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serré contre moi, je pouvais sentir la queue
d’Alexandre durcir et prendre des dimensions que
je n’imaginais pas. Ensuite nous avons enlevé nos
t-shirts, j’ai tout de suite pris un téton dans ma
bouche, le sentait durcir sous ma langue.
Alexandre a gémi et déplacé ma bouche gourmande
vers son autre mamelon. J’ai commencé à
lécher mon chemin sur sa poitrine, en suivant la
ligne de poils jusqu’à la naissance de la queue. Je
m’agenouillai devant lui et abaissé son short. Sa
queue était dure et pas mal plus épaisse que celle
de tous les gars que j'avais rencontré jusqu’à ce
moment. J’ai déposé mes lèvres dessus, en ouvrant
grand, en poussant un soupir bruyant,
Alexandre m’a permis de prendre la tête dans ma
bouche, et le poussait à l’arrière de ma gorge.
Lentement, j’ai commencé à faire de va-et-vient
dans ma bouche, obtenant un grand gémissement
de plaisir d’Alexandre avec chaque poussée.
Soudain, Alexandre me repoussa. Haletant, il eut
le souffle coupé, en disant, «tu n’as fait qu’une
bouchée de ma queue».
Comme nous sommes entrés dans la chambre à
coucher, Alexandre se tourna et m’a ordonné d’enlever
mon jeans. En un rien temps, je l’ai enlevé et
lancé sur le côté et lui donnait un bon aperçu de
mon cul comme j’ai glissé dans le lit.
M’allongeant sur le dos, j’ai commencé à travailler
ma bite. Alexandre a pris place dans le lit devant
moi, les yeux sur ma queue dont le gland était
maintenant d’un rouge brillant par le precum qui
ruisselait. Avec ma main libre, j’ai commencé à
jouer avec sa queue, en prenant soin d’y aller
doucement. Je voulais son sperme chaud dans
ma bouche, pas sur le drap du lit.
Après un certain temps, j’ai demandé à Alexandre
de se mettre à cheval sur ma poitrine. Avec empressement,
il s’est déplacé en position et je l’ai
pris dans ma gorge à nouveau. Cette fois, Alexandre
était vraiment plus actif et a commencé à
baiser ma bouche en retenant ma tête. Mes mains
le caressaient, passaient à travers l’épaisse fourrure
sur sa poitrine et s’attardaient un moment
sur ses mamelons solides de temps en temps. Je
me suis perdu dans l’odeur de sueur d’Alexandre
et le bruit de ses gémissements de plaisir. Après
quinze minutes il était évident que ses couilles
étaient prêtes à se décharger de son jus. Comme
il a accéléré le rythme, j’ai commencé à utiliser
mes lèvres et la langue afin de créer une forte
aspiration sur sa queue engorgée.
Son souffle était lourd et l’enflure de ses couilles
m’a dit qu’il était submergé par un orgasme. En
réponse, j’ai enfoncé sa queue au plus profond
que je pouvais dans ma gorge. Avec ses poils pubiens
caressant mon nez, sa queue a commencé à
vibrer tout en envoyant de longs jets chauds dans
ma bouche et le long de ma gorge. Il venait tellement
que tout ce que je pouvais faire était
d’avaler son jus. Après avoir joui, avec un profond
soupir de satisfaction, Alexandre retira sa bite de
ma bouche, s’installa à côté de moi et me prit
dans ses bras.
« Merci» dit-il juste avant de me donner un long
baiser langoureux. Avec un sourire méchant, il me
regarda et dit : «Maintenant c’est à mon tour de
te goûter».
Sans perdre plus de temps. Il avait mon pénis
dans sa bouche. Après quelques secondes d’hésitation
sur les mouvements à prendre, il a pris une
cadence et une aisance surprenante pour un
débutant, ce qui a rendu ma queue dure.
Déjà super excité après l’avoir moi-même sucé, je
n'ai pas été très long à venir à mon tour. Je me
suis éloigné et ai éjaculé ma sauce sur sa poitrine
et son visage, avant de lécher mon sperme et de
l’embrasser, la bouche pleine de sperme. En souriant,
il s’installa à côté de moi, me tenant à proximité.
Après que nous ayons récupéré notre
souffle, j’ai pensé qu’il était temps de savoir ce
qu’il pensait de tout cela. En me donnant un
baiser, Alexandre a déclaré, «c’était un bon
début». Mais j’ai encore quelques idées que j’ai
envie d’essayer avant que Marie-Anick
revienne, surtout après avoir vu ton cul. l