La salle d'injection de King Cross

Statistiquement impossible
de sauver même une vie
par an (coût : $2.5 million par an)
Seulement deux statistiques ont besoin d’être connues pour
démontrer que la salle d’injection ne peut, probablement pas
sauver même une vie, statistiquement, par an.
Statistique 1 :
Moins de 1% des utilisateurs dépendants de l’héroïne meurent
d’une overdose chaque année en Australie.
Statistique 2 :
Un utilisateur dépendant d’héroïne, se fait ‘au moins’ 3
injections d’héroïne par jour
En prenant ces deux statistiques ensemble, il est clair
que la salle d’injection aurait besoin d’accueillir 300
injections par jour (exemple: assez d’injections pour 100
toxicos d’héroïne s’injectant 3 fois par jour) avant qu’ils ne
puissent clamer qu’ils ont sauvé une vie (1%) de ces 100 qui
seraient mort.
Mais, la salle d’injection n’avait qu’une moyenne de 156
injections d’héroïne par jour depuis que sa période
d’évaluation est terminée.
Table 8.4 Nombre (pourcentage) des résidents de King Cross et NSW
rapportant qu’ils utiliseraient le MSIC et la raison pour l’utiliser.
Caractéristiques King Cross NSW
2000 2002 2000 2002
n=515 n=540 n=1018 n=1070
Un coût élevé pour un faible bénéfice
La salle d’injection coûte $2.5 million par an pour fonctionner.
C’est assez d’argent pour le gouvernement deNouvelle Galles
du Sud afin de fournir 109 lits pour la réhabilitation ou pour
approvisionner plus de 700 utilisateurs d’héroïne en implants de
Naltrexone pour une année entière.
La sûreté d’injecteur non augmentée
Les toxicos s’injectent, au moins, 3 fois par jour, ou, environ
1100 fois par an. Si un utilisateur d’héroïne voulait éviter une
overdose fatale, il devrait faire chaque injection dans la salle
d’injection. Mais, les clients, en moyenne, y vont 2 à 3 fois par mois,
se laissant ouvert à une overdose fatale pour 34 sur 35 de leurs
injections d’héroïne.
A augmenté l’utilisation d’héroïne
Le tableau ci-dessous reproduit les résultats de deux sondages
commissionnés par les évaluateurs de la salle d’injection, un
en 2000 avec 1018 répondants et l’autre, en 2002, avec 1070
répondants.
Dans chaque cas, on a demandé aux répondants si ils utiliseraient
la salle d’injection si elle était à leurs dispositions. 3.6% ont
répondu qu’ils iraient. Pourtant, seulement 1.6% dans le sondage
du National Drug Strategy Household, indiquait une utilisation
antérieur d’héroïne. De façon alarmante, 26 des 28 qui ont
répondu affirmativement, dans le sondage de 2002, n’avaient
jamais utilisé d’héroïne avant. Si plus de salle d’injection étaient
ouvertes, cela pourrait amener à plus d’utilisation d’héroïne.
Qui utiliserait un SIC 19 (4%) 0 (0%) 47 (5%) 28 (3%)
Raison pour l’usage du MSIC
Sécurité 12 (2%) - 19 (2%) 18 (2%)
Hypothétique 5 (1%) - 2 (