Les Echos de l'AFB 2006-2007 (document pdf 4,0 Mo) - Athénée ...
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Comportement• Le Gee-wal est un animal sociable et fidèle. Il vit toujours encouple. Lorsqu’un <strong>de</strong>s <strong>de</strong>ux partenaires disparaît l’autre ne peut serésoudre à lui survivre. La découverte d’un cimetière <strong>de</strong> Gee-wal apermis aux scientifiques <strong>de</strong> mieux comprendre le comportement <strong>de</strong>séléphants en fin <strong>de</strong> vie.• Le Gee-wal est un oiseau migrateur… en toute saison ! Ilaffectionne particulièrement les 15 premiers jours <strong>de</strong> mai pour sesvoyages. On a pu l’observer dans le Valais, en Haute Provence ouencore sur l’île d’Oléron et La Rochelle. Il n’hésite pas à se mélangerà d’autres espèces sans jamais exprimer la moindre agressivité.• Comme les échassiers il peut passer <strong>de</strong>s heures près d’une mared’eau. L’ingénieux Gee-wal se construit une protection pour lespattes principalement à partir <strong>de</strong> caoutchouc. Ce nouveaucomportement marque <strong>de</strong> façon importante sa capacité à s’adapterà son environnement.• Sa vue est médiocre (surtout la femelle) et utilise tout une série<strong>de</strong> subterfuges afin d’explorer ce qui l’entoure. Il n’est pas rare <strong>de</strong>voir la femelle s’affubler d’une paire d’yeux supplémentaire. Le mâlepossè<strong>de</strong> sur son abdomen unréceptacle cachant unappendice oculaire luipermettant <strong>de</strong> mieuxobserver son environnement• Sa bipédie, qui rappellecelle <strong>de</strong> l’autruche oud’un échassier, peut temporairementse transformer entri- ou tétrapédie (v. chaînonmanquant). Il n’hésite pas àutiliser l’un ou l’autremembre supérieur pour faciliter ses observations.• Il n’est pas rare <strong>de</strong> le voir couché sur le ventre, sur le dos, sur lecôté, assis, accroupi ou encore le bec en terre et le croupion en l’air.Cette attitu<strong>de</strong> rend l’animal particulièrement vulnérable, mais aucunprédateur connu ne l’attaque dans cette position.• L’étu<strong>de</strong> d’émission <strong>de</strong> signaux chimiques visant à prévenir lesprédateurs est en cours. La coloration du haut <strong>de</strong>s cuisses ou du bas<strong>de</strong>s reins ne semble jouer aucun rôle dans le mécanisme <strong>de</strong> défensedu Gee-wal.• Un taux <strong>de</strong> Tonus (ou « pot belge ») très élevé a été constaté lors<strong>de</strong>s analyses chimiques. Ceci pouvant expliquer la robustesse et lavitalité <strong>de</strong> l’espèce.La reproduction• Elle reste un mystère jusqu’à ce jour. Bon nombre <strong>de</strong>naturalistes se sont attelés à percer le mystère sans jamais yparvenir. Néanmoins quelques pistes ont pu être observées.• La femelle possè<strong>de</strong> un chant particulier entendu souvent auxalentours <strong>de</strong> la mi-décembre et pendant la première quinzaine dumois <strong>de</strong> mai. On suppose qu’il doit jouer un rôle dans la para<strong>de</strong>amoureuse que se jouent les <strong>de</strong>ux partenaires même si le mâlene montre aucun signe particulier à ce moment-là. Certains ontdécrit la présence d’un rictus chez le mâle assimilable au sourire<strong>de</strong> la mouette <strong>de</strong> M. Lagaffe mais les observations doiventencore être approfondies.• Parmi les différentes positions observées, on pense quecertaines (le « bec en terre » p. ex.) doivent faire partie <strong>de</strong> lapara<strong>de</strong> amoureuse. Mais à aucun moment la femelle n’a sembléréagir <strong>de</strong> façon spécifique à l’une d’entre elles.• Aucun jeune n’a été observé jusqu’à présent.A. DelbrassineNos élèves s’illustrent : Marathon par équipe à SchaerbeekPas moins <strong>de</strong> trois équipes d'élèves <strong>de</strong> l'Athénée FernandBlum étaient inscrites au marathon qui s'est déroulé àSchaerbeek le samedi 21 octobre <strong>2006</strong>. Elles furentclassées sixième, dixième et treizième sur 39. Certes,l'important est <strong>de</strong> participer, mais nos élèves y ont mis lamanière, honorant l'école par les valeurs qu'ils ont« transpirées » : ténacité,détermination, ruse, dépassement<strong>de</strong> soi et esprit d'équipe.Ainsi, six participants par équipe<strong>de</strong>vaient parcourir les 42,195 km <strong>de</strong>l'épreuve du marathon…Guidés par leur enthousiasmedébordant, ils commencèrent à unrythme insoutenable. Tirantrapi<strong>de</strong>ment les leçons <strong>de</strong> leursefforts démesurés, ils ont adaptéleur vitesse, parcourant chacun unou <strong>de</strong>ux tours <strong>de</strong> piste <strong>de</strong> 400mètres avant <strong>de</strong> passer le relais ausuivant.<strong>Les</strong> trois équipes représentantl'Athénée Fernand BlumPoussés par leur volonté <strong>de</strong> se dépasser, ils changèrentencore <strong>de</strong> tactique. Ne dit-on pas <strong>de</strong> viser l'impossible pouratteindre le possible ? Désireux <strong>de</strong> remonter d'une ou <strong>de</strong>uxplaces dans le classement, ils décidèrent <strong>de</strong> diminuer ladistance et <strong>de</strong> ne plus parcourir «que» 200 mètres afind'augmenter la ca<strong>de</strong>nce.Une telle détermination seracertainement bénéfique pour leurcarrière à venir. Bravo à tous lesparticipants dont voici lesrésultats:6e équipe : Germeau F., Germeau N.,Zaabouri A., Verleye Th., Leyh L. etDumortier Th. en 2h12min29s.10e équipe : Gatti L., Gatti J.,Slegers R., Tingu Yaba S., Prévot Y.et Van<strong>de</strong>nbrouck X. en 2h22min13s13e équipe : Abramczuk D.,Czarkowski D., Stroobant, J.,Logelain P., Renard M., Roels M. en2h 26min 32s.15