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La Ville donne un coup de pouce aux jeunes. P. 14 - Saint-Priest

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s a i n t - p r i e s tLibre expression<strong>de</strong>s groupes politiques au conseilConformément à l’article L.2121-27-1 du Co<strong>de</strong> général <strong>de</strong>s collectivités territoriales.Élus socialisteset républicains majorité<strong>La</strong> <strong>Ville</strong> s’engage pouraccompagner les je<strong>un</strong>es :top départ, à vos projets !<strong>La</strong> pépinière 15-25 ouverte par la <strong>Ville</strong> a pourobjectif d’accompagner les je<strong>un</strong>es dans leursprojets et <strong>de</strong> valoriser leurs initiatives sur leterritoire. Cette innovation vient renforcer lebilan <strong>de</strong> notre action en matière <strong>de</strong> politiqueje<strong>un</strong>esse déjà très conséquent : création duCMJ, organisation <strong>de</strong>s Rencontres <strong>de</strong> la je<strong>un</strong>esse,48 heures <strong>de</strong> la prévention routière,Atoutstage (pour accompagner les je<strong>un</strong>es dansla recherche d’<strong>un</strong> stage), bal <strong>de</strong> fin d’année<strong>de</strong>s collégiens avec le CMJ.Être je<strong>un</strong>e, c’est souvent avoir <strong>de</strong>s idées,encore faut-il savoir et pouvoir les formaliserpour les faire aboutir concrètement, les rendrevisibles <strong>de</strong> tous et bénéfiques pour soi.Projets culturels, d’animation, humanitaires,à vocation solidaire, création d'activité, tant<strong>de</strong> thèmes qui attirent les je<strong>un</strong>es qui s’engagentsans compter. À nous <strong>de</strong> fournir <strong>de</strong>soutils, <strong>de</strong>s moyens, <strong>un</strong>e métho<strong>de</strong> pour toutesces idées qui ne <strong>de</strong>man<strong>de</strong>nt qu’à enrichirnotre société <strong>de</strong> dynamisme, <strong>de</strong> solidarité, <strong>de</strong>mixité, d’écoute, d’entrai<strong>de</strong> ou tout simplement<strong>de</strong> vivre ensemble.Parce que nous souhaitons amener les je<strong>un</strong>esvers plus d’autonomie et non les considérercomme <strong>de</strong>s enfants, notre action s’inscritcontinuellement dans <strong>un</strong>e démarche <strong>de</strong>confiance, d’accompagnement à la réalisation<strong>de</strong> leurs idées, leur formation, leurs projets etpourquoi pas <strong>de</strong> certains <strong>de</strong> leurs rêves.Notre parti pris, c'est <strong>de</strong> répondre <strong>aux</strong> aspirations<strong>de</strong>s je<strong>un</strong>es à <strong>un</strong> avenir meilleur, commeils ont pu l’exprimer à l’automne <strong>de</strong>rnier sur lemouvement <strong>de</strong>s retraites ou bien plus récemmenten T<strong>un</strong>isie. Saluons cette volonté <strong>de</strong>sje<strong>un</strong>es d’exprimer leurs idées pour <strong>un</strong>e sociétéplus juste, qui ne les laisse pas sur le bord duchemin. Simone <strong>de</strong> Beauvoir disait : « Dansl'année, <strong>un</strong> seul printemps... et dans la vie, <strong>un</strong>eseule je<strong>un</strong>esse » : il nous tient à cœur d'accompagnerces rêves d’<strong>un</strong>e je<strong>un</strong>esse engagée, riched’idées et <strong>de</strong> revendications.Véronique SchmittAdrien DrioliENSEMble poursaint-priest oppositionChers Sanpriods,Enfant, adolescent ou je<strong>un</strong>e adulte, l'an 2000nous semblait si loin...Aujourd'hui, cela fait dix ans que nous sommesentrés <strong>de</strong> plain-pied dans le 21 e siècle.Le mon<strong>de</strong> qui nous entoure avance à gran<strong>de</strong>vitesse.Si nous voulons que la France reste parmi lepeloton <strong>de</strong> tête, nous n'avons pas d'autressolutions que <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>r <strong>aux</strong> réformes nécessairesafin <strong>de</strong> préserver l'avenir <strong>de</strong> nos enfants.Changer les habitu<strong>de</strong>s n'est pas chose simple,mais lorsque nous constatons les résultats <strong>de</strong>tous les efforts entrepris par nos parents etgrands-parents après la guerre pour reconstruirenotre pays, je me dis que nous ensommes tout aussi capables.Avec du travail et <strong>un</strong> meilleur partage <strong>de</strong>srichesses, je suis certain que la France gar<strong>de</strong>rason rang au sein du concert <strong>de</strong>s nations.Ce travail et ces efforts doivent être entreprispar tous. Si l'État <strong>donne</strong> l'exemple pourrationaliser au mieux la dépense publique, lescollectivités locales doivent elles aussi montrerl'exemple.Cela ne signifie pas moins <strong>de</strong> services, mais<strong>un</strong> meilleur service public. C'est la raisonpour laquelle nous n'avons pas voté les augmentationsd'impôts inutiles décidées parl'actuelle majorité m<strong>un</strong>icipale, les excé<strong>de</strong>nts ducompte administratif <strong>de</strong> la comm<strong>un</strong>e nous ontd'ailleurs donné raison.N'oublions pas en effet que, si les impôts sontnécessaires au bon fonctionnement <strong>de</strong> nos servicespublics, toute augmentation abusive sefait toujours au détriment du pouvoir d'achat<strong>de</strong>s familles.Nous espérons qu'à l'avenir, la m<strong>un</strong>icipalitéreviendra à la raison.Nous vous souhaitons, ainsi qu'à vos proches,<strong>un</strong>e excellente année 2011.Élus coMM<strong>un</strong>isteset républicains majoritéLe budget <strong>de</strong> la comm<strong>un</strong>eacte majeur <strong>de</strong> gestionAvec le gel <strong>de</strong>s dotations, les budgets sont<strong>de</strong> plus en plus difficiles à équilibrer pourbon nombre <strong>de</strong> collectivités, et la <strong>Ville</strong> <strong>de</strong><strong>Saint</strong>-<strong>Priest</strong> se trouve elle aussi confrontéeà cette dure réalité. <strong>La</strong> cause <strong>de</strong> nos principalesdifficultés vient notamment du reportpar l’État <strong>de</strong> la <strong>de</strong>tte sur les collectivités.Les ca<strong>de</strong><strong>aux</strong> fisc<strong>aux</strong> successifs ont contribuéà cet en<strong>de</strong>ttement, les élus comm<strong>un</strong>istes etrépublicains le disent clairement, ce n’est pas<strong>aux</strong> populations <strong>de</strong> payer ainsi la note <strong>de</strong> lacasse financière.Les élus, avec leurs concitoyens, doiventmener <strong>un</strong>e vraie bataille pour obtenir <strong>de</strong>smoyens financiers pour satisfaire les besoins<strong>de</strong>s habitants, cela est inséparable <strong>de</strong> laquestion <strong>de</strong> la répartition <strong>de</strong>s richesses et<strong>de</strong> l’accès à tous <strong>aux</strong> services publics loc<strong>aux</strong>.L’édification <strong>de</strong> notre budget m<strong>un</strong>icipal apour objectif <strong>de</strong> mettre en place <strong>de</strong>s politiquespubliques qui porteront en elles dulien social, <strong>de</strong>s solidarités, du mieux vivreensemble, par <strong>un</strong> fort soutien à la vie associative,au logement social, à la je<strong>un</strong>esse,ainsi qu’à nos anciens, dans <strong>un</strong>e ville où ilfait bon vivre. C’est en ce sens qu’<strong>un</strong> budgeta <strong>un</strong>e valeur qui veut dépasser et tenter <strong>de</strong>gommer les différences, dans <strong>un</strong>e société oùles inégalités règnent.Le service public que notre <strong>Ville</strong> met enœuvre à travers son budget 2011, <strong>aux</strong> alentours<strong>de</strong> 79 millions d’euros, dont 59 millionsd’euros en fonctionnement et 20 millionsd’euros en investissement avec <strong>un</strong> t<strong>aux</strong>d’en<strong>de</strong>ttement particulièrement bas, s’efforce<strong>de</strong> répondre <strong>aux</strong> besoins <strong>de</strong> nos concitoyensdans tous les domaines.Ces services dynamisent l’économie, soutiennentdans notre ville la croissance et constituent<strong>un</strong> rempart à la crise sociale, et participentsouvent à la solidarité nationale à laplace <strong>de</strong> l’État. Ces services essentiels sontaujourd’hui dans le collimateur du gouvernementqui veut les privatiser pour mieuxrépondre à la crise du capitalisme. Nousdisons haut et fort « pas touche » à nosfinances, préservons la libre administration<strong>de</strong> notre comm<strong>un</strong>e. Willy Plazzi32

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