rapport femise 2002 sur le partenariat euro-mediterraneen

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Notes [1] : Zone industrielle qualifiée : correspond à des investissements étrangers, comportant des intérêts israéliens et arabes donnant libre accès au marché américain. [2] : Population définie comme l’ensemble des personnes vivant de l’agriculture, de la chasse, de la pêche ou de la foresterie et incluant les personnes exerçant une activité agricole ainsi que les inactifs à leur charge. [3] : Dont 2,6 millions en Egypte, plus d’un million en Algérie et au Maroc et près de un million en Turquie, cf. FAO, 2001. [4] : « Libéralisation de tous les produits agricoles sauf… » plutôt que « protection de tous les produits agricoles sauf… », qui était la logique des accords précédents. [5] : L’accord d’association UE - Jordanie est entré en application le premier mai 2002. [6] : En 1999, selon l’OMC, l’Union Européenne, les Etats-Unis, le Canada et le Japon appliquaient des pics tarifaires à plus de 360 produits agricoles différents. [7] : Ces subventions, instaurées pour garantir une autosuffisance et une stabilité des prix domestiques, conduisent à la constitution de stocks d’autant plus importants que l’augmentation des prix intérieurs qu’elles génèrent décourage la consommation intérieure. De nouvelles subventions, pour l’exportation celles-là, sont alors nécessaires pour pouvoir écouler le surplus ainsi constitué (il peut s’agir de restitutions à l’exportation, de crédits à l’exportation, voire de l’aide alimentaire internationale). [8] : Les subventions aux intrants représentent environ 9% du soutien aux producteurs. [9] : Le 20 juin 2002, les pays réunis dans le cadre de l’OMC n’étaient toujours pas arrivés à donner du contenu à l’engagement, pris à Doha, de réduire les subventions à l’exportation. [10] : La règle pour les TBT et les SPS voudrait que les pays utilisent si possible les standards internationaux pour établir leurs procédures techniques et standards nationaux. -97- [11] : Cf. Meda Team 5 : Synthèse du suivi des pays Meda, nov. 2001. [12] :Cf. OMC, Country Report. [13] :Cf. US Departement of State, Country Commercial Guide, fiscal year 2002 (juillet 2001). [14] :General Agreement on Trade in Services. [15] :Nation la plus Favorisée. [16] :Cf. US Department of State, Country Commercial Guide 2002 [17] :Rapport de la BSA cité par le Country Commercial Guide 2002 de l’US Department of State [18] :Cf. Meda Team 5, op. cit. [19] :Cf. Meda Team 5, op. cit. [20] :L’Accord avec le Maroc possède la particularité de prévoir l’examen des conditions de libéralisation du secteur des transports maritimes internationaux. Mais cet engagement n’a pas été encore respecté fin 2001. [21] :On distingue généralement une branche des "produits manufacturés" qui correspond à la partie amont du processus de production (produits demi-finis) et une branche "articles manufacturés, en aval du processus de production (produits finis). [22] :exportations+importations/PIB. [23] :L’indicateur CS, utilisé dans l'analyse qui suit, est dû à Walter Isard (Cf. W. ISARD, « Méthodes d'analyse régionale », tome 1, « Équilibre économique », Dunod, 1972, p. 144). Il mesure la proximité sectorielle de deux distributions (ici les exportations par secteurs des PPM et du monde) et il se définit comme suit : Soient r l'indice symbolisant un pays partenaire méditerranéen, n l'indice symbolisant un autre pays, i l'indice symbolisant un produit de la nomenclature. Soit E une variable pour laquelle on veut comparer la répartition sectorielle, alors la forme générique de l’indicateur est : CS = 1 2 Â i Eir Er - E in E n Il s'agit en fait de la demi-somme des écarts des fréquences relatives de la distribution sectorielle des deux espaces considérés. Par construction, l'indicateur retenu
(CS) varie de 0 à 1, la valeur nulle indiquant une similitude parfaite des deux distributions, la valeur 1 indiquant elle une différence complète. Pour mesurer la diversification des pays méditerranéens (relativement aux exportations mondiales), on suppose que les exportations mondiales représentent la structure la plus diversifiée. [24] : Soient Xir la valeur des exportations du partenaire méditerranéen r en produit i, Xr la valeur totale des exportations du partenaire r, et XiM la valeur des exportations mondiales en produit i, XM la valeur totale des exportations mondiale, alors : CS = [25] : P.Augier, M. Gasiorek « Les effets de la libéralisation entre l’UE et les pays partenaires méditerranéens » in J.L. Reiffers « Méditerranée : Vingt ans pour réussir » pp. 359-382 Economica 2000. [26] : Emre Ozçelik, Erol Taymaz,"Does technology matter for international competitiveness in developping countries ? The case of turkish manufacturing industries" ERF Conference, janvier 2002. [27] : Savas Alpay, Ismet Yalcin, Turker Dolekoglu : « Export performance of firms in developing countries and food quality and safety standards in developed countries » ERF Conference janvier 2002. [28] : Soient Xir la valeur des exportations du pays r en produit i, Xr la valeur totale des exportations du pays r, et Min la valeur des importations du pays n en produit i, Mn la valeur totale des exportations de pays n, alors : [29] : The Housing & Population Survey, 1 Xir - 2 Xr XiM Â i XM Xir CS = 1 2 Â i X r - M in M n Ministry of Social Affairs (Lebanon) and UNFPA, 1995-96. The Manpower Survey, National Employment Office, Ministry of Labor (Lebanon), 1997. [30] :Survey conducted in six low-income neighborhoods in Istanbul, taking -98- 1,210 households and screening 5,634 people. Ozar, 1997. [31] :ERF, 2000. [32] :ESCWA, 2001. [33] :Dominique Foray et Bengt Ake Lundvall : « Une introduction à l’économie fondée sur la connaissance « in B. Guilhon, P. Huard, M.Orillard, J-B Zimmerman, eds. Economie de la connaissance et organisations, L’Harmattan 1997. [34] :D.A.Dyker, S. Radosevic : « Building the knowledge-based économy in countries in transition- from concept to policies » W.P. Sussex, University college London, 2000. [35] :En Tunisie par exemple, pays le mieux placé de ce point de vue dans les pays partenaires, le taux de scolarisation brut est de 117 % dans le primaire pour une moyenne de MNA de 96% et de 55% dans le secondaire ; au Maroc, placé à l’autre extrême, qui a retenu dans le PRSL+ l’objectif d’offrir la scolarisation universelle aux 6-15 ans d’ici 2006, malgré un important engagement financier de l’Etat en faveur de l’éducation de plus de 7% du PIB, les taux de scolarisation brute culminent encore à 80% dans le primaire et 39% dans le secondaire. Bibliographie Al-Kawaz, Ahmed 1999. “ Informal Finance with some reference to the Egyptian and Sudanese cases” in Ahmed Al-Kawaz (ed.), Informal Sector and its Role in Arab Countries. Arab Planning Institute. AUC Press. Arab Fund for Social and Economic Development. 2001. The Unified Arab Economic Report. Abu Dhabi. Aubert Jean Eric et Reiffers Jean-Louis, 2002, « Les facteurs clés du développement d’une économie fondée sur la connaissance dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MNA) », WBI-Institut de la Méditerranée, article présenté au Colloque des 9-12 septembre 2002 à Marseille : MNA Knowledge Economy Forum – World Bank, Ville de Marseille ; Institut de la Méditerranée.
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