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20 Sport[Brèves]La Ville a remisses Trophées sportifsPlacée sous le signe du sportet de ses valeurs, la cérémoniedes vœux de la municipalité(lire p. 5), qui se déroulait le12 janvier dernier au gymnasedu Charlaix, était une belleoccasion de saluer les résultatset le travail des sportifs, desgestionnaires et bénévoles desclubs.Trois trophées ont été remis parJosiane Jankowski et Jean-François Roux, respectivementadjointe et conseiller municipaldélégués au sport.[Événement]ZEN ATTITUDEÀ mi-chemin entre les arts martiaux « traditionnels » et le yoga,l’Aïkido de Sumikiri n’est pas un simple sport, mais plutôt unart de vivre. Idéal pour évacuer les tensions, il peut se pratiquerà tout âge.À première vue, l’aïkido de sumikiri s’apparente à du judo. En effet, il se pratique à deux et aboutit à lachute de l’un ou l’autre sur un tatami. Mais il s’agit là d’un des rares points communs entre ces deuxarts martiaux, aux philosophies plus éloignées qu’il n’y paraît. « L’aïkido de sumikiri n’est pas un sportde combat, mais un art d’esquive. On évolue ici non pas contre un adversaire, mais avec un partenaire.Le but ultime, c’est la mise des énergies ensemble, parvenir à ne faire qu’un avec son partenaire. On nefait pas chuter ce dernier pour le dominer, mais simplement pour lui permettre d’esquiver la douleur »,explique Fabienne Gruillet, l’enseignante principale du Meylan Aïkido de Sumikiri.Pour Gérard Vaussenat, autre enseignant du club, « l’aïkido de sumikiri est une sorte de yogadynamique. Il est basé sur la respiration, et non pas sur un travail musculaire. La prise de consciencedu ki – centre de gravité – est essentielle. Chacun de nos gestes doit être lié à ce ki, afin de fairecirculer l’énergie dans l’ensemble du corps. Cela permet d’obtenir le maximum d’efficacité avec leminimum d’effort. » C’est pourquoi on peut le pratiquer à tout âge. Certains membres du club ontd’ailleurs commencé l’aïkido de sumikiri à 65 ans !S’il existe des ceintures – jusqu’à la noire, à l’instar d’autres arts martiaux – cette discipline ne sepratique pas en compétition. « Ce serait contraire à son esprit, juge Fabienne Gruillet. L’aïkido desumikiri exige de s’apaiser soi-même pour recevoir l’autre et l’apaiser. Alors que l’aïkido traditionnel estavant tout un enchaînement de gestes techniques, sans âme, cette variante a une vraie dimensionpsychologique. C’est une philosophie de vie qu’on exprime aussi bien au quotidien que sur le tatami. »• Le trophée de la performanceindividuelle a été décerné àTimothée Andriamanantena,champion du monde debreakdance.Infos et inscriptions : 04 76 90 05 44 / 06 87 83 79 89Martin LégerMembre du Nautic Club Alpes 38 (issu de la fusion des clubs du GUC d’Echirolleset de Meylan), David Smétanine s’entraîne quatre fois par semaine à la piscine des Buclos,pour préparer les Jeux paralympiques de Londres, du 29 août au 9 septembre. Il vise le titresur le 50, le 100 et le 200 mètres nage libre et au moins un podium sur 50 mètres dos.• Claude Maugiron, présidentde l’ES Rachais, a reçu letrophée de la performancecollective.• Le trophée du dévouement asalué les 41 saisons de MaxLugat au sein de Meylanhandball.Meylan ma ville|février-mars 2012