Mesdames et Messieurs les Inspecteurs, - A3P

Mesdames les Inspecteurs,Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs,Chers Collègues,Chers amis,Bonjour et bienvenue à ce 9 ème Forum organisé par A3P Belgique.Voor mijn Vlaamse collegas, goie morgen en welkom bij the Business FacultyCenter voor deze negentiende Forum.Merci à nos conférenciers Francophones pour leur support, Madame Bonte,Messieurs Desqueper et Euzen.Guten Tag und willkommen zu unserem Vortragenden , Mr. SeidenaderDanke schön.Sono lieto di porgere il benvenuto ai nostri conferenzieri italiani, Signor Isoli ,Signor MarconiGrazie mille.Godmorgen Mr. Jensen and tak for at du kom i dag.Nous sommes particulièrement heureux de vous accueillir aussi nombreux dans cecentre de congrès pour tenter de vous éclairer sur une problématique où la précisionest de mise mais où l’imprécision est admise.Pour ce forum, nous avions décidé de nous focaliser sur le Packaging quand, enréunion de bureau, nous eûmes une vision,Des images déformées de seringues, d’ampoules, de flacons nous apparurent …c’était un mirage.Nous prîmes alors la décision de nous focaliser sur l’inspection visuelle, sujet à lamode actuellement dans l’industrie pharmaceutique.Comme en témoigne le titre de notre Forum, « l’Inspection Visuelle, l’humain ou lamachine, le dilemme » indique que le choix n’est pas facile entre se fier à l’acuitévisuelle d’une série d’individus ou à une machine dont les limites sont liées à desparamètres relativement contrôlables.Dans les deux cas la subjectivité autant que le doute sont de rigueur.On passe, on repasse, on mire, on recontrôle, on valide, on requalifie, on réinspecte,….

La qualité est une aptitude psychologique ou physique par opposition au défaut.En inspection visuelle, dans quel que domaine que ce soit, on recherche la qualitépar l’élimination des défauts…. mais pour des raisons économiques, on veut le plusde bons éléments possibles.Encore un dilemme.L’inspection visuelle peut aussi s’appliquer à des contrôles de qualité dans des tasd’autres domaines industriels.Dans tous les cas, il faut de la lumière et un récepteur d’images.A ce jour, on se pose toujours la question où ? Quand ? Par qui effectuer l’inspectionvisuelle, comment (manuel/automatique) ? que détecter (particules/fêlures/toutautre défaut généré en amont)L’illustration, croquée par notre ami Arthur, résume très bien la situation : faut-il uneloupe ou des lunettes pour bien mirer les œufs ?Et l’opérateur, la vieille dame se demande ce qu’elle doit chercher ?Des embryons et …. Les œufs fêlés. Madame.Le choix de la technique utilisée est dicté soit par l’humeur, j’oserais dire lesinquiétudes (sans doute justifiées )des autorités, les tendances du moment, lecontexte économique, selon que les opérations soient nationales ou internationales,…, les capacités des industriels, que sais- je encore , …. , mais aussi, pour mettre surle marché des produits dont l’intégrité ne peut être mise en doute.Lors de notre précédent Forum nos conférenciers nous ont convaincus que nouspouvions atteindre un niveau de qualité élevé en multipliant l’utilisation de conceptsnouveaux.Au niveau de l’inspection visuelle des médicaments, différentes approches /techniques sont connues : « mirage » par des opérateurs en lumière polarisée (lesposte Allen) pour la recherche des particules, mirage en fond blanc/noir/utilisationde loupe, machines semi - automatiques, machines full automatiques pour lesparticules, bains à ultra sons ou mesure par le vide pour la détection des fêlures etainsi de suite.Nos différents conférenciers, sur base de présentations de qualité vont partager avecvous leurs expériences dans le domaine.La matinée sera axée sur les inspections automatiques, leurs caractéristiques et leurslimites.