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« Oui pourquoi pas, ça fait un bon moment qu’on<br />
n’a pas joué »<br />
Le Cub vit l’ombre du gros derrière descendre sur<br />
<strong>le</strong> siège et tout ce qu’il voyait maintenant c’était<br />
<strong>le</strong> gros cul de Pappy et son odeur qui emplissait<br />
ses narines.<br />
« Al<strong>le</strong>z nettoie-moi ça pendant qu’on joue et je ne<br />
veux pas que tu arrêtes tant que je ne te <strong>le</strong> dis<br />
pas…. Maudit je vais avoir de la misère à me concentrer<br />
sur la game moi! »<br />
« Ouais tu es déjà tout en sueur, chanceux! La<br />
prochaine fois j’amène <strong>le</strong> mien!»<br />
Sortant la langue, SlaveCub s’activa et nettoya <strong>le</strong><br />
cul du gros Pappy qui semblait bien apprécier. Il<br />
pointait <strong>le</strong> bout de sa langue <strong>le</strong> long de l’anus et<br />
cherchait <strong>le</strong>s points sensib<strong>le</strong>s qui faisaient réagir<br />
son homme. Une fois <strong>le</strong> goût initial passé, il prit<br />
plaisir à rimmer ce gros homme quelque peu pervers.<br />
Il sentait ses pieds lui frotter <strong>le</strong> long du<br />
corps et aimait la sensation que cela procurait à<br />
RAGING STALLION<br />
MILITIA<br />
travers <strong>le</strong> sac de cuir qui l’enveloppait. Un sentiment<br />
doux et distant à la fois. Parfois une main<br />
descendait et lui tapotait affectueusement la tête.<br />
« Tu fais bien ça mon petit cub, tu vas avoir <strong>le</strong><br />
droit de dormir dans mon lit ce soir et je vais te<br />
serrer comme il <strong>le</strong> faut. » Se <strong>le</strong>vant <strong>le</strong> Pappy <strong>le</strong> regarda<br />
avec un sourire. Se penchant, il lui réinstalla<br />
<strong>le</strong> bâillon et boutonna la partie du masque<br />
couvrant <strong>le</strong>s yeux. « Tu m’aides on va <strong>le</strong> déplacer<br />
dans <strong>le</strong> lit ». Slavecub se sentit <strong>le</strong>ver de terre et<br />
porté jusqu’à la chambre ou il fut déposé sur <strong>le</strong><br />
lit. Il sentit des manipulations de chaines, de cadenas<br />
et de sang<strong>le</strong>s et quelques moments plus<br />
tard <strong>le</strong> lit se mit à bouger alors que <strong>le</strong> gros Pappy<br />
se couchait près de lui. Il sentit une main <strong>le</strong> serrer<br />
et <strong>le</strong> corps mou du Pappy se col<strong>le</strong>r tendrement<br />
sur <strong>le</strong> bodybag.<br />
« Pappy reste avec toi mon Boy, tu vas faire des<br />
beaux dodos. Avec moi, ce serait comme ça<br />
chaque soir ». l