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qu’il massa doucement. DaddyBear semblait aimer.<br />
SlaveCub sentit la main dodue du Daddy se rendre<br />
à son sein droit qu’il pinça fermement. Il gémit de<br />
dou<strong>le</strong>ur surpris de ce geste. « tssss, tssss », dit<br />
DaddyBear serrant plus fort « tu ne chignes pas ».<br />
Le Cub se tût et cessa de téter <strong>le</strong> sein du Daddy. «<br />
Heyyy, Heyyy » dit <strong>le</strong> Daddy serrant soudainement<br />
<strong>le</strong> sein du Cub de toutes ses forces. La dou<strong>le</strong>ur<br />
était intense et Slavecub se remit rapidement à<br />
téter et à masser l’autre sein du Daddy. Il relâcha<br />
un peu de pression mais conservât tout de même<br />
une pression solide et douloureuse.« Good Boy »<br />
Le message était clair. Daddy aimait se faire servir<br />
mais il aimait aussi que son boy endure pour lui.<br />
MasterBear semblait s’être rendormi alors aucun<br />
espoir de ce côté, il devait endurer. DaddyBear<br />
semblait s’exciter de plus en plus et se touchait de<br />
sa main libre. Son membre grossissait et l’odeur<br />
du précum venait aux narines du Cub. DaddyBear<br />
serrait de plus en plus fort et <strong>le</strong> Cub s’activait à<br />
mesure qu’il s’excitait, sa respiration était rapide<br />
et la sueur commença à cou<strong>le</strong>r sur son ventre. Le<br />
Cub sentait <strong>le</strong> Daddy se masturber rapidement,<br />
avec plus de vigueur. Il allait bientôt venir. Sa main<br />
relâcha son sein, la dou<strong>le</strong>ur cessa et d’un geste<br />
rapide et pris la tête du Cub et l’amena sur son<br />
engin <strong>le</strong> forçant à <strong>le</strong> prendre au comp<strong>le</strong>t dans sa<br />
bouche. Immédiatement <strong>le</strong> sperme gicla. Le Daddy<br />
<strong>le</strong> tenait fermement venant abondamment dans sa<br />
bouche en gémissant de plaisir. Il avala <strong>le</strong> tout<br />
rapidement, <strong>le</strong> goût amer et étranger du Daddy lui<br />
emplissant la bouche. « Tu prends tout et tu nettoies<br />
comme il <strong>le</strong> faut mon Boy ». Pendant près<br />
d’une minute <strong>le</strong> Daddy venait par secousses, malgré<br />
son âge, il demeurait tout un étalon. S’exécutant<br />
comme il se doit et comme il l’avait appris,<br />
SlaveCub nettoya <strong>le</strong> membre du Maître doucement<br />
jusqu’à ce que ce dernier lui indique d’arrêter. «<br />
Ahhhh, al<strong>le</strong>z, va dans la sal<strong>le</strong> de bain et laves toi<br />
comme il <strong>le</strong> faut, on sort ce soir et je veux que tu<br />
sois propre de partout ».<br />
Lorsqu’il sortit de la sal<strong>le</strong> de bain, SlaveCub était<br />
nu comme d’habitude lorsqu’il visitait <strong>le</strong> Maître.<br />
Les deux s’étaient habillés, MasterBear portait <strong>le</strong><br />
cuir comme d’habitude mais <strong>le</strong> Daddy portait ses<br />
vêtements de travail. De grosses bottines à cap<br />
d’acier et ses bretel<strong>le</strong>s. Il semblait sortir directement<br />
d’un chantier de construction. Il tenait la<br />
laisse dans sa main et l’attacha au cou du Cub. Un<br />
étrange appareil se trouvait près de la porte du<br />
garage. Un petit banc en forme triangulaire monté<br />
sur rou<strong>le</strong>ttes. Des sang<strong>le</strong>s y étaient rivetées.<br />
« Mets-toi là-dessus » Slavecub regarda l’étrange<br />
appareil sceptique et s’y installa en se penchant<br />
vers l’avant. C’était un peu comme une tab<strong>le</strong> de<br />
massage mais pliée en deux exposant son derrière<br />
bien en vue et à parfaite hauteur pour quiconque<br />
voudrait l’utiliser. Réalisant ce que c’était, il tenta<br />
de se re<strong>le</strong>ver. MasterBear <strong>le</strong> plaqua sur <strong>le</strong> banc<br />
pendant que DaddyBear lui attachait <strong>le</strong>s mains<br />
avec <strong>le</strong>s sang<strong>le</strong>s« Nonn!!! » cria-t-il.<br />
« Quoi? Vas-tu crier <strong>le</strong> safeword? » lui demanda<br />
MasterBear.<br />
Il hésita alors que <strong>le</strong> Daddy continuait de l’immobiliser<br />
sur <strong>le</strong> banc. Ses mains étaient prises, ses<br />
pieds aussi. Des sang<strong>le</strong>s beiges comme ils utilisent<br />
dans <strong>le</strong>s hôpitaux furent attachées sur son corps<br />
l’immobilisant complètement. Testant <strong>le</strong>s sang<strong>le</strong>s,<br />
il vit qu’il ne pouvait plus bouger ou se libérer. C’était<br />
maintenant qu’il devait décider s’il continuait<br />
ou non. Voyant <strong>le</strong> bâillon s’approcher de son visage,<br />
il ouvrit la bouche et prit <strong>le</strong> bâillon, sa décision<br />
était prise, il était soumis. Un masque à gaz<br />
fût installé sur son visage et encore une fois<br />
l’odeur de l’urine de DaddyBear envahit ses narines.<br />
Il était maintenant bien attaché sur cet appareil,<br />
immobilisé <strong>le</strong> cul bien disponib<strong>le</strong>. Il sentit<br />
une chaîne être attachée entre ses pieds. Une<br />
autre chaine fut attachée pour relier ses mains ensemb<strong>le</strong>s<br />
après qu’une paire de mitaines de cuir<br />
rigide lui furent enfilées. Les mitaines étaient si<br />
dures qu’il ne pouvait pas <strong>le</strong>s plier. Voyant à peine<br />
à travers <strong>le</strong> masque, il se sentit déplacé avec l’appareil<br />
vers <strong>le</strong> garage où une camionnette était stationnée.<br />
Les deux Ours <strong>le</strong> déplaçaient comme on<br />
déplace un meub<strong>le</strong> ou un objet. L’appareil fut roulé<br />
jusque derrière la camionnette. Ils ouvrirent <strong>le</strong>s<br />
portes arrière et <strong>le</strong> prenant à deux, ils <strong>le</strong> <strong>le</strong>vèrent<br />
pour l’insérèrent à l’intérieur sur <strong>le</strong> métal nu de la<br />
camionnette. Des sang<strong>le</strong>s à cliquet furent installées<br />
pour <strong>le</strong> stabiliser au centre de la camionnette,<br />
il resterait ainsi pour <strong>le</strong> voyage.<br />
« C’est comme ça qu’on déplace un boy, tu vois, il<br />
ne faut pas qu’il lui passe dans la tête l’idée de se<br />
sauver. Il doit se sentir en bondage comp<strong>le</strong>t<br />
lorsqu’il sort de la maison. Quand tu quittes la<br />
maison alors que tu es en service, je dois m’assurer<br />
que tu ne peux pas te sauver. Tu es<br />
chanceux, j’en connais qui déplacent <strong>le</strong>ur boy<br />
dans une boite bien cadenassée »<br />
Il entendit une autre voix « Bon enfin, je commençais<br />
à m’impatienter et mon Pappy l’attends<br />
aussi depuis un bon moment. Je m’occupe de lui