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entilles minces - Recueil de problèmes MPSI

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L<strong>entilles</strong>I 77 . Phare.Un phare est constitué par un filament lumineux <strong>de</strong> 1 cm <strong>de</strong> long et par une lentille <strong>de</strong> diamètre 2 cm. Lorsque celleciest à 11 cm du filament, elle en donne une image nette sur un écran situé à 110 cm <strong>de</strong> la lentille.1) Quelle est la taille <strong>de</strong> cette image ?2) Quelle est la distance focale <strong>de</strong> la lentille ?3) Le filament étant à 10 cm <strong>de</strong> la lentille, quelle est la taille <strong>de</strong> la région éclairée à 100 mètres <strong>de</strong> la lentille ?30 cm 2 cmII 64 . Lunette.Une lunette est constituée d’un objectif <strong>de</strong>distance focale f 1 ’ = 30 cm et <strong>de</strong> rayon r 1 = 4 cm ,d’un diaphragme <strong>de</strong> rayon r = 1 cm qui ne laissepasser que les rayons situés à son niveau à moins <strong>de</strong>1 cm <strong>de</strong> son axe et d’un oculaire <strong>de</strong> distance focalef 2 ’ = 2 cm. La distance entre le diaphragme etl’objectif est 30 cm et celle entre le diaphragme etl’oculaire est 2 cm. L’objectif, le diaphragme et l’oculaire ont même axe.1) Une étoile envoie <strong>de</strong>s rayons parallèles entre eux et inclinés sur l’axe d’un angle α = 0,001 radian. En quel point(position longitudinale et transversale) se forme l’image que donne l’objectif <strong>de</strong> cette étoile ?2) Déterminer l’image que donne la lunette <strong>de</strong> l’étoile.3) On appelle grossissement le rapport <strong>de</strong>s angles sous lequel on voit un objet à travers l’instrument et à l’œil nu.Quel est le grossissement <strong>de</strong> la lunette ?4) En raison du diaphragme, seules sont visibles à travers la lunette les étoiles dont la direction fait avec l’axe unangle borné par β. Calculer β.5) On regar<strong>de</strong> dans la lunette à l’envers. Que <strong>de</strong>vient le grossissement ?6) Où se trouve le cercle oculaire, c’est-à-dire l’image que l’oculaire donne <strong>de</strong> l’objectif ? Quel est son rayon ?7) On veut que la lunette donne d’un objet situé à 10,3 m <strong>de</strong> l’objectif une image à l’infini. Quel est le sens et lagran<strong>de</strong>ur du déplacement <strong>de</strong> l’oculaire nécessaire ?8) Dessiner la marche du faisceau <strong>de</strong> rayons venant <strong>de</strong> l’étoile située dans une direction inclinée sur l’axe <strong>de</strong> l’angleβ. En déduire le rayon minimum <strong>de</strong> l’oculaire pour que celui-ci ne gêne pas la vision.III 50 . Lunette.Une lunette est constituée d’un objectif formé par une lentille mince convergente L 1 , <strong>de</strong> distance focale f’ 1 = 10 cm et<strong>de</strong> diamètre d’ouverture d 1 = 3 cm, et d’un oculaire formé par une lentille mince convergente L 2 , <strong>de</strong> distance focalef’ 2 = 2 cm et <strong>de</strong> diamètre d’ouverture d 2 = 1 cm. La distance entre L 1 et L 2 est réglable. Le lunette est réglée <strong>de</strong> façon àdonner d’un objet à l’infini une image à l’infini.1) Calculer la distance L entre les <strong>de</strong>ux l<strong>entilles</strong>.2) Soit un objet AB frontal à distance finie. On appelle A 1 B 1 l’image qu’en donne l’objectif et A’B’ l’image qu’enAB ' 'donne le viseur. Calculer le grandissement γ = .AB3) Si A se déplace <strong>de</strong> ∆ A , son image A’ se déplace <strong>de</strong> ∆A'. Calculer le grandissement axial <strong>de</strong> la lunette, c’est-àdireg = . Pour trouver la relation entre A et A’, on pourra utiliser les formules <strong>de</strong> Newton.∆ A∆A'4) Soit un objet à l’infini dans une direction faisant l’angle α avec l’axe ; son image est à l’infini dans une directionα 'faisant l’angle α ' avec l’axe. Calculer le grossissement G = . α5) Comme les rayons lumineux sont obligés <strong>de</strong> traverser l’objectif, ils sont obligés, après avoir traversé l’oculaire, <strong>de</strong>passer par l’image que l’oculaire donne <strong>de</strong> l’objectif, qu’on appelle cercle oculaire. Déterminer la position du centre Cdu cercle oculaire.6) Déterminer le diamètre d C du cercle oculaire.7) Dessiner avec soin la marche d’un faisceau lumineux arrivant parallèle sur l’objectif, incliné alors d’un angle αsur l’axe et éclairant tout l’objectif. Pour cela, représenter les rayons extrêmes <strong>de</strong> ce faisceau et hachurer la région où ily a <strong>de</strong> la lumière.IV 35 . Viseur.1) Un viseur est constitué d’un objectif formé par une lentille mince convergente L 1 , <strong>de</strong> distance focale f’ 1 = 10 cm et<strong>de</strong> diamètre d’ouverture d 1 = 3 cm, et d’un oculaire formé par une lentille mince convergente L 2 , <strong>de</strong> distance focalef’ 2 = 2 cm et <strong>de</strong> diamètre d’ouverture d 2 = 1 cm. La distance entre L 1 et L 2 est réglable. Le viseur est réglé <strong>de</strong> façon quece viseur donne d’un objet réel situé à 20 cm <strong>de</strong> l’objectif une image à l’infini. Quelle est la distance L entre L 1 et L 2 ?DS : l<strong>entilles</strong>, page 1


1. Quelle est la forme et la direction <strong>de</strong>s faisceaux lumineux <strong>de</strong>s on<strong>de</strong>s 1 et 2, respectivement émises par les étoilesEaet Eb, lorsqu’elles parviennent sur la lunette ?2. On appelle A l’image <strong>de</strong> l’étoile à travers la lentille . De même, B désigne l’image <strong>de</strong> à travers L .B21EaL11Eb1a) Dans quel plan se situent A1et B1? Donner la distance algébrique AB 1 1 .b) La lentille est placée peu avant le plan où se forment les images et . On appelle respectivement A etL2A1B12AB 2 2les images <strong>de</strong> Eaet Ebà travers la lunette. Sachant que 2AB = , exprimer et calculer la distance OA 2 1 .3. On définit la distance focale f ′ <strong>de</strong> la lunette par la relation AB 2 2 = f′ θ .a) Calculer la distance focale f ′ <strong>de</strong> la lunette.b) Calculer AA 1 2 .c) Quel est l’intérêt d’ajouter la lentille L 2 ? Quel est son inconvénient ?4. On place dans le plan où se forment les images A2et B2, une caméra à DTC (Dispositif à Transfert <strong>de</strong> Charge).Ce récepteur d’images est composé d’une matrice rectangulaire <strong>de</strong> 768 × 512 détecteurs élémentaires, appelés pixels,<strong>de</strong> forme carrée, <strong>de</strong> côtés a 1 = 9 µ m . On suppose que la lunette est librement orientable.Une image parfaite à travers la lunette d’un point situé à l’infini, produit sur le détecteur un signal donnant une imagedont la dimension ne peut être inférieure à la taille d’un pixel.Exprimer et calculer en secon<strong>de</strong> d’arc, la limite <strong>de</strong> séparation angulaire θ min <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux étoiles due au récepteurd’image. Quelle est la plus gran<strong>de</strong> valeur <strong>de</strong> séparation angulaire décelable <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux étoiles en minute d’arc ?IX 22 . Microscope.Un microscope porte les indications suivantes : sur son objectif : x40 ; sur son oculaire: x10. La notice duconstructeur précise : ouverture numérique <strong>de</strong> l'objectif ω 0 = 0, 65 , intervalle optique ∆ = 16 cm . La signification <strong>de</strong>ces indications sera précisée dans la suite. On modélise ce microscope par <strong>de</strong>ux l<strong>entilles</strong> <strong>minces</strong> convergentes,l’objectif, <strong>de</strong> centre optique O1et <strong>de</strong> foyers F1et F 1′ , et l’oculaire, <strong>de</strong> centre optique O2et <strong>de</strong> foyers F2et F 2′.L’intervalle optique ∆ = FF′1 2 est positif, c’est-à-dire dans le sens <strong>de</strong> propagation <strong>de</strong> la lumière.Soit un objet réel AB, perpendiculaire à l'axe optique, A étant sur l'axe, un peu plus loin <strong>de</strong> l'objectif que le foyerobjet <strong>de</strong> cet objectif ; l’objectif donne <strong>de</strong> AB une image intermédiaire A 1 B 1 ; l’oculaire donne <strong>de</strong> A 1 B 1 une image A'B'.Nous supposerons cette image à l’infini. Elle est observée par un œil situé au voisinage du foyer image <strong>de</strong> l'oculaire. Cetœil est dit emmétrope, car il est capable d’accommo<strong>de</strong>r pour voir nets les objets situés entre la distance δ = 25 cm etl'infini.1) Faire un schéma qualitatif du dispositif, sans chercher à respecter les proportions entre les longueurs données parl’énoncé, et tracer la marche <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux rayons lumineux issus du point B, l'un émis parallèlement à l'axe optique, l'autrepassant par F 1 .2) L'indication portée sur l'oculaire (x10) est le grossissement commercial G 2 = 10 <strong>de</strong> l’oculaire, c’est-à-dire lerapport <strong>de</strong> l'angle α′ sous lequel on voit l'image à l'infini d'un objet à travers l'oculaire seul (et non à travers lemicroscope) et <strong>de</strong> l'angle α sous lequel on voit ce même objet à l'œil nu lorsqu'il est situé à la distance minimale <strong>de</strong>vision distincte. Déterminer f ′ , distance focale image <strong>de</strong> l'oculaire.23) L'indication portée sur l'objectif (x40) est la valeur absolue du grandissement γ 1 = AB 1 1 / AB <strong>de</strong> l'objectif :γ 1 = 40 . Calculer f 1′ , distance focale image <strong>de</strong> la lentille équivalente à l'objectif .4) Calculer la distance OA 1 entre l'objet et l’objectif.5) Calculer la latitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> mise au point, c’est-à-dire la variation <strong>de</strong> la distance OA 1 compatible avec une vision nette<strong>de</strong> l'image finale par l'observateur, dont l'œil est au foyer image <strong>de</strong> l'oculaire. Interpréter le résultat obtenu.6) Calculer dans le cas d'une image finale à l'infini le grossissement commercial G du microscope.1 1DS : l<strong>entilles</strong>, page 3θ max


7) L'ouverture numérique du microscope, ω0, correspond à nsinu , n indice du milieu dans lequel plongel'objectif, u angle maximum <strong>de</strong>s rayons issus <strong>de</strong> A arrivant sur l'objectif. Calculer u pour un objectif plongé dans l'air.Le microscope est-il utilisé dans les conditions <strong>de</strong> Gauss ? Quel est l'ordre <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>ur du diamètre D <strong>de</strong> la monture <strong>de</strong>l'objectif ?8) Déterminer la position C et le diamètre d du cercle oculaire, image <strong>de</strong> la monture <strong>de</strong> l'objectif à travers l'oculaire.Quel est l'intérêt <strong>de</strong> placer l'œil sur le cercle oculaire ?X 42 . L’objectif photographique.Dans tout le problème, on supposera l'approximation <strong>de</strong> Gauss valable.Les l<strong>entilles</strong> seront désignées par la lettre L, leurs foyers objet et image étant respectivement F et F', leur centre optiqueO, leur distance focale image f'.On notera A et A' respectivement, le couple <strong>de</strong> points conjugués objet et image.1° Objectif simple.Un objectif photographique est modélisé par une lentille mince <strong>de</strong> distance focale image f' = 50 mm. La mise au points'effectue en déplaçant l'objectif par rapport à la pellicule (P).a. Où faut il placer la pellicule pour photographier un immeuble <strong>de</strong> 20 m <strong>de</strong> haut, situé à 1 km du centre O ? Calculer lagran<strong>de</strong>ur AB ' ' <strong>de</strong> son image.b. Le tirage t <strong>de</strong> l'appareil est la distance dont il faut déplacer l’objectif par rapport à la pellicule pour photographier unobjet à distance finie au lieu d’un objet à l’infini. Le tirage maximum permet <strong>de</strong> photographier un objet situé àδ = 0, 9 m <strong>de</strong> l’objectif. Quel est ce tirage maximum ?c. On suppose la mise au point faite sur l'infini.L'objectif possè<strong>de</strong> un diaphragme à iris d'ouverture réglable, placé contre la lentille. Son diamètre D s'exprime enfonction <strong>de</strong> la distance focale f' et <strong>de</strong> l'ouverture n suivant la relation D = f’/n. La structure du film étant granulaire, latache image correspondant à un objet ponctuel a le diamètre d'un grain a = 25 µm = 25. 10 –6 m. Déterminer l'ensemble<strong>de</strong>s positions d'un objet A sur l'axe optique donnant une image aussi nette que pour un point à l'infini.Application numérique : Calculer la distance minimale <strong>de</strong> cet objet au centre optique, l'ouverture étant n = 16.d. On appelle limite <strong>de</strong> résolution, la distance minimale <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux objets A et B dans un plan perpendiculaire à l'axe, dontles images A' et B’ sont distinctes sur la pellicule. Cette distance A'B' doit être supérieure au grain <strong>de</strong> la pellicule a.Déterminer cette limite en fonction <strong>de</strong> a, f',AF .Application numérique : Comment placer l'objectif par rapport à A pour que cette limite <strong>de</strong> résolution soit la plus faiblepossible. La calculer.2° Téléobjectif.Pour augmenter le grandissement <strong>de</strong> l'image et abaisser la limite <strong>de</strong> résolution, il faut utiliser <strong>de</strong>s objectifs <strong>de</strong> gran<strong>de</strong>focale, ce qui conduit à <strong>de</strong>s appareils encombrants et lourds.On préfère utiliser <strong>de</strong>ux l<strong>entilles</strong>, L 1 convergente <strong>de</strong> distance focale f’ 1 = 50 mm et L 2 divergente, placée <strong>de</strong>rrière, <strong>de</strong>distance focale f’ 2 = – 20 mm. La distance <strong>de</strong>s centres optiques est O 1 O 2 = 35 mm.a. Calculer numériquement la position du foyer image F' du système, c’est-à-dire l’image du point à l’infini dans lesystème.b. Déterminer la gran<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> l'image <strong>de</strong> l'objet AB défini en 1° a.c. Quelle serait la distance focale d'une lentille convergente unique donnant une image <strong>de</strong> même gran<strong>de</strong>ur ? Intérêt dudispositif ?3° Aberration chromatique.La vergence d’une lentille d’indice n et dont les faces ont pour sommets S 1 et S 2 et pour centres C 1 et C 2 est⎛ 1 1 ⎞V = ( n −1)⎜−SC SC⎜⎝ ⎠ ⎟.1 1 2 2Pour corriger le chromatisme <strong>de</strong> l'objectif, on associe <strong>de</strong>ux l<strong>entilles</strong> L 1 et L 2 , respectivementconvergente et divergente.Les centres optiques étant pratiquement confondus (l<strong>entilles</strong> accolées) :B − 5 -21 1L 1 est d'un verre d'indice n1 = + C2 1C1 = 1, 515 B1= 4, 5.10 m ;λB − 5 -22 1L 2 est d'un verre d'indice n2 = + C2 2C2 = 1, 652 B2= 7, 4.10 m .λDS : l<strong>entilles</strong>, page 4


a. Donnez sans démonstration la vergence <strong>de</strong> la lentille unique équivalente en fonction <strong>de</strong> f' 1 et f’ 2 ?b. L 1 est équiconvexe, ses rayons <strong>de</strong> courbure égaux ont pour valeur absolue R 1 . L 2 , accolée, a un rayon <strong>de</strong> courburearithmétique R 1 , sa face non accolée a un rayon <strong>de</strong> courbure algébrique R 2 . Calculer R 1 et R 2 pour que la lentilleéquivalente ait une distance focale f' = 5 cm, indépendante <strong>de</strong> la longueur d'on<strong>de</strong>.I. 1) 10 cm ; 2) f ′ = 10 cm ; 3) D α ′ = 10 m .II. 1) dans le plan du diaphragme, à0,3 mm <strong>de</strong> l’axe ; 2) à l’infini dans unedirection inclinée <strong>de</strong> 0,015 radian surf1′l’axe ; 3) G = = 15 ; 4)f ′21Réponsesr1β = = 0, 0333 rad ; 5) G = ; 6)f1′ 152,133 cm <strong>de</strong>rrière l’oculaire ; rayon0,267 cm ; 7) reculer l’oculaire <strong>de</strong> 0,9cm ; 8) r 2min = 1, 33 cm .fIII. 1) L f1′ f2′2′= + = 12 cm ; 2) γ = − = −0, 2 ; 3)f ′22′21′ff1′g = = 0, 04 ; 4) G = = 5 ; 5)ff2′22′−fdfFC 2′ 12′= = 0, 4 cm ; 6) dC= = 0, 6 cm ; 7) voirFO 2 1f1′ci-contre.1IV. 1) L = 2f 1 ’ + f 2 ’ = 22 cm ; 2) P = = 50 dioptries ;f ′2230 cmFigure 3−f2'3) F2' C = = 0 ,2 cm ; 4) à une distance <strong>de</strong> l’objectifFO 2 1du viseur comprise entre 19,685 et 20 cm.1 11 1V. 1) entre V 0 = + = 44,5 dioptries et V 1 = + = 53,5 dioptries ; 2) V 2 = −1/ ∆ = −1dioptrie;d ∆d δ1δ ′ = = 0,111 m .V + 1/ δ2DVI. 1) f ′ = = 31 cm ; 2) f42′ = − 62 cm .f ′ ⋅ AB1VII. 1) 50 mm ; 2) AB ′ ′ = = 2, 5 mm ; 3) p5,263 mmD′ = V + 1/ p= ; 4) AB ′ ′ = 5, 26 mm ; 5)12, 63 mm ; 6) entre l’infini et 1 m ; 7) p = 0, 5 m1/ p′ −V= − ; 8) AB ′ ′ = 10 mm ; 9)1p = 0, 333 m1/ p′ −V= − ; 10) avec la bonnette, la mise au point doit être plus précise ; 12) AB = δα = 75 µ m ;13) AB = f ′ α = 6 µ m.• VIII. 1) E envoie un faisceau <strong>de</strong> rayons parallèles à l’axe ; E envoie un faisceau <strong>de</strong> rayons parallèles entre euxaet faisant l’angle avec l’axe ; 2.a) et B sont dans le plan focal image <strong>de</strong> L 1 , f 1′ = 7, 5 m <strong>de</strong>rrière cette lentille ;θ A11AB 1 1 = f′1θ ; 2.b) O2A 1 = 0, 0125 m ; 3.a) f ′ = 2f1′= 15m ; 3.b) AA 1 2 = 0, 0125 m ; 3.c) L 2 réduit la taille dudispositif et le champ transversal ; 4) θ min = AB 2 2 / f′ = 0,124 secon<strong>de</strong> ;−7 2 2θ max = 6.10 × 768 + 512 = 1,9 minute .δIX. 1) voir ci-contre ; 2) f 2′ = = 2, 5 cm ; 3)G2∆f1′ = = 0, 4 cm ; 4) O1 A = 0 ,41cm ; 5) 1, 54 µ m ; 6)γ1G = G 2 γ 1 = 400 ; 7) u = 40,5°; conditions <strong>de</strong> GaussDS : l<strong>entilles</strong>, page 5bBAF12 1F 1′FB 1= A2 cmF 2′r 2,min


non vérifiées ; D = 2O1Atanu= 0,7cm ; 8) O2C = 2,88cmX. 1° a. 50 mm <strong>de</strong>rrière L ; AB ′ ′ = 1 mm ; b. 2, 94 mm ; c.AF = 0, 85 m ; alors AB = 0, 425 mm ;;d = 0,106 cm ; l’œil recueille toute la lumière.2f ′− p > = 6, 25 m ; d.na2° a. OF′1 = 95 mm ; b. 4 mm ; c. f ′ = 4f ′1 = 200 mm ; moins encombrant.1 1 1⎡B1⎤3° a. V = = + ; b. R1 = 2f ′( C1 −1) −( C2− 1)= 1,185cm ; Rf ′ f ′ f ′⎢⎣B2⎥⎦1 22aFA .AB > ; optimumf ′= R15, 48 cm2 B / B − 1= .1 2DS : l<strong>entilles</strong>, page 6


I.1)Corrigép′110γ = = = 10 : l’image du filament mesure 10 cm <strong>de</strong> long.p 112) 1 = 1 − 1 = 1 − 1 ⇒ f ′ = 10 cmf ′ p′ p 110 −113) L’image du filament est à l’infini ; sa taille est α ′ = AB / f ′ = 0,1radian . A D = 100 m , elle éclaire sur unelargeur D α ′ = 10 m .II.1) La figure 1 montre que A 1 B1= f1′α = 300×0,001 = 0,3 mm : l’image intermédiaireB 1 <strong>de</strong> l’étoile est dans le plan du diaphragme, à 0,3 mm <strong>de</strong> l’axe.A1B10,32) La figure 2 montre que α ′ = = = 0,015 radian : l’image B' <strong>de</strong> l’étoile àf 2′20travers la lunette est à l’infini dans une direction inclinée <strong>de</strong> 0,015 radian sur l’axe.α ′ f3) 1 ′G = = = 15 .α f 2′4) Seules sont visibles les étoiles dont l’image intermédiaire est à l’intérieur dur 1diaphragme : A1 B1≤ r α ≤ β = = = 0,0333 rad .f ′ 30115) D’après le principe du retour inverse <strong>de</strong> la lumière, G = .156) Le centre du cercle oculaire est l’image O' 1 que donne l’oculaire <strong>de</strong> O 1 ; son rayonr′1 est la taille <strong>de</strong> l’image du rayon r1<strong>de</strong> l’objectif :1 1 32O2O1′= p′= = = = 2,133cm1 1 1 1 15+ +p f ′ − 32 2r′= r11p′p=232 /15432=415= 0,267 cmLe cercle oculaire est 2,133 cm <strong>de</strong>rrière l’oculaire et a pour rayon 0,267 cm.2B à l’∞αA 1 = F 2B 1Figure 1Figure 2A 1 = F' 1B' à l’∞2307) F 1 A.F1′ A1= − f1′F1′A1= − = 0,9 cm . A 1 doit coïnci<strong>de</strong>r avec F 2 , donc il faut reculer l’oculaire <strong>de</strong> 0,9 cm.−10008) La distance à l’axe d’un point d’unrayon varie linéairement avec l’abscisse30 cm2 cm<strong>de</strong> ce point sur l’axe ; appliquons cettepropriété au rayon extrême, passant parle bas <strong>de</strong> l’objectif et le haut dur 2,mindiaphragme :r1 + r r2min− r=f1′ f2′( r1 + r)f2′r2min= r +f1′Figure 3( 4 + 1)× 2= 1+ = 1,33cm30III.1) Pour que F 1′soit confondu avec F2, il faut que L = f1′ + f2′= 12 cm .AB ' ' f2′2) La figure montre que γ = = − = −0, 2 .AB f ′1F′ = F1 2α'B 1DS : l<strong>entilles</strong>, page 7


2⎧⎪ FA 1 ⋅ FA 1′ 1 = −f1′3) ⎪⎨2⎪FA 2 1 ⋅ FA 2′ ′ = −f2′⎪⎩2FAComme F2et F 1′2 ' f2′sont confondus, en prenant le rapport membre à membre : g = = = 0, 04 .2FA f ′1 14) D’un objet à l’infini vu sous l’angle α, l’objectif donne une image intermédiaire AB 1 1 = f′1α; l’oculaire en donneAB 1 1α ' f1′une image à l’infini vue sous l’angle α ' = . D’où G = = = 5 .f2′α f2′5) La position et la gran<strong>de</strong>ur du cercle oculaire peuvent êtredéterminées en utilisant les formules <strong>de</strong> Newton :FO2⋅ FC ′ = − f′2 1 2 22 2−f2′22FO 2 1−FC ′ = = − = 0, 4 cm .10dCf2 d1f23 26) γ 2 = = ′ ⇒ dC= ′ = × = 0, 6 cm .d1 f1′ f1′107) Voir ci-contre. L’angle d’inclinaison est très exagéré(parce que le <strong>de</strong>ssin est alors plus facile à réaliser), ce quioblige à <strong>de</strong>ssiner un oculaire dont le diamètre d’ouverture estplus grand qu’en réalité.IV. Viseur.1) L’objectif travaille dans la situation <strong>de</strong> la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong>Silbermann, formant d’un objet réel qui lui est distant <strong>de</strong> 2f 1 ’ une image réelle située en F 2 à 2f 1 ’ <strong>de</strong> lui. L = 2f 1 ’ + f 2 ’ =22 cm.2) AB 1 1 = ABAB 1 1α ′ =f2′α′ 1P = = = 50 dioptries .AB f ′22 22−f2' 23) En utilisant les formules <strong>de</strong> Newton, FO 2 1. F2 ' C = − f2' , d’où F2' C = = − = 0,2 cm.FO 2 1−204)2 2f2′2 40CA′ = −12,5 cm ⇔ FA 2′ ′ = 0,2 − 12,5 = −12, 3 cm ⇔ FA 2 1 = − = − = cmFA ′ ′ −12, 3 1232 240 1270 f1′ 10 × 123FA 1′ 1 = 10 + = cm ⇔ FA 1 = − = − = −9,685 cm123 123 FA 12701′1Donc, en accommodant, on peut voir net à une distance <strong>de</strong> l’objectif du viseur comprise entre 19,685 et 20 cm. Laprofon<strong>de</strong>ur <strong>de</strong> champ est faible, ce qui explique la précision <strong>de</strong>s pointés longitudinaux réalisés avec un viseur.V.1) Sans accommodation, p d p V0= 1 1 1 1 1 144,5 dioptriesp ′ − pd∆= 0, 023 1.En accommodant au maximum, p d p 1 1 1 1 1 1V153,5 dioptriesp ′ − pdδ= 0, 023 0,1.2) Première solution : la lentille accolée à l’œil, <strong>de</strong> vergence V 2 , donne d’un objet à l’infini une image situé à ladistance ∆ <strong>de</strong> l’œil, donc f ′ = −∆ = − 1m V = 1/ f ′ = − 1dioptrie ; en accommodant au maximum, on voit2 2 2un objet distant <strong>de</strong> δ′ dont la lentille donne une image distant <strong>de</strong> δ , d’où1 1 1 1 1 1p = −δ ′ p ′ = −δ V2= − = − δ 0,111mp p′ = = = .′ δ′ δ V2+ 1/ δ − 1 + 1/0,1Deuxième solution : le cristallin et la lentille équivalent à une lentille unique ; sans accommodation,p = ∞ p′= d V + V = 1/ d V = 1/ d − ( 1/ d + 1/ ∆ ) = −1/ ∆ = − 1dioptrie. En accommodant au0 2 22DS : l<strong>entilles</strong>, page 8


maximum, on voit à la distance ′ : V1 1 1= − ⇒ δ ′ = 0,111m .δ′ δ ∆δ 1 V21 1+ = + . Or Vd δ ′11 1= + et Vd δ21= − , d’où ∆VI.D 1241) C’est la métho<strong>de</strong> <strong>de</strong> Silbermann : f ′ = = = 31 cm .4 4D′2482) La distance focale <strong>de</strong> l’ensemble est f ′ = = = 62 cm . Comme les vergences <strong>de</strong> l<strong>entilles</strong> accolées4 41 1 1 1 1 1 1 1 1−2 1s’ajoutent, = + ⇒ = − = − = = − ⇒ f ′2= −62 cmf′ f′ f′ f′ f′ f′62 31 62 621 2 2 1VII.1) L’objet est pratiquement à l’infini, donc le film est dans le plan focal image, soit à 1/50 m = 50 mm <strong>de</strong> l’objectif.AB A′ B ′ f ′⋅ AB 0, 05 × 5002) = α = ⇒ AB ′ ′ = = = 0, 0025 m = 2,5 mm . BD f ′D 10000α f ' A'A3) 1 − 1 = V p′= 1 = 0, 05263 m = 5,263 mm .p ′ p V + 1/ pD B'AB ′ ′ p′5, 2634) = AB ′ ′ = 0,1 m = 5, 26 mm .AB p15) Le tirage est la différence entre les valeurs <strong>de</strong> p ′ calculées aux questions 3) et 1) soit 52,63 − 50 = 2,63mm.6) On peut photographier <strong>de</strong>s objets dont la distance à l’objectif est comprise entre l’infini et 1 m.7) Comme <strong>de</strong>ux l<strong>entilles</strong> accolées équivalent à une lentille dont la vergence est la somme <strong>de</strong> leurs vergences,1 1 1 120 2 22dioptries max 0,5mp′ − p= V = + = p = 1/ p′ −V= 1/ 0, 05 − 22= p = − .p ′ 0, 058) AB ′ ′ = AB = 0,1 × = 0, 01 m = 10 mm .p 0, 5= 1 10, 333 m1/ p′ −V= 1/ 0, 05263 − 22= = −9) ppmin10) Avec la bonnette, la mise au point doit être plus précise, car l’intervalle <strong>de</strong> p correspondant au tirage estbeaucoup plus petit : une petite erreur sur l’évaluation <strong>de</strong> p entraînera une photographie floue.1 1 ⎛ 1 ⎞ 1 1 111)V⎛ ⎞V1 1− = pminp⎜+ max p ⎟− ⎜+ = −min p ⎟. Comme − est le même en présence′ ′ ⎝ ⎠ ⎝ max ⎠ pmin pmaxpmin′ pmax′1 1ou en l’absence <strong>de</strong> la bonnette, qui fait varier V , − est le même en présence ou en l’absence <strong>de</strong> la bonnette.p p−412) AB = δα = 250 × 3.10 = 0, 075 mm = 75 µ m .min−413) AB = f ′ α = 20 × 3.10 = 0, 006 mm = 6 µ m .maxVIII.1) Eaenvoie un faisceau <strong>de</strong> rayons parallèles à l’axe; Ebenvoie un faisceau <strong>de</strong> rayons parallèles entre eux et faisantl’angle θ avec l’axe.2.a) A1et B1sont dans le plan focal image <strong>de</strong> L1, f 1′ = 7, 5 m <strong>de</strong>rrière cette lentille. AB 1 1 = f′1θ .2.b) On peut appliquer à la secon<strong>de</strong> lentille :• soit les formules <strong>de</strong> Descartes :γ 2p′1 1 1 1 1= = 2 − = ⇒− =p p′ p f ′ p′ f ′OA 2 2 = − f2′= 0, 025 m O2 A1= 0, 0125 m• soit les formules <strong>de</strong> Newton γ 2x′f= − = −f ′ xx = − f /2 = − 0, 025/2 = − 0, 0125 m x′ = − 2f′ = 2 × 0, 025 = 0, 05 m .OA = OF′ + FA ′ = − 0, 025 + 0, 05 = 0, 025 m OA = OF + FA = 0, 025 − 0, 0125 = 0, 0125 m .2 2 2 2 2 2 2 1 2 2 2 13.a)fAB AB AB= = × = 2 = 15m .′ 2 2 2 2 1 1f1θ AB′1 1 θDS : l<strong>entilles</strong>, page 9


3.b) AA 1 2 = AO 1 2 + O2A2 = − 0, 0125 + 0, 025 = 0, 0125 m .3.c)Pour obtenir une image <strong>de</strong> même taille avec une seule lentille <strong>de</strong> distance focale f 1′ , il faut que f 1′ = f ′ = 15 m .La présence <strong>de</strong> L 2 réduit la taille du dispositif <strong>de</strong> 15 à 7,5 m. Par contre, elle réduit aussi le champ transversal, limité àla largeur <strong>de</strong> L 2 .−6 −7 −74) θ min = AB 2 2 / f′= 9.10 /15 = 6.10 rad = 6.10 × 180 × 60 × 60/ π = 0,124 secon<strong>de</strong> .−7 2 2 −4 −4θ max = 6.10 × 768 + 512 = 5,54.10 rad = 5,54.10 × 180 × 60/ π = 1,9 minute .IX.1) Voir ci-contre.2)AB 1 1 AB 1 1 α′δα ′ = α = G2= =f2′ δα f2′δ 25f2′ = = = 2, 5 cmG 103)2AB FA ′ ∆ 16γ = = ′ = = = 0, 4 cm .′ γ 401 1 1 11 f1AB f11BAF12 14) 1 − 1 = 1 ⇒ p = 1 = 1 = −0, 41 cm : O1A = 0,41cm.p′ p f ′ 1 1 1 1−−p′ f ′ 16 + 0, 4 0, 42 −2, 55) FA 2′ ′. FA 2 1 = − ( f2′) FA 2 1 = = 0,25cm−25( f ) 2 21′0, 4FA 1′ 1 = 16 + 0,25 = 16,25 cm F1A= − = − = 0, 009846 cmFA ′ 16,25221 10, 4au lieu <strong>de</strong> F 1 A = − = 0,01cm , d’où la latitu<strong>de</strong> <strong>de</strong> mise au point due à la capacité <strong>de</strong> l’œil d’accommo<strong>de</strong>r160, 01 − 0, 009846 = 0, 000154 cm = 1,54 µ m .La mise au point n’est pas facile, car l’on ne voit net dans le microscope que pour une position très précise <strong>de</strong>l’objectif par rapport à l’objet.Si on regar<strong>de</strong> un milieu transparent, on ne voit net qu’une très mince tranche <strong>de</strong> ce milieu, d’épaisseur <strong>de</strong> l’ordre dumicromètre.α′ α′AB 1 16) G = = × = G 2 γ 1 = 10 × 40 = 400 .AB / δ A B / δ ABX.1 1F 1′FB 1= A7) u = arcsin( 0,65 ) = 40,5°. Les conditions <strong>de</strong> Gauss ne sont pas vérifiées avec une seule lentille.D = 2O Atanu= 2 × 0, 41× tan( 40,5° ) = 0,7 cm .12 2( f2′) 2, 58) FC 2′ = − = − = 0, 38 cmFO ( )2 1− 16 + 0, 4O2C= 2, 88 cm .d FC 2′ 0, 7 × 0, 38= ⇒ d = = 0,106 cm .D f2′2, 5L’œil, s’il est placé sur le cercle oculaire, recueille toute la lumière : on voit tout ce qu’on peut voir.1° Objectif simple.a. La pellicule doit être dans le plan focal image <strong>de</strong> L, 50 mm <strong>de</strong>rrière L.OAB ′ ′ = f′α .α20Pour l’immeuble considéré, α = = 0, 02 rad ; AB ′ ′ = 1 mm .1000250b. Comme FAF . ′ A′ = − f ′ , t est compris entre 0 et = 2, 94 mm900 − 50c.2D /2F 2′A’B’d /2f ′ p′DS : l<strong>entilles</strong>, page 10


d p′ − f′=D p′⎛ f ′ ⎞d = D1 − ⎜ ⎝ p′⎠⎟1 1 1= +p′ f′pDf ′d = − < ap2 2Df ′ f ′ 50− p > = = = 6250 mm = 6,25 ma na 16 × 0, 025La netteté est acceptable, compte tenu du grain <strong>de</strong> la pellicule, si l’objet est situé à une distance <strong>de</strong> l’objectifsupérieure à 6,25 m.d.AB ′ ′ f OFγ = = − = −AB x FAAB. f ′a.FAAB ′ ′ = > a ⇔ AB>FAf ′Cette limite <strong>de</strong> résolution est la plus faible quand FA est minimum soit pour AF = 0, 85 m .0, 025 × 850Alors, AB > = 0, 425 mm502° Téléobjectif.a. L 1 donne d’un objet à l’infini une image intermédiaire FB′1 1. L2 en donne une image FB ′ ′. La formule <strong>de</strong>conjugaison <strong>de</strong> L2 donne :1 1 1 1 1− = ⇒ OF 2′ = = = 60 mm ⇒ OF 1′ = 95 mmOF1 1 1 12′ OF′ f2 1 2′+ −f 50 35 20OF′′ −22 1b. L’image intermédiaire mesure FB ′ = fα ′ .1 1 12La formule <strong>de</strong> grandissement <strong>de</strong> L 2 donne γ OF′602 = = = 450 − 35, d’où A’B’= 4fOF′1 ′ α .2 1La taille <strong>de</strong> l’immeuble est <strong>de</strong> 4 mm.c. Il faut une lentille <strong>de</strong> distance focale f ′ telle que f′ α = 4f ′ α ⇒ f′= 4f′ = 200 mm.1 1Le téléobjectif a pour longueur 35 + 60 = 95 mm, alors qu’un objectif simple <strong>de</strong> même performance a pour longueur200 mm. Il est moins encombrant, tant en longueur qu’en largeur et en poids.3° Aberration chromatique.1 1 1a. V = = +f ′ f ′ f ′1 2b. Posons R2 = S2C2 , positif si la face arrière est concave et négatif si elle est convexe.1 2 ⎛ 1 1 ⎞= ( n1 −1) −( n2− 1)+ f ′R ⎜1 R1R ⎟qui, si l’on exprime l’indice en fonction <strong>de</strong> la longueur d’on<strong>de</strong>, est <strong>de</strong> la⎝ 2 ⎠b1forme a + . La lentille est achromatique si b = 0 et a = , soit :λ2f ′2 ⎛ 1 1 ⎞ 1 1 2B1b = B1 − B20R ⎜+ = ⇒ + =1⎜⎝R 1 R2 ⎠ ⎟ R1 R2B2R1DS : l<strong>entilles</strong>, page 11


1 2 ⎛ 1 1 ⎞ 2 2B1a = = ( C1 −1) −( C2 − 1) + = ( C1 −1) −( C2−1)f ′ R1 ⎝ ⎜ R1 R2 ⎠⎟R1B2R1⎡ B1⎤ ⎡ 4, 5 ⎤R1 = 2f′( C1 −1) −( C2− 1)= 2 × 5 × 0,515 − 0,652 × = 1,185 cm⎢⎣B2⎥⎦⎢⎣ 7, 4 ⎥⎦R11, 185R2= = = 5, 48 cm2B12×4,5− 1 − 1B27, 4La lentille L 2 est donc biconcave. La petitesse <strong>de</strong> implique que cet achromat ne peut travailler que dans <strong>de</strong>sconditions <strong>de</strong> faible ouverture.R 1DS : l<strong>entilles</strong>, page 12

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