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Rapport de l'atelier de lancement du projet ... - fao ectad bamako

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2.4.1 CHRONOGRAMME DES ACTIVITES DE PREMIERE ANNEEActivités Mois année 1Mar Avr Mai Ju Jui Au Sep Oct Nov Dec Jan FevAtelier <strong>de</strong> <strong>lancement</strong>Mobilisation et dispositions logistiquesRecruter le personnel <strong>du</strong> <strong>projet</strong>Préparation <strong>de</strong>s rapportsComposante 1 – Renforcement <strong>de</strong>s services vétérinaires1.1 Renforcement <strong>de</strong>s capacités <strong>de</strong>s réseaux d’épidémiosurveillanceA1 : Formations REMATOA2 : Couverture <strong>de</strong>s besoins matériels<strong>du</strong> réseauA3 : Renforcement <strong>de</strong> la fonctionnalité<strong>du</strong> réseauA4 : Elaboration <strong>de</strong>s doc <strong>de</strong> support auréseau1.2 Renforcement <strong>de</strong>s capacités et <strong>de</strong>s ressources <strong>de</strong>s laboratoires <strong>de</strong> diagnosticA5: Achats d’équipements et réactifsA6 : Formation <strong>du</strong> personnel vétérinaireet techniciens <strong>du</strong> laboratoire nationalA7 : Mise en place <strong>de</strong>s méthodologies<strong>de</strong> prélèvementA8: Echanges inter-labo et mise enréseaux1.3 Coordination Gestion <strong>de</strong> l’information et transparenceA9: Mise en place d’une Cellule <strong>de</strong>Coordination et <strong>de</strong> suiviA10: Amélioration <strong>du</strong> plan stratégique<strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong> lutte contre la IAHPA11: Coordination et discussion <strong>du</strong> pland’action opérationnel6


3. ETAT d’AVANCEMENT DU PROJET OSRO/TG/801/CELes activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong> ont commencé officiellement le 1 er Mars 2009 date <strong>de</strong> début <strong>du</strong> contrat <strong>du</strong> consultant FAO.3.1 Personnel <strong>du</strong> <strong>projet</strong>• Coordonnateur nationalRecruté.• Assistant administratif et financierRéception <strong>de</strong>s candidatures (103 dossiers), présélection <strong>de</strong> 10 candidats et liste finale <strong>de</strong> 5 candidats danslaquelle l’équipe <strong>de</strong> sélection finale pourra choisir et procé<strong>de</strong>r au recrutement.• Responsable <strong>de</strong> la base <strong>de</strong> données :Sur 21 dossiers ; 6 candidats ont été présélectionnés parmi lesquels l’équipe <strong>de</strong> sélection finale pourra choisir etprocé<strong>de</strong>r au recrutement.• Secrétaire :150 dossiers, la présélection est en cours.3.2 Bâtiment <strong>du</strong> <strong>projet</strong>Les travaux <strong>de</strong> réhabilitation sont avancés. Le bâtiment mis a disposition par le TOGO à la DEP comporte 4bureaux (coordonnateur, secrétariat, assistant administratif et financier et Data manager) Le <strong>projet</strong> a financé sestravaux à hauteur <strong>de</strong> 15000 US$.Le gouvernement Togolais veillera à compléter les finitions nécessaires pour le rendre pleinement fonctionnel3.3 Equipement :Mobilier : Le mobilier <strong>de</strong> bureau sera commandé auprès d’artisans locaux ;Quatre ordinateurs PC et un portable ont été commandés avec une imprimante laser ; une imprimante couleur A3pour le gestionnaire <strong>de</strong>s données ; et une imprimante couleur pour le coordonnateur. La future photocopieusesera utilisée comme imprimante pour le secrétariat.Véhicule :Quatre sociétés ont répon<strong>du</strong> aux appels d’offre et le choix <strong>de</strong>s modèles a été décidé :9


• Achat local <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux Toyota prado. (Procé<strong>du</strong>re d’Achat en cours)• Comman<strong>de</strong> via l’unité d’achat au siège <strong>de</strong> la FAO à Rome <strong>de</strong> 5 Toyota HILUX (procé<strong>du</strong>re d’achat encours).4. RECOMMANDATIONS DE L’ATELIERLes recommandations formulées dans les différents groupes ont été les suivantes :Aux autorités togolaises :1. Faire inscrire une ligne budgétaire au budget national en vue <strong>de</strong> pérenniser les activités <strong>de</strong> base <strong>du</strong>REMATO ; et d’une manière plus générale, travailler à la pérennisation <strong>de</strong>s acquis <strong>du</strong> <strong>projet</strong>.2. Mettre en place un fonds d'urgence pérenne qui prendra en compte les in<strong>de</strong>mnisations et lesinterventions pour l’IAHP et les autres maladies prioritaires;3. Faire un plaidoyer auprès <strong>de</strong> la FAO et <strong>du</strong> PNUD pour le financement a travers les fonds <strong>de</strong> sécuritéalimentaire, d’une vaste campagne <strong>de</strong> vaccination contre la maladie <strong>de</strong> Newcastle pour faire améliorerla surveillance et faire ressortir les suspicions <strong>de</strong> la IAHP ; la vaccination contre les autres maladies <strong>du</strong>petit élevage seront inclus dans cette requête.4. Encourager les approches régionales et transfrontalières notamment en matière d’échanged’information et d’expériencesA la coordination <strong>du</strong> <strong>projet</strong> :5. mobiliser <strong>de</strong> préférence les expertises et services locaux pour les fournitures <strong>de</strong> biens et services dansla mise en œuvre <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong>.6. Renforcer les capacités <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong>s laboratoires, et leur mise aux normes <strong>de</strong> biosécurité,notamment pour la mise en place <strong>de</strong> la PCR, pour améliorer la surveillance active ;7. S’appuyer sur les expériences et acquis régionaux (FAO) pour organiser le recensement <strong>du</strong> cheptelavicole ;8. Participer activement aux activités <strong>de</strong>s réseaux régionaux (RESEPI, RESOLAB, RESECOP etRESOCOM) et s’appuyer sur le site Internet FAO ECTAD pour la visibilité <strong>de</strong>s actionsAu REMATO9. Mettre l’accent sur l’alimentation <strong>de</strong> la base <strong>de</strong> données TADinfo qui capitalise les données <strong>de</strong>surveillance <strong>de</strong> l’IAHP et <strong>de</strong>s autres maladies prioritaires;10


10. Veiller à ce que le gestionnaire <strong>de</strong>s données zoosanitaires et socioéconomiques soit chargé <strong>de</strong>l’utilisation <strong>de</strong> TADinfo et assure un rôle <strong>de</strong> formateur dans un souci <strong>de</strong> pérennisation.5. CEREMONIE DE CLOTUREElle a été marquée par les interventions <strong>du</strong> Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> l’ANPAT, <strong>du</strong> Coordonnateur <strong>du</strong> <strong>projet</strong>, <strong>du</strong> CoordinateurRégional <strong>de</strong> l’unité FAO/ECTAD et <strong>du</strong> Directeur <strong>de</strong> l’Elevage et <strong>de</strong> la Pêche représentant le Ministre <strong>de</strong>l’Agriculture <strong>de</strong> l’Elevage et <strong>de</strong> la Pêche. Les uns et les autres se sont félicités <strong>du</strong> bon déroulement <strong>de</strong>s travaux<strong>de</strong> l’atelier et <strong>de</strong>s débats fructueux qui l’ont marqué. Ils ont invité toutes les parties prenantes à s’approprierentièrement le <strong>projet</strong> afin <strong>de</strong> mettre tout en œuvre pour sa réussite.11


ANNEXE ITERMES DE REFERENCEI- CONTEXTELa filière avicole togolaise (secteurs traditionnel et mo<strong>de</strong>rne) compte environ quatorze millions <strong>de</strong> volailles quifournissent l’essentiel <strong>de</strong> la consommation nationale en œufs et environ le tiers <strong>de</strong> la consommation nationale envian<strong>de</strong>. Durant les vingt <strong>de</strong>rnières années, la pro<strong>du</strong>ction et la consommation <strong>de</strong> volailles ont connu une forteprogression. Environ 250 fermes <strong>de</strong> type marchand ont été créées par <strong>de</strong>s éleveurs privés. Ce sont en général<strong>de</strong> petites unités <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction (5 00 à 10 000 têtes <strong>de</strong> volailles) localisées principalement autour <strong>de</strong>s grandscentres urbains surtout dans la Région Maritime.Le secteur avicole très important en termes <strong>de</strong> sécurité alimentaire fût frappé le 26 juin 2007 par l’InfluenzaAviaire Hautement Pathogène (IAHP), déclaré dans un élevage semi-mo<strong>de</strong>rne à SIGBEHOUE (50 Km à l’est <strong>de</strong>Lomé) faisant <strong>du</strong> Togo, le dixième pays touché en Afrique. Depuis lors, quatre autres foyers au Nord et à l’Est <strong>de</strong>Lomé ont été enregistrés avec près <strong>de</strong> trente mille animaux abattus et la filière avicole sérieusement bousculée.Mais les risques d’intro<strong>du</strong>ction et <strong>de</strong> dissémination <strong>du</strong> virus <strong>de</strong> l’IAHP existent toujours dans le pays, eu égardaux conditions d’élevage, <strong>de</strong> commercialisation <strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>its d’élevage et <strong>de</strong> faiblesse dans la couverturezoosanitaire. La Grippe aviaire Hautement Pathogène reste aujourd’hui une maladie animale qu’il convient <strong>de</strong>maîtriser en raison <strong>de</strong> son impact sur l’économie et les conditions <strong>de</strong> vie <strong>de</strong>s populations rurales.« Dans ce contexte, l’amélioration <strong>de</strong> la biosécurité dans les élevages avicoles passe par une révision <strong>de</strong>spolitiques et <strong>de</strong>s pratiques en élevage familial rural et périurbain, une évolution dans les pratiques commerciales<strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>its avicoles et un renforcement <strong>de</strong>s services vétérinaires publics et privés. » (Charles-E. BEBAY : 2006Biosécurité et perspectives d’amélioration dans les élevages avicoles au Cameroun et au Togo : <strong>Rapport</strong> <strong>de</strong>mission).C'est dans cette perspective que, le 8 avril 2008, le Togo et la Commission Européenne ont signé la Convention<strong>de</strong> Financement <strong>du</strong> Projet: "Assistance au Gouvernement <strong>du</strong> Togo dans la prévention et le contrôle <strong>de</strong> l'influenzaaviaire hautement pathogène (IAHP)" pour un montant <strong>de</strong> 2.020.000 euros (1,3 milliards F CFA).Le <strong>projet</strong> sera mis en œuvre par la Direction <strong>de</strong> l'Elevage et <strong>de</strong> la Pêche avec le soutien technique <strong>de</strong> la FAO. Ilcouvre une pério<strong>de</strong> <strong>de</strong> 36 mois et constitue un appui capital non seulement pour la prévention et le contrôle <strong>de</strong>12


Ces résultats seront par la suite présentés au niveau <strong>de</strong> chacune <strong>de</strong>s régions économiques <strong>du</strong> pays en vue d’uneappropriation <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong> par la gran<strong>de</strong> majorité <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>ctions animales en général et<strong>de</strong> la filière avicole en particulier.IV. Programme provisoireHoraire THEME Intervenants07h30 -08h1508h30 -09h1509h15 -09h4009h40 -10h0010h00 -10h1510h15 -10h4010h40 -11h0011h00 -11h2011h20 -11h3011h30 -12h0012h00 -12h4512h45 -14h1514h15 -14h4514h45 -17h 45Enregistrement <strong>de</strong>s participantsCérémonie d'ouvertureDiscours <strong>du</strong> Représentant <strong>de</strong> la FAOMardi 31 Mars 2009Discours <strong>du</strong> Chef <strong>de</strong> la Délégation <strong>de</strong> la Commission EuropéenneDiscours d'ouverture <strong>du</strong> Ministre <strong>de</strong> l'Agriculture <strong>de</strong> l’Elevage et <strong>de</strong> la PêchePause caféProgramme, objectifs et résultats atten<strong>du</strong>s <strong>de</strong> <strong>l'atelier</strong>Mise en place <strong>du</strong> bureau - Informations pratiques sur <strong>l'atelier</strong>Situation <strong>de</strong> la grippe aviaire et autres MAT au Togo - Initiatives (Projets en cours)Le REMATO : Organisation et FonctionnementANPAT : Organisation <strong>de</strong>s aviculteurs au TogoReprésentant autres filières (à confirmer)Présentation <strong>du</strong> Projet Prévention et Contrôle <strong>de</strong> l’Influenza Aviaire Hautement PathogèneOSRO/TOG/801/CE:Discussions et débatsPause déjeunéOrganisation <strong>de</strong>s travaux <strong>de</strong> groupeTRAVAUX DE GROUPE: Pour chaque activité, préciser les étapes, les régions, les intervenants.A : Groupe technique "Surveillance et diagnostic"B : Groupe "Coordination et stratégie"C : Groupe "Filière avicole et biosécurité"Pause café incluseSecrétariatReprésentantFAOChef <strong>de</strong> ladélégationLe MinistreCoordination<strong>projet</strong>Coordination<strong>projet</strong>Le DEPReps. <strong>du</strong>REMATOResp ANPATCoordination<strong>projet</strong>Bureau <strong>de</strong><strong>l'atelier</strong>Coordination<strong>projet</strong>Groupes14


ANNEXE IILISTE DES PARTICIPANTSN°Ordre1 ABAMY KossiwaviNOM ET PRENOMS INSTITUTION/PROVENANCE E. mail /Tel.Direction <strong>de</strong> la Faune et <strong>de</strong> laChassedirefaune@yahoo.fr2 ABOUDOU Ibrahim UNACOBTO/LOME Cél. 045 20 803 ADOMEFA Kossi FAO/DEP-Coordonnateur National Cél.904 27 46 kadomefa@tg.refer.org4 AKPABIE Adoukoê MCDAT/LOME 931 28 055 AKPELI Yao DEP/LOME6 ALAO Funmi ONAF/LOMEakpeliyao@yahoo.frCél. 919 5716Cél. 979 31 55ruthalao7@yahoo.fr ;7 ALE GONH-GOH Ayefouni ICAT/LOME Cél.931 28 05 aleaytin@yahoo.com8 APETOFIA Kossivi ONMVT/LOME vapetofia@hotmail.Com9 ASSIH Essonana VSF-CICDA/LOME e.assih@avsf.org10 AWOUME Kodzo LABO-DEP / LOME11 BADJE Yawo ICAT-Atakpamé/MAEP ybadjie@yahoo.fr12 BALLA Tobuyou ICAT-Région Maritime 928 98 09BP 4041 Lomé ; Tél 221 36 45/909 0476 felixawoume@yahoo.com13 BAMBAH Djerkbary MCDAT/LOME Cél. 904 93 02 dbambah@yahoo.fr14 BANGOURA N'sira DEP-REMATO/ LOME15 BANGUINA Kékéou DEP/LOMETél 221 36 45 / 923 12 39 ;nsirabangoura@yahoo.frCél 908 11 12 ;banguinaandn@yahoo.fr16 BATAWUI Komla Batassé DEP/LOME Cél. 909 27 30 ; dbatawui@yahoo,fr17 BONFOH Bèdibètè ITRA/CRA-SH/Atakpamé crash@laposte.tg Cél.18 DAO Balabadi ITRA/LOME balabadao@yahoo.fr Cél. 976 02 2519 DJANKLA Tanah DEP/LOME Cél. 909 14 1620 EKOUE K. Sodjinin ITRA/LOME Cél. 914 05 31 ; thomeko6@yahoo.fr21 GBETOGBE Koffi Cabinet MAEP Cél. 904 23 8922 GODJIE AliPrési<strong>de</strong>nt Bouchers etChacutiers/LOMECél. 904 19 3816


N°OrdreNOM ET PRENOMS INSTITUTION/PROVENANCE E. mail /Tel.23 GO-MARO Wolali Laboratoire-DEP / LOMEBP 4041 Lomé ; Tél 221 36 45 ;emilygomaro@yahoo.fr24 GOTO Chantal DL-ITRA/LOME got_chant@yahoo.fr25 HOUNKANLI Yaovi Consultant FAO/LOME hounk122@yahoo.fr26 HOUNKPATI K. Agbeko ANIVET/LOME hounkpati@yahoo.fr27 KANGNI Têko ITRA/CRAF Avétonou Cél. 911 31 17/550 00 73 ;28 KARIM S. M. M. DEP/ LOMEkarimseidou@yahoo.fr BP 4041 Lomé ;Tél 221 36 45/935 58 9029 KASSAMADA K. Mensah Prési<strong>de</strong>nt GVPR cvethekass@yahoo.com30 KOMBIAGOU KinamDirection <strong>de</strong> l'Elévage et <strong>de</strong> laPêche / LOME221 36 45 / 916 67 68 ;llumire@yahoo.fr31 KOUAMI Kokou ANPAT/LOME edjiletogo@yahoo.fr32 KOUGBLENOU Koffi ICAT/MEAP Cél. 929 90 1733 KPODO K. John Plan Togo/AtakpaméTél. 440 05 95 ; johnkpodo@planinternational.org34 LABARE Kodjo DS/ITRA/LOME Cél. 901 34 50 klabare@yahoo.fr35 LANDJERGUE Boulodjoh DCV-Plateauxlangdjerguep@yahoo.fr Atakpamé 44000 66/912 81 3636 LARE Monoka ICAT/RS Dapaong monokalare@yahoo.fr Cél. 901 95 4237 LATTAH Appère DCV-RC/SokodéTél. 550 00 73/914 41 91 Sokodé ;lattahapere@yahoo.fr38 LAWSON Kayi Journaliste Nana FM/LOME Cél. 965 83 74 ; lawskayi@gmail.com39 LEMOU Toyi DEP/LOME lemoutoyi@yahoo.fr40 LENGO Kossiwa Laboratoire-DEP / LOME Cél. 955 27 8841 LOKOU Komi VSF-Suisse/Sokodé lokoukdzam@yahoo.fr42 METENHOU Assimbé ATC/LOME Cél. 932 55 1543 MOROU Aboucar SG/SYNANBETO Cél. 992 35 4544 N'DRE Djabaré Ministère <strong>de</strong> la Sécurité Cél. 904 47 98 ; djabr2005@yahoo.fr45 ODOU Loro DG-ICAT/LOME 250 42 30 BP : 20804 - Lomé46 PATO Oi<strong>de</strong>mnèwè DCV-R/KARApatosteed@yahoo.fr Tél. 660 6091/904 80 3717


N°OrdreNOM ET PRENOMS INSTITUTION/PROVENANCE E. mail /Tel.47 PITCHOLO Akla-Esso DDR-ICAT/Région-Kara Tél. 660 17 33 / 909 33 6348 POUDEVIGNE FrédéricCoordonnateur RégionalECTAD/FAOfre<strong>de</strong>ric.pou<strong>de</strong>vigne@<strong>fao</strong>.org49 SECK Boubacar FAO bmseck@gmail.com50 SEDZRO Kossi DEP/LOME Cél. 907 03 3351 SIMARD Stéphanie FAO stephanie.simard@<strong>fao</strong>.org52 SOEDJI Kokouvi CRASH-ITRA/USA Labo Sokodékokouvisoedji@yahoo.fr Cél. 931 8734/550 06 5053 SOUROU Koffi ICAT/RC Sokodé Souroukof@yahoo.fr54 VOEDJO Kukpoale<strong>du</strong> DCVR/Maritime Cél:960 26 6155 ZAENGEL Feuga FAO-ECTAD feuga.zaengel@yahoo.org18


ANNEXE IIILes Discours aux cérémonies d’OuvertureI- Allocution <strong>de</strong> M. Justin RUSHEMEZA, Représentant <strong>de</strong> la FAO au Togo• Monsieur le Ministre <strong>de</strong> l’Agriculture <strong>de</strong> l’Elevage et <strong>de</strong> la Pêche• Messieurs les Ministres• Monsieur Le Chef <strong>de</strong> la Délégation <strong>de</strong> la Commission Européenne• Messieurs les Ambassa<strong>de</strong>urs• Madame la Représentante Rési<strong>de</strong>nte Adjointe <strong>du</strong> PNUD• Messieurs les Chefs d’Agence <strong>du</strong> Système <strong>de</strong>s Nations-Unies au Togo• Mesdames, Messieurs les représentants <strong>de</strong>s partenairestechniques et financiers• Mesdames, Messieurs les représentants <strong>de</strong>s services techniques et <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong> la filière avicole,• Mesdames, Messieurs,C’est pour moi un grand honneur, seulement quelques jours après ma prise <strong>de</strong> fonction, <strong>de</strong> prendre part à l'ouverture <strong>de</strong>cet atelier qui marque le <strong>lancement</strong> <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> Projet "Assistance au Gouvernement <strong>du</strong> Togo dans la Préventionet Contrôle <strong>de</strong> l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène" (OSRO/TOG/801/EC). Conformément aux accords signés le 8Avril 2008 entre la Commission européenne et le Togo d'une part et le 24 Octobre 2008 entre la Commission européenneet la FAO d'autre part, il incombe à la FAO <strong>de</strong> mener à bien, avec tous les services et institutions concernés, ce <strong>projet</strong>d'une importance capitale, à bien <strong>de</strong>s égards. Je puis vous assurer, au nom <strong>du</strong> Directeur Général Monsieur JacquesDIOUF, que la FAO ne ménagera pas ses efforts pour atteindre les objectifs fixés et ce faisant contribuer efficacement à laprévention d'une pandémie mondiale, au renforcement <strong>de</strong>s services vétérinaires, à l'amélioration <strong>de</strong> la santé animale, audéveloppement <strong>du</strong> secteur <strong>de</strong> l'élevage et, en définitive, à l'atteinte <strong>de</strong>s Objectifs <strong>de</strong> Développement pour le Millénaire.Ce <strong>projet</strong> revêt une importance toute particulière pour le Gouvernement togolais à plus d'un titre : dans un contexte <strong>de</strong>sécurité alimentaire fragilisée par la montée <strong>de</strong>s prix <strong>de</strong>s <strong>de</strong>nrées alimentaires, par la multiplication <strong>de</strong>s catastrophesnaturelles et <strong>de</strong>s crises zoo- et phytosanitaires liées au réchauffement climatique, ce <strong>projet</strong> doit contribuer à redonner ausecteur <strong>de</strong> l'élevage la place qui lui revient pour participer à la sécurité alimentaire et au développement économique etsocial <strong>du</strong> pays.La gran<strong>de</strong> majorité <strong>de</strong>s maladies infectieuses humaines, émergentes ou ré émergentes est d'origine animale (qu'il s'agissed'animaux domestiques ou sauvages) et les experts s’accor<strong>de</strong>nt pour affirmer que ces zoonoses prendront <strong>de</strong> plus en plus19


d’importance. La santé animale est donc non seulement essentielle au développement <strong>de</strong> l'élevage et <strong>de</strong>s économiesafricaines mais aussi <strong>de</strong> plus en plus cruciale en termes <strong>de</strong> santé humaine. A cet égard la FAO a, dès les premiers foyers<strong>de</strong> grippe aviaire en Asie, pris pleinement conscience <strong>de</strong> ses responsabilités en promouvant le concept <strong>de</strong> "Bien Public" àpropos <strong>de</strong> services vétérinaires et celui <strong>de</strong> "One World - One Health" "Un Mon<strong>de</strong> - Une Santé" ;Depuis le début <strong>de</strong> la crise <strong>de</strong> l’influenza aviaire en Afrique en janvier 2006, la FAO s’est impliquée à travers sonprogramme régulier et n'a cessé d'alerter la Communauté Internationale sur la nécessité d'apporter un appui plusconséquent aux Services Vétérinaires trop longtemps laissés pour compte.Depuis que la grippe aviaire est apparue dans la sous région ouest africaine, <strong>de</strong>s mesures <strong>de</strong> contrôle zoo sanitaire ontété mises en place au TOGO parmi lesquelles, la réactivation <strong>du</strong> Réseau <strong>de</strong> surveillance épidémiologique <strong>de</strong>s maladiesanimales et humaines <strong>du</strong> Togo (REMATO) et la création d’un comité interministériel <strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong> lutte contre lagrippe aviaire par arrêté <strong>du</strong> Premier Ministre <strong>du</strong> 15 février 2006. La FAO, la Banque Africaine <strong>de</strong> Développement etl’UNICEF se sont manifestés pour appuyer le Togo dans ses efforts. Malgré toutes les dispositions techniques etréglementaires <strong>de</strong> prévention adoptées, la maladie est apparue au Togo, en juin 2007, avec comme conséquence plus <strong>de</strong>trente mille (30.000) volailles abattues et l’ensemble <strong>de</strong> la filière avicole nationale fortement perturbée. Le Togo est ainsi<strong>de</strong>venu le dixième Etat africain à signaler le virus H5N1 sur son sol.Les mesures prises et enseignements tirés <strong>de</strong>s vagues d’épizootie <strong>de</strong> Juin 2007 à Sigbéhoué et <strong>de</strong> Juillet 2007 à Agbataet Tonoukouti, n’ont pas réussi à empêcher l’apparition d’un nouveau foyer d’infection <strong>de</strong> l’IAHP en septembre 2008 dansla même région maritime.Messieurs les Ministres, Messieurs les Ambassa<strong>de</strong>urs, Mesdames, Messieurs,Ce constat nous interpelle et nous rappelle que le danger est toujours là et la vigilance est toujours <strong>de</strong> règle pour ré<strong>du</strong>iresignificativement le risque <strong>de</strong> nouveaux foyers.Le Togo doit donc faire face, non seulement aux problèmes endémiques tels que le Charbon Bactéridien, la maladie <strong>de</strong>Newcastle ou plus récemment les foyers <strong>de</strong> peste porcine africaine, mais <strong>de</strong> part sa position géographique le plaçant aucentre <strong>du</strong> principal axe commercial côtier, le Togo court un risque majeur d’intro<strong>du</strong>ction ou <strong>de</strong> réintro<strong>du</strong>ction <strong>de</strong> maladiesanimales transfrontalières.Ré<strong>du</strong>ire le risque d’infection, suppose une amélioration conséquente <strong>du</strong> dispositif <strong>de</strong> surveillance, une rapidité et unejustesse dans le diagnostic, une meilleure organisation <strong>de</strong> la collecte et <strong>du</strong> traitement <strong>de</strong>s informations, une bonnesensibilisation <strong>de</strong>s éleveurs qui doivent être capables <strong>de</strong> comprendre, accepter et accompagner tout le processus <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>s maladies animales. Notamment en renforçant la biosécurité dans la filière avicole.20


C’est en cela que les objectifs <strong>du</strong> présent <strong>projet</strong> sont pertinents et méritent toute notre attention.Messieurs les Ministres, Messieurs les Ambassa<strong>de</strong>urs, Monsieur Le Chef <strong>de</strong> la Délégation <strong>de</strong> la CommissionEuropéenne, Mesdames Messieurs,Je voudrais vous assurer qu’aux cotés <strong>de</strong>s services techniques et <strong>de</strong>s éleveurs togolais, la FAO mettra tout en œuvrepour que <strong>de</strong>s résultats probants et <strong>du</strong>rables soient obtenus à la fin <strong>de</strong> ce <strong>projet</strong>. Le présent atelier est le cadre appropriépour poser les bases <strong>du</strong> succès <strong>de</strong>s actions que nous allons entreprendre ensemble. Les participants auront à se penchersur les actions envisagées et les modalités <strong>de</strong> leur mise en oeuvre afin que chacun puisse s’approprier les objectifsproposés.Je ne saurais terminer mon propos sans remercier la Commission Européenne pour le financement <strong>de</strong> cette gran<strong>de</strong>initiative. La FAO à travers son bras technique « l’Unité Régionale FAO/ECTAD au Centre Régional <strong>de</strong> Santé Animale <strong>de</strong>Bamako» ne ménagera aucun effort pour que soient atteints les objectifs visés. Tout au long <strong>de</strong> ce <strong>projet</strong> <strong>de</strong>s synergiesseront recherchées à travers toutes les initiatives en cours sur financement <strong>du</strong> gouvernement togolais ou autrespartenaires, notamment la Banque Mondiale, la BAD ou l’USAID pour <strong>de</strong> meilleurs résultats.Au nom <strong>de</strong> l’Organisation <strong>de</strong>s Nations Unies pour l’Alimentation et l’Agriculture, je souhaite plein succès aux travaux <strong>de</strong>l’atelier <strong>de</strong> <strong>lancement</strong> <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> Projet Prévention et Contrôle <strong>de</strong> l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène.Je vous remercie <strong>de</strong> votre aimable attention.21


II- Intervention <strong>de</strong> M. Joâo MELO DE SAMPAJO, Chargé d’Affaires a.i. <strong>de</strong> la Délégation <strong>de</strong> la CommissionEuropéenneMonsieur le Ministre <strong>de</strong> l’Agriculture <strong>de</strong> l’Elevage et <strong>de</strong> la Pêche,Monsieur le Représentant <strong>de</strong> la FAO,Messieurs les Chefs d’Agence <strong>du</strong> Système <strong>de</strong>s Nations Unies au Togo,Messieurs les Représentants <strong>de</strong>s partenaires techniques et financiers,Chers aviculteurs togolais,Mesdames et Messieurs,Nous sommes réunis aujourd’hui pour l’atelier <strong>de</strong> <strong>lancement</strong> <strong>du</strong> <strong>projet</strong> prévention et le contrôle <strong>de</strong> l’influenza aviairehautement pathogène, autrement dit “grippe aviaire”.Depuis la Conférence <strong>de</strong> Genève <strong>de</strong> Novembre 2005, la communauté internationale a recommandé le développementd’une stratégie globale pour ré<strong>du</strong>ire les risques et les répercussions socioéconomiques inhérentes à la propagation <strong>de</strong> lagrippe aviaire et pour l’éradiquer progressivement.Cette stratégie permettra <strong>de</strong> ré<strong>du</strong>ire la menace globale d’une pandémie humaine, <strong>de</strong> stabiliser la pro<strong>du</strong>ction avicole, <strong>de</strong>stimuler le commerce <strong>de</strong> la volaille et <strong>de</strong> ses pro<strong>du</strong>its, <strong>de</strong> renforcer la sécurité humaine et alimentaire et d’améliorer lerevenu <strong>de</strong>s familles pauvres.La présence <strong>du</strong> virus <strong>de</strong> l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène (IAHP) a été confirmée au Togo le 26 juin 2007 suite à<strong>de</strong> nombreuses mortalités survenues <strong>de</strong>ux semaines plus tôt dans un élevage <strong>de</strong> poules pon<strong>de</strong>uses à 50 km à l’Est <strong>de</strong>Lomé. De nouveau, un an plus tard, en septembre 2008, d’autres foyers sont apparus.Ces foyers ont pu être éradiqués grâce aux moyens mis en oeuvre par l’Autorité compétente avec l’ai<strong>de</strong> d’autrespartenaires comme par exemple, la BAD, la FAO, l’UNICEF et la Banque Mondiale. Mais l’apparition répétée <strong>de</strong> ces foyersa révélé <strong>de</strong>s problèmes importants à court, moyen et long terme, telles que la faiblesse structurelle <strong>de</strong>s servicesvétérinaires et <strong>de</strong>s réseaux d’épi<strong>de</strong>mio - surveillance, les capacités et les ressources limitées <strong>de</strong>s laboratoires <strong>de</strong>diagnostic, une difficile coordination et gestion <strong>de</strong> l’information, une insuffisante opérationnalité <strong>du</strong> dispositif <strong>de</strong> riposte, <strong>de</strong>sfonds d’in<strong>de</strong>mnisation insuffisants à court terme et l’absence d’un plan <strong>de</strong> biosécurité dans les élevages.Une assistance au Gouvernement <strong>du</strong> Togo dans la prévention et le contrôle <strong>de</strong> la grippe aviaire était donc justifiée et ced’autant plus, que la filière avicole togolaise - secteur traditionnel et mo<strong>de</strong>rne - compte environ dix millions <strong>de</strong> volailles quifournissent l’essentiel <strong>de</strong> la consommation nationale en oeufs et environ le tiers <strong>de</strong> la consommation nationale en vian<strong>de</strong>.Ce <strong>projet</strong> d’un montant <strong>de</strong> 2 millions d’euros, est financé sur les fonds <strong>de</strong> l’enveloppe B 9 ème FED régionalisée, qui sert,entre autres, à <strong>de</strong>s actions pour faire face à <strong>de</strong>s crises sanitaires. Suite à la signature <strong>de</strong> la Convention <strong>de</strong> Contributionavec la FAO en octobre 2008, ce <strong>projet</strong> est donc mis en oeuvre <strong>de</strong>puis janvier <strong>de</strong> cette année, pour une <strong>du</strong>rée <strong>de</strong> 3 ans.22


L’objectif général <strong>du</strong> <strong>projet</strong> est <strong>de</strong> contribuer à la prévention et au contrôle <strong>de</strong> la grippe aviaire qui menace le cheptelavicole au Togo et dans les pays voisins.Plus précisément, il vise à:- assurer la détection précoce <strong>de</strong> foyers <strong>de</strong> grippe aviaire et leur notification.- renforcer les capacités nationales <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong>s laboratoires.- améliorer la coordination et le partage <strong>de</strong>s informations entre les services vétérinaires, le Gouvernement et son ComitéInterministériel, les différents acteurs <strong>de</strong> la filière et les partenaires en développement.- renforcer les capacités <strong>de</strong> réponse rapi<strong>de</strong> et <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>s foyers <strong>de</strong> la grippe aviaire.- mettre en place un fonds d’in<strong>de</strong>mnisation <strong>de</strong>s éleveurs fonctionnel et pérenne.- collecter les données sur la filière avicole et implanter <strong>de</strong>s mesures <strong>de</strong> biosécurité, dans les exploitations et les marchés<strong>de</strong> volailles.- sensibiliser les acteurs <strong>de</strong> la filière avicole sur les mesures et précautions à prendre vis-à-vis <strong>de</strong> la grippe aviaire.Nous souhaitons plein succès à votre atelier <strong>de</strong> travail.Je vous remercie.23


III- Discours <strong>de</strong> son excellence monsieur ministre <strong>de</strong> l’agriculture, <strong>de</strong> l’élevage et <strong>de</strong> la pêcheMessieurs les Représentants <strong>de</strong>s Ministres et Chers Collègues,Monsieur le Représentant <strong>du</strong> Chef <strong>de</strong> la Délégation <strong>de</strong> la Commission Européenne au Togo,Excellences Monsieur Le Représentant Rési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> la FAO,Excellences Messieurs les Représentants <strong>de</strong>s organisations internationales <strong>du</strong> Systèmes <strong>de</strong>s Nations Unies auTogo,Messieurs les représentants <strong>de</strong>s l’ONG Internationales AVSF et VSF-Suisse,Messieurs le coordonnateur régional et Experts <strong>de</strong> la FAO ECTAD/Bamako,Monsieur Le Prési<strong>de</strong>nt <strong>de</strong> l’Ordre National <strong>de</strong>s Vétérinaires <strong>du</strong> Togo,Messieurs les Représentants <strong>de</strong>s Organisations Professionnelles Avicoles,Messieurs les Représentants <strong>de</strong>s acteurs <strong>de</strong>s filières animales au Togo,Messieurs les Directeurs Généraux, Directeurs et Chefs <strong>de</strong> ServiceMesdames, Messieurs.Permettez-moi <strong>de</strong> vous remercier d’avoir accepté l’invitation qui vous a été faite <strong>de</strong> prendre part à la cérémonie d’ouvertureet aux travaux <strong>de</strong> l’atelier <strong>de</strong> <strong>lancement</strong> <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong> «Prévention et Contrôle <strong>de</strong> l’Influenza aviaire HautementPathogène».Par votre présence, vous avez voulu une fois encore nous témoigner votre au secteur agricole <strong>du</strong> Togo.Le gouvernement togolais sous la houlette <strong>de</strong> Son Excellence Monsieur Faure Essozimna GNASSINGBE accor<strong>de</strong> unegran<strong>de</strong> importance au développement nouveau <strong>de</strong> l’agriculture en général et l’aviculture en particulier, vu sont effetmultiplicateur très élevé.L’objectif visé est <strong>de</strong> faire <strong>de</strong> la filière avicole un secteur dynamique qui contribue efficacement au traitement <strong>de</strong> la luttecontre la crise alimentaire et à l’amélioration <strong>de</strong>s revenus <strong>de</strong>s ruraux.C’est donc à juste titre que le Chef <strong>de</strong> l’Etat a permis l’adoption <strong>de</strong> la stratégie <strong>de</strong> relance <strong>de</strong> la pro<strong>du</strong>ction agricole,l’organisation <strong>de</strong> la Journée <strong>de</strong> concertation sur l’agriculture et <strong>du</strong> Forum national <strong>de</strong>s paysans togolais. Tous ces hautsfaits non pas ignoré la pro<strong>du</strong>ction animale.Mesdames, Messieurs.La filière avicole togolaise compte environ quatorze millions <strong>de</strong> volailles qui fournissent l’essentiel <strong>de</strong> la consommationnationale en œufs et environ le tiers <strong>de</strong> la consommation nationale en vian<strong>de</strong>.24


Durant les vingt <strong>de</strong>rnières années, la pro<strong>du</strong>ction et la consommation <strong>de</strong> volailles ont connu une forte progression. Environ250 fermes <strong>de</strong> type semi-mo<strong>de</strong>rne ont été créées par <strong>de</strong>s éleveurs privés principalement autour <strong>de</strong>s grands centresurbains.C’est ce secteur avicole en plein essor qui fût frappé en juin 2007 et septembre 2008 par l’Influenza Aviaire HautementPathogène (IAHP), Communément appelé « grippe aviaire » pratiquement dans la même localité.Ces infestations ont mis en danger l’ensemble <strong>de</strong> la filière avicole nationale.Mesdames et Messieurs,Les enseignements tirés <strong>de</strong>s opérations <strong>de</strong> riposte qui ont été réalisé lors <strong>de</strong> ces <strong>de</strong>ux crises, nous imposent désormaisune meilleure organisation aux niveaux structurel, infrastructurel et organisationnel.En effet, malgré les efforts importants, il est note que (i) le réseau <strong>de</strong>s postes vétérinaires n’est pas suffisant pour garantirune surveillance épidémiologique efficace, (ii) nos laboratoires vétérinaires sont très limités en capacité <strong>de</strong> diagnostic, (iii)l’aviculture commerciale dans notre pays est à plus <strong>de</strong> 70% inscrite dans le secteur 3 selon la nomenclature <strong>de</strong> la FAO, estentre autre caractérisé une faible biosécurité et un système <strong>de</strong> commercialisation qui favorise <strong>de</strong>s contaminationscroisées ;Par ailleurs, la position géographique <strong>de</strong> notre pays fait <strong>de</strong> lui un espace <strong>de</strong> transit commercial entre plusieurs pays <strong>de</strong> lasous-région avec la menace permanente d’intro<strong>du</strong>ctions <strong>de</strong> maladies infectieuses.Le présent <strong>projet</strong> vient donc à point nommé pour ai<strong>de</strong>r notre pays à minimiser les risques si nous mettons efficacement enœuvre les mesures appropriées <strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong> contrôle qui sont i<strong>de</strong>ntifiées dans le <strong>projet</strong>.Je voudrais également saisir cette occasion pour remercier la FAO et son unité ECTAD régionale, qui nous a accompagnédans tout le processus d’i<strong>de</strong>ntification et <strong>de</strong> rédaction <strong>du</strong> <strong>projet</strong>.Je ne doute pas un seul instant <strong>de</strong> l’appui technique <strong>de</strong> qualité que la FAO nous apportera en tant que agence d’exécutiondans la mise en œuvre <strong>du</strong> présent <strong>projet</strong>.Mon département à travers ses services technique mettra tout mettre pour tra<strong>du</strong>ire dans les faits les résultats atten<strong>du</strong>s àl’issue <strong>de</strong>s 36 mois <strong>de</strong> vie <strong>du</strong> <strong>projet</strong>.Mesdames, Messieurs,Les principales activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong> OSRO/TOG/801/CE portent sur le renforcement en équipements <strong>de</strong> Laboratoires,l’amélioration <strong>de</strong> la couverture sanitaire et <strong>du</strong> système <strong>de</strong> fonctionnement <strong>de</strong> la surveillance épidémiologique la formation<strong>de</strong>s techniciens et <strong>de</strong>s éleveurs.Le présent atelier, vous offre une opportunité (i) d’examiner en détails les activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong>, les modalités <strong>de</strong> leur mise enœuvre, (ii) d’i<strong>de</strong>ntifier les partenaires publics et privés qui participeront à cette mise en œuvre, et (iii) d’établir lechronogramme d’activités.Chers participants, Mesdames, Messieurs,25


Tout en visant la Grippe Aviaire, ce <strong>projet</strong> contribuera sans nul doute prévenir et riposter efficacement au cas échéant auxdiverses épizooties dont le Togo reste tributaire, notamment (i) la peste <strong>de</strong>s petits ruminants, (ii) la peste porcine africaine,(iii) le Charbon bactéridien, (iv) la maladie <strong>de</strong> Newcastle et autre fièvre aphteuse.Je vous exhorte, donc à saisir cette opportunité pour vous approprier ce <strong>projet</strong> et en faire un véritable outil <strong>de</strong>développement.La diversité <strong>de</strong>s participants sont pour moi une garantie que les résultats qui en sortiront prendront en compte lespréoccupations <strong>du</strong> gouvernement et <strong>de</strong>s éleveurs tant en milieu urbain que rural.Je sais compter sur votre détermination et engagement.A tous les partenaires techniques et financiers, je renouvelle les remerciements <strong>du</strong> gouvernement pour les soutiensmultiformes apportés à notre pays.Je voudrais pour terminer pour souhaiter plein succès aux travaux et déclarer ouvert, l’Atelier <strong>de</strong> <strong>lancement</strong> <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong><strong>projet</strong> « Prévention et Contrôle <strong>de</strong> l’Influenza Aviaire Hautement Pathogène au Togo ».Je vous remercie pour votre attention.26


ANNEXE IV :LES TRAVAUX EN COMMISSIONTravaux <strong>du</strong> groupe IPrési<strong>de</strong>nt :Vice Prési<strong>de</strong>nt :<strong>Rapport</strong>eurs :FacilitateurMr BONFOH BédibètéDr AKPELI YaoDr DAO BalabadiMr BADJE YawoDr PATO Pi<strong>de</strong>mnéwéDr SECK BoubacarDr POUDEVIGNE FrédéricLe groupe I a travaillé sur les TDR organisés autour <strong>de</strong>s 11points suivants :1. Formation <strong>de</strong>s équipes <strong>de</strong> surveillance <strong>du</strong> REMATO ;2. Couverture <strong>de</strong>s besoins matériels <strong>du</strong> réseau ;3. Renforcement <strong>de</strong> la fonctionnalité <strong>du</strong> réseau ;4. Elaboration <strong>de</strong>s documents <strong>de</strong> support au réseau ;5. Achats d’équipements et réactifs ;6. Formation <strong>du</strong> personnel technique <strong>de</strong>s laboratoires vétérinaires ;7. Mise en place <strong>de</strong>s méthodologies <strong>de</strong> prélèvement ;8. Echanges inter-labo et mise en réseaux ;9. Formation <strong>de</strong>s équipes d’intervention et <strong>de</strong>s acteurs impliqués;10. Couverture <strong>de</strong>s besoins en matériels <strong>de</strong> riposte et répartition stratégique ;11. Tests d’opérationnalité <strong>du</strong> schéma d’intervention et <strong>de</strong>s intervenants ;Avant d’entrer dans le vif <strong>du</strong> sujet, les membres <strong>du</strong> groupe I se sont présentés indivi<strong>du</strong>ellement. Le Dr SECK Boubacar. aéclairé le groupe sur les travaux similaires réalisés au cours d’un atelier <strong>de</strong> <strong>lancement</strong> tenu récemment au Gabon. Il s’estagi <strong>de</strong> préciser les activités et <strong>de</strong> ressortir les éléments <strong>de</strong> suivi afin <strong>de</strong> dégager un plan d’actions clair et réaliste.Suite à <strong>de</strong>s échanges et discussions générales fructueuses, les apports au document soumis ont été les suivants :1. Elaboration <strong>de</strong>s documents <strong>de</strong> support au réseauElle est préalable à l’activité A1 - formations <strong>de</strong>s équipes <strong>de</strong> surveillance <strong>du</strong> REMATO-. A ce titre, une équipe nationale <strong>de</strong>formateur sera mise en place. Cette équipe se chargera d’élaborer les supports pédagogiques. Ces <strong>de</strong>rniers porterontentre autres sur : Les signes <strong>de</strong> suspicions ; Les types <strong>de</strong> prélèvement ; Les signes d’alerte;27


Les éléments d’information et <strong>de</strong> recommandation.Les DCV/R et les personnes ressources <strong>de</strong>vront participer activement à l’élaboration <strong>de</strong> ces supports pédagogiques et à laformation.2. Formations <strong>de</strong>s équipes <strong>de</strong> surveillance <strong>du</strong> REMATO Le groupe a estimé que le renforcement <strong>de</strong>s capacités <strong>de</strong>s agents <strong>de</strong> relais <strong>de</strong> terrain <strong>du</strong> REMATO <strong>de</strong>vra sepoursuivre. La formation concernera 100 agents. Elle se fera en <strong>de</strong>ux séances dont l’une regroupera les agents<strong>de</strong>s régions Maritime et Plateaux et l’autre ceux <strong>de</strong>s régions Centrale, Kara et Savanes. Le programme et lecontenu <strong>de</strong> la formation seront harmonisés pour toutes les régions. Les DCV/R seront les maitres d’ouvrage maisferont parti <strong>de</strong> l’équipe nationale <strong>de</strong> formation.3. Renforcement <strong>de</strong> la fonctionnalité <strong>du</strong> réseauIl y a nécessité <strong>de</strong> : Procé<strong>de</strong>r au recrutement <strong>de</strong> 20 agents supplémentaires et d’intégrer au <strong>projet</strong> 20 autres déjà recrutés sur les<strong>projet</strong>s en finition ; Institutionnaliser le REMATO en prévoyant un budget <strong>de</strong> fonctionnement par son inscription sur une lignebudgétaire <strong>de</strong> la DEP. Utiliser le TADinfo pour élaborer les cartes et les rapports Créer <strong>de</strong>s points focaux régionaux pour le BIZOOSTO Poursuivre la recherche active sur les canards, les oies et autres palmipè<strong>de</strong>s et oiseaux sauvages d’eau.4. Couverture <strong>de</strong> besoins matériels <strong>du</strong> réseauLes membres <strong>du</strong> groupe ont noté la nécessité d’équiper en plus <strong>du</strong> laboratoire vétérinaire central et <strong>de</strong> Sokodé, d’équiperles laboratoires régionaux en matériel <strong>de</strong>vant permettre les diagnostics <strong>de</strong> bases.5. Achats d’équipements et réactifs Pour une bonne utilisation <strong>du</strong> RT- PCR, il faudra réaménager les locaux <strong>du</strong> laboratoire vétérinaire central <strong>de</strong> Lomé(portes et les fenêtres) Le Togo dispose <strong>de</strong> TADAinfo, il est prioritaire6. Echanges inter-labo et mise en réseaux Les laboratoires <strong>de</strong> Dakar hann et Vom au Nigéria sont les laboratoires <strong>de</strong> référence <strong>de</strong> la sous régions. Leséchantillons peuvent êtres envoyés à ces labo.7. Formation <strong>de</strong>s équipes d’intervention et <strong>de</strong>s acteurs impliqués Il faudra démultiplier les activités au niveau <strong>de</strong>s régions ; Former les formateurs ; Mettre en place un dispositif d'alerte rapi<strong>de</strong> avec les numéros <strong>de</strong> téléphones <strong>de</strong> la chaine <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>ment etles afficher partout ; Procé<strong>de</strong>r aux simulations dans les 4 autres régions <strong>du</strong> Togo.28


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (1/5)1.1 Capacités <strong>de</strong>s réseaux d’épidémio-surveillanceRésultats Activités Sous-activitésR1. Ladétectionprécoce <strong>de</strong>foyers <strong>de</strong> IAHPest assuréesur l’ensemble<strong>du</strong> territoire etleurnotification estaméliorée(alerteprécoce).A 1 :Formations<strong>de</strong>séquipes <strong>de</strong>surveillance <strong>du</strong>REMATOREMATO :Signes <strong>de</strong> suspicions <strong>de</strong> l’IAHP• Diagnostics différentiels,• Premières mesures à mettre en œuvre en cas <strong>de</strong> suspicion <strong>de</strong>foyerEpidémiologistes <strong>du</strong> <strong>projet</strong>:Zone géographique etgroupes ciblesconcernésToutes les régionsagents opérationnelsREMATONombre (<strong>de</strong> formations, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)2 zones dont une pour lesRégions Maritime et Plateauxet une autre pour les régionscentrale le, Kara et Savane et100 agentsResponsable(s)Coordination <strong>projet</strong>/DEP / DCV/ R• Animation d’un réseau <strong>de</strong> surveillance• Utilisation <strong>de</strong>s outils épidémiologiques [gestion d’une base <strong>de</strong>données, Global Positioning System/Système d’InformationGéographiques (SIG)].Ensemble <strong>de</strong>s acteurs impliqués dans le réseau national :A 2 :Couverture<strong>de</strong>sbesoinsmatériels<strong>du</strong> réseau• Organisations d’ateliers d’information et <strong>de</strong> formation sur lesobjectifs et le fonctionnement <strong>du</strong> REMATO .Achat et livraison <strong>de</strong> matériel pour le renforcement <strong>de</strong>s capacitéslogistiques <strong>de</strong> surveillance et <strong>de</strong> réponse <strong>de</strong>s services vétérinaires(e.g. véhicules, motos, <strong>de</strong> PPE (personal protective equipment) etkit <strong>de</strong> prélèvement) Compléter les laboratore <strong>de</strong> l'intérieur (Sokodé)Répartition stratégique <strong>de</strong>s achats sur le territoire.Toutes les régionsToutes les régionsagents opérationnelsREMATOToutes les régionsagents opérationnelsREMATO2 ATELIERS agentsopérationnels <strong>du</strong> REMATO etautres acteursMatériel <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong> Base(Antrax, hemoparasitose,)TADinfoCoordination <strong>projet</strong>/DEP / DCV/ RCoordination <strong>projet</strong>/DEP / LABO central29


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (3/5)1.2 Capacité et <strong>de</strong>s ressources <strong>de</strong>s laboratoires <strong>de</strong> diagnosticRésultats Activités Sous-activitésR2. Lescapacitésnationales <strong>de</strong>diagnostic <strong>de</strong>ces maladiessontrenforcées.Leursmétho<strong>de</strong>sd’analysespour lediagnostic etle suivi sontoptimisées.A 5 : Achatsd’équipementset réactifsA 6 :Formation <strong>du</strong>personneltechnique <strong>de</strong>slaboratoiresvétérinairesA 7 : Mise enplace <strong>de</strong>sméthodologies<strong>de</strong>prélèvement(élaboration <strong>de</strong>gui<strong>de</strong>s <strong>de</strong>sbonnespratiques)Renforcement <strong>de</strong> la mobilité <strong>de</strong>s équipes d'intervention rapi<strong>de</strong> par l’achatet la mise à leur disposition <strong>de</strong> véhicules pour assurer le transport <strong>de</strong>séquipes et <strong>du</strong> matérielAchat <strong>de</strong> réactifs et d’équipements <strong>de</strong> laboratoire pour (i) effectuer uneanalyse <strong>de</strong>s échantillons récoltés dans le cadre <strong>de</strong>s prélèvements <strong>du</strong>protocole d’épidémiosurveillance (IHA, AGID ou Elisa <strong>de</strong> compétition) etpour (ii) affiner les diagnostics d’orientation donnés par les kits <strong>de</strong>diagnostic rapi<strong>de</strong> utilisés au niveau <strong>du</strong> terrain (RT-PCR) (est ellespécique? Pas très fiable, réaménager la structure architecturale <strong>du</strong> labocentral)Renforcement <strong>du</strong> laboratoire <strong>de</strong> diagnostic vétérinaire <strong>de</strong> la DEP à Loméet d’éco-pathologie <strong>de</strong> l’ITRA, à Sokodé avec notamment la rénovation <strong>de</strong>locaux réservés aux analyses grippe aviaire et autres laboratoires <strong>de</strong>l'intérieurFormation <strong>du</strong> personnel technique <strong>de</strong>s laboratoires vétérinaires entechniques <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong> la grippe aviaire et en bonnes pratiques <strong>de</strong>gestion et <strong>de</strong> traitement <strong>de</strong>s prélèvements Le Togo dispose <strong>de</strong> TADAinfo,prévoir un budgetElaboration <strong>de</strong> gui<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s bonnes pratiques <strong>de</strong> collecte, <strong>de</strong> gestion,d’analyse et d’envoi <strong>de</strong>s échantillons au niveau régional et international(Fiche REMATO)Zone géographiqueet groupes ciblesconcernéstoutes les régionsNombre (<strong>de</strong>formation, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong>matériel, etc.)réaménager lastructure architecturale<strong>du</strong> labo central)Responsable(s)Directeur laboratoirecentralA 8: Echangesinter-labo etmise enréseauxPromotion <strong>de</strong>s échanges et tests inter-labo dans la sous région avec leslaboratoires <strong>de</strong> référence OIE/FAO sur le diagnostic <strong>de</strong> l’IAHP labo Dakarhanne et Vom au NigériaMise en réseaux avec les autres laboratoires sous régionaux encollaboration avec l’unité régionale ECTAD <strong>de</strong> Bamako31


OBJECTIF 2 : RENFORCEMENT DES CAPACITES DE REPONSE A UN FOYER (4/5)2.1 Opérationnalité <strong>du</strong> dispositif <strong>de</strong> riposteRésultats Activités Sous-activitésR4 : Lescapacités <strong>de</strong>réponse rapi<strong>de</strong>et <strong>de</strong> contrôle<strong>de</strong>s foyers <strong>de</strong>l’IAHP(national ettransfrontalier)sontrenforcées.A 14:Formation <strong>de</strong>séquipesd’interventionet <strong>de</strong>s acteursimpliquésA 15:Couverture<strong>de</strong>s besoinsen matériels<strong>de</strong> riposte etrépartitionstratégiqueFormation <strong>de</strong>s équipes d’intervention et <strong>de</strong> riposte au niveau central etrégional sur les premières mesures à mettre en œuvre en cas <strong>de</strong>suspicion <strong>de</strong> foyer (e.g. la mise en quarantaine <strong>de</strong>s exploitations en cas <strong>de</strong>suspicion; applications <strong>de</strong>s procé<strong>du</strong>res <strong>de</strong> contrôle et <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>sfoyers confirmés; mise en place <strong>de</strong>s zones <strong>de</strong> protection; le contrôle <strong>de</strong>smouvements <strong>de</strong>s personnes et <strong>de</strong>s animaux en zones <strong>de</strong>surveillance) démultiplication <strong>de</strong>s activités au niveau <strong>de</strong>s régions -formation <strong>de</strong>s formateurs ) - dispositif d'alerte rapi<strong>de</strong> avec les numéro <strong>de</strong>la chaine <strong>de</strong> comman<strong>de</strong>ment à afficher partout sumulation dans les 4autres régions <strong>du</strong> TogoAteliers <strong>de</strong> formation avec l’ensemble <strong>de</strong>s acteurs impliqués sur lesprocé<strong>du</strong>res <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>s foyers (SOP et plan <strong>de</strong> contingence) dans lesdifférentes régions <strong>du</strong> TogoRenforcement <strong>de</strong>s compétences <strong>de</strong>s équipes <strong>de</strong> coordination / supervison<strong>de</strong>s opérations <strong>de</strong> contrôle et d’assainissement <strong>de</strong>s foyers (cadres <strong>de</strong> laDEP, <strong>de</strong>s DRAEP, ICAT, ITRA, Forces <strong>de</strong> sécurité, cadres préfectoraux,ministère <strong>de</strong> l’environnement Ordre <strong>de</strong>s vétérinaires Ministère <strong>de</strong> la santéetc.Cellule <strong>de</strong> crise) réactivé les comités préfectoraux <strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong>contrôle <strong>de</strong> la GA.Renforcement <strong>de</strong>s capacités logistiques et matérielles pour les phasesd’intervention et répartition stratégique sur le territoire ce ces moyens <strong>de</strong>transport et équipement <strong>de</strong> protectionDélocalisation <strong>de</strong> stocks <strong>de</strong> matériels et <strong>de</strong> moyens d’intervention dans lesrégions selon un schéma pré-établi, basé sur une analyse i<strong>de</strong>ntifiant leszones à haut risque d’intro<strong>du</strong>ction <strong>de</strong> la maladie dans le paysZone géographiqueet groupes ciblesconcernésCentrer sur toutes lesrégionsFormation <strong>de</strong>formateur, dispositifd'alerteToutes les régionsToutes les régionsRepartir le matérielsur tout le paysNombre (<strong>de</strong> formation,<strong>de</strong> participants, <strong>de</strong>matériel, etc.)cinq équipes, une parrégion et une au niveaucentrale 10 personnespar équipe- un kit complet pourchacun <strong>de</strong>s participants-une formation <strong>de</strong> baseet <strong>de</strong>ux recyclages -Deux sous groupes <strong>de</strong>30 (un pour RégionMaritime et Plateaux etautre pour les régionsCentrale kara etsavanesUne équipe <strong>de</strong>supervision au niveaucentrale et cinq équipesrégionales (préfet,commissaire,DRAEP…)KIT <strong>de</strong> protectionvéhicule Moto et lot <strong>de</strong>matérielResponsable(s)Coordination <strong>du</strong><strong>projet</strong>, - ResponsableDEP/ REMATO etDRAEP/DCV/RCoordination <strong>du</strong><strong>projet</strong>, - ResponsableDEP/ REMATO etDRAEP/DCV/RCoordination <strong>du</strong><strong>projet</strong>, - ResponsableDEP/ REMATO etDCV/RDEP / DCV/RCoordination <strong>du</strong><strong>projet</strong>, - Responsablelabo/ REMATO etDRAEP/DCV/ROrganisation <strong>de</strong> la campagne <strong>de</strong> vaccination contre la Newcastle Toutes les régions 10 MILLIONS DEDOSEDEP Négocier unavenant32


OBJECTIF 2 : RENFORCEMENT DES CAPACITES DE REPONSE A UN FOYER (5/5)2.1 Opérationnalité <strong>du</strong> dispositif <strong>de</strong> riposteRésultats Activités Sous-activitésR4 : Lescapacités <strong>de</strong>réponse rapi<strong>de</strong>et <strong>de</strong> contrôle<strong>de</strong>s foyers <strong>de</strong>l’IAHP(national ettransfrontalier)sontrenforcées.A 16: Testsd’opérationnalité <strong>du</strong> schémad’interventionet <strong>de</strong>sintervenantsExercices <strong>de</strong> simulation en salle pour évaluation et optimisation <strong>de</strong>scapacités <strong>de</strong> riposte <strong>de</strong>s acteurs (délocalisation dans les différentesrégions sous la forme d’ateliers régionaux)Organiser <strong>de</strong>s réunions transfrontalières en vue d’Exercices <strong>de</strong>simulation transfrontalière pour mise en pratique <strong>de</strong>s opérations <strong>de</strong>riposte (plan <strong>de</strong> contingence) et collaborations avec les pays voisins etleurs forces d’interventionParticipation aux formations et intégration au sein <strong>de</strong>s équipesd’intervention <strong>de</strong> l’ensemble <strong>de</strong>s ressources humaines nationales, enparticulier les vétérinaires privés, les agents <strong>de</strong> l’ICAT,ITRA, AVE etles professionnels <strong>de</strong> la filière ,Elaboration et Mise à jour <strong>du</strong> plan <strong>de</strong> contingence et <strong>de</strong>s différentsscénarios possibles régulièrement et selon l’évolution <strong>de</strong> la situationépidémiologique dans la sous région et dans le paysFormer et recycler les acteurs <strong>du</strong> réseaux sur les autres maladiesprioritaires S’appuyer sur les acteurs <strong>du</strong> réseau national pour uneoptimisation <strong>de</strong>s actions <strong>de</strong> riposte et <strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong> la maladie, encas <strong>de</strong> toute nouvelle suspicion <strong>de</strong> foyer d’IAHP et <strong>de</strong>s autresmaladiesSuivi <strong>de</strong>s foyers assainis (gestion <strong>de</strong>s données et <strong>de</strong>s personnes) etinvestigations approfondies pour connaître l’origine <strong>de</strong> l’infection etré<strong>du</strong>ire les risques <strong>de</strong> réapparition selon le plan <strong>de</strong> contingenceZone géographique etgroupes ciblesconcernésCinq régionsTogo Benin GhanaBurkina FasoToutes les régionsTous le paysToutes les RégionsSites infectésNombre (<strong>de</strong> formation,<strong>de</strong> participants, <strong>de</strong>matériel, etc.)Acteurs formés plus lesdifférents acteurs et unesimulation par régionResponsable(s)Cordination / DEP /DCV/R3 réunionns annuelles Cordination /ECTAD –BamakoUne séance<strong>de</strong>bformation et <strong>de</strong>uxrécyclagesComité techniquenational (2 à 3 session<strong>de</strong> retrait pourl'élaboration <strong>du</strong> plan <strong>de</strong>contingence nationalEleveurs, associationd'éleveurs, AVE,commerçants <strong>de</strong> bétail,bouchers etc Moyenne<strong>de</strong> 3 réunions parrégionsAnimaux sentinelsmatériel <strong>de</strong> <strong>de</strong>sinfectionCoordination / DEP /DCV/RComité techniquenational, Coordination/ DEPCoordination / DEP /DCV:RProjet / DEP / LABOet Véto formés surl'épidémiogie33


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (1/5)1.1 Capacités <strong>de</strong>s réseaux d’épidémio-surveillanceRésultatsR1. Ladétectionprécoce<strong>de</strong> foyers<strong>de</strong> IAHPestassuréesurl’ensemble<strong>du</strong>territoireet leurnotification estaméliorée(alerteprécoce).ActivitésA 1 :Formations<strong>de</strong>s équipes<strong>de</strong>surveillance<strong>du</strong>REMATOSous-activitésREMATO :Signes <strong>de</strong> suspicions <strong>de</strong> l’IAHP• Diagnostics différentiels,• Premières mesures à mettre en œuvre en cas <strong>de</strong>suspicion <strong>de</strong> foyerEpidémiologistes <strong>du</strong> <strong>projet</strong>:• Animation d’un réseau <strong>de</strong> surveillanceZone géographique etgroupes ciblesconcernésToutes les régions agentsopérationnels REMATONombre (<strong>de</strong> formations, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)2 zones dont une pour lesRégions Maritime et Plateauxet une autre pour les régionscentrale le, Kara et Savane et100 agentsResponsable(s)Coordination <strong>projet</strong> /DEP /DCV/ R• Utilisation <strong>de</strong>s outils épidémiologiques [gestiond’une base <strong>de</strong> données, Global PositioningSystem/Système d’Information Géographiques(SIG)].Ensemble <strong>de</strong>s acteurs impliqués dans le réseaunational :A 2 :Couverture<strong>de</strong>s besoinsmatériels<strong>du</strong> réseau• Organisations d’ateliers d’information et <strong>de</strong>formation sur les objectifs et le fonctionnement <strong>du</strong>REMATO .Achat et livraison <strong>de</strong> matériel pour le renforcement<strong>de</strong>s capacités logistiques <strong>de</strong> surveillance et <strong>de</strong>réponse <strong>de</strong>s services vétérinaires (e.g. véhicules,motos, <strong>de</strong> PPE (personal protective equipment) et kit<strong>de</strong> prélèvement) Compléter les laboratore <strong>de</strong>l'intérieur (Sokodé)Répartition stratégique <strong>de</strong>s achats sur le territoire.Toutes les régionsToutes les régions agentsopérationnels REMATOToutes les régions agentsopérationnels REMATO2 ATELIERS agents opérationnels <strong>du</strong>REMATO et autres acteursMatériel <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong> Base(Antrax, hemoparasitose,) TADinfoCoordination <strong>projet</strong> /DEP /DCV/ RCoordination <strong>projet</strong> /DEP /LABO central34


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (2/5)1.1 Capacités <strong>de</strong>s réseaux d’épidémio-surveillanceRésultatsR1. Ladétectionprécoce<strong>de</strong> foyers<strong>de</strong> IAHPestassuréesurl’ensemble<strong>du</strong>territoireet leurnotification estaméliorée(alerteprécoce).ActivitésA 3 :Renforcement <strong>de</strong> lafonctionnalité <strong>du</strong>réseauSous-activitésRenforcement <strong>de</strong>s ressources humaines au niveaucentral et décentraliséIntégration au sein <strong>du</strong> réseau <strong>de</strong> l’ensemble <strong>de</strong>sressources humaines nationales, en particulier lesvétérinaires privés, les agents <strong>de</strong> l’ICAT et lesassociations d’éleveursInstitutionnalisation <strong>du</strong> réseau (charte <strong>de</strong>fonctionnement et comité technique) avec l’ensemble<strong>de</strong>s partenaires impliqués et concernésBulletin d’information (avec notamment la relance <strong>du</strong>BIZOOSTO), la restitution <strong>de</strong>s données collectéesaux acteurs <strong>du</strong> réseau et la formation continue <strong>de</strong>sagents <strong>de</strong> terrain TADinfo carte Point focauxrégionauxRéalisation d’étu<strong>de</strong>s spécifiques IAHP (rechercheactive <strong>du</strong> virus par échantillonnage stratifié etinvestigations épidémiologiques pour chaquenouveau foyer) (canard ajouter les oiseaux porteurs,mortalité suspecte <strong>de</strong>s oiseaux sauvages lesalvéoles, changer d'outil ; diagnostic différentiel avecla newcastle, peste aviaire))Renforcement <strong>du</strong> système <strong>de</strong> gestion <strong>de</strong>s donnéessanitaires, <strong>de</strong> l’analyse <strong>de</strong>s données et <strong>de</strong> leurrestitution pour amélioration <strong>de</strong>s rapports <strong>de</strong>surveillance épidémiologique et <strong>de</strong> la notification àl’échelle internationale (OIE, EMPRES/GLEWS, UA-IBAR)Organisation d’ateliers <strong>de</strong> restitution et d’échangessemestriels sur les activités et les résultats <strong>du</strong>réseauAudit opérationnel à mi-parcours <strong>du</strong> systèmed’épidémio-surveillance (évaluation <strong>de</strong> sonfonctionnement, mise en place d’indicateurs <strong>de</strong>performance)Création d’un plan <strong>de</strong> financement pérenne <strong>du</strong>réseau épidémiologique pour que celui-ci (REMATO)soit <strong>du</strong>rable à la fin <strong>du</strong> <strong>projet</strong>Zone géographique etgroupes ciblesconcernésNombre (<strong>de</strong> formations, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)Toutes les régions 40 agents à recruter DEPToutes les régionsPrévoir un budget <strong>de</strong> fonctionnementResponsable(s)DEPles 5 régions <strong>du</strong> pays TAD info rapports Communication /pointsfocaux régionauxles 5 régions <strong>du</strong> pays TADinfoA 4 :Elaboration<strong>de</strong>sdocuments<strong>de</strong> supportau réseauElaboration <strong>de</strong> con<strong>du</strong>ites à tenir et <strong>de</strong>s procé<strong>du</strong>respour les agents techniques dans le cadre <strong>du</strong>fonctionnement <strong>du</strong> réseau incluant <strong>de</strong>s fichesstandardisées pour la notification <strong>de</strong>s événements(procé<strong>du</strong>res opérationnelles standardisées)Elaboration d’une stratégie <strong>de</strong> surveillance complèteregroupant les aspects fonctionnels <strong>du</strong> réseau et lachaîne <strong>de</strong> transmission <strong>de</strong>s informations entre lesdifférents partenaires (schéma <strong>de</strong> fonctionnement <strong>du</strong>réseau, schéma <strong>de</strong> circulation <strong>de</strong>s donnés sanitaires)35


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (3/5)1.2 Capacité et <strong>de</strong>s ressources <strong>de</strong>s laboratoires <strong>de</strong> diagnosticR2. Les A 5 : Achats Renforcement <strong>de</strong> la mobilité <strong>de</strong>s équipescapacités d’équipeme d'intervention rapi<strong>de</strong> par l’achat et la mise à leurnationales nts et disposition <strong>de</strong> véhicules pour assurer le transport <strong>de</strong>s<strong>de</strong>réactifs équipes et <strong>du</strong> matérieldiagnostic<strong>de</strong> cesAchat <strong>de</strong> réactifs et d’équipements <strong>de</strong> laboratoiremaladiespour (i) effectuer une analyse <strong>de</strong>s échantillonssontrécoltés dans le cadre <strong>de</strong>s prélèvements <strong>du</strong>renforcéesprotocole d’épidémiosurveillance (IHA, AGID ou Elisa. Leurs<strong>de</strong> compétition) et pour (ii) affiner les diagnosticsmétho<strong>de</strong>sd’orientation donnés par les kits <strong>de</strong> diagnostic rapi<strong>de</strong>d’analysesutilisés au niveau <strong>du</strong> terrain (RT-PCR)pour lediagnosticRenforcement <strong>du</strong> laboratoire <strong>de</strong> diagnosticet le suivivétérinaire <strong>de</strong> la DEP à Lomé et d’éco-pathologie <strong>de</strong>sontl’ITRA, à Sokodé avec notamment la rénovation <strong>de</strong>optimiséelocaux réservés aux analyses grippe aviaire et autress.laboratoires <strong>de</strong> l'intérieurA 6 :Formation<strong>du</strong>personneltechnique<strong>de</strong>slaboratoiresvétérinairesA 7 : Miseen place<strong>de</strong>sméthodologies <strong>de</strong>prélèvement(élaboration<strong>de</strong> gui<strong>de</strong>s<strong>de</strong>s bonnespratiques)A 8:Echangesinter-labo etmise enréseauxFormation <strong>du</strong> personnel technique <strong>de</strong>s laboratoiresvétérinaires en techniques <strong>de</strong> diagnostic <strong>de</strong> la grippeaviaire et en bonnes pratiques <strong>de</strong> gestion et <strong>de</strong>traitement <strong>de</strong>s prélèvements Le Togo dispose <strong>de</strong>TADAinfo, prévoir un budgetElaboration <strong>de</strong> gui<strong>de</strong>s <strong>de</strong>s bonnes pratiques <strong>de</strong>collecte, <strong>de</strong> gestion, d’analyse et d’envoi <strong>de</strong>séchantillons au niveau régional et international (FicheREMATO)Promotion <strong>de</strong>s échanges et tests inter-labo dans lasous région avec les laboratoires <strong>de</strong> référenceOIE/FAO sur le diagnostic <strong>de</strong> l’IAHP labo Dakarhanne et Vom au NigériaMise en réseaux avec les autres laboratoires sousrégionaux en collaboration avec l’unité régionaleECTAD <strong>de</strong> Bamakotoutes les régionsréaménager la structure architecturale<strong>du</strong> labo central)Directeur laboratoire central36


Le groupe a travaillé sur la thématique Coordination et stratégies sur la base <strong>de</strong>s TdR dont les objectifs sont :1- détailler quand c’est nécessaire les <strong>de</strong>s activités prévues au <strong>projet</strong>,2- i<strong>de</strong>ntifier les rôles et responsabilités et les modalités <strong>de</strong> mise en œuvre <strong>de</strong>s tâches3- ; Préciser les activités qui seront réalisées dans le cadre <strong>de</strong> protocoles d’accord et/ou contrats eti<strong>de</strong>ntifier les partenaires publics ou privés concernés4- i<strong>de</strong>ntifier les complémentarités au niveau <strong>de</strong>s initiatives en cours sur la Grippe Aviaire en prenant encompte l'évolution <strong>de</strong> la situation épidémiologique <strong>de</strong> l'IAHP dans le pays et l'apparition d'autresmaladies animales prioritaires dans le pays,5- Etablir <strong>de</strong> manière participative un chronogramme détaillé ;6- Revoir, préciser les indicateurs pour le suivi <strong>du</strong> <strong>projet</strong>40


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (1/5)1.3 Coordination et gestion <strong>de</strong> l'information et <strong>de</strong> la transparenceRésultats Activités Sous-activitésR 3 : Le renforcement <strong>de</strong>la coordination et lepartage <strong>de</strong>s informationsavec les partenaires endéveloppement sontassurés. Les informationssur l'évolution <strong>de</strong> lasituation et l'impact <strong>de</strong> lamaladie, ainsi que lesactions mises en place parle Gouvernement/ComitéInterministriel <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> luttecontre la Grippe Aviairesont connues etpartagées.A 9: Mise en placed’une Cellule <strong>de</strong>coordination et <strong>de</strong>suiviA 10: Amélioration <strong>du</strong>plan stratégique <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> luttecontre I’IAHP au Togoet transcription enplan <strong>de</strong> contingencenational avec mises àjour régulièresMise en place d’une Cellule <strong>de</strong>Coordination et <strong>de</strong> suivi (Equiped’experts nationaux sous l’autorité <strong>de</strong> laDEP et l’appui d’un consultantinternational FAO)Mise en place d'un mécanismeopérationnel <strong>de</strong> coordination et <strong>de</strong> suiviAmélioration <strong>du</strong> plan stratégique <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> lutte contre la IAHP auTogo et transcription en plan <strong>de</strong>contingence national avec mises à jourrégulièresZone géographique etgroupes ciblesconcernésNiveau national et niveaurégional, Acteursintervenants dans la filièreau niveau déconcentré.Nombre (<strong>de</strong> formations, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)Matériel roulant et informatiqueResponsable(s)Coordination nationale<strong>projet</strong>(CNP)/DEP/MAEPNational CNP/DEP, ComitetechniqueNational CNP et ComitetechniqueA 11: Coordination etdiscussion <strong>du</strong> pland’action opérationnelentre le ComitéInterministériel <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> luttecontre la GrippeAviaire et tous lesacteursElaboration <strong>de</strong> plan opérationnel annuelCoordination et discussion <strong>du</strong> pland’action opérationnel entre le ComitéInterministériel <strong>de</strong> prévention et <strong>de</strong> luttecontre la Grippe Aviaire et tous lesacteurs travaillant dans le cadre <strong>de</strong>sactions <strong>de</strong> contrôle et prévention <strong>de</strong> laIAHPValidation et mise en œuvre <strong>du</strong> planopérationnelNiveau national, Tous lesacteurs <strong>de</strong> IAHP et autresmaladies animalesconcernéesNiveau national etdéconcentréCNP/DEPCNP, Comitéinterministériel etautres acteurs41


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (2/5)1.3 Coordination et gestion <strong>de</strong> l'information et <strong>de</strong> la transparenceRésultats Activités Sous-activitésR 3 : Le renforcement <strong>de</strong>la coordination et lepartage <strong>de</strong>s informationsavec les partenaires endéveloppement sontassurés. Les informationssur l'évolution <strong>de</strong> lasituation et l'impact <strong>de</strong> lamaladie, ainsi que lesactions mises en place parle Gouvernement/ComitéInterministriel <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> luttecontre la Grippe Aviairesont connues etpartagées.A 12: Réunions <strong>de</strong>coordination etpublicationsd’informationspériodiques <strong>du</strong>Comité Technique <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong> luttecontre la GrippeAviaire avec l’appui<strong>de</strong> la FAOA 13: Suivi <strong>de</strong>sactivités <strong>du</strong> <strong>projet</strong> surla base d’indicateurs<strong>de</strong> réalisation et <strong>de</strong>performanceRéunions <strong>de</strong> coordination etpublications d’informations périodiques<strong>du</strong> Comité Technique <strong>de</strong> prévention et<strong>de</strong> lutte contre la Grippe Aviaire avecl’appui <strong>de</strong> la FAOCollecte et traitement <strong>de</strong>s informationsSuivi <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong> sur la based’indicateurs <strong>de</strong> réalisation et <strong>de</strong>performance par les équipes d’ECTADRome et <strong>du</strong> CRSA <strong>de</strong> BamakoZone géographique etgroupes ciblesconcernésNiveau national 4 reunion/an,Niveau national et<strong>de</strong>concentréNiveau national, CNP,DEP, CPONombre (<strong>de</strong> formation,<strong>de</strong> participants, <strong>de</strong>matériel, etc.)DCV, cellule <strong>de</strong>communication2 fois par an, Tous lesacteurs <strong>de</strong> filiereResponsable(s)CNP/DEPCNP/DEPCNP/DEP et ECTAD BamakoAuto evaluation <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong>sur la base d’indicateurs <strong>de</strong> réalisationet <strong>de</strong> performanceNiveau national et regional Continue CNP/DEP42


OBJECTIF 2 : RENFORCEMENT DES CAPACITES DE REPONSE A UN FOYER (3/5)2.1 Opérationnalité <strong>du</strong> dispositif <strong>de</strong> riposteZone géographique etRésultats Activités Sous-activitésgroupes ciblesconcernésR 4 : Les capacités <strong>de</strong>réponse rapi<strong>de</strong> et <strong>de</strong>contrôle <strong>de</strong>s foyers <strong>de</strong>l’IAHP (national ettransfrontalier) sontrenforcées.A 17: Documents<strong>de</strong> support auxphases <strong>de</strong> riposteElaborer un plan <strong>de</strong> contingence en SantéAnimale, validé par le Comité interministériel<strong>de</strong> lutte contre l’IAHP et partagé et validéavec l’ensemble <strong>de</strong>s intervenants et corps <strong>de</strong>métier impliqués dans la lutteDiffuser auprès <strong>de</strong>s différents intervenants lesProcé<strong>du</strong>res Opérationnelles Standardiséespour appropriation et mise en application encas <strong>de</strong> foyersNational, tous les acteurs <strong>de</strong> lafiliereNational, tous les acteurs <strong>de</strong> lafiliere, populationsNombre (<strong>de</strong> formation, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)Acteurs <strong>de</strong> la filiereActeurs <strong>de</strong> la filiereResponsable(s)CNP/DEP/comitetechniqueCNP/DEP/commissioncommunication etmobilisation socialeA 18: Activitéstransfrontalières :Rencontres pourhomogénéisation<strong>de</strong>s schémas <strong>de</strong>riposte entre paysvoisinsDans le cas spécifique <strong>de</strong> l’IAHP, réaliseravec les partenaires <strong>de</strong> la santé humaine unplan <strong>de</strong> contingence national intégré pour uneoptimisation <strong>de</strong>s phases d’intervention et <strong>de</strong>protection <strong>de</strong> la santé publiquePro<strong>du</strong>ire et diffusion <strong>de</strong>s supports <strong>de</strong>communicationRencontres transfrontalières pourhomogénéisation <strong>de</strong>s schémas <strong>de</strong> riposteentre pays voisins et échanges réguliersd’informations récentes et pertinentesEchanges d’informations sanitaires(harmonisation <strong>de</strong>s documents sanitairesentre pays)Harmonisation <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong>communication entre pays voisins et <strong>de</strong> lasous régionCoordination et harmonisation <strong>de</strong>s activités<strong>de</strong> surveillance et <strong>de</strong> contrôleNational, acteurs <strong>de</strong> la santeanimale et sante humaineNational, toute la populationcomite technique et Mininstere <strong>de</strong> lasanteNombre: quantite suffisante <strong>de</strong>supports <strong>de</strong> communication,Commission communication etmobilisation sociale,CNP/Coord <strong>du</strong> PNAICNP/DEP/commissioncommunication etmobilisation socialeSous regionale 2 fois par an DEP et responsabls<strong>de</strong>s servicesveterinaires <strong>de</strong>sautres paysSous regionale Permanente DEP et responsabls<strong>de</strong>s servicesveterinaires <strong>de</strong>sautres paysSous regionale DEP et responsabls<strong>de</strong>s servicesveterinaires <strong>de</strong>sautres paysSous regionale DEP et responsabls<strong>de</strong>s servicesveterinaires <strong>de</strong>sautres pays43


OBJECTIF 2 : RENFORCEMENT DES CAPACITES DE REPONSE A UN FOYER (4/5)2.2 Stratégie et grille d'in<strong>de</strong>mnisationRésultats Activités Sous-activitésR 5 : Un fondsd'in<strong>de</strong>mnisation ausein <strong>de</strong> la DEP estfonctionnel et pérenne.A 19: Création d’unplan opérationnel <strong>du</strong>processusd’in<strong>de</strong>mnisationnationalMise en place d'un dispositifopérationnel d’in<strong>de</strong>mnisation nationalElaboration d'un manuel <strong>de</strong> proce<strong>du</strong>renational <strong>de</strong> gestion <strong>du</strong> fonds d'urgenceZone géographique etgroupes ciblesconcernésNombre (<strong>de</strong> formation, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)National, acteurs <strong>du</strong> e la filiere 1 consultant CNPResponsable(s)1 consultant Consultant/CNPA 20: I<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong>ssources <strong>de</strong>financement pour unfonds d’in<strong>de</strong>mnisationpérenne et un fondd’urgence minimumA 21: Définition <strong>de</strong>sprocessus <strong>de</strong>mobilisation et <strong>de</strong>gestion <strong>du</strong> fondsd’in<strong>de</strong>mnisation etmise en place d’unecommissiond’in<strong>de</strong>mnisationnationale, impliquantles partenaires audéveloppementA 22: Mise en place <strong>de</strong>mesures d’audit et <strong>de</strong>suivi <strong>du</strong> fondsd’in<strong>de</strong>mnisationValidation et diffusion <strong>du</strong> manuel <strong>de</strong>proce<strong>du</strong>reEvaluer la possibilité d’élargir lesfonctions <strong>de</strong> financement <strong>de</strong> ce fonds auxautres maladies transfrontalières enprenant en compte les activitésnécessaires au bon fonctionnement <strong>du</strong>système <strong>de</strong> santé animalePlaidoyer aupres <strong>de</strong>s partenaires au<strong>de</strong>veleppement a travers le manuel <strong>de</strong>proce<strong>du</strong>re et communications en conseil<strong>de</strong> ministresMise en place d’un organed'adminstration national <strong>du</strong> fondsd'urgenceMise en place d'une commissiontechnique d'in<strong>de</strong>mnisationAudit technique et financier <strong>du</strong> fondsd’in<strong>de</strong>mnisationNational Acteurs CNP/DEPNational 1 consultant, acteurs CNP/DEPNational - CNP/DEPNational - CNP/DEPNational - CNP/DEPNational 1 consultant CNP/DEP44


OBJECTIF 3 : RENFORCEMENT DE LA BIOSECURITE DANS LES ELEVAGES ET LA FILIERE (5/5)3.1 Système <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction et cheptelZone géographique etRésultats Activités Sous-activitésgroupes ciblesconcernésR 6 : Les données surla filière vicole sontconnues et lesmesures <strong>de</strong>biosécurité dans lesexploitations et lesmarchés sontamélioréesA 25: Elaboration <strong>de</strong>snormes d’implantation<strong>de</strong>s exploitationsd’établissementsavicolesElaboration d’un livre blanc surles installations d’exploitationsavicoles (nuisances, type <strong>de</strong>bâtiment, biosécurité etc.) cedocument sera préparé par <strong>de</strong>sexperts recrutés selon Termes<strong>de</strong> mandat mis en place parl’équipe <strong>du</strong> <strong>projet</strong> enconcertation avec les autoritésnationalesNombre (<strong>de</strong> formation,<strong>de</strong> participants, <strong>de</strong>matériel, etc.)Responsable(s)National Consultant CNP/DEPValidation, <strong>du</strong>plication etdiffusionNational Acteurs CNP/DEP45


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (1/5)1.3 Coordination et gestion <strong>de</strong> l'information et <strong>de</strong> la transparenceRésultatsActivitésIndicateursvérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010ResponsablesM A M J J A S O N D J FR 3 : Lerenforcement <strong>de</strong> lacoordination et lepartage <strong>de</strong>sinformations avecles partenaires endéveloppement sontassurés. Lesinformations surl'évolution <strong>de</strong> lasituation et l'impact<strong>de</strong> la maladie, ainsique les actionsmises en place par leGouvernemenA 9: Mise enplace d’uneCellule <strong>de</strong>coordination et<strong>de</strong> suiviA 10:Amélioration <strong>du</strong>plan stratégique<strong>de</strong> prévention et<strong>de</strong> lutte contreI’IAHP au Togo ettranscription enplan <strong>de</strong>contingencenational avecmises à jourrégulièresA 11:Coordination etdiscussion <strong>du</strong>plan d’actionopérationnelentre le ComitéInterministériel<strong>de</strong> prévention et<strong>de</strong> lutte contre laGrippe Aviaire ettous les acteurs<strong>Rapport</strong> sur lessuspicions etalertesnombre <strong>de</strong>parution<strong>Rapport</strong>s <strong>de</strong>séquipes <strong>de</strong>surveillanceBulletind’informationnationalMise en place d’une Cellule<strong>de</strong> Coordination et <strong>de</strong> suivi(Equipe d’experts nationauxsous l’autorité <strong>de</strong> la DEP etl’appui d’un consultantinternational FAO)Mise en place d’unmecanisme <strong>de</strong> coordinationet <strong>de</strong> suiviAmélioration <strong>du</strong> planstratégique <strong>de</strong> prévention et<strong>de</strong> lutte contre la IAHP auTogo et transcription en plan<strong>de</strong> contingence nationalavec mises à jour régulièresElaboration <strong>de</strong> planoperationnel annuelCoordination et discussion<strong>du</strong> plan d’action opérationnelentre le ComitéInterministériel <strong>de</strong> préventionet <strong>de</strong> lutte contre la GrippeAviaire et tous les acteurstravaillant dans le cadre <strong>de</strong>sactions <strong>de</strong> contrôle etprévention <strong>de</strong> la IAHPValidation et mise en oeuvre<strong>du</strong> Plan operationnelX CNPXXXXX X X46


OBJECTIF 1 : RENFORCEMENT DES SERVICES VETERINAIRES (2/5)1.3 Coordination et gestion <strong>de</strong> l'information et <strong>de</strong> la transparenceRésultatsActivitésIndicateursvérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010ResponsablesM A M J J A S O N D J FR 3 : Le renforcement<strong>de</strong> la coordination etle partage <strong>de</strong>sinformations avec lespartenaires endéveloppement sontassurés. Lesinformations surl'évolution <strong>de</strong> lasituation et l'impact<strong>de</strong> la maladie, ainsique les actions misesen place par leGouvernemenA 12: Réunions<strong>de</strong> coordinationet publicationsd’informationspériodiques <strong>du</strong>ComitéTechnique <strong>de</strong>prévention et <strong>de</strong>lutte contre laGrippe Aviaireavec l’appui <strong>de</strong>la FAOA 13: Suivi <strong>de</strong>sactivités <strong>du</strong><strong>projet</strong> sur labased’indicateurs <strong>de</strong>réalisation et <strong>de</strong>performanceNombre <strong>de</strong><strong>Rapport</strong>sd'activites et <strong>de</strong>publication <strong>du</strong>bulletind'information<strong>Rapport</strong>sd'activitesdisponiblesRéunions <strong>de</strong> coordination etpublications d’informationspériodiques <strong>du</strong> ComitéTechnique <strong>de</strong> prévention et<strong>de</strong> lutte contre la GrippeAviaire avec l’appui <strong>de</strong> laFAOCollecte et traitement <strong>de</strong>sinformationsX X X XX X X X X X X X X X XSuivi <strong>de</strong>s activités <strong>du</strong> <strong>projet</strong>sur la base d’indicateurs <strong>de</strong>réalisation et <strong>de</strong>performance par les équipesd’ECTAD Rome et <strong>du</strong> CRSA<strong>de</strong> BamakoX XAuto evaluation <strong>de</strong>s activites<strong>du</strong> <strong>projet</strong> sur la based'indicateurs <strong>de</strong> realisationet <strong>de</strong> performance X X47


OBJECTIF 2 : RENFORCEMENT DES CAPACITES DE REPONSE A UN FOYER (3/5)2.1 Opérationalité <strong>du</strong> dispositif <strong>de</strong> riposteRésultatsActivitésIndicateursvérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010ResponsablesM A M J J A S O N D J FR 4 : Les capacités<strong>de</strong> réponse rapi<strong>de</strong> et<strong>de</strong> contrôle <strong>de</strong>sfoyers <strong>de</strong> l’IAHP(national ettransfrontalier) sontrenforcées.A 17: Documents<strong>de</strong> support auxphases <strong>de</strong>riposteNombre <strong>de</strong>foyers maitrisesNombre <strong>de</strong>rapportsExistence <strong>du</strong> plan<strong>de</strong> risposte etstratégies etrapports <strong>de</strong>riposte,rapports conjointsExistence <strong>de</strong>supports etrapports <strong>de</strong>l'activitecommunicationnelCCMS disponibleElaborer un plan <strong>de</strong>contingence en SantéAnimale, validé par leComité interministériel <strong>de</strong>lutte contre l’IAHP etpartagé et validé avecl’ensemble <strong>de</strong>s intervenantset corps <strong>de</strong> métier impliquésdans la lutteDiffuser auprès <strong>de</strong>sdifférents intervenants lesProcé<strong>du</strong>res OpérationnellesStandardisées pourappropriation et mise enapplication en cas <strong>de</strong>foyersDans le cas spécifique <strong>de</strong>l’IAHP, réaliser avec lespartenaires <strong>de</strong> la santéhumaine un plan <strong>de</strong>contingence national intégrépour une optimisation <strong>de</strong>sphases d’intervention et <strong>de</strong>protection <strong>de</strong> la santépubliquePro<strong>du</strong>ire et diffuser <strong>de</strong>ssupports <strong>de</strong> communicationXXX X X X X X X X X X X XEn cas <strong>de</strong> crise48


A 18: Activitéstransfrontalières :Rencontres pourhomogénéisation<strong>de</strong>s schémas <strong>de</strong>riposte entrepays voisins<strong>Rapport</strong>Existence <strong>de</strong>rapports conjointRencontrestransfrontalières pourhomogénéisation <strong>de</strong>sschémas <strong>de</strong> riposte entrepays voisins et échangesréguliers d’informationsrécentes et pertinentes XEchanges d’informationssanitaires (harmonisation<strong>de</strong>s documents sanitairesentre pays) X X X X XHarmonisation <strong>de</strong>s activités<strong>de</strong> communication entrepays voisins et <strong>de</strong> la sousrégion XCoordination etharmonisation <strong>de</strong>s activités<strong>de</strong> surveillance et <strong>de</strong>X X X X Xcontrôleautres ?49


OBJECTIF 2 : RENFORCEMENT DES CAPACITES DE REPONSE A UN FOYER (4/5)2.2 Stratégie et grille d'in<strong>de</strong>mnisationRésultatsActivitésIndicateursvérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010ResponsablesM A M J J A S O N D J FR 5 : Un fondsd'in<strong>de</strong>mnisation ausein <strong>de</strong> la DEP estfonctionnel etpérenne.A 19: Créationd’un planopérationnel <strong>du</strong>processusd’in<strong>de</strong>mnisationnationalNombre <strong>de</strong>victimesin<strong>de</strong>mnises,montant <strong>du</strong>fondsExistence <strong>de</strong> laligne budgétaireMise en place d'un dispositifopérationnel d’in<strong>de</strong>mnisationnationalElaboration d'un manuel <strong>de</strong>proce<strong>du</strong>re national <strong>de</strong> gestion<strong>du</strong> fonds d'urgenceValidation et diffusion <strong>du</strong>manuel <strong>de</strong> proce<strong>du</strong>reXXA 20:I<strong>de</strong>ntification <strong>de</strong>ssources <strong>de</strong>financement pourun fondsd’in<strong>de</strong>mnisationpérenne et unfond d’urgenceminimumA 21: Définition<strong>de</strong>s processus<strong>de</strong> mobilisationet <strong>de</strong> gestion <strong>du</strong>fondsEvaluer la possibilité d’élargirles fonctions <strong>de</strong> financement<strong>de</strong> ce fonds aux autresmaladies transfrontalières enprenant en compte lesactivités nécessaires au bonfonctionnement <strong>du</strong> système<strong>de</strong> santé animalePlaidoyer aupres <strong>de</strong>spartenaires au<strong>de</strong>veleppement a travers lemanuel <strong>de</strong> proce<strong>du</strong>re etcommunications en conseil<strong>de</strong> ministresMise en place d’un organed'adminstration national <strong>du</strong>fonds d'urgenceXX X X X X X X X X X XX X X X X X X X XX50


d’in<strong>de</strong>mnisationet mise en placed’unecommissiond’in<strong>de</strong>mnisationnationale,impliquant lespartenaires audéveloppementA 22: Mise enplace <strong>de</strong> mesuresd’audit et <strong>de</strong>suivi <strong>du</strong> fondsd’in<strong>de</strong>mnisationMise en place d'unecommission techniqued'in<strong>de</strong>mnisationAudit technique et financier<strong>du</strong> fonds d’in<strong>de</strong>mnisationXX X51


OBJECTIF 3 : RENFORCEMENT DE LA BIOSECURITE DANS LES ELEVAGES ET LA FILIERE (5/5)3.1 Système <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction et cheptelRésultatsActivitésIndicateursvérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010ResponsablesM A M J J A S O N D J FR 6 : Les donnéessur la filière avicolesont connues et lesmesures <strong>de</strong>biosécurité dans lesexploitations et lesmarchés sontamélioréesA 25: Elaboration<strong>de</strong>s normesd’implantation <strong>de</strong>sexploitationsd’établissementsavicolesTous les élevages<strong>du</strong> secteur 1 et 2et 50 % <strong>de</strong>sélevages <strong>du</strong>secteur 3 sontbiosécurisésAtlas <strong>de</strong> la filièreet documents <strong>de</strong>synthèseElaboration d’un livre blancsur les installationsd’exploitations avicoles(nuisances, type <strong>de</strong>bâtiment, biosécurité etc.) cedocument sera préparé par<strong>de</strong>s experts recrutés selonTermes <strong>de</strong> mandat mis enplace par l’équipe <strong>du</strong> <strong>projet</strong>en concertation avec lesautorités nationalesValidation, <strong>du</strong>plication etdiffusionXX52


Travaux <strong>du</strong> groupe III Prési<strong>de</strong>nt : Dr Mensah Kassamada <strong>Rapport</strong>eurs : MM. Sodjinin Ekoue et Tobuyou Balla Facilitation : Stéphanie SimardMembres :- Djabare N’dre- Ibrahima Aboudou- Adoukoe Akpabie- Tanah Djankla- Kossi Maxoe Sedzro- Toyi Lemou- Assimbe Metenhou- Kekeou Banguina- Ali Godje- Kokou Kouami- Komi Lokou- Teko Kangni- ASSIH EssonanaOBSERVATIONSÉtant donne le rôle joue par l’aviculture traditionnelle dans la pro<strong>du</strong>ction <strong>de</strong> vian<strong>de</strong> au Togo et parconséquent dans la sécurité alimentaire <strong>du</strong> pays, le groupe III a estime qu’il est opportun d’accor<strong>de</strong>r uneimportance a ce sous-secteur dans le cadre <strong>de</strong> ce <strong>projet</strong>.RECOMMANDATIONS Il est recommandé <strong>de</strong> revoir la formulation <strong>de</strong>s résultats 6 et 7 tel que proposé ci-<strong>de</strong>ssous :- R6: les données sur la filière avicoles sont connues.- R7: les mesures <strong>de</strong> biosécurité sont maitrisées et mises en pratique dans les exploitations et marchés.- Décaler l’activité 24 sous le résultat 6.- Décaler le R7, tel que formulé dans le document <strong>projet</strong>, dans la colonne <strong>de</strong>s indicateurs.- Définir et formaliser le cadre <strong>de</strong> collaboration avec les partenaires privés et publics.53


OBJECTIF 3 : RENFORCEMENT DE LA BIOSECURITE DANS LES ELEVAGES ET LA FILIERE (1/2)3.1 Système <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction et cheptelRésultats Activités Sous-activitésPropositionsmodification <strong>de</strong>s sousactivites<strong>du</strong> groupe IIIZone géographiqueet groupes ciblesconcernésNombre (<strong>de</strong> formations, <strong>de</strong>participants, <strong>de</strong> matériel,etc.)Responsable(s)R6 Les données sur lafilière avicole sontconnues et lesmesures <strong>de</strong>biosécurité dans lesexploitations et lesmarchés <strong>de</strong> volaillessont améliorésA 23:Recensement <strong>de</strong>sexploitationsavicoles (etétu<strong>de</strong>s)Réalisation d’uneétu<strong>de</strong> socioéconomique portantsur l’impact <strong>de</strong> lagrippe aviaire sur lafilière avicoleRecensement(qualitatif/quantitatif)<strong>de</strong>s toutes lesexploitations avicoleset <strong>de</strong>s structures <strong>de</strong> lafilière dans toutes lesrégions <strong>du</strong> paysActualisation <strong>du</strong> recensement<strong>de</strong>s exploitations avicolesmo<strong>de</strong>rnes et inclure, dans lamesure <strong>du</strong> possile, d'autrestypes d'elevages traditonnels et<strong>de</strong> toutes les structures <strong>de</strong> lafiliereTout le territoir. Groupescibles : pro<strong>du</strong>cteurs,commercants etprovendiers.Tout le territoir. Elevagesmo<strong>de</strong>rnes et autres typesd'elevages traditionnels (sipossible)Entre 5 et 10 agents <strong>de</strong>recensement par region.- Coordination etsupervisiontechnique :ECTAD-FAOBamakoCollaborateurs :ITRA, ICAT, DEPRéaliser un Atlasqualitatif/quantitatif <strong>de</strong>smouvements <strong>de</strong>sroutes commerciales<strong>de</strong>s volailles et <strong>de</strong>leurs sous-pro<strong>du</strong>itsnationales ettransfrontalièresTout le territoir. Groupescibles (comme sourced'information) : eleveurs,commercants et lestransporteursFormation <strong>de</strong> 5 a 10enqueteurs par region .Déterminer l’origine etles routes <strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>itset sous pro<strong>du</strong>itsd’animauxpotentiellementdangereux (avicoles etéventuellement autres)et leur attribuer uncoefficient en rapportavec ce risqueTout le territoir. Groupescibles (comme sourced'information) : eleveurs,commercants et lestransporteurs, maraichers.Formation <strong>de</strong> 5 a 10enqueteurs par region .54


Quantifier lesmouvements <strong>de</strong>pro<strong>du</strong>its et souspro<strong>du</strong>its d’animauxpotentiellementdangereux (avicoles etéventuellement autres)dans le pays et auxfrontièresAtelier national <strong>de</strong>formation à labiosécurité pour lesprincipaux lea<strong>de</strong>rs <strong>de</strong>chaque corps <strong>de</strong>métiers intervenantsdans la filière avicolepour diffusion auprès<strong>de</strong>s autresintervenants/délocalisation enrégionTout le territoir. Groupescibles (comme sourced'information) : eleveurs,commercants et lestransporteurs, maraichers.Formation <strong>de</strong> 5 a 10enqueteurs par region .A 24: Formations àla biosécuritéAtelier national <strong>de</strong> recyclage et<strong>de</strong> formation à la biosécuritépour les principaux lea<strong>de</strong>rs <strong>de</strong>chaque corps <strong>de</strong> métiersintervenants dans la filièreavicole pour diffusion auprès<strong>de</strong>s autres intervenants/délocalisation en régionRegion Centrale ou <strong>de</strong>sPlateaux. Groupes cibles :lea<strong>de</strong>rs <strong>de</strong>s associations<strong>de</strong>s eleveurs, lea<strong>de</strong>rs <strong>de</strong>sassociations <strong>de</strong>scommercants, <strong>de</strong>stransporteurs, lesveterinaires (prives et <strong>de</strong>sservices veterinaires)Une formation <strong>de</strong>sformateurs : 10 participantspar region + 10 anciensExperts enbiosecuriteECTAD-Fao (etautres (VSF-Suisse, etc.)Pro<strong>du</strong>ction <strong>de</strong>smanuels <strong>de</strong>scriptifs etdidactiques <strong>de</strong>smesures <strong>de</strong>biosécurité à appliquerdans les exploitationset d’un gui<strong>de</strong> <strong>de</strong>bonnes pratiques enélevage avicoleActualiser et completer lesmanuels <strong>de</strong>scriptifs etdidactiques <strong>de</strong>s mesures <strong>de</strong>biosecurite à appliquer dans lesexploitations avicoles et inclureles elements <strong>de</strong> proven<strong>de</strong>rie.Elaboration d’un gui<strong>de</strong> <strong>de</strong>bonnes pratiques en élevageavicole (mo<strong>de</strong>rne ettraditonnel)..Les eleveurs etprovendiers.Les eleveurs.En version papier et CDRom. Experts FAO-Ectad etcollaborateursEn version papier et CDRom. Experts FAO-Ectad etcollaborateurs55


OBJECTIF 3 : RENFORCEMENT DE LA BIOSECURITE DANS LES ELEVAGES ET LA FILIERE (2/2)3.2 Biosécurité (pro<strong>du</strong>ction et marchés)Résultats Activités Sous-activitésR7. Au moins 80% <strong>de</strong>sdifférents acteurs etparties prenantes <strong>de</strong>la filière avicole, auniveau national,régional et local sontsensibilisés sur lesmesures etprécautions à prendrevis-à-vis <strong>de</strong> la grippeaviaire.A 26 Formation<strong>de</strong>s acteurslocaux sur lesmesures ettechniques <strong>de</strong>prévention <strong>de</strong>l’IAHP (mesures<strong>de</strong> biosécurité)Formation <strong>de</strong>s acteurslocaux sur lesmesures et techniques<strong>de</strong> prévention <strong>de</strong>l’IAHP (mesures <strong>de</strong>biosécurité)Propositionsmodifications <strong>de</strong>ssous-activites <strong>du</strong>groupe IIIFormation <strong>de</strong>s acteurslocaux sur les mesures ettechniques <strong>de</strong> prévention <strong>de</strong>l’IAHP (mesures <strong>de</strong> biosécuritéa la ferme)Formation <strong>de</strong>s acteurslocaux sur les mesures ettechniques <strong>de</strong> prévention <strong>de</strong>l’IAHP (mesures <strong>de</strong> biosécuritésur les marches)Suivi-evaluation <strong>de</strong>sformations.Zone géographiqueet groupes ciblesconcernésLes 5 regions. Groupescibles : les AVE, lesresponsables <strong>de</strong>groupements et lesconseillers agricoles.Les 5 regions. Groupescibles : les responsables <strong>de</strong>marches et commercants<strong>de</strong> volailles vivantes.Les 5 regions. Groupescibles : les responsables <strong>de</strong>marches et commercants<strong>de</strong> volailles vivantes.Nombre (<strong>de</strong> formations,<strong>de</strong> participants, <strong>de</strong>matériel, etc.)5 formations (1 parregion). 200 participantspar region.5 formations(1 parregion). 100 participantspar region.2 reunions par annee parregion (10 reunions). 5tournees annuelles parannee.Responsable(s)Les veterinaires priveset <strong>de</strong>s servicesveterinaires (DCV).Les leadres <strong>de</strong>sassociationscommercantes etveterinaires (prives et<strong>de</strong>s servicesveterinaires).La DEP (evaluationgenerale) et lesveterinaires (suivi etevaluationrapprochee).A 27: Appui à lamise en place <strong>de</strong>smesures <strong>de</strong>biosécurité dansles exploitationsAppui à la mise enplace <strong>de</strong>s mesures <strong>de</strong>biosécurité dans lesexploitations par laconstruction <strong>de</strong>rotoluves, pédiluves etvestiaires dans lesprincipalesexploitationscommerciales etl’apprentissage <strong>de</strong>sbonnes pratiques enélevage selon unemétho<strong>de</strong> participativeAppui a l'apprentissage <strong>de</strong>sbonnes pratiques enelevage et appui a la miseen place <strong>de</strong> biosecuritedans les exploitationscommerciales par laconstruction <strong>de</strong> batimentscorresposnants aux normeset la construction <strong>de</strong>rotoluves, pediluves etvestiaires selon la metho<strong>de</strong>participative (exploitantsfinancant une partie <strong>de</strong>samenagements).Tout le territoir. Groupescibles : les exploitationscommerciales.225 exploitationscommerciales (75 % <strong>de</strong>sexploitations)sélectionnées sur la base<strong>de</strong> critères déterminés.DEPen collaborationavec ITRA, ICAT,AVSF, VSF-SUISSE,responsables <strong>de</strong>sgroupementsd'éleveurs56


où les exploitants<strong>de</strong>vront financer unepartie <strong>de</strong>saménagementsAppui a l'apprentissage <strong>de</strong>sbonnes pratiques enélevage et appui à la miseen place <strong>de</strong> biosécuritédans les exploitationstraditionnelles par laconstruction <strong>de</strong> bâtimentscorrespondants aux normeset la construction <strong>de</strong>pédiluves et vestiaires selonla métho<strong>de</strong> participative(exploitants finançant unepartie <strong>de</strong>s aménagements).Tout le territoire. Groupescibles : les exploitationstraditionnelles (faisantpartie d'un groupement)40 exploitations (faisantpartie d'un groupement)par région (200 au niveaunational).Appui a la mise en place <strong>de</strong>la biosécurité dans lesmarches <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s villespar la construction <strong>de</strong>d'aires d'abattage et <strong>de</strong>hangars selon la métho<strong>de</strong>participative (administration,municipalité, association <strong>de</strong>commerçants, etc.).Tout le territoire. Groupescibles : les communautésurbaines <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s villesLes 5 chefs lieu <strong>de</strong> région. Dépend collaborationavec ITRA, ICAT,AVSF, VSF-SUISSE,responsables <strong>de</strong>marches57


OBJECTIF 3 : RENFORCEMENT DE LA BIOSECURITE DANS LES ELEVAGES ET LA FILIERE (1/2)3.1 Système <strong>de</strong> pro<strong>du</strong>ction et cheptelRésultatsActivitésIndicateurs vérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010M A M J J A S O N D J FR6 Les données sur lafilière avicole sont connueset les mesures <strong>de</strong>biosécurité dans lesexploitations et lesmarchés <strong>de</strong> volailles sontamélioréesA 23:Recensement <strong>de</strong>sexploitationsavicoles (etétu<strong>de</strong>s)Tous les élevages <strong>du</strong>secteur 1 et 2 et 50 % <strong>de</strong>sélevages <strong>du</strong> secteur 3sont biosécurisés100 % <strong>de</strong>s exploitationscommerciales sontrecensées.Atlas <strong>de</strong> la filière etdocuments <strong>de</strong>synthèseCarte SIG <strong>de</strong>sexploitationscommerciales <strong>du</strong>Togo.Réalisation d’une étu<strong>de</strong>socio économique portantsur l’impact <strong>de</strong> la grippeaviaire sur la filière avicoleActualisation <strong>du</strong> recensement<strong>de</strong>s exploitations avicolesmo<strong>de</strong>rnes et inclure, dans lamesure <strong>du</strong> possible, d'autrestypes d'élevagestraditionnels et <strong>de</strong> toutes lesstructures <strong>de</strong> la filière100 % <strong>de</strong>s mouvements<strong>de</strong>s routes commerciales<strong>de</strong>s volailles et <strong>de</strong>s souspro<strong>du</strong>itsau Togo ontconnus.AtlasRéaliser un Atlasqualitatif/quantitatif <strong>de</strong>smouvements <strong>de</strong>s routescommerciales <strong>de</strong>s volailleset <strong>de</strong> leurs sous-pro<strong>du</strong>itsnationales ettransfrontalièresDéterminer l’origine et lesroutes <strong>de</strong>s pro<strong>du</strong>its et souspro<strong>du</strong>its d’animauxpotentiellementdangereux (avicoles etéventuellement autres) etleur attribuer un coefficienten rapport avec ce risqueQuantifier les mouvements<strong>de</strong> pro<strong>du</strong>its et sous pro<strong>du</strong>itsd’animaux potentiellementdangereux (avicoles etéventuellement autres) dansle pays et aux frontières58


A 24: Formations àla biosécuritéAu moins 60 acteurs ont étéformes aux mesures <strong>de</strong>biosécurité.Liste <strong>de</strong>s participantsformes.Atelier national <strong>de</strong> recyclage et<strong>de</strong> formation à la biosécuritépour les principaux lea<strong>de</strong>rs <strong>de</strong>chaque corps <strong>de</strong> métiersintervenants dans la filièreavicole pour diffusion auprès<strong>de</strong>s autres intervenants/délocalisation en région<strong>Rapport</strong> <strong>de</strong> formation. Actualiser et compléter lesmanuels <strong>de</strong>scriptifs etdidactiques <strong>de</strong>s mesures <strong>de</strong>biosécurité à appliquer dans lesexploitations avicoles et inclureles éléments <strong>de</strong> proven<strong>de</strong>rie.75 % <strong>de</strong>s exploitationscommerciales ont amélioresleurs mesures <strong>de</strong>biosécurité sur leurexploitation.Visites terrain.Elaboration d’un gui<strong>de</strong> <strong>de</strong>bonnes pratiques en élevageavicole (mo<strong>de</strong>rne ettraditionnel).59


OBJECTIF 3 : RENFORCEMENT DE LA BIOSECURITE DANS LES ELEVAGES ET LA FILIERE (2/2)3.2 Biosécurité (pro<strong>du</strong>ction et marchés)RésultatsActivitésIndicateurs vérifiablesobjectivementMoyens <strong>de</strong>vérificationSous-activitésChronogramme <strong>de</strong>s activités <strong>de</strong> lapremière année2009 2010M A M J J A S O N D J FR7. Au moins 80% <strong>de</strong>sdifférents acteurs et partiesprenantes <strong>de</strong> la filièreavicole, au niveau national,régional et local sontsensibilisés sur lesmesures et précautions àprendre vis-à-vis <strong>de</strong> lagrippe aviaire.A 26 : Formation<strong>de</strong>s acteurs locauxsur les mesures ettechniques <strong>de</strong>prévention <strong>de</strong> l’IAHP(mesures <strong>de</strong>biosécurité)A 27: Appui à lamise en place <strong>de</strong>smesures <strong>de</strong>biosécurité dans lesexploitationsEtu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la filière : donnéesqualitatives. Au moins 80 %<strong>de</strong>s acteurs maitrisent etmettent en pratique lesmesures <strong>de</strong> biosécurité.Liste <strong>de</strong>s formations etprogrammes conformesaux plans prévusListes <strong>de</strong>s participantsBons <strong>de</strong> livraisons <strong>de</strong>séquipementsFormation <strong>de</strong>s acteurslocaux sur les mesures ettechniques <strong>de</strong> prévention <strong>de</strong>l’IAHP (mesures <strong>de</strong> biosécuritéà la ferme)Formation <strong>de</strong>s acteurslocaux sur les mesures ettechniques <strong>de</strong> prévention <strong>de</strong>l’IAHP (mesures <strong>de</strong> biosécuritésur les marches)Suivi-évaluation <strong>de</strong>sformations.Appui a l'apprentissage <strong>de</strong>sbonnes pratiques enélevage et appui a la miseen place <strong>de</strong> biosécuritédans les exploitationscommerciales par laconstruction <strong>de</strong> bâtimentscorrespondants aux normeset la construction <strong>de</strong>rotoluves, pédiluves etvestiaires selon la métho<strong>de</strong>participative (exploitantsfinançant une partie <strong>de</strong>saménagements).60


Visites et rapports <strong>de</strong>missions sur le terrain.Appui a l'apprentissage <strong>de</strong>sbonnes pratiques enélevage et appui à la miseen place <strong>de</strong> biosécuritédans les exploitationstraditionnelles par laconstruction <strong>de</strong> bâtimentscorrespondants aux normeset la construction <strong>de</strong>pédiluves et vestiaires selonla métho<strong>de</strong> participative(exploitants finançant unepartie <strong>de</strong>s aménagements).Appui a la mise en place <strong>de</strong>la biosécurité dans lesmarches <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s villespar la construction <strong>de</strong>d'aires d'abattage et <strong>de</strong>hangars selon la métho<strong>de</strong>participative (administration,municipalité, association <strong>de</strong>commerçants, etc.).61

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