La Vague N.4 - A3P
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a <strong>Vague</strong><br />
EVÈNEMENTS<br />
L A R E V U E<br />
N° SPECIAL<br />
2 e RENCONTRES ENTRE PARTENAIRES<br />
Pour la seconde année consécutive <strong>A3P</strong> a organisé des<br />
Rencontres à Tours sur le thème du partenariat les 20<br />
et 21 janvier 2004. En collaboration avec Chemineau,<br />
Pierre Fabre et SGS, ces Rencontres ont réuni plus d’une<br />
centaine de participants, ce qui<br />
représente une croissance spectaculaire<br />
par rapport à 2003.<br />
Rappelons qu’il s’agit de transformer la<br />
relation entre donneurs d’ordre et soustraitants<br />
en un véritable partenariat et<br />
pour cela <strong>A3P</strong> a proposé une démarche<br />
de communication, de définition et<br />
d’action qui a amené à un certain nombre<br />
de résultats concrets.<br />
Le partenariat a été défini dans un<br />
document intitulé « Modèle Optimal de<br />
Partenariat » (MOP). Ce document est<br />
issu d’un travail de groupe. Utilisant les<br />
principes de l’analyse fonctionnelle, il<br />
définit 30 critères qui permettent d’évaluer une situation par rapport à<br />
des définitions optimales. Il sera bientôt en ligne sur le site <strong>A3P</strong>. De la<br />
même manière, des référentiels sur le transfert de technologie et le contrat<br />
aboutiront et seront diffusés par le même biais.<br />
Derrière ces premières avancées, d’autres attentes ont été identifiées, en<br />
particulier, les domaines clés sur lesquels des progrès sensibles peuvent<br />
être effectués, la qualité bien sûr, avec son corollaire réglementaire, les<br />
contrats, avec leur corollaire prix et les transferts de technologie avec les<br />
questions liées à la prise en charge du développement.<br />
Cette année, et à la demande de nombreux adhérents, la visite classique<br />
dans l’emploi du temps des Rencontres a été remplacée par des ateliers,<br />
au nombre de trois : Transfert analytique entre Partenaires, animateur<br />
Marie-Cécile Krief, SGS, responsable <strong>A3P</strong> Monique Decrulle, Audit entre<br />
Partenaires, animateur Xavier Monjanel, Chemineau, responsable <strong>A3P</strong>,<br />
Michel Barbe et Transfert de production : quel référentiel qualité ?<br />
animateur Alain Sainsot, API, responsable <strong>A3P</strong>, Paul Martin. Deux de ces<br />
<strong>A3P</strong> PERSISTE ET SIGNE<br />
Illustration François Morel<br />
A S S O C I A T I O N<br />
EDITORIAL ateliers vont se poursuivre comme d’ailleurs ce fut le cas l’année<br />
par Michel Barbe dernière, les thèmes abordés méritant, d’après les participants,<br />
Vice-Président <strong>A3P</strong><br />
d’autres débats.<br />
Nous rappellerons que dans l’esprit comme dans les faits, ces<br />
Rencontres ont répondu aux objectifs<br />
fixés par <strong>A3P</strong> à savoir :<br />
- Communiquer dans des domaines<br />
innovants et ce fut le cas dans les ateliers<br />
mais également au niveau des<br />
communications.<br />
- Etablir un véritable partenariat. Cette<br />
notion, visiblement, séduit et les avancées<br />
sur les thèmes du Modèle Optimal de<br />
Partenariat (MOP) de l’audit et du contrat<br />
par exemple le démontrent.<br />
- Créer un noyau dur. Les Rencontres de<br />
2003 avaient permis d’identifier un<br />
certain nombre de personnes motivées<br />
qui ont d’ailleurs continué à travailler<br />
dans des sessions et lors du Congrès International <strong>A3P</strong>. Elles étaient<br />
présentes et renforcées par de nouveaux participants ce qui explique<br />
l’augmentation du nombre de congressistes et du nombre de stands lors<br />
de cette manifestation.<br />
Le travail va se poursuivre en 2004 avec les sessions supplémentaires des<br />
ateliers Audit et Transfert pour lesquelles les responsables, Michel Barbe<br />
et Paul Martin se sont engagés. D’autre part, <strong>A3P</strong> Formation va reprendre<br />
les thèmes transferts de technologie et Modèle Optimal de Partenariat<br />
pour en faire des offres de journées de formation.<br />
Le 17 e Congrès International <strong>A3P</strong> des 19, 20 et 21 octobre qui se tiendra<br />
comme d’habitude à Biarritz, verra également certains des thèmes repris<br />
pour être promus.<br />
Enfin, les 3 es Rencontres sont d’ores et déjà prévues en janvier 2005. ■<br />
Florence Pousset<br />
LE MOT DU PRÉSIDENT<br />
Gérard RUMPLER, a rappelé le rôle central de l’Association comme initiateur dans les relations entre les différents partenaires.<br />
Le Président a souligné l’importance qu’il accorde au dialogue et à la communication dans un domaine aussi innovant que le propre<br />
et le stérile. <strong>A3P</strong> souhaite réunir, dans un environnement associatif et convivial, les facteurs qui favoriseront une expansion de<br />
nouvelles relations entre les différentes parties dans le domaine pharmaceutique, biomédical, biotechnologique, cosmétique et<br />
hospitalier. L’objectif est de créer des groupes d’échanges homogènes pour concrétiser le développement d’un véritable partenariat.<br />
<strong>A3P</strong> joue un rôle clé dans l’information. Grâce au journal <strong>La</strong> <strong>Vague</strong> et à son site Internet, adhérents et partenaires ont l’occasion<br />
de publier des articles scientifiques ou des brèves économiques pour susciter l’intérêt, se faire connaître et favoriser les échanges.<br />
<strong>A3P</strong> multiplie les Rencontres, les Congrès et les Ateliers de travail avec des acteurs de qualité. <strong>La</strong> nouveauté de l’association <strong>A3P</strong><br />
en 2004, c’est la formation de personnel compétent et qualifié et le développement de journées interactives sur des sujets divers<br />
dont l’eau, l’air, la filtration, l’audit qualité et la microbiologie. L’Association prend un essor international avec la création<br />
d’évènements en Europe et au Maghreb. <strong>A3P</strong> est le carrefour des échanges internationaux qui viennent dynamiser et renforcer<br />
sa position et son rôle clé dans l’industrie. ■<br />
N° SPECIAL MARS 2004<br />
S O M M A I R E<br />
<strong>A3P</strong> persiste et signe 1<br />
Le mot du Président 1<br />
Présentations des Rencontres 2-3<br />
Conférences 3-4<br />
Présentations des<br />
Sociétés Partenaires 5<br />
Calendrier 5<br />
Ateliers 6<br />
Espace Exposants 7-10<br />
Publi-informations 11<br />
Conclusion 12<br />
Prochainement 12
PRESENTATIONS<br />
Retrouvez tous les détails des conférences sur www.a3p.asso.fr<br />
PRESENTATION DES RENCONTRES<br />
Florence Pousset De nombreuses sociétés et laboratoires pharmaceutiques ont répondu présents à l’appel de l’Association <strong>A3P</strong> pour les 2 es Rencontres<br />
entre Partenaires. Les journées organisées les 20 et 21 janvier 2004 au Palais des congrès Vinci à Tours, ont regroupé les différents acteurs<br />
du partenariat. Le cadre convivial de la salle de conférence centrale ouverte sur l’espace exposants et les ateliers, a favorisé les échanges. L’interactivité a été<br />
le point fort de ces 2 es Rencontres.<br />
L’industrie pharmaceutique, les biotechnologies, la cosmétique ou encore l’agroalimentaire exportent de plus en plus leur savoir-faire et développent la soustraitance.<br />
Mais voici plus d’un an que l’Association <strong>A3P</strong>, ses adhérents et ses collaborateurs travaillent activement sur les modifications du cadre de la soustraitance.<br />
En effet, la dénomination sous-traitant et donneur-d’ordre est maintenant révolue. Aujourd’hui, partenaires clients et partenaires fournisseurs<br />
développent dans une réflexion commune les nouvelles normes du partenariat. ■<br />
2<br />
Michel Barbe<br />
aq-michel.barbe@sanofi-synthelabo.com<br />
De la sous-traitance<br />
au partenariat :<br />
la démarche <strong>A3P</strong><br />
Michel Barbe<br />
Vice-Président <strong>A3P</strong><br />
C’est en 2002, lors du 15 e congrès<br />
International <strong>A3P</strong> de Biarritz que<br />
donneurs-d’ordres et soustraitants<br />
ont ressenti la nécessité<br />
de définir les conditions du<br />
développement d’un véritable<br />
partenariat. Cette initiative s’est<br />
développée progressivement au<br />
cours de l’année 2003 et s’est concrétisée avec les 1 res<br />
Rencontres <strong>A3P</strong> entre Partenaires et la réalisation des<br />
différents ateliers de travail qui se sont tenus en 2003 qui fut<br />
une année d’échanges.<br />
Les 2 es Rencontres <strong>A3P</strong> sont l’occasion d’un premier bilan sur<br />
les activités menées par les groupes de réflexions. Les trois<br />
principaux thèmes discutés lors de ces commissions sont le<br />
transfert de technologie, la démarche qualité et la démarche<br />
contrat. Le but de ces ateliers est d’apporter une réflexion<br />
commune sur les relations entre les principaux acteurs du<br />
partenariat. En 2003, nous avons établi le Modèle Optimal de<br />
Partenariat (MOP) et rédigé des projets de référentiels sur<br />
le transfert de technologies et le contrat.<br />
15 Conférences et 3 ateliers ont réuni cette année les<br />
partenaires dans le but d’échanger et de communiquer sur les<br />
thèmes innovants, partager leurs expériences et réfléchir à<br />
de nouvelles formes de collaborations. L’objectif est<br />
d’identifier le noyau dur des partenaires prêts à lancer ces<br />
expériences pilotes.<br />
Les échanges, le calendrier et la perspective des 3 es Rencontres<br />
<strong>A3P</strong> entre Partenaires les 11 et 12 janvier 2005 permettent<br />
d’augurer d’une poursuite du processus en 2004. ■<br />
Paul Martin<br />
paul.martin@pierre-fabre.com<br />
Le point de la démarche<br />
Transfert de Technologie<br />
Paul Martin<br />
<strong>A3P</strong><br />
Paul MARTIN a fait le point de<br />
la démarche transfert de<br />
technologie. Trois ateliers de<br />
réflexions se sont tenus en 2003.<br />
Ces ateliers ont suscité beaucoup<br />
d’intérêt : Ils ont réuni, chaque<br />
fois, environ 15 personnes, 50%<br />
de partenaires-fournisseurs et<br />
50% de partenaires-clients. Le<br />
taux de renouvellement était en moyenne de 50% des<br />
participants à chaque atelier. Les partenaires ont défini dans<br />
un premier temps, les différentes phases du transfert de<br />
technologie et la durée necessaire de chacune d’elles. Il est<br />
apparu très rapidement que le point critique de cette<br />
démarche est la transmission de l’information entre les deux<br />
partenaires, laboratoire pharmaceutique donneur-d’ordre et<br />
façonnier. <strong>La</strong> préparation détaillée de l’ensemble des<br />
informations essentielles et nécessaires au transfert est<br />
primordiale. Très tôt, en amont, le laboratoire doit déterminer<br />
précisément sa demande et commencer à évaluer les écarts<br />
entre, ce qu’il fait, ce qu’il souhaite et ce qui est réalisable.<br />
Les différentes démarches du laboratoire doivent porter sur<br />
le transfert analytique, la définition du process, les données<br />
relatives à l’assurance qualité, les données réglementaires et<br />
la “supply chain”... Cette phase clé préalable, nécessite au<br />
minimum 3 mois d’études et conditionne la qualité du<br />
transfert.<br />
D’autres points importants ont été soulevés : qui fait quoi ?,<br />
qui fournit quoi ?, des articles aux matières premières, le rôle<br />
de chaque partenaire, la définition des responsabilités et la<br />
durée du transfert. En général le façonnier dispose d’un mois<br />
pour faire une proposition. Il devra entre autre préciser<br />
l’investissement nécessaire, la méthode et le coût du transfert :<br />
qualification – validation, le coût des lots de validation et des<br />
lots commerciaux, le coût du suivi des stabilités… Pour cela,<br />
les partenaires ont envisagé un échange d’informations sous<br />
un accord de confidentialité, puis le transfert peut démarrer<br />
avec la signature d’une lettre d’intention qui précisera<br />
succinctement le cadre général d’un contrat ultérieur.<br />
Le “management” du transfert dont les conséquences sont<br />
directes sur les coûts, la qualité et le délai a été envisagé par<br />
la création d’un comité de pilotage qui veillera et prendra les<br />
décisions nécessaire à l’atteinte des objectifs. Il faut nommer<br />
un chef de projet qui aura une vision globale et des notions<br />
sur l’ensemble du process, la qualité et le délai. Son principal<br />
rôle sera la coordination des groupes de travail avec les<br />
personnes qualifiées : en assurance-qualité, fabrication,<br />
contrôle, “engineering” et affaires réglementaires. L’objectif<br />
est d’échanger les informations les plus détaillées possible<br />
pour dégager des écarts potentiels, en particulier ceux qui<br />
induisent des changements majeurs pouvant entraîner un<br />
problème réglementaire ou une modification des délais. <strong>La</strong><br />
définition des actions et responsabilités est alors primordiale.<br />
Il faut clairement définir un plan général de qualification<br />
/validation avec les actions et les critères qualités<br />
correspondants.<br />
Le transfert analytique est toujours un processus de longue<br />
durée, en particulier si les méthodes sont à revalider.<br />
Au cours des différents ateliers, les partenaires ont ébauché<br />
un référentiel des actions chronologiques d’un transfert de<br />
technologie où apparaissent des idées nouvelles telles que la<br />
mise en place de référentiel qualité et la réalisation d’audit<br />
réciproque, avec quelques variantes pour la qualification du<br />
process, selon la nature du produit la réalisation de lot placebo<br />
est recommandée, ainsi que d’un lot d’essai pilote, tout ceci<br />
pouvant être réalisé en parallèle avec la mise au point du<br />
Contrat de Façonnage, qui lui devra être signé avant la<br />
réalisation les lots de validation. Le contrat devra inclure une<br />
Charte de Qualité précisant clairement les référentiel qualité.<br />
Le transfert de technologie proprement dit s’achèvera quand<br />
les 3 premiers lots commerciaux seront produits.<br />
Une estimation sur la durée d’un transfert de technologie<br />
pour un produit injectable à répartition aseptique a été faite<br />
au cours de ces différents ateliers : il faut prévoir environ 20<br />
mois jusqu’aux lots de validation et 6 à 8 mois supplémentaires<br />
selon les produits et les aspects réglementaires du dossier.<br />
Le point critique du transfert reste l’analyse des écarts qui<br />
dépendent des aspects réglementaires et de ce que peut faire<br />
le façonnier, mais le classement par importance est surtout<br />
lié aux cultures d’entreprise du donneur d’ordres et du<br />
façonnier.<br />
Le donneur d’ordres a très souvent ses propres critères qui<br />
peuvent différer de ceux du façonnier. Il est difficile de faire<br />
admettre que tout transfert implique des différences dans<br />
les outils, dans les critères qualité et dans les méthodes.<br />
C’est pourquoi les partenaires sont d’accord pour établir une<br />
sorte de Guide du Transfert pouvant servir de référence à<br />
chacun et également aux Autorités Pharmaceutiques,<br />
précisant notamment la chronologie des actions, les<br />
responsabilités et les référentiels qualités à prendre en<br />
compte. ■<br />
Eric A. Petat<br />
acm.epm@wanadoo.fr<br />
Le point de la démarche<br />
qualité<br />
Eric A. Petat<br />
<strong>A3P</strong><br />
Eric PETAT a présenté le travail<br />
des groupes de réflexions sur la<br />
démarche qualité pour contribuer<br />
à moderniser la relation entre les<br />
partenaires.<br />
Un premier atelier organisé à<br />
Boismorand (45) en avril 2003,<br />
réunit 13 participants sur ce<br />
thème.<br />
Trois domaines principaux sont pris en compte : les attentes<br />
des deux parties, le processus ou développement du<br />
partenariat et la satisfaction des partenaires. <strong>La</strong><br />
concrétisation de cette nouvelle démarche est la définition<br />
d’un Modèle Optimal de Partenariat (MOP).<br />
Le 03 septembre 2003, l’atelier N° 2 à Sofia-Antipolis regroupe<br />
11 participants qui travaillent sur la définition de 10 Items<br />
dans les 3 domaines définis. Pour chacun dix paramètres sont<br />
proposés avec une définition synthétique permettant de situer<br />
le niveau optimal. L’écart par rapport au niveau optimal est<br />
évalué par un indice qui varie de 1 à 10. <strong>La</strong> moyenne générale<br />
permet de situer l’état du partenariat au moment de l’analyse<br />
sur cette échelle. Lors du 16 e Congrès international organisé<br />
à Biarritz, l’atelier organisé sur ce thème réunit 17<br />
participants. Le MOP est testé à travers une étude de cas qui<br />
permet la mise en forme définitive.<br />
Le partenariat est défini comme une relation contractuelle qui<br />
met en commun des moyens humains, intellectuels, matériels<br />
et financiers, créateurs de valeur pour les deux parties. Pour<br />
réussir, les partenaires doivent identifier leurs attentes, définir<br />
le processus et mesurer leur satisfaction mutuelle.<br />
Les attentes comprennent, la stratégie : les partenaires ont<br />
une vision stratégique commune de leur relation, reposant<br />
sur le partage des connaissances techniques, de l’expérience<br />
réciproque, du temps et des ressources. Ils établissent une<br />
relation privilégiée sur la base de la compréhension mutuelle<br />
des besoins. Chaque partenaire identifie les opportunités<br />
d’évolution et de prospérité. Ils mettent en œuvre les<br />
ressources nécessaires pour répondre aux attentes des parties<br />
intéressées, les validations (de production, d’analyse ou<br />
informatique) pour répondre aux exigences réglementaires<br />
et ils s’appliquent au respect des dispositions nécessaires<br />
pour que les produits et/ou les services satisfassent les<br />
exigences spécifiées. <strong>La</strong> transparence au niveau des prix et<br />
des coûts est de nature à favoriser la relation et améliore la<br />
confiance.<br />
<strong>La</strong> volonté d’évolution est un moteur, les partenaires mettent<br />
en commun leurs ressources matérielles et humaines, leurs<br />
connaissances, leurs compétences, leurs expériences, pour<br />
développer l’efficacité du partenariat. <strong>La</strong> reconnaissance des<br />
compétences de chacun est primordiale.
PRESENTATIONS<br />
Le processus inclut les spécifications qui permettent de<br />
caractériser le produit et/ou le service de la manière la plus<br />
complète possible. Le coût est le prix de revient du produit<br />
pour le fournisseur. <strong>La</strong> connaissance des coûts permet de<br />
mieux apprécier le travail fourni à sa juste valeur et d’établir<br />
des bases solides de confiance entre partenaires. Pour les<br />
échanges, les partenaires utilisent des outils modernes de<br />
traitement des données et de communication. Des délais sont<br />
établis et maîtrisés, ainsi le temps nécessaire à la réalisation<br />
d’un produit est compatible avec les impératifs de<br />
fonctionnement. Les performances s’évaluent par la mesure<br />
des résultats, concernant les produits, leur commercialisation,<br />
les processus (main d’œuvre, matériel, matières, moyens,<br />
milieu), et la satisfaction des parties intéressées. <strong>La</strong> logistique<br />
comprend l’ensemble des méthodes et des moyens relatifs à<br />
l’organisation des approvisionnements, des manutentions, du<br />
stockage, des livraisons et d’une parfaite traçabilité. <strong>La</strong><br />
préservation représente la conformité du produit, et de ses<br />
composants, elle est assurée au cours des opérations internes<br />
jusqu’à la livraison à la destination prévue. Les partenaires,<br />
par la connaissance du produit, définissent les exigences<br />
requises et prennent toutes les précautions nécessaires pour<br />
empêcher et limiter pertes et dommages. Les documents, y<br />
compris les enregistrements pertinents nécessaires, sont<br />
définis, établis et maîtrisés en commun. <strong>La</strong> nature et l’étendue<br />
de la documentation sont adaptées et satisfont aux exigences<br />
contractuelles, légales et réglementaires ainsi qu’aux besoins<br />
et attentes des parties intéressées. <strong>La</strong> maîtrise concerne les<br />
relations privilégiées entre partenaires et la transparence de<br />
leur communication permet l’acquisition plus rapide d’une<br />
sûreté technique et d’une recherche de l’optimisation.<br />
<strong>La</strong> satisfaction est le troisième pilier du MOP. Il existe une<br />
revue régulière avec une fréquence obligatoire (au moins une<br />
fois par an) au cours de laquelle les partenaires examinent<br />
avec soin et de façon méthodique un ensemble d’éléments<br />
pendant toute la durée du transfert. L’audit du partenaire<br />
client chez le partenaire fournisseur permet d’évaluer un<br />
fournisseur, de déterminer la conformité ou la non-conformité<br />
des éléments d’un système qualité aux exigences prescrites,<br />
de déterminer l’efficacité du système qualité mis en œuvre à<br />
satisfaire aux objectifs prescrits, d’améliorer le système, de<br />
satisfaire aux exigences réglementaires, de réaliser des<br />
échanges et de sceller la collaboration entre partenaires.<br />
<strong>La</strong> pérennité du partenariat facilite : la connaissance<br />
approfondie des produits, la connaissance des sociétés, des<br />
personnes, la communication, l’efficacité et l’efficience des<br />
processus, la réactivité et la résolution de problèmes, la<br />
convivialité, la mise en place d’une stratégie et d’objectifs<br />
communs. Les partenaires identifient et respectent les<br />
réglementations liées à leurs activités. Les rôles de chacun<br />
des partenaires sont définis. Ils permettent de suivre les<br />
indicateurs de qualité d’un produit ou d’un service, choisis<br />
par chaque partie. Des communications internes et entre<br />
partenaires sont établies de façon efficace et efficiente. C’est<br />
l’optimisation de la communication qui contribue à assurer<br />
la pérennité et à améliorer les relations. L’exploitation permet<br />
de mettre en valeur le produit ou le service, de dégager un<br />
profit identifiable pour chaque partenaire. L’optimisation<br />
repose sur la collaboration établie lors d’un partenariat et<br />
facilite l’obtention des meilleures conditions nécessaires à<br />
la démarche qualité. Le partenariat a permis d’accroître les<br />
bénéfices des partenaires en augmentant leurs capacités à<br />
créer de la valeur.<br />
Les avantages du partenariat sont mesurés et apparaissent au<br />
niveau des aspects financiers, de la qualité, de la satisfaction<br />
des clients, de l’amélioration de l’efficacité et de l’efficience<br />
des processus, de l’utilisation des ressources, de la réduction<br />
des gaspillages et de la sécurité.<br />
Le MOP est un outil d’évaluation du niveau des relations entre<br />
partenaires et contribue à passer de la sous-traitance au<br />
partenariat. Le MOP est évolutif et s’enrichira grâce aux<br />
expériences de chacun. ■<br />
Xavier Monjanel<br />
x.monjanel@chemineau.com<br />
Le point de la démarche<br />
contrat<br />
Xavier Monjanel<br />
<strong>A3P</strong><br />
Le point de la démarche contrat<br />
a été établi par Xavier<br />
MONJANEL. <strong>La</strong> structure du<br />
contrat ainsi que ses liens avec<br />
le cahier des charges ont été<br />
présentés.<br />
<strong>La</strong> structure générale d’un<br />
contrat s’organise autour de<br />
dispositions générales, commerciales<br />
et pharmaceutiques.<br />
En préambule, les dispositions générales désignent les parties,<br />
notamment le pharmacien responsable, énoncent le but du<br />
contrat et donnent toute une série de définitions, telle que<br />
le cahier des charges, les matières premières, le référentiel<br />
qualité, les autorisations...<br />
Les dispositions commerciales doivent mentionner : la durée<br />
du contrat, la date d’entrée en vigueur, les règles<br />
d’approvisionnement, le prévisionnel des commandes avec<br />
les règles de reports, les pénalités éventuelles, les termes de<br />
paiement, la définition des responsabilités avec le transfert<br />
de risque et de propriété industrielle et intellectuelle, les<br />
assurances, les clauses de cessation de contrat, la juridiction...<br />
Les dispositions pharmaceutiques comme leur nom l’indique<br />
incluent les obligations techniques, réglementaires générales<br />
de chaque partie : les points relatifs à la fabrication<br />
(utilisation des matières premières, modifications des<br />
procédés…), la conformité au dossier d’autorisation de mise<br />
sur le marché, les réclamations, retrait et retraitement des<br />
lots non conformes, les audits,…<br />
Le contrat doit être rédigé avant toute fabrication. D’une<br />
manière générale, l’harmonisation du contrat et du cahier des<br />
charges spécifique à un produit devient une nécessité. A ce<br />
titre, il est intéressant de traiter le cahier des charges comme<br />
une annexe au contrat. Si le contrat est signé en premier et le<br />
cahier des charges ultérieurement, il est indispensable de<br />
préciser le lien existant entre les deux. Mais il est à noter que<br />
le contrat prévaut sur le cahier des charges en cas de litige. ■<br />
3<br />
CONFERENCES<br />
Jean-Robert LEVY<br />
Jean-robert.levy@sanofi-synthelabo.com<br />
Modèle de Contrat<br />
Qualité entre le client et<br />
le sous-traitant dans le<br />
groupe Sanofi-Synthélabo<br />
Jean-Robert LEVY<br />
SANOFI-SYNTHÉLABO<br />
Le groupe Sanofi~Synthelabo<br />
étant la résultante, comme de<br />
nombreux groupes européens,<br />
de regroupements de<br />
laboratoires pharmaceutiques,<br />
nous avons identifié l’existence<br />
de différents modèles de Contrat<br />
Qualité entre les services et/ou les filiales. Ceci pouvait<br />
conduire à travailler avec un même sous-traitant pour le<br />
compte de la même société Sanofi~Synthélabo avec des<br />
documents différents suivant le département donneur<br />
d’ordre.<br />
Nous avons donc créé un groupe de travail afin de remédier à<br />
cette situation. A l’initiative de la DQG, un groupe de travail<br />
constitué de Responsables Qualité choisis parmi les différents<br />
services représentatifs (Industriel, Recherche, OTC,<br />
Génériques) a été animé par la DQG.<br />
Après un recensement des documents existants, nous avons<br />
construit un Contrat Qualité unique, qui servira de référence<br />
aux différents utilisateurs du groupe.<br />
Ce modèle de Contrat Qualité est structuré en deux parties :<br />
• <strong>La</strong> première est le texte de base, cosigné par les<br />
représentants qualifiés du sous-traitant et du donneur<br />
d’ordre (responsable qualité et pharmaceutique si<br />
nécessaire). Les 17 articles sont énoncés ci- dessous :<br />
1°) Définition, Référentiels, 2°) Objet, 3°) Documentation,<br />
4°) Production, 5°) Changements, 6°) Système Qualité,<br />
7°) Stockage/Transport, 8°) Revue Annuelle, 9°) Archivage,<br />
10°) Réclamations, Anomalies, 11°) Rappel, 12°) Audit,<br />
13°) Stabilités, 14°) Confidentialité, 15°) Durée,<br />
16°) Divers, 17°) Approbation.<br />
L’organisation du Contrat Qualité est faite pour que cette<br />
section générale constitue un accord pérenne sur lequel il<br />
n’est pas nécessaire de faire d’actualisation.<br />
• <strong>La</strong> deuxième partie, en revanche est constituée des annexes<br />
qui pourront être mises à jour chaque fois qu’un<br />
changement le nécessitera sans qu’il y ait contradiction<br />
avec les règles de partenariat et d’enregistrement des<br />
variations.<br />
Elle comporte les renseignements en provenance du donneur<br />
d’ordre et les renseignements en provenance du sous-traitant.<br />
Ce document qualité est défini comme une annexe du contrat<br />
commercial qui lui, reprend par exemple les aspects<br />
juridiques.<br />
Nous avons insisté pour qu’un Contrat Qualité ne concerne<br />
qu’un site de production et/ou de contrôle et qu’il soit<br />
restrictif aux seuls fournisseurs et approvisionnements<br />
décrits dans le dossier d’AMM.<br />
<strong>La</strong> façon d’organiser les changements et la pratique de l’audit<br />
permettent de maintenir un bon niveau de communication<br />
entre les différents responsables et de mettre à jour les<br />
annexes du Contrat Qualité lorsque cela est nécessaire.<br />
Les annexes sont une véritable source d’informations :<br />
• Dans les annexes du donneur d’ordre il est demandé de<br />
mettre une copie des parties II B et C de l’AMM concernant<br />
la fabrication et le contrôle du produit.<br />
• Dans les annexes du sous-traitant c’est au minimum une<br />
copie du Dossier de lot de Référence qui sera joint.<br />
Ce travail est essentiel pour redéfinir et obtenir un consensus<br />
sur la trame du nouveau Contrat Qualité. Cette expérience,<br />
mise en place au sein de notre groupe, pourrait tout à fait<br />
s’appliquer dans le cadre général de la profession et des<br />
relations entre les laboratoires pharmaceutiques et les soustraitants.<br />
En ne travaillant que sur le contrat, les responsables<br />
qualité ont démontré leur capacité à améliorer l’existant et<br />
à faciliter la communication entre les partenaires. Ils ont<br />
ainsi rappelé qu’ils étaient souvent les seuls interlocuteurs<br />
techniques lors de l’initialisation, mais aussi tout au long de<br />
la vie relationnelle entre les partenaires. ■
CONFERENCES<br />
Retrouvez tous les détails des conférences sur www.a3p.asso.fr<br />
4<br />
Edouard Gudin<br />
alevert@unither.fr<br />
Alain Gaillard<br />
alain.gaillard@altya.fr<br />
Gérald de Fontenay<br />
avogadro@wanadoo.fr<br />
Mutation d’un site<br />
pharmaceutique :<br />
de la production<br />
de formes liquides<br />
traditionnelles à la mise<br />
en œuvre des produits<br />
répartis aseptiquement.<br />
Edouard Gudin<br />
UNITHER<br />
Résumé de conférence non<br />
communiqué. ■<br />
Comment sous-traiter<br />
l’amélioration de la<br />
performance industrielle :<br />
qualité, productivité,<br />
délais.<br />
Alain Gaillard<br />
ALTYA<br />
Résumé de conférence non<br />
communiqué. ■<br />
Le transfert analytique…<br />
Comment le mener<br />
à bien ?<br />
Gérald de Fontenay<br />
AVOGADRO<br />
L'objectif d’un transfert<br />
analytique est de qualifier un<br />
laboratoire receveur pour mettre<br />
en œuvre des techniques<br />
analytiques maîtrisées par un<br />
laboratoire donneur.<br />
Comme tous les objectifs, cet<br />
objectif doit être SMART !<br />
S comme Spécifique : une équipe de transfert est formée pour<br />
gérer ce projet. Elle comprend des membres techniques et<br />
d’Assurance Qualité des 2 laboratoires. Un animateur est<br />
nommé dans cet équipe pour en coordonner les actions et<br />
pour gérer la communication.<br />
M comme Mesurable : des critères d’acceptation sont fixés en<br />
fonction des résultats de validation. <strong>La</strong> comparaison des<br />
résultats obtenus lors d’une étude interlaboratoires permet<br />
de conclure sur la qualification du laboratoire receveur. Pour<br />
maîtriser le risque majeur (qualification d'un "mauvais"<br />
laboratoire), il faut utiliser des tests statistiques adaptés.<br />
A comme Accepté : un échange de documentation relative à<br />
la méthode permet d’en estimer la faisabilité. Une<br />
familiarisation préalable, voire une visite d’un laboratoire à<br />
l’autre, permet au laboratoire receveur d’accepter le transfert<br />
(ou de mettre en place des actions correctives avant de<br />
l’initier). C’est alors en connaissance de cause que les<br />
laboratoires signeront un document décrivant précisément<br />
les étapes de l’étude interlaboratoires.<br />
R comme Réaliste : avant d’initier le transfert, il faut s’assurer<br />
que le laboratoire receveur a le niveau de qualité et<br />
l’équipement requis pour mettre en œuvre la technique. C’est<br />
le rôle d’un audit préalable.<br />
T comme Timetable : il faut prévoir un calendrier réaliste, et<br />
s’y tenir. En particulier, il ne faut pas sous-estimer le temps<br />
nécessaire pour les différentes étapes et pour gérer les<br />
investigations en cas de résultat OOS (hors spécification).<br />
L’équipe de transfert devra garder en mémoire l’objectif des<br />
autorités susceptibles d’inspecter les données issues de<br />
l’étude : Sécurité du consommateur, respect des 5M vérifié<br />
par un Audit, gestion des Risques et Traçabilité. ■<br />
Jean-Pierre Thiesset<br />
jean-pierre.thisset@cyberconseil.com<br />
Sous-traiter<br />
la Validation d’un site<br />
et les outils pour réussir<br />
Jean-Pierre Thiesset<br />
CYBERCONSEIL<br />
Comment assurer la cohérence<br />
et l’efficacité de toutes les<br />
validations d’un site ou d’un<br />
groupe tout en garantissant une<br />
approche industrialisée et<br />
économique ?<br />
Pour répondre à ce défi, la soustraitance<br />
de toutes ou partie des<br />
activités de validation à un CVO (Contract Validation<br />
Organization) semble être la meilleure solution permettant<br />
une approche homogène et globale, flexible en ressources,<br />
en lieux et en compétences, maîtrisée en terme de budget et<br />
de garantie de résultats (délai, conformité). CyberConseil-<br />
CVO propose :<br />
• <strong>La</strong> Validation Intégrée : Intégration des tests utilisateurs,<br />
ingénierie et fournisseurs dans la validation (FAT, SAT,<br />
Recette, Qualification, Validation),<br />
• <strong>La</strong> Validation Intégrale : Démonstration que tous les risques<br />
réglementaires, économiques et autres sont maîtrisés.<br />
CyberConseil-CVO prend en charge les évaluations<br />
Fournisseurs, les Revues de Conception Avancées (RCA), la<br />
stratégie de validation et la supervision de tous les tests,<br />
l’établissement des matrices de traçabilité, ce qui permet de<br />
garantir :<br />
• Indépendance : bon sens, respect des exigences clients et<br />
FDA<br />
• Cohérence : de toutes les phases de vérifications et de test<br />
• Economie : systèmes fiabilisés dès la conception, pas de<br />
redondance de test ; toutes les fonctionnalités critiques du<br />
point de vue de l’utilisateur (réglementaires ou économiques)<br />
sont testées, le système est valide à la date prévue.<br />
<strong>La</strong> méthodologie d’analyse des risques nécessaire pour<br />
supporter cette approche.<br />
L’approche CyberConseil, est la seule qui permette vraiment<br />
de structurer l’analyse autour des exigences réglementaires<br />
et de démontrer que les risques par rapport à la santé du<br />
patient sont et seront maîtrisés !<br />
Cette approche est issue d’un nouveau concept CyberConseil<br />
simple et efficace : les risques sont déterminés par rapport<br />
aux exigences réglementaires et ensuite utilisés pour les<br />
analyses des risques processus, fonctionnelles, logicielles ou<br />
composants. ■<br />
Fabrication, contrôle<br />
et libération<br />
des médicaments<br />
expérimentaux à usage<br />
humain et sous-traitance :<br />
à propos de la directive<br />
2001/20 CE<br />
Jean-Pascal Conduzorgues<br />
CRID PHARMA/CLIPA<br />
<strong>La</strong> Directive Européenne “Essai<br />
Jean-Pascal Conduzorgues Clinique” 2001/20 doit être<br />
jp.conduzorgues@cridpharma-clipa.com implémentée en France d’ici le<br />
1 er Mai 2004.<br />
Elle doit être lue en relation avec :<br />
- le projet de modification de l’annexe 13 des GMP<br />
“Manufacture of Investigational Products” de juillet 2003,<br />
- la directive 2003/94 concernant les BPF des médicaments<br />
expérimentaux à usage humain,<br />
- et des nouvelles recommandations de l’AFSSAPS concernant<br />
le dossier d’autorisation du produit pour essai clinique.<br />
Les exigences concernant la libération des lots, qu’il s’agisse<br />
d’un produit fabriqué dans l’UE ou d’un produit importé, sont<br />
bien précisées. Un éclairage particulier est apporté sur le<br />
contrôle du produit fini importé qui peut être réalisé hors UE<br />
et pris en compte par la Personne Qualifiée Européenne.<br />
Il s’agit d’une véritable révolution dans nos habitudes de<br />
travail et en tant que sous-traitant spécialisé dans ce domaine,<br />
nous devons précocement prendre en compte ces éléments<br />
pour prévoir à l’avance les étapes de développement, de<br />
fabrication et de contrôle.<br />
Ces nouvelles dispositions permettront :<br />
- d’améliorer la qualité des produits compte tenu des questions<br />
posées préalablement à l’essai<br />
- et peut-être de diminuer les aléas liés à l’évaluation de<br />
certaines parties du dossier d’AMM notamment sur les<br />
impuretés et produits de dégradations. ■<br />
Jean-Louis Jouve<br />
jean-louis.jouve@interpec.com<br />
Good Business Practices<br />
between IT/IS Suppliers<br />
and pharmaceutical<br />
customers<br />
Jean-Louis Jouve<br />
INTERPEC FRANCE<br />
<strong>La</strong> place prise par les systèmes<br />
informatisés dans les processus<br />
et les systèmes décisionnels<br />
réglementés n’est plus à<br />
démontrer. Parallèlement, tous<br />
les secteurs industriels sont<br />
confrontés à une concurrence<br />
accrue et recherchent des nouvelles sources de gains ou de<br />
maîtrise des coûts ; l’externalisation de certaines activités<br />
informatiques peut leur paraître opportune.<br />
Face à cette tendance, l’industrie pharmaceutique se doit<br />
d’abord de répondre à des contraintes réglementaires. Par<br />
exemple, aux Etats-Unis, matériel et logiciel sont assimilés<br />
respectivement à des équipements et des enregistrements<br />
aux yeux de la Food and Drug Administration. En Europe,<br />
l’annexe 11 des GMP rappelle les impératifs de non régression<br />
dans la qualité et de disponibilité de la compétence autour<br />
des systèmes informatisés. Toutes ces contraintes doivent<br />
être correctement appréhendées par les fournisseurs de<br />
systèmes et de services.<br />
Afin de leur en faciliter la compréhension, il est préférable<br />
d’adopter un langage et des termes adaptés à leur culture ;<br />
ainsi, il est probable que beaucoup de temps aurait pu être<br />
gagné si les règles de sécurité, c’est-à-dire d’intégrité, de<br />
confidentialité et de disponibilité, et de non répudiation<br />
avaient été utilisées pour expliquer le 21 CFR Part 11 aux<br />
informaticiens.<br />
Malheureusement, la vision traditionnelle des relations<br />
clients/fournisseurs s’est longtemps limitée à la vision du<br />
GAMP où, le temps d’un projet, ces deux parties collaboraient<br />
ensemble à la réalisation d’un système informatisé.<br />
Afin de transformer cette relation en partenariat, il est<br />
nécessaire d’étendre dans le temps cette relation aussi bien<br />
en amont, c’est-à-dire pendant l’avant-vente, qu’en aval, c’est<br />
à dire pendant les phases de maintenance et de retrait<br />
éventuel de l’application ou du service.<br />
<strong>La</strong> confiance n’excluant pas le contrôle, il est requis pour le<br />
laboratoire de maîtriser le risque de sous-traitance au travers<br />
de phase d’évaluation, d’audit préliminaire et continu et<br />
d’élaboration des contrats.<br />
Certains enregistrements-clés partagés entre client et<br />
prestataire seront alors nécessaires pour conforter ce<br />
partenariat : gestion des modifications, suivi des anomalies…<br />
Au final, clients pharmaceutiques et prestataires<br />
informatiques pourront bénéficier d’une synergie gagnante à<br />
partir du moment où un consensus sera établi sur des objectifs<br />
réglementaires clairs et partagés. ■
SOCIETES PARTENAIRES<br />
PRESENTATION DES SOCIÉTÉS PARTENAIRES<br />
Florence Pousset<br />
Les trois sociétés partenaires de cet événement <strong>A3P</strong> représentent des domaines majeurs de la sous-traitance pharmaceutique.<br />
Du contrôle qualité de SGS en passant par la production spécialisée avec Aquitaine Pharm International ou généraliste avec Chemineau.<br />
<strong>La</strong>boratoires Chemineau<br />
Les <strong>La</strong>boratoires Chemineau sont<br />
depuis une trentaine d’années les<br />
spécialistes des sprays, des pâteux et des liquides sur le marché<br />
européen de la sous-traitance pharmaceutique.<br />
Située à Vouvray (Indre et Loire), sur un site de 5 hectares,<br />
la société dispose d’une équipe de 250 personnes et d’une<br />
usine de 15000 m 2 certifiée ISO 9001 offrant l’encadrement,<br />
la structure et les services attendus aujourd’hui par les<br />
laboratoires soucieux d’externaliser leur production avec<br />
toutes les garanties de qualité, prix et délai.<br />
L’activité du laboratoire s’étend depuis le développement<br />
galénique et analytique aux normes ICH (lots pilotes, lots<br />
cliniques, stabilités, validations industrielles) jusqu’à la<br />
production en full service des séries industrielles avec<br />
libération pharmaceutique et expédition des produits finis<br />
dans le monde entier. Le haut niveau d’expertise et d’assurance<br />
qualité du site de Vouvray autorise la production en toute<br />
sécurité de produits éthiques hautement actifs comme les<br />
hormones et les corticoïdes.<br />
En aval des ateliers de fabrication, un parc de 25 lignes de<br />
conditionnement permet le conditionnement d’environ 80<br />
millions d’unités vente par an. L’ensemble du flux matière est<br />
piloté par ERP et transite par un magasin de stockage de<br />
10 000 palettes.<br />
Les <strong>La</strong>boratoires Chemineau réalisent un chiffre d’affaires de<br />
32 millions d’Euros dont 15% à l’export pour le compte d’une<br />
centaine de laboratoires pharmaceutiques. ■<br />
Pierre Fabre<br />
Le Groupe PIERRE FABRE est une entreprise<br />
privée qui emploie aujourd'hui 9.000<br />
personnes. Le laboratoire dégage un chiffre<br />
d'affaires de 1,5 milliard d'Euros, essentiellement dans la<br />
dermo-cosmétique (42 %), la pharmacie (50 %) et<br />
l'homéopathie (8 %). Le groupe se caractérise par son<br />
autonomie, de la fabrication de l'actif jusqu'à la<br />
commercialisation du produit fini.<br />
Sur son site de PAU, dédié à la fabrication des formes<br />
injectables, est développé une activité de sous-traitance. Ce<br />
site a une relation privilégiée avec les grands groupes<br />
pharmaceutiques pour lesquels il fabrique des produits<br />
stratégiques. L'activité de façonnage développée à PAU produit<br />
35 millions d'unités injectables par an pour des clients<br />
partenaires tels qu'Aventis, Glaxo SmithKline, AstraZeneca,<br />
Biogen, Baxter … Ce site possède un savoir-faire unique sur<br />
les produits anti-cancéreux grâce à la maîtrise d'une<br />
technologie de pointe et possède une expérience incontestée<br />
du transfert de technologie.<br />
<strong>La</strong> volonté du groupe a été de développer des échanges entre<br />
les partenaires pour énoncer les difficultés rencontrées et<br />
apporter des solutions qui soient reconnues et admises par<br />
les partenaires, donneurs d'ordres et sous-traitants. Les<br />
partenaires ont respectivement des compétences que chacun<br />
se doit de reconnaître et qui peuvent parfois contribuer à<br />
l'amélioration des procédés et à la qualité des produits.<br />
L'objectif est de formaliser les bonnes pratiques du façonnage<br />
en établissant un guide de recommandations pour définir<br />
précisément le processus du transfert, les responsabilités et<br />
le référentiel qualité. ■<br />
SGS<br />
<strong>La</strong>boratoire prestataire de services<br />
analytiques dédiés à l’industrie<br />
pharmaceutique et ses fournisseurs, SGS.<strong>La</strong>boratoires Simon<br />
France constituent la filiale Life Sciences française du groupe<br />
international Société Générale de Surveillance (SGS) dont le<br />
siège est situé à Genève.<br />
Le groupe au travers des métiers tels que la certification,<br />
l’inspection, le contrôle qualité et l’analyse, est présent dans<br />
différents domaines d’activité : Automobile, Pétrochimie,<br />
Agricole, Agro-Alimentaire, Biens de Consommation et Life<br />
Sciences.<br />
L’arrivée de Sergio MARCHIONNE à la tête du groupe SGS, en<br />
2002, a conduit la société à repenser l’organisation du groupe,<br />
notamment en la simplifiant, tout en la spécialisant, afin de<br />
mieux répondre aux exigences internationales.<br />
En France, le groupe SGS compte 1 700 personnes réparties<br />
dans 17 filiales dont les impératifs de production sont décidés<br />
par le Président France (Pascal DELATER) et les impératifs<br />
du développement par Sergio MARCHIONNE.<br />
<strong>La</strong> structure SGS.<strong>La</strong>boratoires Simon France, présidée par<br />
Anne HAYS, est basée en région Parisienne. Elle a acquis<br />
auprès de l’AFSSAPS, depuis 1998, le statut d’Etablissement<br />
Pharmaceutique Fabricant et est par ailleurs certifiée ISO9001<br />
: 2000. L’organisation est basée sur la responsabilité<br />
pharmaceutique qui peut être engagée afin de répondre aux<br />
exigences de l’industrie pharmaceutique et de ses fournisseurs,<br />
et ce depuis plus de 20 ans.<br />
SGS.<strong>La</strong>boratoires Simon France mettent à disposition de leurs<br />
clients, sur 1200 m 2 , un département de physico-chimie et un<br />
département de microbiologie.<br />
Aujourd’hui, SGS.<strong>La</strong>boratoires Simon France peuvent prendre<br />
en charge dans le domaine de la microbiologie et de la physicochimie<br />
:<br />
• Contrôle qualité, matières premières, produits finis, selon<br />
tout type de Pharmacopées ou dossiers pharmaceutiques,<br />
• Développement et validation analytique :<br />
- Transfert analytique<br />
- Mise au point de méthodes<br />
- Validation de méthode<br />
- Etudes de stabilité<br />
- Etudes d’interaction contenant/contenu,<br />
• Prestation sur site :<br />
- Qualification de système de distribution d’eau de qualité<br />
pharmaceutique<br />
- Contrôle d’environnement.<br />
<strong>La</strong> réalisation de l’ensemble de ces prestations est rendue<br />
possible grâce à une équipe scientifique et technique<br />
hautement qualifiée : 52 personnes comprenant des docteurs<br />
es Sciences, des pharmaciens, des microbiologistes et des<br />
ingénieurs chimistes. En 2002, le chiffre d’affaires était d’un<br />
peu plus de 4 millions d’euro. En 2003, 16 000 échantillons<br />
traités ont généré un chiffre d’affaires de 5,1 millions d’euro<br />
réparti à 75% en physico-chimie et à 25% en microbiologie.<br />
L’entreprise met aujourd’hui l’accent sur le développement<br />
des études de stabilité et la mise au point et validation de<br />
méthode et présente continuellement de nouveaux services,<br />
tels que les validations de nettoyage, les contrôles<br />
d’environnement et les qualifications de boucles d’eau.<br />
SGS.<strong>La</strong>boratoires Simon France simplifient les démarches<br />
d’externalisation et les audits, et se proposent comme<br />
partenaire unique. SGS.<strong>La</strong>boratoires Simon France offrent<br />
souplesse, adaptabilité et une réponse de proximité pour un<br />
meilleur partenariat.<br />
Votre contact : Karine Vrigneaud - 01 41 06 95 86<br />
karine_vrigneaud@sgs.com ■<br />
5<br />
Calendrier<br />
des manifestations à venir :<br />
MAI 2004<br />
Atelier «Transfert de Technologie»<br />
Le 4 Mai 2004, à l’Hôtel Renaissance, 64000 Pau<br />
JUIN 2004<br />
4 es Rencontres <strong>A3P</strong> de Microbiologie<br />
Les 8 et 9 Juin 2004, au Centre de Congrès Vinci,<br />
37000 Tours<br />
AVRIL 2004<br />
Atelier «Audit entre Partenaires»<br />
Le 9 Avril 2004, à l’Hôtel de l’Univers, 37000 Tours<br />
Atelier «Audit entre Partenaires»<br />
Le 18 Mai 2004, à l’Hôtel de l’Univers, 37000 Tours<br />
1 er Congrès <strong>A3P</strong> en Tunisie<br />
Les 27-28 Mai 2004,<br />
à l’Hôtel Abu Nawa Diar El Andalous, Sousse<br />
OCTOBRE 2004<br />
17 e Congrès international <strong>A3P</strong><br />
Les 19, 20 et 21 Octobre 2004,<br />
Espace Bellevue, 64200 Biarritz - France
A TELIERS<br />
ATELIERS<br />
Initialiser le débat entre donneurs d'ordres et sous-traitants<br />
Les participants, donneurs d'ordres et sous-traitants, ont pu échanger leurs expériences<br />
et confronter leurs points de vue au cours d’ateliers<br />
sur des thèmes choisis par <strong>A3P</strong> et animés par chacun des partenaires.<br />
6<br />
ATELIER 1<br />
TRANSFERT ANALYTIQUE<br />
Comme de nombreuses industries, l’industrie<br />
pharmaceutique a subi de nombreux remaniements<br />
depuis ces dernières années. Ainsi, aujourd’hui, la<br />
stratégie des groupes pharmaceutiques est-elle<br />
tournée vers la sous-traitance dans la mesure où<br />
celle-ci est réalisée conformément aux exigences<br />
de qualité des autorités de tutelle et à celles de<br />
chaque laboratoire. L’objectif de cette externalisation<br />
est un recentrage des activités des<br />
groupes pharmaceutiques sur les dossiers<br />
prioritaires.<br />
Cette externalisation peut être axée sur tout ou<br />
partie du contrôle qualité de routine ou sur des<br />
projets plus complexes du type études de stabilité.<br />
Dans ce dernier cas, celles-ci nécessitent la mise en<br />
place d’un transfert analytique permettant de<br />
qualifier le laboratoire sous-traitant pour l’étude<br />
considérée.<br />
Aujourd’hui, il devient nécessaire, pour les deux<br />
partenaires, de formaliser ces transferts. Comment<br />
cette formalisation est-elle envisagée par les<br />
différentes parties ?<br />
L’atelier transfert analytique animé par Marie-<br />
Cécile Krief et Anne Hays des laboratoires Simon<br />
France, filiale Life Sciences du groupe international<br />
Société Générale de Surveillance (SGS) a réuni les<br />
différents acteurs du transfert analytique. Après un<br />
tour de table de présentation, les participants se<br />
sont répartis en deux groupes de travail composés<br />
de façon équitable, partenaire donneur d’ordre –<br />
partenaire sous-traitant.<br />
Une étude d’un cas a été présentée, représentatif<br />
d’une situation réelle de transfert analytique.<br />
Après une réflexion individuelle, un échange intense<br />
s’est établi entre les participants : chaque<br />
participant a soulevé des questions pertinentes sur<br />
la base d’expériences personnelles.<br />
Ces échanges ont permis d’identifier les points<br />
critiques habituellement<br />
rencontrés lors d’un<br />
transfert analytique et<br />
notamment les items<br />
devant figurer dans le<br />
protocole établi entre les<br />
deux partenaires.<br />
Les participants se sont<br />
ensuite attachés à<br />
reprendre les principaux<br />
points critiques dans un<br />
document de synthèse<br />
utilisable par les deux<br />
partenaires dans un<br />
objectif d’optimisation<br />
des trois paramètres clés<br />
d’un partenariat réussi :<br />
Qualité, Délai, Coût. ■<br />
Atelier 2<br />
AUDIT ENTRE PARTENAIRES<br />
L'atelier n° 2 "Audit entre Partenaires" animé par<br />
Xavier Monjanel, <strong>La</strong>boratoires Chemineau et Michel<br />
Barbe, Responsable <strong>A3P</strong>, a réuni les participants<br />
autour de la notion délicate de l'audit Qualité.<br />
Celui-ci fait partie des rapports obligatoires entre<br />
partenaires. Bien qu'il obéisse à des règles et usages<br />
de plus en plus standardisés, il subsiste des points<br />
sur lesquels des progrès peuvent être accomplis<br />
dans l'intérêt des deux parties.<br />
Un référentiel pour l'audit qualité a été présenté<br />
dans ses grandes lignes et remis en tant que<br />
document à l'ensemble des participants. Il s'agit<br />
d'un guide de bonnes pratiques abordant les<br />
principes de l'audit, l'agrément des auditeurs, la<br />
manière de faire l'audit, la documentation associée,<br />
la classification des défauts et le suivi d'audit.<br />
Les participants ont été ensuite invités à se diviser<br />
en sous-groupes compte tenu de leur nombre et à<br />
étudier un projet qui se divisait en deux parties. <strong>La</strong><br />
première consistant à établir une liste de dix points<br />
de progrès possible par rapport à la situation<br />
actuelle, la seconde, de proposer pour chacun de<br />
ces points une méthode d'amélioration. Les<br />
discussions ont été nombreuses et les échanges<br />
animés, ce qui représente l'atteinte d'un premier<br />
objectif dans l'esprit des organisateurs. Le temps<br />
étant toujours trop court, seule la première partie,<br />
à savoir la liste des points de progrès a pu être<br />
établie.<br />
Les participants ont souhaité continuer l'exercice<br />
et sollicité <strong>A3P</strong> pour que de nouvelles séances<br />
puissent avoir lieu. Depuis, <strong>A3P</strong> a pu proposer les<br />
dates du 29 avril et du 18 mai à Tours dans des<br />
conditions de déroulement similaires.<br />
Nous savons par ailleurs que des échanges ont eu<br />
lieu entre les participants tant sur le référentiel<br />
que sur la liste des points de progrès. C'est donc<br />
sur des bases revues que ces nouvelles étapes sont<br />
prévues. ■<br />
ATELIER 3<br />
TRANSFERT DE PRODUCTION :<br />
QUEL REFERENTIEL QUALITE<br />
Le développement d'un transfert de production<br />
exige des actions multiples et propres à chaque<br />
partenaire. Le travail de chacun est fondamental<br />
pour la réussite d'un transfert de technologie. Le<br />
choix du référentiel qualité est également un point<br />
critique du process.<br />
Certains font appel à des référentiels<br />
réglementaires, d'autres ont des référentiels<br />
internes. Les audits se multiplient et les critères<br />
spécifiques du client sont de plus en plus imposés<br />
au sous-traitant. Ainsi, une homogénéisation du<br />
transfert de production et des critères qualité est<br />
souhaitée par les différents partenaires.<br />
Le premier point de réflexion du groupe de travail<br />
a porté sur les définitions des différentes phases<br />
chronologiques du transfert.<br />
Le deuxième point a été axé sur la nécessité de<br />
préciser les référentiels qualité, à quel moment du<br />
transfert et lesquels.<br />
De par la diversité des participants, grands et petits<br />
laboratoires pharmaceutiques, façonniers<br />
travaillant dans des domaines différents, les<br />
échanges ont été nombreux et très intéressants. Il<br />
en ressort que le donneur d’ordres devra faire un<br />
travail de synthèse important sur les conditions de<br />
fabrication de ses spécialités et s'informer, par pays,<br />
sur les aspects réglementaires des dossiers…<br />
Un audit sur le système de qualité, fondé sur les<br />
référentiels légaux, est fortement recommandé<br />
avant le choix du façonnier.<br />
En retour, après la sélection du façonnier, il a été<br />
recommandé, de manière unanime, que le donneur<br />
d’ordres ouvre ses portes au façonnier pour faire<br />
une revue technique et qualité. Ce ne sera qu'à ce<br />
moment-là que ressortiront les critères qualité<br />
spécifiques du donneur d’ordres qui pourront ainsi<br />
être débattus et analysés par l'équipe du transfert<br />
de technologie. L'analyse des écarts du process de<br />
fabrication en analytique, sur la partie Assurance<br />
Qualité et Réglementaire, est le point critique du<br />
transfert.<br />
Le groupe a estimé que tous ces échanges devraient<br />
avoir lieu avant qu'il y ait un contrat de façonnage<br />
signé, car la faisabilité technique, le coût et le délai<br />
du transfert en dépendent pour une grande part.<br />
Les animateurs, Paul MARTIN et Alain SAINSOT,<br />
des <strong>La</strong>boratoires Pierre Fabre, ont animé un groupe<br />
de 25 partenaires qui ont pu partager leurs<br />
expériences réelles, leurs préoccupations, et ont<br />
beaucoup échangé pour trouver des solutions<br />
communes. Il en est ressorti la nécessité de créer<br />
deux outils de travail primordiaux qui sont les<br />
élaborations de procédures :<br />
- sur la méthodologie du transfert de technologie<br />
- sur la revue technique du donneur d’ordres par le<br />
sous-Traitant. ■
ESPACE EXPOSANTS<br />
ESPACE EXPOSANTS<br />
Florence Pousset<br />
produit”, tant par rapport aux caractéristiques “produit”<br />
que par rapport à la finalité d’un concept mettant en jeu<br />
la préparation ou la prescription d’un médicament.<br />
OEM / Industrial propose aussi aux industriels une gamme<br />
conséquente de composants plastiques à usage médical<br />
utilisés en tant que produits semi-finis.<br />
<strong>La</strong> division OEM / Industrial de B. Braun Medical est<br />
présente dans 50 pays. L'entreprise, dont le siège est à<br />
Melsungen en Allemagne, emploie 29 000 salariés sur 53<br />
sites, commercialise 30 000 références sur tous les<br />
continents et réalise un chiffre d’affaires de 2 750 millions<br />
d'euros.<br />
<strong>La</strong> dimension internationale de B. BRAUN satisfait aux<br />
critères de qualité et de sécurité internationaux les plus<br />
récents. OEM, c’est la qualité, l’expérience et la puissance<br />
d’innovation.<br />
ACM Pharma<br />
acm.epmf@wanadoo.fr<br />
<strong>La</strong> société ACM est fondée en 1990 par Monsieur et<br />
Madame PETAT à Bellegarde au cœur du département<br />
du Loiret à 100 km au sud de Paris. Elle offre des<br />
prestations en microbiologie dans les domaines<br />
agroalimentaire, hygiène, cosmétique et pharmaceutique.<br />
En 1998, les activités sont scindées : ACM conserve et<br />
développe ses activités agroalimentaires et une nouvelle<br />
société ACM PHARMA est constituée et se spécialise dans<br />
des prestations en microbiologie destinées à l’industrie<br />
pharmaceutique et à la cosmétique avec la mise en place<br />
d’un plateau technique spécialement dédié à ces activités.<br />
Les principaux partenaires clients sont les industries<br />
pharmaceutiques et cosmétiques, les sociétés de<br />
production de désinfectants, les fabricants de matières<br />
premières. Les analyses sont réalisées selon les exigences<br />
de différents référentiels : Pharmacopées, normes AFNOR<br />
ou ISO. Ce nouvel établissement est enregistré auprès de<br />
l’afssaps établissement pharmaceutique en 2002. Le point<br />
fort de la société est incontestablement la microbiologie<br />
avec une très large gamme de prestations: identification<br />
d’un large panel de germes dans les produits non stériles,<br />
dosage des endotoxines, dosage microbiologique des<br />
antibiotiques, essais d’efficacité des conservateurs et<br />
essais de stérilité (classe A dans B ou en isolateur), dosage<br />
des antibiotiques.<br />
ACM PHARMA est également reconnue pour ses<br />
compétences dans le domaine des techniques alternatives<br />
de microbiologie. Le laboratoire travaille sur les nouveaux<br />
moyens de détection des germes par des méthodes<br />
innovantes comme les systèmes d’impédancemétrie ou<br />
de cytométrie sur filtre. Ainsi grâce à la technologie<br />
innovante de cytométrie, ACM PHARMA assure le contrôle<br />
des eaux en temps réel avec un résultat obtenu le jour de<br />
réception de l’échantillon.<br />
Avec un effectif de 15 personnes et une activité en forte<br />
progression, ACM PHARMA se positionne sur le marché<br />
national, européen (Suisse, Belgique) et international<br />
(Tunisie, Maroc).<br />
Depuis 1998 également la société “UPS Consultants”<br />
rejoint Bellegarde et ACM Pharma. UPS déjà spécialisée<br />
en formation dans les domaines de l’ultra propreté<br />
enrichit son offre grâce aux synergies établies avec ACM<br />
et ACM Pharma et propose dans son catalogue 2004 plus<br />
de 30 formations inter- entreprises. UPS se spécialise<br />
également dans la mise en place de formations intraentreprises<br />
spécialement adaptées aux besoins de ses<br />
partenaires avec le développement de programmes<br />
spécifiques.<br />
En 2004 ACM PHARMA prévoit une progression de 20 à<br />
30%, s’attachera à fidéliser les partenariats et développer<br />
de nouveaux partenariats tant au plan national<br />
qu’international.<br />
B. BRAUN MEDICAL - OEM / INDUSTRIAL<br />
lucien.baudouin@bbraun.com<br />
<strong>La</strong> division OEM / Industrial est la structure de B. Braun<br />
Medical en charge des opérations de sous-traitance au<br />
profit de l'industrie pharmaceutique et des fabricants de<br />
dispositifs médicaux.<br />
B. Braun Medical emploie en France 1 400 salariés<br />
travaillant pour 4 divisions : la division Aesculap pour le<br />
matériel chirurgical à usage unique, les prothèses, le<br />
matériel de bloc opératoire, la division Hospital Care pour<br />
les médicaments destinés à la réanimation et à<br />
l’anesthésie ainsi que les dispositifs médicaux, mais aussi<br />
du matériel électro-médical comme les pousse-seringues,<br />
la division OPM pour les produits de stomie, les<br />
pansements, les produits d’hygiène et de désinfection<br />
ainsi que les produits pour soins à domicile, la division<br />
Medtech pour le consommable et les machines de dialyse.<br />
OEM / Industrial permet aux entreprises de l’industrie<br />
pharmaceutique d’acquérir les produits figurant au<br />
catalogue B. Braun Medical International, mais aussi de<br />
sous-traiter ou faire fabriquer à façon des solutions<br />
injectables ou des dispositifs médicaux. Notre maîtrise<br />
de la plasturgie à usage médical et notre équipement<br />
industriel assurent nos clients de disposer de dispositifs<br />
médicaux de qualité éprouvée. Travailler avec B. Braun<br />
Medical, c’est accéder au savoir-faire industriel d’une<br />
firme disposant de 40 unités de production spécialisées<br />
dans des domaines aussi divers que la production d’eau<br />
PPI, la fabrication de cathéters de sécurité, l’usinage de<br />
prothèses de hanche, la fabrication de tubulures de<br />
perfusion ou de sutures chirurgicale.<br />
<strong>La</strong> société exploite les technologies les plus avancées au<br />
profit de son outil de production de même qu’elle parfait<br />
la mise en œuvre de ses méthodes industrielles pour<br />
produire des solutions et des médicaments injectables et<br />
d'irrigations, des émulsions lipidiques et des solutions<br />
standards proposés en ampoules, poches et flacons de<br />
volumes variés autorisant des remplissages de 0,2ml à<br />
3000ml en contenants verre, PP, PE et poches<br />
multicouches, voire en bidon de 10 litres. Elle fournit un<br />
large éventail de dispositifs médicaux destinés à l’abord<br />
veineux, la perfusion, l’injection, la réanimation, au<br />
drainage, au cathétérisme, au recueil de liquides<br />
biologiques. Elle commercialise des sutures, certains<br />
types de pansements élaborés, mais aussi du matériel<br />
d’endoscopie ou des containers de stérilisation<br />
d’instruments chirurgicaux. Outre les 30 000 références<br />
de son catalogue, B. Braun Medical répond - avec la<br />
division OEM / Industrial - à la demande de fabrications<br />
spéciales de dispositifs médicaux adaptés à un besoin<br />
inhabituel, à celle de la réalisation de kits incluant<br />
médicaments et matériel à usage unique. OEM / Industrial<br />
peut apporter des solutions techniques ainsi que son<br />
concours dans les projets d’innovation “marketing<br />
CIT<br />
tiphaine.lemaire@citox.com<br />
Le CIT c’est déjà 30 ans d’expérience en évaluation de la<br />
sécurité des produits et en recherche pré-clinique. Issu<br />
du groupe Hoeschst Marion Roussel, le CIT devient en<br />
1999 un Centre de Recherche sous contrat indépendant.<br />
<strong>La</strong>boratoire leader en France, le CIT offre une gamme<br />
importante de services aux laboratoires pharmaceutiques<br />
en prestations de chimie analytique et de bioanalyse<br />
(développement de méthode, études de stabilité, contrôle<br />
de lots, détermination des propriétés physico-chimiques,<br />
préparation des dossiers pharmaceutiques et DMFs…)<br />
ainsi qu’en toxicologie, pharmacologie, pharmacocinétique,<br />
écotoxicologie et génotoxicologie.<br />
Le CIT travaille selon les standards internationaux les<br />
plus stricts notamment en matière de BPL et a été<br />
inspecté par les agences US-FDA et EPA, Japanese MHW<br />
et MAFF, EMEA …<br />
De nombreux laboratoires européens, américains et<br />
japonais confient une partie du développement de leurs<br />
médicaments au CIT.<br />
Parmi les 300 collaborateurs du CIT, 200 techniciens<br />
hautement qualifiés travaillent sous la responsabilité de<br />
35 cadres scientifiques : Docteurs en Pharmacie, Docteurs<br />
Vétérinaires, Docteurs en Sciences. Le dialogue, le conseil<br />
et l’expertise ont toujours été privilégiés au sein du<br />
laboratoire.<br />
Situé à Evreux, dans un parc de 20 hectares, les<br />
laboratoires du CIT occupent 12.000 m 2 et sont équipés<br />
des techniques les plus avancées.<br />
Reconnue dans tous les domaines de la pré-clinique et<br />
du développement pharmaceutique en général, le CIT<br />
souhaite renforcer en 2004 ses prestations analytiques<br />
dans l’esprit de partenariat qui a toujours été le sien.<br />
7
ESPACE EXPOSANTS<br />
8<br />
LE GROUPE CONFARMA<br />
confarma@wanadoo.fr<br />
<strong>La</strong> société CONFARMA a été créée en 1972 en Suisse en<br />
tant que société de conseil pour les petites et moyennes<br />
entreprises de l’industrie pharmaceutique. Aujourd’hui,<br />
le groupe CONFARMA est un des leaders mondiaux des<br />
services scientifiques pour les industries<br />
pharmaceutiques, cosmétiques et des dispositifs<br />
médicaux. Le groupe est actif sur le plan international<br />
grâce à ses implantations en Suisse, en Allemagne et en<br />
France mais aussi grâce à une équipe de professionnels<br />
qualifiés, expérimentés et continuellement formés aux<br />
techniques et réglementations (c-GMP, GMP/BPF et<br />
GLP/BPL) les plus récentes, et doté d’un équipement de<br />
pointe.<br />
<strong>La</strong> renommée de CONFARMA est due à la polyvalence de<br />
ses prestations et sa grande expérience. Ces activités<br />
multiples regroupent les analyses physico-chimiques,<br />
microbiologiques et pharmaco-toxicologiques dans le<br />
cadre du contrôle qualité, du développement et de la<br />
validation des méthodes analytiques, la qualification<br />
(physique et microbiologique) des zones de production<br />
avec leur partenaire ACC Services, les dossiers<br />
d’enregistrement, les homologations, les expertises, les<br />
publications scientifiques dans les journaux<br />
pharmaceutiques, 21 CFR part 11 : le développement des<br />
logiciels et des bases de données avec le partenaire<br />
<strong>La</strong>uber et Kron.<br />
<strong>La</strong> qualité CONFARMA est reconnue depuis plus de 30<br />
ans. Elle garantit des analyses d’un niveau de qualité<br />
c-GMP des plus élevés, toujours en conformité avec les<br />
dernières exigences et directives (par ex. : le FDA Aseptic<br />
Guide). Les laboratoires ont été audités favorablement à<br />
plusieurs reprises par la FDA (1997, 1998, 2000), la<br />
SWISSMEDIC (la première fois en 1974 et la dernière en<br />
2002), la BAG (1999, 2001, 2003), par l’AFSSAPS (1999,<br />
2002, 2003) et par plus de 200 partenaires, leaders<br />
mondiaux de l’industrie pharmaceutique. <strong>La</strong> validation<br />
informatique conformément aux exigences du 21 CFR<br />
part 11 a été auditée favorablement.<br />
En 2004, CONFARMA se positionne davantage sur le<br />
marché français, renforce son image européenne et<br />
s’ouvre vers les Etats-Unis.<br />
CREAPHARM<br />
cdacosta@creapharm.com<br />
CREAPHARM est une jeune société, créée en 1999. Elle<br />
a connu un essor rapide et dès 2001, 50% du capital est<br />
racheté par la société de production des principes actifs<br />
(PCAS). CREAPHARM regroupe 300 personnes qui<br />
traitent le développement pharmaceutique et le<br />
façonnage. Le laboratoire dispose de trois sites dont<br />
chacun présente une spécialité : le site de Bordeaux<br />
assure le développement galénique et analytique d’une<br />
part, la production et le conditionnement de lots cliniques<br />
d’autre part. Gannat, à proximité de Vichy, est responsable<br />
de la production des formes sèches en particulier les<br />
effervescents et l’équipe de Bessay dans l’Allier s’est<br />
orientée vers la production de formes liquides.<br />
<strong>La</strong> stratégie adoptée par CREAPHARM est la multi<br />
spécialisation intégrée, approvisionnement en matières<br />
premières, développements galéniques et analytiques,<br />
production, conditionnement et distribution des lots<br />
d’essais cliniques, essais pilotes, études de stabilité,<br />
études cliniques, contrôle qualité et production<br />
commerciale. Ses principaux partenaires sont les<br />
industries pharmaceutiques et les laboratoires de<br />
médicaments génériques.<br />
Depuis 2 ans, la société a pris une envergure européenne,<br />
avec de nouveaux partenaires en Allemagne, en Grande-<br />
Bretagne, et depuis peu, elle exporte le développement<br />
galénique et certaines études cliniques vers les Etats-<br />
Unis.<br />
CREAPHARM prend en charge un projet dans son<br />
ensemble, de la conception à la commercialisation. Elle<br />
représente un chiffre d’affaires de plus 30 millions d’euros<br />
et occupe une place de leader parmi les façonniers<br />
européens.<br />
CYBERCONSEIL<br />
eric.lemanchec@cyberconseil.com<br />
CyberConseil propose une expertise unique dans les<br />
métiers de la Validation, de la Qualité et de l'Ingénierie<br />
en contexte réglementé (FDA, AFSSAPS, ...). Sa valeur<br />
ajoutée est la connaissance approfondie des<br />
réglementations et ses applications au quotidien. Plus de<br />
100 consultants internationaux, qualifiés, rigoureux et<br />
pragmatiques, interviennent quotidiennement dans des<br />
projets de Validation de systèmes informatisés,<br />
automatisés, d'équipements et procédés en France, en<br />
Europe et aux USA.<br />
Spécialistes des industries de la Santé (pharmacie,<br />
cosmétique, chimie, dispositifs médicaux, …), ces experts<br />
interviennent en Recherche & Développement,<br />
Production, <strong>La</strong>boratoire de Contrôle et Distribution.<br />
CyberConseil dispose d'un réseau d'agences régionales<br />
en France et en Belgique. L’originalité et la force de<br />
CyberConseil est son ouverture internationale tout en<br />
développant une régionalisation stratégique : une relation<br />
de proximité avec ses partenaires. En Europe et aux USA,<br />
le groupe a mis en place la GVA (Globale Validation<br />
Alliance) qui assure la coordination des projets<br />
internationaux.<br />
CyberConseil assure des prestations de formation, d'audit,<br />
de conseil et d'assistance dont les principaux thèmes sont<br />
les méthodologies de prestations et les méthodes de<br />
validation développées par la société. Mais cette année,<br />
CyberConseil offre une nouvelle image dans l’équipement<br />
des laboratoires et des utilités de traitement de l’air et<br />
de l’eau et crée une nouvelle entité CyberConseil<br />
Validation Organisation. (www.cyberconseil.com).<br />
GRAL<br />
valerie.nolleau@gral.fr<br />
Partenaire et conseil des laboratoires de R&D, production<br />
et contrôle de l’industrie pharmaceutique humaine et<br />
vétérinaire, le GRAL est un laboratoire indépendant<br />
spécialisé dans le développement et la validation des<br />
méthodes analytiques et dans le dosage des molécules<br />
les plus diverses dans toute sorte de milieux : spécialité<br />
pharmaceutique, matrice biologique et végétale, matière<br />
première, produit cosmétique, … .<br />
Installé depuis 1994 à proximité du pôle Technologique<br />
et Universitaire de Montpellier (Hérault, France), le GRAL<br />
emploie aujourd’hui une dizaine de personnes formant<br />
ainsi une équipe pluridisciplinaire et expérimentée.<br />
Sur 300 m 2 de laboratoires climatisés, le GRAL peut<br />
répondre - dans un environnement BPL - aux nombreuses<br />
demandes de développement et de validation de méthodes<br />
analytiques, d’études de stabilité, d’études de pharmacocinétique<br />
et de résidus émanant de l’industrie<br />
pharmaceutique et cosmétologique grâce à un parc de<br />
matériel et d’équipement performants constitué de :<br />
• HPLC-UV/Visible/DAD/fluorimètre/réfractomètre, LC-<br />
MS, GC-FID/ECD/NPD, GC-MS, AA<br />
• Equipements de physico-chimie et de pharmacotechnie<br />
(dissolutest, duromètre, appareil de désagrégation, …)
ESPACE EXPOSANTS<br />
• Chambre et enceintes climatiques ICH, congélateurs<br />
(jusqu’à – 80°C) régulés en température et humidité<br />
et contrôlés par une centrale de monitoring.<br />
GRAL se distingue par son expérience et sa flexibilité ce<br />
qui lui permet d’appréhender toutes les problématiques,<br />
depuis le développement de nouvelles méthodes dans les<br />
matrices les plus diverses, leur validation selon des<br />
protocoles personnalisés ou standards jusqu’au dosage<br />
en routine dans le cadre d’études spécifiques (PK,<br />
Résidus, Stabilités, ….) ou pour du contrôle qualité.<br />
L’organisation et le dynamisme de GRAL permettent<br />
d’établir une relation personnalisée avec ses partenaires<br />
privilégiant ainsi le contact et la relation directe avec le<br />
chef de projet, dans le respect des délais et des BPL.<br />
IDPS<br />
mourgues@idpspharma.com<br />
L’Institut de Développement de Produits de Santé a vu le<br />
jour en 1999 à Artigues-près-Bordeaux. C'est une jeune<br />
société ayant une parfaite connaissance du développement<br />
pharmaceutique puisque ses co-fondateurs sont des<br />
pharmaciens issus de l'industrie pharmaceutique. Aussi,<br />
dès son ouverture, elle est agréée par l’AFSSAPS et dispose<br />
du statut de laboratoire pharmaceutique. Trois ans plus<br />
tard, en 2002, la société développe l’activité de fabrication<br />
de médicaments à usage humain et bénéficie de<br />
l’autorisation d’ouverture d’établissement vétérinaire. Mais<br />
IDPS ne s’arrête pas là et poursuit son objectif qualité : la<br />
reconnaissance de l’application des normes FDA et la mise<br />
en place des normes ISO 9001. IDPS se positionne<br />
spécifiquement dans le développement analytique,<br />
galénique, les suivis de stabilité ICH, la fabrication et la<br />
distribution de lots pour essais cliniques et les dossiers<br />
CTD. Le laboratoire est aussi habilité à produire des lots<br />
commerciaux de petite taille, médicaments orphelins ou<br />
ATU. L’unité BPF permet le traitement de produits dits<br />
sensibles tels que les anti-cancéreux ou les hormones. Ces<br />
projets correspondent à des interventions ponctuelles ou<br />
de longue durée, nécessaires au développement d'un<br />
médicament. IDPS établit alors une relation privilégiée<br />
avec ses clients et s’inscrit dans un réel partenariat.<br />
Sur une superficie totale de 2000 m 2 répartie en locaux<br />
de fabrication (600m 2 ), d’analyse (500m 2 ) et de<br />
distribution (300 m 2 ), l’entreprise est dotée d’installations<br />
et d’un équipement de haute technologie qui lui<br />
permettent de répondre aux exigences des normes en<br />
vigueur et de satisfaire pleinement les laboratoires<br />
pharmaceutiques et vétérinaires.<br />
IDPS regroupe aujourd'hui, 18 collaborateurs hautement<br />
qualifiés, pharmaciens, chimistes et ingénieurs chimistes<br />
et présente un chiffre d'affaires de près de 1,5 millions<br />
d'euros.<br />
IDPS est déjà reconnu, 60 partenaires lui font déjà<br />
confiance. <strong>La</strong> société est en plein essor et confirme son<br />
savoir-faire et sa qualité professionnelle par une<br />
collaboration étroite avec l'OMS pour l'obtention d'une<br />
AMM et le développement d'une molécule efficace dans<br />
le traitement de la Leischmaniose viscérale. IDPS est<br />
l’image d’une société dynamique qui se positionne<br />
confortablement sur le marché européen et international.<br />
(idps@idpspharma.com).<br />
LEBAS ENGINEERING<br />
contact@lebas-engineering.com<br />
LEBAS ENGINEERING dont le métier de base est la<br />
conception et la réalisation d’unités de production, se<br />
positionne sur des missions d’ingénierie à forte valeur<br />
ajoutée. Son expertise technique et scientifique, sa<br />
maîtrise des exigences réglementaires et de sécurité lui<br />
permettent de proposer des prestations de transfert de<br />
technologie, d’audit, de mise en conformité, de<br />
qualification, de formation en qualification et d’assistance<br />
à la validation.<br />
L’entreprise, dont le siège social est situé à Lille, capitalise<br />
depuis sa création en 1977 une expérience significative<br />
dont témoignent ses nombreuses références. L’entreprise<br />
a d’abord évolué dans le domaine de l’agro-alimentaire<br />
pour ensuite élargir son champs d’action à la cosmétique,<br />
la biotechnologie, la chimie fine et la pharmacie, secteur<br />
où elle réalise une part importante de son chiffre d’affaires<br />
que ce soient en formes sèches, en injectables ou en<br />
solutions buvables.<br />
Avec un potentiel d’étude et de suivi de réalisation de<br />
90 000 heures par an, LEBAS ENGINEERING intervient<br />
depuis l’étude de faisabilité jusqu’à la mise en service et<br />
la formation du personnel sur des projets clé en main ou<br />
de maîtrise d’œuvre. L’entreprise dispose d’un panel de<br />
ressources internes lui permettant d’intégrer le process,<br />
les utilités, le génie civil, les salles blanches/HVAC, les<br />
laboratoires, les centres de recherche, les centrales de<br />
pesée, notamment dans le cadre de la conception et de<br />
la construction d’usines complètes. LEBAS<br />
ENGINEERING propose également l’élaboration du<br />
“business plan et de son R.O.I.”<br />
LEBAS ENGINEERING se réalise pleinement à l’export,<br />
notamment en Chine, en Russie, en Inde, en Iran ou<br />
encore en Egypte... Pour ce faire, l’entreprise intègre des<br />
ressources de différentes cultures en interne (Russe,<br />
Indienne, Iranienne…). LEBAS ENGINEERING<br />
intervient également sur des transferts de site ou des<br />
délocalisations.<br />
LEBAS ENGINEERING c’est l’adaptabilité, la réactivité,<br />
la créativité pour un positionnement international<br />
grandissant.<br />
PANPHARMA<br />
jylaumont@panpharma.fr<br />
PANPHARMA est une société de capitaux familiaux<br />
français créée en 1983, par Pierre Richard Dick. En 1999,<br />
elle acquiert les laboratoires allemands ROTEX MEDICA,<br />
à Hambourg, appartenant au groupe de Chimie Fine Helm.<br />
ROTEX MEDICA fabrique dans son usine de Trittau une<br />
gamme de solutions stériles injectables : anesthésiques,<br />
analgésiques, antiallergiques, antibiotiques, hormones<br />
et vitamines. Avec 130 salariés, ROTEX MEDICA produit<br />
annuellement quelque 70 millions d’ampoules et 10<br />
millions de flacons de produits. Le chiffre d’affaires pour<br />
l’année 2003 atteint 20 millions d’euros pour une<br />
croissance de l’ordre de 8 à 10% par an depuis son<br />
acquisition. ROTEX MEDICA a une activité export (60%<br />
de son chiffre d’affaires), une activité de façonnage qui<br />
représente 38% de son chiffre d’affaires dont 60% sur le<br />
marché allemand. Aujourd’hui, PANPHARMA résulte de<br />
cette collaboration franco-allemande qui offre une<br />
nouvelle dimension à la société et dont l’union des<br />
compétences est une réussite.<br />
Les laboratoires PANPHARMA dont le siège social est à<br />
Fougères (35), est européen des poudres stériles<br />
injectables, avec 3 unités de production spécialisées, aux<br />
normes GMP les plus strictes. Les sites de production se<br />
répartissent sur le territoire français à Fougères (35) ; à<br />
Beugnon (56) et en Allemagne. Deux sites sont dédiés à<br />
la fabrication de poudre pour préparations injectables<br />
dont une est spécialisée dans la production des<br />
pénicillines et des céphalosporines. Avec 190 salariés, les<br />
laboratoires PANPHARMA produisent plus de 70 millions<br />
de flacons pour une soixantaine de produits répartis en<br />
trois catégories principales, les antibiotiques, les<br />
anesthésiques et les neuroleptiques. Les ventes sous<br />
marque PANPHARMA à l’international (45%), dans les<br />
hôpitaux et les cliniques (25%) et le façonnage (30%)<br />
représentent un chiffre d’affaires de 30 millions d’euros<br />
en 2003.<br />
L’atout majeur de PANPHARMA est la mise en oeuvre de<br />
diverses unités de production performantes, dotées d’un<br />
appareillage de pointe qui permettent de répondre avec<br />
efficacité à la demande de ses partenaires dans le respect<br />
des standards de qualité exigés par l’industrie<br />
pharmaceutique.<br />
PANPHARMA se distingue par une activité de façonnage<br />
et travaille avec des partenaires européens et américains.<br />
<strong>La</strong> société privilégie la transparence, la coopération,<br />
l’échange de ses expériences pour améliorer sans cesse<br />
la relation avec ses partenaires. Son objectif est de<br />
s’intégrer de façon plus importante dans l’univers du<br />
façonnage européen, de devenir le référent européen dans<br />
l’univers des médicaments injectables stériles et de<br />
renforcer sa présence internationale.<br />
9
ESPACE EXPOSANTS<br />
stérilité, les analyses microbiologiques et les<br />
identifications bactériennes, l’étude de l’efficacité de la<br />
conservation antimicrobienne.<br />
Pour en savoir plus : http://www.quality-assistance.com<br />
- évaluation sur site des teneurs en conductivité et COT<br />
en vue d’une optimisation des installations d’eau,<br />
- formation pour une utilisation de l’instrumentation<br />
analytique au maximum de ces performances.<br />
METTLER TOLEDO ANALYSE INDUSTRIELLE à travers<br />
sa gamme THORNTON se positionne aujourd’hui comme<br />
la référence des systèmes de mesure du contrôle des eaux<br />
pures et ultrapures sur le marché français.<br />
10<br />
QUALITY ASSISTANCE<br />
infos@quality-assistance.com<br />
Fondée en 1982 par un pharmacien d’industrie, Philippe<br />
DRAUX et un chimiste, Philippe DE RAEVE, QUALITY<br />
ASSISTANCE est un laboratoire belge qui se démarque par<br />
un haut niveau de compétences et d’assurance qualité.<br />
Récemment audité avec succès par la FDA (pas de forme<br />
‘483’), ce laboratoire est également agréé par le ministère<br />
de la Santé Publique belge (équivalence à l’établissement<br />
pharmaceutique) garantissant son respect des BPF. Enfin,<br />
il respecte pour les activités qui le requièrent, les BPL<br />
et les exigences de la norme ISO17025.<br />
Avec un chiffre d’affaires à l’export de 65% (UE & USA),<br />
QUALITY ASSISTANCE se positionne comme un des<br />
leaders européens sur son marché. Le profil de ses<br />
partenaires est très diversifié. On y retrouve notamment<br />
8 groupes pharmaceutiques du “TOP 10” mondial.<br />
Spécialisé dans la sous-traitance analytique, QUALITY<br />
ASSISTANCE se met au service des industries<br />
pharmaceutiques et biotechnologiques en leur proposant<br />
les prestations suivantes :<br />
• développement et validation de méthodes analytiques<br />
en physico-chimie, microbiologie et biotechnologie<br />
• études de stabilité : études en conditions ICH,<br />
photostabilité et interaction contenant-contenu<br />
• bio-analyses : dosage du principe actif et de ses<br />
métabolites dans les matrices biologiques<br />
• études cliniques humaines et vétérinaires<br />
• contrôle qualité lié à la libération des lots<br />
• validation des procédés de fabrication et de nettoyage<br />
De plus, il possède une grande expérience des produits<br />
complexes comme les produits hormonaux et les<br />
anticancéreux notamment.<br />
L’équipe constituée de 75 personnes se caractérise par<br />
sa grande stabilité et son souci de la communication qui<br />
lui permettent d’établir avec ses partenaires des relations<br />
professionnelles étroites et durables.<br />
L’information et la formation permanente du personnel<br />
permettent à QUALITY ASSISTANCE de se maintenir à un<br />
haut niveau de qualification et ainsi de répondre aux<br />
projets des partenaires avec efficacité et fiabilité.<br />
QUALITY ASSISTANCE occupe un site sécurisé de 3200 m 2<br />
abritant quatre entités : des laboratoires de biologie, de<br />
physico-chimie et de bioanalyse et une zone de stockage<br />
en chambres climatiques (300 m 2 de capacités).<br />
Le département de biologie s’étend sur plus de 800 m 2 et<br />
comprend 350 m 2 de zones à atmosphère contrôlée<br />
(2 salles blanches, 2 BL2 et 1 BL3) dédiées à la culture<br />
cellulaire, la biotechnologie et la microbiologie. Pour<br />
cette dernière, QUALITY ASSISTANCE offre une gamme<br />
de services liés à la maîtrise de la contamination<br />
microbienne des médicaments tels que les tests de<br />
THORNTON<br />
xavier.lestienne@mt.com<br />
Reconnue pour son expertise en mesure sur les eaux pures<br />
et ultra-pures à travers le monde entier, THORNTON<br />
travaille avec des industries où les exigences en matière<br />
de précision, fiabilité, qualité sont extrêmement<br />
rigoureuses : industrie pharmaceutique, industrie des<br />
semi-conducteurs, centrales énergétiques.<br />
Fondée en 1964 sur les travaux de recherche menés par<br />
le Dr Richard D. Thornton, professeur au MIT<br />
(Massachusetts Institute of Technology), la société<br />
THORNTON est actuellement considérée comme le leader<br />
incontesté des mesures de résistivité et de conductivité<br />
sur l’eau pure.<br />
En industrie pharmaceutique, THORNTON occupe une<br />
position de leader grâce à des systèmes de conductivité<br />
répondant parfaitement aux exigences des pharmacopées<br />
américaine, européenne et japonaise (USP/EP/JP).<br />
Depuis de nombreuses années, en effet, THORNTON<br />
participe à l’élaboration des normes et aux efforts<br />
d’harmonisation entre les différentes pharmacopées. Pour<br />
cela, elle coopère étroitement avec plusieurs organisations<br />
internationales comme l’ASTM, l’USP, SEMI. Au niveau<br />
de l’USP, THORNTON est représentée par son Directeur<br />
R&D, Anthony Bevilacqua qui préside actuellement le<br />
comité d’experts sur les eaux pharmaceutiques. Ce comité<br />
s’occupe notamment de l’actualisation des paragraphes<br />
et .<br />
Depuis janvier 2001, THORNTON fait partie intégrante<br />
du groupe METTLER TOLEDO PROCESS ANALYTICS.<br />
Les activités d’analyse industrielle des deux sociétés ont<br />
été fusionnées pour former un partenariat unique entre<br />
deux experts dans leur domaine respectif. L’expérience<br />
de THORNTON dans le domaine de la conductivité et du<br />
COT (Carbone Organique Total) complète l’expérience<br />
d’INGOLD dans les mesures du pH/Redox, de la turbidité,<br />
de l’oxygène dissous et du CO 2 .<br />
En France, METTLER TOLEDO ANALYSE<br />
INDUSTRIELLE, anciennement INGOLD FRANCE<br />
localisé à Paris, existe depuis plus de 30 ans et<br />
commercialise l’ensemble des systèmes THORNTON et<br />
INGOLD sur le marché Français. METTLER TOLEDO<br />
ANALYSE INDUSTRIELLE, entreprise certifiée<br />
ISO9001/2000, propose également toute une gamme de<br />
prestation de services permettant entre autre de s’assurer<br />
de la qualité des eaux pharmaceutiques :<br />
- vérification et ajustage sur site de systèmes de<br />
conductivité et COT pour garantir le fonctionnement<br />
optimum des systèmes de mesure,<br />
VEOLIA WATER STI<br />
frederique.lebouquin@vwater-sti.fr<br />
Eau purifiée, eau hautement qualifiée, eau ppi, VEOLIA<br />
WATER STI propose un panel inégalé de technologies et<br />
de services dédiés au traitement des eaux industrielles de<br />
la chimie et de la pharmacie, process de fabrication,<br />
aspects économique et environnemental.<br />
Basée à Antony (92), VEOLIA WATER STI comprend plus<br />
de 60 personnes réparties dans un département d’études<br />
de l’eau purifiée, un département laboratoire dénommé<br />
ELGA spécialisé dans les installations de laboratoire et<br />
la mise en place des fournitures, un service de<br />
déminéralisation, AQUADEM et un service après vente.<br />
VEOLIA WATER STI est une filiale du plus grand fabricant<br />
mondial de systèmes de l’eau, intégrée dans plus de 100<br />
pays. En France, 90% de son marché est représenté par<br />
les industries pharmaceutiques et 10% par l’industrie<br />
cosmétique et la chimie fine.<br />
Du système standard à l’installation clé en main, VEOLIA<br />
WATER STI apporte une réponse concrète à ses clients<br />
partenaires, en leur garantissant le respect des normes<br />
les plus strictes du marché (USP, phEUR, GAMP, cGMP,<br />
FDA, ISPE…) et les combinaisons performantes de<br />
techniques adaptées à chaque besoin spécifique<br />
(électrodéionisation, osmose inverse, déminéralisation,<br />
désinfection thermique, micro-ultra-nano filtration,<br />
ultraviolets…). VEOLIA WATER STI est adhérente <strong>A3P</strong>,<br />
ASPEC, CIFL, ISPE, SFSTP, SNITER.<br />
<strong>La</strong> démarche services aux industries de VEOLIA WATER<br />
STI est fondée sur leur engagement constant à fournir de<br />
la qualité et à satisfaire tous ses clients à travers un<br />
service de proximité optimal (intervention sur toute la<br />
France depuis les 7 agences régionales (Nord, Ile de<br />
France, Bretagne, Littoral, Rhône-Alpes, Midi-Pyrénées,<br />
Paca), numéros nationaux hotlines, service unique de<br />
dépannage d’urgence « SOS Eau Purifiée »…). Répondre<br />
et satisfaire aux besoins en matière d’eau purifiée, établir,<br />
concrétiser et maintenir une collaboration étroite avec les<br />
industriels pharmaceutiques, biotechnologiques ou les<br />
partenaires fournisseurs sont les objectifs majeurs de<br />
VEOLIA WATER STI. Mais, 2004 sera surtout la promotion<br />
d’Orion, la nouvelle génération de systèmes intégrés de<br />
production d’eau à usage pharmaceutique. ■
PUBLI-INFORMATIONS<br />
ACM Pharma - BP 27 - 34 avenue du 21 août 1944<br />
45270 BELLEGARDE<br />
Tél : 02 38 90 41 01 - Fax : 02 38 90 41 10<br />
Email : acm.epmf@wanadoo.fr -Site : www.acmpharma.com<br />
Etablissement pharmaceutique fabricant - Contrôle microbiologique des médicaments<br />
Décision AFSSAPS n° F02/115<br />
Un nouveau service ACM Pharma :<br />
Contrôle ultra-rapide des eaux<br />
par cytométrie sur filtre (Chemscan®).<br />
Résultats le jour de réception.<br />
Contactez-nous.<br />
Un laboratoire de microbiologie<br />
moderne et performant<br />
au service des industries<br />
cosmétiques et<br />
pharmaceutiques<br />
Partenaire Européen<br />
pour les formes parentérales<br />
Façonnage de produits finis<br />
Fabrication de lots pilotes<br />
Interrogez-nous<br />
et étudions ensemble<br />
votre projet !<br />
<strong>La</strong>boratoires PANPHARMA S.A.<br />
Z.I du Clairay - Luitré - 35 133 FOUGÈRES - France<br />
Tél. (33) 02 99 97 92 12 - Fax (33) 02 99 97 91 27<br />
e-mail : panpharma@panpharma.fr<br />
Rotexmedica GMBH Arzneimittelwerk<br />
Bunsenstrasse 4 - D 22946 TRITTAU - Allemagne<br />
Tél. (+49) 4154 862-0 - Fax (+49) 4154 862-155<br />
e-mail : info@rotexmedica.com<br />
Production annuelle<br />
75 millions de flacons<br />
> Répartition en milieu aseptique de Poudres<br />
pour Préparation Injectables.<br />
> Pénicillines, Céphalosporines, Autres poudres<br />
non-betalactamines.<br />
> Deux sites spécialisés, trois unités<br />
de production séparées.<br />
Conditionnement en flacons de 8 ml à 100 ml.<br />
Production annuelle 70 millions d’ampoules<br />
et 10 millions de flacons<br />
> Fabrication de préparations injectables : liquides et<br />
suspensions.<br />
> Anesthésiques - Corticoïdes - Hormones - Neuroleptiques -<br />
Vitamines.<br />
> Trois lignes de production.<br />
Conditionnement en ampoules de 1ml à 25 ml<br />
et en flacons de 6 ml à 100 ml.<br />
11<br />
Direction Générale / Commerciale :<br />
23, rue Bossuet, Z.I. <strong>La</strong> Vigne aux Loups - 91160 LONGJUMEAU<br />
Tel. : 33 (0)1 69 74 18 00 – Fax : 33 (0)1 69 74 18 09<br />
DEVELOPMENT AND PRODUCTION OF DRUGS SUBSTANCES<br />
With one site dedicated to Research & Development and two sites dedicated to contract manufacturing in Pharmaceutical Services, Creapharm is able to offer a full service to<br />
the pharmaceutical industry under the highest quality standards, from development of new formulations for clinical trials to commercial manufacturing.<br />
- Creapharm Bordeaux: one plant dedicated to<br />
• Analytical and formulation development<br />
• Clinical trial manufacturing and packaging<br />
• Clinical supply services: Import and Logistics<br />
- Creapharm Gannat: one plant dedicated to<br />
• Manufacturing and packaging of solid dosage forms<br />
- Creapharm Bessay: one plant dedicated to<br />
• Manufacturing and packaging of liquid and topical forms
V OUS ET NOUS<br />
Vous souhaitez :<br />
- Faire part de vos observations ou suggestions<br />
sur les éditions du journal <strong>La</strong> <strong>Vague</strong><br />
- Soumettre un article au Comité de rédaction<br />
- Faire paraître un Publi-Information<br />
- Obtenir des informations sur l’activité de l’Association<br />
et les évènements organisés<br />
Contactez : <strong>A3P</strong> SERVICES<br />
22, Rue Aristide Briand - 45220 CHATEAU-RENARD<br />
Tél : +33 (0)2 38 071 071<br />
Fax : +33 (0)2 38 071 072<br />
e-mail : a3p@a3p.asso.fr - www.a3p.asso.fr<br />
Florence Pousset Partenaires-fournisseurs et<br />
partenaires-clients ont<br />
réalisé au cours de ces 2 es Rencontres que le point<br />
critique du partenariat est un besoin de<br />
communication dans toutes les phases de<br />
l’élaboration du processus. Chaque partie a pu<br />
prendre conscience de l’importance d’une étroite<br />
collaboration. L’optimisation d’échanges<br />
constructifs et une reconnaissance réciproque de la<br />
valeur de chacun est indispensable au<br />
développement du partenariat et à sa pérennité. <strong>La</strong><br />
concrétisation de ce processus est la rédaction du<br />
Modèle Optimal de Partenariat (MOP). Le MOP est<br />
un outil d’évaluation du niveau des relations entre<br />
partenaires qui facilite le partenariat. Le transfert<br />
de technologie, la démarche qualité et le contrat<br />
CONCLUSION<br />
se sont révélés être les points les plus importants<br />
à considérer pour développer ces nouvelles<br />
relations. Ces thèmes ont été abordés au cours des<br />
divers ateliers. <strong>La</strong> réflexion et la concrétisation du<br />
MOP pour chacun d’eux se situent à différents<br />
niveaux de réflexion : le transfert de production<br />
nécessite encore une réflexion consensuelle, la<br />
démarche contrat a été structurée au cours de ces<br />
2 es Rencontres alors que la démarche qualité avait<br />
déjà été élaborée dans un premier document. Le<br />
MOP prend forme progressivement. Il est évolutif et<br />
s’enrichira grâce aux expériences de chacun et au<br />
développement d’autres outils qui optimiseront les<br />
relations entre les partenaires. Ce développement<br />
nécessite de futures réflexions et concertations à<br />
l’occasion d’événements <strong>A3P</strong>. ■<br />
12<br />
PROCHAINEMENT<br />
Les 8 et 9 juin 2004 <strong>A3P</strong> organise<br />
les 4 es Rencontres <strong>A3P</strong> de Microbiologie<br />
à Tours.<br />
Pourquoi des Rencontres de Microbiologie ?<br />
Parce que face à la demande légitime des<br />
consommateurs, les industries agroalimentaires,<br />
cosmétiques et<br />
pharmaceutiques sont confrontées aux<br />
exigences croissantes des autorités, en<br />
particulier par l’application de plus en plus<br />
fréquente du principe de précaution.<br />
Parce que les questions liées au coût, au<br />
délai des contrôles et aux investissements<br />
possibles autour des méthodes alternatives<br />
sont une préoccupation commune des<br />
responsables des industries concernées.<br />
Pourquoi une 4 e édition ?<br />
Parce que la microbiologie en évolution<br />
constante, conjugue différentes méthodes<br />
utilisées par les laboratoires. Parce que <strong>A3P</strong><br />
juge indispensable de communiquer afin<br />
que les professionnels puissent suivre les<br />
évolutions techniques et réglementaires.<br />
Parce qu’enfin il paraît primordial que les<br />
contacts, entre les participants<br />
professionnels d’horizons différents<br />
répondant aux mêmes exigences, amorcés<br />
lors des trois premières éditions continuent<br />
de se renforcer lors des conférences, des<br />
ateliers interactifs, et au travers du pôle<br />
prestataire.<br />
Pourquoi à Tours ?<br />
Parce que la région du Val de Loire<br />
regroupe un grand nombre de sociétés<br />
impliquées dans ce domaine. Parce que la<br />
configuration du Centre des Congrès Vinci<br />
en espace ouvert permet une interactivité<br />
entre les conférences, l'exposition et les<br />
ateliers.<br />
Comme les premières éditions, les<br />
conférences aborderont la microbiologie<br />
d’un point de vue technique, pratique ou<br />
réglementaire.<br />
le pôle prestataire sera l’opportunité pour<br />
les laboratoires d’analyses de présenter<br />
leurs activités et services, et aux autres<br />
participants de mieux connaître le marché.<br />
Le pôle interactif, organisé avec les sociétés<br />
partenaires, AES/Chemunex, bioMérieux,<br />
Millipore et Pall fera le point sur différentes<br />
techniques alternatives existantes et<br />
présentera plusieurs appareils.<br />
<strong>A3P</strong> s'engage à concevoir un programme<br />
riche et complet pendant ces deux jours de<br />
travail et d'échanges avec une règle qui lui<br />
est chère, régir la rencontre de<br />
professionnels dans une ambiance<br />
conviviale. Pour ce faire et selon l’usage,<br />
les déjeuners seront pris en commun sur<br />
place, les pauses seront servies sur les<br />
stands, une libre circulation conférence<br />
stand et ateliers sera ouverte à tous et un<br />
dîner de gala à la hauteur des précédents<br />
sera organisé par <strong>A3P</strong>.<br />
Pour plus de renseignement contacter :<br />
<strong>A3P</strong> Services - Tél : 02 38 071 071 - Fax : 02<br />
38 071 072 - Email : info@a3pservices.com<br />
- www.a3p.asso.fr ■<br />
de Microbiologie<br />
les 8 et 9 juin 2004 au Centre de Congr s Vinci Tours<br />
Microbiology Meeting<br />
atthe VinciCongressHall- Tours (France) the 8 th and 9 th of june, 2004<br />
Traduction simultan e fran ais/anglais<br />
Simultaneous translation in English and French<br />
¥16conf rences<br />
et 4 ateliers interactifs<br />
¥16 lec tures<br />
and 4 interactive workshops<br />
¥Ateliers interactifs anim s<br />
par les partenaires<br />
¥W orkshops animated<br />
by the sponsors<br />
En partenariatavec<br />
Cosponsored with<br />
¥Stands des prestataires<br />
de services<br />
¥Exhibition of suppliers<br />
of microbiology services<br />
Ce numéro vous a plu, faites le circuler<br />
LA VAGUE - REVUE DE LIAISON DES ADHÉRENTS DE L’ASSOCIATION <strong>A3P</strong>. • <strong>A3P</strong> ASSOCIATION, BP 20116 45201 MONTARGIS • TÉL. 02 38 071 071 • E-MAIL : info@a3pservices.com • DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : GÉRARD RUMPLER, PRÉSIDENT DE L’ASSOCIATION <strong>A3P</strong><br />
RÉDACTRICE EN CHEF : MONIQUE DECRULLE • MEMBRES DU COMITÉ DE RÉDACTION : J.L. BRIAU-GENESTE, D. MEYER, F. MOREL, J. NAVELLOU, E. PETAT • COORDINATEURS TECHNIQUES: FRÉDÉRIC ESTASSY, THIERRY ZIMMER • AVEC LA COLLABORATION DE FLORENCE POUSSET<br />
IMPRIMEUR ET GRAPHISTE : PHARMAPOST 573, AVENUE D’ANTIBES, B.P. 401 AMILLY, 45204 MONTARGIS • ASSOCIATION RÉGIE PAR LA LOI DE 1901. DÉPÔT LEGAL : MARS 2004. ISSN 1298-0471 • N° DE SIRET 388 277 923 000 16<br />
Les articles publiés dans la revue n’engagent que la responsabilité de leurs auteurs.