RAPPORT SUR PLU T1 RV

N° 05.004
l’arrondissement, avec une très importante concertation sur le terrain, grâce
notamment à la participation des conseils de quartier.
L’affichage des plans a été effectué dans le hall de la mairie et dans le
couloir menant aux bureaux des Services généraux, où les dossiers étaient tenus à
la disposition du public, en dehors des permanences.
Le commissaire enquêteur a demandé que la consultation des plans ne
soit pas gênée par d’autres manifestations, et il a été écouté. Les permanences se
sont tenues à la salle du Conseil, vaste et confortable, que les visiteurs ne
semblaient avoir aucun mal à trouver, bien qu’elle soit située de l’autre côté d’une
cour, et que la signalisation ait été discrète. Le service d’accueil de la mairie y a sans
doute contribué.
Grâce à ce dispositif, appuyé discrètement par M. LAVEISSIERE, et
sans doute également à cause d’une fréquentation raisonnable des visiteurs pendant
les permanences (au nombre de 70 environ), l’enquête s’est déroulée dans de
bonnes conditions, et plusieurs visiteurs ont tenu à faire part de leur satisfaction au
commissaire enquêteur. Des photocopies ont pu être délivrées à certains
demandeurs, en quantité modeste d’ailleurs Une seule personne, qui se refusait à
consulter les pièces du dossier, a montré de l’agacement car elle aurait souhaité
bénéficier d’une conférence sur les perspectives de l’urbanisme parisien.
A noter que le commissaire enquêteur a pu bénéficier régulièrement, à
sa demande, des photocopies des observations déposées, de la part des services
généraux, chargés de la même mission pour la mairie de Paris.
3.5.2.1.20. Conditions d’organisation dans le
20 ème arrondissement
Dans le 20 ème arrondissement, un contact préliminaire a été pris par le
commissaire enquêteur avec les services de la mairie. Il a rencontré le 27 mai 2005,
Mme Dominique LAGADEC chargée de mission au cabinet du Maire, puis Mme
Fabienne GIBOUDEAUX, conseillère de Paris, déléguée à l’urbanisme pour le 20 ème
arrondissement, ainsi que M. Pierre BELLENGER, directeur général des services de
la mairie.
Une deuxième rencontre avec Mme Dominique LAGADEC a eu lieu le
2 juin, et a été consacrée à des visites sur le terrain dans différents quartiers.
Les conditions matérielles proposées pour la tenue des permanences,
dans un hall de réception et d’exposition, bien qu’acceptées par la mission PLU,
n’ont pu être retenues par le commissaire enquêteur, et ce local a été réservé à
l’affichage des plans de l’exposition.
Devant la pénurie de locaux, due en partie à des chantiers de travaux,
on lui a proposé de répartir les permanences dans trois salles de réunion, en fonction
de leur disponibilité. Malgré les inconvénients évidents d’un tel dispositif, il a pu
fonctionner, grâce à l’affichage des trois lieux de réunion et à un fléchage efficace, et
aussi grâce à beaucoup de bonne volonté de la part de tous.
En dehors des périodes de permanence, le dossier d’enquête a été
tenu à la disposition du public au service d’accueil de la mairie. Malgré la parfaite
Enquête publique relative à l’élaboration du
Plan Local d’Urbanisme (P.L.U) sur le territoire de la ville de Paris
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