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Contes fantastiques
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Contes fantastiques
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un démon qui exprime sa joie par mille<br />
grimaces. »<br />
Nathaniel, le héros de ce conte, est un jeune<br />
homme d’un tempérament fantasque et<br />
hypocondriaque, d’une tournure d’esprit poétique<br />
et métaphysique à l’excès, avec cette organisation<br />
nerveuse plus particulièrement soumise à<br />
l’influence de l’imagination. Il nous raconte les<br />
événements de son enfance dans une lettre<br />
adressée à Lothaire, son ami, frère de Clara, sa<br />
fiancée.<br />
Son père, honnête horloger, avait l’habitude<br />
d’envoyer coucher ses enfants, à certains jours,<br />
plus tôt qu’à l’ordinaire, et la mère ajoutait<br />
chaque fois à cet ordre : Allez au lit, voici le<br />
Sablier qui vient. Nathaniel, en effet, observa<br />
qu’alors, après leur retraite, on entendait frapper<br />
à la porte ; des pas lourds et traînants<br />
retentissaient sur l’escalier ; quelqu’un entrait<br />
chez son père, et quelquefois une vapeur<br />
désagréable et suffocante se répandait dans la<br />
maison. C’était donc le Sablier : mais que<br />
voulait-il, et que venait-il faire ? Aux questions
un démon qui exprime sa joie par mille grimaces. » Nathaniel, le héros de ce conte, est un jeune homme d’un tempérament fantasque et hypocondriaque, d’une tournure d’esprit poétique et métaphysique à l’excès, avec cette organisation nerveuse plus particulièrement soumise à l’influence de l’imagination. Il nous raconte les événements de son enfance dans une lettre adressée à Lothaire, son ami, frère de Clara, sa fiancée. Son père, honnête horloger, avait l’habitude d’envoyer coucher ses enfants, à certains jours, plus tôt qu’à l’ordinaire, et la mère ajoutait chaque fois à cet ordre : Allez au lit, voici le Sablier qui vient. Nathaniel, en effet, observa qu’alors, après leur retraite, on entendait frapper à la porte ; des pas lourds et traînants retentissaient sur l’escalier ; quelqu’un entrait chez son père, et quelquefois une vapeur désagréable et suffocante se répandait dans la maison. C’était donc le Sablier : mais que voulait-il, et que venait-il faire ? Aux questions
de Nathaniel, la bonne répondit, par un conte de nourrice, que le Sablier était un méchant homme qui jetait du sable dans les yeux des petits enfants qui ne voulaient pas aller se coucher. Cette réponse redoubla sa frayeur, mais éveilla en même temps sa curiosité. Il résolut enfin de se cacher dans la chambre de son père, et d’y attendre l’arrivée du visiteur nocturne : il exécuta ce projet, et reconnut dans le Sablier l’homme de loi Copelius qu’il avait vu souvent avec son père. Sa masse informe s’appuyait sur des jambes torses ; il était gaucher, avait le nez gros, les oreilles énormes, tous les traits démesurés, et son aspect farouche, qui le faisait ressembler à un ogre, avait souvent épouvanté les enfants, quand ils ignoraient encore que ce légiste, odieux par sa laideur repoussante, n’était autre que le redoutable Sablier. Hoffmann a tracé de cette figure monstrueuse une esquisse qu’il a voulu sans doute rendre aussi révoltante pour ses lecteurs qu’elle pouvait être terrible pour les enfants. Copelius fut reçu par le père de Nathaniel avec les démonstrations d’un humble respect : ils découvrirent un fourneau secret,
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- Page 3 and 4: Loève-Veimars, traducteur des cont
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- Page 51 and 52: manière aussi folle qu’il fait t
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d’un air de tristesse : Celui-là
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Le majorat
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prairies émaillés. À l’extrém
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ni le seigneur du majorat, qui port
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ienvenu, M. le justicier. Voilà un
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solennel : - C’est donc ici qu’
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sombre que donne le temps, et faisa
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moi-même. C’était sans doute qu
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IV Le lendemain, le travail commen
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Je n’hésitai pas à lui raconter
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Mon oncle pâlit, mais ses yeux bri
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L’image de cette femme charmante
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VI L’estime et le respect que le
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nous étions trouvés pendant les p
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désire. François, après avoir ex
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jeunes fats ; il n’en manque pas.
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- L’organiste a encore passé par
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sento, les regards de Séraphine s
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j’aime. » La chansonnette de la
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sur une glace fragile qui se briser
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me berçait des joies ineffables. A
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courais. Le baron surtout me témoi
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vous voir ? Elle ne veut pas croire
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chasseur, et qu’on le verra, à l
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connaisse. C’est le génie protec
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levez-vous, M. le baron demande à
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tu, pauvre garçon, que tes miséra
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comique qu’elle prête à la rail
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et il quitta la salle en nous souha
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je résolus de n’épargner la vie
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mais une conviction profonde m’ob
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heure ? murmura le baron en marchan
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explosion de sarcasmes que je voyai
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table. Je voulus m’éloigner. Ad
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du domaine de R....bourg ; mais, p
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XIV Enfin les orages de mars avaien
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ce que tu n’as pu savoir. Pour to
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plafond et le plancher de l’obser
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qui tombait sur le plancher. Puis i
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ont failli m’exterminer, je devra
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La chose ne fut pas difficile ; car
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intendant, le remercia de la fidél
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les grosses clefs dans ses doigts,
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souvent des regards méfiants. Mais
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Mon frère est venu ! - Je sais, di
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- Jamais ! s’écria le baron, lor
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un accent presque douloureux : - J
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XIX Le lendemain, à l’heure où
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car il ne pouvait se soutenir. - J
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déposé son testament dans les mai
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aron regardait d’un air d’indif
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gain de cause. XXI Le justicier ava
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harnacher un cheval avec un soin ex
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asseoir. Mais Daniel resta debout,
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V... avait réellement résolu d’
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Hubert. Tous ces documents s’acco
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Enfin, après une longue attente, V
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toiture du château, V... s’écri
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projets. Cette union parut un crime
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coup d’œil sur son fusil. - Le t
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aron en mourra de douleur. Jamais n
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uine. On avait employé une partie
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Un des meilleurs tableaux du célè
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épreuves, et mon ardeur ne put se
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coutume d’entrer fort gravement,
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s’adresser à lui pour qu’il le
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devinrent de plus en plus éclatant
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L’organiste était au piano ; ell
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la Résidence. Laurette était mon
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première poste, où je m’arrêta
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déployaient avec plus d’avantage
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à ma mémoire sur un cheval fougue
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humeur. Cependant je ne pouvais oub
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pressai mille fois contre mes lèvr
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confirma les paroles de Laurette. -
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...................................
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deux sœurs, Laurette et Térésina
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commise dans un concert publique é
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première fois, et ce fut l’accen
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Le bonheur au jeu
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combinaisons hasardeuses du jeu. Le
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disait-on, par une avarice extrême
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aron cessait de jouer, son regard r
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lui peut-être courbé sous la mis
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le combat serait inégal, car ma vi
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L’étranger s’assit sur un banc
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une faveur de la fortune, et bient
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empêche d’observer ces signes et
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au-dessus de vous ; il semble qu’
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egardaient le vieillard avec un ét
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lui pour toujours. « Cette prédic
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qu’un banquier ne doit jamais ren
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la vieille, qui était restée immo
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désespoir, j’accusai le ciel, je
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quelque objet de valeur : j’y vei
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servaient qu’à son plaisir. « Q
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Angela qu’il pourrait arriver des
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Vertua, j’irai demain ! mais perm
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eut toutefois la délicatesse de ne
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« Tandis qu’Angela, de plus en p
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onne famille, qui avait tout perdu
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dans le gain comme dans la perte, r
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mêlant les cartes pour une seconde
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mort de son père qu’Angela connu
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Peu de jours après, on trouva l’
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Quelques affaires m’avaient appel
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qu’un étranger ait pu lire les
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soixante ans ; sa taille était pet
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ne sont pas plus avancés aujourd
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satisfait. - Vous êtes encore dans
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Je fus plus interdit que jamais. -
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ajouta-t-il, je l’ouvris et je lu
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fugitives les passions de la jeunes
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de sommeil, on n’est pas difficil
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- Voilà bien un langage diabolique
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attachement pour ma femme, combatti
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cœur, avant de fuir dans le monde
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l’enceinte de ma ville natale et
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montagne du Blocksberg * . Les sing
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Une lourde calèche, chargée de ba
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aperçu. Une nouvelle vie animait l
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infidèle, assassin, incendiaire, f
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moi, quand même je pourrais vous e
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vous-même. Me connaissez-vous à p
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vers toi comme un spectre. Ne sais-
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encore à l’impression que m’av
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confidences de quelques milliers d
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Le Sanctus
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nullement ; mais il est plus que pr
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Vous ne serez pas inquiété à cau
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maître de chapelle. - Maître de c
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jusqu’au moindre grain de poussi
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placé parmi les ténors. Au moment
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- Seigneur du ciel et de la terre !
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honorées avec toute la pompe chré
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elle prit le cistre qui était susp
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Maure, pour qu’elle entretînt l
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moment critique. La reine, accompag
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l’armée chrétienne ; mais les E
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enversa son cavalier sur la poussi
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grande mosquée pour en faire une c
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voisinage de ma malade, et vous agg
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Cet ouvrage est le 156 e publié da
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E. T. A. Hoffmann (1776-1822) Conte
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Marino Falieri
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obligations à gros intérêts en
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son intelligence ; mais ne vous arr
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l’attendait le Bucentaure. Au mom
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Une petite vieille s’approcha len
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parle, reprit Antonio ; et il conti
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Antonio aperçut en ce moment un pe
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II Le lendemain, dès le matin, tan
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l’inconstance ! Non, Marino : je
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dit le doge, dont les yeux s’anim
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Qui reconnaîtrait dans ce jeune ho
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sais trop bien que je suis né de p
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faire le métier de brocanteur sur
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devint faible et confuse. En revena
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Antonio prit la vieille presque inv
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entraîné vers toi ; mais n’attr
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le peuple les écouta. Bientôt je
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vieux doge Marino Falieri avec sa j
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avissement si quelque autre que lui
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Annunziata frappée du ton et des p
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ami, tu te trompes ; demain, je par
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V Pendant ce temps, le peuple s’
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auprès de Bertuccio, je portais de
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le consume encore ! Peu de jours ap
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Cependant Antonio, que la vue d’A
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Antonio, de me nommer encore votre
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l’arrêter, comme auteur de cette
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moment, un grand bruit se fit enten
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présenté le bouquet du giovedi gr
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air irrité à Piétro. Il se dispo
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d’expliquer à la dogaresse le bu
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oitant, s’assit avec lenteur dans
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ducal, il se sentit tremblant et é
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contre une caste despotique dont la
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pelletier, et le força de lui déc
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d’Annunziata. Antonio se jeta à
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Salvator Rosa
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toutes ces figures féroces, fière
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là, tantôt seuls, tantôt en trou
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de mes efforts. Un vent glacial s
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piano, va sano ; chi va presto, muo
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dépeindre la figure du petit homme
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emballé. C’était un mensonge ;
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peine capable de se mouvoir, tomba
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alors pour la première fois, se je
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est le champ où recueille abondamm
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jeune homme les yeux baissés, lors
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entendez si bien l’art de la pein
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vous avoue sans détour tout ce que
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point une dénomination applicable
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âme ! Antonio était hors de lui-m
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dédain et de mépris que votre ren
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Salvator regarda encore une fois le
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qu’il pensait de Sanzio. « Titie
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s’écartait, revenait, se pinçai
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à un mort dans son tombeau, Messie
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amoureux sont comme les enfants ; i
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vieux Frescobaldi que par-dessus l
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connaissez ma Magdelaine ? - C’é
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louanges, j’allai me présenter a
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Marianna, dit Salvator, est indigne
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emporte dans ses bras son petit cas
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inintelligibles, et se tourna vers
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laissons là ma nièce, et parlons
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dit : - Si je reçois trente ou qua
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Salvator venait de terminer son esq
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contre la muraille, et conjura Capu
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gentilhomme, elle éclata en reproc
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frissonnant de froid, dites-moi si
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état, Marianna poussa des cris aff
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créature, qui était, je crois, le
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Bénie soit la crevasse de la chamb
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Grasso 1 venait couper court à tou
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emplissait l’emploi de Pasquarell
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Odoardo Cecarelli. Le signor Pasqua
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grand ébranlement de la rate. Mari
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pour nous voler nos tableaux ! Le q
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Ah ! Marianna ! ma Marianna ! j’a
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evint tomber sur les diables au mom
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Formica va venir à ton aide. - Sig
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ses petites mains de rose, il jurai
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Pasquale. - Hélas ! j’avais mis
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serrant toujours fortement les jamb
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Nicolo tout effrayé, quel effroyab
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accoururent avec leurs flambeaux. L
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tout proche de la scène, à une pl
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éclat de rire, et s’écria à so
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Capuzzi, de sa place, à demi-voix.
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du théâtre. Sache, mon cher Pasqu
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Mais ses cris ne vinrent pas jusqu
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sur son oreiller, et ne se releva j
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peintre vit qu’il était temps de
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moi, comme ravisseur de sa nièce.
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l’académie. On le reçut avec de
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enlevé la belle Marianna, nièce d
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Capuzzi s’agitait sur son siège,
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moi, Pietro ! laisse-moi ! À ces m
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Salvator Rosa, que les Romains n’
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La leçon de violon
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sur la libéralité presque incroya
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Jamais je n’avais ressenti autant
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nouveaux quartetti de Haydn, qui é
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archet ne pouvait servir qu’au gr
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souriant : - Tu peux t’en tenir a
- Page 587 and 588:
leur côté, qui les réveillât de
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questions sur le talent du baron, l
- Page 591 and 592:
montra la manière dont il fallait
- Page 593 and 594:
jusqu’au fond de l’âme ? Tu n
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l’enthousiasme qui m’animait po
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Quiconque a vu la ville commerçant
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d’une beauté merveilleuse, qui t
- Page 601 and 602:
de la foule mouvante eurent bientô
- Page 603 and 604:
disant ces mots, il avait pris la m
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cour d’Artus du plus mauvais goû
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épondre. Tout ce que le jeune homm
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avait copié jadis le vieux bourgue
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Celui-ci s’approcha vivement du v
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l’église de Saint-Johannis. - Po
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ien lui montrer ses tableaux. Le vi
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Mais pourquoi détourner tes regard
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yeux du jeune Berklinger se remplir
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dans la soirée. En pénétrant dan
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que tous les négociants tournèren
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Dorine le regardait en souriant. So
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du Carlsberg, le nom de Sorrente ?
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Gluck
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viennent tourmenter leurs auditeurs
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interrompue : elle consistait à se
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son front, et son doigt levé annon
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ne vous comprends pas encore. - Alo
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éternel, à ce qui est indicible !
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m’entraînait vers lui. - Il rele
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doivent au moins vous satisfaire. -
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Bien ! vigoureusement ! Oui, oui, i
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l’ameublement l’aspect affligea
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le thème avec une agréable voix d
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Don Juan
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que deux personnes, trois au plus ;
- Page 655 and 656:
violemment. Et quelle voix ! écout
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eauté flétrie, vient se plaindre
- Page 659 and 660:
paroles pour exprimer mon étonneme
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La clochette du théâtre retentit
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inutilement, don Juan ! Il semble q
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demandé ; il trouve ma chambre vid
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prodigua tous les dons qui rapproch
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selon les idées bourgeoises ; le d
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de don Juan ! Avec quelle vivacité
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UN HOMME BASANÉ Oui, oui ! je l’
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L’Homme au Sable
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sombres pressentiments d’un aveni
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des histoires merveilleuses, et ses
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étouffées par mes larmes : l’Ho
- Page 683 and 684:
extrême, et, quittant la chambre a
- Page 685 and 686:
nous choquait tout particulièremen
- Page 687 and 688:
porte d’une armoire, et je vis qu
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être ; je ne sentis plus rien. Une
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me laissai entraîner dans ma chamb
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quoi qu’il en arrive. Ne parle po
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pressentiments au sujet de Coppeliu
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traîtreusement en notre sein ses g
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III Nathanaël à Lothaire. Je suis
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porte de verre, était un peu écar
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des paroles pour rendre sa pensée.
- Page 705 and 706:
trouver ressemblant sans qu’on ai
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silencieuse et modeste, le regard p
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si tu ne le bannis de ta pensée :
- Page 711 and 712:
amour tendre et fidèle ; mais au m
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ses prévisions et de ses rêves. D
- Page 715 and 716:
placés vis-à-vis l’un de l’au
- Page 717 and 718:
Nathanaël s’installa. Il ne rema
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feux prismatiques. Des milliers d
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fenêtre, comme par un charme. Le b
- Page 723 and 724:
amour, ne t’es-tu donc levé que
- Page 725 and 726:
argentine, qu’elle ressemblait au
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volontiers égorgé quiconque se f
- Page 729 and 730:
vacillantes, lui donnait l’appare
- Page 731 and 732:
l’autre ! Sigismond vit bien où
- Page 733 and 734:
autrefois. Sa mère, Lothaire, tous
- Page 735 and 736:
satisfaction d’une manière non
- Page 737 and 738:
violemment, qu’il tomba à la ren
- Page 739 and 740:
VIII Avant que de m’occuper de l
- Page 741 and 742:
pénible et profond. Il ouvrit les
- Page 743 and 744:
les deux amants se trouvèrent prè
- Page 745 and 746:
peu, il descendra tout seul ! - Et
- Page 747 and 748:
Quand on faisait mention du dernier
- Page 749 and 750:
J’avoue, s’écria en riant notr
- Page 751 and 752:
de la Katzbach, d’Ulm et de celle
- Page 753 and 754:
iller quelques pâles rayons de la
- Page 755 and 756:
Le vieillard murmura quelques parol
- Page 757 and 758:
expirerais de froid ! - Mais que fa
- Page 759 and 760:
fanaux qu’on y avait allumés for
- Page 762:
Table Marino Falieri ..............
- Page 765 and 766:
E. T. A. Hoffmann Contes fantastiqu
- Page 767 and 768:
L’œuvre de E.T.A. Hoffmann a par
- Page 769 and 770:
I Le vent grondait dans les airs, a
- Page 771 and 772:
secrète disposition à la terreur.
- Page 773 and 774:
souvent à nous par des accords sin
- Page 775 and 776:
- Tu me feras donc plaisir de racon
- Page 777 and 778:
surnaturelles ? dit Dagobert. Le so
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échauffé le cœur d’un robin ;
- Page 781 and 782:
- Oh ! que je me réjouis ! s’éc
- Page 783 and 784:
eaux chevaux avec enthousiasme, tan
- Page 785 and 786:
non ! si la mort que j’appelle ne
- Page 787 and 788:
Aussitôt nous entendîmes un coup
- Page 789 and 790:
chansons françaises, et agitait se
- Page 791 and 792:
eaucoup maintenant d’hommes qui e
- Page 793 and 794:
tendrement. J’ai lu aujourd’hui
- Page 795 and 796:
l’injustice qu’il y avait eu à
- Page 797 and 798:
nouveau Kalaf * , et je lui souhait
- Page 799 and 800:
endent un homme heureux ; et il n
- Page 801 and 802:
dit Angélique ; il s’y trouvait
- Page 803 and 804:
aperçut Angélique baignée de ple
- Page 805 and 806:
enfantines, à un amour caché, que
- Page 807 and 808:
- Vous pâlissez comme la première
- Page 809 and 810:
d’obstination ; elle pleure, elle
- Page 811 and 812:
passera bientôt, car j’ai pris d
- Page 813 and 814:
table avec les hommes, tandis qu’
- Page 815 and 816:
comprennent pas la grandeur d’âm
- Page 817 and 818:
cercle. Une lettre du colonel, adre
- Page 819 and 820:
jeunesse. Sa mère était auprès d
- Page 821 and 822:
notre repos ! s’écria la baronne
- Page 823 and 824:
tournant vers le colonel : - Tout s
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apidité sans égale. - Elle a perd
- Page 827 and 828:
voix sourde. Il a été frappé d
- Page 829 and 830:
servait. Ainsi j’étais dans les
- Page 831 and 832:
d’ordinaire chez sa nation. Il pa
- Page 833 and 834:
disposait de mes pensées, et, dans
- Page 835 and 836:
liens merveilleux. Le mariage d’A
- Page 837 and 838:
terminées. - Sa prédiction se ré
- Page 839 and 840:
initiée dans des mystères dont la
- Page 841 and 842:
tout ce qui vous paraît surnaturel
- Page 843 and 844:
Zacharias Werner
- Page 845 and 846:
entièrement perdu dans mon esprit
- Page 847 and 848:
à prendre tous les rôles dans les
- Page 849 and 850:
des leçons d’écriture qu’il d
- Page 851 and 852:
cela n’était que le prologue d
- Page 853 and 854:
incrédule et d’une façon si div
- Page 855 and 856:
quelques pas dans la chambre, il s
- Page 857 and 858:
ne part qu’avec plus de rapidité
- Page 859 and 860:
témoignaient que le poète n’ava
- Page 861 and 862:
chêne antique où il les avait sus
- Page 863 and 864:
souviens encore vivement d’un pas
- Page 865 and 866:
d’ingénieux sophismes pour les f
- Page 867 and 868:
- Je passe, dit Théodore, sur l’
- Page 869 and 870:
camarades de collège le sifflent o
- Page 871 and 872:
l’auréole de gloire des saints !
- Page 873 and 874:
la chambre voisine ; il revint, por
- Page 875 and 876:
même couler le sang de son propre
- Page 877 and 878:
L’église des jésuites
- Page 879 and 880:
communiquer ce qu’on éprouve, tu
- Page 881 and 882:
communiquai au professeur. - Il est
- Page 883 and 884:
Beaucoup de tourments, - un mur con
- Page 885 and 886:
ceux que nous possédons. C’est l
- Page 887 and 888:
voulait tracer sa grande esquisse ;
- Page 889 and 890:
fidèlement, tantôt en me tenant a
- Page 891 and 892:
dit-il, un jeu d’enfant n’est p
- Page 893 and 894:
L’homme sage ne songe pas à bris
- Page 895 and 896:
toute la peine possible pour faire
- Page 897 and 898:
puisque notre Berthold vous intére
- Page 899 and 900:
propositions avec horreur ; j’ai
- Page 901 and 902:
les forces créatrices de l’homme
- Page 903 and 904:
indispensable pour les faire subsis
- Page 905 and 906:
parties de paysage dans le voisinag
- Page 907 and 908:
pour lui, il pensait qu’il manqua
- Page 909 and 910:
le diable. Je sais fort bien qu’i
- Page 911 and 912:
genre de l’histoire, et pour ne p
- Page 913 and 914:
ois. Écoutez ! Écoutez ! Entendon
- Page 915 and 916:
gracieux et de plus pur que ce trai
- Page 917 and 918:
Florentin entra dans la grotte et f
- Page 919 and 920:
aux cris de : Viva la santa fede, c
- Page 921 and 922:
par un miracle. Oh ! je te connais
- Page 923 and 924:
voulut surmonter cette influence en
- Page 925 and 926:
- L’histoire de Berthold a quelqu
- Page 927 and 928:
Ma voiture était réparée, je qui
- Page 929 and 930:
Histoire du temps de Louis XIV Le c
- Page 931 and 932:
de portier, était allé dans son p
- Page 933 and 934:
Il faut que je parle à votre demoi
- Page 935 and 936:
marches, il s’écria : - Conduise
- Page 937 and 938:
- Ah ! vous avez raison, la Martini
- Page 939 and 940:
hier soir de la noce. - J’arrive
- Page 941 and 942:
epassèrent ensemble toutes les cir
- Page 943 and 944:
tous ses ennemis. Il se fit l’él
- Page 945 and 946:
l’arsenal de meurtre de cet assas
- Page 947 and 948:
le roi nomma une cour de justice sp
- Page 949 and 950:
l’inquisition ; le plus léger so
- Page 951 and 952:
age pour arracher des aveux aux acc
- Page 953 and 954:
qui passe tout près de moi sans m
- Page 955 and 956:
lesquels on ne peut nourrir le moin
- Page 957 and 958:
nouveau Thésée, de combattre ce m
- Page 959 and 960:
dans ce peu de mots, et qui effaça
- Page 961 and 962:
contemplait les bracelets et jurait
- Page 963 and 964:
nous garder un gracieux souvenir.
- Page 965 and 966:
Mademoiselle de Scudéry remit la c
- Page 967 and 968:
était presque impossible d’obten
- Page 969 and 970:
- Mais songez donc, maître Cardill
- Page 971 and 972:
dit-on, et qu’il livre exactement
- Page 973 and 974:
elle s’avança vers Cardillac : M
- Page 975 and 976:
grand âge, qu’avons-nous l’une
- Page 977 and 978:
Je ne me servirai cependant jamais
- Page 979 and 980:
carrosse de madame de Montausier, d
- Page 981 and 982:
dépendent. Si vous ne le faites, d
- Page 983 and 984:
prévenu un événement funeste, un
- Page 985 and 986:
- Il est arrivé quelque chose d’
- Page 987 and 988:
Elle essayait quelquefois de racont
- Page 989 and 990:
usure, et comme il l’avait choisi
- Page 991 and 992:
premier résultat était de trouble
- Page 993 and 994:
que je montre clairement à vos yeu
- Page 995 and 996:
aux vieilles gens. Il était à peu
- Page 997 and 998:
qu’Olivier Brusson est arrêté,
- Page 999 and 1000:
que l’avait fait La Reynie, mais
- Page 1001 and 1002:
avidement des couleurs pour en char
- Page 1003 and 1004:
mystère, la foi en l’innocence d
- Page 1005 and 1006:
outrée d’indignation, dois-je se
- Page 1007 and 1008:
ouvrit. Un frisson glacial s’empa
- Page 1009 and 1010:
- Au nom de tous les saints ! s’
- Page 1011 and 1012:
- Sans doute, répondit Olivier ave
- Page 1013 and 1014:
- Pauvre Anne ! pauvre Anne ! s’
- Page 1015 and 1016:
homme a-t-il aimé ainsi ! et maint
- Page 1017 and 1018:
cour qu’enceint le mur. J’aper
- Page 1019 and 1020:
est à terre. Je me mets à genoux
- Page 1021 and 1022:
qui avait eu lieu sur la place mêm
- Page 1023 and 1024:
de l’honneur pour toi à travaill
- Page 1025 and 1026:
cela que consistait sa sécurité,
- Page 1027 and 1028:
étoile qui te poussa à me suivre,
- Page 1029 and 1030:
entraîna ma mère qui tomba avec l
- Page 1031 and 1032:
occasions ; aucune serrure ne rési
- Page 1033 and 1034:
visions que créait mon cerveau, j
- Page 1035 and 1036:
sourire céleste, où se réfléchi
- Page 1037 and 1038:
ses archers qui le méritent bien.
- Page 1039 and 1040:
pauvre et innocente Madelon, si le
- Page 1041 and 1042:
loin de là, dans un angle obscur.
- Page 1043 and 1044:
Martinière, et quelques instants a
- Page 1045 and 1046:
toutes ses lueurs d’espérance s
- Page 1047 and 1048:
de l’innocent ; mais son espoir f
- Page 1049 and 1050:
tard, et à une heure inaccoutumée
- Page 1051 and 1052:
me débarrassai de ses mains, et je
- Page 1053 and 1054:
pour celui qui avait emporté le ca
- Page 1055 and 1056:
VIII Il s’agissait alors de s’a
- Page 1057 and 1058:
Madelon, la profonde impression que
- Page 1059 and 1060:
Trottant alors, aussi vite qu’ell
- Page 1061 and 1062:
peut-être aussi ne vit-il plus dev
- Page 1063 and 1064:
Patru, qui habitait le plus bas ét
- Page 1065 and 1066:
Madelon. - Bontemps vous comptera m
- Page 1067 and 1068:
laborieux, et qui était un assassi
- Page 1069 and 1070:
Maître Martin, le tonnelier et ses
- Page 1071 and 1072:
êves que font naître en toi les v
- Page 1073 and 1074:
I Comment maître Martin fut élu s
- Page 1075 and 1076:
Paumgartner un peu étonné, allons
- Page 1077 and 1078:
emplirai mon devoir avec zèle et d
- Page 1079 and 1080:
pauvre maison ? Ne sais-je pas qu
- Page 1081 and 1082:
soit encore permis de citer un jeun
- Page 1083 and 1084:
sculptures. À peine les deux vieil
- Page 1085 and 1086:
impétueux comme un jeune homme, pr
- Page 1087 and 1088:
ouvrirais amicalement la porte et j
- Page 1089 and 1090:
loge jamais que l’esprit le plus
- Page 1091 and 1092:
digne seigneur ? Voyez comme notre
- Page 1093 and 1094:
s’éloigner à son tour : - Je ne
- Page 1095 and 1096:
les vues du ciel qui inspirera à v
- Page 1097 and 1098:
frayeur, lorsque la vieille se mit
- Page 1099 and 1100:
ne vois pas ce que la chanson proph
- Page 1101 and 1102:
Un homme se sera blessé dans mon a
- Page 1103 and 1104:
vers la vallée. Il cueillit quelqu
- Page 1105 and 1106:
Frédéric baissa les yeux, et dit
- Page 1107 and 1108:
âme, qui répète comme un écho t
- Page 1109 and 1110:
mais... - Alors tout espoir n’est
- Page 1111 and 1112:
maison de maître Martin. Le lendem
- Page 1113 and 1114:
cœur s’était senti porté vers
- Page 1115 and 1116:
moindre jalousie, si la tienne éta
- Page 1117 and 1118:
habits de fête, le nez et les joue
- Page 1119 and 1120:
places au bas bout de la table ; ma
- Page 1121 and 1122:
souriait avec douceur. - Chère Ros
- Page 1123 and 1124:
se prit à dire que s’il se trouv
- Page 1125 and 1126:
agitant le grand verre qui servait
- Page 1127 and 1128:
l’atelier de maître Martin, celu
- Page 1129 and 1130:
dont l’ardeur durcit dans son sei
- Page 1131 and 1132:
épondit le jeune homme, mais je le
- Page 1133 and 1134:
de vigoureux compagnons pour vos gr
- Page 1135 and 1136:
la charmante demoiselle nous honore
- Page 1137 and 1138:
faux accords, tantôt de faux enjol
- Page 1139 and 1140:
sortes d’exercices, ils entendire
- Page 1141 and 1142:
ecevez donc en signe d’honneur ce
- Page 1143 and 1144:
n’avoir point d’yeux ; il faudr
- Page 1145 and 1146:
comprends tout ce qu’il dit, et c
- Page 1147 and 1148:
détour, lequel des trois a su vous
- Page 1149 and 1150:
me la faire. Voyez donc, voilà jus
- Page 1151 and 1152:
frappé, il se retourna vivement et
- Page 1153 and 1154:
amis, leur dit celui-ci, ne vous d
- Page 1155 and 1156:
accablé de douleur, errer près du
- Page 1157 and 1158:
Frédéric, lui dit-il, que penses-
- Page 1159 and 1160:
des tableaux d’Italie, et je rés
- Page 1161 and 1162:
les plus cruelles blessures ! Fréd
- Page 1163 and 1164:
offensé. Tu penses sans doute que
- Page 1165 and 1166:
croisa ses bras, et dit d’un ton
- Page 1167 and 1168:
ougissant et murmurait : « Avez-vo
- Page 1169 and 1170:
que Frédéric ne travaillât plus
- Page 1171 and 1172:
des tourments. Il était forcé de
- Page 1173 and 1174:
d’anges. Le fond de la coupe éta
- Page 1175 and 1176:
métiers avec leurs femmes, les ma
- Page 1177 and 1178:
cesser votre surprise, dit Spangenb
- Page 1179:
À table, Frédéric fut assis entr
- Page 1183 and 1184:
Cet ouvrage est le 184 e publié da
- Page 1185 and 1186:
E. T. A. Hoffmann (1776-1822) Conte
- Page 1187 and 1188:
La femme vampire
- Page 1189 and 1190:
oncle, briller dans les cercles de
- Page 1191 and 1192:
quitter la résidence et de se réf
- Page 1193 and 1194:
attentions était pour lui du plus
- Page 1195 and 1196:
du cimetière, la figure tournée v
- Page 1197 and 1198:
- Non, jamais, jamais ! s’écria-
- Page 1199 and 1200:
animées, étaient de glace, et Aur
- Page 1201 and 1202:
qu’elle ressentait pour l’étra
- Page 1203 and 1204:
souquenille sale, les bras et la po
- Page 1205 and 1206:
fuir depuis le départ du détestab
- Page 1207 and 1208:
Aurélie était obligée de reconna
- Page 1209 and 1210:
défigurés étaient les indices du
- Page 1211 and 1212:
nouvelles inquiétudes sur la sant
- Page 1213 and 1214:
coucher après avoir préparé le t
- Page 1215 and 1216:
de viande cuite, et que la comtesse
- Page 1217 and 1218:
En 1551, un homme d’un extérieur
- Page 1219 and 1220:
frapper aux portes. Quand on ouvrai
- Page 1221 and 1222:
villes, parce qu’il n’avait tro
- Page 1223 and 1224:
point cet avis sans terreur, et sou
- Page 1225 and 1226:
Barbara Rollofin en accusation ; ma
- Page 1227 and 1228:
moins, Satan, au secours ! mon temp
- Page 1229 and 1230:
Le jour de Noël Au vingt-quatre d
- Page 1231 and 1232:
grand plaisir. Quand il venait, le
- Page 1233 and 1234:
temps perdu ! - Mon écurie, reprit
- Page 1235 and 1236:
de Noël, et alors tu comprendras c
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d’argent aussi. Les enfants voula
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Fritz comprit cela. Au bout d’un
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Mais la mère s’avança, se fit m
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laide et une bien vilaine casquette
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joyeusement craquer des noix, et se
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Noisette, elle lui enveloppa son me
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et avait placé la nouvelle poupée
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avec les rudes soldats ; mais c’e
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autour un murmure, un chuchotement,
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commençait à reprendre courage, l
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emplissait de mouvement. De petites
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fort du pied et fit des gestes si v
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- Général, je connais votre expé
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Trudchen. Et elles se tinrent embra
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souris, si un maudit capitaine enne
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souris, au beau milieu de son armé
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- Ah ! petite mère, tu vois bien,
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pendule, et que tu la couvrais avec
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te faire une grande joie. Et puis i
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Conte de la noix dure La mère de P
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invita les rois et les princes à v
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comme une sœur ; elle la voyait de
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- Trop peu de lard ! Alors la reine
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Mauserink, et savait parfaitement q
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particulières, placée tout près
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Pirlipat, dévissa ses pieds mignon
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amande de la noix krakatuk ! La noi
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comme l’arrêt le portait, un moy
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dame Mauserink et de la noix krakat
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sur la coquille de la noix. La joie
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celui qui cassera la noix sous ses
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la noix krakatuk et devenir mon ép
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- Ô krakatuk ! noix dure ! c’est
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voulait ne pas ménager le roi des
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et ses vassaux allaient s’animer
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qu’elle avait vue, et fut souvent
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- Ah ! voici les souris, les souris
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Marie fut très consternée ; elle
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- Oui, dit la mère, et en même te
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périra ; il sera rongé ! Hi ! hi
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- Ah ! très estimable demoiselle S
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La nuit suivante, Marie, pleine de
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le fit d’autant plus volontiers,
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lanc, de brun et de rose. Mais Mari
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à peine eut-elle pris place que le
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C’est Pain-d’Épice, ville qui
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- Ah ! s’écria Marie, c’est un
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l’air ! En avant ! en avant ! Mai
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dit Casse-Noisette, mais voici la c
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messieurs et des dames en belle toi
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peuple, et il en est tellement redo
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quatre dames presque aussi grandes
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délicates et blanches comme la nei
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- Mais comment peut-on dormir ainsi
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couronnes du roi des rats, que le j
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Alors le médecin consultant prit l
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vitrée et regardait, plongée dans
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La noix tombait en morceaux. Marie
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Ainsi finit le conte de Casse-Noise
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Vers 1789 ou 1790 demeurait à Berl
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avec une certaine malice au chef d
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homme sans expérience disparut en
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qui étaient alors dans toute leur
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vous ne vous entendez pas à le con
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variations que Haak avait composée
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ce à quoi je consentis volontiers.
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part, mais tu me parais un petit é
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jouerai du violon avec toi durant u
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Son archet tremblant monta et desce
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deux ducats. Je ne pus m’empêche
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Ainsi les leçons du baron me valur
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L’orage grondait, annonçant l’
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élever dans notre âme une terreur
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si profond et si éternel, si les c
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n’ai été ni à Ceylan ni dans l
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econnurent là l’appel des esprit
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Dagobert comprit le côté pénible
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Angélique, permettez à notre ami
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hurlant autour de la chambre. Il gr
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chose d’effrayant. Et cependant j
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l’attention de mon esprit, tourn
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tremblant de tous ses membres, inca
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quelquefois partir près de moi un
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- Qui ai-je le plaisir de recevoir
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- Soyez le bienvenu dans ma maison,
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moqueur ; et il répondit les yeux
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plus en vérité comment la chose p
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Le comte étalait dans sa conversat
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comprendre que j’étais un peu su
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apparaissent d’une manière fatal
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des plantes et des fleurs étrangè
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Le grand écuyer avait entendu ces
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les yeux du comte, c’était sa ma
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toute la colère, toute la résista
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la colonelle sur son cœur, tout en
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main froide sur sa poitrine, dépos
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la nuque et le creux de l’estomac
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malheur quelconque qui menace mon a
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que je dois au comte, mes biens son
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chaleur la plus entraînante des ha
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- Tu as, ma chère enfant, lui disa
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troubler toutes nos joies ? Se trou
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espiration était arrêtée ! Le m
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jusqu’à son moindre souffle. Cel
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À la porte du château seulement l
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Aucun des invités n’était rest
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m’être commode ou agréable éta
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etenir. Un autre être se plaçait
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cela pour me retenir captif dans so
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- Plus de doute, c’est lui, c’e
- Page 1457 and 1458:
- C’est la vérité, dit le gén
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voulu reculer pour vous les bornes
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chuchotait sans cesse le nom à l
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colonelle avec des regards brillant
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Le vœu
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Le vieillard sourit finement et d
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consentit également à respirer l
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Quand la maîtresse de la maison vi
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celui de Célestine, attendra chez
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Le bourgmestre avait comparé cette
- Page 1477 and 1478:
n’auraient pu reconnaître les tr
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et bien constitué. Cet événement
- Page 1481 and 1482:
l’étrangère, mais elle répondi
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que je partage ta folie ? Et il rep
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pendants ! Ne pouvant supporter la
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prématurément au tombeau par la s
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affaires de l’État, et dont les
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Herménégilde, dont le cœur froid
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- Non, disait-elle, je ne savais pa
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prodiguait les noms les plus doux,
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d’Herménégilde. - C’est le pl
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ajouta que le malheur qui l’accab
- Page 1501 and 1502:
- Oh ! s’écria-t-elle, maudites
- Page 1503 and 1504:
comptais vous entendre encore parle
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son sang et à lutter avec succès
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emplacer Stanislas. Il ne pensa plu
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d’elle, et il arriva qu’elle pa
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sinistre tumulte et un bruit de cou
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VIII Le comte Népomucène crut ave
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joues et des lèvres d’Herménég
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l’esprit quand ma fille s’est p
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lui dit d’un ton pénétrant : -
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dire à la pauvre enfant, et quel n
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conserver sa réputation, elle deva
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Herménégilde est libre ; aucun ob
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prompt départ d’Herménégilde.
- Page 1529 and 1530:
X Xavier retourna en courant au ch
- Page 1531 and 1532:
tout s’arrangera. En ce moment s
- Page 1533 and 1534:
un voyage en Italie, accompagnée e
- Page 1535 and 1536:
Pausilippe. Là, au milieu de la pl
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Le Sanctus
- Page 1539 and 1540:
en colère, dites-moi au moins la p
- Page 1541 and 1542:
connais pas du tout l’organiste d
- Page 1543 and 1544:
chatouillement, ni enfin comme un p
- Page 1545 and 1546:
- Maître de chapelle ! j’ai vu u
- Page 1547 and 1548:
- Oh ! s’écria le docteur en ria
- Page 1549 and 1550:
presque plus avaler une tasse de th
- Page 1551 and 1552:
- Vous disiez, maître de chapelle,
- Page 1553 and 1554:
pensais à rien de positif en prono
- Page 1555 and 1556:
- Pour vous, maître de chapelle, r
- Page 1557 and 1558:
fut disposé en cloître et en égl
- Page 1559 and 1560:
ienveillantes ; mais elle, comme si
- Page 1561 and 1562:
image de la sainte Vierge. Le lende
- Page 1563 and 1564:
pas attention, et, au grand scandal
- Page 1565 and 1566:
tous, frappés d’un frisson myst
- Page 1567 and 1568:
espérant que le malheur des chrét
- Page 1569 and 1570:
espagnols, jusque sous les murs de
- Page 1571 and 1572:
tribu d’Alhamar, à qui tu as rav
- Page 1573 and 1574:
- Est-ce que Hichem me craint, ou r
- Page 1575 and 1576:
la cathédrale, où l’office éta
- Page 1577 and 1578:
L’enthousiaste venait de terminer
- Page 1580:
Table La femme vampire ............
- Page 1583 and 1584:
E. T. A. Hoffmann Contes fantastiqu
- Page 1585 and 1586:
Émile de La Bédollière a traduit
- Page 1587 and 1588:
Première veillée Les malheurs arr
- Page 1589 and 1590:
avaient donné à cette ridicule av
- Page 1591 and 1592:
quelques pas, coulaient et bruissai
- Page 1593 and 1594:
mopse alerte qui flaire tout autour
- Page 1595 and 1596:
agitaient leurs petites ailes en vo
- Page 1597 and 1598:
l’entouraient, et en dansant en c
- Page 1599 and 1600:
Deuxième veillée Comment l’étu
- Page 1601 and 1602:
Alors il ramassa la pipe et le sac
- Page 1603 and 1604:
nous attendons ici près de l’eau
- Page 1605 and 1606:
s’éleva dans son cœur un combat
- Page 1607 and 1608:
tout naturellement endormi là sous
- Page 1609 and 1610:
tout à fait inutiles, attendu que
- Page 1611 and 1612:
Je parle ici de l’archiviste Lind
- Page 1613 and 1614:
Dans la nuit, il ne vit que des tha
- Page 1615 and 1616:
tira de telle sorte qu’un tinteme
- Page 1617 and 1618:
Troisième veillée Nouvelles de la
- Page 1619 and 1620:
- Beau jeune homme, sois à moi pou
- Page 1621 and 1622:
et en respirant sa vapeur empoisonn
- Page 1623 and 1624:
savant ? lui demanda-t-on de tous c
- Page 1625 and 1626:
le hasard seul l’avait délivré
- Page 1627 and 1628:
de la raison Anselme était un bien
- Page 1629 and 1630:
Quatrième veillée Mélancolie de
- Page 1631 and 1632:
ois et les forêts, et alors, comme
- Page 1633 and 1634:
habitude, un grand homme long et se
- Page 1635 and 1636:
pourrez dire et surtout penser de m
- Page 1637 and 1638:
ûlant, et les rayons formèrent en
- Page 1639 and 1640:
yeux brillants de lumière, qui s
- Page 1641 and 1642:
- Il peut s’être envolé aussi e
- Page 1643 and 1644:
digérer. - Chut, continua le greff
- Page 1645 and 1646:
- Mille compliments, je vous prie,
- Page 1647 and 1648:
êves ; toutefois une apparition en
- Page 1649 and 1650:
disait Véronique, qui toute trembl
- Page 1651 and 1652:
sans aucun danger, suite d’un cou
- Page 1653 and 1654:
jusqu’au lendemain au lever du so
- Page 1655 and 1656:
allait s’échapper de sa poitrine
- Page 1657 and 1658:
- Je sais ce que tu viens me demand
- Page 1659 and 1660:
ses bras, et qui t’a soignée et
- Page 1661 and 1662:
père. Eh bien ! si tu veux sérieu
- Page 1663 and 1664:
toutes les folles aventures dont il
- Page 1665 and 1666:
jusqu’au toit des plantes rares e
- Page 1667 and 1668:
l’archiviste, mais en passant je
- Page 1669 and 1670:
L’archiviste Lindhorst se tourna
- Page 1671 and 1672:
este dépend peut-être du mauvais
- Page 1673 and 1674:
fait il travaillait avec d’admira
- Page 1675 and 1676:
se leva sans rien dire, et l’arch
- Page 1677 and 1678:
- Eh ! mon cher monsieur Anselme, p
- Page 1679 and 1680:
manteau sur ses épaules, et se gli
- Page 1681 and 1682:
pleuvait plus, mais l’orage étai
- Page 1683 and 1684:
lâcha la main de Véronique, prit
- Page 1685 and 1686:
à une statue de marbre. En face d
- Page 1687 and 1688:
au fond, qu’y vois-tu donc, qu’
- Page 1689 and 1690:
ne m’a fait mal que l’éternell
- Page 1691 and 1692:
- Ah ! c’est vous, mademoiselle P
- Page 1693 and 1694:
l’avaient rempli d’étonnement
- Page 1695 and 1696:
vous pourriez tomber sur le nez ! H
- Page 1697 and 1698:
tomber plein de respect à genoux d
- Page 1699 and 1700:
épines jaillissaient des troncs ;
- Page 1701 and 1702:
pensée le fit trembler. - Ah ! ne
- Page 1703 and 1704:
Plein d’un ardent désir, il serr
- Page 1705 and 1706:
non seulement il conservera la mém
- Page 1707 and 1708:
de là viennent souvent les caprice
- Page 1709 and 1710:
nature innocente a déjà détruit
- Page 1711 and 1712:
paisible, se mit à chanter la chan
- Page 1713 and 1714:
de son amour et lui dire qu’elle
- Page 1715 and 1716:
ses malices et ses gentillesses que
- Page 1717 and 1718:
ecteur Paulmann entra dans la chamb
- Page 1719 and 1720:
d’or : il lui sembla qu’il deva
- Page 1721 and 1722:
que nous préparez-vous encore ? -
- Page 1723 and 1724:
jetèrent en l’air en poussant de
- Page 1725 and 1726:
Il voulait la prendre dans ses bras
- Page 1727 and 1728:
- Comment l’archiviste peut-il s
- Page 1729 and 1730:
Hélas ! il était assis dans une b
- Page 1731 and 1732:
ou chancelle dans la chambre, tu na
- Page 1733 and 1734:
monsieur le Studiosus, pourquoi vou
- Page 1735 and 1736:
- Ah ! soupira l’étudiant, ils n
- Page 1737 and 1738:
carré que toi, va ronger la planch
- Page 1739 and 1740:
Il sembla à Anselme entendre dans
- Page 1741 and 1742:
en sortant des feuilles de parchemi
- Page 1743 and 1744:
avait causé son malheur, regardait
- Page 1745 and 1746:
l’un contre l’autre jusqu’à
- Page 1747 and 1748:
porte, se dit le recteur Paulmann
- Page 1749 and 1750:
dans la chambre du recteur, qui ne
- Page 1751 and 1752:
iller en l’ouvrant une paire de b
- Page 1753 and 1754:
j’abjure tous les artifices de Sa
- Page 1755 and 1756:
longtemps. - Halte ! s’écria-t-i
- Page 1757 and 1758:
glissais çà et là comme un homme
- Page 1759 and 1760:
onnes choses sur moi et sur ma chè
- Page 1761 and 1762:
Et il me conduisit à travers des j
- Page 1763 and 1764:
Des hyacinthes enflammées, des tul
- Page 1765 and 1766:
yeux, et elle regarde Anselme en di
- Page 1767 and 1768:
et évidemment écrit de ma main, s
- Page 1770 and 1771:
Cet ouvrage est le 361 e publié da
- Page 1772 and 1773:
E. T. A. Hoffmann (1776-1822) Conte
- Page 1774 and 1775:
Le cœur de pierre
- Page 1776 and 1777:
que je suis disposé à te raconter
- Page 1778 and 1779:
fenêtres donnent sur le grand salo
- Page 1780 and 1781:
la fantaisie maladive d’une âme
- Page 1782 and 1783:
Le vieux monsieur interrompit la da
- Page 1784 and 1785:
que je réchauffais dans mon sein p
- Page 1786 and 1787:
ire. Un sombre pressentiment traver
- Page 1788 and 1789:
jour de la Nativité de la Vierge,
- Page 1790 and 1791:
ésoudrez-vous à rendre à mon âm
- Page 1792 and 1793:
- Oh ! je t’en prie, l’interrom
- Page 1794 and 1795:
aime encore à se mirer pour ainsi
- Page 1796 and 1797:
l’accolade au baron Exter, qui ô
- Page 1798 and 1799:
« Que se passe-t-il donc entre le
- Page 1800 and 1801:
pain de chaque jour, de quelques jo
- Page 1802 and 1803:
La petite dame, avec ses entrechats
- Page 1804 and 1805:
motif de ses remerciements exaltés
- Page 1806 and 1807:
leur entretien avec beaucoup de cha
- Page 1808 and 1809:
éduisait à ne pouvoir s’adresse
- Page 1810 and 1811:
crayon et de l’encre de Chine, et
- Page 1812 and 1813:
» Il courut alors tout désespér
- Page 1814 and 1815:
l’animum injuriandi, l’intentio
- Page 1816 and 1817:
jouèrent une sarabande expressive.
- Page 1818 and 1819:
- Sottises, rêveries ! s’écria
- Page 1820 and 1821:
extravagantes. - Apprenez donc, dit
- Page 1822 and 1823:
devoir le permettre. Il était dout
- Page 1824 and 1825:
le prendrait pour ton propre fils.
- Page 1826 and 1827:
ien, meurs donc seul et délaissé
- Page 1828 and 1829:
des fleurs et des fruits magnifique
- Page 1830 and 1831:
jeune homme blond qu’elle avait e
- Page 1832 and 1833:
s’épouser tout de suite ! conclu
- Page 1834 and 1835:
pauvre oncle, Max avait de sa propr
- Page 1836 and 1837:
Il était question de théâtre, Lo
- Page 1838 and 1839:
qu’à une dérision perfide les m
- Page 1840 and 1841:
la séduction irrésistible de l’
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exemple, ces oncles riches qui au t
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positivement un désordre malencont
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ambulants, et réduit à cette mêm
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Vous savez, dit Théodore, que je s
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d’aise au magnifique spectacle de
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sa longue-vue et regarda encore ver
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La vision
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d’un éclat de rire convulsif, en
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mêlant quelquefois d’une manièr
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où est cette vieille masure. » -
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éprouvât aucune sensation intéri
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dont le bourdonnement sourd pouvait
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nerveuse aiguë se déclara à la s
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Les aventures de la nuit de Saint-S
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cœur, lecteur bénévole ! Que pui
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noble et courageux de sa personne,
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depuis longtemps brillent à mes ye
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conseiller s’élança vivement à
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venait de m’arriver. Je m’incli
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vivante et colorée cette illusion
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Parmi les verres remplis de punch f
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En ce moment une sotte figure aux j
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verre d’une liqueur réconfortant
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hautain et méprisant ne te serais-
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otanique ou bien chez Boucher. Il s
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s’écria en la repoussant : « Ar
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déceptions et les tortures mortell
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l’escalier. Parbleu ! il doit avo
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III Apparitions Monsieur Mathieu es
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secouant rudement, je m’écriai :
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mienne, il me dit : « Dormez tranq
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vertige. Je tombai subitement sous
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coupe dans sa main. « Pourquoi don
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se rendre dans la chaude et belle I
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voltigeassent dans l’air mêlés
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étoffés, et ses cheveux abondants
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Tous crurent que le vin avait mont
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homme long et sec, avec le nez reco
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plus étroitement enlacé dans cet
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longtemps, tandis qu’on vous atte
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l’Italien : « Faites trêve, lui
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une amoureuse étreinte. « Comment
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fines plaisanteries que nous aimons
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monsieur ? reprit l’étranger d
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transmit à une autre personne : bi
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oublié la belle Giulietta. Un soir
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Ah, Giulietta ! - Mais je veux êtr
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qui vous barrent le chemin, à vous
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eparut dans la maison, tout le mond
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tendrement dans ses bras. « Me voi
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creva, et le sang en jaillit. « É
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eflétait. « Pour cette fois, cont
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mystérieuse, occulte, ne s’intro
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I Vous savez (ainsi commença Théo
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contrastait d’une manière frappa
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merveilleux phénomènes du monde f
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et que celles des chambres du premi
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promenant comme de coutume à midi
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voisine. » Le confiseur s’empres
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grattements et des éclats d’un t
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des ailes de pigeon ébouriffées e
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noir qui l’accompagnait, et s’
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II Il était donc positif que les r
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flacon de cristal que la figure por
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hautes jalousies servaient, de plus
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Alors, comme si mon entrée dans la
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ovale qu’il tint à côté de moi
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mon oreille. Je me réveillai comme
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après l’avoir épousseté, et il
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travail, même au milieu d’un ent
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Mais puisque je vous parle d’une
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je le suppliai d’employer son art
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egardait la glace en même temps qu
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que le magnétisme paraît éclairc
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facultés agissantes ? - Mais cela
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clairement d’apprécier. - D’ap
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personne déterminée. Je me rappel
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donné à son corps de marcher en a
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« Oh bienvenu ! bienvenu, mon tend
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udement contre une porte, qu’elle
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Que l’intendant eût été consti
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déployer délicatement les antenne
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l’occasion de me rapprocher du co
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éveiller tout à coup d’un rêve
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s’élancer précipitamment la com
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ouge n’avait point reparu. On pr
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l’accompagner à cause de son ét
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d’elle. - Angélique paraît soud
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entreprendre avec elle toutes sorte
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Les dernières aventures du chien B
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onheur, car, tandis que j’étais
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distinctement. Je me remis pourtant
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Persistant à user d’une politess
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gens qui ont toujours l’âme à l
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arement une idée poétique, qui a
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Berganza, mais nécessité n’est
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à mon cher et inoubliable ami Scip
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traînaient par terre, et que les p
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notre satisfaction intérieure, com
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BERGANZA Oh ! écoute la suite. - D
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MOI Ah ! Berganza, j’entrevois de
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étrangers une apparence connue. El
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Nous entends-tu ? viens à nous ! L
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m’embarrasser du misérable feu d
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incompréhensible produit par des a
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que je restai seul gisant sur la gr
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peut-être encore dans les mains de
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j’emploierai peut-être, j’essa
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oquets avec lesquels je joue volont
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humaine ce Montiel, que leur compè
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MOI Jamais de coups de pied, encore
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comme la plus sainte mission que l
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ou une maîtresse de cette nature,
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s’emparait de moi lorsque j’ent
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volontiers sa présence, et on le l
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supériorité de ces odieux animaux
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heureuse ! Mais... MOI Arrête, Ber
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prétend s’attribuer le bénéfic
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oublié. BERGANZA Tout ce que je t
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me livrer à mes bonds les plus gra
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semblait-elle se demander tout bas,
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l’habitude de solfier pendant une
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épugnait d’aborder. MOI Allons,
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fatuité qui vous distingue. MOI Le
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fils du paysan, un enfant de trois
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chien fidèle ! si je pouvais t’o
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pourvues en talents de toute espèc
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iftecks dans toute la ville que che
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BERGANZA M’y voici justement. Ma
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pour un esprit assez borné, car il
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l’enthousiasme, comme l’entend
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particulières de philosophie que v
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poursuivait sans relâche, et se pl
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Après avoir représenté des saint
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ouffonneries artistiques ; le reste
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mal pour une pièce de circonstance
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y chercher, une séduction mystéri
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madrigaux, etc. Son génie poétiqu
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MOI En effet, et tandis qu’ils co
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qu’elles ont atteint l’âge de
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voici venir en foule leurs jeunes e
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cette immutabilité du caractère f
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oppressé par une sensation pénibl
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MOI Et comment cela, Berganza ? BER
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BERGANZA Pour le coup, je m’étai
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et bruyant d’admiration vint soul
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développer hardiment ses prétenti
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MOI Comment cela arriva-t-il ? BERG
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MOI Mais Cécile, la pure et candid
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flamme éclatante d’un fanal int
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me lester l’estomac avant le long
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porte à l’impatient époux qui p
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L’excès de ma rage comprimée me
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je fais peur à Papageno 1 . Ah ! m
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louange adressé à la bienfaisante
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toujours ton secrétaire, afin de r
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inspirations dont il est l’interp
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paraître vêtue d’une longue tun
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BERGANZA Je devine, tu parles de ce
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MOI Ne reste-t-il donc aucun espoir
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capable, qu’un drôle de cette es
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sibyllins, qui en dépit des lacune
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commun accord absurde et pitoyable.
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et son effet sur la foule ne pouvai
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BERGANZA Je ne connais pas de but p
- Page 2172 and 2173:
profonde et poétique qu’on n’o
- Page 2174 and 2175:
caractéristiques d’individus iso
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MOI Il y a quelque temps, l’idée
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etourner auprès de mon cher maîtr
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Je me flatte parfois... MOI BERGANZ
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BERGANZA Oui, plus d’un ennemi le
- Page 2184 and 2185:
MOI Parle, cher Berganza, quel est
- Page 2186 and 2187:
mélangée de brun et de blanc il m
- Page 2188 and 2189:
ne serait-ce qu’un manque de goû
- Page 2190 and 2191:
humain, parcourait le monde en buva
- Page 2192:
« Traou ! - haou ! - haou ! - Aou
- Page 2196:
Cet ouvrage est le 362 e publié da
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