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Fr-16-04-2013 - Algérie news quotidien national d'information

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M E D I A N E T19Affaire Wikipédia - DCRIUn sous-officierobjet d’une enquêteL'affaire de la censure ratée de Wikipédia par la Direction centrale du renseignementintérieur (DCRI) n'a pas fini de rebondir.Selon des informationsrapportées par desmédias français, le sousofficierPierre Jeansac,major lors du tournage d'unreportage de la télévision localeTL7 dans la station hertziennemilitaire de Pierre-sur-Haute fin20<strong>04</strong>, fait actuellement l'objetd'une enquête conduite par lesautorités militaires. Si les règleshabituelles sont respectées, cesinvestigations internes sontconduites par la DPSD (Directionde la protection et de la sécurité dela défense). Le ministère de laDéfense reprocherait au sous-officierd'avoir dévoilé sans autorisationdes matériels et des procéduressecrets, concernant notammentla chaîne de transmission dufeu nucléaire. En réalité, le sousofficier"lampiste" n'est que le dernierélément d'une cascade dedéfaillances, sans aucune gravitédans ses effets puisqu'aucuneinformation susceptible de mettreen péril quelque élément que cesoit de la dissuasion nucléaire n'aété divulguée. Mais il est vraiqu'en matière nucléaire tout estsecret, sans exception, et que chaquemaillon, même le plus infime- il s'agirait cette fois d'un simpleboîtier aperçu durant quelquesmillisecondes dans le reportagemis en cause -, a vocation à êtreprotégé. La probable mise encause d'un sous-officier quin'avait de toute évidence pas étéaverti de la sensibilité de sa prestation,ni sans doute accompagnécomme cela aurait dû être le caspar un officier de communicationau fait des us et coutumes de lapresse, laisse de côté les responsabilitésdes autorités militaires,notamment celles de la DIRISI(Direction interarmées desréseaux d'infrastructure et dessystèmes <strong>d'information</strong>) duNouvelle générationd'ultrabooksElle sera dotéed'écrans tactilesIntel prévoirait de faire évoluerles ultrabooks, ces ordinateursportables ultra-fins,pour tirer profit de l'interfacetactile du système d'exploitationWindows 8. Selon le siteDigitimes, des sources asiatiquesavancent que la technologietactile deviendra une fonctionnalitéstandard des nouveauxultrabooks, dès le moisde juin, lorsque les fabricantspasseront du processeur IvyBridge d'Intel à son successeurHaswell. Mais cette évolutionannoncée commence à faire desremous chez les constructeursinformatiques.En effet, la demande enécrans tactiles dépasse actuellementleur production, ce quifait monter en flèche les prix, etce qui pourrait rendre ces nouveauxultrabooks non concurrentielssi on devait au finalrépercuter les coûts sur leconsommateur. Le terme d'ultrabooka été déposé par Intel,qui peut bien sûr en changer lescritères de définition. Selon lefabricant de puces, l'épaisseurd'un ultrabook ne peut dépasserles 18mm d'épaisseur pourles ordinateurs à l'écran de 14pouces, et les 21mm si l'écranfait plus de 14 pouces.Il doit aussi être doté d'unprocesseur Intel Sandy Bridge(pour les modèles de 2011) ouceux de la famille Ivy Bridge(pour les appareils sortis entre2012 et <strong>2013</strong>). Il doit bénéficierd'un processeur protégé et d'undisque dur à technologie antivolpour protéger son contenuen cas de perte ou de vol.L'ultrabook doit aussi disposerd'un important disque durphysique lui permettant undémarrage en sept secondeschrono et doit proposer unedurée de vie de batterie d'aumoins cinq heures entre chaquecharge, mais Intel recommandehuit heures.ministère de la Défense. Celle-ciexiste depuis le 31 décembre 2003et gère les réseaux informatiqueset de communication de ladéfense. Mais il est vrai que laDIRISI a pris plusieurs annéespour atteindre sa vitesse de croisière.Dans le même temps, laDCRI et le parquet antiterroristede Paris poursuivent leurs effortspour faire disparaître d'Internetles informations qu'ils considèrentcomme sensibles. Envain.Pour rappel, les policiers dela DCRI ont fait supprimer, deRéseauxLa page Facebook n'estpas un lieu publicLes propos que chacun publie sur des réseauxsociaux ne sont pas des propos tenus enpublic et ne sont donc pas susceptibles defaire l'objet de poursuites pour diffamation ouinjure publiques. A la condition toutefois,explique la Cour de cassation de Paris, que lestermes employés ne soient accessibles qu'àdes personnes agréées par le titulaire ducompte et fort peu nombreuses. Etant peunombreux et agréés entre eux, auteur etlecteurs se trouvent liés par une «communautéd'intérêts », selon l'expression juridique. Cequ'ils échangent n'est donc pas « public ».Cette jurisprudence fait échapper lesinternautes, utilisateurs de réseaux sociaux,au risque d'un procès correctionnel endiffamation ou injure publiques. Ladiffamation ou l'injure non publiques sont eneffet punies comme une « contravention de 1 reclasse », soit une amende de 38 euros.L'affaire est donc de la compétence du juge deproximité. Alors que si elles sont publiques,ces injures ou diffamations sont passibles de12 000 euros d'amende, voire 45 000 eurosavec emprisonnement si elles sont aggravées(raciales, par exemple).ALGERIE NEWS Mardi <strong>16</strong> avril <strong>2013</strong>façon cavalière selon la communautéWikipédia, un article francophonequi donnait des informationsprécises sur la stationhertzienne militaire de Pierre-sur-Haute. La source principale desinformations était le reportage deTL7. Résultat de la censure : lesinternautes se sont défendus enremettant en ligne l'articleWikipédia depuis la Suisse, et en letraduisant en 20 langues. C'est cequ'on appelle un effet Streisand :le résultat de la censure est l'inversedu résultat escompté.Lunettes GoogleUn fonds pourdévelopper desapplicationsDes investisseurs de laSilicon Valley associésà Google ont créemercredi un fonds pour soutenirles entrepreneurs souhaitantdévelopper des applicationsdédiées aux lunettesfuturistes connectées à internetdu groupe américain. Lesfonds de capital-risqueAndreessen Horowitz etKleiner Perkins Caufield &Byers ont créé avec la brancheinvestissement de Google le«Glass Collective», un fondsdestiné à financer les entrepreneursséduits par le projetde Google.Les « Google Glass » sontéquipées d'une caméra intégrée,d'un micro et peuvent seconnecter par la voix à l'internetpar wifi ou par Bluetooth.Des mini-écrans sur les verrespermettent d'afficher des textosou des courriels. Le cofondateurde Google SergeyBrin avait annoncé en févrierque ces lunettes devraient êtrecommercialisée auprès dugrand public cette année pourLes gensCaroline FourestDes opposants au mariagehomosexuel ont poursuivi sameditoute la journée la journalisteindépendante Caroline Fourest,perturbant à Nantes un débatauquel elle participait, bloquantson TGV et l'attendant à son retourgare Montparnasse à Paris, a-t-onappris auprès de la journaliste etde sources concordantes. Lajournaliste a expliqué qu'elle avaitété « traquée du matin jusqu'ausoir ». À son arrivée à Nantes, oùelle devait animer un débat surl'islam dans le cadre des journéesdu Nouvel Observateur, une sériede colloques, elle a été accueilliepar « une centaine de personnes »,collées contre les vitres de savoiture, « hurlant et vociférant »,l'obligeant à quitter la gare encourant sous la protection d'uncordon policier, a-t-elle raconté.un prix inférieur à 1500$. «Ceprojet est profondément révolutionnaire»,a estimé MarcAndreessen dans un post surle site du fonds, glasscollective.com.« Comme pour Internet etles téléphones multifonctions,un important travail seraaccompli par les entrepreneurstiers dans la réalisationcomplète des lunettes ».

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