loc-notesmusiqueConfort Moderne• Pony Pony Run Run, jeudi11 février à <strong>21</strong>h.• Local Techno Player,vendredi 12 février à <strong>21</strong>h.• Clues (folk rock) et DD/MM/YYY (Opo bruitiste),dimanche 14 février à <strong>21</strong>h.Maison des Trois Quartiers• Saul et les Pleureurs,samedi 27 février à 20h30.Salle de la Comberieà Migné-Auxan<strong>ce</strong>s• Méli, mélo, vendredi26 février à 19h30.THéâTRE/CONTESTAP• Pocamambo, spectaclepour la jeunesse, du mardi23 au vendredi 26 févrierà 19h30.• Sound of choi<strong>ce</strong>, mercredi24 et jeudi 25 février à20h30.Centre Multimédiade Jaunay-Clan• Y’a quoi dans <strong>ce</strong>s cartons,mercredi 17 février à14h30.• Elisabeth Buffet, vendredi26 février à 20h30.CINéMAMéga CGR de Buxerolles• “Thelma, Louise etChantal”, mardi 9 févrierà 20h.DANSELa Passerelle• Juniors Ballet, samedi27 février à 20h30.EXPOSITIONSConfort moderne• “Mais ! Où est ma scène ?”de Théodore Fivel jusqu’au3 avril.Galerie Rivaud• Exposition photographique“Rêveries en sous-bois”de Michel Béguin, du 5 au27 février.Médiathèque• Carte blanche à ThierryGroensteen, jusqu’au27 février.Espa<strong>ce</strong> Mendès-Fran<strong>ce</strong>• Changement climatique etdéveloppement durablejusqu’au 23 mai.• Comment tu comptes,jusqu’au 4 avril.Galerie Louise-Michel• Paysages d’intuition dePascal Remita, en janvieret février.expositionThéodore Fiveldans tous ses étatsLe Confort Moderneaccueille “Mais !Où est ma scène ?”l’exposition deThéodore Fivel, unartiste fantasqueà l’imaginationdébridée.n Christophe Mineaucmineau@7apoitiers.frEn perpétuel mouvemententre Paris et New York,Théodore Fivel incarne lacréativité tous azimuts. Seul ouau gré de ses rencontres, <strong>ce</strong>t artistefantasque a toujours créédes objets, pratiqué la peinture,l’assemblage, mais aussila musique, la vidéo et l’imagesous toutes ses formes.Celui qui a grandi dans le Parisalternatif des années 80 et 90est un des acteurs privilégiésdes tendan<strong>ce</strong>s nouvelles et despratiques artistiques urbaines,de la musique électronique àla mode, plus globalement dela culture “underground”.u orgie créatri<strong>ce</strong>“Mais ! Où est ma scène ?”,l’exposition qu’il présenteau Confort Moderne jusqu’au3 avril, est une ode à sonimagination débridée et à sacréativité quasi sans limite,ouverte à toutes les formesd’art les plus audacieuses.L’univers de Théodore Fivel, résolumentpaïen et ésotérique,relève d’une véritable confrontationvirile entre le travail desmatériaux nobles tels la soieou la feuille d’or et <strong>ce</strong>ux qui neSpectacle“Y’a quoi dans <strong>ce</strong>s Cartons”Vingt ans désormais que Michel Lefort et Chantal Petit,deux artistes châtelleraudais habités par le théâtre, créentdes comédies musicales pour illuminer le regard des petitset des grands. Depuis deux dé<strong>ce</strong>nnies, “Suzie dans la villemystérieuse”, “L’histoire du pays Bulle”, “Le voyage deMartin” ou “La flûte d’or” rencontrent un vif succès.Le nouveau spectacle de la Compagnie Clin d’Œil, “Y’a quoidans <strong>ce</strong>s cartons” propose quinze chansons et saynètes pourillustrer la différen<strong>ce</strong>, et aider à comprendre <strong>ce</strong> drôle de mondequi nous entoure. Le tout constitue un univers d’une incroyablevitalité où les fantômes de “Suzie”, “Léon Froussard” ou le“Magichien” reviennent pour nous dessiner un environnementde dou<strong>ce</strong>ur, drôlerie et tendresse, tout en semant une grainede curiosité dans le public.Mercredi 17 février au Centre Multimédia de Jaunay-Clan.le sont plus comme le polypropylèneou le pétrole, souilléespar une humanité décadente.Les visiteurs, forcément intrigués,tant par les œuvres quepar le bonhomme, investirontl’antre de Théodore Fivel,un temple sacré forcémentésotérique où trôneront cinqœuvres : d’étranges tuniquestout en silhouettes, un masquemonumental, véritable sculptureaux courbes digitales, unephotographie grand format aurelief singulier représentantune figure féminine -une divinitéégyptienne ?- dans uneposition animale de sphinx oude louve un tableau de sableensanglantée par un arc enciel figé dans un plexiglas etune pyramide miniature quedéglingue un laser cosmique !Les œuvres de Théodore Fivel7 à faireThéodore Fivel se met à nu.révèlent donc une confrontationentre les inspirationsiconographiques an<strong>ce</strong>straleset les images médiatiquesd’aujourd’hui. Avec, chez <strong>ce</strong>tartiste atypique, une passionpour l’exotisme, l’orientalismeet les icônes païennes.Pour comprendre ThéodoreFivel, un seul mot d’ordre :investir son antre luxuriante ethétéroclite !PeinturePaysage multi-fa<strong>ce</strong>ttesDepuis mai 2005, la Galerie Louise-Michel fait vivre l’artcontemporain dans le quartier de Bellejouanne, permettantsa découverte par le plus grand nombre. Lieu d’exposition etde création, la Galerie Louise-Michel s’ouvre aussi aux artistesen résiden<strong>ce</strong>. Jusqu’à la fin avril, Pascal Remita propose uneexposition de peinture de paysages peu ordinaire qui projettel’amateur d’art dans l’espa<strong>ce</strong>, le plaçant au-dessus de territoiresparfois mystérieux, <strong>voir</strong>e énigmatiques, saisissants et parfoisfamiliers. Cet artiste-peintre a la particularité de travailler à partirde ses propres reportages photographiques, mais aussi d’imagesbasse résolution empruntées aux médias. “Paysage d’intuition”ouvre le regard sur une nouvelle exploration, l’univers de lamontagne, du froid, du blanc. Jusqu’à l’éblouissement…Jusqu’à la fin février à la Galerie Louise-Michel25, rue Edith Piaf 05 49 54 86 35.22www.7apoitiers.fr >> N° <strong>21</strong> >> du mercredi 10 au mardi 16 février 2010
sur la toileLa toile à la vie à la mortLes donnéespersonnellesvirtuelles fleurissentsur Internet. Comptesde messagerie, blogs,pages personnellessur les réseauxsociaux… Mais existet-ilune vie après lamort sur le web ?n Arnault Varanneavaranne@np-i.fr“Chez Yahoo !, nous <strong>ce</strong>rtifionsque les activités enligne sont confidentielles,même après la mort.” Le messagede la firme californienneest limpide : pas question derestituer quelque message que<strong>ce</strong> soit aux héritiers d’un défuntdont le compte de messagerieserait estampillé Yahoo ! Etpourtant, il y eut un précédent.En 2005, la justi<strong>ce</strong> américaineavait exigé que la société deservi<strong>ce</strong>s fournisse un CD à la familled’un Marine tué en Irak.De son côté, Hotmail livreégalement un CD contenantles messages en mémoiresi et seulement si la famillefournit un <strong>ce</strong>rtificat de décès etune autorisation d’un juge enréféren<strong>ce</strong>mentDonner du reliefà son nom de domaineChoisir le bonnom de domainepour un meilleurréféren<strong>ce</strong>mentné<strong>ce</strong>ssite de bienconnaître les moteursde recherche.Quelques astu<strong>ce</strong>s.n Arnault Varanneavaranne@np-i.frÀ la question de sa<strong>voir</strong> quel est lebon nom de domaine à acquérirpour un meilleur référen<strong>ce</strong>mentsur Internet, il n’existe pas de réponsegravée dans le marbre…Paradoxalement, si utiliser lenom de son entreprise ou de samarque apparaît logique, unetelle stratégie s’en trouve limitéesur les moteurs de recherche. Ilvaut mieux évoquer son activitéprincipale, si possible avecplusieurs mots séparés par destirets afin que tous soient pris encompte par un Google, Yahoo ouun Altavista. Reste à sa<strong>voir</strong> si lastratégie de communication del’entreprise est en accord avecles contraintes des moteurs derecherche.Le réseau social Fa<strong>ce</strong>book transforme les pages personnelles de ses “clients” en “mémoriaux”.Le fait d’utiliser des noms dedomaine en un seul mot est pénalisantpour le référen<strong>ce</strong>ment.Néanmoins, l’accès au site peutêtreoptimisé en entrant dans ledétail de l’adresse “url”. Chaquepage devra alors a<strong>voir</strong> son “url”faisant apparaître un mot clé àla suite du nom de domaine.Exemple : http://www.tartempion.com/con<strong>ce</strong>ssionnaire/voitures/occasion.htmlUn nom de domaine en adéquationavec le contenu du site représente30% du référen<strong>ce</strong>mentpar les moteurs de recherche.Des outils de mesure évaluentd’ailleurs aujourd’hui l’utilisationde <strong>ce</strong>rtains mots. Autrement dit,les tendan<strong>ce</strong>s de recherche. Pourn’en citer qu’un, Google a mis enligne l’année dernière un outild’analyse permettant de sa<strong>voir</strong>si une expression est souventtapée sur son moteur de rechercheen fonction des variationssaisonnières, et d’autres facteurssimilaires. Cet instrument donneaussi la possibilité de comparerplusieurs expressions sur lemême graphique.bonne et due forme. À chacunsa manière de fonctionner. CarGoogle et son “Gmail” vontmême jusqu’à autoriser leswww.7apoitiers.fr >> N° <strong>21</strong> >> du mercredi 10 au mardi 16 février 2010proches à gérer les courriels.D’une manière générale toutefois,un compte non actif pendantplus de neuf mois passetechnoipso facto de vie à trépas. Voilàpour les messageries. S’agissantdes réseaux sociaux, ladonne est différente. Fa<strong>ce</strong>book,par exemple, capitalise de manièreoriginale sur les pagespersonnelles transformées en“mémoriaux”. Les internautespeuvent y déposer des messagesen hommage au disparu.En revanche, seuls les proches“amis” ont encore le droit d’accéderau profil du défunt.u mémorialDe son côté, Skyblog et ses28 millions de blogs -essentiellementtenus par des adoles<strong>ce</strong>nts-procèdent de manièrecon<strong>ce</strong>rtée avec les familles desdisparus. Les administrateursde “Sky” laissent le choix auxfamilles de faire disparaîtrele blog de leur enfant ou, aucontraire, de conserver lespages visibles mais sans quequiconque puisse y laisser lemoindre commentaire. Conclusion: sur le net, il y a bien unevie après la mort.23