dpo_10431.pdf

C £ IV E A L O G I Q U E S 29important s'égare; on n'a plus a craindred'étre réduit a fureter dans töüsOblervationsfur lesles coins d'un temple ruiné , pourdéterrerles veftiges de fes ancêtres. épitaphes.II feroit a defirer que la puilTancelégiflatrice nxat une époque au-delTusde laquelle les épitaphes auröient lamême authentieke que ces vieuxparchemins oü fon retrouve a peincles traces des fceaux dönt i Is devroientêtre munis. Tout ce qui feroit plüsrécent feroit regardé comme fufpect,tant qu'il ne feroit pas appuyé par despreuves eerkes. Cependantje ne voudroispas non plus que les épitaphesmodernes fufïent tout-a-fak taxéesd'inutilité. Si elles ne font plus déformaisdes titres, elles doivent encorefervir a les indiquer. Combien negagnera-t-on pas dans fes recherches,lorfqu'une pierre bien confervée rappellerale num, les parens, f%e, laréfidence de celui dont on chercherales preuves ? Lorfqu'on apprendra auprémier coup d'ceil dans quel greffe,a qitélle anhée, a qüel jour précis ondevra trouver, par exemple, un acted'inhumation ? C'eri eft aflez pourengage'r la nóbleffe a entretenir fesépitaphes. II me refte un mot a direfur les armoiries dont elles fontordinairement entourées. II ne fautpas trop fe fier a 1'ordre que 1'ou afuivi & qu'on fuitmême aujourd'hui