Dossier de presse novart 2007 - Bordeaux
Dossier de presse novart 2007 - Bordeaux
Dossier de presse novart 2007 - Bordeaux
You also want an ePaper? Increase the reach of your titles
YUMPU automatically turns print PDFs into web optimized ePapers that Google loves.
Visuel <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>2007</strong> disponible par email auprès <strong>de</strong> canalcom@club-internet.fr<br />
Photos <strong>de</strong>s spectacles présentés dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux disponibles auprès <strong>de</strong>s organisateurs du spectacle concerné et par email auprès <strong>de</strong> canalcom@club-internet.fr<br />
Un numéro pour se renseigner et louer à partir du 15 octobre :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture : 05 56 79 39 56 - du lundi au samedi <strong>de</strong> 11H à 19H<br />
Service <strong>de</strong> <strong>presse</strong> : Canal Com<br />
Contacts : Noëlle Arnault & Laetitia Gicquel<br />
05 56 79 70 53 05 56 79 26 33 - canalcom@club-internet.fr
2<br />
Communiqué – Septembre <strong>2007</strong><br />
Créations mondiales en ouverture et en clôture<br />
d’un mois dédié par Bor<strong>de</strong>aux à la création contemporaine au travers <strong>de</strong> 30 manifestations<br />
Du 1 er au 30 novembre prochain, la 6 ème édition <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux fédère à nouveau toutes les expressions contemporaines, la diversité<br />
<strong>de</strong>s acteurs culturels majeurs <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux et <strong>de</strong> sa communauté urbaine. Carrefour <strong>de</strong>s arts, <strong>de</strong> leur mixité et <strong>de</strong> celle <strong>de</strong>s publics, <strong>novart</strong><br />
bor<strong>de</strong>aux présente 77 spectacles, en 114 représentations, présentées dans 24 lieux, du Grand-Théâtre à la base-sous-marine, mais aussi<br />
<strong>de</strong>s expositions et <strong>de</strong>s films. Avec notamment :<br />
« Zatoïchi » : une création mondiale en ouverture<br />
Répondant à l’invitation <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, Carlotta Ikeda, chorégraphe japonaise emblématique <strong>de</strong> la danse Butô, créera - sur une musique originale <strong>de</strong><br />
Christian Lauba - un ballet inspiré d’un conte <strong>de</strong> Kan Shimosawa, avec Charles Ju<strong>de</strong> et les danseurs du Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux. Alliant intensité,<br />
rigueur et poésie, jetant un nouveau pont entre Extrême-Orient et Occi<strong>de</strong>nt, cette création se présente d’ores et déjà comme un événement <strong>de</strong> la rentrée chorégraphique<br />
française (1, 2, 4, 5 et 6 novembre).<br />
BJF : le festival Jazz <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux<br />
Inspirations et cultures croisées cohabitent également au sein <strong>de</strong> la programmation du Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival conçue par Philippe Méziat. Accueillant <strong>de</strong>s artistes issus <strong>de</strong><br />
dix pays, elle intègre quelques fidélités, quelques écarts et quelques coups <strong>de</strong> cœur. Ainsi retrouvera-t-on entre autres : Sylvie Courvoisier, Mark Feldman, Bill<br />
Carrothers, avant <strong>de</strong> découvrir à Bor<strong>de</strong>aux Lucia Recio, David Linx ou Pedro Iturral<strong>de</strong> -77 ans ! …multiplicité <strong>de</strong> scènes (Halle <strong>de</strong>s Chartrons - Carré <strong>de</strong>s Jalles - Le<br />
Molière, Scène d’Aquitaine - Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux) et ren<strong>de</strong>z-vous exceptionnels avec également <strong>de</strong>s musiciens aussi repérés que Richard Galliano, Gary Burton,<br />
Omar Sosa ou Louis Sclavis (1 au 10 novembre).<br />
la gran<strong>de</strong> Traversée <strong>de</strong> Erna Omarsdöttir<br />
Du 11 au 17 novembre reviendra le temps <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées confiées chaque année à une ou un chorégraphe au parcours artistique contemporain décloisonné.<br />
En <strong>2007</strong>, cette « carte blanche » est donnée à l’artiste islandaise Erna Omarsdöttir. Cette jeune artiste qui a d’abord été interprète pour développer ensuite <strong>de</strong>s projets avec<br />
Sidi Larbi Cherkaoui, Jan Fabre, Björk et récemment Placébo, fera découvrir l’ensemble <strong>de</strong> ses chorégraphies et ses nombreux invités. Ce nouveau parcours organisé<br />
autour <strong>de</strong> spectacles, rencontres, concerts, traversera Bor<strong>de</strong>aux, Gradignan, Artigues et Saint Médard-en-Jalles.
le CAPC surfe avec <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux<br />
Nouveau partenaire <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, le CAPC musée d’art contemporain <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux a souhaité intégrer à cette sixième édition « Il Everybody had an Ocean –<br />
Brian Wilson, une exposition » qu’il conçoit autour <strong>de</strong> la fascination qu’a exercée sur plusieurs générations d’artistes, Brian Wilson, le mythique compositeur <strong>de</strong>s Beach<br />
Boys, musicien prolifique et novateur mélangeant le rock’n’roll, le jazz, la musique classique, le folk et même la musique concrète qualifiée alors « d’avant-gar<strong>de</strong> ». Cette<br />
exposition sera inaugurée à l’Entrepôt Lainé le 16 novembre et sera accompagnée d’une programmation musicale et filmique autour <strong>de</strong>s Beach Boys et <strong>de</strong> la culture surf.<br />
le TnBA, entre théâtre <strong>de</strong> résistance et arts circassiens<br />
A partir du 18 novembre, le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine, en connexion avec le Festival d’Automne à Paris proposera une sélection <strong>de</strong> spectacles du<br />
mon<strong>de</strong> arabe et du Moyen-Orient (Iran, Liban, Tunisie), en accueillant Fadhel Jaïbi, Rabih Mroué, Amir Reza Koohestani représentants d’une scène « si proche et<br />
pourtant si lointaine ».<br />
Musiques <strong>de</strong> Nuit s’associera à cette initiative par une programmation musicale dédiée notamment au musicien <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-mon<strong>de</strong>s, le Libanais Rabih Abou Khalil<br />
alchimiste singulier <strong>de</strong>s multiples traditions musicales du mon<strong>de</strong> arabe, les musiques savantes et populaires d’occi<strong>de</strong>nt, le jazz et la musique improvisée.<br />
La semaine suivante, également présentés par le TnBA en salle ou sous chapiteau, <strong>de</strong>s spectacles <strong>de</strong> cirque, dans la diversité <strong>de</strong>s approches <strong>de</strong>s nouveaux<br />
saltimbanques, renoueront le lien tissé avec les arts circassiens par <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>de</strong>puis sa création.<br />
L’univers <strong>de</strong> Mauriac sur la scène <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />
C’est une autre création mondiale proposée par l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux qui <strong>de</strong>vrait marquer le final <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>2007</strong> : « Genitrix », sur un livret tiré du<br />
roman <strong>de</strong> François Mauriac et une musique du compositeur hongrois László Tihanyi qu’il dirigera lui-même et dans une mise en scène <strong>de</strong> Christine Dormoy dont<br />
l’engagement dans le théâtre musical contemporain est unanimement reconnu. (4 représentations au Grand-Théâtre, les 25,28, 30 novembre et le 1 er décembre).<br />
Ces six coups <strong>de</strong> projecteurs ne recouvrent pas l’ensemble <strong>de</strong>s spectacles et manifestations qui feront le prochain <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, porté par 24 acteurs culturels <strong>de</strong> la ville<br />
et <strong>de</strong> l’agglomération qui défen<strong>de</strong>nt la création d’aujourd’hui. Ils reflètent déjà la diversité et l’ambition d’une manifestation qui réunira plus <strong>de</strong> 480 artistes originaires <strong>de</strong> 24<br />
pays.<br />
Location :<br />
dans les salles <strong>de</strong> spectacles et au Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture à partir du 15 octobre<br />
3
SOMMAIRE CHRONOLOGIQUE<br />
jeudi 1 Ballet <strong>de</strong> l'O.N.B. "Zatoïchi" Danses Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 6<br />
jeudi 1 7ème Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival Musiques B.J.F. p. 7<br />
jeudi 1 Fractures du Mon<strong>de</strong> Arts Plastiques Base sous-marine p. 10<br />
jeudi 1 Humain trop humain Arts Plastiques Morue Noire p. 11<br />
mercredi 7 Le rock au cinéma Films Centre Jean Vigo p. 12<br />
jeudi 8 Les Inouies Musiques Proxima Centauri p. 13<br />
vendredi 9 Mark Tompkins "Animal Mâle" Danses Glob'Théâtre p. 14<br />
dimanche 11 7ème parcours : Erna Omarsdottir Danses… gran<strong>de</strong>s Traversées p. 15<br />
mardi 13 C.C.N. Lorraine "Hymnen' Danses novembre @ bor<strong>de</strong>aux p. 20<br />
mercredi 14 Théâtre Noirs Blancs Associés Musiques Mc2a p. 21<br />
mercredi 14 Cie Nathalie Pernette "Animale" Danses Glob' Théâtre et O.N.B p. 22<br />
vendredi 16 Cie Nathalie Pernette " Les Naufragées" Danses Glob' Théâtre p. 23<br />
samedi 17 Brian Wilson, une exposition / If Everybody had an Ocean Arts Plastiques capc musée d'art contemporain p. 24<br />
samedi 17 No BeachToday Musiques Ma Asso p. 26<br />
dimanche 18 Ensemble Sphota "Antigone Orchestre" Musiques Renaissance <strong>de</strong> l'Orgue p. 27<br />
mardi 20 Les Lyricalistes "Les Yeux Fermés" Musiques Mc2a p. 28<br />
mardi 20 GdRA "Singularité ordinaire" Théâtres Carré <strong>de</strong>s Jalles p. 29<br />
mardi 20 Si loin, si proche : Iran / Liban / Tunisie Théâtres T.n.B.A. p. 30<br />
mercredi 21 Rabih Abou Khalil Musiques Musiques <strong>de</strong> Nuit p. 32<br />
jeudi 22 Jeff Rian Musiques Frac Aquitaine p. 33<br />
jeudi 22 Fondation Pr. Swe<strong>de</strong>nborg "Tout le bonheur est à l'intérieur" Théâtres Glob' Théâtre p. 34<br />
vendredi 23 Eclats "Songs" Musiques Cuvier <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au p. 35<br />
samedi 24 Burn out - Post Crash Musiques Présence Capitale p. 36<br />
dimanche 25 "Genitrix" Opéra Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 37<br />
mardi 27 Les nouveaux saltimbanques Théâtres T.n.B.A. p. 38<br />
mardi 27 Teatro la Maria "Tercera Obra" Théâtres Carré <strong>de</strong>s Jalles p. 41<br />
mardi 27 Quatuor Sax Rashèr Musiques Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 42<br />
mercredi 28 Echelle 1 :1 "Purgatoire" Théâtres T.N.T. p. 43<br />
jeudi 29 Orchestre national Bor<strong>de</strong>aux-Aquitaine Musiques Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 44<br />
jeudi 29 "Terrain Vague" Musiques Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux p. 45<br />
vendredi 30 Hiroaki Umeda Danses Carré <strong>de</strong>s Jalles p. 46<br />
Radio<strong>novart</strong> i-médias p. 47<br />
Frédéric Desmesure O.A.RA. p. 48<br />
4
SOMMAIRE THEMATIQUE<br />
Arts Plastiques Brian Wilson, une exposition / If Everybody had an Ocean capc musée d'art contemporain samedi 17 p. 24<br />
Fractures du Mon<strong>de</strong> Base sous-marine jeudi 1 p. 10<br />
Humain trop humain Morue Noire jeudi 1 p. 11<br />
Danses Ballet <strong>de</strong> l'O.N.B. "Zatoïchi" Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux jeudi 1 p. 6<br />
C.C.N. Lorraine "Hymnen' novembre @ bor<strong>de</strong>aux mardi 13 p. 20<br />
Cie Nathalie Pernette "Animale" Glob' Théâtre et O.N.B mercredi 14 p. 22<br />
Cie Nathalie Pernette "Les Naufragées" Glob' Théâtre vendredi 16 p. 23<br />
Hiroaki Umeda Carré <strong>de</strong>s Jalles vendredi 30 p. 46<br />
Mark Tompkins "Animal Mâle" Glob'Théâtre vendredi 9 p. 14<br />
7ème parcours : Erna Omarsdottir gran<strong>de</strong>s Traversées dimanche 11 p. 15<br />
Films Le rock au cinéma Centre Jean Vigo mercredi 7 p. 12<br />
Musiques 7ème Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival B.J.F. jeudi 1 p. 7<br />
Burn out - Post Crash Présence Capitale samedi 24 p. 36<br />
Ensemble Sphota "Antigone Orchestre" Renaissance <strong>de</strong> l'Orgue dimanche 18 p. 27<br />
Eclats "Songs" Cuvier <strong>de</strong> Fey<strong>de</strong>au vendredi 23 p. 35<br />
Jeff Rian Frac Aquitaine jeudi 22 p. 33<br />
Les Inouies Proxima Centauri jeudi 8 p. 13<br />
Les Lyricalistes "Les Yeux Fermés" Mc2a mardi 20 p. 28<br />
No Beach Today Ma Asso samedi 17 p. 26<br />
Orchestre national Bor<strong>de</strong>aux-Aquitaine Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux jeudi 29 p. 44<br />
Quatuor Sax Rascher Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux mardi 27 p. 42<br />
Rabih Abou Khalil Musiques <strong>de</strong> Nuit mercredi 21 p. 32<br />
"Terrain Vague" Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux jeudi 29 p. 45<br />
Théâtre Noirs Blancs Associés Mc2a mercredi 14 p. 21<br />
Opéra "Genitrix" Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux dimanche 25 p. 37<br />
Théâtres Echelle 1 :1 "Purgatoire" T.N.T. mercredi 28 p. 43<br />
Fondation Pr. Swe<strong>de</strong>nborg "Tout le bonheur est à l'intérieur" Glob' Théâtre jeudi 22 p. 34<br />
GdRA "Singularité ordinaire" Carré <strong>de</strong>s Jalles mardi 20 p. 29<br />
Les nouveaux saltimbanques T.n.B.A. mardi 27 p. 38<br />
Si loin, si proche : Iran / Liban / Tunisie T.n.B.A. mardi 20 p. 30<br />
Teatro la Maria "Tercera Obra" Carré <strong>de</strong>s Jalles mardi 27 p. 41<br />
Radio<strong>novart</strong> i-médias p. 47<br />
Frédéric Desmesure O.A.RA. p. 48<br />
5
L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
Zatoïchi<br />
CONCEPTION ARTISTIQUE ET CHOREGRAPHIQUE Carlotta Ikeda<br />
MUSIQUE Christian Lauba<br />
DIRECTION MUSICALE Geoffrey Styles<br />
SCENOGRAPHIE ET IMAGES Stéphane Vérité<br />
PRODUCTION D’IMAGES Romain Sosso<br />
COSTUMES Patrick Téroitin<br />
LUMIERES Christian Dubet<br />
ASSISTANTES A LA CHOREGRAPHIE Olia Lydaki et Valérie Pujol<br />
Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux - Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />
Il faut fermer les yeux pour voir clairement. J’ai besoin <strong>de</strong> voir <strong>de</strong>dans. Les yeux ne sont pas là, posés sur le visage, ils sont creusés dans la<br />
tête, retourné dans le corps... C’est le <strong>de</strong>dans qui doit danser... Zatoïchi est aveugle, il sait cela.<br />
Carlotta Ikeda<br />
La saison du Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux s’ouvre, dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, avec une création très attendue : Zatoïchi.<br />
Le Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux a choisir <strong>de</strong> s’associer pour cette production à <strong>de</strong>ux artistes implantés à Bor<strong>de</strong>aux, Carlotta Ikeda<br />
pour la chorégraphie et Christian Lauba pour la création musicale.<br />
Charles Ju<strong>de</strong>, directeur du Ballet <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, ancien danseur Etoile <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Paris, incarne Zatoïchi,<br />
mo<strong>de</strong>ste aveugle, redoutable expert au maniement du sabre (sa canne épée) et justicier <strong>de</strong>s pauvres. A ses côtés, l’ensemble du Ballet <strong>de</strong><br />
l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux est sollicité pour cette création où la solitu<strong>de</strong> du héros se révèle dans la multiplicité <strong>de</strong>s mon<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s<br />
groupes traversés.<br />
Cette rencontre improbable entre le Ballet et la chorégraphe japonaise donne lieu aujourd’hui à beaucoup <strong>de</strong> curiosité et Charles Ju<strong>de</strong>, dans<br />
le rôle titre, s’est lui-même fortement imprégné du personnage <strong>de</strong> Zatoïchi.<br />
Habité d’un souffle irrésistible, l’univers chorégraphique et sonore <strong>de</strong> Zatoïchi explore les multiples résonances du conte <strong>de</strong> Kan<br />
Shimosawa. Marqué par le buto et habillé <strong>de</strong> la musique originale du compositeur Christian Lauba, le travail <strong>de</strong> Carlotta Ikeda est empreint<br />
d’une intense poésie. Le ballet Zatoïchi s’envisage comme une suite <strong>de</strong> climats, d’ambiances. A l’image <strong>de</strong>s estampes <strong>de</strong> la pério<strong>de</strong> Tenpo,<br />
les saisons marquent les temps <strong>de</strong> la danse. Pluie, vent, neige, soleil rythment et racontent les vies <strong>de</strong> Zatoïchi. La narration se cadre dans<br />
les métamorphoses picturales <strong>de</strong> la nature. Le ballet est sollicité pour cette création où la solitu<strong>de</strong> du héros se révèle dans la multiplicité <strong>de</strong>s<br />
mon<strong>de</strong>s et <strong>de</strong>s groupes traversés. Zatoïchi est seul. Le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong>s voyants n’est pas pour lui. Il est à côté, sans nom : le Zatoïchi, l’aveugle.<br />
Désormais immortel, peut-être universel. Zatoïchi rejoint les héros mythiques <strong>de</strong> nos enfances.<br />
6<br />
GRAND-THEATRE<br />
place <strong>de</strong> la Comédie<br />
jeudi 1 er novembre à 20 h.<br />
vendredi 2 novembre à 20 h.<br />
dimanche 4 novembre à 15 h.<br />
lundi 5 novembre à 20 h.<br />
mardi 6 novembre à 20 h.<br />
DANSES<br />
Création<br />
Nouvelle production Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux.<br />
Coproduction Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux – Opéra<br />
National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />
réalisée avec le concours d’Ariadone.<br />
Librement inspiré <strong>de</strong> « Zatoïchi », personnage tiré<br />
d’une nouvelle <strong>de</strong> Kan Shimozawa publiée aux<br />
éditions Chûô Bunko (Japon).<br />
tarifs : <strong>de</strong> 8 à 35 €<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Grand-Théâtre<br />
05 56 00 85 95<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Canal Com<br />
05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />
canalcom@club-internet.fr
Le Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival présente :<br />
7 ème édition<br />
Sophie Alour quartet<br />
Serge Moulinier trio<br />
Bax (Coyral/Jo<strong>de</strong>t)<br />
Le peintre à l'orange quartet<br />
Echoes of Spring<br />
Christophe Maroye solo<br />
Lotte Anker trio<br />
Speeq<br />
Pedro Iturral<strong>de</strong> quartet<br />
Paul Rogers solo<br />
Wormholes<br />
Vincent Courtois quartet<br />
David Linx & Die<strong>de</strong>rick Wissels quartet<br />
Paolo Angeli solo<br />
Bill Carrothers solo<br />
The Zanussi five<br />
Louis Sclavis quintet<br />
Richard Galliano Tangario / Richard<br />
Galliano & Gary Burton quartet<br />
Eliott Sharp solo<br />
Jacques Bonnafé & Louis Sclavis duo<br />
Jean-François Pauvros & Hélène<br />
Breschand<br />
Trio Mephista<br />
Ellery Eskelin trio<br />
Grzegorz Karnas quintet / Omar Sosa<br />
trio<br />
Le Bor<strong>de</strong>aux Jazz Festival propose cette année 26 concerts, dans une édition centrée sur <strong>de</strong>s artistes au plus vif <strong>de</strong> leur pratique,<br />
<strong>de</strong> leur art, sans négliger pour autant l’apport essentiel <strong>de</strong> musiciens plus connus susceptibles <strong>de</strong> mobiliser un large public. Ainsi, <strong>de</strong><br />
la place du marché <strong>de</strong>s Chartrons qui accueille le festival <strong>de</strong>puis sa naissance en 2001, au Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux qui <strong>de</strong>vient<br />
un lieu fréquenté par <strong>de</strong>s publics variés, en passant par le Molière Scène d’Aquitaine, les lieux nouveaux, ainsi que tous les concerts<br />
en proche ou lointaine banlieue, ce sont plus <strong>de</strong> vingt occasions <strong>de</strong> jazz et <strong>de</strong> musiques improvisées que le « Bor<strong>de</strong>aux Jazz<br />
Festival » proposera du 31 octobre au 10 novembre.<br />
7<br />
MUSIQUES / Bjf7<br />
du mercredi 31 octobre<br />
au samedi 10 novembre<br />
tarif : 5 € par concert, sauf mentions<br />
particulières (concerts du 4 à 21 h.30,<br />
concerts du Casino Barrière <strong>de</strong><br />
Bor<strong>de</strong>aux, du Carré <strong>de</strong>s Jalles et <strong>de</strong><br />
l’Atelier <strong>de</strong>s Marches) entrée libre au<br />
Molière, scène d’Aquitaine<br />
Renseignements du public :<br />
05 56 81 95 88<br />
Réservations :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Philippe Méziat<br />
05 56 81 95 88<br />
06 85 21 19 25<br />
www.bor<strong>de</strong>auxjazzfestival.com
Fidélités et coups <strong>de</strong> cœurs<br />
Cette année, dans le registre <strong>de</strong>s coups <strong>de</strong> coeur, le BJF a choisi d’honorer un saxophoniste et compositeur espagnol, Pedro Iturral<strong>de</strong>, âgé<br />
<strong>de</strong> 77 ans. Créateur en 1965/66 <strong>de</strong> l’idée <strong>de</strong> « jazz-flamenco », aux côtés d’un Paco <strong>de</strong> Lucia <strong>de</strong> 17 ans, Pedro Iturral<strong>de</strong> est, avec Tete<br />
Montoliu - hélas décédé - le seul musicien <strong>de</strong> jazz <strong>de</strong> premier plan que la péninsule ibérique ait compté. Une rencontre est prévue à l’Institut<br />
Cervantes, le len<strong>de</strong>main du concert.<br />
Pour les fidélités, commençons par Sylvie Courvoisier, qui est du festival chaque année <strong>de</strong>puis trois ans. Cette pianiste suisse installée à<br />
New York voit sa réputation grandir chaque jour, et le BJF l’accuillera en <strong>2007</strong> avec ses amies et compagnes musicales Susie Ibarra<br />
(batterie) et Ikue Mori (Electronics). C’est dans le même esprit qu’il a <strong>de</strong>mandé à Ellery Eskelin <strong>de</strong> faire entendre, dans un nouveau lieu du<br />
festival (l’Atelier <strong>de</strong>s Marches), l’état actuel <strong>de</strong> sa musique en trio, avec Andrea Parkins (acc, sampler) et l’extraordinaire Jim Black<br />
(batterie). Tous ces musiciens occupent une belle place sur la scène du « lower east si<strong>de</strong> », à Manhattan. Ellery Eskelin dirige ce trio <strong>de</strong>puis<br />
plus <strong>de</strong> quinze ans, c’est un rare exemple <strong>de</strong> formation au long cours, dont on sait qu’elles seules permettent une véritable progression<br />
musicale.<br />
Musiciens exerçants dans la région, Serge Moulinier, Alain Coyral, Christophe Jo<strong>de</strong>t, Jean-Yves Moka seront <strong>de</strong> la fête aux Chartrons,<br />
le premier en trio (et quel trio puisqu’il vient d’être désigné pour représenter la région Aquitaine au concours « Rezzo » du festival <strong>de</strong><br />
Vienne !), le second en duo dans une toute nouvelle formule. Fidélité encore, à un principe cette fois, qui est <strong>de</strong> proposer un concert à<br />
l’artiste qui participe à une vaste tournée en Aquitaine et au nord <strong>de</strong> l’Espagne à l’initiative <strong>de</strong> l’association « Einstein on the Beach ». La<br />
chanteuse Lucia Recio vient au BJF dans le cadre d’un projet très en vue en France, « Wormholes », aux côtés <strong>de</strong> Didier Petit<br />
(violoncelle), Edward Perraud (batterie) et Camel Zekri (guitare), <strong>de</strong>s musiciens déjà reçus plusieurs fois <strong>de</strong>puis 2001. Quant au concert<br />
« Jazz Migration », il donnera à un landais d’origine (Brice Martin, saxophoniste mais aussi bassoniste) l’occasion <strong>de</strong> faire découvrir ce qu’il<br />
entend par « Peintre à l’Orange ».<br />
Dans le même esprit esprit <strong>de</strong> constance - qui conduit à Louis Sclavis en passant par tous ceux qu’il contribue à faire connaître- , Hasse<br />
Poulsen (guitare) a constitué avec Luc Ex (guitare basse), Phil Minton (voix) et Marc San<strong>de</strong>rs (batterie) un étonnant groupe appelé<br />
Speeq. Une musique engagée, vibrante, aux limites du jazz et d’un « punk-rock » éclaté, une sorte <strong>de</strong> déclinaison actuelle <strong>de</strong>s mythiques<br />
« Four Walls », aujourd’hui dissous.<br />
De la veine « anglaise » à la Norvège<br />
Toujours dans cette veine « anglaise », le quartet <strong>de</strong> Vincent Courtois (violoncelle), sans doute le « coup <strong>de</strong> cœur » le plus manifeste <strong>de</strong><br />
l’année, avec la présence magique <strong>de</strong> manifeste <strong>de</strong> l’année, avec la présence magique <strong>de</strong> Jeanne Ad<strong>de</strong>d (voix et violoncelle), <strong>de</strong> Marc<br />
Baron aux saxophones et <strong>de</strong> François Merville à la batterie. Poèmes <strong>de</strong> Cummings, chants d’amour, longues plages improvisées, encore<br />
un groupe à découvrir, et qui montre à quel point la scène actuelle est capable <strong>de</strong> vivacité et d’invention.<br />
Quelques-uns <strong>de</strong> ces musiciens seront à retrouver dans le nouveau projet <strong>de</strong> Louis Sclavis (clarinettes, saxophones) « L’Imparfait <strong>de</strong>s<br />
langues », qui viendra conclure en beauté les quatre jours intenses dans la halle du marché <strong>de</strong>s Chartrons.<br />
Auparavant, Bill Carrothers se sera produit en solo et ne <strong>de</strong>vrait pas manquer d’interpréter à sa façon un certain nombre <strong>de</strong> chansons<br />
traditionnelles américaines ; Stephan Oliva et François Raulin seront à écouter dans leur adaptation truculente et poétique <strong>de</strong>s musiques<br />
<strong>de</strong> piano « stri<strong>de</strong> » (« Echoes Of Spring »), avec Christophe Monniot (saxes), Laurent Dehors (anches) et Vincent Boisseau<br />
(contrebasse).<br />
8<br />
MUSIQUES / Bjf7<br />
mercredi 31 octobre<br />
Salle La Glacière (Mérignac)<br />
20 h. 30 Sophie Alour quartet<br />
meudi 1er novembre<br />
Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />
15 h. 30 Serge Moulinier trio<br />
17 h. Bax(A. Coyral / C. Jo<strong>de</strong>t)<br />
18 h. 30 « Le Peintre à l’Orange » quartet <strong>de</strong><br />
Brice Martin<br />
21 h. Echoes of Spring<br />
vendredi 2 novembre<br />
Gœthe Institut<br />
16 h. 30 Christophe Maroye guitare<br />
Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />
18 h. 30 Lotte Anker trio<br />
21 h. Speeq<br />
22 h. 30 Pedro Iturral<strong>de</strong> quartet<br />
samedi 3 novembre<br />
Institut Cervantes<br />
11 h. Rencontre P . Iturral<strong>de</strong> : entrée libre<br />
Gœthe Institut<br />
16 h. 30 Paul Rogers, contrebasse solo<br />
Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />
18 h. 30 « Wormholes »<br />
21 h. Vincent Courtois quartet<br />
22 h. 30 David Linx & D. Wissels quartet<br />
dimanche 4 novembre<br />
Gœthe Institut<br />
15 h. 30 Paolo Angeli guitare solo<br />
Halle <strong>de</strong>s Chartrons<br />
17 h. Bill Carrothers piano solo<br />
18 h. 30 The Zanussi five<br />
21 h. 30 Louis Sclavis quintet<br />
(tarif particulier : 13 €)<br />
tarif unique : 5 € par concert, sauf celui du 4<br />
à 21 h. 30 : 13 €
Lotte Anker, saxophoniste danoise qui fut présente en 2004, sera <strong>de</strong> retour avec un trio constitué <strong>de</strong> musiciens américains, Craig Taborn<br />
au piano et Gérald Cleaver à la batterie.<br />
Enfin, la présence d’un étonnant groupe norvégien, Zanussi Five, est à noter. Ce sera l’un <strong>de</strong> leurs premiers concerts en France.<br />
Dans les nouveaux lieux<br />
Nouveau lieu, le Goethe Institut, qui accueillera <strong>de</strong>s concerts d’après-midi, avec Christophe Maroye (guitare), Paul Rogers (contrebasse),<br />
et le guitariste italien Paolo Angeli. Un concert sera également proposé au Bouscat : le saxophoniste Ellery Eskelin (USA) viendra faire<br />
entendre la musique actuelle d’un trio fabuleux, qu’il a formé il y a plus <strong>de</strong> quinze ans avec Andrea Parkins (accordéon, sampler) et Jim<br />
Black (batterie) et qui n’a cessé <strong>de</strong> donner le meilleur <strong>de</strong> ce qui se peut entendre aujourd’hui en matière <strong>de</strong> jazz vif. Un événement qui sera<br />
très couru, à n’en pas douter !<br />
Les apéros-concerts<br />
Nous avons eu l’idée d’une série « 1, 2, 3 Molière ! » pour les apéros <strong>de</strong> 12h30, en <strong>de</strong>uxième semaine, avec un solo, puis un duo, puis un<br />
trio. Elliott Sharp, guitariste new-yorkais <strong>de</strong> la scène « Lower East Si<strong>de</strong> » se présentera en solo autour d’un répertoire centré sur les<br />
compositions <strong>de</strong> Thelonious Monk. Le len<strong>de</strong>main, Jean-François Pauvros (guitare) et Hélène Breschand (harpe), auront leur concert au<br />
BJF. C’est le trio <strong>de</strong> Sylvie Courvoisier (Méphista) qui complètera cette série.<br />
David Linx sera l’une <strong>de</strong>s attractions du festival ! Doté d’une voix exceptionnelle, il est également traversé par une joie <strong>de</strong> vivre qu’il sait<br />
faire partager sans la moindre idée <strong>de</strong> racolage, avec un quartet qui fonctionne à la perfection, rodé <strong>de</strong>puis <strong>de</strong>s années. Richard Galliano,<br />
Gary Burton et Omar Sosa seront quant à eux les ve<strong>de</strong>ttes <strong>de</strong>s concerts au Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux. Concernant Richard Galliano<br />
(accordéon), il présentera lors <strong>de</strong> la même soirée son projet « Tangaria », autour <strong>de</strong>s musiques d’Amérique du Sud, et le tout nouveau<br />
quartet qu’il vient <strong>de</strong> former avec le grand vibraphoniste américain Gary Burton !<br />
Omar Sosa (piano) viendra conclure la <strong>de</strong>uxième semaine par sa façon unique <strong>de</strong> faire se rejoindre la musique cubaine et le lyrisme<br />
transversal <strong>de</strong> la musique « du mon<strong>de</strong> ». En douceur, d’autant qu’il sera précédé, en première partie, d’un <strong>de</strong>s « coups <strong>de</strong> cœurs » <strong>de</strong> cette<br />
année, le chanteur polonais Grzegorz Karnas que le BJF est heureux <strong>de</strong> pouvoir faire entendre en « primeur » à Bor<strong>de</strong>aux.<br />
9<br />
MUSIQUES / Bjf7<br />
lundi 5 novembre<br />
Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />
20 h. Richard Galliano « Tangaria » ;<br />
Richard Galliano / Gary Burton quartet<br />
Tarif : 25 €<br />
mercredi 7 novembre<br />
Molière scène d’Aquitaine<br />
12 h. 30 Eliott Sharp solo (entrée libre)<br />
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />
20 h. 30 Jacques Bonnafé / Louis Sclavis<br />
tarifs : 20, 15 et 11 €<br />
jeudi 8 novembre<br />
Molière Scène d’Aquitaine<br />
12 h. 30 Jean-François Pauvros / Hélène<br />
Breschand duo (entrée libre)<br />
vendredi 9 novembre<br />
Molière Scène d’Aquitaine<br />
12 h. 30 Trio Mephista (entrée libre)<br />
Atelier Les Marches <strong>de</strong> l’Eté<br />
21 h. Ellery Eskelin trio<br />
tarif : 10 €<br />
samedi 10 novembre<br />
Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />
20 h. Grzegorz Karnas quintet<br />
21 h. Omar Sosa trio<br />
tarif : 20 €<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Philippe Méziat<br />
05 56 81 95 88<br />
06 85 21 19 25<br />
www.bor<strong>de</strong>auxjazzfestival.com
La Base sous-marine présente :<br />
Fractures du Mon<strong>de</strong> Baptiste<br />
Exposition -installation<br />
« Fractures du mon<strong>de</strong> » sont les <strong>de</strong>ux mêmes temps d’un sablier tourné tantôt par le peintre-écrivain-navigateur Baptiste, qui<br />
surajoute à l’explicite ou/et à la confusion <strong>de</strong>s mythologies périméditerranéennes ; Laurent Laffargue, homme <strong>de</strong>s malices et<br />
sortilèges du théâtre, verse, cette fois, dans l’installation monumentale, avec un singulier ludion <strong>de</strong> sable qui recouvre<br />
allégoriquement la dépouille (?) d’un antique Titan.<br />
Catafalque et mausolée animé pour l’un, course labyrinthique dans un palais crypté pour l’autre, la Base sous-marine alleman<strong>de</strong> <strong>de</strong><br />
Bor<strong>de</strong>aux ne saurait dissocier ces <strong>de</strong>ux enveloppes d’un même balancier intemporel (immémorial ?).<br />
Les dieux et les Héros inscrivent leurs géographies partout, à tout instant.<br />
Baptiste est <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, ville d’arrivées et <strong>de</strong> départs, port et estuaire, et il est d’Aquitaine, pays d’eau, pays à part, qui a longtemps gardé dans<br />
sa mémoire <strong>de</strong>s traces archaïques (pistes <strong>de</strong> transhumance, écriture <strong>de</strong>s pierres), ainsi que <strong>de</strong>s traces <strong>de</strong> culture ancienne, gréco-romaine en<br />
l’occurrence, et cela malgré l’oubli croissant.<br />
La vraie littérature avait déserté Rome, (Virgile et Ovi<strong>de</strong> morts <strong>de</strong>puis longtemps), elle continuait dans les cités helléniques <strong>de</strong> Provence ou encore,<br />
d’une façon plus discrète, ici en Aquitaine où le mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> la pierre parlait encore à l’océan et où l’esprit était ouvert au vent.<br />
Ausone à Théon : « Vous qui labourez les terres sableuses <strong>de</strong> l’Atlantique » et à Paul : « là où les eaux gonflées <strong>de</strong> la Garonne provoquent la<br />
mer » (…) Baptiste a tout cela enfoui (je veux dire non explicitement programmé) en lui. Cette mémoire, ce sens d’un espace <strong>de</strong> plus en plus<br />
oublié, dont il essaie <strong>de</strong> recueillir et <strong>de</strong> réunir les traces, ce besoin <strong>de</strong> partir et d’arriver (avec l’espoir latent et lancinant d’abor<strong>de</strong>r peut-être un jour<br />
au grand rivage).<br />
C’est pour cela que le travail dans son atelier bor<strong>de</strong>lais est entrecoupé si souvent (« Prolongé » faudrait-il dire plutôt) par <strong>de</strong>s voyages vers les<br />
mers et les terres gréco-latines ou vers les antilles. Il y a chez lui <strong>de</strong> l’archéologie, <strong>de</strong> l’archéographie liée à un élan exotique.<br />
Baptiste donc voyage, vers Rome, Naples, Syracuse, Athènes, vers les îles <strong>de</strong> la mer Egée et <strong>de</strong> la Caraïbe, et il essaie <strong>de</strong> voir, il prend <strong>de</strong>s notes<br />
(pensées fugaces), il relève <strong>de</strong>s traces (sur les murs, les trottoirs), il fait <strong>de</strong>s empreintes au crayons gras, il fouille la terre pas à pas. Cette terre fait<br />
signe, elle parle. Mais c’est un langage confus, brouillé, polysémique, fait, peut-être, <strong>de</strong> plusieurs langues à la fois, <strong>de</strong> grammaires diverses, le tout<br />
essayant <strong>de</strong> dire une réalité immense, énorme. Commence alors avec notes, traces, empreintes, esquisses accumulées, éparpillées sur la table ou<br />
sur le plancher, avec aussi quelques pigments, quelques couleurs <strong>de</strong> la terre, ramassés ici où là au cours <strong>de</strong>s pérégrinations et <strong>de</strong>s périples, le<br />
travail dans l’atelier (…)<br />
Kenneth White, Le Festin, revue d’art, 1991<br />
10<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
boulevard Alfred Daney<br />
ARTS PLASTIQUES<br />
du jeudi 1 er novembre<br />
au dimanche 16 décembre<br />
du mardi au dimanche <strong>de</strong> 14 h. à 18 h.<br />
Tarif : entrées libres<br />
Accès : Bus 9 – arrêt place Latule<br />
Tram ligne B puis bus 1, arrêt place Maran<br />
Renseignements du public :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Agnès Lherm<br />
05 56 11 11 50<br />
base-sous-marine@mairie-bor<strong>de</strong>aux.fr
La Morue Noire présente :<br />
Humain trop humain [2 ème biennale <strong>de</strong> sculpture]<br />
À l’instar <strong>de</strong> l’édition précé<strong>de</strong>nte, cette manifestation entend réconcilier prioritairement le fond et la forme, le créateur et le spectateur,<br />
le désir et la générosité…<br />
Intitulée « Humain, trop Humain » en référence à Nietzsche, cette exposition s’efforcera <strong>de</strong> ne rien exclure <strong>de</strong>s grands courants<br />
actuels <strong>de</strong> la sculpture et <strong>de</strong> faire en sorte qu’ils soient valorisés et compréhensibles, avec la volonté <strong>de</strong> restituer à la sculpture sa<br />
dimension et par la même son mythe et sa nécessité.<br />
Les artistes<br />
Laurent Belloni Anne Bonthuon Judith Favarel<br />
Lucas Braaspad Jean Fontaine Audrey Joussain<br />
Rémi Trotèreau Yoann Pennard Philippe Doberset<br />
Bun Than Huynh Pierre Yvan Didry Lili Oto<br />
Eric Guerin Eric Sanchez Judith Avenel<br />
Hubert Patrice Jardin/Fontan Sophie Thierry Michel Lecoeur<br />
Xavier Lafeysse Araguas Quinie Cyril Bui Xuan Hy<br />
Aguire Wong Robert Keramsi<br />
Performance <strong>de</strong> Audrey Joussain Mardi 20 novembre – 19H<br />
Dimanche 25 novembre – 17H<br />
Bât. 59 – Site <strong>de</strong>s Terres Neuves<br />
11<br />
ARTS PLASTIQUES<br />
BAT 20<br />
Site <strong>de</strong>s Terres Neuves - Bègles<br />
du jeudi 1 er<br />
au dimanche 25 novembre<br />
<strong>de</strong> 14 h. à 19 h.<br />
(<strong>de</strong> 9 h. à 12 h., réservé aux scolaires)<br />
tarif : entrées libres<br />
vernissage le vendredi 2 novembre<br />
à 18 h. 30<br />
Renseignements du public :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Isabelle Champagne<br />
06 80 32 94 87<br />
champagne.isabelle@free.fr<br />
lamoruenoire@wanadoo.fr
Le Centre Jean Vigo présente :<br />
« Le rock au cinéma : l’insolence et le génie »<br />
Du 7 au 27 novembre <strong>2007</strong>, par « Le Rock au cinéma : l’insolence et le génie », le Centre Jean Vigo propose un voyage autour du<br />
Rock and Roll au cinéma, <strong>de</strong> l’avènement d’un style musical dans les années 50 jusqu’aux <strong>de</strong>rniers avatars d’une véritable culture au<br />
début <strong>de</strong>s années 2000. Le Centre Jean Vigo propose en effet <strong>de</strong> raconter cette histoire sous la forme d’une programmation <strong>de</strong> films<br />
et <strong>de</strong> 9 soirées alliant la force <strong>de</strong>s images cinématographiques, la puissance <strong>de</strong> la parole et l’énergie <strong>de</strong> la musique ou <strong>de</strong> la<br />
performance live. Un parcours subjectif à travers l’histoire <strong>de</strong> ce qui s’est affirmée au fil <strong>de</strong>s décennies autant comme une sousculture<br />
qu’une contre-culture à part entière.<br />
Cette programmation se fait l’écho <strong>de</strong> l’exposition consacrée à Brian Wilson, le lea<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s Beach Boys, à partir du mois <strong>de</strong> novembre<br />
par le CAPC musée d’art contemporain <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux.<br />
Car, <strong>de</strong>puis 50 ans, le rock n'influence pas seulement la mo<strong>de</strong>, mais plus généralement les arts, du cinéma à la peinture en passant<br />
par la littérature. L'œuvre d'un Andy Warhol, pour ne citer que lui, s'appuie ainsi clairement sur un socle rock. Signe d’une culture<br />
« oblique » qui tend à triompher peu à peu <strong>de</strong> la culture « noble », la culture rock met en évi<strong>de</strong>nce les contrastes et les ambiguïtés qui<br />
traversent notre mon<strong>de</strong> mo<strong>de</strong>rne. Le cinéma s’en est bien évi<strong>de</strong>mment fait l’écho.<br />
Cette histoire sera en images, mais également en musique et en spectacle. Le Centre Jean Vigo propose en effet <strong>de</strong> raconter – avec<br />
la collaboration précieuse <strong>de</strong> son partenaire la Rockschool Barbey – cette histoire sous la forme <strong>de</strong> 9 soirées alliant la force <strong>de</strong>s<br />
images cinématographiques, la puissance <strong>de</strong> la parole et l’énergie <strong>de</strong> la musique ou <strong>de</strong> la performance live.<br />
Soirées Spectacles : Génération Punk - Mercredi 7 (artiste invité : Patrick EUDELINE - Film : MONA ET MOI) - Le socle <strong>de</strong> la<br />
contre-culture : les « Monstres » - Jeudi 8 (artiste invité : Pascal TOURAIN / Spectacle : « L’homme tatoué » - Film : FREAKS LA<br />
MONSTRUEUSE PARADE) - « Psychédélires » - Mardi 13 (artistes invités : Sharitah Manush - Films : SCORPIO RISING et EASY<br />
RIDER) - Les années 50 : les débuts d’une aventure – Mercredi 14 (artiste invité : CHARLAZ - Film : LA FUREUR DE VIVRE) -<br />
80’s New Wave – Mardi 20 (artiste invité : The Garçon - Film : 24 HOUR PARTY PEOPLE) - Et aujourd’hui, new generation ? -<br />
Mercredi 21 (artiste invité : Kid Bombardos - Film : MODS) - Les enfants du Garage – Jeudi 22 (artistes invités : The Magnetix -<br />
Film : VIOLENT DAYS) - Drôle <strong>de</strong> rock – Vendredi 23 (artiste invité : Thomas VDB / Spectacle : « En Rock et en Roll - Film :<br />
SPINAL TAP).<br />
Mais aussi d’autres films, du 7 au 27 novembre : ZIGGY STARDUST & THE SPIDERS FROM MARS (D. PENNEBAKER –<br />
USA – 1973) – KURT AND COURTNEY (N. BROOMFIELD – USA/GB – 1998 – 1h39’) - PSYCHO BEACH PARTY (R. LEE KING –<br />
USA – 2000) - RADIO ON (C. PETIT – GB/RFA – 1979) - QUATRE GARÇONS DANS LE VENT (A hard day’s night – R. LESTER –<br />
GB – 1964) - LENINGRAD COWBOYS GO AMERICA (A. KAURISMAKI – Fin/Suè<strong>de</strong> – 1989) - MORE (B. SCHROEDER –<br />
Esp/Fr/Lux – 1969) - DIG (O. TIMONER – USA – 2004) - LAST DAYS (G. VAN SANT – USA – 2005).<br />
Une soirée spéciale à la Rockschool Barbey le 15 novembre : Le monstre Métal<br />
Artistes invités : Jenx (un groupe en partie composé d'anciens membres <strong>de</strong> Nihil et d'Oversoul)<br />
Edp+ : A minuit, « vernissage nocturne » <strong>de</strong>s créations monstrueuses <strong>de</strong> l'artiste plasticien EdP+, avec ambiance musicale (DJ<br />
dark/indus/goth/electro), avec petite piste <strong>de</strong> danse aménagée (« Petit Bal Monstre »). Film : MÉTAL, VOYAGE AU CŒUR DE LA BÊTE.<br />
12<br />
CINEMA JEAN VIGO<br />
6, rue Franklin<br />
du mercredi 7<br />
au mardi 27 novembre<br />
tarifs : 4,60 € / 3,80 € (réduit)<br />
FILMS<br />
L’intégralité du programme <strong>de</strong>s projections et<br />
rencontres est consultable sur www.jeanvigo.com<br />
Renseignements du public :<br />
Centre Jean Vigo<br />
05 56 44 35 17<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Marie-Agnès Bor<strong>de</strong>s<br />
Centre Jean Vigo<br />
05 56 44 35 17<br />
ma-bor<strong>de</strong>s@jeanvigo.com
Proxima Centauri présente :<br />
Les Inouïes [expressions sonores contemporaines]<br />
Proxima Centauri / Ars Nova / Scrime / La Muse en circuit / EriKm<br />
Direction Artistique Marie-Berna<strong>de</strong>tte Charrier, Christophe Havel et Benoist Baillergeau<br />
Scénographie Bruno Lahontaa - Création lumières Florent Blanchon<br />
Musiciens <strong>de</strong> Proxima Centauri (direction artistique Marie-Berna<strong>de</strong>tte Charrier) - Christophe Havel (électroacoustique) - Clément<br />
Fauconnet (percussion) - Hervé N’Kaoua (piano) - Marie-Berna<strong>de</strong>tte Charrier (saxophone) - Sylvain Millepied (flûte) - Géraldine Keller (voix) -<br />
Laurence Lacombe (violoncelle) - Didier Lacombe (alto)<br />
Musiciens d’Ars Nova (direction artistique Philippe Nahon) - Pierre-Simon Chevryl (flûte) - Anne Regnier (hautbois) - Véronique Fèvre &<br />
Éric Lamberger (clarinette) - Jacques Charles (saxophone) - Michel Maurer (piano) - Benoît Gau<strong>de</strong>lette & Isabelle Comelis (percussions) -<br />
Philippe Recard (basson) - Fabrice Bourgerie & Patrice Hic (trompette) - Tanguy Menez (contrebasse) - Isabelle Veyrier & Agnès Vesteman<br />
(violoncelle) - Marie Charvet & Bénédicte Trotereau (violon) - Alain Tresallet (alto)<br />
Proxima Centauri inaugure les premières journées Inouïes à Bor<strong>de</strong>aux, nouveau ren<strong>de</strong>z-vous dédié à la musique d’aujourd’hui et à<br />
ses multiples expressions. Ces quatre jours <strong>de</strong> musique, d’images et <strong>de</strong> rencontres réunissent <strong>de</strong>s artistes, interprètes, compositeurs,<br />
scénographes, mélomanes autour d’une figure emblématique <strong>de</strong> l’évolution <strong>de</strong>s musiques d’aujourd’hui : Luc Ferrari (1929 – 2005).<br />
Son œuvre abondante et multiforme s’étend <strong>de</strong> l’écriture instrumentale à la composition électroacoustique, en passant par les<br />
reportages, les textes, les films, les installations… Un florilège d’œuvres <strong>de</strong> Ferrari ainsi que <strong>de</strong>s créations dédiées seront<br />
interprétées par les ensembles Ars Nova et Proxima Centauri dans <strong>de</strong>s mises en scène allant <strong>de</strong> 1 à 17 musiciens. Les studios <strong>de</strong><br />
création La Muse en circuit (créés par Ferrari en 1982 à Paris) et le Scrime (Talence) dresseront le portrait du compositeur toujours à<br />
l’affût <strong>de</strong>s nouvelles technologies. Enfin, une performance d’eriKm aux platines complètera ce tableau d’un musicien éclectique.<br />
Jeudi 8 novembre – Journée # 1 Ouverture au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />
20h30 – Concert création # 1 instrumental et électroacoustique / 22h – Performance électro d’eriKm<br />
Vendredi 9 novembre – Journée # 2 au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />
20h – Table ron<strong>de</strong> animée par David Jisse, directeur <strong>de</strong> La muse en circuit / 20h30 – Concert création # 2 instrumental et électroacoustique<br />
21h30 – Concert <strong>de</strong> casques par La muse en circuit (électroacoustique) ou projection du documentaire Presque rien avec Luc Ferrari (2005)<br />
22h30 – Concert <strong>de</strong> casques par La muse en circuit (électroacoustique) ou projection du documentaire Presque rien avec Luc Ferrari (2005)<br />
Samedi 10 novembre – Journée # 3 au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />
11h à 17h – Installation sonore par Le Scrime / 11h – Projection <strong>de</strong> Ferrari face à la tautologie / 13h30 – Concert # 3 instrumental et électroacoustique<br />
Samedi 10 novembre - Soirée <strong>de</strong>s musiciens au TnBA avec le soutien <strong>de</strong> la Spedidam<br />
19h – Spectacle musical <strong>de</strong> Proxima Centauri (Ferrari, Aperghis, Rossé) / 20h – Concerts créations hommage par Proxima Centauri et Ars Nova (Eloy, Kassap,<br />
Markéas, Havel, Suzuki, Rivet, Moultaka) / 21h30 – Concert <strong>de</strong> l’ensemble Ars Nova La Symphonie Déchirée (Ferrari) dirigé par Philippe Nahon<br />
Dimanche 11 novembre - Journée # 4 au TNT Manufacture <strong>de</strong> chaussures<br />
12h – Table ron<strong>de</strong> animée par David Jisse et Philippe Nahon / 12h30 – Concert # 4 (instrumental et électroacoustique) / 13h30 – Clôture : Pique-nique et bal dansant<br />
sur la Patajaslotcha <strong>de</strong> Luc Ferrari<br />
13<br />
du jeudi 8<br />
au dimanche 11 novembre<br />
MUSIQUES<br />
T.N.T.<br />
MANUFACTURE DE CHAUSSURES<br />
226, boulevard Albert 1 er<br />
du jeudi 8<br />
au dimanche 11 novembre<br />
tarifs : 10 € la journée<br />
30 € forfait 4 jours<br />
Réservations : 05 56 85 82 81<br />
T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />
Square Jean-Vauthier<br />
samedi 10 novembre à 19 h.<br />
tarifs : 25 € / 20 € (réduit)<br />
Renseignements du public :<br />
05 57 95 71 52<br />
infos@proxima-centauri<br />
Pass Inouïes : 45 €<br />
Réservations :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Proxima Centauri<br />
05 57 95 71 52<br />
infos@proxima-centauri<br />
www.proximacentauri.fr
Le Glob Théâtre présente :<br />
Animal Mâle<br />
Compagnie IDA / Mark Tompkins<br />
Direction artistique Mark Tompkins<br />
Avec Mark Tompkins, Jean-Louis Ba<strong>de</strong>t, David Farine, Rodolphe Martin, Jules Beckman, Joris Camelin, Michaël<br />
Hallouin, Matthieu Perpoint<br />
Musique Chansons <strong>de</strong> Mark Lewis and the Standards composées par Nuno Rebelo et Mark Tompkins<br />
SCENOGRAPHIE ET COSTUMES Jean-Louis Ba<strong>de</strong>t COLLABORATION A LA MISE EN SCENE Frans Poelstra<br />
LUMIERE – REGIE GENERALE David Farine ENTRAINEUR LUTTE Marco <strong>de</strong> Paola<br />
Animal est une fable contemporaine sur les forces du bien et du mal, sur le faux mensonge et le vrai faux-semblant, le sacrifice, le<br />
renoncement du sens, l’accueil <strong>de</strong> l’innommable. Plonger, encore et encore, dans les perceptions, les sensations, là où tout frémit. Ne<br />
surtout pas s’attar<strong>de</strong>r, ni s’agripper, mais embrasser le passage, naviguer dans les systèmes, rendre visible la circulation, accoucher<br />
<strong>de</strong>s images complexes qui naissent et meurent, nous laissant malheureusement stupéfaits, peut-être gênés, sûrement troublés.<br />
Animal se déroule à l’intérieur d’un espace scénique assez froid, blanc ou argenté, saturé <strong>de</strong> lumière. Par contraste, les éléments<br />
« humains », les lutteurs et les situations, apparaissent avec leurs spécificités organiques et mettent en évi<strong>de</strong>nce la dualité entre ce<br />
cadre concret et leurs jeux. La dramaturgie du spectacle repose sur la rigueur toute protestante <strong>de</strong> l’arbitre et les pulsions instinctives<br />
et délirantes <strong>de</strong>s animaux, « humaines ». Le rôle ambigu <strong>de</strong> l’arbitre se heurte à la résistance <strong>de</strong>s corps <strong>de</strong>s lutteurs. Il s’établit alors<br />
un va-et-vient entre la morale du « dominant » qui asservit et la permanence <strong>de</strong> l’instinct <strong>de</strong> vie ou <strong>de</strong> survie. Le public, assis sur trois<br />
côtés <strong>de</strong> l’arène <strong>de</strong> combat, proche <strong>de</strong> l’action, assiste comme un jury à une séance d’autopsie, à la fois témoin, voyeur, engagé et<br />
amené à prendre parti.<br />
Mark Tompkins, directeur artistique, danseur, chorégraphe<br />
Danseur, chorégraphe et pédagogue américain, Mark Tompkins vit en France <strong>de</strong>puis 1973. Après une série <strong>de</strong> solos et spectacles collectifs, il fon<strong>de</strong><br />
en 1983 sa compagnie, I.D.A. Parallèlement à ses activités <strong>de</strong> directeur artistique <strong>de</strong> la Compagnie I.D.A., il mène une recherche sur l'improvisation<br />
et la composition instantanée. Lauréat du Concours <strong>de</strong> Bagnolet en 1984, il réalise une trilogie Trahisons-Men, Women, Humen, présentée dans son<br />
intégralité au Festival Montpellier-Danse en 1987. L'année suivante, il crée au Festival d'Avignon Nouvelles d'après le roman “IDA” <strong>de</strong> Gertru<strong>de</strong><br />
Stein. De 1990 à 1992, il produit La Plaque Tournante, comprenant la danse, la musique, la vidéo et la lumière, dans dix villes européennes. En<br />
1993, il crée Home (Le meilleur <strong>de</strong>s mon<strong>de</strong>s), en 1994, Channels, et en 1996, Gravity. Il crée et danse <strong>de</strong>s solos, réunis <strong>de</strong>puis 1998, sous le titre<br />
« Hommages » : La Valse <strong>de</strong> Vaslav (89), Witness (92), Un<strong>de</strong>r My Skin (96), Icons (98). En rési<strong>de</strong>nce à Strasbourg <strong>de</strong> 1998 à 2000, il crée La vie<br />
rêvée d'Aimé (99) et RemiXamor (00). Artiste associé au Théâtre <strong>de</strong> la Cité internationale à Paris <strong>de</strong> 2001 à 2004, il développe le projet <strong>de</strong><br />
recherche et <strong>de</strong> création En Chantier qui accompagne les travaux <strong>de</strong> réhabilitation <strong>de</strong>s nouvelles salles et crée Song and Dance en 2003. Animal<br />
Mâle est créé en 2005.<br />
14<br />
GLOB THEATRE<br />
69, rue Joséphine<br />
jeudi 8 novembre à 20 h.<br />
vendredi 9 novembre à 20 h.<br />
tarifs : 12 € / 8 € (réduit)<br />
DANSES<br />
Coproduction : compagnie IDA, Les Subsistances –<br />
Lyon, Théâtre Pôle Sud / Scène conventionnée,<br />
Strasbourg / Kaaitheater, Bruxelles /<br />
Kunstencentrum Vooruit, Gand – Soutiens : Centre<br />
Chorégraphique National <strong>de</strong> Franche-Comté à<br />
Belfort – Coréalisation du Théâtre <strong>de</strong> la Cité<br />
internationale, avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’ONDA et <strong>de</strong> la Ville<br />
<strong>de</strong> Paris.<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Glob théâtre<br />
Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />
05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />
Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />
05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Billetterie GLOB<br />
05 56 69 06 66<br />
contact@globtheatre.net<br />
www.globtheatre.net<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56
Les gran<strong>de</strong>s Traversées présentent :<br />
Le 7 ème parcours <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées Erna Ómarsdóttir<br />
Erna Ómarsdóttir, danseuse et chorégraphe née en 1972, a étudié la danse à l’Icelandic Balletschool, à la Rotterdamse<br />
Dansaka<strong>de</strong>mie et à PARTS, l’école d’Anne Teresa <strong>de</strong> Keersmaeker, à Bruxelles, dont elle sort diplômée en 1998. En 1996, elle crée<br />
à Reykjavik sa compagnie <strong>de</strong> danse-théâtre, Ekka. Dès 1999, elle travaille avec Jan Fabre dans plusieurs spectacles mémorables :<br />
The fin comes a little bit earlier this siècle, As long as the world needs a warrior soul, My movements are alone like streetdogs. Elle<br />
s’insère dans l’univers <strong>de</strong> Sidi Larbi Cherkaoui (Foi en 2003), du collectif bruxellois PONI (A bacterial tour et Soma Sema), <strong>de</strong> la<br />
plasticienne et vidéaste Gabriela Fridriksdóttir (Katharsis et Melankólia) et, ensemble, avec la chanteuse Björk (Where is the line et<br />
Versations Tetralogia en 2005).<br />
Elle emmène avec elle <strong>de</strong>s compagnons aux univers puissants et originaux : Salva Sanchis (Compagnie Rosas/Anne Teresa <strong>de</strong><br />
Keersmaeker), Arthur Nauzyciel, Anne Brochet et Alexandra Gilbert, Gisèle Vienne, Mette Ingvarsten, Die<strong>de</strong>rick Peeters,<br />
Hans Bryssinck et Danai Anesiadou, Kate Macintosh, Margrét Sara Gudjonsdóttir et Knut Berger, Arco Renz, les réalisateurs<br />
Gilles Delmas, Pierre Coulibeuf, Matthew Barney, Anaïs et Olivier Spiro, les musiciens <strong>de</strong> PONI, KTL, Tape Tum, Reykjavik !,<br />
et Ólöf Arnalds, les plasticiennes Gabriela Fridriksdóttir et Kristín Geirsdóttir…<br />
The talking tree, event Erna Ómarsdóttir – Lieven Dousselaere (Belgique)<br />
CHOREGRAPHIE, TEXTE ET INTERPRETATION Erna Ómarsdóttir – MUSIQUE Lieven Dousselaere (Guitare)<br />
The talking tree est l’arbre <strong>de</strong> vie, <strong>de</strong> prospérité… C’est une créature mi-humaine mi-arbre née en 2006, lors du 250 e anniversaire <strong>de</strong><br />
Mozart à Salzbourg. Elle s’est développée pendant la préparation du PONI Project 2 Soma Sema en une sorte <strong>de</strong> conteur : un arbre<br />
chantant et dansant d’étranges histoires <strong>de</strong> personnages issus du mon<strong>de</strong> <strong>de</strong> Soma Sema et <strong>de</strong> PONI. The talking tree pense être un<br />
prophète omniscient, vieux <strong>de</strong> 3000 ans, avec <strong>de</strong>s pouvoirs alchimiques. Il est suivi par une mélodie – chacun étant l’esclave <strong>de</strong> l’autre<br />
mais ne pouvant exister sans l’autre – personnage <strong>de</strong> la <strong>de</strong>stinée, clown triste, corps saignant et showman. Ils ont mission <strong>de</strong><br />
parcourir la terre en racontant <strong>de</strong>s histoires, certaines ayant le pouvoir <strong>de</strong> changer le mon<strong>de</strong>.<br />
The mysteries of love Erna Ómarsdóttir – Jóhann Jóhannsson (Islan<strong>de</strong>)<br />
CONCEPTION Erna Ómarsdóttir, Jóhann Jóhannsson - CRÉATION ET INTERPRETATION Margrét Sara Gudjónsdóttir, Jóhann Jóhannsson,<br />
Erna Ómarsdóttir, Flosi Thorgeirsson et Vladimar Johannsson - LUMIÈRES Sylvain Rausa, – SON Pall Einarsson - ASSISTANTE A LA DRAMATURGIE<br />
Karen Maria Jonsdottir. Production et diffusion : Esther Welger-Barboza - Coproduction : Festival d’Avignon 2005 ; CCN <strong>de</strong> Franche-Comté, Belfort ; Théâtre<br />
Lantaren/Venster, Rotterdam ; Emilia Romagna Teatro Fondazione, Mo<strong>de</strong>na ; Rési<strong>de</strong>nce <strong>de</strong> création : La Ferme du Buisson –Scène nationale <strong>de</strong> Marne-la-Vallée.<br />
The mysteries of love est la <strong>de</strong>uxième collaboration entre Erna Ómarsdóttir et Jóhann Jóhannsson après IBM – 1401, a user’s manual<br />
où étaient déjà bousculées les limites entre concert vocal et représentation chorégraphique. Le projet a été imaginé comme un<br />
ensemble <strong>de</strong> dix chansons suivant la même structure, en combinant musique, gestes, chant, mots et performance. Par une approche<br />
sociologique et anthropologique, avec humour et exubérance, les thèmes <strong>de</strong> l’adolescence sont explorés.<br />
15<br />
DANSES / gT7<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Éric Bernard<br />
06 75 59 06 20<br />
www.lesgran<strong>de</strong>straversees.com<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
boulevard Alfred Daney<br />
dimanche 11 novembre à 18 h.<br />
Réservations :<br />
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />
05 57 93 18 93<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
LE CARRE DES JALLES<br />
place <strong>de</strong> la République<br />
Saint Médard-en-Jalles<br />
lundi 12 novembre à 20 h. 30<br />
Réservations :<br />
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />
05 57 93 18 93<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56
Ófætt Damien Jalet (Belgique) - Erna Ómarsdóttir<br />
CONCEPTION ET CREATION Damien Jalet, Erna Ómarsdóttir, Gabriela Fridriksdottir et Raven - CHOREGRAPHIE ET INTERPRETATION Erna Ómarsdóttir<br />
et Damien Jalet - MUSIQUE ET SON Tape Tum (Lieven et Benjamin Dousselaere) – LUMIERES Ronan Cabon - ASSISTANTE A LA CHOREGRAPHIE<br />
Alexandra Gilbert. Production et diffusion : Esther Welger-Barboza - Coproduction : Théâtre national <strong>de</strong> Bretagne, Rennes; Tanzhaus nrw, Düsseldorf; SW&G/sasha<br />
waltz & guests, Berlin.<br />
Ófætt (Unborn), prononcer [éfèyt], est basé sur le concept d’élan vital du philosophe Bergson : la manière dont la vie s’inscrit dans la<br />
matière <strong>de</strong> façon imprévisible, déclinant ses possibilités d’évolution à l’infini. Erna Ómarsdóttir : « Damien et moi revenons à l’instinct,<br />
avec un lien très fort entre nous <strong>de</strong>ux. Comme une poétique d’un mon<strong>de</strong> antérieur qui aurait à voir avec la conception. Il est question<br />
<strong>de</strong> mutation, avec un bestiaire qui se prête à toutes ces métamorphoses. ». Une créature hybri<strong>de</strong> s’ébroue, Erna sur le dos <strong>de</strong><br />
Damien, visage caché, voix sour<strong>de</strong>. On ne démêle plus l’un <strong>de</strong> l’autre, masculin-féminin déjoué. Une plongée dans la matière qui nous<br />
constitue pour donner naissance à une géographie <strong>de</strong> nos zones troubles.<br />
IBM 1401, a user’s manual Erna Ómarsdóttir – Jóhann Jóhannsson (Islan<strong>de</strong>)<br />
CONCEPTION Erna Ómarsdóttir, Jóhann Jóhannsson - CHOREGRAPHIE ET DANSE PAR Erna Ómarsdóttir – MUSIQUE Jóhann Jóhannsson –<br />
ORCHESTRATION J.J. et Arnar Bjarnason – LUMIERES Sylvain Rausa - Interprété par Jóhann Jóhannsson et les cor<strong>de</strong>s <strong>de</strong> l’Orchestre<br />
symphonique du Conservatoire <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux Jacques Thibaud, direction Jean-Luc Portelli,<br />
IBM-1401, a user’s manual, solo pour 40 cor<strong>de</strong>s et ordinateur. La musique est fondée sur un hymne islandais, Island Ogrum Skorid <strong>de</strong><br />
Sigvaldi Kaldalons, programmé par Johann Gunnarsson et Elias Davidsson sur un ordinateur IBM 1401 en 1971. Sur cette base,<br />
Johann Johannssonn a composé <strong>de</strong>s mélodies hypnotiques et mélancoliques pour orchestre à cor<strong>de</strong>s interprétées sur scène, en<br />
version intégrale et en création. La danse d’Erna Ómarsdóttir évoque la complexité <strong>de</strong>s rapports entre l’homme et la machine.<br />
Production et diffusion : Esther Welger-Barboza.<br />
We are all Marlene Dietrich FOR - Erna Ómarsdóttir – Emil Hrvatin (Slovénie)<br />
Icelandic Dance Company and Maska<br />
CONCEPTION ET CHORÉGRAPHIE Erna Ómarsdóttir, Emil Hrvatin – MUSIQUE PONI - MUSIQUE ADDITIONNELLE Laibach – COSTUMES Elena Fajt –<br />
LUMIÈRES Miran Sustersic - DIRECTEUR TECHNIQUE Benedikt Axelson – ASSISTANT Mare Bulc – SON Xavier van Wersch – VIDÉO Jure Novak, Mare<br />
Bulc, Emil Hrvatin<br />
DANSÉURS ET MUSICIENS Peter An<strong>de</strong>rson, Lieven Dousselaere, Alexandra Gilbert, Katrín Ingvadóttir, Gudmundur, Elías Knudsen, Erna<br />
Ómarsdóttir, Die<strong>de</strong>rick Peeters, Valgerdur Rúnarsdóttir, Frostu Runolfsson<br />
We are all Marlene Dietrich FOR explore les genres du théâtre aux armées, <strong>de</strong>s concerts, ballets, événements médiatiques ou<br />
talkshows aux genres plus intimes ou cachés. Le spectacle s’adresse aux soldats <strong>de</strong>s missions internationales pour la paix comme au<br />
grand public. C’est une invitation à reconsidérer la position <strong>de</strong>s artistes, organisateurs, soldats et spectateurs, non pas une critique <strong>de</strong><br />
la guerre par l’artiste mais comment l’artiste répond à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> divertissement <strong>de</strong>s soldats.<br />
Production : Maska Production, Ljubljana ; Icelandic Dance Company, Reykjavik avec l’ai<strong>de</strong> du Programme culturel 2000 <strong>de</strong> la Commission Européenne / C’est un<br />
projet Trans Dance Europe 2003-2006.<br />
16<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
boulevard Alfred Daney<br />
mardi 13 novembre à 23 h.<br />
Réservations :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
T.n.B.A., Gran<strong>de</strong> Salle<br />
square Jean-Vauthier<br />
DANSES / gT7<br />
jeudi 15 novembre à 20 h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE, GRANDE SCENE<br />
boulevard Alfred Daney<br />
dimanche 18 novembre à 20 h. 30
Les invités d’Erna Ómarsdóttir<br />
Still live Salva Sanchis (Espagne) Compagnie Rosas / Anne Teresa <strong>de</strong><br />
Keersmaeker<br />
Création française<br />
Production : Rosas & De Munt / La Monnaie - Coproduction : Mercat <strong>de</strong> les Flors, Barcelona ; Tanzhaus NRW, Düsseldorf ; Impuls Tanz, Wien.<br />
Entre imperceptible et sensations pénétrantes, la danse <strong>de</strong> Rosas<br />
Dead Meat Margrét Sara Gudjónsdóttir (Islan<strong>de</strong>) – Knut Berger (Allemagne)<br />
Création française<br />
« Le pouvoir et les mécanismes du pouvoir, la déstructuration <strong>de</strong>s expressions »<br />
L’image Samuel Beckett – Lecture chorégraphiée par Arthur Nauzyciel<br />
Création française<br />
Production : Compagnie 41751 / Arthur Nauzyciel.<br />
La poésie <strong>de</strong> Beckett en éclats <strong>de</strong> voix, chant et danse, sou la houlette <strong>de</strong> Nauzyciel<br />
Desh : India Salva Sanchis (Espagne) – Anne Teresa <strong>de</strong> Keersmaeker<br />
(Belgique)<br />
Production : Rosas, De Munt / La Monnaie, Bruxelles - Coproduction : Théâtre <strong>de</strong> la Ville, Paris : Opéra <strong>de</strong> Rouen-Haute Normandie<br />
Métissée par les ragas indiens et le jazz <strong>de</strong> Coltrane, la délicatesse <strong>de</strong> Sanchis<br />
Hair from the throat Kate Macintosh (Nouvelle-Zélan<strong>de</strong>)<br />
Production : Margarita Production - Coproduction : Parc <strong>de</strong> la Villette, Paris; Sophiensaele, Berlin – en association avec : Monty, nadine, Kaaitheater, Bruxelles –<br />
avec le soutien <strong>de</strong> Vlaamse overheid, het Brussels Hoofdste<strong>de</strong>lijk Gewest.<br />
Théâtre-performance : suivez l’homme-poisson <strong>de</strong> l’excentrique Kate Macintosh<br />
Kin<strong>de</strong>rtotenlie<strong>de</strong>r Gisèle Vienne (France)<br />
Production déléguée : DACM avec la collaboration du Quartz – Scène nationale <strong>de</strong> Brest. - Coproduction : Le Quartz scène nationale <strong>de</strong> Brest ; Les<br />
Subsistances <strong>2007</strong>, Lyon ;<br />
CCN Franche-Comté, Belfort ; CNDC, Angers.<br />
Des poupées aux Perchten <strong>de</strong> carnaval, corps et fantasmes selon Gisèle Vienne.<br />
17<br />
DANSES / gT7<br />
LE CUVIER / CDC D’AQUITAINE<br />
boulevard Fey<strong>de</strong>au<br />
Artigues-près-Bor<strong>de</strong>aux<br />
mardi 13 novembre à 19 h.<br />
LE CUVIER / CDC D’AQUITAINE<br />
boulevard Fey<strong>de</strong>au<br />
Artigues-près-Bor<strong>de</strong>aux<br />
mardi 13 novembre à 21 h.<br />
THEATRE DES QUATRE SAISONS<br />
parc <strong>de</strong> Mandavit<br />
Gradignan<br />
mercredi 14 novembre à 20 h. 45<br />
THEATRE DES QUATRE SAISONS<br />
parc <strong>de</strong> Mandavit<br />
Gradignan<br />
mercredi 14 novembre à 22 h.<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
vendredi 16 novembre à 19 h. 30<br />
public adulte<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
vendredi 16 novembre à 20 h. 30
Jonathan covering Jonathan Cap<strong>de</strong>vielle<br />
Son adolescence, elle l’a passée sur les dancefloors du Must, du Broadway, du Number One, du Garage, du Retro…<br />
Chuck Norris doesn’t sleep, he waits...<br />
Die<strong>de</strong>rick Peeters (Belgique) – Hans Bryssinck – Danai Anesiadou<br />
Création française<br />
Production : Margarita Production - Coproduction : Beursschouwburg, Netwerk vzw, TIME festival.<br />
Trois plasticiens s’emparent du langage cinema pour abor<strong>de</strong>r la danse contemporaine<br />
Project 2 : Soma Sema PONI (Belgique)<br />
Production : In Utero vzw - Production exécutive : Margarita Production - Coproduction : Kaaitheater, Bruxelles ; Sophiensale, Berlin ; Festival 100 <strong>de</strong>ssus<br />
<strong>de</strong>ssous, Centre Pompidou-Parc <strong>de</strong> la Villette, Paris ; Bruda, Kortrijk - Partenariat : Recyclart, Bruxelles ; Monty, Anvers ; WP Zimmer, Anvers ; les Halles <strong>de</strong>s<br />
Schaerbeek, Bruxelles.<br />
Après s’être attaqué au punk, le collectif PONI démantèle les co<strong>de</strong>s du théâtre<br />
50/50 Mette Ingvarsten (Danemark)<br />
Rock, opéra , cirque, ou comment détourner le spectacle vivant<br />
.<br />
P.O.P. E.R.A. Arco Renz – Kobalt Works (Allemagne) Création française<br />
Production : Kobalt Works vzw. - Coproduction : STUK Kunstencentrum, Leuven ; Artefakt, Leuven ; Kulturama, Leuven<br />
Entre pop et opéra, une plongée aveugle dans l’univers singulier d’Arco Renz<br />
INSTALLATIONS<br />
La Zon-Mai Gilles Delmas (France) – Sidi Larbi Cherkaoui (Belgique)<br />
FILMS<br />
Production déléguée : Christian Pfohl et Marc Boyer – Lardux Films.<br />
Gabriela Fridriksdóttir (Islan<strong>de</strong>)<br />
Kristín Geirsdóttir (Islan<strong>de</strong>)<br />
De lama lâmina Matthew Barney (USA)<br />
Les guerriers <strong>de</strong> la beauté Pierre Coulibeuf (France)<br />
d’après une recréation spéciale <strong>de</strong> Jan Fabre (Belgique)<br />
Coproduction : Regards Productions, Periscope Productions en association avec Troubleyn.<br />
18<br />
DANSES / gT7<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
vendredi 16 novembre à 23 h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE,<br />
samedi 17 novembre à 19 h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
samedi 17 novembre à 20h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
samedi 17 novembre à 22 h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
samedi 17 novembre-<br />
17 h. / 17 h.20 / 17 h.40 / 18 h./ 18 h.30 / 19 h.<br />
dimanche 18 novembre<br />
18 h. / 18 h.20 / 18 h.40 / 19 h./ 19 h.20 / 19 h.40 / 20 h.<br />
ARTS PLASTIQUES / gT7<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
vernissages lundi 12 novembre<br />
à 12 h.30<br />
FILMS / gT7<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
mercredi 14 novembre à 23 h.<br />
samedi 17 novembre à 18 h.
Somewhere in between Pierre Coulibeuf (France)<br />
d’après une création spéciale <strong>de</strong> Meg Stuart (USA)<br />
Coproduction : Regards Productions, Halolalune Production, RBB/Arte, RTBF, SF DRS, Mezzo, TV 10<br />
The unclear age Anaïs et Olivier Spiro (France) – Erna Ómarsdóttir (Islan<strong>de</strong>) –<br />
Damien Jalet (Belgique)<br />
Coproduction : Théâtre <strong>de</strong> la Ville, Paris; Kunstencentrum Vooruit, Gand; Tanzquartier, Vienne; Hebbel Theater, Berlin<br />
Concerts<br />
Tape Tum / Lieven Dousselaere et Benjamin Dousselaere<br />
Guitares, vois, électro par les musiciens d’Öfaett et Chuck Norris<br />
KTL<br />
Drone roc, électro. Rencontre entre Peter Rehberg (PITA) <strong>de</strong>s Editions Mego et Stephen O’Malley du groupe Sonno)))<br />
Ólöf Arnalds<br />
La nouvelle voix islandaise<br />
Jóhann Jóhannsson / avec un « quatuor <strong>de</strong> cor<strong>de</strong>s et électronique » et Mona<strong>de</strong><br />
Le compositeur <strong>de</strong> Mysteries of love et IBM 1401<br />
Reykjavik !<br />
Punk rock<br />
PONI<br />
Punk rock par les musiciens <strong>de</strong> Soma Sema<br />
Autour <strong>de</strong>s spectacles<br />
Master-class <strong>de</strong> Salva Sanchis<br />
After en musique au Club <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées à la Base sous-marine<br />
Le gT – quotidien aléatoire <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s Traversées<br />
19<br />
dimanche 18 novembre à 19 h.<br />
samedi 17 novembre à 18 h.<br />
dimanche 18 novembre à 19 h.<br />
LE CARRE DES JALLES<br />
Saint Médard-en-Jalles<br />
lundi 12 novembre à 22 h.<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
jeudi 15 novembre à 23 h.<br />
FILMS / gT7<br />
MUSIQUES / gT7<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
vendredi 16 novembre à 22 h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
samedi 17 novembre à 23 h. 30<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
dimanche 18 novembre à 22 h.30<br />
BASE SOUS-MARINE<br />
dimanche 18 novembre à 22 h.30<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Éric Bernard<br />
06 75 59 06 20<br />
www.lesgran<strong>de</strong>straversees.com
<strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
HYMNEN<br />
CCN - Ballet <strong>de</strong> Lorraine<br />
MUSIQUE Karlheinz Stockhausen<br />
CONCEPTION Lia Rodrigues, Gérard Fromanger, Didier Deschamps (création <strong>2007</strong>)<br />
Danseurs : Bulat Akhmejanov, Pierre-François Badoud, Grégory Beaumont, Christophe Béranger, Emmanuel Bergoin, Amandine Biancherin,<br />
Jennifer Blasek, Larissa Boutenko, Xavier Chasseur-Daniel, Morgan <strong>de</strong> Quelen, Dmitri Domojirov, Valérie Ferrando, Julien Ficely, Baptiste Fisson,<br />
Miroslaw Gordon, Cyril Griset, Alexis Gutierrez-Wosylus, Marie-Séverine Hurteloup, Nina Khokham, Valérie Ly-Cuong, Aurore Longère, Juliette<br />
Mignot, Anastasiya Ne<strong>de</strong>lcheva, Joris Perez, Erdmann Phanuel, Ligia Saldanha, Florence Viennot.<br />
Avec la participation <strong>de</strong>s danseurs <strong>de</strong> la Cellule d'Insertion Professionnelle: Arnaud Bajolle, Marlène Braziewicz, Justin Cumine, Julien Folliot<br />
Villatte, Claire Pidoux, Sophie Renier, Séverine Wolff<br />
Avec, pour ces représentations, le soutien du Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux.<br />
DES HYMNES<br />
Les hymnes nationaux, les drapeaux, les questions liées à l'appartenance et aux racines, sont plus présents que jamais sur les<br />
plateaux <strong>de</strong> danse contemporaine. Alors que les frontières entre les pays se font soi-disant poreuses, elles se referment aussi sur<br />
<strong>de</strong>s crispations i<strong>de</strong>ntitaires violentes. C'est sur ce terrain miné par une actualité toujours pressante que la nouvelle création du Ballet<br />
<strong>de</strong> Lorraine entend tailler une route originale.<br />
Hymnen, partition composée entre 1964 et 1967 par Karlheinz Stockhausen, en est le socle. Un socle massif qui concentre durant<br />
une heure cinquante <strong>de</strong>s hymnes <strong>de</strong> différents pays, <strong>de</strong>s bruits <strong>de</strong> foule, <strong>de</strong>s conversations dans toutes les langues, pour en faire<br />
surgir une nuée électronique planétaire. Sous cette pluie sonore, une équipe artistique insolite se serre les cou<strong>de</strong>s et tente <strong>de</strong> trouver<br />
un accord aux dissonnances du mon<strong>de</strong> comme il va : le peintre Gérard Fromanger, acteur fameux <strong>de</strong> la nouvelle figuration dès les<br />
années 60, la chorégraphe brésilienne Lia Rodrigues, installée dans une favela <strong>de</strong> Rio, et Didier Deschamps, directeur du Ballet <strong>de</strong><br />
Lorraine et instigateur du projet. Autour <strong>de</strong>s thèmes <strong>de</strong> la patrie, du nomadisme obligatoire, <strong>de</strong> la discrimination, les trois complices<br />
tissent une trame spectaculaire, écho <strong>de</strong> cet état <strong>de</strong> guerre larvée qu'est aujourd'hui la vie dans certains pays comme le Brésil. Cette<br />
plongée dans le gouffre <strong>de</strong> l'actualité, les trente interprètes du Ballet <strong>de</strong> Lorraine se chargent d'en extraire un matériau brûlant.<br />
Lia Rodrigues - Elle fon<strong>de</strong> en 1990 à Rio <strong>de</strong> Janeiro sa compagnie, la Lia Rodrigues Companhia <strong>de</strong> Danças. En plus <strong>de</strong> mettre en scène et <strong>de</strong><br />
produire tous ses spectacles, Lia Rodrigues est aussi productrice culturelle. En 1992, elle crée le Festival <strong>de</strong> Danse contemporaine Panorama<br />
Rioarte <strong>de</strong> Dança dont elle est directrice jusqu'en 2005.<br />
Gérard Fromanger - Il peint dès le début <strong>de</strong>s années 60 <strong>de</strong>s figures en noir et blanc en réaction à l'art abstrait alors dominant. Considéré comme<br />
l'un <strong>de</strong>s pionniers du retour à la figuration, il rejoint, en 1965, "La Nouvelle figuration ou Figuration Narrative", dont il <strong>de</strong>vient l'un <strong>de</strong>s acteurs<br />
essentiels. A partir <strong>de</strong> 1980, expositions et rétrospective se suivent à travers le mon<strong>de</strong>.<br />
Didier Deschamps - Son parcours <strong>de</strong> chorégraphe se fait en France, pour Régine Chopinot, le ballet <strong>de</strong> l'Opéra <strong>de</strong> Lyon, le Théâtre <strong>de</strong>s Huits-<br />
Saveurs, le CNDC d'Angers, le CNSM <strong>de</strong> Lyon, la compagnie <strong>de</strong> Didier Deschamps, et à l'étranger au Danse'Hus (Copenhague), au London<br />
Contemporary Dance'School. Il enseigne la danse en France pour <strong>de</strong> nombreuses compagnies puis à l'étranger. En juillet 2000, il est nommé<br />
Directeur Général du Centre Chorégraphique National - Ballet <strong>de</strong> Lorraine.<br />
20<br />
CASINO BARRIERE DE<br />
BORDEAUX<br />
rue du Cardinal Richaud<br />
mardi 13 novembre à 20 h.<br />
mercredi 14 novembre à 20 h.<br />
jeudi 15 novembre à 20 h.<br />
DANSES<br />
tarif : entrées libres (dans la limite <strong>de</strong>s<br />
places disponibles, à retirer au<br />
Kiosque Culture ou au Casino Barrière<br />
<strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux)<br />
Renseignements du public et retrait<br />
<strong>de</strong>s places :<br />
Casino Barrière <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />
05 56 69 49 00<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Canal Com<br />
05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />
canalcom@club-internet.fr
MC2a présente :<br />
Théâtre Noirs Blancs Associés<br />
Porte2a fête ses 10 ans au T.n.B.A.<br />
En 97, Ray Lema inaugurait le lieu Porte2a, animé par l’association MIGRATIONS CULTURELLES aquitaine afriques/MC2a.<br />
Aujourd’hui il est invité à parrainer cette nouvelle déca<strong>de</strong>. Entre temps et d’évi<strong>de</strong>nce, le territoire nous a rappelé à sa réalité et<br />
Bernard Lubat vient souffler naturellement avec Ray le feu <strong>de</strong> l’avenir.<br />
MIZILA, Ray LEMA<br />
« Musicien emblématique <strong>de</strong> l'apport <strong>de</strong> l'Afrique à la diversité <strong>de</strong> la scène française, homme <strong>de</strong> défis, Ray Lema n'en finit pas <strong>de</strong><br />
surprendre. Avec son album, Mizila le voici aujourd'hui dans un exercice <strong>de</strong> piano solo, alliant légèreté gazouillante et sereine<br />
élégance. » Patrick Labesse, RFI<br />
Avec Mizila, Ray Lema se moque <strong>de</strong>s frontières, rebelle à toute classification, ni Blanc, ni Noir, ni classique, ni jazz : « Je suis Africain<br />
et j’ai <strong>de</strong> l’Occi<strong>de</strong>ntal en moi. Cet album mêle les <strong>de</strong>ux ».<br />
VIVE L’AMUSIQUE ! Bernard LUBAT<br />
« […] Chercheur poético-scientifique <strong>de</strong> haut rang, à table il fredonne et tambourine, trousse un chabada pour fourchette et couteau,<br />
c’est en réalité quand il parle qu’il joue. Programme, en Lubat dans le texte : « C’est par où ? C’est par l’art ! : psy-comédie poïélitique<br />
autobiographitique. » … Francis Marman<strong>de</strong>, Le Mon<strong>de</strong><br />
21<br />
T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />
Square Jean-Vauthier<br />
MUSIQUES<br />
mercredi 14 novembre à 20 h. 30<br />
tarif : 20 €<br />
Renseignements du public et retrait<br />
<strong>de</strong>s places :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Cécile Quintin<br />
06 81 61 64 94<br />
migrationsculturelles@wanadoo.fr
Le Glob Théâtre et l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présentent :<br />
Animale (extrait du triptyque Les Naufragés)<br />
Nathalie Pernette<br />
CHOREGRAPHIE ET INTERPRETATION Nathalie Pernette COSTUMES Nadia Genez<br />
ASSISTANTE CHOREGRAPHIE ET INTERPRETATION Régina Meier MUSIQUE ORIGINALE Franck Gervais<br />
LUMIERES Caroline Nguyen CONSEIL SCIENTIFIQUE Isabelle Grandjoan<br />
« Animale », pièce pour 1 danseur et 50 souris<br />
« L'espace est clos : un petit enclos <strong>de</strong> plexiglas, à l’intérieur duquel évoluent les corps, humain et animaux. Un espace <strong>de</strong> silence,<br />
une sorte <strong>de</strong> cérémonial, <strong>de</strong> rituel ; <strong>de</strong>s spectateurs obligés à la discrétion afin <strong>de</strong> pouvoir assister, sans (trop) la perturber, à la<br />
rencontre d’une danseuse et <strong>de</strong> cinquante souris. Une rencontre étudiée. Elle combine une part <strong>de</strong> hasard et une connaissance<br />
approfondie <strong>de</strong> la nature et du comportement <strong>de</strong>s rongeurs. Leur sensibilité aux sons, aux mouvements, aux aliments, aux lumières, au<br />
stress, au corps étranger… Il s’agit d’être à l’écoute d’interactions possibles pour une partition à reproduire, presque exactement.<br />
Intéresser les souris, les faire s’approcher, <strong>de</strong>venir support, les faire courir, les éloigner, les attirer, les rassembler… Danse <strong>de</strong> lenteur<br />
et <strong>de</strong> décharges d’énergie. Fascination, répulsion."<br />
Nathalie Pernette<br />
Nathalie Pernette<br />
Chez cette danseuse-chorégraphe, la danse prend corps, preste, tout en angles vifs. Instinct et rigueur sur fond d'interrogation<br />
permanente. Ce pêché mignon, son passage par l'école <strong>de</strong> Françoise et Dominique Dupuy, ne fait que l'affirmer. Après avoir travaillé<br />
durant douze années avec Andréas Schmid, elle fon<strong>de</strong> en 2001 sa propre compagnie et conserve le répertoire <strong>de</strong>s créations<br />
antérieures. En seize ans et seize spectacles, Nathalie Pernette a fait du travail sa vertu. Dès le premier duo, « Les Ombres portées »<br />
(1989), cinéma et arts plastiques sont sources d'inspiration. L'interrogation du rapport entre la danse et la matière est récurrente dans<br />
toutes les pièces : « Frisson d'Alice » (1992), « Le Savon » (1997). « Verba, Volan »" (1995) émerge d'une observation <strong>de</strong> la perte <strong>de</strong>s<br />
repères. Nathalie Pernette revisite également « Le Sacre du Printemps » d’Igor Stravinski (1999). Une première confrontation à la<br />
musique vivante que Nathalie Pernette développe avec « Suites » (2001), une pièce librement inspirée <strong>de</strong>s « Cahiers » <strong>de</strong> Vaslav<br />
Nijinski. En 2002, quelques mois après la création <strong>de</strong> sa compagnie, elle signe « Délicieuses », une pièce pour 5 danseurs hip hop et un<br />
pianiste. Suivront « Les Inventions » <strong>de</strong> J.S Bach, « Le Nid ». Avec « Je ne sais pas, un jour, peut-être… », c'est enfin la création d'un<br />
solo. Après « Délicieuses » et « Les Inventions » <strong>de</strong> J.S.Bach, l'envie <strong>de</strong> creuser les rapports <strong>de</strong> la Danse hip hop à la musique<br />
classique persiste… Avec celle <strong>de</strong> risquer l'opéra. Nathalie Pernette s'attaque à « La flûte enchantée », qu’elle crée en 2005. 2006 voit<br />
la naissance <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux objets chorégraphiques très particuliers : « Animale » en mars puis « Le cabaret martien » en juin. « Animale »,<br />
premier volet d'un triptyque, sera suivi <strong>de</strong> « Pedigree » et du « Passage » à l'automne 2006<br />
22<br />
DANSES / JEUNE PUBLIC<br />
GLOB THEATRE<br />
69, rue Joséphine<br />
mercredi 14 novembre à 15 h. et 19 h.<br />
samedi 17 novembre à 15 h.<br />
tarif : unique 5 €<br />
Coproduction : Compagnie Pernette/Association NA,<br />
Le Théâtre-scène nationale <strong>de</strong> Mâcon,<br />
L'Arche <strong>de</strong> Bethoncourt-scène conventionnée pour<br />
l'enfance et la jeunesse-scène jeunes publics du Doubs.<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Glob théâtre<br />
Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />
05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />
Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />
05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Billetterie GLOB<br />
05 56 69 06 66<br />
contact@globtheatre.net<br />
www.globtheatre.net<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56
Le Glob Théâtre présente :<br />
Les Naufragés (Animale, Pedigree, Le Passage)<br />
Nathalie Pernette<br />
Les Naufragés - Un triptyque chorégraphique pour raconter l’animal en l’homme, et vice-versa.<br />
Outre Animale qui l’ouvre, la trilogie <strong>de</strong>s Naufragées s’attache, à travers <strong>de</strong>ux autres pièces, à son<strong>de</strong>r les accointances qui unissent les<br />
règnes humain et animal - que la présence <strong>de</strong> ce <strong>de</strong>rnier soit visible, audible ou suggérée. Ainsi, Pedigree juxtapose les mouvements<br />
d’un danseur aux pensées d’un chien, et Le Passage s’apparente à un cours <strong>de</strong> domestication du corps envisagé comme une matière<br />
brute et malléable. A travers ce parcours chorégraphique, les croisements se multiplient entre l’homme et la bête, le vivant et l’inanimé,<br />
le hasard et l’expérience.<br />
« Pedigree »<br />
« Il me reste une image tenace du film Vertigo d’Alfred Hitchcock. Celle d’une histoire dont les fils se resserrent peu à peu, puis se<br />
dénouent brusquement à l’ultime secon<strong>de</strong>. Cela provoque chez moi un choc sensible, une émotion intense. Le film entier me saute<br />
subitement à la figure et je bascule avec lui dans le vi<strong>de</strong>, évi<strong>de</strong>mment. Comment <strong>de</strong>ux histoires, l’une racontée en voix off, l’autre<br />
dansée sur scène, très opposées en leur commencement peuvent se retrouver le plus tard possible, pour faire corps, pour faire choc?<br />
En ce sens, le texte <strong>de</strong> Jean-Bernard Pouy me trouble… C’est une parole intérieure, facilement juxtaposable avec le mouvement, la<br />
présence d’un corps sur scène. Mais c’est la parole d’un chien. Tout rapport direct <strong>de</strong>vient alors impossible : restent les concordances,<br />
divergences, les écarts d’énergie et <strong>de</strong> sens qui pourront faire sourire ou grincer jusqu’à la double pirouette finale… L’une est comprise<br />
dans le texte, l’autre est à construire entre le mot et le mouvement. Tout faire basculer à la <strong>de</strong>rnière secon<strong>de</strong>.<br />
Un rêve… »<br />
SUR LE TEXTE DE Jean-Bernard Pouy « Histoire <strong>de</strong> truffe »<br />
Coproduction Compagnie Pernette/Association NA, Scènes du Jura – Lons- Le-Saunier. Ai<strong>de</strong> à la création <strong>de</strong> l'ADAMI / Avec le soutien du CCN <strong>de</strong> Franche Comté à Belfort et du Granit – Scène<br />
nationale <strong>de</strong> Belfort.<br />
« Le Passage »<br />
« Sur scène… J’ai manipulé <strong>de</strong>s ours, <strong>de</strong> vraies fausses carcasses sanguinolentes, <strong>de</strong>s poulets, quelques humains, <strong>de</strong>s ustensiles <strong>de</strong><br />
cuisines en tous genres, <strong>de</strong>s sala<strong>de</strong>s, <strong>de</strong>s vêtements, vestes, manteaux chargés d’argile, une petite cuillère… J’aimerais aujourd’hui<br />
que la manipulation <strong>de</strong>s corps soit au cœur d’un travail chorégraphique. Un corps « sans vie », un corps <strong>de</strong> vian<strong>de</strong> et d’os, un corps à<br />
expérimenter. Ouvrir, malaxer, refermer, articuler, « réanimer ». Présence <strong>de</strong>s corps inanimés, remis en mouvement malgré eux, par<br />
d’autres. Zone <strong>de</strong> friction. Crée-t-elle un autre état <strong>de</strong> présence, d’existence ? »<br />
Coproduction Compagnie Pernette/Association NA, Scènes du Jura – Lons-Le-Saunier. Ai<strong>de</strong> à la création <strong>de</strong> l'ADAMI qui gère les droits <strong>de</strong>s artistes interprètes (comédiens, chanteurs, musiciens, chefs<br />
d'orchestre, danseurs…) et consacre une partie <strong>de</strong>s droits perçus à l'ai<strong>de</strong> à la création, à la diffusion et à la formation. Avec le soutien du CCN <strong>de</strong> Franche Comté à Belfort et du Granit – Scène nationale<br />
<strong>de</strong> Belfort.<br />
CHOREGRAPHIE Nathalie Pernette LUMIERES Caroline Nguyen<br />
ASSISTANTE CHOREGRAPHIE Régina Meier COSTUMES Nadia Genez<br />
DANSEURS Laurent Falguiéras, Sébastien Laurent, Nathalie Pernette DIRECTION TECHNIQUE Stéphane Magnin<br />
23<br />
GLOB THEATRE<br />
69, rue Joséphine<br />
vendredi 16 novembre à 20 h.<br />
samedi 17 novembre à 20 h.<br />
tarifs : 12 € / 8 € (réduit)<br />
DANSES<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Glob théâtre<br />
Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />
05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />
Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />
05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Billetterie GLOB<br />
05 56 69 06 66<br />
contact@globtheatre.net<br />
www.globtheatre.net<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56
Le CAPC musée d’art contemporain présente :<br />
If Everybody had an Ocean.<br />
Brian Wilson, une exposition<br />
Commissaire Alex Farquharson<br />
Cette exposition a pour fil conducteur la fascination qu’a exercé Brian Wilson, le mythique compositeur <strong>de</strong>s Beach Boys, sur plusieurs<br />
générations d’artistes. Sa vie et sa musique sont un prisme à partir duquel on peut relire les développements <strong>de</strong> l’art <strong>de</strong>puis les<br />
années 60, en particulier dans sa relation à la culture populaire et au contexte social et urbain <strong>de</strong> la Californie. L’art <strong>de</strong>vient aussi le<br />
moyen <strong>de</strong> reconsidérer les contradictions qu’il y a entre l’image populaire et lisse <strong>de</strong>s Beach Boys et l’ambition musicale complexe et<br />
géniale <strong>de</strong> Brian Wilson.<br />
En se concentrant sur <strong>de</strong>s oeuvres qui mélangent Pop Art, peinture abstraite, Minimalisme et Art Conceptuel– un phénomène<br />
récurrent dans l’art <strong>de</strong> la Côte Ouest – l’exposition questionne implicitement la pertinence <strong>de</strong> ces catégories historiques. Ces<br />
convergences trouvent un parallèle dans la pratique musicale pionnière <strong>de</strong> Brian Wilson mélangeant le rock’n’roll, le jazz, la musique<br />
classique, le folk, et même la musique concrète avant-gardiste. L’exposition se concentre sur cette pério<strong>de</strong> brève et prolifique <strong>de</strong><br />
1962 à 1967 quand Wilson était la principale force créative <strong>de</strong>rrière l’entité Beach Boys.<br />
Les oeuvres (environ 60) seront disposées dans l’espace <strong>de</strong> la nef du CAPC (1000 m²) <strong>de</strong> manière à bro<strong>de</strong>r une histoire plus ou<br />
moins fictive autour <strong>de</strong> la vie <strong>de</strong> Wilson. Fictive car la plupart <strong>de</strong> ces oeuvres n’ont pas été conçues spécifiquement sur Wilson ou les<br />
Beach Boys. Elles ont été choisies ici pour évoquer plus particulièrement le sens <strong>de</strong> la musique, le sentiment <strong>de</strong> la glisse, et les<br />
circonstances sociales, culturelles et psychologiques qui ont contribué à leur essor.<br />
Le principe <strong>de</strong> l’exposition joue <strong>de</strong>s conventions thématiques – une biographie conçue sur un mo<strong>de</strong> fictionnel – et fonctionne par<br />
association libre plutôt que <strong>de</strong> manière illustrative. Néanmoins le projet est né d’une conviction : Brian Wilson est une grille <strong>de</strong> lecture<br />
novatrice permettant <strong>de</strong> réécrire l’histoire <strong>de</strong> l’art à partir d’un assemblage disparate d’œuvres <strong>de</strong>s années 60 à nos jours.<br />
Présentée dans un format plus restreint à la Tate St Ives, en Cornouailles anglaise durant l’été <strong>2007</strong>, l’exposition au CAPC est<br />
complétée d’oeuvres historiques supplémentaires et <strong>de</strong> nouvelles productions.<br />
Elle s’accompagne d’une programmation musicale et filmique autour <strong>de</strong>s Beach Boys et <strong>de</strong> la culture surf, ainsi que d’un catalogue<br />
en forme <strong>de</strong> disque LP imaginé par le célèbre <strong>de</strong>signer Sanghon Kim.<br />
24<br />
ARTS PLASTIQUES<br />
CAPC<br />
musée d’art contemporain<br />
7, rue Ferrère<br />
du samedi 17 novembre<br />
au dimanche 16 mars 2008<br />
du mardi au dimanche <strong>de</strong> 11 h. à 18 h.<br />
le mercredi jusqu’à 20 h.<br />
vernissage<br />
le vendredi 16 novembre à 19 h.<br />
tarif : 5 € / 2,5 € ( réduit)<br />
En partenariat avec<br />
Tate, étant donnés, SFR, Groupe<br />
Carrère, Oxbow<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
François Guillemeteaud<br />
05 56 00 81 70<br />
f.guillemeteaud@mairie-bor<strong>de</strong>aux.fr
If Everybody had an Ocean.<br />
Brian Wilson, une exposition<br />
Liste <strong>de</strong>s artistes présentés :<br />
Trevor Bell, Larry Bell, Billy Al Bengston, Peter Blake, Mel Bochner, John Cage, Brian Calvin, Vija Celmins, Russell Crotty, Thomas<br />
Demand, Kaye Donachie, Isa Genzken, Liam Gillick, Jeremy Glogan, Joe Goo<strong>de</strong>, Rodney Graham, Richard Hawkins, Roger Hiorns,<br />
Pierre Huyghe, Jim Isermann, Roy Lichtenstein, John McCracken, Lee Mullican, Kaz Oshiro, Bruno Peinado, Raymond Pettibon,<br />
Richard Pettibone, Ken Price, Martial Raysse, Bridget Riley, Allen Ruppersberg, Ed Ruscha, Jim Shaw, Sister Corita Kent, Fred<br />
Tomaselli, Jennifer West, Pae White, Daria Wilson, Isaac Witkins<br />
AUTOUR DE L’EXPOSITION<br />
No Beach Today<br />
Le samedi 17 novembre <strong>2007</strong>, au TnBA, à partir <strong>de</strong> 16H jusqu’à 02H<br />
Conçue en partenariat avec MA asso et Monoquini<br />
Voir ci-après<br />
Nouvelles Vagues<br />
De novembre à mars, à l’auditorium du CAPC<br />
6 séances d’extraits <strong>de</strong> films et <strong>de</strong> vidéos liés à l’univers <strong>de</strong> la pop culture californienne <strong>de</strong>s 60’s.<br />
Programmation <strong>de</strong> Bertrand Grimault, Association Monoquini.<br />
Colloque Art et Pop<br />
Les 30 novembre et 1 er décembre, à l’auditorium du CAPC<br />
Coordination Yann Chateigné<br />
25<br />
ARTS PLASTIQUES<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
François Guillemeteaud<br />
05 56 00 81 70<br />
f.guillemeteaud@mairie-bor<strong>de</strong>aux.fr
MA asso et Monoquini présentent :<br />
No Beach Today (hommage à Brian Wilson)<br />
Pour l’inauguration <strong>de</strong> l’exposition If Everybody Had a Ocean, le CAPC invite les associations bor<strong>de</strong>laises MA ASSO<br />
(http://www.ma-asso.org/) et MONOQUINI (www.monoquini.net) à proposer un événement au T.n.B.A. en hommage au<br />
lea<strong>de</strong>r <strong>de</strong>s Beach Boys, Brian Wilson.<br />
SCOPITONE A-GO-GO !<br />
Un scopitone, accessible au public, permettra <strong>de</strong> choisir parmi 36 films musicaux d'un temps où l'on dansait tamouré, twist et mambo.<br />
SAFE SURF – Installation interactive<br />
SAFE SURF reproduit le procédé utilisé par les studios <strong>de</strong> cinéma avant l'invention du "blue screen" (recréation d’un paysage en arrièreplan).<br />
En hommage aux "Beach Movies" hollywoodiens <strong>de</strong>s années 60, chacun pourra s'adonner au surf d'intérieur. Une caméra complète<br />
le dispositif, filmant la scène en pied qui sera re-projetée dans un autre espace du Tnba.<br />
PROJECTION <strong>de</strong> THE BEACH BOYS IN LONDON <strong>de</strong> Peter Whitehead (GB, 1966, couleur, 30 minutes)<br />
Restées inédites pendant 40 ans, <strong>de</strong>s images prises sur le vif par Peter Whitehead, avec un commentaire <strong>de</strong> Marianne Faithfull. On<br />
assiste à l'arrivée du groupe à Londres le 6 novembre 1966, puis l'on suit Al Jardine et Dennis Wilson chinant <strong>de</strong>s instruments <strong>de</strong> musique,<br />
entre <strong>de</strong>ux séquences <strong>de</strong> concert à Finsbury Park. Courtesy Contemporary Films, London<br />
PROJECTION <strong>de</strong> PACIFIC VIBRATIONS <strong>de</strong> John Severson (USA, 1970, couleur, vostf, 1H30)<br />
Documentaire mythique à la lisière <strong>de</strong> l'expérimental et du psychédélisme, réalisé par un pionnier <strong>de</strong> la glisse en Californie. Une occasion<br />
rare <strong>de</strong> découvrir un film <strong>de</strong>venu introuvable et <strong>de</strong> retrouver <strong>de</strong>s figures légendaires du surf (Mickey Dora, Greg Noll, Rick Griffin...).<br />
GREG DAVIS (Etats-Unis / Folkélectronique) création<br />
Faite <strong>de</strong> pop californienne, <strong>de</strong> sons concrets, <strong>de</strong> sons <strong>de</strong> guitares retraités, employant les techniques <strong>de</strong> field recording et mélodies<br />
minimales et répétitives influencées par Cage, la musique <strong>de</strong> Greg Davis évoque une promena<strong>de</strong> bucolique.<br />
HIGH LLAMAS (Irlan<strong>de</strong> / pop) création<br />
Sean O’Hagan est un entêté. Il creuse, laboure, défriche la même terre <strong>de</strong>puis une bonne dizaine d’années : Charles Ives, Ennio<br />
Morricone et Brian Wilson, avec ses High Llamas. Les chansons <strong>de</strong> The High Llamas exhalent un doux parfum <strong>de</strong> sable chaud.<br />
CHRISTIAN FENNESZ (Autriche / électronique) création - Création vidéo : oBuffet+esgrimo<br />
Fennesz est reconnu comme l’un <strong>de</strong>s plus grands musiciens expérimentaux. A partir d'une guitare et d'un laptop, ce guitariste <strong>de</strong><br />
formation produit une électro à la fois minimaliste et mélodique. Pour les amateurs <strong>de</strong> sensations nouvelles, <strong>de</strong> pureté électronique et <strong>de</strong><br />
recherche musicale pointue…<br />
> DJ Sélection pop sixties <strong>de</strong> Kurt Russel et Otto & Clara.<br />
> Arnaud Maguet, musicien plasticien, est invité à exposer une sélection d’œuvres graphiques, entre nostalgie d’un<br />
âge d’or du rock’n’roll et persistance d’une imagerie pop.<br />
> Présence et sélections du disquaire indépendant TOTAL HEAVEN et du libraire LA MAUVAISE REPUTATION<br />
26<br />
samedi 17 novembre<br />
T.n.B.A.<br />
Square Jean-Vauthier<br />
MUSIQUES / FILMS<br />
à partir <strong>de</strong> 16 h.– Hall du T.n.B.A.<br />
Scopitone a-go-go<br />
Safe Surf<br />
Exposition Arnaud Maguet<br />
Total Heaven & La Mauvaise<br />
Réputation<br />
tarif : entrée libre<br />
18 h. – Salle Jean-Vauthier<br />
Projection <strong>de</strong> The Beach Boys in<br />
London et Pacific Vibrations<br />
tarif unique : 3 €, gratuit pour les filles en<br />
bikini (salle chauffée)<br />
à partir <strong>de</strong> 21 h. - Salle Jean-Vauthier<br />
Concerts<br />
tarifs : 15 € / 10 € (réduit)<br />
à partir <strong>de</strong> 23 h. 30 – Tn’BAR<br />
DJ Sélection pop sixties<br />
Tarif : Entrée libre<br />
Contact <strong>presse</strong><br />
Hélène Perret<br />
06 87 26 22 77<br />
helene@ma-asso.org
La Renaissance <strong>de</strong> l’Orgue à Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
Antigone Orchestra<br />
Une relecture <strong>de</strong> l’Antigone <strong>de</strong> Sophocle<br />
GUITARE ELECTRIQUE Benjamin Dupé GRAND-ORGUE DOM BEDOS Eva Darracq-Antesberger<br />
VIOLON Benjamin <strong>de</strong> la Fuente ORGUE HAMMOND, CITHARE & SAMPLER Samuel Sighicelli<br />
Antigone, une pièce sur les puissances sonores, dans laquelle se répon<strong>de</strong>nt les voix du pouvoir, celles <strong>de</strong> la révolte et le gron<strong>de</strong>ment<br />
du peuple, dans laquelle les actions ne sont pas montrées mais littéralement « haut-parlées ».<br />
La musique exprime une idée d’Antigone, s’attachant plus à faire sonner le mythe qu’à incarner le personnage. La partie concertante<br />
du spectacle est un long chant <strong>de</strong> la révolte, un souffle lyrique et âpre, une marche ininterrompue, déterminée, sensible.<br />
Autour <strong>de</strong> cette idée d’Antigone résonnent, par le son, la musique et l’image, <strong>de</strong>s figures échappées <strong>de</strong> la pièce. Le roi Créon, muet<br />
et invisible, scan<strong>de</strong> le spectacle, la voix du peuple thébain soutient le pouvoir. Comme dans le théâtre antique, l’action avance grâce<br />
aux nouvelles rapportées <strong>de</strong> l’extérieur. Et, à la charnière <strong>de</strong> la pièce, la terrible prédiction du <strong>de</strong>vin Tirésias…<br />
En mars 2006, lors <strong>de</strong> la Biennale « Musiques en scène » <strong>de</strong> Lyon, la compagnie Sphota créait Antigone Orchestra, spectacle<br />
musical se définissant comme une relecture musicale <strong>de</strong> la tragédie <strong>de</strong> Sophocle. Aujourd’hui, Sphota propose une version<br />
concertante, adaptable aux lieux <strong>de</strong> concert, gardant néanmoins sa dimension pluridisciplinaire…<br />
Dans le rôle d’Antigone : une heure <strong>de</strong> musique vivante, une marche déterminée et éternelle. Dans le rôle du roi Créon : <strong>de</strong>s<br />
interventions textuelles vidéoprojetées, symboles <strong>de</strong> l’autorité. Dans le rôle <strong>de</strong>s messagers qui font avancer l’action : <strong>de</strong>s archives<br />
sonores utilisant l’acoustique du lieu (haut-parleurs mobiles).<br />
Pour symboliser la prédiction du <strong>de</strong>vin Tirésias, un rituel s’organise avec le public, répétant du grec ancien, jusqu’à la transe. Enfin<br />
dans le chœur antique : les orgues <strong>de</strong> l’église Sainte-Croix, jouées comme les multiples voix du peuple thébain…<br />
Chez les Indiens, le « sphota » est l’étincelle qui donne forme et vie. Renouveler la mise en forme du concert <strong>de</strong> création collective,<br />
donner vie à une musique qui leur est propre. C’est précisément ce que cherchent Benjamin Dupé, Benjamin <strong>de</strong> la Fuente et Samuel<br />
Sighicelli.<br />
C’est sous ce nom qu’est né en janvier 2000 « l’ Ensemble Sphota ». A l’aube du XXI ème siècle, ces trois musiciens arborent une<br />
attitu<strong>de</strong> résolument contemporaine dans une optique <strong>de</strong> spectacle vivant, utilisant les nouvelles technologies et en collaborant avec<br />
d’autres disciplines artistiques.<br />
La musique est aussi gestes et paroles ce qui la rend inventive, enjouée et fait se lever le public.<br />
27<br />
EGLISE SAINTE-CROIX<br />
place Sainte-Croix<br />
MUSIQUES<br />
dimanche 18 novembre à 16 h. 30<br />
tarifs : 15 € / 10 € (réduit)<br />
Renseignements du public et<br />
réservations :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Vente sur place<br />
Contact <strong>presse</strong><br />
Annie-France Banlier<br />
06 88 45 32 83<br />
orguebor<strong>de</strong>aux@neuf.fr
MC2a présente :<br />
Les Yeux fermés Création<br />
Les Lyricalistes<br />
Les yeux fermés est la <strong>de</strong>rnière création écrite et mise en scène par le collectif <strong>de</strong> slameurs bor<strong>de</strong>lais Les Lyricalistes.<br />
C’est une réflexion commune et croisée sur le regard que chacun <strong>de</strong> ses membres porte sur l’Afrique, sur les yeux fermés <strong>de</strong><br />
l’Occi<strong>de</strong>nt face à ses problèmes. Ce sont aussi nos yeux fermés par notre méconnaissance <strong>de</strong> ce continent. Les yeux fermés, c’est<br />
une journée qui se termine sur un voyage que l’on ne fera jamais.<br />
Les Lyricalistes animent une scène slam toutes les semaines à la Dibiterie, café/restaurant <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, où chacun est libre <strong>de</strong> venir<br />
déclamer <strong>de</strong> la poésie scandée. Ils travaillent également à la création d’un album, mélange <strong>de</strong> textes, d’habillages sonores et <strong>de</strong><br />
prises live, soutenu par la Rock School Barbey.<br />
28<br />
Porte2a<br />
16 rue Ferrère<br />
MUSIQUES<br />
du mardi 20<br />
au samedi 24 novembre à 20 h. 30<br />
tarifs : 10 € / 5 € (réduit)<br />
Renseignements du public et<br />
réservations :<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Cécile Quintin<br />
06 81 61 64 94<br />
migrationsculturelles@wanadoo.fr
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles présente :<br />
Singularités ordinaires<br />
GdRA / Sébastien Barrier, Julien Cassier, Christophe Rulhes<br />
Une proposition conçue et jouée par le GdRA<br />
TEXTES, ECRITS ET CONSTRUCTION DECOR Sébastien Barrier CHARGEE DE PRODUCTION ET DE DIFFUSION Armelle Vernier<br />
ACROBATIE, SCENOGRAPHIE ET CHOREGRAPHIE Julien Cassier AIDE A LA DRAMATURGIE ET A LA MISE EN SCENE Jean Michel Guy<br />
MUSIQUE, ECRITURE ET MISE EN SCENE Christophe Rulhes AIDE A LA CHOREGRAPHIE ET A LA MISE EN SCENE Mathurin Bolze<br />
Equipe <strong>de</strong> création<br />
IMAGES Amic Be<strong>de</strong>l, Christophe Modica, Edmond Carrère CREATION COSTUMES, BIJOUX, PANTINS Céline Sathal<br />
MONTAGE ET MISE EN IMAGE Christophe Modica CONSTRUCTION DECOR Pierre Pailhès<br />
ILLUSTRATIONS ET GRAPHISMES Benoît Bonnemaison-Fitte DIRECTION TECHNIQUE ET REGIE LUMIERE David Lochen<br />
CREATION LUMIERE Adèle Grepinet CREATION ET REGIE SON Pedro Theuriet<br />
A la croisée <strong>de</strong>s arts pour sublimer le réel.<br />
Découvert aux Jeune Talents Cirque 2006, le GDRA, composé d'un musicien, d'un comédien et d'un circassien, allie théâtre, cirque, danse,<br />
vidéo, musique et sciences humaines.<br />
Au cours d’un récit scénique physique et spectaculaire, il passe l’œil sociologique au prisme <strong>de</strong> l’art et <strong>de</strong> la convivialité, à partir <strong>de</strong> trois récits<br />
<strong>de</strong> vie :<br />
- Arthur Genibre, personnage incroyable <strong>de</strong> 86 ans, habite dans le Quercy. Puisqu'on lui dit, «Tu seras cultivateur et rien d’autre», il se cache<br />
pour apprendre la musique et <strong>de</strong>vient un musicien guérisseur qui lit ses œuvres dans les astres.<br />
- Wilfri<strong>de</strong> Piollet, 64 ans, est danseuse étoile retraitée <strong>de</strong> l’Opéra <strong>de</strong> Paris. Elle dit s’être marginalisée en créant les principales pièces postmo<strong>de</strong>rnes<br />
du répertoire <strong>de</strong>s années soixante-dix et quatre-vingt.<br />
- Michèle Eklou-Natey, 41 ans, d’origine algéro-togolaise éduquée par une famille italo-arménienne à Marseille, passe son temps dans un<br />
bar. On l’y appelle «la nègre» mais elle renvoie les mots et déjoue le racisme.<br />
Ces trois personnes, entre exceptionnel et ordinaire, vocation et bricolage biographique, inventent <strong>de</strong>s places, parviennent à se raconter et<br />
tiennent <strong>de</strong>bout, comme la majorité d’entre nous.<br />
Avec une liberté totale, un humour radieux et <strong>de</strong>s talents pluridisciplinaires, dans une scénographie inventive où films et réalité s'entremêlent,<br />
les trois artistes fouillent une théâtralité ordinaire et vive, à l’affût <strong>de</strong> gestes et <strong>de</strong> paroles puisés dans «la vie <strong>de</strong> tous les jours».<br />
Fait <strong>de</strong> danse, acrobatie, trampoline, <strong>de</strong> chants, <strong>de</strong> musique, d’images, <strong>de</strong> verbe et <strong>de</strong> textes, Singularités ordinaires est une o<strong>de</strong> à ces trois<br />
i<strong>de</strong>ntités qui finiront par se croiser au cours d’une improbable rencontre...<br />
GdRA<br />
Le GdRA allie arts et sciences humaines. Il passe l’œil sociologique au prisme <strong>de</strong> l’esthétique. Sous forme <strong>de</strong> propositions artistiques,<br />
spectacles, installations, expositions, performances, rencontres avec les publics, il évoque <strong>de</strong>s vécus ou <strong>de</strong>s « terrains » proches ou<br />
lointains, au sens que donnent les ethnologues à ce terme. Il souligne une ludique nécessité : chercher un art <strong>de</strong>s cultures<br />
communes, dont les formes se jouent <strong>de</strong>s frontières disciplinaires.<br />
29<br />
LE CARRE DES JALLES<br />
place <strong>de</strong> la République<br />
Saint Médard-en-Jalles<br />
mardi 20 novembre à 20 h. 30<br />
tarifs : 15 € / 10 et 8 € (réduit)<br />
THEATRES<br />
Coproductions : Agora, scène conventionnée <strong>de</strong> Boulazac<br />
/ Le Channel, scène nationale <strong>de</strong> Calais, Parc <strong>de</strong> la<br />
Villette, Paris / Le Carré <strong>de</strong>s Jalles, Saint-Médard-en-<br />
Jalles / Culture Commune, scène nationale du bassin<br />
minier du Pas-<strong>de</strong>-Calais<br />
Soutiens : Circuits, scène conventionnée d’Auch / La<br />
Grainerie lieu <strong>de</strong> fabrique <strong>de</strong>s arts du cirque Balma /<br />
Association Média 2 Méditerranée Marseille<br />
Ai<strong>de</strong>s à la création : Jeunes Talents Cirque / DRAC Midi-<br />
Pyrénées / Conseil Régional Midi-Pyrénées / Conseil<br />
Général <strong>de</strong> la Haute-Garonne<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />
05 57 93 18 93<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Valérie Borowyez<br />
05 57 93 18 80<br />
v.borowyez@saint-medard-en-jalles.fr
Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine présente :<br />
Si loin si proche : Iran / Liban / Tunisie<br />
Qu’en est-il du théâtre, <strong>de</strong> la danse, <strong>de</strong> la musique, du cirque ou <strong>de</strong> la performance dans le mon<strong>de</strong> arabe et au Moyen-Orient ? Y<br />
a-t-il une scène (contemporaine) là-bas ? Comment coexistent tradition et mo<strong>de</strong>rnité ? Comment se vivent, se détournent ou<br />
s’intègrent les inhibitions, les interdits, les i<strong>de</strong>ntités croisées ? Telles sont quelques-unes <strong>de</strong>s questions que le TnBA a voulu<br />
soulever en invitant quelques représentants d’une scène « si proche et pourtant si lointaine ».<br />
Les Tunisiens Fadhel Jaïbi et Jalila Baccar sont une référence dans tout le mon<strong>de</strong> arabe pour l’exigence politique, morale et<br />
esthétique avec laquelle ils mènent <strong>de</strong>puis plusieurs décennies un combat pour une parole libre et forte. Le TnBA tenait à<br />
présenter leur <strong>de</strong>rnière création Corps otages, une œuvre salutaire, exemplaire, un brûlot lancé avec humour et colère. A côté <strong>de</strong><br />
ces <strong>de</strong>ux gran<strong>de</strong>s figures, le TnBA a choisi d’accueillir Rabih Mroué et Lina Saleh, <strong>de</strong>ux jeunes Libanais qui questionnent avec<br />
humour le rôle <strong>de</strong> l’artiste dans un pays marqué par la guerre et les fractures religieuses, Amir Reza Koohestani, un jeune metteur<br />
en scène iranien en train <strong>de</strong> s’imposer sur la scène internationale, la toute nouvelle Ecole du Cirque <strong>de</strong> Tunis ou encore<br />
Radhouane El Med<strong>de</strong>b, un étrange comédien-danseur-performeur venu <strong>de</strong> Tunis.<br />
Ces créations témoignent <strong>de</strong> la diversité <strong>de</strong>s approches et <strong>de</strong>s esthétiques ; elles font toutes, chacune à leur manière, acte <strong>de</strong><br />
résistance contre les pressions culturelles et les conservatismes religieux. Pour vivre et se développer, elles ont besoin <strong>de</strong> notre<br />
regard, <strong>de</strong> notre attention et <strong>de</strong> notre soutien. Par <strong>de</strong>là le plaisir <strong>de</strong> la découverte, tel est aussi l’enjeu <strong>de</strong> ce parcours que le TnBA<br />
propose dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux.<br />
Qui a peur <strong>de</strong> la représentation ? Rabih Mroué<br />
Avec Lina Saneh, Rabih Mroué<br />
TEXTE & MISE EN SCENE Rabih Mroué<br />
TRADUCTION FRANÇAISE Catherine Cattaruzza<br />
SCENOGRAPHIE Samar Maakaron<br />
Lorsque l’art se confond avec la violence <strong>de</strong> la guerre<br />
Se déclarer artiste au Liban revient à passer pour un fou, ou pire, un individu ! Partant <strong>de</strong> la situation <strong>de</strong> l’artiste au Liban, Rabih<br />
Mroué et Lina Saneh, issus <strong>de</strong> la nouvelle génération d’artistes, créent une performance théâtre d’un nouveau genre en osant poser<br />
<strong>de</strong>s questions <strong>de</strong> manière proprement irrévérencieuses. À travers une mise en scène subtile, ils renvoient dos à dos les actions<br />
artistiques du body art aux réalités <strong>de</strong> la guerre civile Libanaise : performeurs <strong>de</strong> l’extrême contre terroristes brutaux, automutilation<br />
artistique contre exécution sommaire. Entre tragédie et humour, ils posent une question simple : et si la peur <strong>de</strong> la représentation<br />
était la peur <strong>de</strong> la vérité ?<br />
30<br />
THEATRES /<br />
Si loin si proche<br />
Renseignements du public et<br />
réservations :<br />
Du mardi au samedi <strong>de</strong> 13 h. à 19 h.<br />
05 56 33 36 80<br />
www.tnba.org<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Hélène Debacker<br />
05 56 33 36 60<br />
T.n.B.A., studio <strong>de</strong> création<br />
Square Jean-Vauthier<br />
En arabe surtitré en français.<br />
mardi 20 novembre à 19 h. 30<br />
mercredi 21 novembre à 19 h. 30<br />
Coproduction Association Libanaise pour les Arts<br />
Plastics, ASHKAL ALWAN, La filature - SC -<br />
Mulhouse.<br />
Avec le soutien <strong>de</strong> l’Office National <strong>de</strong> Diffusion<br />
Artistique.<br />
tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)
Recent experiences Amir Reza Koohestani<br />
Avec Baharan Baniahmadi, Saed Changizian, Mitra Gorgi, Sahar Dolatshahi, Setareh Pessyani, Foad Mokhberi.<br />
TEXTE Nadia Ross – Jacob Wren - TRADUCTION FRANÇAISE Tinouche Nazmjou - ASSISTANTE A LA MISE EN SCENE Mahin Sadri - COSTUMES Merh Theatre Group<br />
ADMINISTRATEURS DE TOURNEE ET REGIE GENERALE Pierre Reis - COPRODUCTION Merh Theatre Group<br />
L’épopée <strong>de</strong> gens ordinaires<br />
Une longue table, <strong>de</strong>s bancs, quelques bougies… Nous sommes réunis pour écouter l’histoire quotidienne d’une famille à travers<br />
les événements qu’elle traverse durant un siècle. Sur quatre générations, <strong>de</strong>s voix, <strong>de</strong>s regards, <strong>de</strong>s sourires, <strong>de</strong>s chuchotements<br />
et <strong>de</strong>s larmes disent l’épopée <strong>de</strong> gens ordinaires qui tentent d’échapper à l’usure du quotidien. 1900, 1901, 1902… <strong>2007</strong>.<br />
Beaucoup <strong>de</strong> non-dits et parfois une année résumée par une unique phrase : « J’aime ma sœur ». Les six comédiens prêtent leurs<br />
voix au texte subtil <strong>de</strong>s auteurs canadiens, Jacob Wren et Nadia Ross.<br />
Après Dance on glasses, qui lui avait permis d’émerger sur la scène européenne, l’iranien Amir Reza Koohestani témoigne une fois<br />
<strong>de</strong> plus <strong>de</strong> la singularité <strong>de</strong> son talent, <strong>de</strong> sa capacité à transcen<strong>de</strong>r le temps, à créer une troublante proximité entre spectateurs et<br />
comédiens. Loin <strong>de</strong>s effets <strong>de</strong> style et <strong>de</strong>s surenchères technologiques, Recent experiences nous ramène à l’essence même du<br />
théâtre. Un spectacle singulier qui trouve sa force dans son extrême simplicité.<br />
Corps Otages Fadhel Jaïbi<br />
Avec Jalila Baccar, Fatma Ben Saidane, Jamel Madani, Moez M’rabet, Besma El Euchi, Lobna M’lika, Wafa<br />
Tabboubi, Riadh Hamdi, Hajer Garsallaoui, Khaled Bouzid, Hosni Akrimi<br />
TEXTE, SCENARIOS ET DRAMATURGIE Jalila Baccar, Fadhel Jaïbi - SCENOGRAPHIE ET COSTUMES Kaïs Rostom - CHOREGRAPHIE ET SON Nawel Skandrani – LUMIERE Fadhel Jaïbi,<br />
Yvan Labasse<br />
Une œuvre salutaire, un brûlot lancé avec humour et colère<br />
Une jeune femme, professeur <strong>de</strong> physique, commet un acte kamikaze en se faisant exploser dans la cour <strong>de</strong> son lycée. Après ce<br />
drame, Amal, son amie, va être directement soupçonnée d’appartenir au même groupe <strong>de</strong> terroristes. S’ouvre alors une pièce-procès,<br />
où témoins et complices se succè<strong>de</strong>nt, interrogés par une police qui ne ménage ni ses mots ni ses manières. Une secon<strong>de</strong> enquête<br />
est menée en parallèle : comment Amal, une jeune fille élevée dans un milieu aisé et ouvert, a-t-elle pu basculer dans l’islamisme<br />
radical ? Sur un texte à la fois réaliste, engagé et poétique <strong>de</strong> Jalila Baccar, une douzaine <strong>de</strong> comédiens à la présence physique très<br />
forte, emporte le spectateur dans la tension <strong>de</strong>s interrogations, <strong>de</strong>s quêtes, <strong>de</strong>s réponses, qu’elles soient individuelles ou collectives.<br />
Pour ceux qui découvrent le théâtre arabophone et singulièrement tunisien, le metteur en scène Fadhel Jaïbi est une référence<br />
incontournable. À Tunis, chacune <strong>de</strong> ses mises en scène est passionnément commentée par <strong>de</strong>s milliers <strong>de</strong> spectateurs. Sa<br />
popularité lui a longtemps garanti une certaine liberté d’expression, mais face à l’engagement politique <strong>de</strong> Khamsoun – Corps otages,<br />
la pièce a été interdite plusieurs semaines à Tunis… avant <strong>de</strong> remporter un large succès populaire. Terriblement d’actualité à l’heure<br />
où le Maghreb laïque et progressiste cherche à parer les assauts <strong>de</strong> l’intégrisme religieux et où les attentats sanglants s’enchaînent,<br />
cette fable tragi-comique nous dit combien la démocratie et la liberté <strong>de</strong> pensée sont fragiles.<br />
31<br />
THÉÂTRES /<br />
Si loin si proche<br />
T.n.B.A., plateau Gran<strong>de</strong> Salle<br />
Square Jean-Vauthier<br />
En perse surtitré en français.<br />
mercredi 21 novembre à 20 h. 30<br />
jeudi 22 novembre à 20 h. 30<br />
tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)<br />
T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />
Square Jean-Vauthier<br />
En arabe surtitré en français<br />
vendredi 23 novembre à 20 h. 30<br />
samedi 24 novembre à 20 h. 30<br />
Production : Familia Productions<br />
Avec le soutien <strong>de</strong> l’i.f.c. – Institut Français <strong>de</strong><br />
Coopération (Tunisie)<br />
tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)
Halfaouïne Ecole Nationale <strong>de</strong>s Arts du Cirque <strong>de</strong> Tunis<br />
Avec Ab<strong>de</strong>lka<strong>de</strong>r Jendoubi, Faten Jebali, Houda Riahi, Ines Derbali, Mahran Hannachi, Malek Zouaidi, Med Dhia<br />
Gharbi, Mohamed Djobbi, Radhouane Chalbaoui, Yamen Abidi.<br />
MISE EN SCENE & CHOREGRAPHIE Gilles Baron – SCENOGRAPHIE Dennis Tisseraud - COSTUMES Gilles Baron – Basma Dhaouadi - LIGHT DESIGNER José Victorien<br />
La fougue et la sensualité d’un cirque peuplé <strong>de</strong> djinns<br />
Ils sont dix, filles et garçons, jeunes artistes, fraîchement sortis <strong>de</strong> l’École Nationale <strong>de</strong>s Arts du Cirque <strong>de</strong> Tunis. Ils viennent <strong>de</strong><br />
créer leur tout premier spectacle sous la houlette <strong>de</strong> Gilles Baron, danseur, chorégraphe et homme <strong>de</strong> cirque… aquitain (Oozing<br />
tears, la saison <strong>de</strong>rnière, c’était lui).<br />
Ensemble, ils ont rêvé un conte, un récit peuplé <strong>de</strong> rêves et <strong>de</strong> djinns, ces génies héritiers <strong>de</strong> l’esprit du voyage. Un voyage dont le<br />
point <strong>de</strong> départ (et d’arrivée) serait Halfaouïne, célèbre place <strong>de</strong> la médina <strong>de</strong> Tunis où artistes, acrobates et magiciens<br />
présentaient jeux et spectacles, tandis que les « Caféchanta » (cafés chantants) transformaient le quartier en un lieu d’animation et<br />
<strong>de</strong> festivité très prisé. Ce spectacle prend appui sur l’univers spirituel traditionnel du chant soufi et sur « la sensualité, la chaleur, la<br />
séduction du contact charnel » <strong>de</strong> ces jeunes artistes.<br />
Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine et Musiques <strong>de</strong> nuit présentent :<br />
Rabih Abou Khalil<br />
Avec Rabih Abou Khalil oud - Gevorg Dabaghyan duduk - Michel Godard serpent, guitare- Jarrod Cagwin drums,<br />
percussions - Gavino Murgia, chant.<br />
La mélodie chamarrée <strong>de</strong>s caravanes en marche<br />
Musiciens <strong>de</strong> l’entre-<strong>de</strong>ux-mon<strong>de</strong>s, le Libanais Rabih Abou Khalil mêle en une alchimie singulière les multiples traditions musicales<br />
du mon<strong>de</strong> arabe, les musiques savantes et populaires d’occi<strong>de</strong>nt, le jazz et la musique improvisée… D’une séduction mélodique<br />
immédiate, sa musique, prend ainsi sa source aux portes du désert pour partir à l’assaut <strong>de</strong> nouveaux paysages musicaux.<br />
Depuis plus <strong>de</strong> vingt ans, cet infatigable passeur et joueur d’oud – ce luth traditionnel oriental vieux <strong>de</strong> trois mille ans - invente un<br />
univers musical à la fois sensuel et méditatif, simple et sophistiqué. La quête <strong>de</strong> nouveaux territoires où aventurer sa tradition, a<br />
poussé Abou Khalil à réunir à Bor<strong>de</strong>aux <strong>de</strong> vieux musiciens complices comme Michel Godard et <strong>de</strong> nouveaux venus à l’instar du<br />
chanteur traditionnel sar<strong>de</strong> Gavino Murgia. Ensemble, ils se proposent d’explorer <strong>de</strong> nouveaux horizons lointains et lumineux.<br />
32<br />
T.n.B.A., Gran<strong>de</strong> Salle<br />
Square Jean-Vauthier<br />
à partir <strong>de</strong> 6 ans<br />
THEATRES /<br />
Si loin si proche<br />
samedi 24 novembre à 20 h. 30<br />
tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)<br />
Production Origami – Cie Gilles Baron,<br />
École Nationale <strong>de</strong>s Arts du Cirque <strong>de</strong> Tunis.<br />
Coproduction L’Agora, SC – Boulazac.<br />
MUSIQUES /<br />
Si loin si proche<br />
T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />
Square Jean-Vauthier<br />
mercredi 21 novembre à 21 h.<br />
tarifs : 25 € / 13 €, 10 € (réduits)<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Hélène Debacker<br />
05 56 33 36 60
Le FRAC-Collection Aquitaine présente :<br />
Jeff Rian<br />
Au sein <strong>de</strong> l’exposition <strong>de</strong> Stéphane Dafflon, Statik Dancin’<br />
Statik Dancin', l'exposition <strong>de</strong> Stéphane Dafflon au Frac Aquitaine porte un nom qui suppose implicitement l'organisation d'un concert<br />
dans son espace. Le Frac Aquitaine ose l'expérience en invitant un proche <strong>de</strong> l'artiste, Jeff Rian, pour un concert unique. Ce concert<br />
vient comme une extension artistique <strong>de</strong> l'exposition et du livre consacrés à Stéphane Dafflon, <strong>de</strong>stinés à offrir au public une nouvelle<br />
approche <strong>de</strong>s œuvres qu'il peut expérimenter dans <strong>de</strong>s conditions inédites.<br />
Jeff Rian, accompagné d'un batteur, Marty Vickers (canadien), et d'un contrebassiste, Stephen Harrison (anglais) proposera un mix<br />
instrumental et vocal, <strong>de</strong> la «Fozz Music», selon sa propre appellation, où interviendront contrebasse et guitare acoustiques ainsi<br />
qu'un banjo et une petite batterie.<br />
Jeff Rian<br />
Critique d'art et musicien, il est l'auteur d'un disque, en collaboration avec Jean-Jacques Palix, intitulé «Evergla<strong>de</strong>» (2000). Il a<br />
également collaboré avec Alexandra Roos pour «Fanfare» (Barclay, 2003). A l'automne <strong>2007</strong>, sortira un nouveau disque 8 <strong>de</strong> pique,<br />
produit par lan Caple, Tricky, Tin<strong>de</strong>rsticks et Baschung (Naive). Jeff Rian collabore aux revues Art in America, Frieze, Flash Art et<br />
View on Colour. Il est également éditeur à la revue Purple, et l'auteur du texte consacré à Stéphane Dafflon dans le catalogue<br />
monographique que le Frac vient d'éditer en partenariat avec La Salle <strong>de</strong> Bains à Lyon, La Synagogue <strong>de</strong> Delme et Le Spot au Havre<br />
Exposition Stéphane Dafflon<br />
Statik Dancin’ (28 septembre-21 décembre <strong>2007</strong>, Au Frac Aquitaine, Stéphane Dafflon a choisi d'associer sculptures, peintures et<br />
installation dans un espace volontairement dépouillé. Il poursuit ainsi son travail artistique sous un angle minimaliste, dérivé d'une<br />
esthétique liée à la technique du <strong>de</strong>sign industriel, qui manifeste une relecture <strong>de</strong> la peinture abstraite.<br />
33<br />
FRAC AQUITAINE<br />
Hangar G2, quai Armand Lalan<strong>de</strong><br />
jeudi 22 novembre à 20 h.<br />
MUSIQUES<br />
tarif : entrées libres (dans la limite <strong>de</strong>s<br />
places disponibles)<br />
Le Frac-Collection Aquitaine est financé par<br />
le Conseil Régional d'Aquitaine<br />
et la Direction régionale <strong>de</strong>s affaires culturelles<br />
d'Aquitaine - Ministère <strong>de</strong> la Culture et <strong>de</strong> la<br />
Communication<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Aurore Combasteix<br />
05 56 24 71 36<br />
ac@frac-aquitaine.net
Le Glob Théâtre présente :<br />
Tout le bonheur est à l’intérieur(dispositif pour une télévision d’art & d’essai)<br />
Fondation Professeur Swe<strong>de</strong>nborg pour l’Art Contemporain<br />
Réalisation Odile Darbelley Michel Jacquelin<br />
Avec Odile Darbelley, Delphine Jonas, Pierre Clarard, Chicco Gramaglia, Michel Jacquelin et Dany Kanashiro<br />
Avec la participation <strong>de</strong> Xavier Marchand et <strong>de</strong> la chatte Mistake<br />
MUSIQUE Cyril Hernan<strong>de</strong>z TRAVAIL GESTUEL Clau<strong>de</strong> Bokhobza<br />
SON François Weber CONSTRUCTION La Manufacture à Niort<br />
RÉGIE Dany Kanashiro, Jean-Yves Perruchon<br />
La <strong>de</strong>rnière folie <strong>de</strong> « Darbelin »<br />
Un mur barre la scène <strong>de</strong> cour à jardin. Le public est divisé en <strong>de</strong>ux. Si le mur empêche <strong>de</strong> voir ce qui se passe <strong>de</strong> l’autre côté,<br />
l'espace sonore est commun. Ce dispositif est l’œuvre d’un artiste qui tente <strong>de</strong> développer une télévision d'art et essai. Il fait<br />
l’expérience <strong>de</strong> produire une émission comme une œuvre d'art interactive dont il peut avoir simultanément un feed back. Au recto du<br />
dispositif, côté studio, nous assistons à la fabrication <strong>de</strong> l’émission et au verso, côté salle, à sa diffusion, dans l’atelier reconstitué d’un<br />
peintre : Marcel. La relation entre les <strong>de</strong>ux faces ne se limite pas à un simple lien <strong>de</strong> cause à effet : l’émission génère <strong>de</strong>s réactions,<br />
<strong>de</strong>s détournements, <strong>de</strong>s surenchères qui, loin d’une simple consommation, viennent à leur tour nourrir le travail <strong>de</strong> l’artiste. Par<br />
définition cette émission se situe entre le laboratoire et le studio, entre l’art vidéo et la télévision, entre le théâtre et la performance...<br />
Une façon <strong>de</strong> réfléchir sur l'image vidéo et son rapport à l'œuvre d'art, tout en mettant en jeu la représentation théâtrale.<br />
Michel Jacquelin<br />
Après avoir été reçu en 1982 à l’Agrégation d’Arts plastiques et avoir soutenu en 1990 sa thèse sur la photographie, il mène en<br />
parallèle <strong>de</strong>ux activités : celle <strong>de</strong> plasticien (il expose entre autres au CREDAC et pour la Galerie Michèle Chomette) ; celle <strong>de</strong><br />
photographe pour le théâtre et la danse, et collabore à <strong>de</strong> nombreuses revues. Il abor<strong>de</strong> la scénographie en 1992 (spectacles <strong>de</strong> R.<br />
Dubelski, C. Jehanin, M. Guerre, C. Bokhobza, C. Hernan<strong>de</strong>z, X. Marchand et O. Grandville). Il crée à partir <strong>de</strong> 1993 ses propres<br />
spectacles/performances en collaboration avec O. Darbelley : Les Témoins Oculaires, Victor Singelshot scénographe, F.K./M.J.<br />
Séance <strong>de</strong> scrutation photographique.<br />
Odile Darbeley<br />
Co-responsable <strong>de</strong> la chronique "Arrêt sur image" à Théâtre/Public, elle pratique régulièrement la musique et la danse. Odile<br />
Darbelley et Michel Jacquelin créent ensemble, à partir <strong>de</strong> 1996, plusieurs spectacles, performances ou expositions : Hans K., un cas<br />
<strong>de</strong> figure, Le Vivarium…. Ils développent à partir <strong>de</strong> 1996 un triptyque <strong>de</strong> spectacles. L'ensemble est créé au festival d'Avignon 2001<br />
sous le titre : Un lièvre qui a <strong>de</strong>s ailes est un autre animal. Ils publient aux éditions Actes Sud Du lard à l’art en 2001. Ils créent en<br />
2003 au Théâtre du Rond Point Tout seul je ne suis pas assez nombreux par le Contemporary Poussiv’Dance Group, puis imaginent<br />
Le Grand Feuilleton. Par ailleurs, ils ont réalisé l’affiche du Festival d’Avignon 2003.<br />
34<br />
GLOB THEATRE<br />
69, rue Joséphine<br />
THEATRES<br />
jeudi 22 novembre à 20 h.<br />
vendredi 23 novembre à 20 h.<br />
tarifs : 12 € / 8 € (réduit)<br />
Production : Association Arsène ; Fondation<br />
Professeur Swe<strong>de</strong>nborg pour l’Art contemporain ;<br />
CDR <strong>de</strong> Thionville / Lorraine ; Festival Perspectives<br />
Sarrebruck ; Scène nationale <strong>de</strong> Vandoeuvre Les<br />
Nancy ; Théâtre Garonne Toulouse / Avec le<br />
soutien : Le Lieu Unique (Nates) ; Théâtre <strong>de</strong> la Cité<br />
internationale (Paris) / Avec le soutien à la diffusion<br />
d’Arcadi – L’Association Arsène est conventionnée<br />
par la Direction régionale <strong>de</strong>s Affaires culturelles<br />
d’Île-<strong>de</strong>-France – Ministère <strong>de</strong> la Culture et <strong>de</strong> la<br />
Communication.<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Glob théâtre<br />
Programmation & administration : Bruno Lecomte<br />
05 56 69 06 66 - 06 08 02 55 07<br />
Communication & relations <strong>presse</strong> : Xavier Quéron<br />
05 56 69 06 66 - 06 10 85 49 27<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Billetterie GLOB<br />
05 56 69 06 66<br />
contact@globtheatre.net<br />
www.globtheatre.net<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56
Le Cuvier d’Artigues Centre <strong>de</strong> Développement Chorégraphique d’Aquitaine présente :<br />
Songs<br />
Stéphane Guignard<br />
Direction musicale et mise en scène Stéphane Guignard<br />
D’après <strong>de</strong>s musiques <strong>de</strong> John Cage (Expérience 2, A room, Song Books, Aria, Music for Marcel Duchamp, Bacchanale,<br />
Dream, Fontana mix)<br />
DANSE Patricia Borges Henriques LUMIERES Éric Blosse<br />
VOIX LYRIQUE Nadine Gabard SCENOGRAPHIE Bruno Lahontâa<br />
VOIX ET KOTO Mieko Miyazaki COSTUMES Agathe Delabre<br />
ELECTRONIQUE ET TECHNIQUE Eddie Ladoire CHARGEE DE PRODUCTION ET DIFFUSION Emmanuelle Paoletti<br />
Au départ <strong>de</strong> Songs, construction mobile à la croisée du chant, du koto et <strong>de</strong> la danse, une rencontre entre occi<strong>de</strong>nt et orient : le<br />
chant <strong>de</strong> Nadine Gabard et le koto <strong>de</strong> Mieko Miyazaki, l’une interprétant <strong>de</strong>s pièces <strong>de</strong> John Cage et délivrant ses propres chants,<br />
l’autre détournant son koto dans <strong>de</strong>s transpositions teintées d’airs traditionnels japonais… Deux trajectoires musicales singulières<br />
troublées par l’énergie <strong>de</strong> Patricia Borges Henriques, danseuse. Les i<strong>de</strong>ntités <strong>de</strong> chacune rebondissent sur le mouvement <strong>de</strong> l’autre,<br />
provocant, altérant, désorientant les intentions jusqu'à l’atteinte <strong>de</strong> notre tranquillité. En suspension, les corps contours <strong>de</strong> ces trois<br />
« mon<strong>de</strong>s », jouent leurs racines. Par ce « chant chorégraphique », Stéphane Guignard consoli<strong>de</strong> sa relation physique à la musique<br />
élément fondamental <strong>de</strong> sa démarche artistique. Interpréter John Cage en <strong>2007</strong> est signe chez Stéphane Guignard d’une liberté <strong>de</strong><br />
jouer <strong>de</strong>s hasards <strong>de</strong>s rencontres. Porteur <strong>de</strong> cette démarche singulière, il ravive une écoute physique, poétique, libérée. Songs est<br />
un travail collectif qui porte en lui l’étrangeté, l’imprévisibilité <strong>de</strong> nos gestes et souhaite ainsi contribuer à créer une forme d’expression<br />
où le chant du corps tient autant <strong>de</strong> place que la danse <strong>de</strong> la voix.<br />
« J’ai toujours été du côté <strong>de</strong>s choses qu’on ne doit pas faire, en recherchant comment remettre en jeu les éléments habituellement<br />
rejetés ». John Cage<br />
« De « Pan » à « Volte», on retrouve dans tous les spectacles qu’a conçus Stéphane Guignard <strong>de</strong>puis une quinzaine d’années un<br />
caractère <strong>de</strong> concentration, d’intensité contenue, qui est une <strong>de</strong> ses plus méconnaissables signatures : à travers la paradoxale<br />
diversité <strong>de</strong>s univers qu’il explore, il réussit toujours à toucher à l’essentiel et à le rendre sensible, presque palpable, avec une<br />
économie <strong>de</strong> moyens et une force d’évi<strong>de</strong>nce très inhabituelles. » Luc Bourrousse<br />
L'association éclats... créée en 1987 est un espace <strong>de</strong> recherche et <strong>de</strong> création dirigé par Stéphane Guignard. Les paysages<br />
sonores, le corps musical, le théâtre instrumental, le croisement <strong>de</strong>s arts, les nouvelles technologies sont les points d'appui <strong>de</strong> sa<br />
recherche. Inscrite et i<strong>de</strong>ntifiée dans une démarche contemporaine, éclats crée, produit, accompagne et diffuse concerts et<br />
spectacles à travers la France.<br />
35<br />
LE CUVIER D’ARTIGUES<br />
boulevard Fey<strong>de</strong>au<br />
Artigues-près-Bor<strong>de</strong>aux<br />
vendredi 23 novembre à 21 h.<br />
MUSIQUES<br />
Création<br />
tarifs : 15 € / réduit 9 € (7 € : -18 ans)<br />
Coproduction : Office Artistique <strong>de</strong> la Région<br />
Aquitaine / Institut Départemental <strong>de</strong> Développement<br />
Artistique et Culturel / le festival <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux /<br />
ADAM Lan<strong>de</strong>s / Avec le soutien <strong>de</strong> l’ADAMI et <strong>de</strong> la<br />
SPEDIDAM.<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Emmanuelle Paoletti<br />
05 56 52 52 64<br />
emmanuelle.paoletti@eclats.net<br />
www.eclats.net
Présence Capitale présente :<br />
Burn out – post crash<br />
9 ème Symposium <strong>de</strong>s arts sonores & mix médias<br />
Programmation établie par<br />
Joachim Montessuis (label Erratum) et Yvan Etienne (label W)<br />
en liaison avec André Lombardo (directeur artistique <strong>de</strong> Présence Capitale)<br />
Thomas Ankersmit & Giuseppe Ielasi (Hollan<strong>de</strong> / Italie) « expérimental – mix médias »<br />
Samon Takahashi (Japon) « Minimal Art »<br />
Manuela Barile (Italie) « Vocal Art »<br />
Jacob Kirkegaard (Danemark) « Minimal Art »<br />
Jeorg Piringer (Autriche) « Poésie sonore électronique »<br />
Brian Saun<strong>de</strong>rs (USA) « Spoken Word Intense »<br />
En partenariat avec le CAPC musée d’art contemporain<br />
36<br />
MUSIQUES<br />
ENTREPOT LAINE, AUDITORIUM<br />
7, rue Ferrère<br />
samedi 24 novembre<br />
<strong>de</strong> 15 h. à 21 h.<br />
tarif : entrées libres sur réservation<br />
(dans la limite <strong>de</strong>s places disponibles)<br />
En partenariat avec la Mairie <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux,<br />
Le Conseil Général <strong>de</strong> Giron<strong>de</strong>,<br />
Le Conseil Régional d’Aquitaine<br />
et <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
André Lombardo<br />
06 88 39 71 31<br />
presence.capitale@free.fr
L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
Genitrix<br />
Opéra en 2 actes <strong>de</strong> László Tihanyi<br />
Livret László Tihanyi et Alain Surrans d’après François Mauriac.<br />
DIRECTION MUSICALE László Tihanyi<br />
MISE EN SCENE Christine Dormoy<br />
DRAMATURGIE Isabelle Bonnet<br />
DECORS Philippe Marioge<br />
COSTUMES Cidalia da Costa<br />
LUMIERES Paul Beaureilles<br />
VIDEASTE Eric Angels<br />
Avec Servan Manoukian Mathil<strong>de</strong>, Hanna Schaer Félicité, Jean-Manuel Can<strong>de</strong>not Fernand,<br />
Christophe Berry Duluc, Denise Labor<strong>de</strong> Marie<br />
Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine - Chœur <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux<br />
L’action se déroule vers 1920 dans une petite ville, Langon, sur les rives <strong>de</strong> la Garonne. Fernand Cazenave, cinquante ans à peu<br />
près, vit avec Félicité, sa mère âgée, dans une maison proche <strong>de</strong> la station <strong>de</strong> chemin <strong>de</strong> fer. L’homme est totalement prisonnier <strong>de</strong><br />
sa mère. Il n’a aucune relation amicale ou amoureuse. Dans le voisinage entre en scène une jeune institutrice, Mathil<strong>de</strong>…<br />
Félicité, Fernand, Mathil<strong>de</strong>, les personnages <strong>de</strong> Mauriac se heurtent, se blessent, se croisent, se per<strong>de</strong>nt; ils n'en finissent pas<br />
d'assister en eux-mêmes à un combat. Ils ignorent le bonheur du corps et la seule métaphore du désir décrite dans le paysage<br />
mauriacien, c'est la solitu<strong>de</strong> sous un soleil brûlant. C'est dans cette dissonance, dans ce dialogue impossible avec soi-même et avec<br />
l'autre, que la musique <strong>de</strong> László Tihanyi prend sa place. La mise en scène <strong>de</strong> Christine Dormoy scrute cette impossibilité <strong>de</strong><br />
communiquer, cherche <strong>de</strong>s circulations pour les personnages et leurs ombres dans l'espace clos <strong>de</strong> la maison <strong>de</strong> Félicité<br />
Cazenave, la mère, le personnage symbole <strong>de</strong> Genitrix. La scénographie <strong>de</strong> Philippe Marioge est un large plateau nu où s'arrêtent<br />
les solitu<strong>de</strong>s… espace ouvrant un huis-clos étouffant sur la lumière d'incendie du <strong>de</strong>hors avec <strong>de</strong> hautes baies vitrées où viennent<br />
s'inscrire, parfois en vidéo, les images du passé et les projections mentales, celles <strong>de</strong> l'indicible, <strong>de</strong> l'invisible, <strong>de</strong> l'inconscient.<br />
L'opéra <strong>de</strong> László Tihanyi fouille cette blessure, et ses personnages, cherchant à la comprendre, ne font que l'approfondir. Sa<br />
musique a parfois les sonorités <strong>de</strong> Messiaen, parfois celles <strong>de</strong> Ligeti, <strong>de</strong>s fulgurances <strong>de</strong> Bartók. Tihanyi est un compositeur chef<br />
d’orchestre hongrois, compagnon <strong>de</strong> route <strong>de</strong> Peter Eotvös. Les lignes vocales <strong>de</strong> Genitrix sont <strong>de</strong> facture classique parce que<br />
Tihanyi porte une gran<strong>de</strong> attention aux mots et à la langue française.<br />
Cinq solistes : basse, contralto, et soprano, incarnent les trois rôles principaux… ténor pour le mé<strong>de</strong>cin et une voix parlée/chantée<br />
pour Marie <strong>de</strong> Lados, soutiennent cette distribution. L’Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine et le chœur <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong><br />
Bor<strong>de</strong>aux seront placés sous la direction du compositeur lui-même.<br />
37<br />
OPÉRA<br />
Création<br />
GRAND-THEATRE<br />
place <strong>de</strong> la Comédie<br />
nouvelle production (en langue française)<br />
dimanche 25 novembre à 15 h.<br />
mercredi 28 novembre à 20 h.<br />
vendredi 30 novembre à 20 h.<br />
samedi 1 er décembre à 20 h.<br />
tarifs : <strong>de</strong> 8 à 55 €<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Grand-Théâtre<br />
05 56 00 85 95<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Canal Com<br />
05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />
canalcom@club-internet.fr
Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine présente :<br />
Les nouveaux saltimbanques<br />
C’est le <strong>de</strong>uxième temps fort que le TnBA a souhaité imaginer dans le cadre <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux.<br />
Qu’ils vivent en roulotte ou soient sé<strong>de</strong>ntarisés, qu’ils s’inscrivent dans l’histoire <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>s familles d’artistes ou soient <strong>de</strong>s<br />
nouveaux venus sans filiation, qu’ils aient opté pour un chapiteau, un théâtre ou même un tonneau ( ! ) comme écrin à leurs<br />
spectacles, ils ont en commun d’être <strong>de</strong>s nouveaux saltimbanques, <strong>de</strong>s inventeurs <strong>de</strong> rêve et <strong>de</strong> poésie, <strong>de</strong>s enchanteurs du<br />
quotidien, les enfants <strong>de</strong> la balle préférés. Du côté <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s familles, le cirque Rasposo nous entraîne sous son chapiteau avec<br />
son Parfums d’Est, délicieusement gitan, tandis que Victoria Thierrée-Chaplin, fille <strong>de</strong>… Charlot, imagine avec L’Oratorio<br />
d’Aurélia un spectacle onirique et drôle pour sa propre fille Aurélia… Deux ren<strong>de</strong>z-vous à vivre en famille ! Pour les plus grands, le<br />
TnBA vous fera découvrir Bonaventure Gacon dans par le Boudu, un clown véritablement inquiétant ; ou encore Éloge du poil, une<br />
déconcertante o<strong>de</strong> à la pilosité par Jeanne Mordoj. Et pour finir, le concert d’un « groupe-culte », les Tiger Lillies…<br />
Éloge du poil<br />
Jeanne Mordoj<br />
DIRECTION ARTISTIQUE, CREATION ET JEU Jeanne Mordoj<br />
MISE EN SCENE Pierre Meunier<br />
Être une femme à barbe<br />
Jeanne Mordoj aime se comparer à une sorcière, « celle qui dans l’ombre concocte ses potions ». En scène, dans son étrange<br />
théâtre en bois amovible, elle est un personnage ambigu, un homme à la féminité débordante ou une femme à la pilosité<br />
développée. Elle aime le trouble, les mélanges et les expériences en tout genre. Maîtrisant les techniques <strong>de</strong> la ventriloquie, la<br />
manipulation d’objets, l’équilibre, le jonglage avec <strong>de</strong>s jaunes d’œufs, elle s’entoure également d’objets et <strong>de</strong> matières étranges<br />
auxquels elle donne vie joyeusement.<br />
Mais alors, ça raconte quoi, cet Éloge du poil ? Une femme à barbe est d’abord une femme et c’est ce que c’est que d’être femme<br />
aujourd’hui dont nous parle Jeanne Mordoj avec sa barbe et ses histoires <strong>de</strong> pilosité. S’appuyant sur son corps, ses techniques<br />
circassiennes et foraines, ses expériences <strong>de</strong> la vie, ses bizarreries, elle porte un regard attendri sur la monstruosité et nous<br />
propose un hommage souriant à la différence, un éloge <strong>de</strong> la féminité, assez loin <strong>de</strong>s stéréotypes (papier) glacés.<br />
38<br />
THEATRES /<br />
Les nouveaux<br />
saltimbanques<br />
Renseignements du public et<br />
réservations :<br />
Du mardi au samedi <strong>de</strong> 13 h. à 19 h.<br />
05 56 33 36 80<br />
www.tnba.org<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Hélène Debacker<br />
05 56 33 36 60<br />
T.n.B.A., studio <strong>de</strong> création<br />
Square Jean-Vauthier<br />
mardi 27 novembre à 19 h. 30<br />
mercredi 28 novembre à 19 h. 30<br />
tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)
Par le Boudu Bonaventure Gacon<br />
Avec Bonaventure Gacon<br />
Un monologue clownesque surtout pour adultes<br />
Gueule tordue, barbe foisonnante, le Boudu entre en scène, dépenaillé, fourbu, plus instable qu’une coquille <strong>de</strong> noix dans la<br />
tempête. Regar<strong>de</strong>z ses grands yeux lunaires, sa misérable calotte, ses basques, ses pantoufles et son nez rouge. Le Boudu est<br />
méchant, sale, infréquentable. Aux numéros comiques, il préfère siroter quelques verres et dévorer <strong>de</strong>s petites filles. Il écrit <strong>de</strong>s<br />
poèmes, fait du patin à roulettes, regar<strong>de</strong> les couchers <strong>de</strong> soleil. Il est tout et rien à la fois le Boudu, un ogre inquiétant et un paumé<br />
loqueteux qui ne <strong>de</strong>man<strong>de</strong> qu’à être aimé.<br />
À la fois drôle et attachant, clochard céleste à la gouaille irrésistible, rêveur inconditionnel, le Boudu est un monstre d’humanité, un<br />
clown pour rire et pour penser… Plébiscité à chacun <strong>de</strong> ses passages pour l’intelligence du personnage et la profon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> son<br />
spectacle, Bonaventure Gacon inscrit son nom au panthéon <strong>de</strong>s Augustes. Dans ce solo, il se révèle extraordinaire acrobate,<br />
comédien tendrement étrange et l’on songe en le voyant à un Boudu célèbre qui avait pour nom Michel Simon.<br />
Parfums d’Est Rasposo<br />
Prix ADAMI <strong>de</strong> la XX ème cérémonie <strong>de</strong>s Molières<br />
Avec Marie Molliens, Fred Escurat, Vincent Molliens, Julien Scholl, Bruno Lussier, Fanny Molliens, Joseph<br />
Molliens, Alain Poisot, Benoît Keller, Christian Millanvois, Jacky Lignon.<br />
CREATION ET MISE EN SCENE Fanny Molliens<br />
CREATION LUMIERE Hélène Molliens<br />
CREATION COSTUMES Évelyne Poisot<br />
Enivrants parfums <strong>de</strong> Bohême<br />
Parce que le cirque traditionnel ne se limite pas à une vision surannée <strong>de</strong>s costumes pailletés et <strong>de</strong>s roulements <strong>de</strong> tambour, il est<br />
urgent <strong>de</strong> se laisser entraîner sous le chapiteau <strong>de</strong> la famille Rasposo pour y découvrir du cirque, du vrai. Celui qui renoue avec les<br />
racines tziganes, respire le vieux tapis persan et le campement noma<strong>de</strong>, roulottes, chiens, chats, cochons et orchestre compris. Ils<br />
sont une bonne douzaine d’acrobates, musiciens, danseurs et bonimenteurs et insufflent un vent d’est, tout droit venu <strong>de</strong>s films<br />
d’Emir Kusturica.<br />
Un couple improbable mène la danse : elle est une petite liane blon<strong>de</strong> objet <strong>de</strong> toutes les convoitises, il est un clown pataud et<br />
rêveur ; elle sublime les arts <strong>de</strong> la piste par sa grâce et son audace, il ébahit par ses folles trouvailles. Derrière le talent et<br />
l’inventivité se cache la génialissime famille Molliens, originaire <strong>de</strong> la petite ville <strong>de</strong> Moroges en Côte chalonnaise !<br />
À défaut <strong>de</strong> sang, les Rasposo ont bel et bien l’âme gitane !<br />
39<br />
THEATRES /<br />
Les nouveaux<br />
saltimbanques<br />
T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />
Square Jean-Vauthier<br />
mardi 27 novembre à 20 h. 30<br />
mercredi 28 novembre à 20 h. 30<br />
tarif spécial : 12 / 10 € (7 € -26 ans)<br />
Précieux coups d’œil <strong>de</strong> Martine Cendre.<br />
Coproduction Le Prato,<br />
Théâtre international <strong>de</strong> quartier <strong>de</strong> Lille.<br />
T.n.B.A., espace chapiteau<br />
Square Jean-Vauthier<br />
mercredi 28 novembre à 19 h. 30<br />
jeudi 29 novembre à 19 h. 30<br />
vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />
samedi 1 er décembre à 20 h. 30<br />
tarifs : 25 € / 13 €, 10 €, 6 € (réduits)<br />
Compagnie en compagnonnage avec La Verrie<br />
d’Alès en Cévennes Pôle Cirque Région Languedoc-<br />
Rousillon.
L’Oratorio d’Aurélia Victoria Thierrée-Chaplin<br />
Avec Aurélia Thierrée. Danseurs Julio Monge – Jaime Martinez<br />
DECOR Victoria Thierrée-Chaplin<br />
CHOREGRAPHIE Armando Santin<br />
LUMIERES Laura <strong>de</strong> Bernardis, Philippe Lacombe<br />
MANIPULATEURS Tarzana Fourès, Monika Schwarzl, Nicolas Reese<br />
Taillé dans l’étoffe <strong>de</strong>s rêves<br />
Une voix qui s’inquiète sur un répon<strong>de</strong>ur. Personne à l’horizon… Mais où est Aurélia ? Tapie au fond d’une commo<strong>de</strong>, elle s’extirpe, tiroir par<br />
tiroir, petit bout par petit bout. Ce n’est que le début <strong>de</strong>s apparitions fantasmagoriques, baroques et cocasses <strong>de</strong> la petite-fille <strong>de</strong> Chaplin.<br />
Comédienne touche à tout, trapéziste <strong>de</strong> haut vol, danseuse charmeuse, contorsionniste prodigieuse, Aurélia entre en piste dans toutes les<br />
positions et en <strong>de</strong>vient renversante, aérienne, magique. Accompagnée <strong>de</strong> sa mère, Victoria Thierrée-Chaplin pour la mise en scène, elle<br />
perpétue la tradition familiale et renouvelle le genre en inventant un cabaret au goût délicieux <strong>de</strong> simplicité et d’humour. Impossible<br />
d’échapper à cette quête fantasmagorique d’un extrême raffinement.<br />
L’oratorio d’Aurélia est un pur moment <strong>de</strong> grâce, une féerie malicieuse, un vagabondage onirique revigorant.<br />
Le Théâtre national <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux en Aquitaine, en partenariat avec Musiques <strong>de</strong> nuit présente :<br />
Tiger Lillies<br />
Avec Martyn Jacques Multi-instrumentaliste, chanteur<br />
Adrian Huge Batteur surréaliste<br />
Adrian Stout Contrebassiste.<br />
Entre concert rock et cabaret traditionnel<br />
Entre Tom Waits, Klaus Nomi et Kurt Weill, les Tiger Lillies mélangent les genres, se jouent <strong>de</strong>s étiquettes et imposent un style bohème.<br />
Portées par la voix <strong>de</strong> fausset <strong>de</strong> Martyn Jacques, fondateur du groupe et auteur-compositeur-chanteur-accordéoniste-pianiste (liste non<br />
exhaustive), leurs chansons sont imprégnées <strong>de</strong> l’univers londonien <strong>de</strong> Soho : maquereaux, filles <strong>de</strong> joie, fêtards et autres clochards célestes<br />
sont décrits avec une précision aussi comique qu’absur<strong>de</strong>. Pour l’accompagner, un batteur reconverti dans les instruments recyclés, jouets et<br />
ustensiles <strong>de</strong> cuisine et un ancien « musicien respectable » qui désormais s’abandonne à la scie musicale. Ce drôle <strong>de</strong> trio issu <strong>de</strong> la culture<br />
punk, se dévoue corps et âme à une musique tantôt stimulante, tantôt nostalgique, mêlant <strong>de</strong>s ukulélés et <strong>de</strong>s contrebasses, <strong>de</strong>s claviers<br />
bien tempérés et <strong>de</strong>s batteries minimalistes. Une fanfare fantomatique et un envoûtant chant <strong>de</strong> Castafiore qui, avec humour et énergie,<br />
nous disent combien il est bon d’être vivant…<br />
40<br />
T.n.B.A., Gran<strong>de</strong> Salle<br />
Square Jean-Vauthier<br />
THEATRES /<br />
Les nouveaux<br />
saltimbanques<br />
jeudi 29 novembre à 19 h. 30<br />
vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />
samedi 1 er Décembre à 20 h. 30<br />
tarifs : 25 € / 13 €, 10 €, 6 € (réduits)<br />
MUSIQUES /<br />
Les nouveaux<br />
saltimbanques<br />
T.n.B.A., Salle Jean-Vauthier<br />
Square Jean-Vauthier<br />
vendredi 30 novembre à 22 h.<br />
tarifs : 25 € / 13 €, 10 € (réduits)<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Véronique Duvergié<br />
Musiques <strong>de</strong> Nuit<br />
mdn@free.fr<br />
05 56 94 43 43
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles présente :<br />
La Tercera Obra<br />
Teatro La Maria / Chili<br />
DISTRIBUTION, MISE EN SCENE Alexandra von Hummel & Alexis Moreno ADAPTATION Alexis Moreno<br />
COSTUMES Carolina Sapiaín LUMIERES Ricardo Romero<br />
SCENOGRAPHIE Teatro la Maria<br />
Avec,<br />
Roberto Farias, Cristián Carvajal, Moisés Angulo, Alexandra von Hummel, Alexis Moreno<br />
Une explosion d’énergie à la force satirique<br />
Voilà une lecture décapante et résolument contemporaine du texte <strong>de</strong> Brecht Grand peur et misère du III ème Reich qui fait le lien entre<br />
la société alleman<strong>de</strong> d’avant guerre et la société chilienne contemporaine. Ce collectif <strong>de</strong> cinq jeunes acteurs réalise un travail choral<br />
et rythmique époustouflant. Ils réinterrogent la fascination du pouvoir et la soumission à l’autorité au travers <strong>de</strong> différentes histoires :<br />
un montage qui fait réfléchir à la tournure que prennent les choses face au sentiment collectif <strong>de</strong> peur et qui interroge sur ce qui se<br />
passe quand l’oppression et la terreur font partie du système d’éducation. Dans une dramaturgie fraîche et légère, les acteurs,<br />
renonçant à tout artifice, utilisent sans complexe tous les moyens d’expression, dans un va et vient joyeux entre le processus <strong>de</strong><br />
répétitions et <strong>de</strong> mise en scène, projeté sur un écran, et une théâtralité inventive et pleine d’humour. La compagnie Teatro La María,<br />
créée en 1999 par <strong>de</strong>s artistes issus <strong>de</strong> l’Université du Chili, a déjà créé onze pièces qui ont rencontré un fort succès tant auprès <strong>de</strong><br />
la critique que du grand public. La Tercera Obra, troisième partie <strong>de</strong> la « Trilogia Publica », a été présentée pour la première fois à<br />
Santiago du Chili en octobre 2005 et seulement une fois en France en 2006 au Festival Translatines.<br />
« L’un <strong>de</strong>s incontournables <strong>de</strong> l’année… L’une <strong>de</strong>s plus brillantes créations du collectif <strong>de</strong>puis sa création en 1999, son spectacle le<br />
plus politique et le plus radical… La férocité <strong>de</strong> son sarcasme est provocante et stimulante. Le nazisme sert <strong>de</strong> prétexte pour établir<br />
<strong>de</strong>s relations entre la peur, la manipulation, la trahison et l’opportunisme corruptif dans un système ici répandu. Et pour parler <strong>de</strong> la<br />
manière dont le pouvoir en place se sert <strong>de</strong> l’image pour rendre idiot et pour nous soumettre. » El Mercurio<br />
41<br />
LE CARRE DES JALLES<br />
place <strong>de</strong> la République<br />
Saint Médard-en-Jalles<br />
théâtre / vidéo<br />
surtitré en français<br />
THEATRES /<br />
mardi 27 novembre à 20 h. 30<br />
tarif s : 15 € / 10 et 8 € (réduit)<br />
Production : Teatro La Maria<br />
Tournée coordonnée par : La Rose <strong>de</strong>s vents, Scène<br />
Nationale <strong>de</strong> Lille-Métropole <strong>de</strong> Villeneuve d’Ascq –<br />
Avec l’ai<strong>de</strong> <strong>de</strong> l’Onda<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />
05 57 93 18 93<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Valérie Borowyez<br />
05 57 93 18 80<br />
v.borowyez@saint-medard-en-jalles.fr
L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
Quatuor <strong>de</strong> saxophones Raschèr<br />
Bach Trois contrepoints<br />
Nicola Lefanu Moon over western ridge - Mootwingee<br />
Eroc Moe Rough winds do shake the Darling Buds<br />
Bach Organ Canzona<br />
Tristan Keuris Music for saxophones<br />
Le Quatuor <strong>de</strong> saxophones Raschèr<br />
Le Raschèr Saxophone Quartet (Christine Rall, Elliot Riley, Bruce Weinberger, Kenneth Coon) doit son renom à sa sonorité<br />
exceptionnellement homogène, à sa virtuosité et à son interprétation. L’ensemble perpétue une tradition établie dans les années<br />
1930 par son fondateur, Sigurd Raschèr, un pionnier du saxophone classique : le Raschèr Saxophone Quartet a donné envie à <strong>de</strong>s<br />
centaines <strong>de</strong> compositeurs d’écrire <strong>de</strong> la musique pour lui – entre autres Luciano Berio, Erik Bergman, Philip Glass, Sofia<br />
Gubaidulina, Per Norgard, Sven-David Sandstrom, Erkki-Sven Tüür et Iannis Xenakis.<br />
Ces compositeurs ont partagé le même enthousiasme, la qualité homogène et unique du son <strong>de</strong>s quatre musiciens, leur virtuosité et<br />
leur interprétation dynamique <strong>de</strong> musique classique et contemporaine.<br />
Nombre d’entre eux a été fasciné par l’association <strong>de</strong>s Raschèr avec un orchestre qui a donné naissance à plus <strong>de</strong> 20 nouvelles<br />
œuvres et développé les invitations <strong>de</strong> nombreux orchestres <strong>de</strong> renommée mondiale.<br />
Depuis sa formation en 1969, le Quatuor Raschèr joue régulièrement dans les principales salles <strong>de</strong> concert d’Europe et <strong>de</strong>s Etats-<br />
Unis telles que le Carnegie Hall, le Concertgebouw d’Amsterdam et le Musikverein <strong>de</strong> Vienne.<br />
Le journal <strong>de</strong> Vienne a défini le quatuor comme les « rois sans couronne du saxophone » et un critique du journal Die Welt a écrit,<br />
« S’il y avait une discipline olympique <strong>de</strong> virtuosité <strong>de</strong>s vents, le Quatuor Raschèr recevrait sans aucun doute la médaille d’or. »<br />
Le Quatuor Raschèr est une démocratie musicale. Aussi n’a-t-il aucun chef, contrairement à beaucoup d’autres orchestres <strong>de</strong><br />
chambre.<br />
42<br />
GRAND-THEATRE<br />
place <strong>de</strong> la Comédie<br />
mardi 27 novembre à 20 h.<br />
tarifs : 8 à 25 €<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Grand-Théâtre<br />
05 56 00 85 95<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
MUSIQUES<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Canal Com<br />
05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />
canalcom@club-internet.fr
Le Tout Nouveau Théâtre présente :<br />
Purgatoire<br />
Joris Lacoste<br />
Textes Joris Lacoste<br />
Avec Stéphanie Béghain, Giuseppe Chico, Rodolphe Congé, Frédéric Danos, Gaspard Guilbert, Barbara<br />
Matijević, Gwénaël Morin<br />
DRAMATURGIE Jeanne Revel<br />
SON Manuel Coursin et Olivier Renouf<br />
LUMIERES Caty Olive<br />
SCENOGRAPHIE Nicolas Couturier<br />
REGIE SON Laurent Courtaud<br />
REGIE GENERALE Bruno Faucher<br />
C’est plutôt amusant. C’est bizarrement saccadé. C’est compulsif. C’est très impressionnant. C'est très inconfortable. Ça ne<br />
s’explique pas. Ça fait du bruit. Ça force l’admiration. C’est frontal. C’est facial. C'est un peu facile. C'est plus long que prévu. C'est<br />
plus sombre. C’est dur. C'est plus résistant que prévu. Ça fait penser à. C'est profond. Ça permet <strong>de</strong>. C'est programmé pour. C'est<br />
pathologique. C’est contagieux. C’est rapi<strong>de</strong>. C’est inattendu. C’est implacable. C'est un peu exagéré. C’est carrément insupportable.<br />
C'est super drôle. C'est bien.<br />
Purgatoire procè<strong>de</strong> à sa façon, par à coups, par essais, par tentatives. Il essaie <strong>de</strong> démarrer quelque chose : ça ne marche pas<br />
vraiment. Il se met en condition, il s'entraîne, il s'échauffe, il tente <strong>de</strong>s mouvements, il convoque un répertoire <strong>de</strong> gestes, <strong>de</strong>s<br />
modalités d'action, <strong>de</strong>s trucs <strong>de</strong> professionnel. Il s'est passé quelque chose. Il va se passer quelque chose. Il pourrait se passer<br />
quelque chose. Il s'est passé quelque chose ? Essaye encore. Peu à peu, Purgatoire se lance dans une danse incongrue, comique,<br />
autour d'un événement impossible, fantasmé, forcément terrible - comme si ce qui arrive ne pouvait arriver que sur le mo<strong>de</strong> violent :<br />
une interruption, un séisme dans l'ordre habituel <strong>de</strong>s relations. A sa manière faussement naïve, Purgatoire propose au spectateur un<br />
piège : la relation théâtrale envisagée non plus comme communication, transmission, participation ou partage, mais comme<br />
syndrome <strong>de</strong> Stockholm.<br />
Joris Lacoste<br />
Joris Lacoste est écrivain, mais son activité se déploie <strong>de</strong>puis plusieurs années dans <strong>de</strong>s champs aussi divers que le théâtre, la<br />
musique, la radio, la danse, la performance et l’improvisation. Il a notamment travaillé avec Stéphanie Béghain, Boris Charmatz, Joao<br />
Fia<strong>de</strong>iro. Depuis 2004, il mène un travail <strong>de</strong> recherche théorique, la métho<strong>de</strong> W, avec Jeanne Revel. Ses pièces ont été publiées par<br />
Théâtre Ouvert et Inventaire/Invention. Depuis <strong>2007</strong>, il est co-directeur <strong>de</strong>s Laboratoires d’Aubervilliers.<br />
43<br />
THEATRES<br />
T.N.T.<br />
MANUFACTURE DE CHAUSSURES<br />
226, boulevard Albert 1 er<br />
mercredi 28 novembre à 20 h. 30<br />
jeudi 29 novembre à 20 h. 30<br />
vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />
tarif : unique 10 €<br />
Production échelle 1 :1 Coproduction : Théâtre<br />
National <strong>de</strong> la Colline / Théâtre National <strong>de</strong> Bretagne<br />
/ Centre Chorégraphique National <strong>de</strong> Tours Le Vivat,<br />
Armentières / Producteur délégué lelabo / Avec le<br />
soutien <strong>de</strong> la DMDTS ai<strong>de</strong> à l’écriture, du Centre<br />
National du Livre. Avec le soutien <strong>de</strong> l’ONDA.<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Isabelle Jelen :<br />
05 56 85 82 81<br />
isabelletnt@wanadoo.fr<br />
www.letnt.com
L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />
Sir Neville Marriner / Peter Wispelwey<br />
John Corigliano The Mannheim Rocket (Création Française)<br />
Edward Elgar Concerto pour violoncelle<br />
Gustav Holst Les Planètes<br />
DIRECTION Sir Neville Marriner<br />
VIOLONCELLE Peter Wispelwey<br />
Orchestre National Bor<strong>de</strong>aux Aquitaine<br />
C’est la face astrologique <strong>de</strong>s corps célestes qui sera abordée avec Les Planètes <strong>de</strong> Gustav Holst. Créé en 1918 à l’issue <strong>de</strong> la<br />
première Guerre mondiale, cet ouvrage <strong>de</strong>meure le plus célèbre opus du compositeur britannique, ami <strong>de</strong> Vaughan-Williams et<br />
contemporain d’Elgar, lequel donnera naissance, l’année suivante, à sa <strong>de</strong>rnière gran<strong>de</strong> œuvre : le Concerto pour violoncelle. La<br />
très attendue création française <strong>de</strong> l’Américain John Corigliano The Mannheim Rocket n’est autre qu’une invitation à rejoindre<br />
l’espace, celui-là même où gravitent les astres dépeints par Holst.<br />
Sir Neville Marriner<br />
Comme son mentor Pierre Monteux, Sir Neville Marriner commence sa carrière comme violoniste dans un quatuor et un trio à<br />
cor<strong>de</strong>s, puis au London Symphony Orchestra, pério<strong>de</strong> durant laquelle il fon<strong>de</strong> l’Aca<strong>de</strong>my of Saint-Martin-in-the-Fields. C’est au<br />
Festival d’Aix-en-Provence qu’il débute l’opéra avec Les Noces <strong>de</strong> Figaro, puis aux USA à Los Angeles avec La Cenerentola… Avec<br />
l’Aca<strong>de</strong>my, Sir Neville Marriner a effectué <strong>de</strong> très nombreuses tournées dans le mon<strong>de</strong> entier et a également dirigé et assuré la<br />
direction musicale du film Ama<strong>de</strong>us (qui a reçu trois « Grammy Awards »). Artiste discographiquement prolifique, il a enregistré un<br />
cycle symphonique complet Brahms et Schumann.<br />
Pieter Wispelwey<br />
Pieter Wispelwey est l’un <strong>de</strong>s premiers d’une génération d’artistes qui ont su briller à la fois sur instruments mo<strong>de</strong>rnes et sur<br />
instruments d’époque. Sa conscience stylistique, ajoutée à une technique phénoménale et une originalité toujours présente ont<br />
conquis les cœurs aussi bien du public que <strong>de</strong> la critique, dans un répertoire allant <strong>de</strong> Gabrieli à Elliott Carter. Pieter Wispelwey joue<br />
sur un violoncelle Giovanni Battista Guadagnini <strong>de</strong> 1760.<br />
44<br />
PALAIS DES SPORTS<br />
place Ferme-Richemont<br />
jeudi 29 novembre à 20 h.<br />
tarifs : 6 à 25 €<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Grand-Théâtre<br />
05 56 00 85 95<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
MUSIQUES<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Canal Com<br />
05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />
canalcom@club-internet.fr
L’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux présente :<br />
Terrain vague<br />
Création pour percussions, jouets et structures Baschet<br />
COMPOSITION ET INTERPRÉTATION Jean-Christophe Feldhandler<br />
CAPTATION ET DIFFUSION VIDÉO Philippe Carles<br />
LUMIÈRES ET SCÉNOGRAPHIE Bernard Poupart<br />
Prendre place dans l’aire <strong>de</strong> jeu, traverser les territoires <strong>de</strong> l’enfance<br />
« Un espace noir délimité par <strong>de</strong>s rayons lumineux et parsemé <strong>de</strong> gros coussins... Un instrumentarium composé <strong>de</strong> percussions, <strong>de</strong><br />
structures Baschet, <strong>de</strong> toy piano, d’un petit accordéon <strong>de</strong> cirque et habité par <strong>de</strong>s personnages figurines...<br />
Le public est invité à prendre place dans l’aire <strong>de</strong> jeu. Certains ferment les yeux, déjà curieux <strong>de</strong>s sons qui sortiront <strong>de</strong>s instruments<br />
qui les entourent ; d’autres fixent l’écran <strong>de</strong> projection blanc. L’écoute est déjà là... Le musicien et le vidéaste apparaissent et<br />
entament leur cheminement entre les sept stations <strong>de</strong> jeu. Les séquences musicales se mêlent aux images filmées et projetées. On<br />
croise aussi bien <strong>de</strong>s héros <strong>de</strong> Manga, Tintin, <strong>de</strong>s Powers Rangers que <strong>de</strong>s citations <strong>de</strong> Rebotier, <strong>de</strong>s musiques d’Aperghis ou <strong>de</strong><br />
John Cage... […].<br />
Une boîte à musique géante ?<br />
Tous les fragments musicaux ou visuels et les matériaux que j’ai réunis s’animent, interagissent, sont « détournés » ou bien se<br />
rencontrent dans un nouvel éclairage. […]<br />
On passe du petit au grand, du caché au révélé, on est véritablement dans le jeu, la connivence. […]. Le tout participe à la<br />
construction d’un univers musical et visuel, une histoire commune que nous partageons avec les enfants et les adultes le temps du<br />
spectacle.<br />
Spectacle, performance, exposition vivante, horlogerie musicale et visuelle, boîte à musique géante ? Je ne saurais dire. Terrain<br />
Vague est dans tous les cas une tentative pour relier <strong>de</strong>s souvenirs, <strong>de</strong>s émotions, <strong>de</strong>s références artistiques, en faire une matière<br />
vivante déployée dans un terrain <strong>de</strong> jeu ouvert aux enfants et aux adultes. » Jean-Christophe Feldhandler<br />
Le spectateur est invité au coeur d’un univers enfantin étonnant... Percussions, accordéon, boîte à musique animent <strong>de</strong>s<br />
héros <strong>de</strong> Manga, <strong>de</strong>s trains électriques... et font résonner l’univers musical <strong>de</strong> John Cage et Aperghis pour le bonheur<br />
<strong>de</strong> nos oreilles.<br />
Jean-Christophe Feldhandler<br />
Il est membre du Quatuor Hêlios avec lequel il explore l’œuvre <strong>de</strong> John Cage, Vinko Globokar, Toru Takemitsu, Kaaya Saahriao... Il<br />
est compositeur associé au studio <strong>de</strong> création Césaré à Reims. Son catalogue d’œuvres comprend une vingtaine <strong>de</strong> pièces<br />
instrumentales acoustiques ou mixtes. Jean-Christophe Feldhandler a créé également, à la <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong>s Productions Athénor<br />
Spectacle, Mon navire sur la mer un «micro-opéra» pour la toute petite enfance.<br />
Philippe Charles<br />
Artiste plasticien, il travaille essentiellement sur la vidéo-installation et la photographie. Il vit et travaille à Paris où il développe<br />
« 3015 », une structure associative d’art contemporain disposant d’un lieu ouvert à <strong>de</strong> nombreux autres artistes.<br />
45<br />
MUSEE D’AQUITAINE<br />
cours Pasteur<br />
à partir <strong>de</strong> 4 ans<br />
MUSIQUES /<br />
JEUNE PUBLIC<br />
jeudi 29 novembre à 10 h. / 14 h. 30<br />
(séances scolaires)<br />
vendredi 30 novembre à 10 h. / 14 h. 30<br />
(séances scolaires)<br />
à 19 h. (séance tout public)<br />
tarif : 8 €<br />
Comman<strong>de</strong> d’écriture musicale et production Athénor,<br />
créé à Nates en avril 2005<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Grand-Théâtre<br />
05 56 00 85 95<br />
Kiosque Bor<strong>de</strong>aux Culture<br />
05 56 79 39 56<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Canal Com<br />
05 56 79 70 53 / fax : 05 56 79 26 33<br />
canalcom@club-internet.fr
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles présente :<br />
Hiroaki Umeda<br />
S 20 / Japon<br />
DANSE ET CHOREGRAPHIE Hiroaki Umeda SON ET IMAGE S 20<br />
VIDEO Octavio Iturbe (pour Montevi<strong>de</strong>oaki)<br />
Fascinant et hypnotique<br />
Né au Japon en 1977, Hiroaki Umeda vit à Tokyo. Après <strong>de</strong>s étu<strong>de</strong>s en photographie, fasciné par le travail <strong>de</strong> Saburo Teshigawara,<br />
dont il suivra les cours pendant <strong>de</strong>ux ans, il déci<strong>de</strong> <strong>de</strong> se mettre à la danse à l’âge <strong>de</strong> vingt ans. Virtuose du mouvement, Hiroaki<br />
Umeda signe également la création sonore et visuelle <strong>de</strong> ses pièces. Cet artiste pluridisciplinaire développe un univers à l’esthétique<br />
minimale et radicale, alternant violence et douceur, marqué par un graphisme visuel épuré. Il place sa danse au cœur <strong>de</strong> la matière<br />
électronique et numérique et cherche à révéler ce qui reste d’humain quand on est plongé au coeur <strong>de</strong>s mutations technologiques.<br />
Depuis la fondation <strong>de</strong> S20, sa compagnie, en 2000, Hiroaki Umeda a acquis une dimension internationale. Ses pièces, véritables<br />
révélations, l’ont conduit <strong>de</strong> Rio <strong>de</strong> Janeiro à Montevi<strong>de</strong>o en passant par New York ou Milan.<br />
Au cours <strong>de</strong> cette soirée, 3 pièces <strong>de</strong> ce talentueux danseur-chorégraphe sont proposées :<br />
> Duo, un solo <strong>de</strong> Hiroaki avec son double comme un affrontement.<br />
> Montevidoeaki, vidéo filmée en Uruguay.<br />
> While going to a condition, où l’artiste danse le chaos d’une civilisation désincarnée.<br />
« On relève chez ce Japonais une fluidité dans l’acte même <strong>de</strong> danser, électrisé <strong>de</strong> spasmes chorégraphiques, véritables décharges<br />
d’énergie vitale. Un peu comme une on<strong>de</strong> qui partirait <strong>de</strong>s pieds du danseur pour gagner en amplitu<strong>de</strong> le reste <strong>de</strong> son corps. »<br />
Philippe Noisette<br />
46<br />
LE CARRE DES JALLES<br />
place <strong>de</strong> la République<br />
Saint Médard-en-Jalles<br />
danse / vidéo<br />
vendredi 30 novembre à 20 h. 30<br />
tarifs : 20 € - 15 € - 11 €<br />
DANSES<br />
Production : Théâtre National <strong>de</strong> Chaillot / S20 Soutien :<br />
La chaufferie, Saint-Denis<br />
Renseignements du public<br />
et réservations :<br />
Le Carré <strong>de</strong>s Jalles<br />
05 57 93 18 93<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Valérie Borowyez<br />
05 57 93 18 80<br />
v.borowyez@saint-medard-en-jalles.fr
L’association i-médias présente :<br />
Radio<strong>novart</strong><br />
Le projet Radio<strong>novart</strong> est né <strong>de</strong> la rencontre entre Eric Puech et François Pringuey.<br />
Média créatif, vitrine du festival via le site www.radio<strong>novart</strong>.com, radio<strong>novart</strong> propose :<br />
- Des documents sonores (interviews, chroniques, jingles, agenda) mis en ligne et téléchargeables.<br />
- Des photos <strong>de</strong>s artistes ou spectacles, <strong>de</strong>s textes, <strong>de</strong>s commentaires ou critiques.<br />
Le site est actualisé quotidiennement et interactif.<br />
L’émission en public (émission performative)<br />
Hebdomadaire, d’une durée d’1h30 environ, l’émission se déroule en public (lieu à préciser). Les invités, artistes <strong>de</strong><br />
<strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux <strong>2007</strong> (plasticiens, comédiens, danseurs, metteurs en scène, vidéastes) et programmateurs, diffuseurs,<br />
seront rejoints par <strong>de</strong>s invités liés au festival.<br />
Des artistes <strong>de</strong> la scène locale interviendront dans le programme via <strong>de</strong>s performances : poésie, slam, musique…<br />
Un DJ différent pour chaque soirée est invité à rythmer l’émission par sa sélection musicale.<br />
L’habillage visuel est réalisé à partir <strong>de</strong> photos et vidéos prises tout au long du festival.<br />
Les rubriques<br />
Un agenda, annonce du programme, les news du festival, chroniques diverses drôles et décalées (mo<strong>de</strong>, potins, brèves).<br />
En allant au spectacle, propose un itinéraire original pour se rendre dans l’un <strong>de</strong>s lieux <strong>de</strong> programmation du festival.<br />
Un regard sur la ville, son architecture. Une pause dans un café ou restaurant emblématique, une rencontre avec le<br />
programmateur.<br />
Un artiste dans la ville, un ren<strong>de</strong>z-vous est pris dans un lieu choisi par un artiste programmé dans le festival pour une<br />
conversation, son regard sur la ville.<br />
Huguette Flash, festivalière affûtée, Bâle, Avignon, Kassel, Huguette Colin s’immerge dans Novart Bor<strong>de</strong>aux. Pour<br />
Radio<strong>novart</strong>, Huguette ira <strong>de</strong> spectacles en vernissages à la rencontre <strong>de</strong>s artistes et livrera ses impressions.<br />
Backstage, les coulisses du festival, avant et après les spectacles.<br />
Des surprises<br />
Coaching, les conseils <strong>de</strong> nos coachs (mo<strong>de</strong>, sport, etc.) pour rester en forme tout au long du festival, un jeu…<br />
L équipe <strong>de</strong> Radio<strong>novart</strong> :<br />
Eric Puech (coordinateur) - Delphine Douat, François Pringuey, Stéphane Reine : concepteurs, animateurs, réalisateurs<br />
Joachim Désarmenien : webmaster, webdéveloppeur<br />
47<br />
SUR LA TOILE<br />
DANS LA VILLE<br />
DANS LA CUB<br />
www.radio<strong>novart</strong>.com<br />
en ligne dès octobre et<br />
du 1 er au 30 novembre<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Delphine Douat<br />
06 85 31 71 50<br />
<strong>de</strong>lphine.douat@free.fr<br />
Et aussi<br />
WEBRADIO
L’Office Artistique <strong>de</strong> la Région Aquitaine présente :<br />
Photographies, Frédéric Desmesure<br />
Associé à l’Office Artistique <strong>de</strong> la Région Aquitaine, Frédéric Desmesure anime les cimaises du Molière-Scène<br />
d’Aquitaine en présentant six expositions photographiques par saison qui témoignent <strong>de</strong> la richesse <strong>de</strong> la création<br />
artistique régionale.<br />
Depuis le début <strong>de</strong> la saison <strong>2007</strong>/2008, en partenariat avec la Mairie <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, les vitrines du bâtiment <strong>de</strong> l’ex régie<br />
du Gaz <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, qui font face au Molière-Scène d’Aquitaine, sont le support <strong>de</strong> photographies agrandies.<br />
À l’occasion <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux, quatre photographies d’artistes aquitains seront ainsi apposées sur les vitrines<br />
<strong>de</strong> ce même bâtiment.<br />
Pour mémoire, en novembre 2005, Frédéric Desmesure avait été le témoin privilégié <strong>de</strong> <strong>novart</strong> bor<strong>de</strong>aux et avait<br />
présenté quatre expositions pendant le festival présentant les grands moments <strong>de</strong> la manifestation en cours.<br />
Frédéric Desmesure<br />
Photographe associé à l’Office Artistique <strong>de</strong> la Région Aquitaine <strong>de</strong>puis 2005, cet aquitain d’origine est diplômé <strong>de</strong> l’Ecole<br />
Nationale <strong>de</strong> la Photographie à Arles. Dix huit ans déjà qu’il scrute notre région, témoignant avec acuité <strong>de</strong> notre<br />
quotidien artistique et culturel même si son compagnonnage avec l’agence <strong>de</strong> <strong>presse</strong> Editing à Paris lui permet d’explorer<br />
d’autres horizons, dont a largement témoigné la <strong>presse</strong> nationale (Télérama, l’Express, Libération, l’Humanité…).<br />
Chaque photographie <strong>de</strong> Frédéric Desmesure est une révélation artistique. Les mouvements qu’il capte <strong>de</strong>viennent<br />
chorégraphie, les regards qu’il saisit disent mieux que les mots, et les couleurs qu’il restitue constellent son œuvre d’une<br />
incan<strong>de</strong>scente lumière. Car son talent est lumineux.<br />
Depuis 2005, six expositions ont ainsi illuminé les cimaises du Molière-Scène d’Aquitaine. Qu’elles témoignent <strong>de</strong> la<br />
vitalité artistique <strong>de</strong> l’Opéra National <strong>de</strong> Bor<strong>de</strong>aux, <strong>de</strong> la singularité <strong>de</strong> la démarche artistique <strong>de</strong> la compagnie La<br />
Renverse, du talent <strong>de</strong> Frédéric Maragnani ou <strong>de</strong> Christine Dormoy, <strong>de</strong> l’inventivité <strong>de</strong> la compagnie Paul les Oiseaux ou<br />
<strong>de</strong>s rési<strong>de</strong>nces <strong>de</strong> recherche du Molière-Scène d’Aquitaine, elles portent une caractéristique commune : l’authenticité.<br />
Frédéric Desmesure est au service <strong>de</strong> la communauté artistique, il ne s’en sert pas !<br />
Pour découvrir son travail : http://www.f<strong>de</strong>smesure.com<br />
48<br />
FACE AU<br />
Et aussi<br />
EXPOSITION<br />
MOLIERE-SCENE D’AQUITAINE<br />
33 rue du Temple, Bor<strong>de</strong>aux<br />
du jeudi 1 er novembre<br />
au vendredi 30 novembre<br />
Renseignement du public :<br />
OARA<br />
05 56 01 45 67<br />
Contact <strong>presse</strong> :<br />
Joël Brouch<br />
05 56 01 45 67