La Porteuse de pain - Lecteurs.com

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« Vous enverrez cela demain à la Banque ; après demain onira toucher.– Ce sera fait, monsieur.– Vous avez relevé les échéances pour le 10 ?– Oui, monsieur.– Quel est l’écart entre les sommes payées et les sommes àrecevoir ?– Soixante-trois mille francs à votre actif, monsieur.– Très bien. »M. Ricoux se retira. Jacques était resté debout, la casquette àla main. M. Labroue quitta son bureau, vint à la grande tablechargée de dessins et d’épures, et dit :« Ou je me trompe beaucoup, Jacques Garaud, ou j’ai trouvéquelque chose de merveilleux… une fortune !…– Une fortune ! répéta Jacques Garaud, tandis qu’une lueurde cupidité s’allumait dans ses yeux.– Oui, répondit l’ingénieur. Une application nouvelle dumoins ; le perfectionnement d’un système suisse que vous devezconnaître. J’ai besoin d’en causer avec vous, Jacques, vousm’inspirez la plus grande confiance et la plus grande estime.Outre que vous savez à fond votre métier, vous êtes chercheuret de bon conseil. J’ai besoin de vous pour mener à bien unedernière invention. Vous étiez dans une fabrique en Suisseavant d’entrer chez moi, m’avez-vous dit ?…– Oui, monsieur.– Vous vous êtes occupé certainement des machines à guillocherqu’on exécute pour l’Amérique ?…– Oui, monsieur. Mais je me permettrai de vous faire observerque la machine à guillocher a dit son dernier mot…– Pour les machines à guillocher les surfaces planes, oui.– Il est impossible de faire des tours capables de guillocherdes surfaces arrondies.– Croyez-vous ?– Je le crois d’autant mieux que j’ai tout particulièrement étudiéle système.– Difficile, oui… impossible, non… C’est une machine à guillocherles contours que j’ai inventée. »Le contremaître ouvrit de grands yeux et fit un geste desurprise.20
« Si vous ne vous illusionnez pas, monsieur, dit-il ensuite,vous gagnerez des millions ! On s’arrachera cette mécaniqueintrouvable…– Je l’ai trouvée, mais, je vous le répète, j’ai besoin de m’entendreavec vous sur diverses applications de mon système. Jepense comme vous que, si la réussite est complète, je réaliseraipour mon fils une grosse fortune. C’est surtout en pensant àlui, à son avenir, que je travaille avec tant de courage, mais jene veux pas être égoïste ; je vais vous confier mes plans. Nousles étudierons ensemble et, si vous n’y trouvez rien à reprendreou à modifier, vous vous mettrez à l’œuvre pour laconstruction, en ayant soin de tenir secrète une découvertequ’une seule indiscrétion permettrait peut-être de me voler.– Ah ! monsieur, s’écria Jacques, vous pouvez compter surmoi, vous le savez bien.– Je le sais et c’est pour cela que je fais de vous, à partird’aujourd’hui, un collaborateur associé. Sur les bénéfices de lamachine à guillocher que nous allons construire, je vous donneraiquinze pour cent. »Le feu de la convoitise s’alluma dans les yeux ducontremaître.« Quinze pour cent ! répéta-t-il.– Oui, et je porterai cette somme à vingt pour cent après unchiffre de trois cent mille francs de bénéfices nets. Du reste,nous signerons un petit traité. Venez voir mon plan. »M. Labroue ouvrit le coffre-fort qui se trouvait de l’autre côtéde la fenêtre. Il y prit une cassette qu’il plaça sur la table dumilieu et, après l’avoir ouverte à l’aide d’une clef microscopiquesuspendue à sa chaîne de montre, il en tira des papiersqu’il déroula et qu’il étala sur le tapis de drap vert.L’ingénieur entama alors des explications en termes techniquesdans lesquelles nous nous garderons bien de le suivre.« C’est admirable, monsieur ! s’écria Jacques Garaud quandl’ingénieur eut achevé. C’est la réalisation de l’impossible.– Vous croyez alors la réussite probable ?– Je la regarde comme certaine.– Eh bien, ma part de collaboration est faite. La vôtrecommence. Mettez-vous à l’œuvre.– Je m’y mettrai après avoir étudié à tête reposée tous les détailsafin de faire construire les modèles à forger ou à fondre.21
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assuré et repartit le lendemain au
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« Mais c’est le portrait de la f
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- D’avoir mis le feu à l’usine
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Jeanne et son fils avaient reculé.
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L’abbé Laugier lui tendit les br
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- Je m’y trouvais.- Alors, vous a
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Chapitre 11Jacques Garaud, dont la
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Jacques Garaud passait la plus gran
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- Parfaitement, répondit Jacques.-
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- Il n’a rien inventé… il a pe
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- Oui, répliqua le Canadien en fra
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- Moi aussi je vais à New York…
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Et le faux Paul Harmant, tirant de
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cela vous prendra beaucoup de temps
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Tous les bras s’élevèrent, agit
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« J’ignorais le passé de cet ho
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pas que le jour où tu voudrais te
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- Franchement, cousin Paul, répliq
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travail avec son patron jusqu’au
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noir, il n’eut pas l’ombre d’
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« Maintenant, dit Ovide, maintenan
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« Vous savez, continua le prêtre,
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Georges ne put répondre que par un
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enaissait le souvenir. Sauvée comm
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de la maison centrale recevait une
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se dépouilla d’une partie de ses
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- Tu veux que je vende mon usine !
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- Parce que ce que j’ai à te dir
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qu’un joli gredin qui se nomme Ja
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- Paul-Alexandre Harmant, propriét
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Chapitre 16Il nous semble à peu pr
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- Je n’accepterai jamais cela ! s
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avait été son tuteur et qui resta
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- Oh, la malheureuse ! Elle a pass
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« Je ne l’avais jamais vu, mais
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C’est une orpheline sans famille,
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- Ce que vous demandez, M. Darier,
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de ramener ses cheveux sur ses temp
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Jeanne se dirigea vers l’église
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Le lendemain, à la première heure
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Elle descendit afin de prendre quel
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- Ah ! bien, s’écria la concierg
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« Ou je me trompe fort, ou vous so
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- Vous venez de dire tout à l’he
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clients elle s’était, vite, la v
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« Cette lettre vous sera remise pa
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« Je ferai donc tout ce qui dépen
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Partie 2LES MÉTAMORPHOSES D’OVID
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Mary, ce jour-là, avait été plus
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Et il tendit l’enveloppe à l’i
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- Mais cet homme, on le disait du m
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Mary ne put vaincre complètement l
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- Savez-vous si vous avez été aba
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Après une ou deux minutes de silen
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Chapitre 2Dès le lendemain, Lucien
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- C’est en les cherchant qu’ell
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- Je me disais qu’il y a dans la
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- Je ne saurais vous dire, monsieur
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- Comment cela ? demanda le faux Pa
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croulante. Des acheteurs se présen
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- Veuillez aller aux bureaux, dans
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- Cessons ces plaisanteries idiotes
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qui l’obsédaient, l’industriel
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Mary ne répondait pas. Son visage
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- Monsieur, en vous écoutant, je m
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Chapitre 4Mary s’était reposée
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- Je prendrai patience. Mais Lucien
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« Aux Batignolles… avenue de Cli
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- Libre ! Saperlipopette, mauvaise
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Chapitre 5Mary Harmant, depuis que
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sous la voûte d’une vieille mais
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Une fenêtre de l’étage le plus
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- Nous nous connaissons depuis prè
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En arrivant rue Murillo, elle alla
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L’ex-contremaître de Jules Labro
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- Vous quitter ! répéta Jeanne av
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commissionnaire monta aux ateliers.
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À huit heures moins un quart, Aman
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« J’ai une course à faire pour
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Lucien Labroue et les hommes qui l
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Elle croit cependant ne devoir les
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Une heure plus tard, Ovide se prés
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Elle m’envoie près d’elle pour
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client inconnu, la coutelière insc
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Le couvert étant mis, la femme du
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- Tu veux donc que je meure désol
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C’est à ce moment qu’Ovide s
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- Et vous que faisiez-vous ici à c
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- Oui… oui… je me souviens… m
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Ovide prit une voiture à l’heure
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trop légitimes, lui inspiraient un
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eproche ; pourtant son père lisait
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les premières années de Lucie s
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désignons pas les objets qui ont d
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- Convenu, je viendrai vers deux he
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Chapitre 9Le lendemain matin, Ovide
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- Non, mais Dijon, son pays natal.-
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de sa famille. Je vais, monsieur, e
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tranquillité de ses derniers jours
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arrêter. C’est une dangereuse co
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- Et moi de même ; aussi je vous d
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Le chef de la Sûreté reçut immé
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- Personne ne me connaît, reprit L
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- On a trouvé le manche du couteau
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- Jamais !- En êtes-vous bien sûr
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« Tu as échoué ?- J’ai réussi
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Chapitre 12Mary était de plus en p
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une sorte de défaillance ; elle ch
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- J’espère que Melle Mary n’en
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Le millionnaire appuya ses coudes s
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vous refuseriez sans doute de me cr
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s’éteint se ranime… pour que j
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- Pourquoi ne le pourriez-vous pas
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- Je pense qu’il faut pardonner
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croyait brûlée. Aujourd’hui com
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- Le sentiment que vous éprouviez
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songeait à se garer. Certaines par
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Chapitre 1Le matin du jour qui suiv
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La voix du vieillard, un octogénai
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ouvrant l’armoire dans laquelle i
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Cette absorption ne fit que hâter
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« Vous aviez le désir de savoir c
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Lucie traversait lentement la chaus
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- Impossible ! Une seule cause pour
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Chapitre 3Paul Harmant avait à fai
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- Je voudrais prouver l’innocence
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Ovide rentra dans la chambre d’Am
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« Vous connaissez cet homme ? dema
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« Je vous croyais dans le jardin,
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- Je n’ai rien à vous répondre.
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« Georges Darier, se dit-elle, le
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« Il est impossible que vous fassi
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Il ne réussit qu’à moitié. L
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Chapitre 6Mary Harmant n’avait ri
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- J’irai la chercher à l’insta
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Georges Darier comprenait fort peu
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- S’agit-il d’une nouvelle œuv
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« Mary-Noémi Harmant, fille de Pa
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D’autre part, j’entends Lucien
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- En effet, madame. Des papiers d
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- On peut flétrir, mais non les pu
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« Un moment, monsieur, je vous pri
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Chapitre 8Jeanne, en sortant de che
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- Eh bien, demain Jeanne Fortier ne
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« Voilà, se dit Soliveau, la boul
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« Monsieur Rouget, fit le préfet,
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Saint-André-des-Arts et de la rue
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mettant le procès-verbal sous les
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demandais son adresse, car je serai
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venait de la sauver. L’échafauda
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- Lui, Jacques Garaud ! Lui, l’as
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C’était Ovide Soliveau, baron de
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chapeau de soie à haute forme. Ovi
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Chapitre 11Raoul Duchemin et Melle
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« Je vais maintenant vous apprendr
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- Oui, si vous me faites la promess
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Tous ceux qui se trouvaient là don
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- Pour le moment, non, mais je l’
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« Cet assassin, le voilà. J’arr
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- Puisque votre résolution est pri
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Lucien suivit le millionnaire au re
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Ovide se dirigea vers une des petit
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Amanda ferma le vasistas. Marianne
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l’heure… La pauvre enfant n’a
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Chapitre 12Il était midi moins un
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Les deux récipients se choquèrent
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- Vous m’arrêtez ! » balbutia l
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Chapitre 13Les deux agents avaient
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- Vous voulez nous tromper encore
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voitures s’arrêtant à la porte
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grandes, était lourd. Par suite d
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« Prenez une voiture. Allez à Cou
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Lucie pouvait à peine se soutenir.
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- Mon enfant, dit Étienne Castel d
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Chapitre 16Paul Harmant avait regag
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Chapitre 17Depuis le moment où nou
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veux, moi, que votre fille sache qu
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n’était-il point un contremaîtr
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« Je m’accuse d’avoir, le mêm
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Les jeunes époux s’adorent et so
show all

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