La présence des minorités nationales du Banat est un des résultats de l’évolution historique. Elle représente un élément important de la société roumaine. Elle est une source pour son développement social et culturel, et aussi un pont dans les relations entre la Roumanie et les pays d’origine de ces minorités. 8
La minorité tchèque au Banat Une des minorités vivantes au Banat, ce sont les Tchèques. Une partie vive dispersée dans les villages et villes de la région. Mais la plupart habitent dans 6 villages, dis tchèques. Même s´il s´agit de villages sur le territoire roumain, officiellement appartenants à la Roumanie, les habitants de la région et les médias tchèques utilisent le terme « villages tchèques », parce la plupart des habitants sont d´origine tchèque. Ils ont conservé la culture tchèque et à la maison, ils parlent la langue tchèque 1 . Le plus grand est Gârnic, en tchèque Gernik et en allemand Weitzenried 2 . En 2005 il y avait 512 habitants 3 . Puis Sfânta Elena, en tchèque Svatá Helena, connu aussi sous son nom hongrois Dunaszentilona avec 338 habitants en 2008 4 . A Eibenthal vivait en 2002 308 habitants de nationalité Tchèque et quelques familles roumaines 5 . A Big r (Bígr en tchèque, Schnellersruhe en allemand), le nombre des habitants n´est pas connu exactement, c´est à peu près 250 habitants et le nombre diminue 6 . Le village le plus menacé par le dépeuplement absolu est Ravensca (en tchèque Rovensko) qui a aujourd´hui probablement moins de 100 habitants 7 . Et finalement il y a umi a (en tchèque Šumice) avec à peu près 94 habitants (état d´août 2008) 8 . Les six villages tchèques ne sont pas les seuls où vit la minorité tchèque. Les individus et les communautés d´origine tchèque vivent aussi dans d´autres villes et villages de la région du Banat et aussi à Bucarest. La minorité tchèque n´y est pas si homogène et souvent, le niveau d´assimilation avec la population roumaine est très haute. C´est 1 Dans cette dissertation, j´utilise aussi le terme villages tchèques – mais comme j´ai déjà expliqué – en réalité, ce sont des villages en Roumanie. De même avec les „Tchèques“ – j´utilise ce terme pour les personnes d´origine tchèque vivants dans les village tchèques. 2 Chaque minorité utilise différente nomenclature, ad hoc de cette dissertation, j´utilise les noms en roumain, parce que ce sont les noms officielles. 3 SVOBODA, J., DOKOUPIL, I., Banát – turistický a vlastiv dný pr vodce eskými vesnicemi v rumunském Banát . Brno : Kudrna, 2005 4 Krajané - stránky pro studenty HKS [online]. 22.2.1999 , 6.11.2008 [cit. 2009-02-15]. Dostupný z WWW: . 5 ONDRZEJ. Eibenthal (Tisové údolí) [online]. Eibenthal : 2007- , 1.2.2009 [cit. 2009-02-22]. Dostupný z WWW: 6 KOSINOVÁ, Adéla. The Czech Minority in Romanian le Banat – Reemigration, Pardubice: 2006 7 Regionální muzeum ve Vysokém Mýt . eské vesnice v Banátu [online]. c2002-2005 [cit. 2008-01-12]. Dostupný z WWW: . 8 Krajané - stránky pro studenty HKS [online]. 22.2.1999 , 6.11.2008 [cit. 2009-02-15]. Dostupný z WWW: . 9
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touristes apporte des changements i
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