LEGEND LIN DANCE THEATRE - Maison de la Culture d'Amiens

dossier de presse
danse / musique
LEGEND LIN DANCE THEATRE
Chants de la Destinée
conception : Lin Lee-Chen
© photo Chin Cheng-Tsai
jeudi 10 novembre / 20h30
à la Maison de la Culture d’Amiens
contact presse régionale : Sylvie Compère : s.compere@mca-amiens.com
location : MCA : 03 22 97 79 77 / www.maisondelaculture-amiens.com
FNAC, Carrefour, Géant, Système U, Intermarché / www.fnac.com - www.carrefour.fr -
www.francebillet.com / 0 892 68 36 22 (0,34e/mn)
prix des places de 13 à 30 euros
Maison de la Culture d’Amiens - Centre de création et de production - Direction : Gilbert Fillinger
Place Léon Gontier - CS 60631 - 80006 Amiens cedex1 - Tél. 33 (0)3 22 97 79 79 – Fax 33 (0)3 22 97 79 90
e-mail : accueil@mca-amiens.com - site : www.maisondelaculture-amiens.com

LEGEND LIN DANCE THEATRE
Chants de la Destinée
direction artistique, chorégraphie, musique :
Lin Lee-Chen
costumes :
Tim Yip
lumières :
Cheng Kuo-Yang
scénographie :
Chang Wang
La musique de Chants de la Destinée comprend des passages empruntés à "Ohm" et à "Tengpoche Monastery", extraits de
l’album de Manose Singh Dhyana Aman : Meditation of No Mind et un passage emprunté à "Naked Spirits" de l’album
éponyme de Sainkho Namtchylak (avec Djivan Gasparyan).
avec :
chanteur :
Hsu Ching-Chwen
musiciens :
Wu Chung-Hsien, Liao Po-Sheng, Huang Zi-Lin
danseuses :
Tsai Bi-Jue, Wu Ming-Ching, Lin Jui-Yu, Wu Hsiu-Hsia, Lin Yen-Chen, Wang Chien-Yi,
Kuo I-Chun, Lee Hui-Ju, Feng Kai-Lun, Lin Yi-Hsuan, Chen Yi-Wen, Hsieh Shan-Ti
danseurs :
Lee Ming-Wei, Cheng Chieh-Wen, Ping Yen-Ning, Huang Yao-Ting, Chen Hsuan-Ting,
Chen Chi-Shun, Yang Ming-Kuei, Chan Kai-An, Emmanuel Lin
production : National Chiang Kai-Shek Cultural Center (NTCH) - 2009 NTCH Flagship Production
avec le soutien du Conseil National des Affaires Culturelles de Taïwan et du Centre Culturel de Taiwan à Paris
DURÉE : 2 H
saison 11/12 - dossier de presse LEGEND LIN DANCE THEATRE – p. 2

PRÉSENTATION
Sensuelles et sauvages, fascinantes et poétiques les images créées par le Legend Lin Dance Theatre
sont une superbe méditation visuelle. Le tout premier solo créé en 1976 par cette illustre compagnie,
N’oubliez pas votre ombrelle, l’avait déjà projetée sur la scène internationale. Depuis, les spectacles
chorégraphiés et mis en scène par Lin Lee-Chen font le tour du monde et on regrette leurs trop rares
passages sur nos scènes occidentales. Cette native de Taiwan, qui a étudié la danse à l’Université de la
culture chinoise de Taipei, crée des pièces en miroir, le passé / le présent, les cultures d’hier et
d’aujourd’hui, l’orient / l’occident, la tradition / le présent… ne se départant jamais d’un souci esthétique
fort. Il s’en dégage une troublante beauté car elle redonne aux gestes rituels banalisés par la pratique
toute leur portée symbolique. Elle a confié la conception des costumes à Tim Yip, le célèbre costumier
et directeur artistique ayant reçu, à ce titre, deux oscars pour le film de Ang Lee, Tigre et Dragon. Vingtcinq
danseurs et musiciens en état de transe donnent au spectacle une dimension spirituelle, presque
mystique. C’est le Centre National de la Danse, le Théâtre National de Chaillot, la Maison de la Culture
d’Amiens ou le Festival d’Avignon qui accueillent en France cette production Taiwanaise… Ces Chants
de la Destinée sont autant de miroirs de vie, que la chorégraphe inspirée dresse au pluriel pour que
chacun puisse trouver sa voie. Alors, n’oubliez pas votre ombrelle et partez en balade…
Hervé Pons
saison 11/12 - dossier de presse LEGEND LIN DANCE THEATRE – p. 3

PRÉSENTATION
Legend Lin Dance Theatre est le trésor caché de la danse de Taiwan : à sa tête, Lee-Chen Lin, pédagogue
et chorégraphe saluée en Asie pour son approche sensible d’un passé composé au présent. Depuis son
premier solo en 1978, Don’t Forget Your Umbrella, Lee-Chen Lin s’attache à revivifier une certaine identité à
travers la culture de Taiwan. Certains ont pu voir en France (au Festival d’Avignon et à la Biennale de la
Danse de Lyon) Miroirs de vie, vaste pièce qui s’inspirait d’une cérémonie traditionnelle taoïste, le jiao. Ce
rituel populaire revisité prenait la forme d’un spectacle enchanteur. Le spectacle suivant, Hymne aux fleurs
qui passent, autour du cycle des saisons, transporta le public de la Biennale de la Danse de Lyon et voyagea
aux États-Unis, en Italie et en Allemagne. La reconnaissance internationale de la compagnie n’a depuis
cessé de grandir. C’est avec une création nouvelle, Chants de la destinée, que Lee-Chen Lin se présente
enfin à Chaillot. Croyant en une résonance entre les humains, les esprits et les dieux, la chorégraphe invite
dans sa pièce le chant du chamane à accompagner ce conte autour d’une rivière mystique et d’un
mystérieux aigle. Chants de la destinée, clôt ainsi la trilogie du Legend Lin Dance Theatre autour du Paradis,
de la Terre et de l’Homme. Pour construire ce cérémonial où la danse traduit les émotions de nos âmes, Lee-
Chen Lin a laissé mûrir durant huit années ce projet d’envergure.
D’une rare beauté formelle, maniant violence et calme, l’art du Legend Lin Dance Theatre porte le
mouvement à des sommets d’émotion. Une découverte qui devrait vous emmener très loin.
Philippe Noisette
Les danseurs talentueux qui travaillent chaque jour sous la direction de la chorégraphe Lin Lee-chen dans
l’enceinte du Human Rights Memorial de Taipei s’attachent à donner corps au conte poétique des Chants de
la destinée. La force et la puissance de la quiétude invitent ici à la réflexion. Cette nouvelle pièce
chorégraphique porte sur la vie de l’homme, dépeignant étape par étape ses luttes internes, son tiraillement
entre deux forces – pas nécessairement le bien et le mal, explique Lin, directrice artistique du Legend Lin
Dance Theatre (Wougow en chinois), pour qui cette pièce dansée, rythmée par les martèlements des
percussions, est étroitement liée à la nature.
La vision exploratoire de Lin, qui fait la part belle aux cultures anciennes, propose l’évocation de deux aigles,
des créatures de légendes et folklores pourvues de serres, qui protègent leur domaine respectif depuis les
sommets de deux montagnes au milieu desquelles coule une rivière. Le courant suivra-t-il son trajet naturel
pour nourrir la terre ? Ou sèmera-til le chaos à cause de la main destructrice de l’homme contre la Terre
nourricière, qui se transformera en une rivière de larmes ?
« Ma première production pour le Legend Lin Dance Theatre, Miroirs de vie traitait de la relation entre
l’homme et les esprits, commente Lin. Ma pièce suivante, Hymne aux fleurs qui passent se penchait sur la
relation entre l’homme et les dieux. Chants de la destinée (Song of Pensive Beholding) réunit l’homme, les
esprits et les dieux. »
Lin, âgée d’une soixantaine d’année, s’emparera d’éléments de cérémonie tels que la pierre, le vent, l’eau, le
feu et même la paille lors de la mise en scène de sa nouvelle création. Elle suggérera également les rituels
taoïstes par l’utilisation du « chant incohérent ».
Le Legend Lin Dance Theatre est l’une des compagnies phare de Taiwan à s’être imposée sur la scène
internationale. Depuis sa fondation en 1995, le groupe a monté des pièces dansées d’envergure et souvent
lentes, inspirées des cérémonies religieuses traditionnelles et des rites de Taiwan, qui évoquent les cycles
des saisons et célèbrent les rythmes de la nature et de la vie.
En 1998, le Legend Lin Dance Theatre enthousiasmait le festival d’Avignon avec Miroirs de vie. Quant à
Hymne aux fleurs qui passent, sa première française eut lieu en 1998 puis voyagea dans d’autres pays
européens avec un franc succès.
Nancy T. Lu
saison 11/12 - dossier de presse LEGEND LIN DANCE THEATRE – p. 4

PRÉSENTATION
Legend Lin Dance Theatre
L’histoire du Legend Lin Dance Theatre est aussi celle de sa directrice artistique et chorégraphe Lin Lee-chen.
Diplômée de l’Université de Culture Chinoise, Lin Lee-chen a créé un répertoire pour sa compagnie dans le but de
présenter un travail qui reflète l’esprit et la culture de Taïwan, où elle est née. Inspiré de rituels religieux locaux et
de cérémonies qui célèbrent les rythmes de la nature et de la place qu’y occupe chaque être humain, le génie
artistique du Legend Lin Dance Theatre mêle une esthétique luxuriante à une chorégraphie brillante, originale et
d’une langueur raffinée qui apporte une nouvelle signification au concept de « poésie en mouvement ».
Leur spectacle Miroirs de vie a connu un grand succès au Festival d’Avignon 1998, et les nombreuses
représentations de leurs spectacles présentés dans le monde entier, ont enthousiasmé tant la critique que le
public. Son Hymne aux fleurs qui passent, dédié au cycle des saisons et aux principes complémentaires du Yin et
du Yang, a obtenu le Prix du Public de la 9 e Biennale de la Danse de Lyon en l’an 2000 et a atteint un nombre
record de spectateurs au Festival d’Otono l’année suivante. Cette œuvre a, ensuite, été jouée au Teatro Nuovo
Giovannni de Udine, aux Movimentos Interntionales TanzFestival de Wolfsburg, au Ballet Gala de Dresde, au
TanzFestial Bregenzer Frühling, au Tanzsommer à Innsbruck, à l’Association Performing Arts Presenters à New
York, et au Palais des Beaux Arts de Mexico.
Tim Yip – costumes
Diplômé de Hong Kong Polytechnic. Depuis 1986 créations pluridisciplinaires: costumes, arts visuels et art
contemporain.
1995 : création de costumes pour Miroirs de vie, Legend Lin Dance Theatre
2000 : création de costumes pour Hymne aux fleurs qui passent, Legend Dance Theatre
2001 : Meilleure Direction Artistique, Oscar Academy Awards et Meilleure Création de Costumes, British Academy
Awards 2000 pour le film Tigres et dragons.
2008 : Meilleure Direction Artistique et Meilleure Création de costumes au 28ème Hong Kong Film Award pour
Red Cliff
Publications: Lost in Time, Flower of the Wind, Floating, Rouge: l’art de Tim Yip, Illusions of Silence and Passage
Chang Wang – scénographie
Diplômé du Département Arts plastiques de la National Arts Academy
Directeur artistique de Stream Creative Group. Président d’Association of Culture Environment Reform Taiwan.
Président de Hua-sheng Art District Directeur artistique du 4ème Festival d’art de Taipei, 2002
Scénographie de multiples installations d’art, performances multimédia et théâtre
1995 Scénographie pour Miroirs de vie, Legend Lin Dance Theatre
2000 Scénographie pour Hymne aux fleurs qui passent, Legend Lin Dance Theatre
saison 11/12 - dossier de presse LEGEND LIN DANCE THEATRE – p. 5

LES CRÉATIONS
DE LA COMPAGNIE
2006 - 2008
Miroirs de Vie
Festival Oriente Occidente, Italy / Biennale de la Danse de Lyon, France / Las Palmas, Teatro Cuyás,
Spain / Teatro Arriaga, Spain / Beijing Olympic Festival, Beijing / Festival Veranos de la Villa, Spain /
National Theatre, Taiwan / Jung-Li Arts and Culture Center, Taiwan.
2000 -2005
Hymne aux Fleurs qui Passent - Spring ShootNational Theatre, Taiwan / The 7th Taipei Arts Festival,
Taiwan / Palacio de Bella Artes, Mexico / Association of Performing Arts Presenters (APAP), USA /
Bregenzer Frühling Tanzfestival, Austria / Tanzsommer Innsbruck, Austria / Biennale Nationale de
Danse du Val-de-Marne, France / Wolfsburg International Dance Festival "Movimentos", Germany /
Teatro Principal de Vitoria, Spain / Ballet Gala in Dresden, Germany) / National Theatre, Taiwan.Å
1995 - 1998
Legend(Mirrors of Life)
Festival d’Avignon, France / Biennale Nationale de Danse du Val-de-Marne, France / National Theater,
Taiwan).
saison 11/12 - dossier de presse LEGEND LIN DANCE THEATRE – p. 6

PRESSE
« Sensuelles et sauvages, malgré la lenteur du mouvement, fascinantes et poétiques, les images
créées par le Legend Lin sont une superbe méditation visuelle. »
Les Petites Affiches Lyonnaises
« C’est beau et lent comme un rituel de l’ancienne Asie. Avec des costumes, des coiffes et des
maquillages longuement élaborés. Une méditation visuelle d’une beauté à couper le souffle. »
Le Figaro Madame
« Les danseurs ralentissent leurs gestes, enroulent leurs épaules, puis les ouvrent imperceptiblement.
Chaque seconde est un chef-d’œuvre, l’expression d’une esthétique de l’espace et du rythme. »
The New York Times
« Le dénuement extrême des corps s’accompagne d’un sens du spectacle qui emplit l’atmosphère et
hypnotise la pupille. (…) Quelque chose qui confine à la pureté d’âme absolue. On admire ou en rend
les armes, c’est tout ou rien. «
Le Progrès
saison 11/12 - dossier de presse LEGEND LIN DANCE THEATRE – p. 7