ACTUAlITé - Brunoy

EXPRESSION DES GROUPES
Ensemble pour Brunoy
Des moyens accrus pour la prévention
La prévention spécialisée est une compétence des
Départements qui s’exerce sur des territoires d’action concertée
en partenariat avec les collectivités locales et les associations
de prévention. Au plan local, ses missions sont
conduites dans le cadre d’une collaboration étroite entre la
Communauté d’agglomération, les communes et l’association
Val d’Yerres Prévention (VYP). Cette organisation garantit
la cohérence et l’efficacité des actions au plus près des
besoins socio-éducatifs repérés sur le territoire. Récemment,
la Communauté d’agglomération a renouvelé sa convention
avec le Conseil général et Val d’Yerres Prévention. Cet engagement
procure jusqu’en 2013 les moyens d’une politique
volontariste en direction des jeunes et des familles les plus
fragiles dans le respect des obligations des signataires. La
CAVY a ainsi augmenté sa subvention à l’association pour
renforcer les moyens d’actions des éducateurs. En participant
à terme à plus de 20 % au budget de VYP, ce sont ainsi
plus d’interventions en faveur de la prévention des risques
rencontrés par les jeunes : racket, violence, addiction, intolérance,
sexisme… et en faveur de l’accompagnement social
qui seront réalisées au travers de la présence de rue, d’actions
collectives et de suivis individuels au sein d’un travail
partenarial.
Nous nous en réjouissons.
Danielle Duverger,
adjointe au Maire chargée de la jeunesse
et de la politique de la ville
Votre ville autrement
MARS 2008 – MARS 2011 :
quel bilan ?
La majorité municipale effectue son 7ème mandat. Quels sont
les projets qu’elle a lancés à mi-mandat ? Aucun. Au bout de
3 ans, nous n’avons vu que de la gestion courante.
Deux nouvelles pour Brunoy : une bonne et une mauvaise ! La
bonne : les finances sont saines. La mauvaise : Brunoy continue
à vivoter.
En revanche, la majorité communique très bien sur les projets
qu’elle va réaliser… l’année précédant les élections.
Lors de la cérémonie des vœux, elle a présenté ses projets
de jardins familiaux, de parcs au bord de l’Yerres, dont l’un
"XVIII e siècle". Nous avons même été mieux informés sur ces
Agir autrement pour Brunoy
UN CHOIX DE BON SENS !
Après l’incendie du gymnase de la Glacière, l’indemnisation
de l’assurance et le responsable poursuivi, l’idée d’offrir aux
Brunoyens un "super-gymnase" en combinant les subventions
de la région et du département pouvait paraître défendable.
Rareté du foncier oblige, les terrains du CMCL, aujourd'hui
Maison des Arts, ont été choisis.
Or, vu le prix d’un gymnase d’intérêt régional, nous avions
contesté ce projet, ainsi que le choix du terrain en raison du
futur classement de la vallée de l’Yerres.
Pour réaliser cet équipement, le conseil municipal du
15/09/2005 avait décidé le déménagement des serres
et des cultures municipales sur une propriété agricole à
projets lors des vœux que dans les différentes commissions
auxquelles nous participons ! En langage technocratique :
"des projets de mise en valeur du patrimoine naturel, dans le
respect du développement durable".
Pire, la majorité annonce qu’"en 2011 plus que jamais, le
quartier des Provinciales sera au cœur de ses préoccupations".
Il était temps ! Après 6 mandats, 3 ans pour lancer
une étude sociologique sur la ville et sur ce quartier : impressionnant
!
Et pourtant, du fait des difficultés sociales dans ses quartiers
d’habitat social, la ville reçoit plusieurs millions d’euro de
subvention au titre de la Dotation de Solidarité Urbaine et du
Fonds de Solidarité des communes de la Région. Cherchez
l’erreur.
Le groupe des élus de gauche
Mandres Les Roses acquise pour 335 000 €. Sur ce terrain
de 14 400 m 2 sont déjà implantées des serres de 3 500 m 2 ,
un hangar de 400 m 2 et un pavillon de 90 m 2 . La ville envisagea
aussi le transfert du Centre Technique Municipal pour
gagner du foncier sur Brunoy.
La décision de reconstruire le gymnase de la Glacière pour
un coût de 2,2 M€ (TTC) et de céder la structure provisoire
au lieu de construire un "super-gymnase" va dans le bon
sens. Celui d’un investissement plus modeste, mieux adapté
à nos moyens.
Si la "bonne affaire" sur les terrains dédommage des frais
d’étude engagés, maintenant une réflexion devrait suivre
pour mieux gérer la propriété à Mandres.
Dominique CHEMLA et Marie-Anne VARIN
Un mois en ville n°91 - mars 2011
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