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Rapport de l'Atelier - fao ectad bamako

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Restitution <strong>de</strong>s rencontres individuelles, Drs Katinka <strong>de</strong> Balogh et Charles Bebay, FAO/Rome 2Tableau 2 : Restitution sur les forces et faiblesses <strong>de</strong> la prévention et du contrôle <strong>de</strong> la rage auCamerounForces/opportunités L’existence <strong>de</strong> centres antirabiques quireprésentent une véritable mémoire dans laprévention et le contrôle <strong>de</strong> la rage auCameroun ; L’existence d’un pool <strong>de</strong> formation universitaireset même <strong>de</strong> recherche sur la rage (milieuhospitalier et universitaire, recherche privée); Des expériences <strong>de</strong> collaboration intersectorielledans le diagnostic et la gestion <strong>de</strong>s foyers <strong>de</strong> rageavec notamment la signature <strong>de</strong> la conventionMINEPIA/CPC, la collaboration CPCAG/LANAVET,riposte du foyer d’Ambam) ; Des capacités prouvées <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong>laboratoire tant en mé<strong>de</strong>cine humaine quevétérinaire Une réelle motivation <strong>de</strong>s acteurs, notammentceux ayant une expérience dans la gestion <strong>de</strong>sfoyers <strong>de</strong> rage Une expérience dans l’organisation <strong>de</strong> la journéemondiale contre la rage en 2010. L’existence du programme <strong>de</strong> lutte contre leszoonosesFaiblesses/défis Un niveau <strong>de</strong> connaissance du risque <strong>de</strong> rage trèsfaible ; Une faible implication <strong>de</strong>s politiques qui setraduit par l’absence d’un budget alloué auxactivités <strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong> la rage ; L’absence <strong>de</strong> procédures écrites pour laprévention et le contrôle <strong>de</strong> la rage ; Le faible nombre <strong>de</strong> centre antirabiques (3 pourl’ensemble du pays) ; Le sous-rapportage <strong>de</strong>s cas <strong>de</strong> morsures et unfaible niveau d’échanges d’informations entre lesprincipaux acteurs ; Des activités <strong>de</strong> sensibilisation <strong>de</strong> la populationirrégulières et très limitées, souvent menées àl’occasion d’évènements ponctuels à l’instar <strong>de</strong>l’organisation <strong>de</strong> la journée mondiale contre larage ou en cas <strong>de</strong> riposte à un foyer.Evaluation <strong>de</strong> la situation <strong>de</strong> la lutte contre la rage au Cameroun par application du GRAPES,groupes <strong>de</strong> travailCette session s’est déroulée en travaux <strong>de</strong> groupes au cours <strong>de</strong>s lesquels les participants ont étéinvités à évaluer la situation <strong>de</strong> la lutte contre cette maladie au Cameroun à travers les étapes tellesque décrites par le GRAPES. Les groupes <strong>de</strong> travail ont été animés par les Drs De Balogh et Bebay quiont rappelé aux participants que l’appartenance d’un pays (ou d’une région) à une étape signifiaitque l’entité évaluée avait rempli toutes les caractéristiques <strong>de</strong> l’étape antérieure avec satisfaction,sans exclusive. Au terme <strong>de</strong> cette session, tous les groupes ont admis à l’évi<strong>de</strong>nce que le Camerounse situait à l’étape zéro.I<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong>s gaps pour améliorer la collaboration, travaux <strong>de</strong> groupesQuatre groupes <strong>de</strong> travail ont été constitués à cette fin ;DiagnosticSurveillance2 Sur la base <strong>de</strong>s entretiens que la FAO a eus avec diverses institutions et personnes lors <strong>de</strong> la préparation <strong>de</strong> cet atelier18

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