strong>de</strong>s approches et <strong>de</strong>s esthétiques ; elles font toutes, chacune à leur manière, acte <strong>de</strong><br />

résistance contre les pressions culturelles et les conservatismes religieux. Pour vivre et se développer, elles ont besoin <strong>de</strong> notre<br />

regard, <strong>de</strong> notre attention et <strong>de</strong> notre soutien. Par <strong>de</strong>là le plaisir <strong>de</strong> la découverte, tel est aussi l’enjeu <strong>de</strong> ce parcours que le TnBA<br />

propose dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux.<br />

Qui a peur <strong>de</strong> la représentation ? Rabih Mroué<br />

Avec Lina Saneh, Rabih Mroué<br />

TEXTE & MISE EN SCENE Rabih Mroué<br />

TRADUCTION FRANÇAISE Catherine Cattaruzza<br />

SCENOGRAPHIE Samar Maakaron<br />

Lorsque l’art se confond avec la violence <strong>de</strong> la guerre<br />

Se déclarer artiste au Liban revient à passer pour un fou, ou pire, un individu ! Partant <strong>de</strong> la situation <strong>de</strong> l’artiste au Liban, Rabih<br />

Mroué et Lina Saneh, issus <strong>de</strong> la nouvelle génération d’artistes, créent une performance théâtre d’un nouveau genre en osant poser<br />

<strong>de</strong>s questions <strong>de</strong> manière proprement irrévérencieuses. À travers une mise en scène subtile, ils renvoient dos à dos les actions<br />

artistiques du body art aux réalités <strong>de</strong> la guerre civile Libanaise : performeurs <strong>de</strong> l’extrême contre terroristes brutaux, automutilation<br />

artistique contre exécution sommaire. Entre tragédie et humour, ils posent une question simple : et si la peur <strong>de</strong> la représentation<br />

était la peur <strong>de</strong> la vérité ?<br />

30<br />

THEATRES /<br />

Si loin si proche<br />

Renseignements du public et<br />

réservations :<br />

Du mardi au samedi <strong>de</strong> 13 h. à 19 h.<br />

05 56 33 36 80<br />

www.tnba.org<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Hélène Debacker<br />

05 56 33 36 60<br />

T.n.B.A., studio <strong>de</strong> création<br />

Square Jean-Vauthier<br />

En arabe surtitré en français.<br />

mardi 20 novembre à 19 h. 30<br />

mercredi 21 novembre à 19 h. 30<br />

Coproduction Association Libanaise pour les Arts<br />

Plastics, ASHKAL ALWAN, La filature - SC -<br />

Mulhouse.<br />

Avec le soutien <strong>de</strong> l’Office National <strong>de</strong> Diffusion<br />

Artistique.<br />

tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)


Recent experiences Amir Reza Koohestani<br />

Avec Baharan Baniahmadi, Saed Changizian, Mitra Gorgi, Sahar Dolatshahi, Setareh Pessyani, Foad Mokhberi.<br />

TEXTE Nadia Ross – Jacob Wren - TRADUCTION FRANÇAISE Tinouche Nazmjou - ASSISTANTE A LA MISE EN SCENE Mahin Sadri - COSTUMES Merh Theatre Group<br />

ADMINISTRATEURS DE TOURNEE ET REGIE GENERALE Pierre Reis - COPRODUCTION Merh Theatre Group<br />

L’épopée <strong>de</strong> gens ordinaires<br />

Une longue table, <strong>de</strong>s bancs, quelques bougies… Nous sommes réunis pour écouter l’histoire quotidienne d’une famille à travers<br />

les événements qu’elle traverse durant un siècle. Sur quatre générations, <strong>de</strong>s voix, <strong>de</strong>s regards, <strong>de</strong>s sourires, <strong>de</strong>s chuchotements<br />

et <strong>de</strong>s larmes disent l’épopée <strong>de</strong> gens ordinaires qui tentent d’échapper à l’usure du quotidien. 1900, 1901, 1902… <strong>2007</strong>.<br />

Beaucoup <strong>de</strong> non-dits et parfois une année résumée par une unique phrase : « J’aime ma sœur ». Les six comédiens prêtent leurs<br />

voix au texte subtil <strong>de</strong>s auteurs canadiens, Jacob Wren et Nadia Ross.<br />

Après Dance on glasses, qui lui avait permis d’émerger sur la scène européenne, l’iranien Amir Reza Koohestani témoigne une fois<br />

<strong>de</strong> plus <strong>de</strong> la singularité <strong>de</strong> son talent, <strong>de</strong> sa capacité à transcen<strong>de</strong>r le temps, à créer une troublante proximité entre spectateurs et<br />

comédiens. Loin <strong>de</strong>s effets <strong>de</strong> style et <strong>de</strong>s surenchères technologiques, Recent experiences nous ramène à l’essence même du<br />

théâtre. Un spectacle singulier qui trouve sa force dans son extrême simplicité.<br />

Corps Otages Fadhel Jaïbi<br />

Avec Jalila Baccar, Fatma Ben Saidane, Jamel Madani, Moez M’rabet, Besma El Euchi, Lobna M’lika, Wafa<br />

Tabboubi, Riadh Hamdi, Hajer Garsallaoui, Khaled Bouzid, Hosni Akrimi<br />

TEXTE, SCENARIOS ET DRAMATURGIE Jalila Baccar, Fadhel Jaïbi - SCENOGRAPHIE ET COSTUMES Kaïs Rostom - CHOREGRAPHIE ET SON Nawel Skandrani – LUMIERE Fadhel Jaïbi,<br />

Yvan Labasse<br />

Une œuvre salutaire, un brûlot lancé avec humour et colère<br />

Une jeune femme, professeur <strong>de</strong> physique, commet un acte kamikaze en se faisant exploser dans la cour <strong>de</strong> son lycée. Après ce<br />

drame, Amal, son amie, va être directement soupçonnée d’appartenir au même groupe <strong>de</strong> terroristes. S’ouvre alors une pièce-procès,<br />

où témoins et complices se succè<strong>de</strong>nt, interrogés par une police qui ne ménage ni ses mots ni ses manières. Une secon<strong>de</strong> enquête<br />

est menée en parallèle : comment Amal, une jeune fille élevée dans un milieu aisé et ouvert, a-t-elle pu basculer dans l’islamisme<br />

radical ? Sur un texte à la fois réaliste, engagé et poétique <strong>de</strong> Jalila Baccar, une douzaine <strong>de</strong> comédiens à la présence physique très<br />

forte, emporte le spectateur dans la tension <strong>de</strong>s interrogations, <strong>de</strong>s quêtes, <strong>de</strong>s réponses, qu’elles soient individuelles ou collectives.<br />

Pour ceux qui découvrent le théâtre arabophone et singulièrement tunisien, le metteur en scène Fadhel Jaïbi est une référence<br />

incontournable. À Tunis, chacune <strong>de</strong> ses mises en scène est passionnément commentée par <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> spectateurs. Sa<br />

popularité lui a longtemps garanti une certaine liberté d’expression, mais face à l’engagement politique <strong>de</strong> Khamsoun – Corps otages,<br />

la pièce a été interdite plusieurs semaines à Tunis… avant <strong>de</strong> remporter un large succès populaire. Terriblement d’actualité à l’heure<br />

où le Maghreb laïque et progressiste cherche à parer les assauts <strong>de</strong> l’intégrisme religieux et où les attentats sanglants s’enchaînent,<br />

cette fable tragi-comique nous dit combien la démocratie et la liberté <strong>de</strong> pensée sont fragiles.<br />

31<br />

THÉÂTRES /<br />

Si loin si proche<br />

T.n.B.A., plateau Gran<strong>de</strong> Salle<br />

Square Jean-Vauthier<br />

En perse surtitré en français.<br />

mercredi 21 novembre à 20 h. 30<br />

jeudi 22 novembre à 20 h. 30<br />

tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)<br />

T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />

Square Jean-Vauthier<br />

En arabe surtitré en français<br />

vendredi 23 novembre à 20 h. 30<br />

samedi 24 novembre à 20 h. 30<br />

Production : Familia Productions<br />

Avec le soutien <strong>de</strong> l’i.f.c. – Institut Français <strong>de</strong><br />

Coopération (Tunisie)<br />

tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)


Halfaouïne Ecole Nationale <strong>de</strong>s Arts du Cirque <strong>de</strong> Tunis<br />

Avec Ab<strong>de</strong>lka<strong>de</strong>r Jendoubi, Faten Jebali, Houda Riahi, Ines Derbali, Mahran Hannachi, Malek Zouaidi, Med Dhia<br />

Gharbi, Mohamed Djobbi, Radhouane Chalbaoui, Yamen Abidi.<br />

MISE EN SCENE & CHOREGRAPHIE Gilles Baron – SCENOGRAPHIE Dennis Tisseraud - COSTUMES Gilles Baron – Basma Dhaouadi - LIGHT DESIGNER José Victorien<br />

La fougue et la sensualité d’un cirque peuplé <strong>de</strong> djinns<br />

Ils sont dix, filles et garçons, jeunes artistes, fraîchement sortis <strong>de</strong> l’École Nationale <strong>de</strong>s Arts du Cirque <strong>de</strong> Tunis. Ils viennent <strong>de</strong><br />

créer leur tout premier spectacle sous la houlette <strong>de</strong> Gilles Baron, danseur, chorégraphe et homme <strong>de</strong> cirque… aquitain (Oozing<br />

tears, la saison <strong>de</strong>rnière, c’était lui).<br />

Ensemble, ils ont rêvé un conte, un récit peuplé <strong>de</strong> rêves et <strong>de</strong> djinns, ces génies héritiers <strong>de</strong> l’esprit du voyage. Un voyage dont le<br />

point <strong>de</strong> départ (et d’arrivée) serait Halfaouïne, célèbre place <strong>de</strong> la médina <strong>de</strong> Tunis où artistes, acrobates et magiciens<br />

présentaient jeux et spectacles, tandis que les « Caféchanta » (cafés chantants) transformaient le quartier en un lieu d’animation et<br />

<strong>de</strong> festivité très prisé. Ce spectacle prend appui sur l’univers spirituel traditionnel du chant soufi et sur « la sensualité, la chaleur, la<br />

séduction du contact charnel » <strong>de</strong> ces jeunes artistes.<br />

Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine et Musiques <strong>de</strong> nuit présentent :<br />

Rabih Abou Khalil<br />

Avec Rabih Abou Khalil oud - Gevorg Dabaghyan duduk - Michel Godard serpent, guitare- Jarrod Cagwin drums,<br />

percussions - Gavino Murgia, chant.<br />

La mélodie chamarrée <strong>de</strong>s caravanes en marche<br />

Musiciens <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-mon<strong>de</strong>s, le Libanais Rabih Abou Khalil mêle en une alchimie singulière les multiples traditions musicales<br />

du mon<strong>de</strong> arabe, les musiques savantes et populaires d’occi<strong>de</strong>nt, le jazz et la musique improvisée… D’une séduction mélodique<br />

immédiate, sa musique, prend ainsi sa source aux portes du désert pour partir à l’assaut <strong>de</strong> nouveaux paysages musicaux.<br />

Depuis plus <strong>de</strong> vingt ans, cet infatigable passeur et joueur d’oud – ce luth traditionnel oriental vieux <strong>de</strong> trois mille ans - invente un<br />

univers musical à la fois sensuel et méditatif, simple et sophistiqué. La quête <strong>de</strong> nouveaux territoires où aventurer sa tradition, a<br />

poussé Abou Khalil à réunir à Bor<strong>de</strong>aux <strong>de</strong> vieux musiciens complices comme Michel Godard et <strong>de</strong> nouveaux venus à l’instar du<br />

chanteur traditionnel sar<strong>de</strong> Gavino Murgia. Ensemble, ils se proposent d’explorer <strong>de</strong> nouveaux horizons lointains et lumineux.<br />

32<br />

T.n.B.A., Gran<strong>de</strong> Salle<br />

Square Jean-Vauthier<br />

à partir <strong>de</strong> 6 ans<br />

THEATRES /<br />

Si loin si proche<br />

samedi 24 novembre à 20 h. 30<br />

tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)<br />

Production Origami – Cie Gilles Baron,<br />

École Nationale <strong>de</strong>s Arts du Cirque <strong>de</strong> Tunis.<br />

Coproduction L’Agora, SC – Boulazac.<br />

MUSIQUES /<br />

Si loin si proche<br />

T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />

Square Jean-Vauthier<br />

mercredi 21 novembre à 21 h.<br />

tarifs : 25 € / 13 €, 10 € (réduits)<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Hélène Debacker<br />

05 56 33 36 60


Le FRAC-Collection Aquitaine présente :<br />

Jeff Rian<br />

Au sein <strong>de</strong> l’exposition <strong>de</strong> Stéphane Dafflon, Statik Dancin’<br />

Statik Dancin', l'exposition <strong>de</strong> Stéphane Dafflon au Frac Aquitaine porte un nom qui suppose implicitement l'organisation d'un concert<br />

dans son espace. Le Frac Aquitaine ose l'expérience en invitant un proche <strong>de</strong> l'artiste, Jeff Rian, pour un concert unique. Ce concert<br />

vient comme une extension artistique <strong>de</strong> l'exposition et du livre consacrés à Stéphane Dafflon, <strong>de</strong>stinés à offrir au public une nouvelle<br />

approche <strong>de</strong>s œuvres qu'il peut expérimenter dans <strong>de</strong>s conditions inédites.<br />

Jeff Rian, accompagné d'un batteur, Marty Vickers (canadien), et d'un contrebassiste, Stephen Harrison (anglais) proposera un mix<br />

instrumental et vocal, <strong>de</strong> la «Fozz Music», selon sa propre appellation, où interviendront contrebasse et guitare acoustiques ainsi<br />

qu'un banjo et une petite batterie.<br />

Jeff Rian<br />

Critique d'art et musicien, il est l'auteur d'un disque, en collaboration avec Jean-Jacques Palix, intitulé «Evergla<strong>de</strong>» (2000). Il a<br />

également collaboré avec Alexandra Roos pour «Fanfare» (Barclay, 2003). A l'automne <strong>2007</strong>, sortira un nouveau disque 8 <strong>de</strong> pique,<br />

produit par lan Caple, Tricky, Tin<strong>de</strong>rsticks et Baschung (Naive). Jeff Rian collabore aux revues Art in America, Frieze, Flash Art et<br />

View on Colour. Il est également éditeur à la revue Purple, et l'auteur du texte consacré à Stéphane Dafflon dans le catalogue<br />

monographique que le Frac vient d'éditer en partenariat avec La Salle <strong>de</strong> Bains à Lyon, La Synagogue <strong>de</strong> Delme et Le Spot au Havre<br />

Exposition Stéphane Dafflon<br />

Statik Dancin’ (28 septembre-21 décembre <strong>2007</strong>, Au Frac Aquitaine, Stéphane Dafflon a choisi d'associer sculptures, peintures et<br />

installation dans un espace volontairement dépouillé. Il poursuit ainsi son travail artistique sous un angle minimaliste, dérivé d'une<br />

esthétique liée à la technique du <strong>de</strong>sign industriel, qui manifeste une relecture <strong>de</strong> la peinture abstraite.<br />

33<br />

FRAC AQUITAINE<br />

Hangar G2, quai Armand Lalan<strong>de</strong><br />

jeudi 22 novembre à 20 h.<br />

MUSIQUES<br />

tarif : entrées libres (dans la limite <strong>de</strong>s<br />

places disponibles)<br />

Le Frac-Collection Aquitaine est financé par<br />

le Conseil Régional d'Aquitaine<br />

et la Direction régionale <strong>de</strong>s affaires culturelles<br />

d'Aquitaine - Ministère <strong>de</strong> la Culture et <strong>de</strong> la<br />

Communication<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Aurore Combasteix<br />

05 56 24 71 36<br />

ac@frac-aquitaine.net


Le Glob Théâtre présente :<br />

Tout le bonheur est à l’intérieur(dispositif pour une télévision d’art & d’essai)<br />

Fondation Professeur Swe<strong>de</strong>nborg pour l’Art Contemporain<br />

Réalisation Odile Darbelley Michel Jacquelin<br />

Avec Odile Darbelley, Delphine Jonas, Pierre Clarard, Chicco Gramaglia, Michel Jacquelin et Dany Kanashiro<br />

Avec la participation <strong>de</strong> Xavier Marchand et <strong>de</strong> la chatte Mistake<br />

MUSIQUE Cyril Hernan<strong>de</strong>z TRAVAIL GESTUEL Clau<strong>de</strong> Bokhobza<br />

SON François Weber CONSTRUCTION La Manufacture à Niort<br />

RÉGIE Dany Kanashiro, Jean-Yves Perruchon<br />

La <strong>de</strong>rnière folie <strong>de</strong> « Darbelin »<br />

Un mur barre la scène <strong>de</strong> cour à jardin. Le public est divisé en <strong>de</strong>ux. Si le mur empêche <strong>de</strong> voir ce qui se passe <strong>de</strong> l’autre côté,<br />

l'espace sonore est commun. Ce dispositif est l’œuvre d’un artiste qui tente <strong>de</strong> développer une télévision d'art et essai. Il fait<br />

l’expérience <strong>de</strong> produire une émission comme une œuvre d'art interactive dont il peut avoir simultanément un feed back. Au recto du<br />

dispositif, côté studio, nous assistons à la fabrication <strong>de</strong> l’émission et au verso, côté salle, à sa diffusion, dans l’atelier reconstitué d’un<br />

peintre : Marcel. La relation entre les <strong>de</strong>ux faces ne se limite pas à un simple lien <strong>de</strong> cause à effet : l’émission génère <strong>de</strong>s réactions,<br />

<strong>de</strong>s détournements, <strong>de</strong>s surenchères qui, loin d’une simple consommation, viennent à leur tour nourrir le travail <strong>de</strong> l’artiste. Par<br />

définition cette émission se situe entre le laboratoire et le studio, entre l’art vidéo et la télévision, entre le théâtre et la performance...<br />

Une façon <strong>de</strong> réfléchir sur l'image vidéo et son rapport à l'œuvre d'art, tout en mettant en jeu la représentation théâtrale.<br />

Michel Jacquelin<br />

Après avoir été reçu en 1982 à l’Agrégation d’Arts plastiques et avoir soutenu en 1990 sa thèse sur la photographie, il mène en<br />

parallèle <strong>de</strong>ux activités : celle <strong>de</strong> plasticien (il expose entre autres au CREDAC et pour la Galerie Michèle Chomette) ; celle <strong>de</strong><br />

photographe pour le théâtre et la danse, et collabore à <strong>de</strong> nombreuses revues. Il abor<strong>de</strong> la scénographie en 1992 (spectacles <strong>de</strong> R.<br />

Dubelski, C. Jehanin, M. Guerre, C. Bokhobza, C. Hernan<strong>de</strong>z, X. Marchand et O. Grandville). Il crée à partir <strong>de</strong> 1993 ses propres<br />

spectacles/performances en collaboration avec O. Darbelley : Les Témoins Oculaires, Victor Singelshot scénographe, F.K./M.J.<br />

Séance <strong>de</strong> scrutation photographique.<br />

Odile Darbeley<br />

Co-responsable <strong>de</strong> la chronique "Arrêt sur image" à Théâtre/Public, elle pratique régulièrement la musique et la danse. Odile<br />

Darbelley et Michel Jacquelin créent ensemble, à partir <strong>de</strong> 1996, plusieurs spectacles, performances ou expositions : Hans K., un cas<br />

<strong>de</strong> figure, Le Vivarium…. Ils développent à partir <strong>de</strong> 1996 un triptyque <strong>de</strong> spectacles. L'ensemble est créé au festival d'Avignon 2001<br />

sous le titre : Un lièvre qui a <strong>de</strong>s ailes est un autre animal. Ils publient aux éditions Actes Sud Du lard à l’art en 2001. Ils créent en<br />

2003 au Théâtre du Rond Point Tout seul je ne suis pas assez nombreux par le Contemporary Poussiv’Dance Group, puis imaginent<br />

Le Grand Feuilleton. Par ailleurs, ils ont réalisé l’affiche du Festival d’Avignon 2003.<br />

34<br />

GLOB THEATRE<br />

69, rue Joséphine<br />

THEATRES<br />

jeudi 22 novembre à 20 h.<br />

vendredi 23 novembre à 20 h.<br />

tarifs : 12 € / 8 € (réduit)<br />

Production : Association Arsène ; Fondation<br />

Professeur Swe<strong>de</strong>nborg pour l’Art contemporain ;<br />

CDR <strong>de</strong> Thionville / Lorraine ; Festival Perspectives<br />

Sarrebruck ; Scène nationale <strong>de</strong> Vandoeuvre Les<br />

Nancy ; Théâtre Garonne Toulouse / Avec le<br />

soutien : Le Lieu Unique (Nates) ; Théâtre <strong>de</strong> la Cité<br />

internationale (Paris) / Avec le soutien à la diffusion<br />

d’Arcadi – L’Association Arsène est conventionnée<br />

par la Direction régionale <strong>de</strong>s Affaires culturelles<br />

d’Île-<strong>de</strong>-France – Ministère <strong>de</strong> la Culture et <strong>de</strong> la<br />

Communication.<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Glob théâtre<br />

Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />

05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />

Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />

05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Billetterie GLOB<br />

05 56 69 06 66<br />

contact@globtheatre.net<br />

www.globtheatre.net<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56


Le Cuvier d’Artigues Centre <strong>de</strong> Développement Chorégraphique d’Aquitaine présente :<br />

Songs<br />

Stéphane Guignard<br />

Direction musicale et mise en scène Stéphane Guignard<br />

D’après <strong>de</strong>s musiques <strong>de</strong> John Cage (Expérience 2, A room, Song Books, Aria, Music for Marcel Duchamp, Bacchanale,<br />

Dream, Fontana mix)<br />

DANSE Patricia Borges Henriques LUMIERES Éric Blosse<br />

VOIX LYRIQUE Nadine Gabard SCENOGRAPHIE Bruno Lahontâa<br />

VOIX ET KOTO Mieko Miyazaki COSTUMES Agathe Delabre<br />

ELECTRONIQUE ET TECHNIQUE Eddie Ladoire CHARGEE DE PRODUCTION ET DIFFUSION Emmanuelle Paoletti<br />

Au départ <strong>de</strong> Songs, construction mobile à la croisée du chant, du koto et <strong>de</strong> la danse, une rencontre entre occi<strong>de</strong>nt et orient : le<br />

chant <strong>de</strong> Nadine Gabard et le koto <strong>de</strong> Mieko Miyazaki, l’une interprétant <strong>de</strong>s pièces <strong>de</strong> John Cage et délivrant ses propres chants,<br />

l’autre détournant son koto dans <strong>de</strong>s transpositions teintées d’airs traditionnels japonais… Deux trajectoires musicales singulières<br />

troublées par l’énergie <strong>de</strong> Patricia Borges Henriques, danseuse. Les i<strong>de</strong>ntités <strong>de</strong> chacune rebondissent sur le mouvement <strong>de</strong> l’autre,<br />

provocant, altérant, désorientant les intentions jusqu'à l’atteinte <strong>de</strong> notre tranquillité. En suspension, les corps contours <strong>de</strong> ces trois<br />

« mon<strong>de</strong>s », jouent leurs racines. Par ce « chant chorégraphique », Stéphane Guignard consoli<strong>de</strong> sa relation physique à la musique<br />

élément fondamental <strong>de</strong> sa démarche artistique. Interpréter John Cage en <strong>2007</strong> est signe chez Stéphane Guignard d’une liberté <strong>de</strong><br />

jouer <strong>de</strong>s hasards <strong>de</strong>s rencontres. Porteur <strong>de</strong> cette démarche singulière, il ravive une écoute physique, poétique, libérée. Songs est<br />

un travail collectif qui porte en lui l’étrangeté, l’imprévisibilité <strong>de</strong> nos gestes et souhaite ainsi contribuer à créer une forme d’expression<br />

où le chant du corps tient autant <strong>de</strong> place que la danse <strong>de</strong> la voix.<br />

« J’ai toujours été du côté <strong>de</strong>s choses qu’on ne doit pas faire, en recherchant comment remettre en jeu les éléments habituellement<br />

rejetés ». John Cage<br />

« De « Pan » à « Volte», on retrouve dans tous les spectacles qu’a conçus Stéphane Guignard <strong>de</strong>puis une quinzaine d’années un<br />

caractère <strong>de</strong> concentration, d’intensité contenue, qui est une <strong>de</strong> ses plus méconnaissables signatures : à travers la paradoxale<br />

diversité <strong>de</strong>s univers qu’il explore, il réussit toujours à toucher à l’essentiel et à le rendre sensible, presque palpable, avec une<br />

économie <strong>de</strong> moyens et une force d’évi<strong>de</strong>nce très inhabituelles. » Luc Bourrousse<br />

L'association éclats... créée en 1987 est un espace <strong>de</strong> recherche et <strong>de</strong> création dirigé par Stéphane Guignard. Les paysages<br />

sonores, le corps musical, le théâtre instrumental, le croisement <strong>de</strong>s arts, les nouvelles technologies sont les points d'appui <strong>de</strong> sa<br />

recherche. Inscrite et i<strong>de</strong>ntifiée dans une démarche contemporaine, éclats crée, produit, accompagne et diffuse concerts et<br />

spectacles à travers la France.<br />

35<br />

LE CUVIER D’ARTIGUES<br />

boulevard Fey<strong>de</strong>au<br />

Artigues-près-Bor<strong>de</strong>aux<br />

vendredi 23 novembre à 21 h.<br />

MUSIQUES<br />

Création<br />

tarifs : 15 € / réduit 9 € (7 € : -18 ans)<br />

Coproduction : Office Artistique <strong>de</strong> la Région<br />

Aquitaine / Institut Départemental <strong>de</strong> Développement<br />

Artistique et Culturel / le festival <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux /<br />

ADAM Lan<strong>de</strong>s / Avec le soutien <strong>de</strong> l’ADAMI et <strong>de</strong> la<br />

SPEDIDAM.<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Emmanuelle Paoletti<br />

05 56 52 52 64<br />

emmanuelle.paoletti@eclats.net<br />

www.eclats.net


Présence Capitale présente :<br />

Burn out – post crash<br />

9 ème Symposium <strong>de</strong>s arts sonores & mix médias<br />

Programmation établie par<br />

Joachim Montessuis (label Erratum) et Yvan Etienne (label W)<br />

en liaison avec André Lombardo (directeur artistique <strong>de</strong> Présence Capitale)<br />

Thomas Ankersmit & Giuseppe Ielasi (Hollan<strong>de</strong> / Italie) « expérimental – mix médias »<br />

Samon Takahashi (Japon) « Minimal Art »<br />

Manuela Barile (Italie) « Vocal Art »<br />

Jacob Kirkegaard (Danemark) « Minimal Art »<br />

Jeorg Piringer (Autriche) « Poésie sonore électronique »<br />

Brian Saun<strong>de</strong>rs (USA) « Spoken Word Intense »<br />

En partenariat avec le CAPC musée d’art contemporain<br />

36<br />

MUSIQUES<br />

ENTREPOT LAINE, AUDITORIUM<br />

7, rue Ferrère<br />

samedi 24 novembre<br />

<strong>de</strong> 15 h. à 21 h.<br />

tarif : entrées libres sur réservation<br />

(dans la limite <strong>de</strong>s places disponibles)<br />

En partenariat avec la Mairie <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux,<br />

Le Conseil Général <strong>de</strong> Giron<strong>de</strong>,<br />

Le Conseil Régional d’Aquitaine<br />

et <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

André Lombardo<br />

06 88 39 71 31<br />

presence.capitale@free.fr


L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

Genitrix<br />

Opéra en 2 actes <strong>de</strong> László Tihanyi<br />

Livret László Tihanyi et Alain Surrans d’après François Mauriac.<br />

DIRECTION MUSICALE László Tihanyi<br />

MISE EN SCENE Christine Dormoy<br />

DRAMATURGIE Isabelle Bonnet<br />

DECORS Philippe Marioge<br />

COSTUMES Cidalia da Costa<br />

LUMIERES Paul Beaureilles<br />

VIDEASTE Eric Angels<br />

Avec Servan Manoukian Mathil<strong>de</strong>, Hanna Schaer Félicité, Jean-Manuel Can<strong>de</strong>not Fernand,<br />

Christophe Berry Duluc, Denise Labor<strong>de</strong> Marie<br />

Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine - Chœur <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />

L’action se déroule vers 1920 dans une petite ville, Langon, sur les rives <strong>de</strong> la Garonne. Fernand Cazenave, cinquante ans à peu<br />

près, vit avec Félicité, sa mère âgée, dans une maison proche <strong>de</strong> la station <strong>de</strong> chemin <strong>de</strong> fer. L’homme est totalement prisonnier <strong>de</strong><br />

sa mère. Il n’a aucune relation amicale ou amoureuse. Dans le voisinage entre en scène une jeune institutrice, Mathil<strong>de</strong>…<br />

Félicité, Fernand, Mathil<strong>de</strong>, les personnages <strong>de</strong> Mauriac se heurtent, se blessent, se croisent, se per<strong>de</strong>nt; ils n'en finissent pas<br />

d'assister en eux-mêmes à un combat. Ils ignorent le bonheur du corps et la seule métaphore du désir décrite dans le paysage<br />

mauriacien, c'est la solitu<strong>de</strong> sous un soleil brûlant. C'est dans cette dissonance, dans ce dialogue impossible avec soi-même et avec<br />

l'autre, que la musique <strong>de</strong> László Tihanyi prend sa place. La mise en scène <strong>de</strong> Christine Dormoy scrute cette impossibilité <strong>de</strong><br />

communiquer, cherche <strong>de</strong>s circulations pour les personnages et leurs ombres dans l'espace clos <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong> Félicité<br />

Cazenave, la mère, le personnage symbole <strong>de</strong> Genitrix. La scénographie <strong>de</strong> Philippe Marioge est un large plateau nu où s'arrêtent<br />

les solitu<strong>de</strong>s… espace ouvrant un huis-clos étouffant sur la lumière d'incendie du <strong>de</strong>hors avec <strong>de</strong> hautes baies vitrées où viennent<br />

s'inscrire, parfois en vidéo, les images du passé et les projections mentales, celles <strong>de</strong> l'indicible, <strong>de</strong> l'invisible, <strong>de</strong> l'inconscient.<br />

L'opéra <strong>de</strong> László Tihanyi fouille cette blessure, et ses personnages, cherchant à la comprendre, ne font que l'approfondir. Sa<br />

musique a parfois les sonorités <strong>de</strong> Messiaen, parfois celles <strong>de</strong> Ligeti, <strong>de</strong>s fulgurances <strong>de</strong> Bartók. Tihanyi est un compositeur chef<br />

d’orchestre hongrois, compagnon <strong>de</strong> route <strong>de</strong> Peter Eotvös. Les lignes vocales <strong>de</strong> Genitrix sont <strong>de</strong> facture classique parce que<br />

Tihanyi porte une gran<strong>de</strong> attention aux mots et à la langue française.<br />

Cinq solistes : basse, contralto, et soprano, incarnent les trois rôles principaux… ténor pour le mé<strong>de</strong>cin et une voix parlée/chantée<br />

pour Marie <strong>de</strong> Lados, soutiennent cette distribution. L’Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine et le chœur <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong><br />

Bor<strong>de</strong>aux seront placés sous la direction du compositeur lui-même.<br />

37<br />

OPÉRA<br />

Création<br />

GRAND-THEATRE<br />

place <strong>de</strong> la Comédie<br />

nouvelle production (en langue française)<br />

dimanche 25 novembre à 15 h.<br />

mercredi 28 novembre à 20 h.<br />

vendredi 30 novembre à 20 h.<br />

samedi 1 er décembre à 20 h.<br />

tarifs : <strong>de</strong> 8 à 55 €<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Grand-Théâtre<br />

05 56 00 85 95<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Canal Com<br />

05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />

canalcom@club-internet.fr


Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine présente :<br />

Les nouveaux saltimbanques<br />

C’est le <strong>de</strong>uxième temps fort que le TnBA a souhaité imaginer dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux.<br />

Qu’ils vivent en roulotte ou soient sé<strong>de</strong>ntarisés, qu’ils s’inscrivent dans l’histoire <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s familles d’artistes ou soient <strong>de</strong>s<br />

nouveaux venus sans filiation, qu’ils aient opté pour un chapiteau, un théâtre ou même un tonneau ( ! ) comme écrin à leurs<br />

spectacles, ils ont en commun d’être <strong>de</strong>s nouveaux saltimbanques, <strong>de</strong>s inventeurs <strong>de</strong> rêve et <strong>de</strong> poésie, <strong>de</strong>s enchanteurs du<br />

quotidien, les enfants <strong>de</strong> la balle préférés. Du côté <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s familles, le cirque Rasposo nous entraîne sous son chapiteau avec<br />

son Parfums d’Est, délicieusement gitan, tandis que Victoria Thierrée-Chaplin, fille <strong>de</strong>… Charlot, imagine avec L’Oratorio<br />

d’Aurélia un spectacle onirique et drôle pour sa propre fille Aurélia… Deux ren<strong>de</strong>z-vous à vivre en famille ! Pour les plus grands, le<br />

TnBA vous fera découvrir Bonaventure Gacon dans par le Boudu, un clown véritablement inquiétant ; ou encore Éloge du poil, une<br />

déconcertante o<strong>de</strong> à la pilosité par Jeanne Mordoj. Et pour finir, le concert d’un « groupe-culte », les Tiger Lillies…<br />

Éloge du poil<br />

Jeanne Mordoj<br />

DIRECTION ARTISTIQUE, CREATION ET JEU Jeanne Mordoj<br />

MISE EN SCENE Pierre Meunier<br />

Être une femme à barbe<br />

Jeanne Mordoj aime se comparer à une sorcière, « celle qui dans l’ombre concocte ses potions ». En scène, dans son étrange<br />

théâtre en bois amovible, elle est un personnage ambigu, un homme à la féminité débordante ou une femme à la pilosité<br />

développée. Elle aime le trouble, les mélanges et les expériences en tout genre. Maîtrisant les techniques <strong>de</strong> la ventriloquie, la<br />

manipulation d’objets, l’équilibre, le jonglage avec <strong>de</strong>s jaunes d’œufs, elle s’entoure également d’objets et <strong>de</strong> matières étranges<br />

auxquels elle donne vie joyeusement.<br />

Mais alors, ça raconte quoi, cet Éloge du poil ? Une femme à barbe est d’abord une femme et c’est ce que c’est que d’être femme<br />

aujourd’hui dont nous parle Jeanne Mordoj avec sa barbe et ses histoires <strong>de</strong> pilosité. S’appuyant sur son corps, ses techniques<br />

circassiennes et foraines, ses expériences <strong>de</strong> la vie, ses bizarreries, elle porte un regard attendri sur la monstruosité et nous<br />

propose un hommage souriant à la différence, un éloge <strong>de</strong> la féminité, assez loin <strong>de</strong>s stéréotypes (papier) glacés.<br />

38<br />

THEATRES /<br />

Les nouveaux<br />

saltimbanques<br />

Renseignements du public et<br />

réservations :<br />

Du mardi au samedi <strong>de</strong> 13 h. à 19 h.<br />

05 56 33 36 80<br />

www.tnba.org<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Hélène Debacker<br />

05 56 33 36 60<br />

T.n.B.A., studio <strong>de</strong> création<br />

Square Jean-Vauthier<br />

mardi 27 novembre à 19 h. 30<br />

mercredi 28 novembre à 19 h. 30<br />

tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)


Par le Boudu Bonaventure Gacon<br />

Avec Bonaventure Gacon<br />

Un monologue clownesque surtout pour adultes<br />

Gueule tordue, barbe foisonnante, le Boudu entre en scène, dépenaillé, fourbu, plus instable qu’une coquille <strong>de</strong> noix dans la<br />

tempête. Regar<strong>de</strong>z ses grands yeux lunaires, sa misérable calotte, ses basques, ses pantoufles et son nez rouge. Le Boudu est<br />

méchant, sale, infréquentable. Aux numéros comiques, il préfère siroter quelques verres et dévorer <strong>de</strong>s petites filles. Il écrit <strong>de</strong>s<br />

poèmes, fait du patin à roulettes, regar<strong>de</strong> les couchers <strong>de</strong> soleil. Il est tout et rien à la fois le Boudu, un ogre inquiétant et un paumé<br />

loqueteux qui ne <strong>de</strong>man<strong>de</strong> qu’à être aimé.<br />

À la fois drôle et attachant, clochard céleste à la gouaille irrésistible, rêveur inconditionnel, le Boudu est un monstre d’humanité, un<br />

clown pour rire et pour penser… Plébiscité à chacun <strong>de</strong> ses passages pour l’intelligence du personnage et la profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> son<br />

spectacle, Bonaventure Gacon inscrit son nom au panthéon <strong>de</strong>s Augustes. Dans ce solo, il se révèle extraordinaire acrobate,<br />

comédien tendrement étrange et l’on songe en le voyant à un Boudu célèbre qui avait pour nom Michel Simon.<br />

Parfums d’Est Rasposo<br />

Prix ADAMI <strong>de</strong> la XX ème cérémonie <strong>de</strong>s Molières<br />

Avec Marie Molliens, Fred Escurat, Vincent Molliens, Julien Scholl, Bruno Lussier, Fanny Molliens, Joseph<br />

Molliens, Alain Poisot, Benoît Keller, Christian Millanvois, Jacky Lignon.<br />

CREATION ET MISE EN SCENE Fanny Molliens<br />

CREATION LUMIERE Hélène Molliens<br />

CREATION COSTUMES Évelyne Poisot<br />

Enivrants parfums <strong>de</strong> Bohême<br />

Parce que le cirque traditionnel ne se limite pas à une vision surannée <strong>de</strong>s costumes pailletés et <strong>de</strong>s roulements <strong>de</strong> tambour, il est<br />

urgent <strong>de</strong> se laisser entraîner sous le chapiteau <strong>de</strong> la famille Rasposo pour y découvrir du cirque, du vrai. Celui qui renoue avec les<br />

racines tziganes, respire le vieux tapis persan et le campement noma<strong>de</strong>, roulottes, chiens, chats, cochons et orchestre compris. Ils<br />

sont une bonne douzaine d’acrobates, musiciens, danseurs et bonimenteurs et insufflent un vent d’est, tout droit venu <strong>de</strong>s films<br />

d’Emir Kusturica.<br />

Un couple improbable mène la danse : elle est une petite liane blon<strong>de</strong> objet <strong>de</strong> toutes les convoitises, il est un clown pataud et<br />

rêveur ; elle sublime les arts <strong>de</strong> la piste par sa grâce et son audace, il ébahit par ses folles trouvailles. Derrière le talent et<br />

l’inventivité se cache la génialissime famille Molliens, originaire <strong>de</strong> la petite ville <strong>de</strong> Moroges en Côte chalonnaise !<br />

À défaut <strong>de</strong> sang, les Rasposo ont bel et bien l’âme gitane !<br />

39<br />

THEATRES /<br />

Les nouveaux<br />

saltimbanques<br />

T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />

Square Jean-Vauthier<br />

mardi 27 novembre à 20 h. 30<br />

mercredi 28 novembre à 20 h. 30<br />

tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)<br />

Précieux coups d’œil <strong>de</strong> Martine Cendre.<br />

Coproduction Le Prato,<br />

Théâtre international <strong>de</strong> quartier <strong>de</strong> Lille.<br />

T.n.B.A., espace chapiteau<br />

Square Jean-Vauthier<br />

mercredi 28 novembre à 19 h. 30<br />

jeudi 29 novembre à 19 h. 30<br />

vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />

samedi 1 er décembre à 20 h. 30<br />

tarifs : 25 € / 13 €, 10 €, 6 € (réduits)<br />

Compagnie en compagnonnage avec La Verrie<br />

d’Alès en Cévennes Pôle Cirque Région Languedoc-<br />

Rousillon.


L’Oratorio d’Aurélia Victoria Thierrée-Chaplin<br />

Avec Aurélia Thierrée. Danseurs Julio Monge – Jaime Martinez<br />

DECOR Victoria Thierrée-Chaplin<br />

CHOREGRAPHIE Armando Santin<br />

LUMIERES Laura <strong>de</strong> Bernardis, Philippe Lacombe<br />

MANIPULATEURS Tarzana Fourès, Monika Schwarzl, Nicolas Reese<br />

Taillé dans l’étoffe <strong>de</strong>s rêves<br />

Une voix qui s’inquiète sur un répon<strong>de</strong>ur. Personne à l’horizon… Mais où est Aurélia ? Tapie au fond d’une commo<strong>de</strong>, elle s’extirpe, tiroir par<br />

tiroir, petit bout par petit bout. Ce n’est que le début <strong>de</strong>s apparitions fantasmagoriques, baroques et cocasses <strong>de</strong> la petite-fille <strong>de</strong> Chaplin.<br />

Comédienne touche à tout, trapéziste <strong>de</strong> haut vol, danseuse charmeuse, contorsionniste prodigieuse, Aurélia entre en piste dans toutes les<br />

positions et en <strong>de</strong>vient renversante, aérienne, magique. Accompagnée <strong>de</strong> sa mère, Victoria Thierrée-Chaplin pour la mise en scène, elle<br />

perpétue la tradition familiale et renouvelle le genre en inventant un cabaret au goût délicieux <strong>de</strong> simplicité et d’humour. Impossible<br />

d’échapper à cette quête fantasmagorique d’un extrême raffinement.<br />

L’oratorio d’Aurélia est un pur moment <strong>de</strong> grâce, une féerie malicieuse, un vagabondage onirique revigorant.<br />

Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine, en partenariat avec Musiques <strong>de</strong> nuit présente :<br />

Tiger Lillies<br />

Avec Martyn Jacques Multi-instrumentaliste, chanteur<br />

Adrian Huge Batteur surréaliste<br />

Adrian Stout Contrebassiste.<br />

Entre concert rock et cabaret traditionnel<br />

Entre Tom Waits, Klaus Nomi et Kurt Weill, les Tiger Lillies mélangent les genres, se jouent <strong>de</strong>s étiquettes et imposent un style bohème.<br />

Portées par la voix <strong>de</strong> fausset <strong>de</strong> Martyn Jacques, fondateur du groupe et auteur-compositeur-chanteur-accordéoniste-pianiste (liste non<br />

exhaustive), leurs chansons sont imprégnées <strong>de</strong> l’univers londonien <strong>de</strong> Soho : maquereaux, filles <strong>de</strong> joie, fêtards et autres clochards célestes<br />

sont décrits avec une précision aussi comique qu’absur<strong>de</strong>. Pour l’accompagner, un batteur reconverti dans les instruments recyclés, jouets et<br />

ustensiles <strong>de</strong> cuisine et un ancien « musicien respectable » qui désormais s’abandonne à la scie musicale. Ce drôle <strong>de</strong> trio issu <strong>de</strong> la culture<br />

punk, se dévoue corps et âme à une musique tantôt stimulante, tantôt nostalgique, mêlant <strong>de</strong>s ukulélés et <strong>de</strong>s contrebasses, <strong>de</strong>s claviers<br />

bien tempérés et <strong>de</strong>s batteries minimalistes. Une fanfare fantomatique et un envoûtant chant <strong>de</strong> Castafiore qui, avec humour et énergie,<br />

nous disent combien il est bon d’être vivant…<br />

40<br />

T.n.B.A., Gran<strong>de</strong> Salle<br />

Square Jean-Vauthier<br />

THEATRES /<br />

Les nouveaux<br />

saltimbanques<br />

jeudi 29 novembre à 19 h. 30<br />

vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />

samedi 1 er Décembre à 20 h. 30<br />

tarifs : 25 € / 13 €, 10 €, 6 € (réduits)<br />

MUSIQUES /<br />

Les nouveaux<br />

saltimbanques<br />

T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />

Square Jean-Vauthier<br />

vendredi 30 novembre à 22 h.<br />

tarifs : 25 € / 13 €, 10 € (réduits)<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Véronique Duvergié<br />

Musiques <strong>de</strong> Nuit<br />

mdn@free.fr<br />

05 56 94 43 43


Le Carré <strong>de</strong>s Jalles présente :<br />

La Tercera Obra<br />

Teatro La Maria / Chili<br />

DISTRIBUTION, MISE EN SCENE Alexandra von Hummel & Alexis Moreno ADAPTATION Alexis Moreno<br />

COSTUMES Carolina Sapiaín LUMIERES Ricardo Romero<br />

SCENOGRAPHIE Teatro la Maria<br />

Avec,<br />

Roberto Farias, Cristián Carvajal, Moisés Angulo, Alexandra von Hummel, Alexis Moreno<br />

Une explosion d’énergie à la force satirique<br />

Voilà une lecture décapante et résolument contemporaine du texte <strong>de</strong> Brecht Grand peur et misère du III ème Reich qui fait le lien entre<br />

la société alleman<strong>de</strong> d’avant guerre et la société chilienne contemporaine. Ce collectif <strong>de</strong> cinq jeunes acteurs réalise un travail choral<br />

et rythmique époustouflant. Ils réinterrogent la fascination du pouvoir et la soumission à l’autorité au travers <strong>de</strong> différentes histoires :<br />

un montage qui fait réfléchir à la tournure que prennent les choses face au sentiment collectif <strong>de</strong> peur et qui interroge sur ce qui se<br />

passe quand l’oppression et la terreur font partie du système d’éducation. Dans une dramaturgie fraîche et légère, les acteurs,<br />

renonçant à tout artifice, utilisent sans complexe tous les moyens d’expression, dans un va et vient joyeux entre le processus <strong>de</strong><br />

répétitions et <strong>de</strong> mise en scène, projeté sur un écran, et une théâtralité inventive et pleine d’humour. La compagnie Teatro La María,<br />

créée en 1999 par <strong>de</strong>s artistes issus <strong>de</strong> l’Université du Chili, a déjà créé onze pièces qui ont rencontré un fort succès tant auprès <strong>de</strong><br />

la critique que du grand public. La Tercera Obra, troisième partie <strong>de</strong> la « Trilogia Publica », a été présentée pour la première fois à<br />

Santiago du Chili en octobre 2005 et seulement une fois en France en 2006 au Festival Translatines.<br />

« L’un <strong>de</strong>s incontournables <strong>de</strong> l’année… L’une <strong>de</strong>s plus brillantes créations du collectif <strong>de</strong>puis sa création en 1999, son spectacle le<br />

plus politique et le plus radical… La férocité <strong>de</strong> son sarcasme est provocante et stimulante. Le nazisme sert <strong>de</strong> prétexte pour établir<br />

<strong>de</strong>s relations entre la peur, la manipulation, la trahison et l’opportunisme corruptif dans un système ici répandu. Et pour parler <strong>de</strong> la<br />

manière dont le pouvoir en place se sert <strong>de</strong> l’image pour rendre idiot et pour nous soumettre. » El Mercurio<br />

41<br />

LE CARRE DES JALLES<br />

place <strong>de</strong> la République<br />

Saint Médard-en-Jalles<br />

théâtre / vidéo<br />

surtitré en français<br />

THEATRES /<br />

mardi 27 novembre à 20 h. 30<br />

tarif s : 15 € / 10 et 8 € (réduit)<br />

Production : Teatro La Maria<br />

Tournée coordonnée par : La Rose <strong>de</strong>s vents, Scène<br />

Nationale <strong>de</strong> Lille-Métropole <strong>de</strong> Villeneuve d’Ascq –<br />

Avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Onda<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />

05 57 93 18 93<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Valérie Borowyez<br />

05 57 93 18 80<br />

v.borowyez@saint-medard-en-jalles.fr


L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

Quatuor <strong>de</strong> saxophones Raschèr<br />

Bach Trois contrepoints<br />

Nicola Lefanu Moon over western ridge - Mootwingee<br />

Eroc Moe Rough winds do shake the Darling Buds<br />

Bach Organ Canzona<br />

Tristan Keuris Music for saxophones<br />

Le Quatuor <strong>de</strong> saxophones Raschèr<br />

Le Raschèr Saxophone Quartet (Christine Rall, Elliot Riley, Bruce Weinberger, Kenneth Coon) doit son renom à sa sonorité<br />

exceptionnellement homogène, à sa virtuosité et à son interprétation. L’ensemble perpétue une tradition établie dans les années<br />

1930 par son fondateur, Sigurd Raschèr, un pionnier du saxophone classique : le Raschèr Saxophone Quartet a donné envie à <strong>de</strong>s<br />

centaines <strong>de</strong> compositeurs d’écrire <strong>de</strong> la musique pour lui – entre autres Luciano Berio, Erik Bergman, Philip Glass, Sofia<br />

Gubaidulina, Per Norgard, Sven-David Sandstrom, Erkki-Sven Tüür et Iannis Xenakis.<br />

Ces compositeurs ont partagé le même enthousiasme, la qualité homogène et unique du son <strong>de</strong>s quatre musiciens, leur virtuosité et<br />

leur interprétation dynamique <strong>de</strong> musique classique et contemporaine.<br />

Nombre d’entre eux a été fasciné par l’association <strong>de</strong>s Raschèr avec un orchestre qui a donné naissance à plus <strong>de</strong> 20 nouvelles<br />

œuvres et développé les invitations <strong>de</strong> nombreux orchestres <strong>de</strong> renommée mondiale.<br />

Depuis sa formation en 1969, le Quatuor Raschèr joue régulièrement dans les principales salles <strong>de</strong> concert d’Europe et <strong>de</strong>s Etats-<br />

Unis telles que le Carnegie Hall, le Concertgebouw d’Amsterdam et le Musikverein <strong>de</strong> Vienne.<br />

Le journal <strong>de</strong> Vienne a défini le quatuor comme les « rois sans couronne du saxophone » et un critique du journal Die Welt a écrit,<br />

« S’il y avait une discipline olympique <strong>de</strong> virtuosité <strong>de</strong>s vents, le Quatuor Raschèr recevrait sans aucun doute la médaille d’or. »<br />

Le Quatuor Raschèr est une démocratie musicale. Aussi n’a-t-il aucun chef, contrairement à beaucoup d’autres orchestres <strong>de</strong><br />

chambre.<br />

42<br />

GRAND-THEATRE<br />

place <strong>de</strong> la Comédie<br />

mardi 27 novembre à 20 h.<br />

tarifs : 8 à 25 €<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Grand-Théâtre<br />

05 56 00 85 95<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

MUSIQUES<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Canal Com<br />

05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />

canalcom@club-internet.fr


Le Tout Nouveau Théâtre présente :<br />

Purgatoire<br />

Joris Lacoste<br />

Textes Joris Lacoste<br />

Avec Stéphanie Béghain, Giuseppe Chico, Rodolphe Congé, Frédéric Danos, Gaspard Guilbert, Barbara<br />

Matijević, Gwénaël Morin<br />

DRAMATURGIE Jeanne Revel<br />

SON Manuel Coursin et Olivier Renouf<br />

LUMIERES Caty Olive<br />

SCENOGRAPHIE Nicolas Couturier<br />

REGIE SON Laurent Courtaud<br />

REGIE GENERALE Bruno Faucher<br />

C’est plutôt amusant. C’est bizarrement saccadé. C’est compulsif. C’est très impressionnant. C'est très inconfortable. Ça ne<br />

s’explique pas. Ça fait du bruit. Ça force l’admiration. C’est frontal. C’est facial. C'est un peu facile. C'est plus long que prévu. C'est<br />

plus sombre. C’est dur. C'est plus résistant que prévu. Ça fait penser à. C'est profond. Ça permet <strong>de</strong>. C'est programmé pour. C'est<br />

pathologique. C’est contagieux. C’est rapi<strong>de</strong>. C’est inattendu. C’est implacable. C'est un peu exagéré. C’est carrément insupportable.<br />

C'est super drôle. C'est bien.<br />

Purgatoire procè<strong>de</strong> à sa façon, par à coups, par essais, par tentatives. Il essaie <strong>de</strong> démarrer quelque chose : ça ne marche pas<br />

vraiment. Il se met en condition, il s'entraîne, il s'échauffe, il tente <strong>de</strong>s mouvements, il convoque un répertoire <strong>de</strong> gestes, <strong>de</strong>s<br />

modalités d'action, <strong>de</strong>s trucs <strong>de</strong> professionnel. Il s'est passé quelque chose. Il va se passer quelque chose. Il pourrait se passer<br />

quelque chose. Il s'est passé quelque chose ? Essaye encore. Peu à peu, Purgatoire se lance dans une danse incongrue, comique,<br />

autour d'un événement impossible, fantasmé, forcément terrible - comme si ce qui arrive ne pouvait arriver que sur le mo<strong>de</strong> violent :<br />

une interruption, un séisme dans l'ordre habituel <strong>de</strong>s relations. A sa manière faussement naïve, Purgatoire propose au spectateur un<br />

piège : la relation théâtrale envisagée non plus comme communication, transmission, participation ou partage, mais comme<br />

syndrome <strong>de</strong> Stockholm.<br />

Joris Lacoste<br />

Joris Lacoste est écrivain, mais son activité se déploie <strong>de</strong>puis plusieurs années dans <strong>de</strong>s champs aussi divers que le théâtre, la<br />

musique, la radio, la danse, la performance et l’improvisation. Il a notamment travaillé avec Stéphanie Béghain, Boris Charmatz, Joao<br />

Fia<strong>de</strong>iro. Depuis 2004, il mène un travail <strong>de</strong> recherche théorique, la métho<strong>de</strong> W, avec Jeanne Revel. Ses pièces ont été publiées par<br />

Théâtre Ouvert et Inventaire/Invention. Depuis <strong>2007</strong>, il est co-directeur <strong>de</strong>s Laboratoires d’Aubervilliers.<br />

43<br />

THEATRES<br />

T.N.T.<br />

MANUFACTURE DE CHAUSSURES<br />

226, boulevard Albert 1 er<br />

mercredi 28 novembre à 20 h. 30<br />

jeudi 29 novembre à 20 h. 30<br />

vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />

tarif : unique 10 €<br />

Production échelle 1 :1 Coproduction : Théâtre<br />

National <strong>de</strong> la Colline / Théâtre National <strong>de</strong> Bretagne<br />

/ Centre Chorégraphique National <strong>de</strong> Tours Le Vivat,<br />

Armentières / Producteur délégué lelabo / Avec le<br />

soutien <strong>de</strong> la DMDTS ai<strong>de</strong> à l’écriture, du Centre<br />

National du Livre. Avec le soutien <strong>de</strong> l’ONDA.<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Isabelle Jelen :<br />

05 56 85 82 81<br />

isabelletnt@wanadoo.fr<br />

www.letnt.com


L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />

Sir Neville Marriner / Peter Wispelwey<br />

John Corigliano The Mannheim Rocket (Création Française)<br />

Edward Elgar Concerto pour violoncelle<br />

Gustav Holst Les Planètes<br />

DIRECTION Sir Neville Marriner<br />

VIOLONCELLE Peter Wispelwey<br />

Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />

C’est la face astrologique <strong>de</strong>s corps célestes qui sera abordée avec Les Planètes <strong>de</strong> Gustav Holst. Créé en 1918 à l’issue <strong>de</strong> la<br />

première Guerre mondiale, cet ouvrage <strong>de</strong>meure le plus célèbre opus du compositeur britannique, ami <strong>de</strong> Vaughan-Williams et<br />

contemporain d’Elgar, lequel donnera naissance, l’année suivante, à sa <strong>de</strong>rnière gran<strong>de</strong> œuvre : le Concerto pour violoncelle. La<br />

très attendue création française <strong>de</strong> l’Américain John Corigliano The Mannheim Rocket n’est autre qu’une invitation à rejoindre<br />

l’espace, celui-là même où gravitent les astres dépeints par Holst.<br />

Sir Neville Marriner<br />

Comme son mentor Pierre Monteux, Sir Neville Marriner commence sa carrière comme violoniste dans un quatuor et un trio à<br />

cor<strong>de</strong>s, puis au London Symphony Orchestra, pério<strong>de</strong> durant laquelle il fon<strong>de</strong> l’Aca<strong>de</strong>my of Saint-Martin-in-the-Fields. C’est au<br />

Festival d’Aix-en-Provence qu’il débute l’opéra avec Les Noces <strong>de</strong> Figaro, puis aux USA à Los Angeles avec La Cenerentola… Avec<br />

l’Aca<strong>de</strong>my, Sir Neville Marriner a effectué <strong>de</strong> très nombreuses tournées dans le mon<strong>de</strong> entier et a également dirigé et assuré la<br />

direction musicale du film Ama<strong>de</strong>us (qui a reçu trois « Grammy Awards »). Artiste discographiquement prolifique, il a enregistré un<br />

cycle symphonique complet Brahms et Schumann.<br />

Pieter Wispelwey<br />

Pieter Wispelwey est l’un <strong>de</strong>s premiers d’une génération d’artistes qui ont su briller à la fois sur instruments mo<strong>de</strong>rnes et sur<br />

instruments d’époque. Sa conscience stylistique, ajoutée à une technique phénoménale et une originalité toujours présente ont<br />

conquis les cœurs aussi bien du public que <strong>de</strong> la critique, dans un répertoire allant <strong>de</strong> Gabrieli à Elliott Carter. Pieter Wispelwey joue<br />

sur un violoncelle Giovanni Battista Guadagnini <strong>de</strong> 1760.<br />

44<br />

PALAIS DES SPORTS<br />

place Ferme-Richemont<br />

jeudi 29 novembre à 20 h.<br />

tarifs : 6 à 25 €<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Grand-Théâtre<br />

05 56 00 85 95<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

MUSIQUES<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Canal Com<br />

05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />

canalcom@club-internet.fr


L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />

Terrain vague<br />

Création pour percussions, jouets et structures Baschet<br />

COMPOSITION ET INTERPRÉTATION Jean-Christophe Feldhandler<br />

CAPTATION ET DIFFUSION VIDÉO Philippe Carles<br />

LUMIÈRES ET SCÉNOGRAPHIE Bernard Poupart<br />

Prendre place dans l’aire <strong>de</strong> jeu, traverser les territoires <strong>de</strong> l’enfance<br />

« Un espace noir délimité par <strong>de</strong>s rayons lumineux et parsemé <strong>de</strong> gros coussins... Un instrumentarium composé <strong>de</strong> percussions, <strong>de</strong><br />

structures Baschet, <strong>de</strong> toy piano, d’un petit accordéon <strong>de</strong> cirque et habité par <strong>de</strong>s personnages figurines...<br />

Le public est invité à prendre place dans l’aire <strong>de</strong> jeu. Certains ferment les yeux, déjà curieux <strong>de</strong>s sons qui sortiront <strong>de</strong>s instruments<br />

qui les entourent ; d’autres fixent l’écran <strong>de</strong> projection blanc. L’écoute est déjà là... Le musicien et le vidéaste apparaissent et<br />

entament leur cheminement entre les sept stations <strong>de</strong> jeu. Les séquences musicales se mêlent aux images filmées et projetées. On<br />

croise aussi bien <strong>de</strong>s héros <strong>de</strong> Manga, Tintin, <strong>de</strong>s Powers Rangers que <strong>de</strong>s citations <strong>de</strong> Rebotier, <strong>de</strong>s musiques d’Aperghis ou <strong>de</strong><br />

John Cage... […].<br />

Une boîte à musique géante ?<br />

Tous les fragments musicaux ou visuels et les matériaux que j’ai réunis s’animent, interagissent, sont « détournés » ou bien se<br />

rencontrent dans un nouvel éclairage. […]<br />

On passe du petit au grand, du caché au révélé, on est véritablement dans le jeu, la connivence. […]. Le tout participe à la<br />

construction d’un univers musical et visuel, une histoire commune que nous partageons avec les enfants et les adultes le temps du<br />

spectacle.<br />

Spectacle, performance, exposition vivante, horlogerie musicale et visuelle, boîte à musique géante ? Je ne saurais dire. Terrain<br />

Vague est dans tous les cas une tentative pour relier <strong>de</strong>s souvenirs, <strong>de</strong>s émotions, <strong>de</strong>s références artistiques, en faire une matière<br />

vivante déployée dans un terrain <strong>de</strong> jeu ouvert aux enfants et aux adultes. » Jean-Christophe Feldhandler<br />

Le spectateur est invité au coeur d’un univers enfantin étonnant... Percussions, accordéon, boîte à musique animent <strong>de</strong>s<br />

héros <strong>de</strong> Manga, <strong>de</strong>s trains électriques... et font résonner l’univers musical <strong>de</strong> John Cage et Aperghis pour le bonheur<br />

<strong>de</strong> nos oreilles.<br />

Jean-Christophe Feldhandler<br />

Il est membre du Quatuor Hêlios avec lequel il explore l’œuvre <strong>de</strong> John Cage, Vinko Globokar, Toru Takemitsu, Kaaya Saahriao... Il<br />

est compositeur associé au studio <strong>de</strong> création Césaré à Reims. Son catalogue d’œuvres comprend une vingtaine <strong>de</strong> pièces<br />

instrumentales acoustiques ou mixtes. Jean-Christophe Feldhandler a créé également, à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Productions Athénor<br />

Spectacle, Mon navire sur la mer un «micro-opéra» pour la toute petite enfance.<br />

Philippe Charles<br />

Artiste plasticien, il travaille essentiellement sur la vidéo-installation et la photographie. Il vit et travaille à Paris où il développe<br />

« 3015 », une structure associative d’art contemporain disposant d’un lieu ouvert à <strong>de</strong> nombreux autres artistes.<br />

45<br />

MUSEE D’AQUITAINE<br />

cours Pasteur<br />

à partir <strong>de</strong> 4 ans<br />

MUSIQUES /<br />

JEUNE PUBLIC<br />

jeudi 29 novembre à 10 h. / 14 h. 30<br />

(séances scolaires)<br />

vendredi 30 novembre à 10 h. / 14 h. 30<br />

(séances scolaires)<br />

à 19 h. (séance tout public)<br />

tarif : 8 €<br />

Comman<strong>de</strong> d’écriture musicale et production Athénor,<br />

créé à Nates en avril 2005<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Grand-Théâtre<br />

05 56 00 85 95<br />

Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />

05 56 79 39 56<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Canal Com<br />

05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />

canalcom@club-internet.fr


Le Carré <strong>de</strong>s Jalles présente :<br />

Hiroaki Umeda<br />

S 20 / Japon<br />

DANSE ET CHOREGRAPHIE Hiroaki Umeda SON ET IMAGE S 20<br />

VIDEO Octavio Iturbe (pour Montevi<strong>de</strong>oaki)<br />

Fascinant et hypnotique<br />

Né au Japon en 1977, Hiroaki Umeda vit à Tokyo. Après <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s en photographie, fasciné par le travail <strong>de</strong> Saburo Teshigawara,<br />

dont il suivra les cours pendant <strong>de</strong>ux ans, il déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> se mettre à la danse à l’âge <strong>de</strong> vingt ans. Virtuose du mouvement, Hiroaki<br />

Umeda signe également la création sonore et visuelle <strong>de</strong> ses pièces. Cet artiste pluridisciplinaire développe un univers à l’esthétique<br />

minimale et radicale, alternant violence et douceur, marqué par un graphisme visuel épuré. Il place sa danse au cœur <strong>de</strong> la matière<br />

électronique et numérique et cherche à révéler ce qui reste d’humain quand on est plongé au coeur <strong>de</strong>s mutations technologiques.<br />

Depuis la fondation <strong>de</strong> S20, sa compagnie, en 2000, Hiroaki Umeda a acquis une dimension internationale. Ses pièces, véritables<br />

révélations, l’ont conduit <strong>de</strong> Rio <strong>de</strong> Janeiro à Montevi<strong>de</strong>o en passant par New York ou Milan.<br />

Au cours <strong>de</strong> cette soirée, 3 pièces <strong>de</strong> ce talentueux danseur-chorégraphe sont proposées :<br />

> Duo, un solo <strong>de</strong> Hiroaki avec son double comme un affrontement.<br />

> Montevidoeaki, vidéo filmée en Uruguay.<br />

> While going to a condition, où l’artiste danse le chaos d’une civilisation désincarnée.<br />

« On relève chez ce Japonais une fluidité dans l’acte même <strong>de</strong> danser, électrisé <strong>de</strong> spasmes chorégraphiques, véritables décharges<br />

d’énergie vitale. Un peu comme une on<strong>de</strong> qui partirait <strong>de</strong>s pieds du danseur pour gagner en amplitu<strong>de</strong> le reste <strong>de</strong> son corps. »<br />

Philippe Noisette<br />

46<br />

LE CARRE DES JALLES<br />

place <strong>de</strong> la République<br />

Saint Médard-en-Jalles<br />

danse / vidéo<br />

vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />

tarifs : 20 € - 15 € - 11 €<br />

DANSES<br />

Production : Théâtre National <strong>de</strong> Chaillot / S20 Soutien :<br />

La chaufferie, Saint-Denis<br />

Renseignements du public<br />

et réservations :<br />

Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />

05 57 93 18 93<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Valérie Borowyez<br />

05 57 93 18 80<br />

v.borowyez@saint-medard-en-jalles.fr


L’association i-médias présente :<br />

Radio<strong>novart</strong><br />

Le projet Radio<strong>novart</strong> est né <strong>de</strong> la rencontre entre Eric Puech et François Pringuey.<br />

Média créatif, vitrine du festival via le site www.radio<strong>novart</strong>.com, radio<strong>novart</strong> propose :<br />

- Des documents sonores (interviews, chroniques, jingles, agenda) mis en ligne et téléchargeables.<br />

- Des photos <strong>de</strong>s artistes ou spectacles, <strong>de</strong>s textes, <strong>de</strong>s commentaires ou critiques.<br />

Le site est actualisé quotidiennement et interactif.<br />

L’émission en public (émission performative)<br />

Hebdomadaire, d’une durée d’1h30 environ, l’émission se déroule en public (lieu à préciser). Les invités, artistes <strong>de</strong><br />

<strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>2007</strong> (plasticiens, comédiens, danseurs, metteurs en scène, vidéastes) et programmateurs, diffuseurs,<br />

seront rejoints par <strong>de</strong>s invités liés au festival.<br />

Des artistes <strong>de</strong> la scène locale interviendront dans le programme via <strong>de</strong>s performances : poésie, slam, musique…<br />

Un DJ différent pour chaque soirée est invité à rythmer l’émission par sa sélection musicale.<br />

L’habillage visuel est réalisé à partir <strong>de</strong> photos et vidéos prises tout au long du festival.<br />

Les rubriques<br />

Un agenda, annonce du programme, les news du festival, chroniques diverses drôles et décalées (mo<strong>de</strong>, potins, brèves).<br />

En allant au spectacle, propose un itinéraire original pour se rendre dans l’un <strong>de</strong>s lieux <strong>de</strong> programmation du festival.<br />

Un regard sur la ville, son architecture. Une pause dans un café ou restaurant emblématique, une rencontre avec le<br />

programmateur.<br />

Un artiste dans la ville, un ren<strong>de</strong>z-vous est pris dans un lieu choisi par un artiste programmé dans le festival pour une<br />

conversation, son regard sur la ville.<br />

Huguette Flash, festivalière affûtée, Bâle, Avignon, Kassel, Huguette Colin s’immerge dans Novart Bor<strong>de</strong>aux. Pour<br />

Radio<strong>novart</strong>, Huguette ira <strong>de</strong> spectacles en vernissages à la rencontre <strong>de</strong>s artistes et livrera ses impressions.<br />

Backstage, les coulisses du festival, avant et après les spectacles.<br />

Des surprises<br />

Coaching, les conseils <strong>de</strong> nos coachs (mo<strong>de</strong>, sport, etc.) pour rester en forme tout au long du festival, un jeu…<br />

L équipe <strong>de</strong> Radio<strong>novart</strong> :<br />

Eric Puech (coordinateur) - Delphine Douat, François Pringuey, Stéphane Reine : concepteurs, animateurs, réalisateurs<br />

Joachim Désarmenien : webmaster, webdéveloppeur<br />

47<br />

SUR LA TOILE<br />

DANS LA VILLE<br />

DANS LA CUB<br />

www.radio<strong>novart</strong>.com<br />

en ligne dès octobre et<br />

du 1 er au 30 novembre<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Delphine Douat<br />

06 85 31 71 50<br />

<strong>de</strong>lphine.douat@free.fr<br />

Et aussi<br />

WEBRADIO


L’Office Artistique <strong>de</strong> la Région Aquitaine présente :<br />

Photographies, Frédéric Desmesure<br />

Associé à l’Office Artistique <strong>de</strong> la Région Aquitaine, Frédéric Desmesure anime les cimaises du Molière-Scène<br />

d’Aquitaine en présentant six expositions photographiques par saison qui témoignent <strong>de</strong> la richesse <strong>de</strong> la création<br />

artistique régionale.<br />

Depuis le début <strong>de</strong> la saison <strong>2007</strong>/2008, en partenariat avec la Mairie <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, les vitrines du bâtiment <strong>de</strong> l’ex régie<br />

du Gaz <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, qui font face au Molière-Scène d’Aquitaine, sont le support <strong>de</strong> photographies agrandies.<br />

À l’occasion <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, quatre photographies d’artistes aquitains seront ainsi apposées sur les vitrines<br />

<strong>de</strong> ce même bâtiment.<br />

Pour mémoire, en novembre 2005, Frédéric Desmesure avait été le témoin privilégié <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux et avait<br />

présenté quatre expositions pendant le festival présentant les grands moments <strong>de</strong> la manifestation en cours.<br />

Frédéric Desmesure<br />

Photographe associé à l’Office Artistique <strong>de</strong> la Région Aquitaine <strong>de</strong>puis 2005, cet aquitain d’origine est diplômé <strong>de</strong> l’Ecole<br />

Nationale <strong>de</strong> la Photographie à Arles. Dix huit ans déjà qu’il scrute notre région, témoignant avec acuité <strong>de</strong> notre<br />

quotidien artistique et culturel même si son compagnonnage avec l’agence <strong>de</strong> <strong>presse</strong> Editing à Paris lui permet d’explorer<br />

d’autres horizons, dont a largement témoigné la <strong>presse</strong> nationale (Télérama, l’Express, Libération, l’Humanité…).<br />

Chaque photographie <strong>de</strong> Frédéric Desmesure est une révélation artistique. Les mouvements qu’il capte <strong>de</strong>viennent<br />

chorégraphie, les regards qu’il saisit disent mieux que les mots, et les couleurs qu’il restitue constellent son œuvre d’une<br />

incan<strong>de</strong>scente lumière. Car son talent est lumineux.<br />

Depuis 2005, six expositions ont ainsi illuminé les cimaises du Molière-Scène d’Aquitaine. Qu’elles témoignent <strong>de</strong> la<br />

vitalité artistique <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, <strong>de</strong> la singularité <strong>de</strong> la démarche artistique <strong>de</strong> la compagnie La<br />

Renverse, du talent <strong>de</strong> Frédéric Maragnani ou <strong>de</strong> Christine Dormoy, <strong>de</strong> l’inventivité <strong>de</strong> la compagnie Paul les Oiseaux ou<br />

<strong>de</strong>s rési<strong>de</strong>nces <strong>de</strong> recherche du Molière-Scène d’Aquitaine, elles portent une caractéristique commune : l’authenticité.<br />

Frédéric Desmesure est au service <strong>de</strong> la communauté artistique, il ne s’en sert pas !<br />

Pour découvrir son travail : http://www.f<strong>de</strong>smesure.com<br />

48<br />

FACE AU<br />

Et aussi<br />

EXPOSITION<br />

MOLIERE-SCENE D’AQUITAINE<br />

33 rue du Temple, Bor<strong>de</strong>aux<br />

du jeudi 1 er novembre<br />

au vendredi 30 novembre<br />

Renseignement du public :<br />

OARA<br />

05 56 01 45 67<br />

Contact <strong>presse</strong> :<br />

Joël Brouch<br />

05 56 01 45 67

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