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etat initial - Ville de Chaville

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3. Localisation du parc <strong>de</strong> logements sociauxLa plupart <strong>de</strong> ces logements est concentrée en rive gauche,notamment en <strong>de</strong>çà <strong>de</strong> la ligne SNCF Paris-Montparnasse dans le quartierdu Pavé <strong>de</strong>s Gar<strong>de</strong>s et <strong>de</strong> la rue du Gros Chêne (cf. carte <strong>de</strong> localisation).. Les ménages habitant dans le parc HLM disposent d'un revenuinférieur à la moyenne départementale. Un parc social financé à 70% en HLM/O contre 1,4% pour le PLA. Une faible évolution du parc social <strong>de</strong>puis 1989 avec une reprisemodérée <strong>de</strong> 1995 à 1999.. Une importante concentration <strong>de</strong> logements sociaux en rive gauche,<strong>de</strong> part et d'autre <strong>de</strong> la ligne SNCF Paris-MontparnasseEn résumé, les évolutions socio-économiques <strong>de</strong> la commune montrentque le Plan d'Occupation <strong>de</strong>s Sols <strong>de</strong> la commune doit aujourd'hui faireface à plusieurs phénomènes :- l’augmentation <strong>de</strong>s moins <strong>de</strong> 10 ans- l’arrivée <strong>de</strong> couples avec enfants- le vieillissement du profil communal s’est stabilisé pour la part<strong>de</strong>s plus <strong>de</strong> 75 ans (7,5% en 1999 contre 7,2% en 1990 et 4,5% en 1975)- la tranche <strong>de</strong>s 60 – 74 ans continue à augmenter- l'image pavillonnaire rési<strong>de</strong>ntielle « propriative » dominante en1990 (48,3% <strong>de</strong> propriétaires) a progressé en 1999 (50,3% <strong>de</strong>propriétaires)- augmentation <strong>de</strong>s familles monoparentales- la répartition du parc locatif <strong>de</strong> la commune reste déséquilibrée(Les logements sociaux caractérisent les secteurs <strong>de</strong> rénovation urbaine<strong>de</strong>s années -1980 en rive gauche <strong>de</strong> l’avenue Salengro et les secteurs <strong>de</strong>faubourg anciens et <strong>de</strong> surcroît le locatif privé domine :29% <strong>de</strong>s rési<strong>de</strong>nces principales en 1990 contre 17,7% au locatif social).Cette évolution a d'ailleurs <strong>de</strong>s conséquences sur l'organisation urbaine<strong>de</strong> la commune. Ainsi en 1998, il était prévu <strong>de</strong> renforcer plusieurs centres<strong>de</strong> quartiers :- Redynamisation <strong>de</strong>s Créneaux;- Requalification du Bas <strong>de</strong> <strong>Chaville</strong>, émergence d’un cœur <strong>de</strong> ville surl’îlot Paul Bert, Puit sans vin, au carrefour principal <strong>de</strong> la commune.Ce renforcement est en cours sur ces secteurs. Il est très avancé sur leBas <strong>de</strong> <strong>Chaville</strong>, Les Créneaux évoluent en pôle administratif social, et lesecteur Paul Bert / Puit Sans Vin, dans la cadre du futur centre-ville, est enpartie réalisé et reste à achever.L’amélioration <strong>de</strong> la fluidité au sein <strong>de</strong>s parcs locatifs, tant privésque sociaux, <strong>de</strong>vient un objectif prioritaire...- La mobilité au sein du parc est faible (6% en 1990),...pour la régulation du marché local du logement :- 650 personnes recensées étaient en attente d’un logement socialau 1 er mars 1996,- La diversification <strong>de</strong> l’offre <strong>de</strong> logements reste insuffisante(taille, statut d’occupation, prix...)- Un fort mouvement <strong>de</strong> décohabitation : 53% entre 1982 et 1990,21% pour les Hauts-<strong>de</strong>-Seine.P.O.S. <strong>de</strong> <strong>Chaville</strong>, 13/02/2007 - PAGE 42

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