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TABLEAUX ANCIENS - Tajan

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62 LOUIS LAGRENÉE DIT L’AÎNÉ<br />

(Paris 1725 - Paris 1805)<br />

SAINTE MARIE-MADELEINE<br />

Toile<br />

46 x 37,5 cm<br />

Accident<br />

4 000 / 6 000 €<br />

PROVENANCE :<br />

Vente Lagrenée l’aîné, Paris, (Maître Merault) 12 novembre 1814,<br />

n° 9.<br />

EXPOSITION :<br />

Salon de l’An IV (1795), n° 268.<br />

BIBLIOGRAPHIE :<br />

M. Sandoz, Les Lagrenée I Louis Lagrenée, Paris, 1983, p. 293,<br />

n° 390 (Localisation inconnue).<br />

Le tableau que nous présentons était disparu jusqu’alors. Il fut<br />

exposé au salon de l’An IV avec son pendant Vierge se disposant<br />

à allaiter l’enfant Jesus présenté sous le numéro 280.<br />

62<br />

63 HUGUES TARAVAL<br />

(Paris 1729-1785)<br />

UNE FILEUSE<br />

Toile<br />

61,5 x 51 cm<br />

Monogrammée en bas à droite et datée : HT 1783<br />

6 000 / 8 000 €<br />

Fils et élève de son père, Thomas-Raphaël, Jean-Hugues Taraval<br />

s’inspire des œuvres de François Boucher, Jean-Baptiste Marie<br />

Pierre ou Jean-Baptiste Greuze.<br />

Il est appelé à la cour de Stockholm où il devient le peintre du roi<br />

de Suède, il était membre de l’Académie de Stockholm et<br />

y fonda une école de peinture.<br />

En 1756, il obtint le prix de Rome pour son œuvre Jacob exposé<br />

aux reproches de sa femme, actuellement conservée au<br />

Musée des Beaux-Arts de Marseille.<br />

64 ATTRIBUÉ À LOUIS-JEAN-FRANÇOIS LAGRENÉE DIT LAGRENÉE L’AÎNÉ<br />

(1725-1805)<br />

CHARLES ET UBALDE ALLANT CHERCHER RENAUD RETENU DANS LE PALAIS D’ARMIDE<br />

Sur sa toile d’origine<br />

60 x 73 cm<br />

Au revers une étiquette avec une inscription manuscrite : M de beurnonville<br />

Dans un cadre en bois sculpté doré, travail français d’époque Louis XVI<br />

8 000 / 12 000 €<br />

Notre tableau est probablement un ricordo de l’artiste pour une œuvre peinte en 1785 par Louis-Jean-François<br />

Lagrenée pour le Comte d’Angivilliers.<br />

66<br />

63<br />

Il est agréé à l’Académie en 1765 et il devient Académicien<br />

en 1769 pour l’exécution du plafond de la galerie d’Apollon<br />

au Louvre, représentant le Triomphe de Bacchus.<br />

Le sujet est tiré de La Jérusalem délivrée du Tasse, très en vogue au XVIII e siècle :<br />

“Charles et Ubalbe allant chercher Renaud retenu dans le palais d’Armide, rencontrent les nymphes qui les engagent<br />

à quitter leurs armes et à se rafraîchir avec des fruits qu’elles leur présentent. Mais Ubalde, muni de la baguette d’or<br />

que la sage Mélisse lui a confiée, et averti par elle du danger de céder à leurs perfides caresses, dissipe par cette même<br />

baguette les prestiges enchanteurs qu’Armide lui avait fait naître sur leur passage pour les empêcher de lui enlever<br />

son amant”.<br />

67

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