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Problème 1

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NB : Le candidat attachera la plus grande importance à la clarté, à la précision<br />

et à la concision de la rédaction. Les copies illisibles ou mal présentées<br />

seront pénalisées.<br />

Toute application numérique ne comportant pas d’unité ne donnera pas lieu<br />

à attribution de points.<br />

Si un candidat est amené à repérer ce qui peut lui sembler être une erreur<br />

d’énoncé, il le signalera sur sa copie et devra poursuivre sa composition en<br />

expliquant les raisons des initiatives qu’il a été amené à prendre.<br />

Question de cours 1<br />

1. Un anglais pèse 160 lb (livres). Sachant que le facteur exact de conversion<br />

est 0,45359237 kg/lb, indiquer la masse de l’anglais en kg.<br />

2. La relation suivante donne le rayon de la trajectoire circulaire d’une<br />

particule chargée de masse m, de charge q de vitesse v dans un référentiel<br />

où règne un champ magnétique d’intensité B : R = |q|B<br />

mv . Cette<br />

relation est-elle correcte ?<br />

3. À partir de la constante de la gravitation universelle G = 6,67×10 −11<br />

S.I., de la constante de PLANCK h= 6,62×10 −34 S.I. et de la vitesse de la<br />

lumière c = 3,0×10 8 m.s −1 , on peut définir une masse, dite de PLANCK,<br />

mP. Trouver son expression et sa valeur.<br />

Question de cours 2<br />

Choisir une famille du tableau périodique et indiquer toutes les propriétés<br />

connues sur cette famille (pas plus d’une demi–page).<br />

Question de cours 3<br />

1. Rappeler les lois de SNELL-DESCARTES pour la réfraction<br />

2. Dans quelles conditions, observe-t-on le phénomène de réflexion totale ?<br />

En donner une application.<br />

<strong>Problème</strong> 1<br />

A. Une lentille mince convergente (L) de centre O et de distance focale f ′<br />

utilisée dans les conditions de GAUSS forme d’un objet réel AB une image<br />

A’B’ réelle sur un écran (E), A et A’ sont sur l’axe optique.<br />

DS 1 le 1er octobre 2012<br />

OPTIQUE – ATOMISTIQUE<br />

1. Écrire la relation de conjugaison reliant p = OA et p ′ = OA ′ .<br />

2. La distance A A ′ = D étant fixée, montrer que p est solution d’une équation<br />

du second degré dont les solutions p1 et p2 correspondent à deux<br />

positions possibles O1 et O2 de (L) permettant de projeter AB sur<br />

l’écran (on pose p1 > p2). Exprimer p1 et p2 en fonction de f ′ et de<br />

D. Comment se placent ces deux positions entre A et A’ ?<br />

3. Établir l’expression de la distance focale f ′ en fonction de D et d = O1O2<br />

4. Quel nom donne–t–on à cette méthode de détermination de distance<br />

focale ?<br />

5. Application numérique : On règle la distance objet–écran à une valeur<br />

D = 810±2 mm un peu supérieur au minimum possible. On mesure<br />

les deux positions de la lentille donnant une image nette sur l’écran :<br />

p1 =−360±3 mm et p2 =−452±9 mm. Calculer la distance focale f ′ et<br />

l’incertitude∆f ′ sur sa valeur.<br />

B. On diminue la distance D jusqu’à la valeur Dm telle qu’il n’y ait plus<br />

qu’une position de (L) permettant d’obtenir une image A’B’ nette de AB.<br />

Montrer que dans ce cas, AB =−A ′ B ′ , et exprimer f ′ en fonction de Dm.<br />

Connaissez–vous le nom donné à cette méthode ?<br />

C. On place maintenant un miroir plan (M) juste derrière (L) perpendiculairement<br />

à l’axe optique. À quelle distance de l’objet AB faut–il placer<br />

(L) pour que l’image A’B’ soit observée exactement dans le même plan<br />

que AB Que vaut alors le grandissement ? Quel nom donne–t–on à cette<br />

méthode ?


Page 2 DS 1 le 1er octobre 2012 Lycée Clemenceau Nantes – MPSI<br />

D. Pour mesure la distance focale f ′ 0 < 0 d’une lentille divergente (L0), on se<br />

sert d’une lentille convergente (L) de distance focale f ′ connue. On forme<br />

d’abord une image de l’objet AB à l’infini en le plaçant dans le plan focal<br />

objet d’une lentille collimatrice convergente (Lc) de même axe optique<br />

que (L), placée suffisamment loin derrière.<br />

1. Où se trouve l’image A’B’ formée par (L) ?<br />

2. On interpose ensuite (L0) exactement dans le plan focal objet de (L),<br />

ce qui a pour effet de reculer l’image A’B’ d’une distance δ par rapport<br />

à sa position précédente. De quel point remarquable A’ est–il alors<br />

l’image?<br />

3. Montrer que la mesure de δ permet d’obtenir simplement f ′ 0 par une<br />

relation que l’on démontrera.<br />

Cette méthode de mesure des distances focales porte le nom de méthode<br />

de BADAL.<br />

<strong>Problème</strong> 2<br />

Ce problème est constitué de deux parties indépendantes. Dans la première<br />

partie, on étudie un appareil photo ; dans la seconde, un projecteur de diapositives.<br />

On veillera à faire les applications numériques pour chacune des<br />

questions.<br />

A- On assimile l’objectif de l’appareil photographique à une lentille mince<br />

convergente de distance focale image f ′ a = 135 mm.<br />

1- On désire photographier une toile de maître située à 3 m en avant de<br />

l’objectif. À quelle distance p ′ > 0, en arrière de l’objectif, faut–il placer<br />

les cellules sensibles de la pellicule pour obtenir une image nette de<br />

la toile ?<br />

2- Cet appareil photographique est utilisé pour photographier le ciel nocturne.<br />

Son format est le 24 × 36, ce qui signifie que la pellicule photographique<br />

mesure 24 mm de hauteur et 36 mm de largeur. Quel est le<br />

champ du ciel photographié ? On exprimera le résultat sous la forme<br />

α×β où α et β sont des angles exprimés en degré.<br />

3- Calculer, en minute d’arc ( ′ ) (rappel 1 ◦ = 60 ′ ), le diamètre apparent θ<br />

du disque lunaire vu par l’objectif de l’appareil photographique. On<br />

supposera la Lune sphérique, de rayon 1740 km, et de centre situé à<br />

384 000 km de l’objectif.<br />

4- Avec cet appareil, on photographie la pleine Lune,l’axe optique de l’objectif<br />

étant dirigé vers le centre du disque lunaire. On effectue un tirage<br />

de la pellicule sur du papier de format 10×15 cm 2 . Quel est le<br />

diamètre d du disque lunaire sur le papier ?<br />

B- On cherche maintenant à concevoir un projecteur de diapositives de taille<br />

24 mm ×36 mm permettant d’obtenir une image de 1,2 m de large sur un<br />

écran situé en E à ℓ = 3,0 m du centre optique de la lentille mince (C1)<br />

pour une diapositive placée en I avec son coté le plus long placé horizontalement.<br />

On notera e la distance IF et m la distance F’E. La figure<br />

ci-dessous propose une vue de dessus du projecteur.


Page 3 DS 1 le 1er octobre 2012 Lycée Clemenceau Nantes – MPSI<br />

<br />

S<br />

G<br />

I<br />

D<br />

e<br />

C1<br />

m<br />

F O F’ E<br />

1. Quel est le grandissement γ nécessaire ? Commenter le signe.<br />

2. Tracer les rayons permettant d’obtenir les points G’ et D’, image des<br />

points G et D représentant respectivement les bords gauches et droits<br />

de la diapositive. Dans quel sens faut-il placer la diapositive ? Justifier<br />

votre réponse.<br />

3. Déterminer les expressions de e, m et f ′ en fonction du grandissement<br />

γ et de ℓ. Réaliser l’application numérique pour le grandissement souhaité.<br />

4. On souhaite en plus pouvoir obtenir une image nette par déplacement<br />

de l’objectif pour des distances comprises entre 2 et 5 m. Quelles sont<br />

les grandissements et largeurs d’images horizontales correspondants<br />

à ces deux limites (image nette d’une diapositive avec son coté le plus<br />

long placée horizontalement) ?<br />

<strong>Problème</strong> 3<br />

Soit le système formé par l’association d’une lentille mince L1 de foyers<br />

image F’1 et objet F1 et de distance focale f ′ 1 = 3a, et d’un miroir concave<br />

M2 de foyers image F’2 et objet F2 et de distance focale f ′ 2 =−a. Le miroir est<br />

placé à la distance e = 2a derrière la lentille.<br />

1. Déterminer graphiquement la position du foyer image F’ du système.<br />

2. Retrouver ce résultat par un calcul en déterminant l’expression de F’2F’.<br />

3. Déterminer graphiquement la position du foyer objet F du système optique<br />

formé par L1 puis M2.<br />

4. retrouver ce résultat par un calcul en déterminant l’expression de F1F.


Page 4 DS 1 le 1er octobre 2012 Lycée Clemenceau Nantes – MPSI<br />

Commentaires et correction :<br />

<strong>Problème</strong> 1<br />

Le problème a été bien compris dans l’ensemble, mais les démonstrations n’étaient<br />

pas toujours très convaincantes.<br />

Ainsi pour la méthode de SILBERMANN, il faut montrer que A’B’=−AB et ne pas le<br />

supposer pour faire la suite.<br />

Pour la méthode de Badal, il faut aussi justifier clairement pourquoi A’ est l’image de<br />

F’0. Pour le calcul, la formule de NEWTON est beaucoup plus efficace que la formule<br />

de DESCARTES<br />

<strong>Problème</strong> 2<br />

Vous êtes nombreux à vous faire piéger dès la première question par la valeur de<br />

OA qui est négative car l’objet est réel !<br />

Les question sur l’appareil photo étaient principalement des questions pour réaliser<br />

des applications numériques. Elles ont été très sélectives.<br />

L’étude du projecteur n’a pas été souvent abordé. Le grandissement n’a pas été souvent<br />

trouvé négatif et les calculs proposés ont été très rarement fait correctement<br />

jusqu’au bout.<br />

<strong>Problème</strong> 3<br />

Exercice classique d’un doublet à savoir résoudre. L’originalité réside ici dans la<br />

présence d’un miroir. Attention, le texte précisait clairement qu’on étudie le doublet<br />

lentille miroir et pas le système lentille – miroir – lentille comme on le fait dans<br />

l’étude de l’autocollimation. Cela aurait été certainement plus réaliste,mais c’est<br />

aussi un peu plus compliqué et surtout ce n’est pas ce qui est demandé !<br />

<strong>Problème</strong> 1<br />

A- (a) La relation de conjugaison s’écrit 1<br />

1<br />

p<br />

OA’<br />

′ − 1<br />

p<br />

− 1<br />

OA’<br />

= 1<br />

f ′<br />

1<br />

= ou<br />

f ′<br />

(b) Ici AA’=D donc p ′ = OA’=OA+AA’= p+ D. La relation de conjugaison devient<br />

:<br />

1<br />

p+ D<br />

1 1<br />

− =<br />

p f ′<br />

soit −D f ′ = p(p+ D). On en déduit l’équation du second degré :<br />

p 2 + pD+ D f ′ = 0<br />

de solutions :<br />

⎧<br />

⎨<br />

⎩<br />

p1 =− D<br />

p2 =− D<br />

2 +<br />

2 −<br />

D 2<br />

D 2<br />

4 − D f ′ < 0<br />

4 − D f ′ < 0<br />

On a supposé que D2<br />

4 − D f ′ ≥ 0, c’est à dire que D ≥ 4f ′ .<br />

Les deux positions sont symétriques par rapport au milieu de [A,A’].<br />

<br />

<br />

(c) La distance O1O2 est égale à d = O1O2<br />

= O2−OO1 = <br />

p2− p1<br />

. Comme<br />

<br />

D<br />

p1 ≥ p2, on a d = p1− p2= 2<br />

2<br />

4 − D f ′ = D2− 4D f ′ d’où d 2 = D2− 4D f ′ et<br />

f ′ = D2 − d 2<br />

4D<br />

C’est la méthode de BESSEL.<br />

(d) L’application numérique conduit à : f ′ = 200 mm<br />

Pour l’incertitude, on écrit :<br />

∆f ′ <br />

<br />

∂f ′ 2<br />

= (∆D)<br />

∂D<br />

2 <br />

∂f ′ 2<br />

+ (∆d)<br />

∂d<br />

2<br />

<br />

<br />

D2 + d 2<br />

=<br />

4D2 2 (∆D) 2 2 −d<br />

+ (∆d)<br />

2D<br />

2<br />

<br />

∆p12+<br />

2 ′<br />

ici∆D = 2 mm,∆d = ∆p2 = 9,5 mm, on trouve ∆f = 0,8 mm .<br />

B- Lorsqu’il n’y a plus qu’une solution à l’équation du second degré : p = − D<br />

2 et<br />

p ′ = p+D =+ D<br />

2 soit OA’=−OA. D’après la définition du grandissement et le théorème<br />

de THALÈS :<br />

γ= A’B’<br />

AB<br />

= OA’<br />

OA =−1<br />

La relation de conjugaison donne 1 1<br />

−<br />

D/2 −D/2<br />

C’est la méthode de SILBERMANN.<br />

f ′ = D<br />

4<br />

1<br />

= , d’où<br />

f ′


Page 5 DS 1 le 1er octobre 2012 Lycée Clemenceau Nantes – MPSI<br />

C- On a la suite de systèmes optiques suivante :<br />

et on veut A=A’.<br />

Les relations de conjugaison donnent :<br />

1<br />

OA1<br />

A (L) (M) (L)<br />

→ A1 → A2 → A’<br />

− 1<br />

OA<br />

1<br />

= et O’A1=−O’A2<br />

f ′<br />

Dans le passage de A2 à A’, la lumière va dans le sens inverse. D’après le principe<br />

de retour – inverse de la lumière, l’image de A’(=A) devrait être A2 avec des<br />

rayons qui vont de la gauche vers la droite, on a donc :<br />

1<br />

−<br />

OA2<br />

1 1<br />

=<br />

OA f ′<br />

La confrontation des deux relations de conjugaison impose :<br />

1<br />

=<br />

OA2<br />

1<br />

OA1<br />

La solution A1=A2 n’est pas compatible avec O’A1 = −O’A2, a moins que<br />

A1=A2=O’. Le miroir est dans ce cas placé là où se forme l’image de l’objet à<br />

travers la lentille. Comme le miroir est placé directement après le miroir, on ne<br />

tient pas compte de cette solution.<br />

La seule solution possible est alors telle que :<br />

1<br />

= 1<br />

= 0, ce qui conduit à<br />

OA2<br />

OA1<br />

A1 et A2 à l’infini, c’est à dire que A est au foyer objet de (L) en F.<br />

Tous les rayons venant de B sortent en faisant le même angle i avec l’axe. Après<br />

réflexion sur le miroir, on retrouve cet angle inversé. Le rayon non dévié au retour<br />

montre que l’image de B se trouve en son symétrique par rapport à l’axe<br />

optique, d’où :<br />

B<br />

γ= A’B’<br />

AB =−1<br />

A=F O O’<br />

<br />

B’<br />

C’est la méthode de focométrie par autocollimation.<br />

D- (a) AB a son image à l’infini à la sortie de (Lc). Cette image à l’infini sert d’objet<br />

de (L), l’image A’B’ sera donc dans le plan focal image de (L).<br />

(b) Les différentes images de A après traversée des lentilles (Lc), (L0) et (L)<br />

sont :<br />

A (Lc ) (L0)<br />

→ A’∞<br />

→ F’0→<br />

A’<br />

F’0 est le foyer image de (L0), A’ est son image à travers (L).<br />

(c) La formule de Newton appliquée à (L) pour les points conjugués (F’0,A’)<br />

donne :<br />

(L)<br />

F’A’.FF’0 =−f ′2<br />

avec ici F’A’=δ et FF’0= O0F’0 = f ′ 0 , on obtient δf ′ 0 =−f ′2 d’où<br />

f ′ ′2 f<br />

0 =−<br />

δ<br />

<strong>Problème</strong> 2<br />

A- 1- On applique la relation de conjugaison avec origine au centre :<br />

1 1<br />

−<br />

O A ′ O A<br />

= 1<br />

f ′<br />

avec f ′ a = 0,135 m et O A=−3 m. On obtient :<br />

O A ′ = f ′ aO A<br />

f ′ = 14 cm<br />

a+O A<br />

2- La mise au point se faisant sur le ciel nocturne à l’infini, la pellicule est située<br />

dans le plan focal image de l’appareil. En chaque point de la pellicule se<br />

forme l’image d’un point B∞ du ciel. Les rayons qui en proviennent correspondent<br />

à des rayons incidents qui ont tous même inclinaison par rapport à<br />

l’axe optique. Cette inclinaison se détermine à l’aide du rayon passant par O<br />

qui n’est pas dévié.<br />

B∞<br />

α<br />

O F’<br />

<br />

α


Page 6 DS 1 le 1er octobre 2012 Lycée Clemenceau Nantes – MPSI<br />

À partir de la figure on lit : tanα= a<br />

f ′ , donc α=arctan<br />

a<br />

a<br />

f ′ .<br />

a<br />

Suivant le petit axe de la pellicule : a = 12 mm soit α=5,08 ◦ donc le champ<br />

angulaire vaut 2α=10,16 ◦ .<br />

Suivant le grand axe de la pellicule : a = 18 mm soit α=7,59 ◦ donc le champ<br />

angulaire vaut 2α=15,18 ◦ .<br />

On retiendra que le champ photographié a pour dimension 10 ◦ × 15 ◦<br />

3- La Lune de rayon RL à la distance dL est vu sous l’angle :<br />

θ= 2arctan RL<br />

dL<br />

= 0,519 ◦ = 31 ′<br />

On aurait pu utiliser l’approximation θ= 2α≃ 2 RL<br />

dL = 9,06×10−3 rad=31 ′<br />

4- Si l’on note D le diamètre de la Lune sur la pellicule, on en déduit que :<br />

θ<br />

2<br />

= arctan D/2<br />

f ′ a<br />

soit numériquement D = θ f ′ a = 1,22 mm<br />

≃ D/2<br />

f ′ a<br />

Le grandissement effectué pendant le tirage papier est de :G = 100<br />

24 .<br />

On en déduit une dimension du diamètre d du disque lunaire :<br />

d = GD = 5,1 mm<br />

B- 1. D’après la définition du grandissement,<br />

γ= A’B’<br />

AB =<br />

1,2<br />

=−33<br />

36×10−3 Le signe est négatif car l’image est renversée.<br />

2. On obtient la figure suivante. Comme l’image est renversée, il faut mettre la<br />

diapositive la tête en bas.<br />

<br />

S<br />

G<br />

I<br />

D<br />

e<br />

C1<br />

m<br />

D’<br />

F O F’<br />

E<br />

G’<br />

3. D’après la relation de conjugaison avec origine au centre, on a :<br />

Comme γ= OE<br />

OI<br />

1<br />

OE<br />

1 1<br />

− =<br />

OI f ′<br />

ℓ<br />

1 γ 1<br />

= , on déduit −<br />

OI ℓ ℓ = f ′ . On obtient finalement :<br />

f ′ = ℓ<br />

= 8,8 cm<br />

1−γ<br />

On trouve alors m par la relation ℓ= f ′ + m, d’où :<br />

m= ℓ− f ′ = ℓ− ℓ ℓγ<br />

= = 2,91 m<br />

1−γ 1−γ<br />

D’après la relation de conjugaison avec origine au foyer FI.F’E=−f ′2 , on déduit<br />

: −e m=−f ′2 , soit :<br />

2 ℓ γ−1<br />

e =<br />

1−γ γℓ =<br />

4. D’après les formules de grandissement :<br />

γ= F’E<br />

F’O<br />

Numériquement, on en déduit :<br />

<strong>Problème</strong> 3<br />

ℓ<br />

= 2,7 mm<br />

γ(γ−1)<br />

′<br />

m ℓ− f<br />

=− =−<br />

f ′ f ′<br />

22


Page 7 DS 1 le 1er octobre 2012 Lycée Clemenceau Nantes – MPSI<br />

F1<br />

2. On a la suite d’image suivante :<br />

C2<br />

O1<br />

L1 ′ M2<br />

A∞ → F 1 → F<br />

On écrit donc la formule de NEWTON pour le couple de point F’1, F’ à travaers le<br />

miroir M2 :<br />

d’où on déduit :<br />

F’2F’.F’2F’1= f ′2 2<br />

F’2F’= f ′2 2<br />

Ce qui confirme la solution graphique.<br />

F’2F’1<br />

= a2 a<br />

=<br />

2a 2 .<br />

3. Le foyer objet F correspond au point objet sur l’axe dont l’image est un point A’∞<br />

à l’infini sur l’axe. Les rayons issus de F sortent du système paralèles à l’axe. On<br />

peut obtenir F en utilisant un rayon parallèle à l’axe traversant le miroir puis la<br />

lentille de la droite vers la gauche et en exploitant le principe de retour inverse<br />

de la lumière. On obtient la figure suivante :<br />

F’2<br />

<br />

<br />

F’<br />

F’1<br />

F1<br />

<br />

4. On a la suite d’image suivante :<br />

C2<br />

O1<br />

F L1 M2<br />

→ F2 → A’∞<br />

On écrit donc la formule de NEWTON pour le couple de point F’1, F’ à travers la<br />

lentille L1 :<br />

d’où on déduit :<br />

F’1F2.F1F=−f ′2 1<br />

F1F=− f ′2 1<br />

F’1F2<br />

F’2<br />

=− 9a2 9a<br />

=<br />

−2a 2 .<br />

Ce qui confirme la solution graphique. On remarque que F et F’ sont confondus<br />

dans ce dispositif.<br />

<br />

F<br />

F’1

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