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FRANCK LOZAC’H
PETITES HISTOIRES EROTIQUES
1
Petit scénario
Le jeune amant
Figure I
Tous les mercredis matins, Stephan visite son ami Paul. La façade
de la maison est entourée de rosiers. De l'extérieur, l'on peut
subrepticement essayer de voir ce qui se trame. Des ombres fugaces
apparaissent ici et là, et laissent supposer une activité interne.
Stephan comme à son habitude pousse le petit portail de bois et
appuie sur la sonnette. Personne ne répond. Il sonne à nouveau. Personne
n'ouvre. Il pousse la porte à moitié gêné - il avance toutefois. Il entre
dans le corridor. Se dirige vers la chambre de Paul. Ce dernier est absent.
D'un regard circulaire, il regarde la chambre. Il sort. Il tente de regagner
le couloir.
Figure II
Dans le couloir. Il entend des bruits d'eau qui coule. Une porte est
entrebâillée. Il regarde rapidement. Il voit la mère de Paul qui se lave.
Elle est recouverte par la mousse de son savon liquide et l'on ne peut
supposer quoi que ce soit de sa nudité.
Géraldine est une très jolie femme d'une quarantaine d'années.
Rousse et sympathique, aux formes remarquablement dessinées. Il
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détourne les yeux et semble regagner la porte d'entrée.
Figure III
La mère de Paul, Géraldine a toutefois entendu quelque chose. Elle
semble s'inquiéter, sort un peu de son bain, tourne les yeux à droite à
gauche.
- Y a-t-il quelqu'un Interroge-t-elle. Puis se parlant à voix basse :
J'ai bien entendu quelque chose… Fait-elle moitié inquiète, moitié
surprise.
Stephan revient sur ses pas.
Stephan : Il s'agit de moi ! Je cherche Paul. Il m'a dit de passer. Et je
ne le vois pas.
Géraldine : Il s'est absenté. Il ne reviendra pas avant une heure. C'est
une urgence. Il est parti chez le dentiste. Tu es toujours là, Stephan
Lui : Oui, Madame.
Géraldine : Peux-tu me rendre un petit service Viens. Approche.
Pousse la porte.
Stephan pousse délicatement la porte.
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Géraldine, toujours dans son bain : Veux-tu , s'il te plaît, me donner
le peignoir accroché à la porte d'entrée Prends-le. Tends-le moi.
Tandis qu'il le saisit - c'est un peignoir épais et blanc crème -
Géraldine se dresse hors de la baignoire. On entend le bruissement de
l'eau. Elle apparaît au jeune adolescent comme une déesse sortie des
eaux. Ses sens en sont tout émoussés. Il feint de détourner les yeux en lui
tendant maladroitement le peignoir. Il voit toutefois son dos, ses fesses,
ses jambes et la beauté de sa chevelure blonde rouler ses épaules
luisantes.
Figure IV
Elle sort un pied, puis l'autre.
- Merci Stephan. Tu ne peux savoir comme c'est agaçant de mettre
de l'eau partout sur le sol. Tu l'as remarqué : nous avons un bain bulles.
Tu ne peux pas imaginer comme c'est agréable !...Tu devrais l'essayer.
Moi, je quitte la pièce. Essaie-le. Déshabille-toi. Tu vas voir, c'est très
relaxant.
Lui, stupéfait, balbutiant quelques mots informes dans le genre : ...je
ne sais si je dois, - non, mais pourquoi ... stupide et nigaud.
Elle sort de la salle d'eau.
4
- Allez ! Déshabille-toi !
La porte se referme. Il s'interroge puis sous l'effet de l'impulsivité
commence par retirer ses habits. Le voilà nu, son slip et ses chaussettes
sur le sol. Il se glisse rapidement dans la baignoire pour éprouver le
bien-être de la tiédeur de l'eau.
Il appuie sur le bouton pour accélérer la vitesse des bulles. Une
sensation agréable l'envahit. Il regarde encore tout autour de lui.
Figure V
Géraldine est assise à sa coiffeuse, dans sa chambre. Elle se
maquille et se prépare. Mais elle est nue sous sa robe de chambre légère.
Elle se lève rapidement, d'un pas autoritaire et va à la porte de la
salle d'eau.
- Stephan, dépêche-toi, sors de l'eau. Vite. Prends une serviette, et
viens me rejoindre dans la chambre.
Stephan, totalement sidéré s'exécute. Le voilà à moitié mouillé,
pieds nus, serviette autour du corps à l'entrée de la chambre.
- Viens vite, lui dit-elle. Glisse-toi sous les draps et attends un peu.
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Il regarde le lit qui semble fort accueillant, mais ne comprend pas.
- Allez, te dis-je... Dépêche-toi.
Le voilà qui passe de l'entrebâillement de la porte à la fraîcheur des
draps. Il est tapi et n'ose bouger.
Elle se rassoie à sa coiffeuse, se maquille et se pouponne. Il fait
semblant de dormir. Elle éteint la lampe et va s'asseoir sur le bord du lit.
- Tu dors, Stephan
Il ne répond pas.
Elle se glisse sous les draps. Elle a mis ses bas, son soutien-gorge et
rentre délicatement.
Il fait semblant de dormir.
Tout semble éteint. Lentement elle approche sa main droite et
commence par le toucher. Elle accède à son petit sexe qu'elle branle
doucement. Il ne dit mot et feint d'ignorer la caresse.
Elle le branle plus fortement. Le pénis durcit. Elle accélère, s'arrête.
Ses beaux ongles rouges se déplacent sur les testicules et la hampe de la
verge.
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Stephan est sous l'effet d'une excitation tendue. Enfin n'en pouvant
plus, des saccades épaisses et blanches s'expulsent hors de son sexe lui
procurant un bien-être extrême.
Il se repose remerciant des yeux sa superbe maîtresse. Le bonheur
est de courte durée.
- Dépêche-toi. J'ai l'impression qu'ils vont arriver. Rhabille-toi.
Reviens la semaine prochaine à la même heure. Je t'attendrai. Il se
précipite dans la salle de bain, enfile ses affaires et quitte la maison.
Figure VI
Le mercredi suivant, Stephan est au rendez-vous. Bien à l'heure.
Impeccable et propret. Il pousse à nouveau le petit portail de bois et
appuie sur la sonnette.
- Entre, souffle-elle et va te glisser sous les draps.
Figure VII
La semaine écoulée, il s'est réellement demandé ce qui lui arrivait
comprenant mal, très mal le comportement de la mère de son meilleur
ami. Il a tenté de ressasser tout cela dans son esprit, mais n'a pu savoir ce
qui se tramait dans la pensée de Géraldine. Il se laissait emporter par
7
cette folie passagère ne sachant véritablement où cela allait le mener. Il
avançait insouciant avec la légèreté de la jeunesse.
Figure VIII
Retour à la Figure VI
Stephan est sous les draps. Géraldine pousse la porte et va à la
coiffeuse. Elle passe une brosse dans ses cheveux, puis se maquille. Elle
porte un kimono noir et semble nue dessous. Elle entre dans son lit. Le
jeune adolescent est pris de frayeurs.
- N'aie crainte. Il ne s'agit que de moi.
Géraldine lui retire rapidement son slip blanc, se penche sur son bas
ventre et lui pratique une agréable fellation. Elle passe sa main sur ses
testicules. Il est pétrifié et dans le même temps sous une tension
prononcée.
Elle happe plus violemment le gland du pénis. Ne pouvant plus se
retenir, Stephan fait s'écouler d'imposantes rasades de sperme. Géraldine
boit goulûment et tire encore son le gland qui à présent semble fatigué.
Elle est satisfaite de sa pratique accomplie et se délecte encore des
gouttes chaudes et blanches qui ont rempli sa gorge avide.
Le jeune homme prend conscience de l'immense possibilité sexuelle
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et physique que représente la femme à travers Géraldine. Il découvre un
outil de jouissance jusqu'alors inconnu.
Le voilà qui se met à fantasmer sur ses propres capacités se
demandant s'il ne pourrait pas...
Géraldine, le réveillant d'un coup :
- Dépêche-toi ! L'heure a tourné.
Elle le presse hors du lit. Le voilà encore ébouriffé, quittant le doux
coton et se rhabillant prestement.
- Reviens la semaine prochaine, à la même heure. Lui dit-elle.
Il s'exécute et quitte la pièce, prend à nouveau le couloir et referme
la porte d'entrée derrière lui.
Figure IX
Géraldine, consciencieusement se nettoie la bouche avec du
dentifrice pour retirer toute trace de sperme entre ses gencives. Discrète,
légère et indifférente, elle essaie une panoplie sexuelle que lui avait
offerte son mari. La voilà qui se ceinture d'un harnais rose tendre et glisse
un godemiché dessus. Elle feint à des gestes secs et nerveux de
pénétrations annales en se regardant dans la glace.
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- Tout cela pourrait lui plaire.., ce soir, suppute-t-elle. Moi qui n'ai
jamais enculé un homme, cela me fera tout drôle de lui défoncer la
rondelle.
- Comment puis-je parler de la sorte de mon mari Se dit-elle, puis
doucement elle se met à sourire.
Figure X
La veille, l'occasion de faire quelques achats s'était présenté à sa
personne. Un nouveau magasin érotique exclusivement réservé aux
femmes venait d'ouvrir ses portes. Intriguée, étonnée mais ravie,
Géraldine vint y découvrir les dernières nouveautés." Si tu trouves un
jour quelque chose d'intéressant, achète-le.", lui rappelait régulièrement
son mari. Se promenant dans les différents rayons, ayant essayé quelques
tenues vestimentaires, son choix s'arrêta sur ce délicieux petit harnais
rose conçu pour y glisser un godemiché.
Figure XI
Le soir venu, après avoir échangé de douces caresses amoureuses,
par jeu Géraldine bande les yeux de son mari qui mi-amusé mi-intrigué la
laisse faire. Elle lui demande de se mettre à quatre pattes. Il obéit
derechef. La voilà qui se dirige vers l'armoire et sort de dessous une pile
de linges les fameux ustensiles achetés dans la journée même au magasin
érotique. Rapidement elle enfile son harnais rose agrémenté d'un
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godemiché assez volumineux. Elle pointe délicatement l'anus de son mari
avec l'aide d'une vaseline appropriée et commence par pénétrer le trou
qui s'élargit facilement.
Maurice comprend très vite ce qui lui arrive et remercie sa femme
d'avoir pensé à lui donner du plaisir de cette façon. Il couine de bien-être
et déjà une forte érection accompagne le va-et-vient rectal. Elle
s'engaillardit de plus belle et propose à présent un geste saccadé du
bassin plus violent à présent.
Tout en poursuivant ce va-et-vient elle lui assène quelques coups de
fouet sur les reins pour amplifier plus encore chez son époux la
perception de la stimulation. Fouetté et enculé, il conserve sa main droite
pour se masturber. Enfin dans un dernier râle d'épuisement, il laisse
exploser son vit qui répand grand nombre de gouttes blanches sur le lit.
- Merci, lui dit-il. Tu as été formidable ! Comment cette idée
t'est-elle venue à l'esprit Là, je t'avoue, tu m'étonnes.
Figure XII
Stephan comme à son habitude en cette belle matinée hivernale,
léger et guilleret pousse le portail du jardin et va sonner prestement à la
porte d'entrée. Géraldine lui indique la chambre et lui demande de se
déshabiller immédiatement. Il s'excite. La voilà à nouveau se coiffant, se
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maquillant assise devant sa glace, feignant à l'indifférence mais soucieuse
en vérité de faire monter le trouble et le désir.
Discrètement elle observe son regard et cherche à connaître son
degré d'émotion. Enfin elle se lève et laisse glisser sa robe de chambre
noire. Elle apparaît splendide en talons aiguilles, slip et porte-jarretelles
foncés. Le contraste avec la blancheur de sa peau est saisissant.
Géraldine s'assied sur le rebord du lit, et commence délicatement
par défaire sa chaussure droite puis la gauche. Elle retire ses bas et
lentement son soutien-gorge - deux ravissants petits seins sont à présent à
portée de lèvres amoureuses. Enfin glisse son dernier rempart. La voilà
nue. Elle s'allonge dans le lit et fait venir Stephan qu'elle dépucèle
maladroit mais ravi de cet excellent service rendu par une femme de
qualité.
Figure XIII
L'heure tourne. Géraldine ne voit pas les aiguilles de l'horloge se
déplacer rapidement. Quand elle réalise le temps passé pour accomplir ce
travail midi trente a déjà sonné.
Son époux pousse la petite porte en bois et rentre chez lui. Il se
dirige immédiatement vers la chambre cherchant à parler à sa compagne,
supposant pouvoir la trouver dans cette pièce.
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Mais poussant la porte de la chambre, il voit le jeune Stephan à sa
place dans le lit nuptial.
Complètement stupéfait :
- Qu'est que fait ce petit con dans mon lit Géraldine, veux-tu me dire ...
Elle, balbutie quelques mots incohérents sans être capable de former
la moindre phrase logique.
Il tire rapidement les couvertures et comprend que Stephan vient
d'accomplir un acte sexuel avec sa femme.
- Non ! Mais je deviens fou ! Qu'est-ce que cela veut dire
- Mais Monsieur...Mais Monsieur...
- Petit branleur de trou du cul, je vais t'apprendre à être dans mon lit,
avec ma femme de surcroît.
Appelant sa femme,
- Géraldine, viens ici. Tiens-moi ce garçon.
Stephan, traumatisé, à quatre pattes, le derrière en l'air, bouche buée
ne sait plus où il en est. Le mari rapidement défait sa braguette, baisse
son pantalon et le vit en pleine érection pénètre d'un coup violent le trou
de Stephan qui pousse un cri de douleur. Le mari s'acharne en va-et-vient
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profonds tandis que Géraldine tient l'enfant pour l'empêcher de fuir.
- C'est ça, en voilà dans ton cul, petit salaud ! Ca t'apprendra à
sauter ma femme. Comme ça tu auras la rondelle de défoncer.
Puis dans un ultime mugissement, il déverse sa semence dans la
sinistre fente de l'enfant.
- Ca t'aura servi de leçon ! Ne reviens plus jamais. Et laisse ma
femme tranquille, maintenant.
Le garçon, encore effrayé essaie de ramasser prestement ses affaires.
Il s'habille dans le couloir sans demander son reste.
Stephan parti, le mari et la femme se regardent intensément et
laissent éclater un immense rire de complicité de couple.
Fin
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Scénario
DESIRS ET FANTASMES
AMANDA
Scène I
I
La première image montre une femme, 35-40 ans, femme
dynamique, conduisant sa voiture - grosse voiture - BMW, récente. Cette
femme est PDG. Elle roule assez vite dans la ville - bourgeoise désirable,
visage intelligent.
Scène II
Tout en roulant, Amanda regarde côté passager et voit un homme
nu, assis sur sa droite. Il lui sourit. Il est décontracté. Beau play boy. Elle
n'en croit pas ses yeux, fixe à nouveau son attention sur la circulation. Il
est toujours là. - L'homme nu symbolise le désir inconscient de cette
femme.
Scène III
Amanda sort de sa voiture, monte les marches d'une belle
architecture avec prestance et assiste à un congrès. Elle est entourée de
personnes d'un certain âge qui ne l'intéressent guère. Elle regarde sur sa
droite, et aperçoit l'homme qui était assis dans sa voiture. Il est nu, à ses
15
côtés. Elle n'en croit toujours pas ses yeux, et décide avec discrétion de
caresser son sexe pour vérifier si oui ou non elle a affaire à un mirage.
L'homme semble bien réel...
Scène IV
Amanda quitte la réunion qui se clôture et va aux toilettes. Elle entre
dans les WC, ferme la porte, - et voit l'homme nu face à elle qui l'invite à
pratiquer une fellation sur sa personne. Elle s'accroupit et s'exécute. Tout
en pratiquant la caresse, elle titille son clitoris et quand elle atteint son
propre spasme, une main à caresser son sexe, l'autre à activer le pénis de
l'homme pour le faire éjaculer, - l'homme disparaît comme par
enchantement...
Scène V
Elle rentre à la maison. Maison cossue. Son mari, grisonnant l'attend
dans un fauteuil, lisant le journal, en pantoufles. Banalités de mariage,
causeries insignifiantes.
Scène VI
Elle va à la salle de bain, ouvre les robinets, se déshabille. L'homme
nu est dans la salle de bain. Elle feint de ne pas le voir. Il lui sourit.
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Scène VII
Elle va se coucher. Son mari est dans le lit, en pyjama. Bavardages
avant le sommeil. Elle se retourne de l'autre côté, et voit encore l'homme
- beau mec 25-30 ans. Musclé, souriant, sympathique, brun, séduisant.
On voit son sexe au repos, ses cuisses, ses fesses, sa poitrine, son visage
etc...
Scène VIII
Elle se lève et gagne la salle de bain. Elle va au lavabo se rafraîchir,
il est derrière elle et la prend. On la voit éprouver du plaisir, et accéder
aux spasmes tout en se tenant aux parois du lavabo. Elle va se recoucher.
Scène IX
Elle va voir son Psy, et lui explique son désir de se faire Big Bang.
Au fur et à mesure qu'elle raconte son désir, l'on voit la personne
appliquer son propre fantasme avec six hommes nus autour d'elle qui la
prennent et la reprennent. Elle suce, reçoit, gémit, masturbe, etc... -
éjaculations faciales, pénétrations rectale et vaginales, masturbations,
fellations et doubles.
Scène X
L'image revient sur le Psy ---) elle lui explique qu'elle craint en
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opposition à ses fantasmes de trop dominer les hommes sur le plan
professionnel dans son entreprise. Le Psy la rassure.
Scène XI
Elle s'en retourne dans son entreprise et essaie de séduire un
collaborateur qui refuse. En revanche, une collaboratrice intriguée par le
jeu, lui montre son désir.
Scène XII
Elle a une relation homosexuelle avec la collaboratrice qui lui fait
connaître les goûts pervers de la domination, de la soumission, du fouet
et de l'orgasme etc...
Scène XIII
Elle a donc accompli un cycle de plaisir qui va de l'homme nu - à
son mari pantouflard qu'elle rejète, au Big Bang en passant par le
lesbianisme et la soumission. Elle s'aperçoit que son équilibre passe par
l'ensemble de ces situations.
Scène XIV - Scène dernière -
Elle roule en voiture, tout comme au commencement du scénario,
mais cette fois-ci, ce n'est pas un homme nu qui est assis à côté d'elle et
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lui sourit pareillement mais une femme - et dans la logique des scènes le
même cycle va se reproduire avec cette femme.
La boucle est bouclée.
AMANDA
II
Scène première
Une femme nue dans sa voiture assise à la place du passager avant
se caresse et atteint l'orgasme. La conductrice trouve la situation étrange
mais cela l'amuse. La femme délire violemment toutefois malaxant ses
siens, s'introduisant des doigts dans le vagin et jouissant fortement.
Cela l'étonne toutefois. Elle continue et roule. Elle s'interroge.
"Qu'est-ce Bizarre, mon esprit !" Circulation. Droite, gauche. Elle
semble assez agacée, veut atteindre une destination.
Scène II
Elle sort de sa voiture. Elle est présidente. Grosse voiture -
Mercedes 300 ou BMW 5-7. Récente. Elle va à la réunion. 40-50
hommes et certaines femmes autour d'elle. Table ovale. Immense.
19
La réunion commence. Monotone et ennuyeuse. Elle jette un coup
d'oeil sur sa droite, et voit toujours la femme nue , en porte-jarretelles
noires avec un fouet qu'elle caresse de sa main tout en lui souriant.
La Présidente est sidérée. Que fait cette fille ici Est-ce un fantasme
Une illusion visuelle La femme se glisse sous la table, lui retire sa
culotte, lui embrasse le sexe et lui soulève ses jupes.
Amanda frémit de plaisir sous l'effet de la manipulation experte
mais devant cette assemblée elle ne peut exprimer aucun signe de
jouissance. Elle tente de se retenir mais n'en peut plus. Quand elle réalise,
la femme a disparu dans un nuage de fumée, - qui symbolise
l'évanouissement de l'orgasme dans le fantasme.
Scène III
La séance terminée, elle décide d'aller aux Toilettes. Elle se
pomponne, se repoudre etc. .La fille-femme est derrière elle, toujours en
cuir. La porte des chiottes s'ouvre, toutes les deux y entrent. La fille en
cuir écarte son sous-vêtement, apparaît une superbe pilosité tapissée
d'épais poils noirs. La Présidente, en tailleur classique s'exécute, la lèche
et la lèche encore avec plaisir et ravissement. D'une main délicate, elle
caresse son propre pubis. Quand elle atteint son propre orgasme, la fille
s'est évanouit...
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Scène IV
Elle rentre à la maison, son mari joue aux échecs seul, s'essayant à
des coups, déplaçant certaines pièces, refusant des solutions. Elle lui
parle de banalités et décide d'aller se faire couler un bain.
Scène V
Le bain est très chaud. Elle se décontracte un maximum, semble
jouir de ce bien-être. Puis des mains se posent sur ses épaules, - c'est
encore la femme-fille, qui lui masse délicatement le dos. Elle se laisse
bercer par ce sentiment très agréable.
Scène VI
Amanda va se coucher, embrasse son mari qui lui donne un peu
d'affection. Ils parlent ensemble. Complicité, rires, plaisanteries mais
nulle relation sexuelle.
Scène VII
Elle se trouve chez son Psy, et lui explique son désir d'avoir un
harem de femmes, de se déplacer au milieu de femmes nues, de les
caresser, de les lécher, de se faire masser, de se faire prendre avec des
godemichés, de prendre également. [Les différentes scènes doivent être
montrées avec réalisme] Le Psy la rassure et trouve une explication
21
satisfaisante.
Scène VIII
Elle se confie à ce médecin et lui avoue ses craintes de chercher à
dominer ses collaboratrices dans le monde du travail. Son statut de
Présidente lui permettant de telles audaces... Le Psy continue à la
rassurer...
Scène IX
Elle essaie de séduire une collaboratrice qui se refuse, en revanche
un homme amusé, intrigué par ce jeu parvient à séduire la Présidente.
Scène X
Ils dînent ensemble, - complicité. Puis elle l'entraîne dans un studio
aménagé, qui est une sorte de donjon raffiné. Il obéit, et se fait dominer.
Fouet, pal, humiliation, soumission, éjaculations abondantes etc...
Scène XI
De retour dans l'entreprise. Ils font comme si rien ne s'était passé. Il
lui propose une soirée dans son donjon. Il y amène des femmes qui vont
la prendre, la dominer, l'attacher, la fouetter de manière très jouissive. La
femme-fille du début réapparaît, et l'ensemble des acteurs du donjon
22
disparaissent. Pourtant le lieu étrange semble bien réel. Mais elle est
seule avec la fille. Elle se met à genoux devant elle et cherche encore à se
faire fouetter.
Scène XII
Une sorte de kaléidoscope d'images se déroule et les différentes
scènes qui ont marqué le film se succèdent. Le spectateur n'y comprend
plus rien. Il ignore si la femme a véritablement connu ces situations, si
certaines sont réelles et d'autres imaginaires, ou encore si la fiction s'est
mêlée à la réalité.
L'ensemble doit représenter le panorama d'une pensée sexuelle assez
audacieuse où le doute, l'interrogation et la partie imaginative animent
constamment la femme.
En vérité, chaque femme doit à un moment ou un autre se sentir
concerné par ce possible, et ne jamais culpabiliser concernant ses
projections sexuelles, comprendre encore qu'une partie du réel s'applique
quand l'autre partie reste à l'état spéculatif.
23
III
Scène I
Marcello
La scène première montre un homme - quarante quarante-cinq ans,
conduisant sa voiture - BMW ou Mercedes. La circulation est dense, il
semble assez pressé. PDG d'une entreprise moyenne - ou quelque chose
d'équivalent.
Scène II
Tout en roulant, il regarde côté passager, et voit un playboy sur sa
droite. Homme un peu équivoque, sorte d'homosexuel qui lui sourit. Il se
demande : " Que fait ce con, à poil dans ma voiture " Il laisse tomber,
car cela est trop absurde. Il hoche la tête, et fixe à nouveau son attention
sur la circulation. (L'homme qui apparaît symbolise ou représente le désir
inconscient homosexuel du conducteur.)
Scène III
Il descend de son automobile, gravit les marches d'une structure
assez importante. Monte de manière alerte, il tient un attaché-case. Il
serre des mains de collègues. Cordiales présentations. Ils se sourient etc..
24
Scène IV
Toujours au Congrès. Il consulte son ordinateur portable. Il regarde
vers la droite, et voit encore le gars torse nu portant un pantalon en cuir
très collant. John lui sourit et passe la main dans sa braguette. Intrigué le
PDG se laisse caresser. Puis discrètement, il remet sa braguette en place -
John a disparu.
Scène V
Il se dirige vers les Toilettes, va à l'urinoir, referme les boutons de
son pantalon et le voit face à lui, qui d'un sourire engageant l'invite à
s'accroupir. L'homme prend sa tête et la colle contre son cuir moulant. Le
PDG avide défait le pantalon. Un vit gonflé, énorme en surgit. Avec
avidité le voilà qui suce, tète, mordille les testicules et mange à nouveau
l'ensemble. Puis sous l'effet de l'excitation, il parvient tout en étant
accroupi à extraire son pénis de son pantalon. Il le branle nerveusement.
Le sexe durcit, enfle et semble prêt à éclater. Au plus fort de l'excitation
et de la jouissance, répandant sur le sol des Toilettes des gouttes de
sperme, le jeune homme, comme par enchantement a disparu.
Marcello regarde avec étonnement sa semence sur les carreaux du
sol. Il prend enfin conscience qu'une personne aurait pu surgir à
l'improviste et semble tout confondu de cette observation. Il se regarde
dans la glace, rajuste sa cravate et quitte les lieux après avoir essuyé avec
ses pieds les traces indélicates.
25
Scène VI
Le voilà chez lui. Sa femme âgée d'une quarantaine d'années
l'accueille avec gentillesse et courtoisie. Il l'embrasse, se débarrasse de
son attaché-case et retire prestement la veste de son costume. A présent il
dénoue sa cravate et permet à sa gorge de mieux respirer. Il va au bar et
se sert un whisky, bien tassé. Il lui parle mécaniquement de sa journée
harassante - elle l'écoute - bonne et respectueuse épouse.
Scène VII
Il se dirige vers la salle de bain et fait couler un bain tiède. Il jète un
coup d'oeil dans le miroir et voit subrepticement le play-boy des Toilettes
qui le regarde et lui sourit. Puis il se déshabille et laisse apparaître de
splendides muscles huilés. Un sexe au repos s'offre à la bouche désireuse
qui n'ose le happer. Il se lave et sort de son bain. John a une nouvelle fois
disparu.
Scène VIII
Le voilà en pyjama et couché, regardant sa femme, jolie à souhait
qu'il apprécie et aime. Il l'embrasse délicatement sur l'épaule, la caresse
et lui offre une grande affection. On la voit sourire dans son sommeil.
Elle semble dormir. Elle dort.
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Scène IX
Il se lève et se dirige vers la salle de bain. Il cherche un verre d'eau
pour se rafraîchir. Il fait couler un peu d'eau dans le lavabo et
négligemment jète un coup d'oeil dans la glace. Le jeune homme se tient
derrière lui. Il lui met les mains autour de la taille et fait glisser son
pyjama qui n'offre aucune résistance. Doucement, tout en lui souriant il
fait entrer son pénis dans sa zone rectale, qui reçoit aisément l'objet
érecté. Des va-et-vient sensuels puis agressifs pénètrent sa chair. Il gémit
de plaisir, offre ses fesses plus tendues, plus complices encore. Une main
sur le lavabo, l'autre masturbant son sexe, il essaie d'accéder au
paroxysme qu'il atteint toutefois. Quand John après grand nombre de
buttoirs exceptionnels éjacule en lui, l'homme répand de bonheur sa
semence sur les carreaux du sol de la salle de bain. Comme par
enchantement le sodomite disparaît...
Scène X
Il va voir son Psy. Il lui explique qu'il a de grosses difficultés pour
gérer sa vie d'homme rangé avec épouse, responsabilités professionnelles
et pulsions sexuelles radicalement opposées. Le voilà entouré de sept ou
huit homosexuels qui le prennent en Bing Bang, qui le fouettent,
l'engodent et lui en font voir par tous les trous. Le Psy le rassure... (L'on
doit montrer l'ensemble de ces scènes qui se succèdent. Elles sont
relativement crues et osées. Beaucoup de Hard et de cuir...Communauté
gay)
27
Il ajoute encore qu'il craint dans son contexte professionnel de se
comporter en petit dictateur auprès de ses collaborateurs ou inférieurs. Le
Psy le rassure...
Scène XI, scène dernière
L'on comprend aisément le conflit qui anime l'esprit de cet homme -
il vit dans la conformité d'une existence très bien balisée mais le désir
homosexuel est si puissant en lui qu'il abandonnera toutes ses structures
traditionnelles pour vivre pleinement son homosexualité dans une
communauté gay.
Il finira hélas ravagé par le virus du sida, grabataire sur son lit de
mort ayant vécu toutefois le parcours qu'il avait souhaité et que jamais il
ne reniera.
Fin
28
Synopsis
Catherine Ha
Une femme, style Catherine Harris, forte à l'extérieur, juge, tendue,
bien habillée, possédant le vrai - se transforme et se métamorphose de
retour dans son appartement en soumise. Se met nue, s'attache avec des
chaînes, se fouette, s'auto punit, à genoux, vit dans le dénuement - dans
une chambre sordide spécialement aménagée à cet effet,
- mange du riz, boit de l'eau, urine dans un brau. Puis passe dans une
autre pièce, se coiffe, se peigne, s'habille, se change, parvient à gérer ses
contradictions comme une boulimique anorexique qui à l'intérieur se fait
vomir et à l'extérieur semble fine et équilibrée.
Double vie.
Trouve un homme, l'entraîne dans son espace, lui montre sa
médiocre pièce, veut l'attacher, lui donner de la jouissance, lui faire
essayer ses plaisirs, - dans un premier temps joue le jeu - puis refuse -
n'admet plus, l'engueule - la traite de perverse -
Elle se retrouve seule, en souffre.
Rencontre une femme. Essaie de lui expliquer ses contradictions. A
une relation avec elle. La femme semble la comprendre. Fait venir son
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mec qui s'en occupe fortement, fouet, coups, violences.
Jouissances et soumissions extrêmes dans l'appartement. Catherine
veut expulser tout le mal qui est en elle, toutes les contradictions qui
l'animent.
En vérité, femme-juge, femme-qui-juge, qui est dans l'obligation de
punir et de condamner et qui s'inflige à elle-même les applications qu'elle
inflige aux hommes qu'elle envoie en prison.
Va jusqu'au bout de cette démence. Elle commence par voler dans
des magasins de luxe puis essaie un casse dans une Banque avec des
malfrats et des voyous. Se fait arrêter. Se retrouve dans une prison de
femmes.
Fouillée, engodée, enculée avec des bâtons - chaînes, soumissions
réelles - à quatre pattes, prend des coups de pieds dans la gueule, souffre,
saigne, - déchéance absolue.
En vérité, expulse, se nettoie - sorte de lavement mental, de
purgatoire.
Totalement transformée - sort de prison, non maquillée, visage
blafard, amaigrie.
Et ...
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Soit retrouve son activité de juge avec ses contradictions,
Soit change de profession et redevient une femme moyenne ---)
CAD directrice cool et simple dans une agence matrimoniale et s'assume
en tant que lesbienne soft aimant se faire lécher et doucement dominer...
Fin
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Pédophilie
Avertissement
J'ai essayé ici d'aborder le problème de la pédophilie de manière
humoristique. Comme la plupart de mes contemporains je ne puis que
m'indigner des excès de toutes sortes dont on nous parle à travers le
média Internet ou encore à travers les faits divers recueillis ici et là. Je
propose donc une saynète de quelques dizaines de lignes pour tenter de
tourner en ridicule un client dont le portrait a été caricaturé.
Je vois une entremetteuse perverse donnant des ordres à une gamine
de 13 ans, déguisée en petite dominatrice et frappant le cul d'un gros
dégueulasse à quatre pattes et en caleçon multicolore - l'entremetteuse
donnant des ordres à travers une glace sans tain quand la gamine reliée
par écouteur répète les ordres de la tenancière du bordel.
Ca donne :
- La tenancière : Allez ! Marche à quatre pattes !
- La petite, recevant l'information dans l'oreillette gauche :
- Allez ! Marche à quatre pattes !
La tenancière, observant la scène à travers la glace :
- Maintenant Marie-Lise, frappe-lui le cul, et dis-lui d'avancer. Allez
! Ne le ménage pas. Tu vois bien que ça l'excite.
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- Donne-lui des coups de pieds dans les côtes. Va s'y, plus fort.
Regarde comme il apprécie ! Il faut qu'il en ait pour son argent !
- Maintenant, Marie-Lise, prends le stick qui est accroché au mur.
Non pas celui-là, l'autre. Fais-lui retirer son caleçon; Regarde-moi ce
salingue. Allez ! Occupe-t-en fortement !
Il aime ça. Frappe-le. Fais-lui rougir le derrière.
Dis-lui de se branler. D'astiquer sa biroute. Plus vite. Plus vite.
Frappe-le encore. Regarde comme il en redemande. Il grogne de plaisir.
Qu'il cesse maintenant ! Il risque de larguer tout de suite, ce salaud !
Allez Marie-Lise, fais-lui lécher tes bottines.
Qu'il s'allonge sur le dos. Donne-lui l'ordre. Retire le bas de ton cuir,
et fais-lui un face fucking.
La petite s'exécute, Emile renifle, lèche, suce le cul de la petite qui
se frotte sur son nez et va et vient rapidement.
- Tes talons aiguilles, enfonce-les dans ses testicules. Interdis-lui de
bouger. Tu vas voir, il bande comme un âne.
A présent qu'il se retourne et reste bite contre le parquet. Prends le
fouet, et fouette. Vas-y, Marie-Lise. Il ne sent absolument rien avec sa
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cuirasse de graisse ! Ne le ménage pas. Tape et tape, et tape !
Marie-Lise le frappe fortement, - le gros Emile écume, râle, se
retourne sur le dos et supplie la petite de le branler avec ses gants noirs.
Elle s'exécute, il,se tord, aime, se tortille et enfin jouit. Le voilà ébahi, et
plein de reconnaissance. Il lèche avidement le foutre, répandu sur les
gants de la petite.
Scène dernière
L'homme descend les marches de l'escalier du bordel.
La tenancière, tout sourire dehors :
- Alors, Monsieur Cela vous a-t-il convenu
- Parfaitement chère amie ! Mille mercis ! Mille mercis !
Fin
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Sentiments modernes
Note. Il s'agit ici de revisiter le rapport classique du mari, de la
femme et de l'amant. De lui donner un sérieux coup de rajeunissement, et
de proposer autrement ces situations tant de fois répétées sur le Théâtre
de Boulevard.
Synopsis
Sentiments modernes
Première image
Une femme jeune de 28 ans, brune, les cheveux assez cours,
habillée en cuir noir avec des bottes, chemisier noir fin laissant voir ses
épaules - souriante, jolie en discothèque - se fait séduire - rencontre un
homme 37-38 ans, début de calvitie - mais bien.
Ils s'amusent, dansent, parlent.
Seconde image
Ils sont dans sa voiture. Toujours sourires, amusements. Elle se fait
raccompagner. Descente de la voiture. Immeuble bourgeois. Ils montent
les escaliers. Elle l'invite dans son appartement. Balustre noire torsadée
noire. Il suppose. La regarde monter. Le désir. L'espoir.
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Troisième image
Elle ouvre la porte à clé. Entrée cossue. Elle marche. Miroir. Elle
atteint le vestibule. Du vestibule l'on voit le salon-salle à manger. Il reste
dans le vestibule, debout. Elle revient avec deux whiskies. Elle lui sourit.
Ils se frottent, complices. Dans le placard près des alcools des sticks, des
fouets, des menottes pendent...
Quatrième image
Son mari, mal réveillé, en pyjama apparaît. Le type sidéré. Ne
s’attendait pas à voir le type dans le vestibule. Assez pauvre gars en fait.
Maigrichon, mal, foutu, une sorte de Woody Allen.
Cinquième image
- Reste-là. Mets-toi à genoux. Déshabille-toi, dit-elle à son mari, qui
s'exécute immédiatement. Elle déboutonne la braguette d'Adrien et oblige
son mari à le sucer. Il s'exécute immédiatement. Adrien est interloqué
mais se laisse faire tout en souriant à Eva.
Sixième image
Les deux amants sont dans la chambre. Ils baisent. Exaltations
internes. Puis la femme regarde vers la porte, et s'aperçoit que son mari
les observe à travers l'entrebâillement. Elle se lève, décidée. Va au
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placard et revient avec une paire de menottes et un stick. Elle attache son
mari et lui assène des coups sur le corps. Il gémit, implore, supplie,
supplie, jouit.
Elle dit à Adrien : encule-moi ce voyeur.
Il s'exécute et défonce le cul de son mari.
Septième image
L'amant de passage se retire et s'en va. Apparaît le mari,
impeccablement habillé. Droit. Avec énormément de prestance et de
dignité.
Elle : - J'en ai assez de rabattre pour toi. Tu te les chercheras
toi-même dorénavant.
Huitième et dernière image
Ils rient, plaisantent et font l'amour en s'éclatant. Il la prend, la
pénètre, l'encule, la fait jouir etc...
modernes
Fin de Sentiments
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Un mari modèle
Petit théâtre érotique
Scène I
On voit un homme dans une cuisine, il fait la vaisselle. Il est nu - un
pan en skaï devant, un pan en skaï derrière. Il a des chaussons aux pieds
et des gants Malpa rose aux mains. Il a l'air un peu con. Style Woody
Allen sans les lunettes. Il est concentré sur son travail...
Scène II
Sa femme, - une superbe femme. 30 ans. Grande, puissante et belle,
brune, chevelure bouclée, apparaît. Elle est en noir, bottes et longue robe
noire.
Elle descend les quatre marches qui mènent à la cuisine. Lui,
toujours de dos continue à astiquer les plats. Il l'a entendu entrer mais fait
semblant de rien.
Elle s'approche de lui et lui frotte le cul. Il fait toujours semblant de
rien, concentré sur son travail.
- Chéri, j'ai une petite surprise pour toi !...
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Lui, poursuit inlassablement sa tâche.
Scène III
- Regarde qui vient...
L'on voit dans l'entrecroisement de la porte un homme d'une
trentaine d'années, grand, superbe, portant un pantalon en cuir et une
chemise noire.
Le Pseudo Woody Allen continue son travail...
Il marmonne un bonsoir qui fait sourire de biais le nouvel arrivant.
Elle : Figure-toi que j'ai trouvé Philippe par hasard dans une
discothèque...Tu sais cette fameuse discothèque au quartier latin. Je lui ai
expliqué notre problème. Je crois qu'il a très bien compris. Il peut nous
aider.
Elle s'adressant à lui :
- N'est-ce pas que tu peux nous aider, Philippe
D'un hochement de tête, le bras dans l'embrasement de la porte, il
répond : oui !
- Viens et ferme la porte, Philippe...Philippe est formidable, Joé - tu
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vas comprendre tout de suite.
A peine a-t-il refermé la porte qu'elle s'agenouille et déboutonne le
pantalon en cuir. Elle met son sexe dans la bouche et commence par le
pomper. Lui se laisse faire, impassible. Elle tète goulûment l'objet tendu.
- Regarde un peu, Joé - il est formidable Philippe !
ses plats.
Lui se retourne avec indifférence et mépris - et continue à nettoyer
Scène IV
Elle se dresse, va vers lui et lui tire les cheveux.
- Je t'ai dit qu'il était formidable ! Viens et suce-le.
Malpa.
Il est tout con avec ses deux pans en skaï, ses chaussons et ses gants
Lentement il retire ses gants - consciencieusement - puis se
déchausse. Enfin il fait glisser ses deux pans de skaï et à genoux suce et
suce l'amant.
- Ca suffit maintenant ! lui hurle-t-elle. Tu ne vas tout de même pas
lui happer son appareil génital !
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Elle s'adresse à nouveau à son amant qui se reboutonne.
- As-tu vu ce que je lui ai fait tatouer sur la fesse gauche Regarde.
C'est ravissant. Il a honte. Mais j'ai la certitude qu'au fond de lui-même
ça l'excite fortement.
Le mari se penche et l'amant lit :
- Je suis une salope !! Non. Tu es folle ou quoi Comment as-tu
pu aller jusque là Tu ne crois pas qu'il y a des limites à la perversité, au
ridicule ou à l'humiliation
Il s'adresse au mari :
- Et vous vous êtes laissé faire Mais répondez ou quoi Vous êtes
gauche et stupide. Parlez du moins !
Le mari ne dit toujours rien. Il ramasse ses affaires et quitte la pièce.
Scène V
La femme et l'amant s'éclatent dans le salon. Ils font l'amour,
boivent, rient, s'esclaffent, s'amusent.
Scène VI
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La porte du salon s'entrouvre subrepticement. Il s'agit du mari qui
essaie par voyeurisme d'assister aux ébats de son épouse et de l'amant.
Mais Cathie se doute de quelque chose. Soudain elle s'aperçoit qui son
mari l'épie.
- Entre, vite, dépêche-toi, lui crie-t-elle.
Il se presse maladroitement, tout penaud.
- Espèce de petit salaud, tu nous espionnais ! Tu te branles en
cachette en regardant son cul aller et venir...dans ma chatte. Approche un
peu.
Il s'exécute et referme doucement la porte derrière lui.
Scène VII
Assise sur le divan, elle prend sa tête en étau. Son amant lui baisse
le pyjama.
Elle s'adresse à son amant.
- Dans le petit meuble qui est sur ta droite, tu trouveras un fouet.
Apporte-le et utilise-le.
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Ce dernier se hâte et trouve dans l'armoire basse les lanières qu'il
actionne nerveusement.
Il frappe le mari qui se tord et se tord sous l'effet de la jouissance et
de la souffrance mêlées.
Cathie : - Tu ne vois pas qu'il a assez joui Défonce-lui le cul à ce
vicieux. Cela lui apprendra à regarder les gens faire l'amour.
Philippe avec sa grosse bite en érection pénètre violemment le mari
qui supplie et hurle dans un moment de déchirement qu'on le libère enfin.
- Mais non ! Mais non ! Plains-toi. Tu es une bonne encaisseuse.
C'est pour toi tout ça !
Et l'épouse d'inciter son amant à agir de plus belle.
- Plus loin ! Plus vite ! Encore ! Encore !
Enfin l'amant n'en pouvant plus se vide les couilles dans le cul du
mari qui semble à moitié mort. L'amant se retire.
Le mari épuisé semble groggy. En vérité, il ne bouge plus.
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Scène XIII
Cathie : - Quel salaud ! Cela lui aura servi de leçon ! Tu te rends
compte le vice que ce pourri génère ne lui Vouloir nous regarder faire
l'amour ! Ce n'est qu'un péteux qui chie dans son froc, un vicelard malade !
Je me demande comment j'ai pu épouser ce minable. Ce n'est qu'un médiocre
inutile.
L'amant tout en écoutant Cathie vilipender son mari essaie toutefois
de lui faire reprendre connaissance. L'époux ne réagit toujours pas.
Scène dernière
Il semble mort. Est-il mort Le voilà qui se dresse d'un bond, se
précipite sur son épouse et l'étrangle violemment. Celle-ci sidérée
suffoque, tente de résister, mais ne peut lutter contre la force surhumaine
de son adversaire. Toutes les rancœurs explosent d'un coup. L'amant
refuse d'intervenir. Petit à petit l'on voit la femme perdre ses capacités.
Elle semble de plus en plus faible. La voilà qui vacille, semble ivre,
trébuche et tombe.
L'époux est satisfait. Un immense rayonnement éclaire tout à coup
son visage.
L'amant le regarde, lui pose délicatement la main sur son épaule et
lui dit d'un air complice :
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- Maintenant, il nous faut faire disparaître le corps, n'est-ce pas Joé
Le rideau tombe
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