La salle d'injection de King Cross

More documents

Recommendations

Info

Le public a t’ il été trompé ? L’unité des relations publiques de la salle d’injection a constamment déclaré que dans la salle d’injection chaque intervention sur une overdose était une vie sauvée. Ceci a eu comme conséquence un appui accru du public qui est passé de 68% en 2000 à 78% en 2002. Le fait est que leurs propres conseillers ont constaté qu’une overdose sur 25 n’est jamais fatale, pourtant ce qui suit a été rapporté : “Quatre overdoses ont été enregistrées sur le site. Dans chaque cas, l’usagé est arrivé seul au centre, ce qui est un facteur de risque connu dans la mort par overdose“, Dr Van Beeck. “potentiellement, nous avons sauvé quatre vies dans le premier mois“ Kelly Burke – SMH 22/6/2001. “Dans le premier mois de fonctionnement, quatre vies ont été sauvées….“ John Della Bosca, NSW Ministre Spécial d’État, NSW conseil législatif de Hansard 4 juillet 2001, basé sur les dires du Dr Van Beeck “Depuis son ouverture controversée il y a trois mois, le centre de King Cross de Sydney…. dit que son personnel a sauvé plus d’une douzaine de vies des overdoses“ Rapporté par Joe O’Brien The World Today Archive – Mercredi 15 août 2001 “La visite se terminait avec un forum public…. Prudent de ne pas promouvoir le centre à ce stade comme n’importe quoi d’autre que la solution à un problème local (c’est à dire: prévention d’overdose fatale à King Cross), le Dr Van Beek a présenté l’évidence fascinante que dans les neuf premiers mois, le centre a sauvé plus de 100 vies“ http://www.hepatitisc.org.au/resources/documents/36_01pdf “A ce jour, l’evaluation de la salle d’injection a rapporté qu’il y avait 2729 clients inscrits et 250 overdoses. Donc, en raison du personnel qualifié, 250 vies ont été sauvées“ The Hon Bryce Gaudry MP, NSW Legislative Assembly Hansard29 May 2002 basé sur les dires du Dr van Beek. “Au final, on s’attend à ce qu’un rapport sur le centre d’injection controversé de King Cross déclare un succès retentissant, qu’il a sauvé des centaines de vies“ Steve Dow & Frank Walker – Sun Herald 15 juin 2003 Pourquoi cette erreur n’a-t-elle pas été continuellement corrigée ? Drug Free Australia est l’organisme australien qui regroupe tous les organismes et associations familiales qui veulent prévenir l’usage de drogues illicites. Voici le point de vue de Drug Free Australia : Les communautés sont bien informées du danger des drogues illicites et sont dotés de stratégies anti-drogue efficaces. Drug Free Australia Ltd, ACN 102 169 139 National Office: PO Box 497, Elizabeth SA 5112 Phone: 08 8287 6815 Fax: 08 8255 2768 E-mail: admin@drugfree.org.au
- Seulement 38% des injections sont d’héroïne - Utilisé en dessous des 2/3 de sa capacité - Statistiquement, pas une vie n’a été sauvée par an. 10 choses cruciales que vous avez besoin de savoir En 2006, à l’intérieur de la salle d’injection, seulement 31% des injections étaient des injections d’héroïne. Les substances telle que l‘Ice’, hautement destructive à long terme, mais ne présentant pas de risques élevés d’overdose immédiate, sont communément injectées, comme l’est la morphine sur ordonnance. L’Organe International de Contrôle des Stupéfiants a spécifiquement ‘accusé’ l’essai de la salle d’injection de King Cross comme étant en infraction avec les conventions internationales contre l’usage de drogue illicite. Cet essai n’utilise pas d’héroïne légale mais, dépend plutôt de la procuration illégale d’héroïne des clients, transportant illégalement de l’héroïne et utilisant illégalement de l’héroïne. En outre, si l’essai de la salle d’injection avait été valide, l’évaluation de 2003 aurait dû marquer la fin de l’essai. Les résultats auraient du être expédié à l’OICS et la salle d’injection fermée. En moyenne, sur chaque injection faite par un usagé, une seule l’était dans la salle d’injection, en dépit d’avoir dit au public que chaque injection héroïne est potentiellement fatale. La salle d’injection est si peux employée que la moyenne des injections est de 200 par jour malgré une capacité de 330 par jour. Basé sur les chiffres des overdoses publiées par le centre d’injection médicalement supervisé (MSIC) le taux d’overdoses dans la salle d’injection était 36 fois plus élevé que dans les rues de King Cross. Le taux élevé d’overdoses a été attribué par le propre rapport d’évaluation du MSIC aux clients prenant plus de risques avec des doses plus élevées d’héroïne dans la salle d’injection. Plus d’héroïne injectée signifie plus d’héroïne vendue par les dealers de drogue de King Cross. Actuellement, 1.6% des australiens ont utilisé de l’héroïne. Cependant, les sondages montrent que 3.6% des répondants de Nouvelle Galles du Sud disent qu’ils auraient utilisé de l’héroïne si une salle d’injection était à leurs disposition, pour la plupart pour la première fois, ce qui, potentiellement, doublerait le nombre qui utiliserait la drogue. L’évaluation du gouvernement de 4 vies sauvées par an ne prend pas en compte le taux énormément accru d’overdoses. Ajusté aux taux élevés, la salle d’injection a statistiquement sauvé 0,18 vies dans sa période d’évaluation de 18 mois. Seulement 11% des clients de la salle d’injection ont été référé à un traitement de maintenance, désintoxication ou réhabilitation. 35% des clients ont été référé à la désintoxication, et seulement 1% référé à la réhabilitation. Aucun des principaux centres de réhabilitations de Sydney tels que Odyssey House, WHOS ou The Salvation Army n’a jamais aperçu une des références. La salle d’injection n’a pas amélioré la tranquillité publique. La salle d’injection a évidement conduit les dealers de drogue à ses portes. Les réductions du nombre d’injections sur la voie publique et de seringues jetées, à King Cross est seulement du à la diminution de la distribution de seringues, du fait de la rareté de l’héroïne. De récents rapports indiquent des augmentations de seringues jetées sur la voie publique. L’évaluation ‘indépendante’ de la salle d’injection, financée par le gouvernement est sortie le 9 juillet 2003. Une grande partie des données de ce rapport, provient de cette évaluation. Elle a été réalisée par une équipe de 5 chercheurs. 3 d’entre eux étaient des collègues du directeur de la salle d’injection à la faculté de médecine universitaire de Nouvelle Galles du Sud. Un quatrième chercheur faisait partie de ceux qui durant le sommet de drogue de Nouvelle Galles du Sud en 1999, ont proposé l’essai de la salle d’injection. Drug Free Australia a remis en cause l’indépendance de cette équipe d’évaluation.
Page 1: La salle d’injection de King Cros
Page 5 and 6: - Seulement 38% des injections sont

La salle d'injection de King Cross

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?