revue_presse_fevrier_2018
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REVUE DE PRESSE<br />
FEVRIER <strong>2018</strong>
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
SOMMAIRE :<br />
Thème 1 : Réunions annuelles<br />
Thème 2 : Eradication de la BVD<br />
Thème 3 : Fusion de troupeaux<br />
Thème 4 : Logement<br />
Thème 5 : Section apicole<br />
Thème 6 : Section avicole<br />
Thème 7 : Section Equine
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 1 :<br />
Les réunions annuelles
Date : 02/02/<strong>2018</strong><br />
Heure : 11:07:27<br />
Journaliste : Claire Le Clève<br />
terra.reussir.fr<br />
Pays : France<br />
Dynamisme : 0<br />
Page 1/2<br />
Sanitaire, "la vigilance ne doit pas baisser"<br />
Visualiser l'article<br />
C'est l'une des 12 assemblées de secteurs initiées par le groupement de défense sanitaire cet hiver dans le<br />
Morbihan. Elles se dérouleront jusqu'à la mi-février. Jeudi dernier à Malansac, les actualités sanitaires du GDS<br />
de Bretagne ont été passées en <strong>revue</strong>, dont le plan d'éradication de la BVD, avant la visite de la brasserie<br />
de Saint Gravé, l'après midi.<br />
Le GDS de Bretagne, ici à Malansac a décline 12 réunions de zone en Morbihan pour faire le point sur le<br />
front de l'actualité sanitaire et insister sur une gestion moins systématique de l'utilisation des antibiotiques.<br />
- © Claire Le Clève<br />
"La BVD, c'est une maladie qui s'achète, s'attrape par voisinage ou regroupement", rappelle Maurice Braud,<br />
administrateur du GDS et éleveur de vaches allaitantes à Bohal. Et elle provoque des pertes importantes.<br />
"Jusqu'à 80 euros des 1 000 l quand elle se déclare dans un élevage, jusqu'à 3 000 euros par an dans un<br />
élevage allaitant", note l'éleveur se référant aux études menées par le GDS. Au vu de l'augmentation de la<br />
taille des troupeaux, la facture peut être lourde. "Quand on a réuni les nôtres (troupeaux), on nous a dit qu'il y<br />
avait des bovins IPI dans notre élevage et qu'il fallait les éliminer. Ça colle un sacré coup. Et qu'il fallait avoir<br />
de la vigilance sur les veaux qui allaient naître. Ca fiche la trouille mais on nous aussi a dit que ce n'était qu'un<br />
moment dans la vie l'élevage et qu'on allait arriver à éradiquer la BVD et cela nous a rendu plus sereins",<br />
témoigne depuis la salle cet éleveur pour qui depuis, la BVD est de l'histoire ancienne. "Mais la vigilance<br />
s'impose toujours, rien n'est jamais acquis", insiste-t-il.<br />
Plan d'éradication<br />
Depuis 2000, le plan d'assainissement mis en place par les GDS est collectif, basé sur la connaissance<br />
du statut des élevages à partir d'analyses de lait de tank et sur la gestion des introductions. Et la situation<br />
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 307378497
Date : 02/02/<strong>2018</strong><br />
Heure : 11:07:27<br />
Journaliste : Claire Le Clève<br />
terra.reussir.fr<br />
Pays : France<br />
Dynamisme : 0<br />
s'est grandement améliorée avec près de 84 % des élevages bretons indemnes (statut A) et seuls 7 % des<br />
élevages susceptibles de détenir des IPI (statut D). Une situation enviable mais "on peut aller plus loin",<br />
estiment les responsables du GDS qui voudraient voir la BVD disparaître du sol breton et pour lequel est<br />
entamé un nouveau plan d'éradication. Les objectifs sont définis : "d'ici 2021, plus aucun bovin IPI chez les<br />
reproducteurs et en 2025, plus aucun animal IPI dans les élevages des adhérents et non adhérents au GDS<br />
de Bretagne". Et avec ce cap fixé, la déclinaison du plan de maîtrise "en détectant et en éliminant tous les IPI".<br />
Un assainissement de cette maladie touchant encore 1 % des bovins bretons et qui entraîne des troubles de<br />
la reproduction. "Il est nécessaire d'être tous mobilisés sur cet objectif ", prévient Laurent Gaudin, président<br />
de secteur en gage de réussite du nouveau plan. "Sur notre zone frontalière nous sommes plus exposés",<br />
pointe le docteur Pierre Laurière, vétérinaire de Malansac, situé à deux pas de la Loire-Atlantique. "L'arrivée<br />
d'un bovin IPI dans un cheptel séronégatif a un impact très important. Aux troubles de la reproduction, le virus<br />
peut aussi se traduire par des épisodes diarrhéiques chez les veaux. C'est un signe d'alerte, il na faut pas<br />
vivre avec ça", prévient-il, "la vigilance ne doit pas baisser".<br />
Mélange, attention aux risques<br />
Vigilance également quant aux risques sanitaires qui découlent de la délégation d'élevage des génisses, de<br />
plus en plus fréquente. "Cela se développe et l'idée est bien d'anticiper le risque avant le regroupement chez<br />
l'éleveur à qui est délégué l'élevage et le retour chez le naisseur, ce peut être une situation de bouillon de<br />
culture", met en garde Sonia Gilliouard, animatrice. Cette nouvelle action de dépistage que le GDS vient de<br />
mettre en place est assortie d'une prise en charge des analyses à hauteur de 80 %. Toujours sur le front<br />
sanitaire, suite à la présence des variants BTV4 et 8 sur le sol français, le France continentale a été placée<br />
en zone réglementée au titre de la FCO. "Si vous voulez vendre à l'étranger, rapprochez vous de la DDPP car<br />
suivant les pays, il faut vacciner ou non et la gestion du stock de vaccins impose des priorités et des contraintes<br />
d'utilisation", alerte le praticien Pierre Laurière. Autre thème, celui de l'utilisation des antibiotiques et de leur<br />
utilisation à meilleur escient pour contrer la montée en puissance des antibiorésistances. "Si traitement il y<br />
a au tarissement, il doit être sélectif. Ne traitez pas les animaux sains ! ", enjoint le message délivré par le<br />
film diffusé à l'occasion de ces réunions de secteurs qui pour la plupart, font la part belle l'après-midi à la<br />
découverte de productions du terroir, en marge de l'activité agricole mais en lien avec le territoire.<br />
Page 2/2<br />
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Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 307378497
Date : 04 FEV 18<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Quotidien<br />
OJD : 203298<br />
Edition : Rostrenen - Loudéac,Dinan -<br />
Dinard,edition non définie,Saint-Brieuc<br />
Page 1/1<br />
LOUDÉAC<br />
Agriculture. Un groupement<br />
aux petits soins des bovins<br />
Une trentaine à éleveurs du secteur Loudeac La Cheze a assiste a la reunion annuelle du GDS<br />
Le Groupement dè<br />
défense sanitaire (GDS)<br />
aide les éleveurs à mieux<br />
protéger leur troupeau.<br />
Lors d'une reunion de<br />
secteur, les adhérents de<br />
Loudéac-La Cheze ont pris<br />
connaissance de<br />
l'actualité sanitaire du<br />
moment.<br />
« La situation sanitaire de la zone<br />
est bonne » Tel est le message<br />
qu'a voulu faire passer Louis Blan<br />
del, president du GDS Loudeac La<br />
Cheze lors d'une reunion de sec<br />
teur, vendredi Le GDS Bretagne<br />
contribue a l'amélioration de la<br />
sante du cheptel breton via la mat<br />
trise des zoonoses li permet ainsi<br />
aux éleveurs d'améliorer leurs per<br />
formances techniques et econo<br />
miques tout en protégeant la san<br />
te des consommateurs<br />
Les éleveurs bovins présents a<br />
cette rencontre annuelle ont plan<br />
che sur plusieurs suiets d'impor<br />
tance En tout premier lieu, le plan<br />
d'eradication de la BVD (Bovin<br />
viral desease) presente ce jour par<br />
Loic Maurm, vétérinaire « Tout le<br />
monde va devoir s'y mettre, com<br />
mente le president C'est le GDS<br />
qui a ete sollicite pour éradiquer le<br />
virus dans les élevages »<br />
Le BVD est une maladie virale qui<br />
touche les troupeaux bovins Elle a<br />
de nombreuses conséquences sur<br />
la sante des animaux problèmes<br />
de reproduction, baisse de la pro<br />
duction laitiere, mortalite chez les<br />
veaux L'impact economique<br />
n'est pas négligeable puisque la<br />
perte a ete évaluée entre 30 et<br />
So € par i DOO litres de lait selon<br />
la gravite de l'infection « 3 DOO €<br />
par an, en moyenne, en cheptel<br />
allaitant », précise aussi Anne Le<br />
Henanff, responsable formation et<br />
reseau au GDS Bretagne Un grou<br />
pement qui vise l'eradication du<br />
virus et espère que la Bretagne<br />
sera la premiere zone francaise<br />
« BVD free » d'ici 2021<br />
Les outils d'information<br />
Lors de cette même reunion, les<br />
participants ont appris a utiliser<br />
les antibiotiques différemment en<br />
prenant l'exemple du tarissement<br />
« Une video a presente les<br />
mesures essentielles a retenir<br />
pour une mise en œuvre concrète<br />
dans son élevage », poursuit<br />
Anne Le Henanff<br />
Enfin, un point a ete fait sur les<br />
nouveaux outils d'information<br />
« Site internet et reseaux sociaux<br />
du GDS Bretagne sont maintenant<br />
accessibles par les éleveurs pour<br />
se tenir informes des actualites<br />
sanitaires, des publications, des<br />
nouveautes » En complement,<br />
il existe un blog a destination du<br />
grand public pour vulgariser Tm<br />
formation technique ou faire le<br />
lien entre sante des animaux et<br />
qualite des produits<br />
v Infos<br />
www gds bretagne fr<br />
www blog gds bretagne fr<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 4121253500508
Date : 12 FEV 18<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Quotidien<br />
OJD : 749258<br />
Edition : Guingamp, Loudéac-Rostrenen<br />
Page 1/1<br />
Locam<br />
Le monde agricole s'informe sur la santé animale<br />
Le groupement de défense sanitaire des secteurs de Mael-Carhaix et de Callac<br />
s'est réuni vendredi.<br />
La réunion annuelle du groupement<br />
de défense sanitaire des secteurs<br />
de Mael-Carhaix et de Callac s'est<br />
tenue, vendredi, dans la salle multifonctions.<br />
Elle était présidée par Michel<br />
Kerneis, en présence de Pascal<br />
Le Moal, trésorier, d'Anne Le Hénanff,<br />
animatrice départementale, et<br />
de Patrick Le Blévennec, administrateur<br />
de la section bovins.<br />
Michel Kerneis a fait le point sur la<br />
situation du territoire. « La santé animale<br />
est satisfaisante. En 2017, le<br />
secteur regroupait 306 cheptels,<br />
dont 134 en lait, 128 en allaitantes<br />
et 44 en mixtes, pour un total de<br />
38 966 animaux. »<br />
Plusieurs questions ont été abordées,<br />
notamment les ateliers de<br />
génisses où la diarrhée virale doit<br />
être éradiquée... L'objectif global<br />
du groupement est de « construire<br />
ensemble un modèle d'excellence<br />
en santé animale », soulignent les<br />
responsables.<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 6578753500503
Date : 15 FEV 18<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Quotidien<br />
OJD : 203298<br />
Edition : Brest Abers Iroise<br />
Page 1/1<br />
Éleveurs bovins. Lin bilan sanitaire<br />
Vendredi g <strong>fevrier</strong>, salle Saint<br />
Pierre, la section bovine du GDS<br />
(Groupement de defense sanitaire)<br />
Bretagne, pour les zones Iroise et<br />
Abers, a reuni une cinquantaine<br />
d'éleveurs Ce rendezvous annuel<br />
est l'occasion de faire le point sur<br />
les actualites sanitaires et les<br />
actions de l'association qui, depuis<br />
60 ans, œuvre a améliorer la situa<br />
tion sanitaire des élevages bre<br />
tons<br />
Plusieurs suiets ont ete abordes<br />
le plan d'eradication de la BVD<br />
(diarrhée virale bovine) d'ici 2021,<br />
la situation FGO (fièvre catarrhale<br />
ovine) , le traitement sélectif des<br />
vaches au tarissement, afin de<br />
reduire l'usage des antibiotiques ,<br />
les chiffres sanitaires des deux<br />
zones et le budget <strong>2018</strong> du GDS<br />
Bretagne<br />
La Fête de la vache<br />
L'assemblée generale était menée<br />
par les deux présidents de zone<br />
jeanyves Raoul et Stephane Que<br />
meneur, ainsi que par lean Fran<br />
Une cinquantaine à éleveurs bovins étaient reunis pour faire un point sur les<br />
actions du groupement de defense sanitaire<br />
cois Treguer, president du GDS Bre<br />
tagne<br />
Le maire, Roger Talarmam, qui<br />
connaît bien le monde agricole,<br />
était également present ll a felin<br />
te l'association pour son travail et<br />
a souligne l'importance des<br />
actions menées ll en a profite<br />
J<br />
pour annoncer un nouvel evene<br />
ment, la « Fête de la vache », pre<br />
vue a Plougum le 2 septembre<br />
Les éleveurs ont prolonge la jour<br />
nee par la visite de la ferme de Ker<br />
arBeleg, a Treouergat, qui trans<br />
forme sa production de lait bio en<br />
yaourts<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 0017063500507
Date : 21/27 FEV 18<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Hebdomadaire<br />
Page 1/1<br />
LOCARN<br />
La défense sanitaire du cheptel<br />
du secteur de Maël et Callac<br />
Les éleveurs du secteur sont venus s'informer.<br />
La réunion annuelle du GDS, le groupement<br />
de défense sanitaire des secteurs<br />
de Mael-Carhaix et Callac, avait fixé<br />
son rendez-vous <strong>2018</strong> à la salle multifonctions<br />
de Locam.<br />
Ce territoire comprend 306 cheptels,<br />
134 en lait, 128 en allaitantes et 44 en<br />
mixtes, soit un total de 38.966 bovins<br />
recensés en 2017.<br />
La réunion s'est déroulée sous la présidence<br />
de Michel Kerne'is, en présence<br />
de Pascal Le Moal, trésorier, d'Anne Le<br />
Hénanff, animatrice départementale et<br />
de Patrick Le Blévennec, administrateur<br />
de la section bovins.<br />
Protéger les petites génisses<br />
Les actualités de GDS Bretagne ont été<br />
passées en <strong>revue</strong>. Le conseil santé<br />
pour le suivi des ateliers de génisses<br />
(nouveauté <strong>2018</strong>), incite à l'anticipation<br />
pour gérer le risque sanitaire<br />
avant le regroupement des petites<br />
génisses d'origines multiples dans un<br />
atelier d'élevage, et avant le retour des<br />
génisses prêtes à vêler chez les naisseurs<br />
ou vers un autre atelier d'élevage.<br />
Éradiquer la BVD<br />
Le plan d'éradication BVD est une priorité<br />
d'action majeure pour la période<br />
2017-2021. La BVD est une maladie<br />
virale qui touche les troupeaux bovins<br />
et qui a de nombreuses conséquences<br />
sur la santé (avortements, problèmes<br />
de reproduction, taux de renouvellement<br />
dégradé, baisse de production laitière,<br />
etc.). Son impact économique est<br />
évalué entre 30 et 80 € par 1.000 litres<br />
de lait, selon la gravité de l'infection et<br />
à 3.000 € par an, en moyenne, en cheptel<br />
allaitant. Elle se transmet par l'introduction<br />
d'animaux infectés ou par<br />
contact entre troupeaux voisins.<br />
PRATIQUE<br />
www gds-bretagne.fr,<br />
www facebook.com/gds.btetagne,<br />
https ://www.blog-gds-betagne.fr<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 0763563500508
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 2 :<br />
Eradication de la BVD
PAYSAN BRETON ED.FINISTERE<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Hebdomadaire<br />
Date : 02/08 FEV 18<br />
Page de l'article : p.14<br />
Journaliste : Bernard Laurent<br />
Page 1/1<br />
Une Bretagne indemne<br />
de BVD en 2021<br />
Sanitaire Le plan d'eradication de la BVD et le nouveau suivi génisses<br />
sont présentes actuellement lors des reunions annuelles locales du<br />
GDS Bretagne<br />
><br />
Le plan de maitrise de<br />
la BVD base sur la<br />
connaissance du statut<br />
de tous les élevages, grâce<br />
aux analyses de lait, et a la<br />
gestion des introductions a<br />
montre son efficacité « Ls<br />
proportion d élevages in<br />
demnes (statut A) est passée<br />
de 38 a 83 % en une quinzaine<br />
d annees » indique Sonia<br />
Dubois, a la reunion de<br />
Samt-Thuriau(56) «Lescle<br />
vsges les plus suspecte de de<br />
tenir des animaux tpi (infec<br />
tes permanents immuno<br />
tolérants) a ete divisée par 6<br />
et concerne 7 % des cheptels<br />
actuellement » La maladie,<br />
qui coûte entre 30 € et<br />
80 €/1000 litres de lait selon<br />
la gravite de I infection et<br />
3 DOO € par an, en moyenne<br />
par cheptel allaitant est en<br />
passe d'être vaincue en Ere<br />
tagne Les bassins mondiaux<br />
de production connaissent<br />
des fortunes diverses « tes<br />
Suisses devraient I éradiquer<br />
grâce a un programme tres<br />
coûteux (analyses mdivi<br />
duelles) Dans d autres pays,<br />
tous les troupeaux sont po<br />
sitifs » Un dernier pas reste<br />
a franchir dans la region<br />
I 500 DOO € ont ete alloues<br />
pour y parvenir « Un plan<br />
d assainissement va etre engage<br />
dans tous les élevages<br />
suspects avec une mterven<br />
tion rapide des que la circu<br />
laiton virale est détectée<br />
Tous les animaux introduits<br />
vont également devoir être<br />
garantis non tpi Les petits<br />
cheptels vontaussi etreinclus<br />
dans le programme »<br />
Sécuriser i élevage<br />
des génisses<br />
Dcs le mois de <strong>fevrier</strong>, le GDS<br />
proposera une nouvelle action<br />
de suivi des ateliers de ge<br />
nisses « Nous voulons enca<br />
dreretsecunsersarutairement<br />
I activite d'élevage de génisses<br />
déléguée par des naisseurs a<br />
d autres éleveurs» Ceux-ci assurent<br />
I élevage etlamiseala<br />
reproduction avant leur re<br />
tour, prêtes a vêler chez les<br />
naisseurs «Lobjectifest d'an<br />
ticiper et de gerer le risque<br />
avantle regroupement des petites<br />
génisses dorigine di<br />
verses et avant le retour des<br />
amouillantes chez les nais<br />
seurs» Ce plan comprend un<br />
audit global, complète d'ana<br />
lyses définissant les statuts<br />
pour la BVD, la neosporose et<br />
la paratuberculose Le GDS<br />
prend 80 % du cout en charge<br />
Les éleveurs concernes sont<br />
les naisseurs qui délèguent<br />
l'élevage de leurs génisses et<br />
les cngraisseurs<br />
Bernard Laurent<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 8858253500509
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 3 :<br />
Fusion de troupeaux
GRANDS TROUPEAUX MAGAZINE<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.40-42<br />
Journaliste : DR LOÏC DOUMALIN<br />
AVEC LE DR FRANÇOIS<br />
GUILLAUME<br />
LES FICHES DE<br />
L'ABC SANITAIRE<br />
DE LA FUSION<br />
Page 1/3<br />
Les critères sanitaires à aborder avant la fusion<br />
L'ORGANISATION<br />
LES BÂTIMENTS LA TRAITE LA HIÉRARCHIE<br />
é^iluk- fe cchuaétttiuA, et<br />
cn&CM/i/<br />
tocoifa A<br />
-, c«A£'i-<br />
H- «wi, ctweuM,<br />
' SûnMÀ, PO* A-<br />
'<br />
MALADIES INFECTIEUSES ET ZOONOSES<br />
MALADIES D'ÉLEVAGE<br />
€v(dutà lt. ifcifnl- iJntvMtutaM' Au. (\cuafAu, et AéaijJteh<br />
*«/ wge/nwl-, «Mi- AvùAfA<br />
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ai, Oifii<br />
ANTICIPER POUR ÊVITER LES DÉBOIRES SANITAIRES<br />
Trop souvent (es contraintes administratives concentrent l'attention des éleveurs ayant<br />
décidé de fusionner leurs troupeaux et les enjeux sanitaires passent à la trappe. Dommage,<br />
car la pérennité d'un troupeau dépend avant tout de la santé de ses vaches. Alors,<br />
reprenons les points clés pour réussir pleinement une fusion... et anticipons.<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
La fusion de troupeaux s'accompagne toujours d une<br />
perte de production, estimée a 530 g par jour pendant une<br />
a deux semaines 1 Et ce, même en l'absence de troubles<br />
sanitaires (.anticipation est donc primordiale pour identifier<br />
les risques sanitaires, définir les criteres d'alerte et mettre<br />
en place des protocoles simples et réalisables Reperer ce<br />
qui est essentiel pour définir les priorités<br />
Chaque éleveur possède des domaines<br />
de prédilection ll est utile de bien cerner<br />
les competences de chacun des futurs<br />
associes Si la polyvalence est intéressante,<br />
il est important de designer un responsable<br />
GDSBRETAGNE 5022853500501
GRANDS TROUPEAUX MAGAZINE<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.40-42<br />
Journaliste : DR LOÏC DOUMALIN<br />
AVEC LE DR FRANÇOIS<br />
GUILLAUME<br />
Page 2/3<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
pour chaque poste de l'exploitation Les facteurs de risques<br />
sanitaires seront ainsi mieux maîtrisés<br />
La fusion de troupeaux confronte les pratiques des futurs<br />
associés et nécessite de faire le point sur les préventions<br />
déjà mises en place au sein de chaque troupeau vaccination,<br />
supplémentation nutritionnel^, plan antiparasitaire,<br />
gestion des pâturages, préparation au vêlage<br />
j<br />
' !<br />
Une fois ces pratiques clairement identifiées et répertoriées,<br />
il sera possible de définir celles qui seront généralisées<br />
au futur troupeau et celles qui pourront être modifiées ou<br />
abandonnées<br />
fonctions et tâches de chacun<br />
I I • I<br />
ll faudra également veiller à repartir les<br />
uiie alimentaire<br />
Changement de silos, nouvelles<br />
modalités de distribution de la<br />
ration<br />
autant de paramètres<br />
susceptibles de provoquer des<br />
troubles métaboliques -i -4—|-<br />
Avant la fusion, les futurs associés ont tout intérêt à<br />
définir les modalités des transitions alimentaires, et plus<br />
spécialement celles associées à des stades physiologiques<br />
délicats, comme la préparation au vêlage ou les débuts<br />
de lactation<br />
Autre point clé à ne pas sous estimer l'abreuvement Le<br />
nombre de points d'eau et le debit sont en effet des points<br />
faibles communément observés lors de fusion Afin d'éviter<br />
ces écueils, il faudra veiller à prévoir I accès à l'eau pour<br />
TO vaches (abreuvoir individuel ou collectif) et s'assurer<br />
de préserver le débit à 15 litres/mn lorsque l'on rajoute<br />
des abreuvoirs<br />
oces staoulaUons<br />
Confort et ambiance conditionnent la santé et le bienêtre<br />
des futures locataires D'où la nécessité d'assurer<br />
une bonne circulation des vaches et d'offrir une capacité<br />
suffisante de couchage Facile à définir pour une nouvelle<br />
stabulation, cette condition peut s'avérer plus difficile pour<br />
une structure existante, souvent proche de la saturation<br />
ll est alors intéressant d'augmenter la productivité pour<br />
réduire raisonnablement le cheptel Garder en tête que la<br />
surdensite est vectrice de déséquilibres sanitaires j<br />
Ne pas oublier de prévoir un box d'infirmerie accessible,<br />
i<br />
facile a nettoyer et à desinfecter, plutôt à l'écart du troupeau<br />
ll sera différent du box de vêlage Ce dernier étant mieux<br />
situe a proximite de la salle de traite, afin de faciliter le suivi<br />
des vaches et les premiers soins au veau (notamment la<br />
distribution de colostrum)<br />
Les génisses héritant en géneral de l'ancienne stabulation,<br />
il faudra prêter attention à ce que le nombre déjeunes soit<br />
adapté, afin d'éviter toute surdensite, propice aux troubles<br />
respiratoires par manque de volume d'air ou de ventilation<br />
De bonnes conditions de logement faciliteront également<br />
la surveillance des chaleurs<br />
oCa salle ae iraile<br />
Les troupeaux sont trop souvent regroupés alors que le<br />
chantier de la salle de traite n'est pas fmi, ou encore à I etat<br />
de projet Resultat la traite se déroule dans l'ancienne<br />
installation, non adaptée à un grand troupeau Les temps<br />
de traite s'allongent sensiblement, à l'origine de fautes<br />
d'inattention et d'erreurs Le risque est reel de voir les<br />
infections mammaires se multiplier et le taux cellulaire<br />
se dégrader ll sera ensure difficile de retrouver un niveau<br />
sanitaire satisfaisant. ' '<br />
ll est parfois préférable de reculer de quèlques mois la fusion<br />
afin de travailler dans les meilleures conditions possibles<br />
La fusion de troupeaux<br />
entraîne des<br />
conflits entre les<br />
vaches pour établir une nouvelle hiérarchie Ces conflits<br />
sont limités dans le temps, à quèlques jours<br />
Où et à quel moment regrouper les troupeaux ?<br />
Proscrire l'aire d'attente où les conflits dégénèrent, et où<br />
les futures dominées n'ont pas despace pour pouvoir se<br />
mettre à l'écart Fusionner de preférence après la traite<br />
du matin afin de laisser le temps aux vaches de faire<br />
connaissance Réaliser la fusion des troupeaux en une<br />
seule fois le faire en plusieurs étapes revient a remettre<br />
en cause a chaque fois la hiérarchie '<br />
L'idéal serait de regrouper les troupeaux sur des prairies, ou<br />
les vaches ont de l'espace, le sol est stable et souple Si<br />
GDSBRETAGNE 5022853500501
GRANDS TROUPEAUX MAGAZINE<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.40-42<br />
Journaliste : DR LOÏC DOUMALIN<br />
AVEC LE DR FRANÇOIS<br />
GUILLAUME<br />
Page 3/3<br />
Ll<br />
LES FICHES DE<br />
la fusion se fait dans la stabulation préparer le beton pour<br />
eviter les glissades a I origine d accidents locomoteurs<br />
Pulvériser du vinaigre sur le dos des vaches il atténue<br />
leur odeur et facilite la socialisation<br />
Avant la fusion le parage des pieds a un double avantage ll<br />
permet d inspecter les pieds et les lesions et de les traiter si<br />
nécessaire Les vaches seront ainsi mieux sur leurs aplombs<br />
(statut immunitaire des troupeaux<br />
Lobjectif est de savoir si I un des troupeaux est concerne<br />
ou non par une pathologie aux risques epidemiologiques<br />
élevés Et ce afin de mettre en oeuvre des mesures efficaces<br />
pour eviter de contaminer le ou les autres troupeaux qu<br />
fusionnent Idéalement le dépistage se fait au moins un<br />
mois avant la fusion<br />
Les pathologies a étudier sont fonction du contexte<br />
epidemiologique regional (besnoitiose FGO ou F evre<br />
Catarrhale Ovine ) et national (BVD ou diarrhée virale<br />
bovine fièvre Q ) Ce sont celles pour lesquelles il existe<br />
des moyens analytiques et pratiques permettant de les<br />
maîtriser Rien n est fige des maladies émergentes comme<br />
la maladie de Schmallenberg ou lehrlichiose peuvent<br />
rejoindre la liste définie par les GDS , .<br />
Quels sont les principales mesures a prendre avant la fusion 7<br />
• BVD : identfier les animaux a risques notamment les<br />
IPI 7 , pour les eliminer avant la fusion L'introduction d un<br />
Pl dans un troupeau indemne coûte pres de 8 €/1 OOOI 1<br />
Penser a vacc ner selon le contexte regional<br />
• Paratuberculose le risque est I apparition decas cliniques<br />
suite au stress lie a la fusion maîs le plus souvent ils<br />
apparaissent apres vêlage Se rappeler que si I evolution de<br />
cette pathologie est généralement lente les conséquences<br />
economiques nen restent pas moins importantes a long<br />
terme Si I un des troupeaux severe affecte reformer les<br />
vaches fortement contaminées avant la fus on et mettre en<br />
place un plan d'assainissement comprenant des mesures<br />
renforcées pour I élevage des veaux séparer le veau de sa<br />
mere distribuer un colostrum de grande qualite sanitaire,<br />
préférer le lait en poudre qui limite les risques<br />
I<br />
- Néosporose . reformer les vaches porteuses _ i<br />
du parasite, responsable d avortements et de<br />
transmission verticale (mere a veau) Vérifier le statut<br />
sanitaire des descendants de ces vaches l i l i<br />
Attention aux ch ens lmp iques dans la transmission du parasite ne pas<br />
leur donner les délivrances pour ev ter une transmission hcr zontale<br />
- Fièvre Q : vacciner si nécessaire les troupeaux surtout<br />
si I un d entre eux dispose d un statut degrade<br />
Garder en tete que a fièvre Q responsable d avortements<br />
est transmiss ble a la fem ne<br />
occs pathologies a élevage<br />
La fusion de troupeaux mélange les microbismes 3 de différents<br />
élevages, ce qui augmente les risques d infections<br />
microbiennes et d mfestations parasitaires ll faudra être<br />
particulièrement vigilant pour les pathologies suivantes<br />
• Mammites subclmiques reformer les vaches a taux<br />
cellulaires élevés ou a risques avant la fusion Mettre en<br />
place un protocoled hygiene de traites appliquer par tous<br />
les associes et salaries<br />
• Diarrhées néonatales le veau est le parent pauvre de<br />
la fusion Avant celle-ci, étudier la capacite de logement<br />
des veaux et la disponibilité en materiel Choisir l'empla<br />
cément des niches a veau pour eviter de le faire dans la<br />
précipitation Vacciner éventuellement les meres pour<br />
limiter les risques<br />
• Boit en es évaluer la prevalence de la maladie de Mortellaro<br />
dans chaque troupeau avant la fusion Utiliser un pediluve<br />
desinfectant quinze jours avant et quinze jours après la<br />
fusion Penser a le remplacer régulièrement pour garantir<br />
I efficacité du desinfectant Parer les vaches avant fusion<br />
• Parasitisme évaluer le statut parasitaire des troupeaux<br />
afin de mettre en oeuvre les mesures qui protégeront en<br />
particulier les jeunes<br />
DRLOICDOUMAUN VETERINAIRE ES CO_LABORATIOt\ AVEC LE DR FRANÇOIS GUILLAUME v'ETERINA RE DU GDS DE 3RETAGNE<br />
1 « État des //ekx des pratiques de conseil sanitaire et de leur mise en œuvre lors de regroupements de troupeaux bovins » - These 2010 Dr Yves Armand<br />
2 IP un veau infecte permanent immunotoleran* C est un veau dont la mere a ete n'ectee par le virus de la BVD lors d une période cruciale pour le develop<br />
pement du systeme immunita re du foetus, e ntre le 30e et le 125e jou de gestation Les particules v raies présentes a ce moment clef de la mise en place du<br />
systeme immun taire du veau en deven r sont recornues comrr e faisant part e du nouvel nid vidu Le systeme imrrunita re ne développera aucu ie réponse<br />
centre elles ( mmunotolerant) Lanimal Pl sera des Ic s porteur du virus de la BVD ll I excrétera en fortes quant tes pour le reste de sa v e et pourra a son tour<br />
contaminer des femel es qestantes i ,<br />
_ -^-i—i—.- __4_1_L_J. j<br />
3 TI crobisme - un ensemble de rn crabes se développant dans un organisme ou un local ' '<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 5022853500501
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 4 :<br />
Logement
Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : FEV 18<br />
Page de l'article : p.68,70,71<br />
Journaliste : Franck Mechekour<br />
Page 1/3<br />
Votre pouponnière assure-t-elle<br />
côté confort ?<br />
Ventilateur, entrées et<br />
sortie d'air, température...<br />
une pouponnière à extracteur<br />
doit répondre à des paramètres<br />
techniques précis. En cas de<br />
doute un diagnostic s'impose.<br />
U<br />
ne pouponnière est un lieu<br />
d'élevage en case ou niche<br />
individuelle stricte pour<br />
des veaux âgés d'un jour à<br />
huit semaines maximum<br />
(limite réglementaire) », rappelle Daniel<br />
Le Clainche du GDS Bretagne.<br />
Elle permet un suivi individuel<br />
des veaux et limite les risques de<br />
contaminations entre animaux. Pour<br />
assurer une bonne ambiance, elle<br />
doit répondre à tous leurs besoins<br />
de confort. Nous vous proposons un<br />
cas concret de diagnostic réalisé par<br />
Jacques Capdeville de l'Institut de<br />
l'élevage et Daniel Le Clainche dans<br />
le cadre d'une formation destinée à<br />
des conseillers bâtiments. L'EARL<br />
Flegeul dans le Morbihan a mis à la<br />
disposition des formateurs sa pouponnière<br />
avec extracteur d'air de 11<br />
places construite en 2009. « Lorsque<br />
c'est possible, une ventilation naturelle<br />
est toujours préférable à une ventilation<br />
dynamique », précise Daniel Le<br />
Clainche. • Franck Mechekour<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
Les besoins du veau<br />
• Plage de températures optimale (acceptable)<br />
12 à 25 °C (7 à 28 °C) pour un veau âgé de O à 24 h<br />
10 à 20 °C (4 à 25 °C) pour un veau âgé de 1 jour à I mois<br />
• Écart de température jour-nuit souhaité : 8 à 10 °C<br />
• Hygrométrie la plus basse possible (50 à 60 %)<br />
• Vitesse de l'air en hiver: 0,25 m/s (1 km/h) et absence de<br />
courant d'air et 2 à 3 m/s en été.<br />
• Volume par veau : 7 m 3 (maximum 15 m 3 ) jusqu'à 3<br />
semaines et 12 m 3 (maxi 20 m 3 ) jusqu'à 3 mois<br />
• Éclairage si possible naturel: de 9 h à 17 h avec 20 à 60<br />
lux au niveau de l'aire de couchage<br />
L'OBSERVATION DU LOCAL, DES CASES<br />
ET DES VEAUX PERMET DE PORTER LES<br />
PREMIERS ÉLÉMENTS DE DIAGNOSTIC:<br />
volume du bâtiment, odeur d'ammoniac,<br />
murs et litières humides... Un point d'eau<br />
pour nettoyer le matériel ou préparer les<br />
buvées est proscrit. Autre erreur à éviter:<br />
la pose de translucides en toiture.<br />
« Les cases evec caillebotis en bois ou PVC<br />
ont un meilleur pouvoir isolant que celles<br />
avec caillebotis en acier ou béton. Elles<br />
doivent être surélevées de 20 cm avec une<br />
pente de 1 à 2 % de l'avant vers l'arrière<br />
pour drainer les jus dans le caniveau. Plus<br />
il y a de pente mieux c'est », indique Daniel<br />
Le Clainche. L'idéal est d'isoler le mur<br />
donnant sur l'extérieur. Le volume de cette<br />
pouponnière (83 m 3 ) est correct.<br />
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Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : FEV 18<br />
Page de l'article : p.68,70,71<br />
Journaliste : Franck Mechekour<br />
Page 2/3<br />
Voltage maximum<br />
230 v<br />
PARAMÈTRES DE RÉGLAGE DE LA VENTILATION<br />
EN FONCTION DE LA TEMPÉRATURE<br />
120<br />
70 -\<br />
Voltage minimum<br />
90 v<br />
Impose par le fabricant o<br />
du ventilateur<br />
Debit tfe ventilation en mWanimal<br />
Débit maximum<br />
LA SURFACE D'ENTRÉE D'AIR PERMISE PAR CETTE PORTE<br />
DONNANT SUR L'EXTÉRIEUR EST INSUFFISANTE Elle est<br />
cependant compensée par une autre entree (une porte donnant<br />
sur le batiment des génisses) En ventilation dynamique il ne<br />
faut pas d entree d air parasite Les portes battantes sont<br />
plus adaptées que les coulissantes sauf si ces dernieres sont<br />
rendues hermétiques avec des bandes de caoutchouc<br />
Les entrées d air amovibles pour regler la surface d entree<br />
d air sont idéales « Certains modeles d extracteurs réalisent<br />
un réglage automatique ries déflecteurs en fonction dè la<br />
température ambiante » Les déflecteurs ne doivent pas être<br />
positionnes trop pres de I air de vie des veaux Pour des veaux<br />
âges de O a 1 mois il faut prévoir 0,04 m 2 d entree par veau et<br />
0,02 m 2 de sortie<br />
Source /c/e/e<br />
LE BOÎTIER DE RÉGULATION DE L'EXTRACTEUR<br />
A ETÉ RÉGLÉ À UNE TEMPÉRATURE CONSIGNE<br />
DE 17 °C (15 °C peut suffire) avec une amplitude<br />
de plus ou moins 6 °C La plage de température<br />
conditionne le debit de I extracteur « En ete, il tourne<br />
souvent a 100 % de sa capacite En hiver 25 % est<br />
généralement suffisant » précise Daniel Le Clamche<br />
Le choix de la capacite d un extracteur se raisonne<br />
en fonction du poids des veaux présents dans la<br />
pouponnière sachant qu en hiver on part sur un debit<br />
de O 5 mVh/kg de poids vif et en ete 3 mVh/kg<br />
de poids vif « Le calcul doit être fait régulièrement<br />
Sinon, il faut se baser sur la capacite maximale<br />
de logement » Par exemple pour la pouponnière<br />
de I EARL avec 11 places et des veaux de 50 kg<br />
cela représente un poids total de 550 kg<br />
L extracteur doit donc pouvoir sortir 275 mVh<br />
en hiver (0,5 mVh/kg x 550 kg) et 1650 mVh en ete<br />
(3 mVh/kg x550 kg)<br />
VÉRIFICATION DU DÉBIT DE L'EXTRACTEUR<br />
À L'AIDE D'UN ANÉMOMÈTRE Ce test<br />
s'effectue en I absence d'informations (e est<br />
plutôt rare) ou en cas de doute sur le bon<br />
fonctionnement du ventilateur La sonde<br />
mesure la vitesse d extraction de I air ll suffit<br />
ensuite de multiplier par la surface a I entree<br />
de la cheminée pour connaître le debit Pour<br />
être fiable, la mesure doit durer 3 a 4 minutes<br />
L'operateur doit realiser des cercles de<br />
l'extérieur vers l'intérieur Le test a ete réalise<br />
en réglant I extracteur a 25 % et 100 % de sa<br />
capacite Bilan une extraction de 405 mVh<br />
et de 1069 m 3 /h respectivement « Ce niveau<br />
plutôt bas s explique par / insuffisance des<br />
entrées d'air », explique Jacques Capdeville<br />
En ouvrant la trappe (40 x 40 cm) de la<br />
seconde porte le debit a grimpe a 1565 mVh<br />
C est mieux maîs inférieur au debit annonce<br />
par le fabricant du ventilateur La vétusté<br />
de ce dernier (une vingtaine d'années)<br />
n'arrange pas les choses Jacques Capdeville<br />
préconise de le remplacer d autant que<br />
« les nouveaux modeles sont beaucoup plus<br />
performants ».<br />
SUR LE NET<br />
« Des veaux laitiers<br />
en bonne santé: moins<br />
d'antibiotiques avec de bonnes<br />
pratiques d'élevage et des nurseries<br />
performantes »<br />
Téléchargeable gratuitement<br />
sur le site de l'Institut de l'élevage:<br />
www.idele.fr<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
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Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : FEV 18<br />
Page de l'article : p.68,70,71<br />
Journaliste : Franck Mechekour<br />
Page 3/3<br />
A SAVOIR<br />
La vérification de la tension au niveau du boîtier de<br />
commande de l'extracteur entre la phase et le neutre<br />
permet de vérifier si l'installation est conforme avec les<br />
caractéristiques de l'extracteur (230 v pour un réglage<br />
d'extracteur à 100 %). Mais attention, ce test ne peut<br />
être réalisé que par des personnes habilitées à le faire<br />
(habilitation BT et BR) et dans des conditions très<br />
strictes: port de gants isolants, tapis de sol isolant,<br />
casque avec écran isolant... Dans le cas contraire,<br />
c'est strictement interdit et dangereux.<br />
LA SONDE PERMET<br />
DE SURVEILLER<br />
L'ÉVOLUTION DE<br />
LA TEMPÉRATURE.<br />
« Idéalement il faut la<br />
mettre au centre du<br />
bâtiment, suspendue<br />
au dessus de l'aire<br />
de vie des veaux<br />
maîs pas trop pres de<br />
l'extracteur d'air »,<br />
indique Daniel Le<br />
danielle. Ici, elle est<br />
trop près du mur<br />
en béton. Celui-ci<br />
conserve le froid en<br />
hiver.<br />
LE TEST AU<br />
FUMIGÈNE PERMET<br />
DE VISUALISER LA<br />
CIRCULATION DE L'AIR<br />
et la vitesse de<br />
son extraction maîs aussi<br />
de vérifier l'absence<br />
d'entrées d'air parasite.<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
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Pays : France<br />
Périodicité : Hebdomadaire<br />
Date : 08 FEV 18<br />
Page de l'article : p.14<br />
Journaliste : CYRIELLE DELISLE<br />
Page 1/1<br />
BÂTIMENT Assurer un logement de qualité à ses veaux, c'est investir pour lavenir de son élevage.<br />
Bien loger ses veaux et génisses laitiers<br />
Les conditions de logement tiennent une place centrale dans le bien ëtre ou au contraire dans la mortalite<br />
des veaux<br />
Les problèmes sanitaires<br />
chez les veaux laitiers<br />
sont une réalité ct leur<br />
incidence sur I economit<br />
des exploitations a tendance<br />
a s'accroître « Des enquetes<br />
montrent que plus d'un veau sul<br />
dix ne dépassera pas l'âge de six<br />
mois et a cela s ajoute la morbidité<br />
Ces difficultés sur les jeunes<br />
génisses peuvent ainsi provoquer<br />
des retards de croissance difficilement<br />
rattrapables Le risque<br />
de mortalite augmente avec<br />
la taille du troupeau de 10 %<br />
en moyenne dans les élevages<br />
de 50 vaches et de plus de 20 %<br />
pour les tioupeaux de 200<br />
vaches et plus Les veaux ont<br />
donc besoin de confort », note<br />
Daniel Le Clamche du GDS de<br />
Bretagne<br />
Les causes de mortalite sont tres<br />
variées (conditions de vêlages,<br />
ambiance dans la nursene )<br />
et peuvent se cumuler Maîs les<br />
conditions de logement tiennent<br />
une place centrale dans le bienêtre<br />
ou au contraire dans la mor<br />
taille des veaux<br />
Dc nombreuses pathologies<br />
(respiratoires ct diarrhées) sont<br />
liées a une mauvaise ambiance<br />
« Dans le premier mois de vie, le<br />
veau a besoin d une température<br />
de confort comprise entre 12 et<br />
22°C, d une vitesse d'an intérieure<br />
a 0,25 m/s et d'une faible<br />
humidité »<br />
Facteurs de risque<br />
« Une étude conduite en Bretagne<br />
a permis de mettre en<br />
avant les principaux facteurs<br />
de risque du logement sur la<br />
sante du veau Ils concernent<br />
les equipements d'élevages<br />
les pratiques d'élevages et les<br />
paramètres techniques de la<br />
nursene La cohabitation de<br />
différentes catégories de bovins<br />
arrive en tête La preparation<br />
des buvees dans la nursene et les<br />
jeunes veaux élevés en cases col<br />
lectives représentent deux autres<br />
points négatifs constates » Du<br />
côte des paramètres techniques,<br />
on rencontre parfois des nurse<br />
nes de trop grandes dimensions<br />
qui ne respectent pas les besoins<br />
des \eaux en particuliei en ce<br />
qui concerne le volume dair<br />
car la mécanisation dcs taches<br />
a ete privilégiée au détriment<br />
du confort des veaux Non isolation<br />
systemes d'entrées d air<br />
non modulables surfaces en<br />
plaques translucides sur toi<br />
titres conséquentes, portails<br />
non hermétiques (entrées dair<br />
parasites) sont autant de points<br />
négatifs qui ont ete identifies au<br />
cours dc ce travail<br />
Niches igloos pouponnières,<br />
cases collectives nui series<br />
monopente toutes ces solutions<br />
ont fait leurs preuves a<br />
condition d etre réalisées dans<br />
les regles de I art « Idéalement<br />
une pouponnieie est un batiment<br />
spécifique reserve aux<br />
veaux en phases lactées (de<br />
la naissance a 15 jours - trois<br />
semaines) avec un volume dair<br />
dc 7m 3 /veau Elle doit disposer<br />
d un local technique pour la pre<br />
paration des buvees ct le lavage<br />
des ustensiles La preparation<br />
des buvees et le lavage des seaux<br />
sont a effectuer a I exterieur de<br />
la pouponnière L isolation de<br />
la toiture est fortement recommandée<br />
» observe Daniel Le<br />
Clamche La surface en plaques<br />
translucides ne doit pas excéder<br />
"5 % La pouponnière doit également<br />
bénéficier d equipements<br />
de ventilation avec des surfaces<br />
modulables selon les besoins et<br />
de portails hermétiques<br />
« L installation d une sonde<br />
thermometre offre la possibilité<br />
de surveiller I ambiance Les<br />
mesures de biosecuntc (pédiluve<br />
a I enti ee nettoyage et desinfection<br />
des cases) ne doivent egale<br />
ment pas a négligées »<br />
LE CONFORT<br />
Les paramètres du confort<br />
n termes de confort ther-<br />
le statut de pré-<br />
Emique,<br />
ruminants confère aux veaux<br />
des besoins intermédiaires<br />
entre ceux des monogastriques<br />
et ceux des ruminants.<br />
Leur production de chaleur<br />
est moindre que celle des<br />
adultes La zone de confort<br />
ou d adaptation facile des<br />
veaux nouveaux-nés se<br />
situe entre + 7 et + 25°C,<br />
celle des veaux de 15 jours<br />
a 1 mois entre + 5 et + 22°C,<br />
CYRIELLE DELISLE<br />
celle des autres bovins<br />
entre 5 et + 22 °C<br />
Comme pour leurs aînés,<br />
les variations importantes<br />
et brutales de températures<br />
ressenties conduisent a des<br />
adaptations physiologiques<br />
* En pratique, les veaux<br />
ont donc besoin d'une<br />
litière sèche et propre,<br />
d'être éloignés des parois<br />
froides ou des retombées<br />
d'air froid, et d'être installés<br />
dans un volume d'air<br />
adapte.<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
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REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 5 :<br />
Section apicole
Date : 17 FEV 18<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Quotidien<br />
OJD : 203298<br />
Edition : Quimperlé<br />
Page 1/1<br />
Moëlan-sur-Mer<br />
Frelons asiatiques. Appel à la mobilisation<br />
Quelques spécimens de la recolte de I an dernier<br />
Les frelons asiatiques sont tou<br />
jours tres présents et ils consti<br />
tuent une menace pour les<br />
abeilles, la nature et l'économie<br />
A Moelan, grâce a la mobilisa<br />
tion d'une quinzaine de per<br />
sonnes, 2 518 reines ont ete cap<br />
turees l'an dernier So pièges<br />
avec appâts avaient ete distri<br />
bues<br />
Dans certains secteurs de la com<br />
mune, le nombre de nids, mstal<br />
les sur la cime des arbres, a dimi<br />
nue Dans d'autres, on en ren<br />
contre encore<br />
Piégeage du 1 er avril<br />
au 15 mai<br />
Cette action, lancée sur trois<br />
ans, se poursuit cette annee avec<br />
le Groupement de defense sam<br />
taire apicole du Finistere, Quim<br />
perle Communaute et aussi la<br />
mairie de Moelan sur Mer<br />
Les personnes qui souhaitent par<br />
ticiper a l'opération de piegeage<br />
doivent se faire connaître auprès<br />
de Christine Audren, referente<br />
Chaque semaine, ces personnes<br />
devront comptabiliser le nombre<br />
de frelons captures et trans<br />
mettre les resultats<br />
T Contact<br />
Christine Drenou<br />
tel 0613 614754<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
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Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.21-22<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Bimestriel<br />
Page 1/2<br />
Discours de Albert Delamarche<br />
Bonjour Monsieur le Président de la<br />
FNOSAD, bonjour Monsieur le Directeur<br />
de FINS A, bonjour Madame Alavome,<br />
bonjour Messieurs les élus, et<br />
tous les présidents, qui sont présents<br />
dans cette salle.<br />
Je veux d'abord remercier la FNO-<br />
SAD de son invitation pour GDS France<br />
puisque nous sommes un peu partenaires.<br />
La FNOSAD est le gestionnaire historique<br />
du sanitaire apicole ; elle a cinquante<br />
ans d'âge, elle fonctionne et il est<br />
incontestable que si elle n'avait pas été<br />
là, aujourd'hui on ne serait pas en<br />
congrès à Rennes, parce que les apiculteurs<br />
seraient tous à la dérive en France<br />
Donc merci à Jean-Marie, maîs aussi à<br />
tous les présidents des départements qui<br />
font un boulot excellent<br />
En 2010 la volonté de l'État a été de<br />
créer des CVS multi-espèces La Bretagne<br />
a saisi la balle au bond On est<br />
souvent un petit peu en pointe, ce n'est<br />
pas de notre faute, on est une pointe dans<br />
la mer alors on a pris l'habitude d'être à<br />
la pointe un peu partout À ce momentlà,<br />
GDS Bretagne s'est intéressé à l'apiculture,<br />
et il a décidé de ne pas créer<br />
quelque chose qui fonctionnait déjà.<br />
Pourquoi faire quelque chose, quand sur<br />
place il y a déjà cette même chose? Il a<br />
donc invité les quatre GDSA à se regrouper<br />
pour former la section apicole<br />
de GDS.<br />
Voilà comment cela fonctionne chez<br />
nous, c'est un peu particulier., on est<br />
un peu à part.<br />
Aujourd'hui, au nom de GDS<br />
France, je voudrais dire à la FNOSAD<br />
que plutôt que d'être des concurrents,<br />
nous devons travailler ensemble pour la<br />
santé des abeilles. Faisons de nos différences<br />
une richesse, faisons de nos rapprochements<br />
une force, pour qu'avance<br />
le sanitaire en France.<br />
Le sanitaire apicole en France est<br />
souvent menacé, si on travaille ensemble,<br />
on peut peut-être faire quelque<br />
chose. La FNOSAD a l'expérience, depuis<br />
50 ans, nous, nous avons une organisation<br />
qui fonctionne, puisqu'elle a<br />
fonctionné dans d'autres espèces, nous<br />
avons du personnel, nous avons des<br />
moyens Aujourd'hui, je peux vous dire<br />
que la commission apicole de GDS<br />
France fonctionne entièrement financée<br />
par le monde bovin Ce ne sont pas les<br />
apiculteurs qui l'ont à charge, maîs on a<br />
quand même notre autonomie dans ce<br />
système transitoire.<br />
Je pense que si nous voulons faire<br />
bouger les lignes, le sanitaire, c'est tous<br />
ensemble '<br />
L'apiculture est menacée de toute<br />
part.<br />
• le varroa est toujours là, il est de<br />
plus en plus embêtant, virulent ;<br />
• la veille sanitaire sur la loque ame-<br />
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Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.21-22<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Bimestriel<br />
Page 2/2<br />
ncame, il n'y en<br />
a plus du tout, il<br />
y avait des ASA,<br />
ça ne fonctionnait<br />
pas bien,<br />
maîs ça fonctionnait<br />
, aujourd'hui<br />
il n'y<br />
a plus rien, ça<br />
fonctionne nettement<br />
mieux, il<br />
n'y a plus rien '<br />
Ceux qui doivent<br />
les remplacer<br />
ne font pas<br />
leur boulot, ou<br />
ils le font maîs<br />
pas au même<br />
prix O n n e<br />
parle pas de la<br />
même chose<br />
• le frelon asiatique,<br />
il est partout<br />
en France<br />
maintenant, pour les quèlques départements<br />
qui ne l'ont pas encore<br />
vu, attendez-vous a le voir<br />
derrière la maison '<br />
il est<br />
• Aethina tumida, il est en Italie et<br />
un jour il va monter du fond de la<br />
botte, on va se le prendre en pleine<br />
figure, il faut qu'on soit prêt '<br />
• l'environnement, il est de plus en<br />
plus degrade, les champs sont de<br />
plus en plus grands, donc on nous<br />
enleve les haies, le seul endroit ou<br />
nos abeilles butinaient encore<br />
Tout ça pose des problèmes a nos colonies<br />
II faut qu'on se regroupe Dans<br />
Albert Delamarche,<br />
President de la commission apicole de GDS France,<br />
President de la section apicole de GDS Bretagne.<br />
ce decor hostile a l'apiculture, l'apiculture<br />
n'a pas les moyens de ses divisions<br />
Elle doit se regrouper<br />
Quand on voit l'engouement suscite<br />
par le Congres de Rennes - aujourd'hui<br />
on attend plus de 700 congressistes, et<br />
les conferences seront projetées dans un<br />
deuxieme amphitheâtre il n'y a pas a<br />
dire, ce Congres, tout le monde veut le<br />
voir et le voir fonctionner<br />
S'il vous plaît, mettons de côte nos<br />
ego ridicules et sauvons l'abeille '<br />
Bon congres a tous '<br />
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Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.43-45<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Bimestriel<br />
Page 1/3<br />
Actualites<br />
La mise en place de POMAA<br />
débute dans deux régions<br />
Un Observatoire des Mortalités et des Affaiblissements de l'Abeille mellifère<br />
(OMAA) vient d'être mis en place en régions Bretagne et Pa>s de la Loire dans le<br />
cadre d'une phase expérimentale qui se tiendra jusqu'au 31 juillet 2019.<br />
Les objectifs de l'OMAA sont de mieux recenser les événements de santé observés<br />
dans les ruchers de la région Les données collectées feront l'objet d'une analyse<br />
globale permettant de caractériser l'état de santé du cheptel apicole et d'émettre des<br />
alertes en cas de recrudescence dans le temps et/ou dans l'espace de troubles<br />
anormaux. Ce dispositif devrait contribuer à la compréhension des<br />
affaiblissements et des mortalités, tant à l'échelle individuelle que collective.<br />
Cet observatoire, financé par l'État et élaboré dans le cadre de la Plateforme<br />
nationale de surveillance épidémiologique en santé animale, permettra de simplifier<br />
et de standardiser la procédure de déclaration et de réponse fournie aux<br />
apiculteurs lorsque des événements de santé sont observés dans les ruchers Un<br />
guichet unique régional est mis en place pour l'ensemble des troubles avec un<br />
numéro d'appel unique.<br />
Ainsi, tout apiculteur constatant une mortalité ou un affaiblissement de ses colonies<br />
sur un de ses ruchers localisé en Bretagne ou en Pays de la Loire (quels que soient<br />
l'événement de santé et le nombre de colonies touchées) est invité à le déclarer au<br />
guichet unique régional.<br />
• En Bretagne : par téléphone, au numéro suivant : 02 44 84 68 84, ou par mail :<br />
declaration-omaa@gtv-bretagne org<br />
• En Pays de la Loire : par téléphone, au numéro suivant : 02 41 69 80 69.<br />
Tout au long de l'année, un vétérinaire diplôme en « Apiculture - Pathologie<br />
apicole » réceptionne et enregistre les déclarations pour l'OMAA et répond aux<br />
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Date : JAN/FEV 18<br />
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Pays : France<br />
Périodicité : Bimestriel<br />
Page 2/3<br />
VOUS CONSTATEZ f?<br />
DES (Àtilb<br />
OU DES AFFAIBLISSEMENTS<br />
DE COLONIES D'ABEILLES<br />
DÉCLAREZ LES RAPIDEMENT à l'OMAA Pays cle la Loire<br />
(Obsewloire des Mortalités el des Affaiblisse!»* * I Abeille mtllifère)<br />
VOUS CONSTATEZ<br />
DES R1ALITÉS<br />
OU DES AFFAIBLISSEMENTS<br />
DE COLONIES D'ABEILLES<br />
DÉCLAREZ LES RAPIDEMENT a IOMAA Bretagne<br />
(Obseiwtoiie des Molines el des Affaiblissements de I Abeille melivie)<br />
apiculteurs. Il note les informations relatives au rucher concerné, consigne les signes<br />
cliniques observés par l'apiculteur et oriente la déclaration vers le réseau<br />
d'investigation adapté pour déclencher une visite du rucher.<br />
Quel que soit l'événement de santé, une visite des colonies pourra être réalisée :<br />
• Pour une suspicion de maladie réglementée de première catégorie^ ou lorsqu 'un<br />
rucher est victime de mortalité massive aiguë (avec notamment suspicion<br />
d'intoxication] : une visite est conduite par/ou à la demande de la DDPP (Direction<br />
Départementale en charge de la Protection des Populations), avec éventuellement<br />
l'appui de la DRAAF (Direction Régionale de l'Agriculture de l'Alimentation et de la<br />
Forêt). Le coût de la visite, des analyses et des mesures sanitaires est pris en charge<br />
par l'État.<br />
• Pour les autres troubles de santé : une visite du rucher par un vétérinaire reconnu<br />
compétent en apiculture et/ou un TSA (Technicien Sanitaire Apicole) peut être<br />
effectuée dans le(s) rucher(s). Elle est réalisée à la demande de l'apiculteur et financée<br />
par l'État dans la limite d'une visite par an et par apiculteur. Les frais d'analyses de<br />
laboratoire restent, eux, à la charge de l'apiculteur.<br />
I - Danger sanitaire de première caregone (l'acanen Tropilaelaps spp., le coleoprere Aethma tumida, Nosema apis<br />
[Nosémosel, Paembacillus larvae [loque américaine]}.<br />
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Date : JAN/FEV 18<br />
Page de l'article : p.43-45<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Bimestriel<br />
Page 3/3<br />
En plus du recensement des facteurs d'affaiblissement ou de mortalite observés<br />
lors de ces visites, des comptages de Vanoa destructor seront utilement réalisés (dans<br />
la mesure du possible) afin de préciser la pression parasitaire présente sur le territoire<br />
régional.<br />
L'apiculteur sera informé de l'avancée de son dossier en relation avec les services<br />
instructeurs A l'issue de la procédure, un retour sur l'événement de santé touchant<br />
ses colonies lui sera adressé<br />
Les données recueillies feront l'objet d'une analyse collective par l'OMAA Une<br />
synthèse anonymée des déclarations et investigations sera présentée chaque année aux<br />
organisations sanitaires apicoles impliquées, dans le respect de la confidentialité des<br />
données individuelles<br />
Les apiculteurs(tnces) disposant de ruchers localisés en régions Bretagne et Pays<br />
de la Loire sont donc mvité(e)s à participer activement à ce dispositif, destiné a les<br />
aider à expliquer les troubles qui touchent leurs colonies, maîs aussi, à partir de leurs<br />
constations de terrain, à améliorer les connaissances sur les différents facteurs qui<br />
impactent actuellement l'état de santé du cheptel apicole français.<br />
Les Directions régionales de l'agriculture de l'alimentation et de laforêt<br />
de Bretagne et Pays de la Loire<br />
La Direction gënerale de l'alimentation<br />
(Ministère de l'agriculture et de l'alimentation)<br />
Pour plus d'informations<br />
Un article plus complet présentant le projet OMAA est disponible dans le numéro<br />
"spécial abeilles" du Bulletin épidémiologique "Santé animale - alimentation" n° 81 de<br />
novembre 2017 (accessible en ligne à l'adresse http //bullefinepidemiologique mag<br />
anses fr/sites/default/files/2017-11-29_ANSES BE 81-spécial abeilles_defmitif pdf)<br />
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Date : 24/25 FEV 18<br />
Périodicité : Quotidien<br />
OJD : 749258<br />
Edition : Vannes<br />
Page 1/1<br />
Grand-Champ - Saint-Jean-Brévelay - Locminé<br />
Saint-Allouestre<br />
Un nid de frelons intéresse la Faculté des sciences<br />
Loic Martell a prélevé le nid de frelons a l'aide d'une tronçonneuse.<br />
lin nid de frelons asiatiques qui a<br />
passé l'hiver sans avoir été traité, a<br />
été récupéré par Loic Martell, président<br />
du Groupement de défense<br />
sanitaire apicole dans le Morbihan,<br />
mardi. Il sera expédié à la Faculté<br />
des sciences et techniques de Tours,<br />
pour être analysé.<br />
C'est a la demande d'Eric Darouzet,<br />
enseignant chercheur à l'institut<br />
de recherche sur la biologie de l'insecte,<br />
que six nids ont ete prélevés<br />
dans le Morbihan : trois a Pontivy,<br />
un à Plumelin, Languidic et Samt-AIlouestre,<br />
donc. D'autres nids ont été<br />
prélevés en Loire-Atlantique et dans<br />
deux départements du sud de la<br />
France.<br />
L'étude portera sur la biologie et<br />
l'écologie de cette espèce invasive,<br />
l'architecture des nids en fonction<br />
de l'environnement et l'observation a<br />
l'intérieur des colonies.<br />
Éric Darouzet, est coordinateur du<br />
projet de recherche « frelon », qui a<br />
pour but la protection de la biodiversité<br />
et des abeilles, la mise au point<br />
des moyens de prévention et de lutte<br />
adaptés, avec la création d'un piège<br />
sélectif contre le frelon asiatique.<br />
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GDSBRETAGNE 3929763500503
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 6 :<br />
Section avicole
SILLAGE<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Mensuel<br />
Date : FEV 18<br />
Page 1/1<br />
Grippe aviaire<br />
Des mesures<br />
de prévention<br />
Éleveurs professionnels de volaille<br />
mais aussi propriétaires de volailles<br />
domestiques doivent se préserver<br />
de tout risque d'apparition de<br />
foyers de grippe aviaire. La période<br />
hivernale, avec le passage d'oiseaux<br />
migrateurs, s'avère particulièrement<br />
à risque. Si vous possédez des<br />
volailles domestiques (poules pondeuses,<br />
oiseaux d'ornement en extérieur...), il est impératif de s'en remettre à des règles<br />
strictes de prévention. Si votre commune passe en risque modéré ou élevé (signalé par<br />
arrêté ministériel affiché en mairie ou annonce par les médias), les mesures suivantes<br />
sont obligatoires: mise en place de mesures de biosécurité su r l'ensemble des élevages<br />
professionnels et confinement des volailles de plein air (sauf dérogation), et confinement<br />
obligatoire sans dérogation possible pour les volailles des particuliers. Il est également<br />
conseillé de prévoir un bâtiment fermé pour les confiner, ou un parcours grillagé de<br />
toutes parts, pour éviter le contact avec les oiseaux sauvages en période d'alerte.<br />
www.gds-bretagne.fr<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 2825453500505
Pays : France<br />
Périodicité : Parution Irrégulière<br />
OJD : 6500<br />
Date : 16 FEV 18<br />
Page de l'article : p.10<br />
Journaliste : Claire Le Clève<br />
Page 1/1<br />
Pierrick<br />
Le Labourier<br />
Président de<br />
La section avicole<br />
du GDS Bretagne<br />
"Penser<br />
consbammenb<br />
biosécuribé"<br />
Le 5 Février dernier, la<br />
détection de trois cas<br />
d'InPIuenza aviaire Paiblemenb<br />
pathogène, H5N3, était révélée<br />
dans le Morbihan, premier<br />
département avicole de France.<br />
S'en suivaient l'euthanasie<br />
des 25 000 canards puis la<br />
désinPection programmée<br />
des trois exploitations<br />
touchées. Outre les mesures<br />
de protection réglementaire<br />
ordonnées, restent celles de<br />
prévention, détaillées dans le<br />
plan de biosécurité auprès de<br />
chaque aviculteur qui s'y est<br />
Pormé et que tout intervenant<br />
se doit de respecter: Un<br />
point de vigilance pour<br />
Pierrick Le Labourier; éleveur<br />
de dindes à Plumelec (56),<br />
président de la section<br />
avicole du GDS Bretagne. En<br />
jeu, les conséquences sur la<br />
commercialisation des produits<br />
avicoles bretons à l'expert<br />
qui dépendent des exigences<br />
sanitaires des pays clients.<br />
Propos recueillis par Claire Le elève<br />
—> Quelle est votre réaction sur les trois cas d'Influenza aviaire (IA) faiblement<br />
pathogène détectés dans le Morbihan ?<br />
Pierrick Le Labourier. Cela fait 18 ans que l'Europe est régulièrement confrontée a ce problème<br />
ll faut rappeler que la mise en évidence de ces trois cas n'est pas étonnante Après<br />
des épisodes de IA hautement pathogène dans le Sud Ouest, un plan de surveillance s'est<br />
mis en place pour la filière palmipèdes gras et plein air Cela comporte une obligation de<br />
contrôle de tous les animaux prêts à gaver dix jours avant transfert vers les ateliers de<br />
gavages Cet hiver, la France n'a pas déclare de cas hautement pathogènes maîs détecte des<br />
cas faiblement pathogènes (FR) Avec ce plan de contrôle, il n'est pas étonnant d'en trouver<br />
car on les cherche i Nous ne sommes pas surpris même si e est la première fois qu Influenza<br />
aviaire FR est mise en évidence en Bretagne Ce qui justifie les mesures mises en œuvre et<br />
l'euthanasie puis la destruction en equarnssage des 25 DOO canards ll y a 130 éleveurs en<br />
Bretagne dans cette filiere Qu'il y ait trois éleveurs touches en même temps pose questions<br />
Une enquête épidémiologique est en cour, il y a des enregistrements, des preuves qui devront<br />
être apportées...<br />
—> Quelles préconisations sont à rappeler en matière de prévention ?<br />
P. L. L. Tous les delenteurs de volailles a titre commercial doivent avoir suivi une formation a la<br />
biosécunté depuis 2016 Les éleveurs sont appelés à mettre en œuvre ce plan de biosecunté<br />
connu L'idée, c'est de se protéger de ce qui arrive sur l'exploitation par roues, par bottes et<br />
par pattes, qu elles soient deux ou quatre ! Ce sont des barrières, un plan de circulation dans<br />
l'élevage, la desinfection des vehicules qui rentrent, y compris ceux de l'éleveur, son tracteur<br />
ou son telescopique C'est l'application scrupuleuse du sas sanitaire on limite les visiteurs,<br />
on ne fréquente pas les zones humides, on porte une attention scrupuleuse au stockage de<br />
la litière, on la rentre ou on la bâche, on met à l'abri les systèmes d'alimentation Nous avons<br />
ce virus en Bretagne, soyons vigilants, appliquons ' J attire aussi I attention sur les prestataires<br />
Ils peuvent être des vecteurs du virus Attention aux interventions en cours de lots I ll<br />
faut changer ses habitudes, penser constamment biosecunté En matiere sanitaire, si l'un<br />
n'applique pas, c'est tout le monde qui trinque<br />
—> Quelles conséquences peut-on craindre sur les marchés ?<br />
P. L. L. C'est un dossier sanitaire de catégorie un Ila un impact sur les qualifications sanitaires<br />
et nous fait perdre, durant un mois, la mention sanitaire indemne de toute forme d'Influenza<br />
aviaire acquise depuis octobre 2017 Nous exportons 50 % de notre foie gras Le Japon, gros<br />
importateur (56 % de la valeur exportée] a déjà fermé ses frontières au foie gras breton ll faut<br />
rappeler qu entre 2015 et 2017, la France a perdu plus du tiers de sa production, passant de<br />
36 millions de canards gras a 23 millions l'an passe Cela impacte donc la filiere foie gras et<br />
ses 120 éleveurs bretons maîs aussi les autres productions avicoles Car des pays nous ont<br />
mis sous embargo, bloquant des produits non-cuits, les volailles crues congelées, les poules<br />
de reformes, les œufs a couver D autres acceptent la régionalisation des mesures sanitaires<br />
et vont continuer a acheter en France N'oublions pas qu'entre la génétique, la production<br />
de foie gras, celle de volaille congelée, les œufs, etc , le chiffre d'affaires de la filière avicole<br />
francaise atteignait dix millions d'euros par semaine avant les épisodes d'Influenza aviaire<br />
Nous subissons un manque à gagner très important supporté par toute la filiere<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 7911263500509
REVUE DE PRESSE FEVRIER <strong>2018</strong><br />
Thème 7 :<br />
Section Equine
Date : 13/02/<strong>2018</strong><br />
Heure : 14:06:49<br />
www.newestern.fr<br />
Pays : France<br />
Dynamisme : 5<br />
Page 1/1<br />
Le 20 février <strong>2018</strong> est inscrit à l'agenda des éleveurs bretons<br />
Visualiser l'article<br />
Du moins sont-ils invités à rallier la Maison de l’Agriculture de Rennes (35)* pour une présentation de l'action «<br />
vaccination contre la rhinopneumonie » mise en œuvre par la section équine de GDS (Groupement de défense<br />
sanitaire) Bretagne. Mot d'ordre : « Protéger chaque élevage, agir collectivement, vaccinons un maximum<br />
d’équidés et protégeons-nous ensemble contre la rhino-pneumonie ! »<br />
« Plusieurs intervenants (notamment vétérinaire, membre de la section équine, représentant de la filière)<br />
rappelleront les enjeux de la vaccination contre cette maladie très fortement impactante en élevage, ainsi que<br />
les modalités techniques et financières de cette nouvelle action collective – unique en France, » indiquent<br />
les organisateurs.<br />
Ajoutons que 60 à 70 % des chevaux sont porteurs latents de l’herpès-virus responsable de la rhinopneumonie<br />
(individus ne présentant pas de symptômes mais pouvant excréter le virus lors d’une baisse du système<br />
immunitaire occasionnée par un état de stress, une fatigue). Selon certains vétérinaires équins, seulement<br />
30% des détenteurs vaccineraient leurs chevaux contre la rhinopneumonie, principalement des éleveurs. Les<br />
autres représentent le « réservoir » de la maladie…<br />
Pour plus d'information et pour s'inscrire : GDS Bretagne / Johann Guermonprez / 06 13 84 08 92 /<br />
johann.guermonprez@gds-bretagne.fr<br />
* rue Maurice Le Lannou, salle Armorique (2ème étage, aile A), présentation de 11 h à 12 h.<br />
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 307843302
LE CHEVAL<br />
Pays : France<br />
Périodicité : Bimensuel<br />
Date : 16 FEV 18<br />
Page de l'article : p.21<br />
Page 1/1<br />
BRETAGNE<br />
La section Equine de GDS Bretagne<br />
propose une action d'envergure : le soutien<br />
à la vaccination contre la rhinopneumonie équine<br />
Jean François Treguer president de rue Maurice le Lannou a Rennes techniques et financieres de cette<br />
GDS Bretagne et Yannick Rolland Plusieurs intervenants (notam nouvelle action collective unique<br />
president de ta section equme de ment vétérinaire membre de la en France Un seul mot d ordre<br />
Tous droits réservés à l'éditeur<br />
GDSBRETAGNE 9752263500506
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