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L’OURS
CINQ
FICTION ÉRECTION V PAR S. REAL
Dans les textes précédents, SlaveCub
entrevoit un Ours magnifique dans un
bar et après avoir forcé la rencontre, il
apprend que ce dernier aime les jeux
Maitre / Esclave et accepte de devenir
l’Esclave de ce dernier pour pouvoir
être en relation avec lui.
Notez que ceci est de la FICTION ayant
pour seul but d’exciter le lecteur, il
n’est pas recommandé de faire ce qui
est écrit dans ce texte sans s’assurer
d’abord d’être sécuritaire, consentant
et que le sujet à toujours la possibilité
de se libérer. Les durées doivent aussi
être prises en compte.
Depuis qu’il était devenu le Boy de Master-
Bear, SlaveCub avait pu explorer différents
aspects de sa sexualité qu’il ne
pouvait à l’époque même imaginer. Son but original
de trouver l’homme idéal dans un gros ours
dominant s’était transformé en quelque chose de
différent et d’excitant. Son esprit, son corps, ses
émotions et ses sentiments s’entremêlaient dans
une relation complexe et symbiotique avec MasterBear.
Bien installé entre ses Maîtres, Slavecub profitait
de la chaleur et de l’odeur de mâle de ces
derniers. Leurs respirations constantes et profondes
lui indiquaient qu’ils dormaient. Les
dernières 24 heures avaient été assez difficiles
mais aussi gratifiantes. Il apprenait à endurer
pour ses Maîtres et d’y trouver son plaisir. C’était
différent, une sorte de lien se créait lentement
entre lui et MasterBear. DaddyBear avait réussi
rapidement à installer sa dominance et faisait
maintenant partie de la hiérarchie de la meute
comme il s’amusait à l’imaginer. Son corps avait
souffert mais ce n’était que passager. Le moment
était souvent difficile à passer mais par la suite
les gratifications compensaient bien cet inconfort.
Jamais on ne s’était occupé de lui de cette
façon. Il avait eu des relations « vanilles » avec
des gars mais à la longue ça devenait lassant,
répétitif et banal. De plus, aucun n’avait été un
Ours aussi massif que MasterBear. En fait il n’avait
jamais eu d’Ours avant et n’avait donc jamais
senti la présence que ceux-ci peuvent dégager.
Il étendit le bras et se mit à frotter le ventre de
MasterBear de sa main. La rondeur, le poil, la
chaleur et la fermeté de ce dernier l’excitait au
plus haut point. Il se perdit un instant dans la
fourrure de sa poitrine puis remonta. L’épaule, le
bras, puis descendant le long du dos jusqu’aux
fesses et sur la cuisse, sa main effleurant doucement
sa peau, il prenait un plaisir fou à le toucher
ainsi. MasterBear semblait apprécier puisque sa
respiration était maintenant plus lente et il se tortillait
pour exposer plus de chair ainsi que la
fente de ses fesses. SlaveCub passa sa main le
long de la colonne vertébrale descendant lentement
vers les fesses en suivant la ligne de poils
de son dos qui semblait indiquer le chemin à
prendre. Le poil y était plus dense et son doigt
s’inséra entre les joues de ses fesses pour doucement
frotter les côtés de son anus maintenant exposé.
Sans abuser, il remonta pour effectuer des
cercles le long du dos et remonter sur l’épaule
pour finalement se perdre dans la nuque de
l’Ours. Ses cheveux ras se redressaient et relevant
ses doigts, il put gratter doucement le cuir
chevelu du Maître ce qui entraîna une réaction
immédiate. La tête lui pencha vers l’avant et un
grognement de plaisir se fit entendre. Un frisson
lui traversa le corps et ses poils se dressèrent. Il
se rendit lentement jusqu’aux tempes et revint en
cercles concentriques vers la nuque. Le Maître
aimait ça. Il redescendit le long du dos et lui
frotta la fesse faisant encore des cercles pour
stimuler doucement son nerf sciatique puis écartant
sa main, il inséra ses quatre doigts dans la
fente de ses fesses, le majeur bien orienté vers
l’anus qu’il massât du bout du doigt.
Il sentit une main se poser sur son épaule et tirer
pour le retourner. Il dût se tourner vers Daddybear
qui, une main derrière la tête, lui plaqua
lentement le visage entre ses seins. Il l’orienta
vers l’un d’eux exigeant du fait même qu’il se le
mette dans la bouche. Slavecub s’exécuta, tétant
le sein du Daddy. De sa main libre, il prit l’autre