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au nombre de:qw@tre plus exacte-<br />
~ e n mét&r@f~nus. t -?- - .<br />
II existe 4 I'ûNCIC u<br />
de réaiisateurs, cinq @recteurs de<br />
production, huit chea opérateurs<br />
et tr0!5~e"quipes de tbyrnage pour<br />
les ' 'long$-métragesi auquels<br />
ac$o[nt 'or : -4o;rm$,re équivalent<br />
gBqg@es"pw"e *W:PFFJRB trage.<br />
Un re%lkg~~qr n'qccede au tqr-<br />
réalisateurs, les techniciens et les<br />
comédiens. La maîtrise d'une quel-<br />
conque activité passe par un exer-<br />
cice constant de cette activité. II<br />
ne faut donc pas s'étonner de la<br />
méthodicité de nos films s'il est<br />
donné aux cinéastes de réaliser<br />
des films une fois tous les quatre<br />
ans ou cinq.<br />
II reste le problème des coménage<br />
q@& .fois iwtes let* tr~js, diens. II est fait appel à ces derquatre<br />
annP,es qy p h e ~h. ; niers dans le cadre de contrats<br />
ponctuels, « au cachet m, tout<br />
Cin6was et twfinkiens algécomme<br />
à Holywood. Ce système<br />
riens son5 m s pouvons l'afffrmer,<br />
est contraire aux options du pays.<br />
na1 mt las& wtre<br />
des pemannes rn tMea ba bonne<br />
II engendre une instabilité et une<br />
mettre en azctuxe .Pm COQC-&<br />
qualité de leurs productions au<br />
-<br />
insécurité angoissante de l'emploi<br />
cinéma dais une: aérrmeiitan<br />
chez ces artistes. La mauvaise<br />
cialet @tlécûnomi~ gdk3 que PA&<br />
qualité du jeu des acteurs provient<br />
gérsir Le chak dam co sens g4t&.<br />
des causes énumérées plus haut.<br />
fait ef ii &{: iit6y@~iMvrr,+ ii imwe .<br />
<strong>Une</strong> dilapidation permanente a<br />
de %$%ir aub~Prrfiui fe ,d&f&$<br />
lieu de dons qui pourraient granc~ri&f~<br />
1 $rawriss' kquel cpt,@#ti<br />
dement contribuer, à leur manièra<br />
pou~rgkr.étr6 en mesurp de i:oj"pâ7<br />
au bien-être moral du peuple.<br />
nbùif'e'f faFe avec Iùi .€&i m&pd -<br />
Qav&g leaquefles il est et<br />
Les difficultés du cinéma se redont<br />
il Wseite le p.la g~'mb,M&-<br />
percutent gravement sur I'ambianrets<br />
t, - %- .<br />
ce dans laquelle évoluent ses &q<br />
Du po* de vu@ bwk<br />
tistes. Les milieux pourris du<br />
produetion cinéma t sgrap<br />
néma tirent leur origine dans le8<br />
réwdle' btre du CWQ par<br />
pays occidentaux du fait que I'acconstancielle<br />
el iraprovis&& '#%<br />
tivité et la profession cinémate<br />
mut rârioeller we ffi4kafria a m-<br />
graphiques -<br />
revêtent le caractèm<br />
duir d&uis son 'ine#&p&d&e'une<br />
fondamental d'une activité merquarantaine<br />
de *fi- 96@ mviNff cantiliste. Ce caractère réduit Vardeux<br />
films par an. &, deux c W , *te, le ravale et le déshonore. Les<br />
films mi irnpartés mnwüemcrnt. artistes en Algér~e, qui jusqu'à<br />
présent ont conservé cette règle<br />
rnoitwqm de cder u?e nouvelle<br />
e'iw'ue ' d m /et prufesslun.<br />
~dé:tc .emploie m/olourdRui un<br />
.&cire de la rdalisation de court- p&d@nel non rentabie faù'fe de<br />
rhétrages et de doc entaires. Lg projets découlant de son but.<br />
Eupart pourtant, no s le cons&& Comparativement aux' BffgctTf's<br />
qs, sont tendSes vers le travail, 'a dans le cinéma dans d'autres pays<br />
une époque de leu[ vie où ils veu- pEuS avancés, le nombre de ci-<br />
En 1979, quatt6- g/&riens lent .et pewenr dbnner le plus néastes et techniciens pourrait<br />
longs-métrages YU out : @arrs"ce secteur sensible .qui e&t paraître dérisoite, Il en est cepq-<br />
*,Br~leii pas r, e 44,& 'gay& des Vufi des plus grands moyerfs de dkrrZ: Qa suivefit une fo~matiiin.<br />
mirages r, * @or$$ la 'tongue nuit camrnunicafbn de notre &bbque; ct.rC:JJI$ he myqtje
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