Revue de presse avril 2019

REVUE DE PRESSE
Avril 2019

REVUE DE PRESSE AVRIL 2019
SOMMAIRE :
Thème 1 : Actions GDS Bretagne
Thème 2 : Alliance
Thème 3 : Blocage ASDA
Thème 4 : Numérique

REVUE DE PRESSE AVRIL 2019
Thème 1 :
Actions GDS Bretagne

Pays : FR
Périodicité : Mensuel
Date : Avril 2019
Page de l'article : p.56,58
Journaliste : Véronique Bargain
Page 1/2
aI Px/Anp
SANTE
Le nouvel audit de GDS Bretagne permet d’aider à résoudre des problèmes
de mammites ou de qualité du lait dans les élevages en traite robotisée. Il est
proposé depuis décembre 2018.
L’audit de traite robotisée
désormais standardisé
Depuis décembre
2018, GDS Bretagne
a mis en place une
nouvelle approche
d’intervention pour l’audit
de la traite robotisée. « En
1000 élevages sont
Bretagne,
équipés de robots et 54 % des
nouvelles installations sont
des robots précise
de traite,
Daniel Le Clainche, du pôle
Technique Innovation de
GDS Bretagne. Nous faisons
des audits de traite robotisée
depuis une dizaine d’années.
Les structures d’élevage, les
tailles de troupeau et les
équipements ont toutefois
beaucoup progressé, ce qui
nous a amenés à faire évoluer
notre mode d’intervention. »
Un nouveau référentiel tech¬
Un nouveau référentiel a été établi, rassemblant au total 41 instruction techniques.
nique a été établi, rassemblant
41 instructions techniques.
Pour chaque instruction
une lampe led sur perches
télescopiques pour mieux
raison de ces indicateurs au
seuil d'alerte et à l’objectif de
technique (par exemple :
évaluation de la propreté de
voir les trayons... « Tous les
conseillers ont ainsi la même
l’éleveur permet de voir quel
est le problème sur l’élevage et
la mamelle, évaluation de la
méthodologie d’intervention,
de cibler l’intervention », note
pose des gobelets trayeurs,
consultation et interpréta¬
le même matériel, les mêmes
grilles d’interprétation et les
Daniel Le Clainche. Il relève
aussi les caractéristiques des
tion des alertes du logiciel
mêmes mesures corrective
s. »
équipements d’élevage et du
du robot...), le matériel et la
méthode à utiliser sont décrits
en détail. Des outils d’inter¬
prétation sont fournis pour
évaluer les facteurs de risque
(critères objectifs, photos...).
Et des mesures correctives
de chaque facteur de risque
sont proposées. De nouveaux
matériels ont également été
mis au point: un trayon arti¬
MÊME MÉTHODE, MÊMES
OUTILS, MÊMES MESURES
Six conseillers spécialisés
« Santé mamelle - Qualité
du lait » répartis sur toute la
Bretagne ont été formés au
nouveau référentiel. L’audit
dure une demi-journée.
La première étape est le
relevé des caractéristiques
« Les facteurs de risque
sont analysés en lien avec
les données du logiciel
précise Daniel
du robot »,
le Clainche.
rapport de pulsation...). Le
conseiller relève ensuite les
performances du robot via
les tableaux de bord (nombre
moyen de traites par vache
bâtiment (circulation, type
de couchage, positionnement
du robot, des abreuvoirs, des
brosses, niveau d’hygiène et
de confort...).
ÉVALUATION DE LA TRAITE
SUR CINQ VACHES
Vient ensuite l’étape la plus
importante, qui est l’assistance
à la traite et l’évaluation sur
ficiel sur perche télescopique
pour évaluer la qualité de la
pulvérisation des trayons
du robot (marque, date de
mise en service, contrôles
Certitraite et Optitraite,
et par jour, nombre de refus
de traite, nombre d’échecs
de traite, nombre de traites
cinq vaches par stalle de la
qualité de la traite, de l’en¬
trée dans la stalle jusqu’à la
après la traite, un miroir et
vide de traite, fréquence et
incomplètes...). « La compa¬
sortie. Tout est évalué :
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GDSBRETAGNE 1502746500503

Pays : FR
Périodicité : Mensuel
Date : Avril 2019
Page de l'article : p.56,58
Journaliste : Véronique Bargain
Page 2/2
la propreté et la pilosité
de la mamelle, la propreté
des trayons, la préparation
des trayons et la pose des
gobelets trayeurs par le bras
de traite, la conformation de
la mamelle et l’implantation
des trayons, les lésions des
trayons, la qualité de la
pulvérisation post-traite...
Le conseiller évalue ensuite
l'entretien du robot (extérieur
et intérieur, fréquence de
lavage, produits utilisés,
propreté et réglages des
équipements, tension élec¬
trique de contact...).
« Toutes ces étapes de l’audit
permettent de lister et hiérar¬
chiser les facteurs de risque
en lien avec le problème de
mammite ou de qualité du
lait de l’élevage. Pour chaque
facteur de risque, il y a une
ou plusieurs recommanda¬
tions. » Les paramétrages de
la traite pour les cinq vaches
sont ensuite analysés (durée
de la traite, débit, prépa¬
ration et désinfection des
trayons, niveau de vide...),
en lien notamment avec les
observations faites sur la
vache. Enfin, une synthèse
est rédigée et transmise à
l’éleveur.
SUIVI ET VISITES
COMPLÉMENTAIRES
« L’éleveur reçoit un
compte-rendu proposant
des mesures correctives,
détaille Daniel Le Clainche.
Certaines, comme le niveau de
vide, peuvent être appliquées
par l’éleveur, en concertation
avec son installateur. D’autres,
qui touchent au système, ne
peuvent être mises en œuvre
que par l’installateur. » Un
programme de suivi est établi,
avec en général une ou deux
visites complémentaires,
pour voir si les mesures
correctives ont été mises
en oeuvre et si elles ont eu
le résultat attendu. ©
Véronique Bargain
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REVUE DE PRESSE AVRIL 2019
Thème 2 :
ALLIANCE

Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
OJD : 3258
Date : 19 avril 2019
Page de l'article : p.32
Journaliste : AMANDINE
CLÉMENT AVEC CLOTHILDE
BARDE
Page 1/3
PRATIQUE MIXTE LACTU
3
ORGANISATIONS PROFESSIONNELLES
Alliance Bretagne GDS-GTV,
un partenariat original et fédérateur
A
(Alliance
l>retaane GDS-GTV
Point presse
Première conférence de presse des membres du "copil" de l’Alliance Bretagne GDS-GTV dans les locaux du GDS Bretagne à Rennes. De gauche à droite,
Thierry Le Druillennec et Jean-François Labbé, respectivement président et animateur de l'Alliance, Jean François Tréguer, président du GDS Bretagne, et
Pierre Laurière, président du GTV Bretagne.
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GDSBRETAGNE 4239856500501

Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
OJD : 3258
Date : 19 avril 2019
Page de l'article : p.32
Journaliste : AMANDINE
CLÉMENT AVEC CLOTHILDE
BARDE
Page 2/3
À l'occasion de son sixième anniversaire, l'Alliance groupement de défense
sanitaire (GDS)-groupement technique vétérinaire (GTV) Bretagne a signé
une Fconvention de formation rénovée pour l'avenir.
aire monter en puissance l'Alliance
Bretagne et le conseil en santé des éle¬
GDS-GTV Bretagne, aller plus loin vages bretons. Le GDS Bretagne, regrou¬
dans les actions communes propo¬
pement des quatre GDS départementaux
sées, fédérer davantage d’éleveurs
et de vétérinaires et le faire savoir »,
tels étaient les objectifs annoncés
par Thierry Le Druillennec, président de
l’Alliance, éleveur dans les Côtes-d’Armor,
pour introduire la conférence de presse
qui s’est tenue à Rennes (Ille-et-Vilaine)
le 21 mars, à l’occasion de la signature
d’une nouvelle convention de formation
renforcée entre les deux organismes.
Une organisation unique en France
Créée en 2013, « l’Alliance est née d’une
demande des éleveurs, désireux de pouvoir
mieux appréhender et coordonner les mes¬
sages des différents acteurs impliqués dans
la santé de leurs élevages », a-t-il ajouté.
En effet, selon Jean-François Labbé, ani¬
mateur de l’Alliance et vétérinaire pra¬
ticien à Broons (Côtes-d'Armor), à cette
époque, le besoin de se rencontrer est ap¬
paru sur le terrain « pour mieux travailler
ensemble dans un souci de cohésion ». C'est
pourquoi, le groupement technique vété¬
rinaire (GTV) et le groupement de dé¬
fense sanitaire (GDS) de Bretagne se sont
unis (reconnus comme OVS et OWT- de¬
puis 2014), avec des actions complémen¬
taires, soit respectivement : la représen¬
tation et la formation des vétérinaires
exerçant en productions animales en
depuis 2015, fédère ainsi plus de
22 000 adhérents dans sept filières et le
GTV Bretagne réunit environ 280 adhé¬
rents. L’originalité de ce partenariat tient
dans la structuration même de l’Alliance,
« plutôt souple et agile », selon Thierry Le
Druillennec. « Son organisation, les ré¬
flexions communes, ses missions straté¬
giques sont uniques en France », a précisé
Jean-François Labbé.
Six années de recul : des actions
renforcées et de nouveaux projets
Grâce aux référentiels scientifiques com¬
muns mis au point et actualisés réguliè¬
rement, les techniciens des GDS et les
vétérinaires praticiens interviennent ré¬
gulièrement sur le terrain. En 2018,
200 visites de suivi de boiteries, 60 de
“gestion période sèche”, 105 de suivi en
paratuberculose, 115 visites/bilan en ca¬
binets vétérinaires et 50 formations ont
été menées. Selon Pierre Laurière, vété¬
rinaire et président du GTV Bretagne, « il
est indispensable et rentable d’investir dans
la prévention, car elle permet de réduire
l’impact des maladies. Pour cela, il faut for¬
mer les éleveurs et les vétérinaires, puis
s’assurer que le niveau de compétences re¬
quis est atteint en effectuant un suivi rap¬
proché afin de garantir la qualité du service
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Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
OJD : 3258
Date : 19 avril 2019
Page de l'article : p.32
Journaliste : AMANDINE
CLÉMENT AVEC CLOTHILDE
BARDE
Page 3/3
rendu aux éleveurs ». Le sixième anniver¬
saire de l’organisation a ainsi été l’occa¬
sion de renforcer le partenariat éleveurvétérinaire
et d’annoncer les futures
actions de gestion sanitaire des élevages
en Bretagne. Comme l’a souligné Jean-
François Tréguer, président du GDS Bre¬
tagne, « il faut saluer l’investissement fort
de la profession vétérinaire aux côtés du
GDS Bretagne ». Pour 2019 et les années
à venir, huit thématiques ont retenu l’at¬
tention de l’organisation : la paratuber¬
culose, la gestion de la période sèche, les
boiteries, la diarrhée virale bovine (BVD),
la fusion/installation/reprise de trou¬
peaux, l’accueil des jeunes vétérinaires,
la formation des éleveurs, les rencontres
GDS-vétérinaire traitant en cabinet vété¬
rinaire, les soirées techniques Alliance et
les logiciels de suivi d’élevage (Sanael,
iCownect).
En santé animale, le soleil se lève
à l'ouest
« Ce ‘‘partenariat métiers”, observé ailleurs
et convoité, ambitionne de maintenir et de
renforcer le réseau de veille sanitaire breton
reconnu par l’État et par l’administration
vétérinaire », a indiqué Jean-François Tré¬
guer. Et, comme l’a conclu le président
de l’organisation, l’Alliance GDS-GTV Bre¬
tagne, bien qu’encore jeune, repose sur
des fondations solides et prometteuses
pour le futur. •
AMANDINE CLÉMENT AVEC CLOTHILDE BARDE
1 Organismes à vocation sanitaire animal
régional (pleinement intégré dans l’Association
sanitaire régionale, ASR) et organisation
vétérinaire à vocation technique.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 4239856500501

Date : Avril 2019
Page de l'article : p.20
Pays : FR
Périodicité : Mensuel
OJD : 12173
Page 1/1
BRETAGNE
Collaboration renforcée
entre GDS et GTV
Cas unique en France, CDS et GTV
travaillent ensemble sur de nombreux
sujets en Bretagne. Le rapprochement
a commencé en 2013, à la demande
d'éleveurs soucieux de la cohérence des
messages. Depuis, des actions concrètes
ont vu le jour : paratuberculose, BVD,
fusion de troupeaux, boiteries. Autant
de thèmes sur lesquels les interventions
sont communes. Si le bénéfice pour
l'éleveur semble net, l'enjeu est aussi
peut-être de verrouiller le domaine
sanitaire, à l'heure de l'ouverture à
la concurrence.
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GDSBRETAGNE 0738056500501

REVUE DE PRESSE AVRIL 2019
Thème 3 :
Blocage ASDA

LA FRANCE AGRICOLE AUJOURD'HUI
NEWSLETTER Date : 06 avril 2019
Pays : FR
Page de l'article : p.28
Périodicité : Quotidien
Journaliste : V. Gu.
Page 1/1
Un « fonctionnement opaque » du GDS en Bretagne
« Clarté, transparence et progressivité dans les cotisations appelées en fonction du service rendu », telles
sont les demandes du syndicalisme majoritaire breton à l’égard du Groupement de défense sanitaire (GDS)
de la région, dans un communiqué publié le 5 avril 2019.
Selon la FRSEAet JA, l’organisme aurait « décidé de façon arbitraire, et après avoir mandaté une société
de recouvrement pour « récupérer » les arriérés de cotisations, de stopper net les envois des ASDA(1) du
jour au lendemain ». Les éleveurs concernés auraient ainsi reçu « un courrier leur demandant de payer
leurs arriérés de cotisations, sans quoi ils ne recevraient plus leurs ASDA à compter du 1er avril ».
« Situations économiques difficiles »
Les syndicats soulignent que « la délivrance des ASDA est une mission de service public confiée par l’État
aux GDS », et rapportent qu’« à aucun moment, ce courrier ne faisait état de la partie obligatoire à payer —
soit seulement 3,23 € par animal — pour continuer à recevoir leurs cartes vertes ».
Des SMS auraient aussi été envoyés aux exploitants concernés pour les avertir de la situation. « Prévenir
ces éleveurs par un SMS et ne pas aller à leur rencontre, alors que certains sont dans des situations
économiques difficiles, est inacceptable », estiment FRSEA et JA, qui rappellent que « le GDS est une
association d’éleveurs au service des éleveurs ».
V. Gu.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 0787946500503

Date : 09/04/2019
Heure : 19:35:02
www.letelegramme.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/1
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Grâces. Des éleveurs veulent s’unir pour défendre leurs intérêts
Le mercredi 17 avril, à 14 h, une réunion publique sera organisée à la salle des fêtes de Grâces (22),
dans l’agglomération de Guingamp, à l’initiative de plusieurs éleveurs costarmoricains. « Face aux pressions
exercées par GDS Bretagne (groupement de défense sanitaire), nous voulons créer un collectif pour défendre
nos intérêts. Une initiative similaire a été mise en place dans le Finistère », expliquent-ils. Le point de discorde
vient de l’Asda verte, que délivre GDS, une attestation obligatoire pour la revente des bovins, qui est vendue
trop cher aux producteurs.
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 327215450

Date : 10/04/2019
Heure : 19:43:55
www.terra.bzh
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/1
FRSEA et JA Bretagne dénoncent les méthodes du GDS
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Dans un communiqué commun, FRSEA et JA Bretagne dénoncent le fait que le GDS Bretagne ait eu recours
à une société de recouvrement pour percevoir "les arriérés de cotisations dues par certains éleveurs qui
pourtant avaient demandé à rencontrer un conseiller". "Les éleveurs concernés ont ainsi reçu un courrier
leur demandant de payer leurs arriérés de cotisations sans quoi ils ne recevraient plus leurs ASDA à
compter du 1 er avril" explique le communiqué. "La délivrance des ASDA et le suivi de la prophylaxie
sont une mission de service public confiée par l’Etat aux GDS" affirment ainsi FRSEA et JA Bretagne qui
"demandent expressément aux représentants du GDS de revenir à la raison et d’aller à la rencontre des
éleveurs individuellement pour renouer le dialogue et trouver une solution pour apaiser les campagnes".
Le communiqué se conclut par le souhait de "poursuivre le dialogue avec les élus du GDS pour maintenir
l’excellence sanitaire en Bretagne tout en respectant les demandes et besoins des éleveurs bretons".
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Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
OJD : 97257
Date : 12 avril 2019
Page de l'article : p.24
Page 1/1
Bretagne GDS : un manque de transparence
Depuis le 1er avril, les éleveurs de bovins n'ayant pas payé leurs prestations
obligatoires OVS pour le suivi de la prophylaxie de leur élevage ne reçoivent
plus leur ASDA (Attestation sanitaire à délivrance anticipée, appelée « carte
verte »), indispensable à la commercialisation des animaux.
Selon la FRSEA et JA Bretagne : « Le groupement de défense sanitaire
a décidé de façon arbitraire, et après avoir mandaté une société de
recouvrement pour “récupérer" les arriérés de cotisations, de stopper net
les envois. Le courrier ne faisait pas état de la partie obligatoire à payer
(soit seulement 3,23 euros/animal et non pas la totalité des cotisations
appelées) pour continuer à recevoir les cartes vertes. » Une décision
« inadmissible » pour le syndicalisme majoritaire qui rappelle qu'il s'agit
d'une mission de service public confiée par l'État aux GDS. Depuis un an,
FRSEA et JA interpellent le GDS pour apporter de la transparence aux
éleveurs sur les cotisations appelées et les services rendus par l'association.
Ils réclament une plus grande progressivité concernant la cotisation en
fonction des services souhaités par l'exploitant.
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GDSBRETAGNE 1008256500502

Date : 11/04/2019
Heure : 07:38:15
actu.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/1
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Défense des agriculteurs : ils organisent une réunion publique à
Grâces
Une réunion est organisée à Grâces, mercredi 17 avril 2019. Des agriculteurs souhaitent créer un collectif
pour défendre les intérêts des éleveurs.
Les éleveurs sont invités mercredi 17 avril 2019 à Grâces. (©Photo d’illustration /publihebdos)
Les éleveurs sont invités à une réunion publique , à la salle des fêtes de Grâces , près de Guingamp
, mercredi 17 avril, 2019 à 14 h.
A l’origine de cette démarche, des agriculteurs qui souhaitent créer un collectif de défense de leurs intérêts
face au GDS de Bretagne – groupement de défense sanitaire -.
« Nous faisons face à des pressions, nous voulons créer ce collectif pour défendre les intérêts des éleveurs.
Le monde rural est déjà tellement fragile », estiment les organisateurs de ce rendez-vous.
Tous les éleveurs et agriculteurs sont invités à cette réunion, ouverte à tous.
Réunion publique, mercredi 17 avril 2019, à 14 h.
Salle des fêtes de Grâces
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 327277139

Date : 10 avril 2019
Pays : France
Périodicité : Quotidien
OJD : 203298
Page 1/1
Grâces. Des éleveurs veulent s’unir
pour défendre leurs intérêts
Le mercredi 17 avril, à 14 h, une réu¬
nion publique sera organisée à la salle
des fêtes de Grâces (22), dans l’agglo¬
mération de Guingamp, à l’initiative
de plusieurs éleveurs costarmoricains.
« Face aux pressions exercées
par GDS Bretagne (Groupement de
défense sanitaire), nous voulons créer
un collectif pour défendre nos inté¬
rêts. Une initiative similaire a été mise
en place dans le Finistère », expli¬
quent-ils. Le point de discorde vient de
l’Asda verte, que délivre le GDS, une
attestation obligatoire pour la revente
des bovins, qui est vendue trop cher
aux producteurs.
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GDSBRETAGNE 9859156500503

Date : 15/04/2019
Heure : 13:32:58
Journaliste : I.L.
www.lafranceagricole.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/1
GDS Bretagne répond à la FRSEA et JA
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© C. Faimali/GFA
Suite à la parution d’un article sur le site internet et dans l’hebdomadaire La France Agricole (1), relayant
l’arrêt des envois de cartes vertes mais aussi le manque de transparence par le syndicalisme majoritaire, le
GDS Bretagne réagit.
« Chaque éleveur qui est concerné par le recouvrement, et qui nous a sollicités suite à nos nombreuses
relances, a toujours bénéficié d’une solution de règlement […] comme par exemple d’étaler le règlement
des sommes dues, assure Jean-François Tréguer, le président de GDS Bretagne. Chaque éleveur a pu à
de nombreuses reprises revenir vers nous pour trouver cette solution, soit à la faveur d’une visite de son
conseiller, d’un contact téléphonique avec nos antennes, et la dernière alerte, a été réalisée par SMS, avant
la suspension de l’impression des documents sanitaires. »
« Ne laisser aucun éleveur surpris »
« Nos moyens ont été déployés pour ne laisser aucun éleveur surpris car non informé ou non accompagné »,
ajoute-t-il. Il affirme que « même si les cartes vertes ne sont plus imprimées la gestion des prophylaxies est
en effet toujours assurée pour protéger l’élevage breton de tout risque sanitaire collectif. Quelle organisation,
entreprise ou association comme GDS Bretagne, ferait assumer à ses clients la prise en charge financière et
technique d’une mission réalisée auprès d’autres clients qui refusent de payer ? »
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 327437844

Date : 15 avril 2019
Pays : France
Périodicité : Quotidien
OJD : 749258
Page 1/1
Ce lundi
Le festival du Chant de marin dévoi¬
Jeudi 18
Tribunal de commerce : comment
le de nouveaux noms à Paimpol. Les
nouveaux artistes invités rejoindront
Goran Bregovic et Tri Yann, les 2, 3 et
4 août, pour le trentième anniversaire
du festival. L’annonce est prévue vers
17 h.
Mercredi 17
« La culture doit-elle s’arrêter aux
portes des Ehpad ? » C’est le thème
d'une soirée organisée par le Crédit
social des fonctionnaires et la Mutuel¬
le nationale territoriale, avec une
représentation du spectacle « Dis
moi » de la compagnie Fiat Lux. À
18 h 45 au Grand Pré à Langueux.
Gratuit sur inscriptions auprès de
pouget@csf.asso.fr
Création d’un collectif d’agricul¬
teurs. Ce collectif entend s’opposer
au Groupement de défense sanitaire
(GDS) Bretagne. Rendez-vous à 14 h
à la salle des fêtes (place la mairie) de
vont les affaires ? Redressements,
liquidations judiciaires, création et
reprise d’entreprise... Quels secteurs
concernés ? Quel est le nombre de
salariés impactés 7...À Saint-Brieuc,
le président du tribunal de commerce
Michel Rault dressera un bilan de
l’activité économique du premier tri¬
mestre 2019.
Samedi 20
Le 7e salon Plumes d’Armor à Lanvollon.
Il rassemblera plus de 70
auteurs et éditeurs, dont le Briochin
Vincent Larnicol, atteint d’autisme
Asperger et auteur de plusieurs créa¬
tions littéraires.
En Avant de Guingamp reçoit
l’OIympique de Marseille. Il s’agit du
dernier match de gala à domicile
pour les Rouge et Noir. Une rencon¬
tre importante pour le maintien. À
17 h, au Roudourou.
Grâces. Rens. tél. 06 87 22 43 78.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 4726556500509

Date : 12 avril 2019
Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
Page 1/1
Dans un communiqué
commun, FRSEA et JA
Bretagne dénoncent le fait
que le GDS Bretagne ait
eu recours à une société
de recouvrement pour
percevoir "les arriérés
de cotisations dues par
certains éleveurs qui
pourtant avaient demandé
à rencontrer un conseiller".
"Les éleveurs concernés
ont ainsi reçu un courrier
leur demandant de
payer leurs arriérés de
cotisations sans quoi ils ne
recevraient plus leurs ASDA
à compter du 1er avril"
explique le communiqué.
"La délivrance des ASDA
et le suivi de la prophylaxie
sont une mission de service
public confiée par l'Etat
aux GDS" affirment ainsi
FRSEA et JA Bretagne qui
"demandent expressément
aux représentants du GDS
de revenir à la raison et
d'aller à la rencontre des
éleveurs individuellement
pour renouer le dialogue et
trouver une solution pour
apaiser les campagnes". Le
communiqué se conclut par
le souhait de "poursuivre
le dialogue avec les élus
du GDS pour maintenir
l'excellence sanitaire en
Bretagne tout en respectant
les demandes et besoins
des éleveurs bretons". /
Communiqué
iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiimiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 1130556500507

Date : 12 avril 2019
Page de l'article : p.3
Pays : France
Périodicité : Parution Irrégulière
OJD : 6500
Page 1/1
Dans un communiqué
commun, FRSEA et JA
Bretagne dénoncent le fait
que le GDS Bretagne ait
eu recours à une société
de recouvrement pour
percevoir "les arriérés
de cotisations dues par
certains éleveurs qui
pourtant avaient demandé
à rencontrer un conseiller".
"Les éleveurs concernés
ont ainsi reçu un courrier
leur demandant de
payer leurs arriérés de
cotisations sans quoi ils ne
recevraient plus leurs ASDA
à compter du 1er avril"
explique le communiqué.
"La délivrance des ASDA
et le suivi de la prophylaxie
sont une mission de service
public confiée par l'Etat
aux GDS" affirment ainsi
FRSEA et JA Bretagne qui
"demandent expressément
aux représentants du GDS
de revenir à la raison et
d'aller à la rencontre des
éleveurs individuellement
pour renouer le dialogue et
trouver une solution pour
apaiser les campagnes". Le
communiqué se conclut par
le souhait de "poursuivre
le dialogue avec les élus
du GDS pour maintenir
l'excellence sanitaire en
Bretagne tout en respectant
les demandes et besoins
des éleveurs bretons". /
Communiqué
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GDSBRETAGNE 1263456500503

Date : 18/04/2019
Heure : 19:00:04
www.terra.bzh
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/3
Les principes de la prophylaxie bovine et le rôle du GDS
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Publié dans les colonnes de Terra la semaine passée, un communiqué de la FRSEA et des Jeunes
agriculteurs de Bretagne faisait état de l'étonnement de certains éleveurs ayant du faire face à une société
de recouvrement le réclamant le paiement d'arriérés de cotisations au GDS, relance assortie de la menace
de ne plus recevoir leurs ASDA. Dans un long texte transmis à Terra et comme en réponse à la publication
de ce communiqué FRSEA-JA, mais sans y faire référence, le service régional de l'alimentation de la Draaf
Bretagne précise les conditions de la délivrance des ASDA mais aussi le rôle du GDS dans cette mission.
Nous en publions ici les extraits les plus explicites.
- © Gutner archive
En quoi consiste la prophylaxie bovine ?
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 327590441

Date : 18/04/2019
Heure : 19:00:04
www.terra.bzh
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 2/3
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La prophylaxie comprend les mesures de prévention et de surveillance contre certaines maladies animales
classées comme danger sanitaire de première (brucellose, leucose bovine enzootique et tuberculose) ou
deuxième catégorie (IBR). Ces mesures sont obligatoires car elles revêtent un intérêt général. Elles ont pour
objectif d’éviter l’apparition de ces maladies et sont à la charge des éleveurs.
Dans la plupart des régions françaises, l’organisation et le suivi des opérations de prophylaxie sont désormais
déléguées aux GDS. C'est le cas en Bretagne.
-Tout propriétaire ou détenteur de bovinés d’élevage qui, de matière permanente ou non, et à quel titre que
ce soit détient un ou plusieurs bovinés au cours de la campagne de prophylaxie est tenu de réaliser les
opérations de prophylaxie.
-L'éleveur désigne le vétérinaire sanitaire qu'il choisit pour les prophylaxies.
Quelles sont les missions déléguées par l’État à GDS Bretagne ?
En pratique en Bretagne depuis 2015, c’est GDS Bretagne qui assure :
- l’organisation des opérations de prophylaxies,
- le suivi de la réalisation et de la conformité de ces opérations,
- le suivi des contrôles sanitaires aux mou-vements et les contrôles spécifiques locaux.
Une convention cadre régionale pluriannuelle (2015-2019) formalise les modalités de cette délégation. Celleci
est complétée par :
une convention technique et financière précisant la nature des tâches déléguées et fixant le montant de la
participation financière de l’État.
La participation financière de l’État ne permet toutefois pas de couvrir toutes les missions réalisées par
GDS Bretagne pour réaliser ces différentes tâches. Cela est d’ailleurs le cas dans la grande majorité des
départements et régions. Un éleveur qui n’adhère pas à GDS Bretagne pour toutes les autres actions
sanitaires proposées ne paye que les services rendus par GDS Bretagne pour les misions déléguées par
l’État. Les services de l’État s’assurent de cette obligation.
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Date : 18/04/2019
Heure : 19:00:04
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Pays : France
Dynamisme : 0
Page 3/3
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- © Terra
Quel lien entre prophylaxies et ASDA ?
L’ASDA (attestations sanitaires à délivrance anticipée) matérialise la qualification sanitaire de l’établissement
de provenance du bovin vis-à-vis de la tuberculose, de la brucellose et de la leucose bovine enzootique.
Les mouvements des bovins sont régis par des règles précises. Un bovin ne peut être introduit dans un
troupeau d'élevage qualifié que :
- s'il respecte les conditions prévues par la réglementation ment des animaux sur le territoire national ;
- s'il est identifié conformément à la réglementation en vigueur ;
- s'il est accompagné d'un document d'accompagnement valide comportant une ASDA conforme.
Le nouveau détenteur doit retourner les ASDA au directeur de la DD(CS)PP du département où est située
son exploitation en vue de l'édition d'un nouveau document.
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Pays : France
Périodicité : Parution Irrégulière
OJD : 6500
Date : 19 avril 2019
Page de l'article : p.9
Journaliste : Paul Jégat
Page 1/1
Les principes de la prophylaxie bovine
eb le rôle du GDS
Publié dans les colonnes de Terra
la semaine passée, un communiqué
de la FRSEA eb des Jeunes
agriculbeurs de Brebagne Paisaib
ébab de l'ébonnemenb de cerbains
éleveurs ayanb du Paire Pace à
une sociébé de recouvremenb le
réclamanb le paiemenb d'arriérés
de cobisabions au GDS, relance
assorbie de la menace de ne plus
recevoir leurs ASDA.
Dans un long bexbe bransmis à
Terra eb comme en réponse à la
publicabion de ce communiqué
FRSEA-JA, mais sans y Paire
réPérence, le service régional
de l'alimenbabion de la DraaP
Brebagne précise les condibions de
la délivrance des ASDA mais aussi
le rôle du GDS dans cebbe mission.
Nous en publions ici les exbraibs les
plus explicibes.
EN QUOI CONSISTE
LA PROPHYLAXIE BOVINE ?
- le suivi des contrôles sanitaires aux mou¬
vements et les contrôles spécifiques locaux.
Une convention cadre régionale pluriannuelle
(2015-2019) formalise les modalités de cette
délégation. Celle-ci est complétée par :
une convention technique et financière
précisant la nature des tâches déléguées et
fixant le montant de la participation financière
de l'État,
La participation financière de l'État ne permet
toutefois pas de couvrir toutes les missions
réalisées par GDS Bretagne pour réaliser ces
différentes tâches. Cela est d'ailleurs le cas
dans la grande majorité des départements
et régions. Un éleveur qui n'adhère pas à
GDS Bretagne pour toutes les autres actions
sanitaires proposées ne paye que les services
rendus par GDS Bretagne pour les misions
déléguées par l'État. Les services de l'État
s’assurent de cette obligation.
reprit par
Draaf Bretagne,
Paul Jégat
Quel lien entre
prophylaxies et ASDA ?
L'ASDA (attestations sanitaires à déli¬
vrance anticipée) matérialise la quali¬
fication sanitaire de l'établissement de
provenance du bovin vis-à-vis de la tuber¬
culose, de la brucellose et de la leucose
bovine enzootique.
Les mouvements des bovins sont régis
par des règles précises. Un bovin ne peut
être introduit dans un troupeau d'élevage
qualifié que :
- s'il respecte les conditions prévues par
la réglementation ment des animaux
sur le territoire national ;
- s'il est identifié conformément à la ré¬
glementation en vigueur ;
- s'il est accompagné d'un document
d'accompagnement valide comportant
La prophylaxie comprend les mesures de
prévention et de surveillance contre certaines
maladies animales classées comme danger
sanitaire de première (brucellose, leucose
bovine enzootique et tuberculose) ou
deuxième catégorie (IBR). Ces mesures sont
obligatoires car elles revêtent un intérêt
général. Elles ont pour objectif d'éviter
l'apparition de ces maladies et sont à la
charge des éleveurs.
Dans la plupart des régions françaises,
l’organisation et le suivi des opérations de
prophylaxie sont désormais déléguées aux
GDS. C'est le cas en Bretagne.
-Tout propriétaire ou détenteur de bovinés
d’élevage qui, de matière permanente ou
non, et à quel titre que ce soit détient un ou
plusieurs bovinés au cours de la campagne
de prophylaxie est tenu de réaliser les
opérations de prophylaxie.
-L'éleveur désigne le vétérinaire sanitaire
qu'il choisit pour les prophylaxies.
0
QUELLES SONT LES MISSIONS DÉLÉGUÉES
PAR L’ÉTAT À GDS BRETAGNE ?
En pratique en Bretagne depuis 2015, c’est
GDS Bretagne qui assure :
- l’organisation des opérations de pro¬
phylaxies,
- le suivi de la réalisation et de la conformité
de ces opérations,
Tous droits réservés à l'éditeur
Quelles sonb les règles de prophylaxie?
Maladie Modalités de réalisation de la prophylaxie

Date : 18/04/2019
Heure : 11:19:46
portail.free.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/1
Élevage : crispation sur les tarifs sanitaires
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Des éleveurs dénoncent l'opacité des tarifs du groupement sanitaire de Bretagne. Son président leur a
répondu hier.
Dans une ambiance houleuse, une centaine d'éleveurs venus de toute la Bretagne ont participé hier à
une réunion publique à Grâces (Côtes-d'Armor). L'initiative d'un collectif, remonté contre le Groupement de
défense sanitaire de Bretagne (GDS).
L'association (130 salariés), à laquelle 98 % des éleveurs bretons font appel, est chargée par l'État de veiller
à la qualité sanitaire des élevages, au moyen notamment d'analyses de lait et de prélèvements sanguins.
« Nous ne sommes pas d'accord avec les tarifs de cotisations : a minima 3,23 € par bovin, lance
Nicolas, l'un des éleveurs. Le GDS du Calvados, c'est 1,56 €. Vos factures sont opaques. Quel est le
détail des coûts ? » Des montants qui peuvent dépasser les 1 000 € annuels par éleveur.
Le trésorier de GDS, Thierry Le Druillennec, oppose une fin de non-recevoir : « Vous ne saurez pas
aujourd'hui. Nous rendons compte à l'État d'abord, comme tous les ans. Tout est transparent. » À ses
côtés, le président du GDS, Jean-François Tréguer, bondit : « Comparer avec le Calvados, c'est honteux.
Ils sont en alerte tuberculose, r...
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Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 327564261

Date : 18 avril 2019
Journaliste : Fabrice BERNAY.
Pays : France
Périodicité : Quotidien
OJD : 749258
Page 1/1
Élevage : crispation sur les tarifs sanitaires
Des éleveurs dénoncent l’opacité des tarifs du groupement
sanitaire de Bretagne. Son président leur a répondu hier.
Dans une ambiance houleuse, une
centaine d’éleveurs venus de toute
la Bretagne ont participé hier à une
réunion publique à Grâces (Côtesd'Armor).
L’initiative d’un collectif, re¬
monté contre le Groupement de dé¬
fense sanitaire de Bretagne (GDS).
L’association (130 salariés), à la¬
quelle 98 % des éleveurs bretons
font appel, est chargée par l’État de
veiller à la qualité sanitaire des éle¬
vages, au moyen notamment d’ana¬
lyses de lait et de prélèvements san¬
guins. «
Nous ne sommes pas d’ac¬
cord avec les tarifs de cotisations :
Archives Hugo Smague, Ouest-France
a minima
3,23 € par bovin,
lance Ni¬
Le GDS du
colas, l’un des éleveurs.
Calvados, c’est 1,56 €. Vos factures
sont opaques. Quel est le détail des
coûts ? » Des montants qui peuvent
dépasser les 1 000 € annuels par
éleveur.
Le trésorier de GDS, Thierry Le
Druillennec, oppose une fin de nonrecevoir
: « Vous ne saurez pas aujourd’hui.
Nous rendons compte à
l’État d’abord, comme tous les ans.
Tout est transparent. » À ses côtés,
le président du GDS, Jean-François
Comparer avec
Tréguer, bondit : «
le Calvados, c’est honteux. Ils sont
en alerte tuberculose, reçoivent des
subventions. Nous remboursons
l’intégralité de la prophylaxie et des
analyses vétérinaires... aux adhérents
à jour de cotisation. »
Autre sujet de crispation : « Début
mars, nous avons envoyé des cour¬
riers à 1 000 éleveurs en non-paie¬
ment depuis trois ans, expose le tré¬
sorier.
Nous avons trouvé des solu¬
tions avec ceux qui ont répondu.
Les 400 autres, nous avons bloqué
leurs ASDA (attestation sanitaire à
délivrance anticipée, qui permet la
libre circulation de l’animal, NDLRJ. »
Le président appuie : « La majorité
des autres GDS français le font de¬
puis longtemps. »
Une éleveuse se lève : « Vous sa¬
vez, dans la profession, il y a un sui¬
cide tous les deux jours. Notre équi¬
libre est fragile, faites attention. »
Fabrice BERNAY.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 9937756500502

Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
OJD : 97257
Date : 19 avril 2019
Page de l'article : p.24
Page 1/1
Bretagne Manque de transparence :
le GDS répond à la FRSEA et à JA
Après la parution d'un article dans La France agricole du 12 avril,
dénonçant l'arrêt des envois de cartes vertes et le manque de
transparence des cotisations par le syndicalisme majoritaire, le GDS
(groupement de défense sanitaire) Bretagne réagit par la voix de son
président, Jean-François Tréguer : « Chaque éleveur, qui est concerné par
le recouvrement et qui nous a sollicités à la suite de nos nombreuses
relances, a toujours bénéficié d'une solution de règlement [...], comme
d'étaler les sommes dues. Nos moyens ont été déployés pour ne laisser
aucun éleveur surpris car non informé ou non accompagné. » Il assure que
« même si les cartes vertes ne sont plus imprimées, la gestion des
prophylaxies est toujours assurée pour protéger l'élevage breton de tout
risque sanitaire collectif. » « Quelle organisation, entreprise ou
association, comme GDS Bretagne, ferait assumer à ses clients la prise en
charge financière et technique d'une mission réalisée auprès d'autres
clients qui refusent de payer? », interroge-t-il.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 1085756500508

Date : 24/04/2019
Heure : 19:12:07
Journaliste : Anne KIESEL
saint-brieuc.maville.com
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/2
Saint-Brieuc. Des éleveurs contestent les tarifs des dépenses
sanitaires
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Un veau, devant le siège du groupement de défense sanitaire à Saint-Brieuc.© OUEST-FRANCE
Le groupement de défense sanitaire de Bretagne est interpellé par des agriculteurs qui protestent contre le
montant des factures.
Un veau, avec une pancarte : « Je viens chercher ma carte verte pour circuler librement ». C’est avec
ce compagnon insolite qu’une quinzaine d’éleveurs de bovins se sont rendus ce mercredi matin au siège du
GDS (groupement de défense sanitaire) de Bretagne, à Ploufragan, près de Saint-Brieuc.
Une manifestation d’agriculteurs en colère contre le montant des factures du GDS. Il existe deux tarifs : l’un
pour les adhérents (qui bénéficient de différents services et prises en charge), et un autre, moins cher, pour les
non adhérents, concernant uniquement la surveillance sanitaire obligatoire. ?« Nous avons cessé d’adhérer
au GDS, explique un manifestant, ?mais on a continué à recevoir des factures annuelles d’adhérent.
» « Pour moi, dit une autre, ?c’est passé de 450 € à 800 €. »
« On ne conteste pas la veille sanitaire »
« On ne conteste pas la veille sanitaire, précise un troisième, ?on conteste son prix. » Un exemple ? Les
Asda (attestations sanitaires à délivrance anticipée) couramment appelées « cartes vertes », sont valables
durant toute la vie de l’animal. Le document est édité à la naissance de l’animal, et ensuite uniquement s’il
change d’élevage. ?« Ici, on nous facture chaque année les Asda pour l’ensemble du troupeau »,
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 327792339

Date : 24/04/2019
Heure : 19:12:07
Journaliste : Anne KIESEL
saint-brieuc.maville.com
Pays : France
Dynamisme : 0
assurent les manifestants, en présentant des factures qui l’attestent. ?Jusqu’à 1 000 éleveurs ont refusé de
payer le GDS. Aujourd’hui, ils sont encore plusieurs centaines.
Jean-François Tréguer, président du GDS Bretagne, relativise : ?« Ils sont quelques éleveurs en situation
d’impayé. Les 3,23 € que nous facturons représentent le coût de notre prestation, par bovin et par an. »
Ouest-France
Page 2/2
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tCflicVriV«-
Date : 25 avril 2019
Journaliste : Anne KIESEL.
Pays : France
Périodicité : Quotidien
OJD : 749258
Page 1/1
Veille sanitaire : des éleveurs remontés
Le groupement de défense sanitaire de Bretagne est interpellé
par des agriculteurs qui protestent contre le montant des factures.
UbfiejiE
Un veau, devant le siège du groupement de défense sanitaire à Saint-Brieuc.
I Crédit photo: OUEST-FRANCE
Un veau, avec une pancarte : « Je
viens chercher ma carte verte pour
circuler librement. » C’est avec ce
compagnon insolite qu’une quinzai¬
ne d'éleveurs de bovins se sont ren¬
dus ce mercredi matin au siège du
GDS (groupement de défense sani¬
taire) de Bretagne, à Ploufragan, près
de Saint-Brieuc.
Une manifestation d'agriculteurs en
colère contre le montant des factures
« On ne conteste pas la veille sanitai¬
re, précise un troisième, on conteste
son prix. » Un exemple ? Les Asda
(attestations sanitaires à délivrance
anticipée) couramment appelées «
cartes vertes », sont valables durant
toute la vie de l’animal. Le document
est édité à la naissance de l’animal, et
ensuite uniquement s’il change d’éle¬
vage. « Ici, on nous facture chaque
année les Asda pour l’ensemble du
du GDS. Il existe deux tarifs : l’un pour
les adhérents (qui bénéficient de dif¬
férents services et prises en charge),
et un autre, moins cher, pour les non
adhérents, concernant uniquement
la surveillance sanitaire obligatoire.
« On ne conteste pas la veille
sanitaire »
« Nous avons cessé d’adhérer au
GDS, explique un manifestant, mais
onacontinuéà recevoir des factu res
troupeau », assurent les manifes¬
tants, en présentant des factures qui
l’attestent. Jusqu’à 1 000 éleveurs
ont refusé de payer le GDS. Aujour¬
d’hui, ils sont encore plusieurs centai¬
nes.
Jean-François Tréguer, président
du GDS Bretagne, relativise : « Ils
sont quelques éleveurs en situation
d’impayé. Les 3,23 € que nous factu¬
rons représentent le coût de notre
prestation, par bovin et par an. »
annuelles d’adhérent. » « Pour moi,
dit une autre, c’est passé de 450 € à
Anne KIESEL.
800 €. »
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 1153166500507

Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
OJD : 9434
Date : Du 24 au 30 avril
2019
Page de l'article : p.13
Page 1/1
GRÂCES
ELEVEURS BRETONS.
Un service sanitaire trop cher ?
Mercredi dernier une centaine
d'agriculteurs étaient réunis à
Grâces sur la demande du col¬
lectif Bretagne éleveurs OVS
(organisme à vocation sanitaire).
Le collectif reproche au
Groupement de Défense Sani¬
taire (GDS) de Bretagne la sur¬
facturation des services rendus.
Pour garantir le statut sanitaire
de leurs élevages, les éleveurs
bovins, non adhérents au GDS
sont soumis d'office à la surfac¬
turation de l'OVS/GDS et doivent
s'acquitter d'une cotisation de
3,23 € par bête présente sur leur
exploitation.
Cette prestation inclut la sur¬
veillance des maladies réglemen¬
tées par l'Etat et déléguée par lui
au GDS Bretagne (Délégation de
service public) au moyen d'ana¬
lyses de lait et de prélèvements
sanguins.
Fondé il y a plus de 60 ans
Une centaine d'éleveurs sont venus pour débattre.
pour épauler les services de l'Etat
dans la maîtrise de la prophylaxie
Le désaccord fondamental
entre le collectif et la structure
services. À titre d'exemple,
un adhérent OVS/GDS de
sation demandée à ceux qui ont
quitté le GDS mais qui restent
et la protection des consomma¬
teurs, le Groupement de Défense
Sanitaire est une association
concerne la somme demandée
par bête qui est devenue trop
importante. Un membre du col¬
ce département, pour 120
animaux présents, paiera
214 € pendant qu'un adhé¬
OVS/GDS.
Il répond : « Je ne peux ac¬
tuellement rien dire sur nos
crée par les éleveurs. À l'origine
départemental, il est devenu
régional et compte 130 salariés
lectif, Gilles Guillou, éleveur à
Grâces, a pris la parole : « Le
collectif souligne qu'au lieu
rent de Bretagne paiera
419 € »
Il est demandé à Jean-Fran-
comptes tant qu'ils ne sont
pas validés par l'Etat. Le détail
des 3,23 € ne vous sera pas
dont 29 cadres techniques (vété¬
rinaires et ingénieurs) et 7 cadres
de 3,23 €, le GDS du Calva¬
dos ne facture sa prestation
çoisTreguer, présent dans la salle
et président du GDS Bretagne de
donné, avant le retour de la
validation des comptes par
administratifs.
que de 1,56 € pour les mêmes
s'expliquer sur les 3,23 € de coti¬
l'Etat. »
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 3340166500509

TERRA ED.FINISTERE
Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
Date : 19 avril 2019
Journaliste : Draaf Bretagne
Page 1/1
Les principes de la prophylaxie bovine
eb le rôle du GDS
Publié dans les colonnes de Terra
la semaine passée, un communiqué
de la FRSEA eb des Jeunes
agriculbeurs de Brebagne Paisaib
ébab de l'ébonnemenb de cerbains
éleveurs ayanb du Paire Pace à
une sociébé de recouvremenb le
réclamanb le paiemenb d'arriérés
de cobisabions au GDS, relance
assorbie de la menace de ne plus
recevoir leurs ASDA.
Dans un long bexbe bransmis à
Terra eb comme en réponse à la
publicabion de ce communiqué
FRSEA-JA, mais sans y Paire
réPérence, le service régional
de l'alimenbabion de la DraaP
Brebagne précise les condibions de
la délivrance des ASDA mais aussi
le rôle du GDS dans cebbe mission.
Nous en publions ici les exbraibs les
plus explicibes.
@
EN QUOI CONSISTE
LA PROPHYLAXIE BOVINE ?
- le suivi des contrôles sanitaires aux mou¬
vements et les contrôles spécifiques locaux.
Une convention cadre régionale pluriannuelle
(2015-2019) formalise les modalités de cette
délégation. Celle-ci est complétée par :
une convention technique et financière
précisant la nature des tâches déléguées et
fixant le montant de la participation financière
de l’État,
La participation financière de l'État ne permet
toutefois pas de couvrir toutes les missions
réalisées par GDS Bretagne pour réaliser ces
différentes tâches. Cela est d'ailleurs le cas
dans la grande majorité des départements
et régions. Un éleveur qui n'adhère pas à
GDS Bretagne pour toutes les autres actions
sanitaires proposées ne paye que les services
rendus par GDS Bretagne pour les misions
déléguées par l'État. Les services de l'État
s'assurent de cette obligation.
Draaf Bretagne, reprit par Paul Jégat
Quel lien entre
prophylaxies et ASDA ?
L'ASDA (attestations sanitaires à déli¬
vrance anticipée) matérialise la quali¬
fication sanitaire de l'établissement de
provenance du bovin vis-à-vis de la tuber¬
culose, de la brucellose et de la leucose
bovine enzootique.
Les mouvements des bovins sont régis
par des règles précises. Un bovin ne peut
être introduit dans un troupeau d'élevage
qualifié que :
- s'il respecte les conditions prévues par
la réglementation ment des animaux
sur le territoire national ;
- s'il est identifié conformément à la ré¬
glementation en vigueur ;
- s'il est accompagné d'un document
d'accompagnement valide comportant
La prophylaxie comprend les mesures de
prévention et de surveillance Contre certaines
maladies animales classées comme danger
sanitaire de première (brucellose, leucose
bovine enzootique et tuberculose) ou
deuxième catégorie (IBR). Ces mesures sont
obligatoires car elles revêtent un intérêt
général. Elles ont pour objectif d'éviter
l’apparition de ces maladies et sont à la
charge des éleveurs.
Dans la plupart des régions françaises,
l'organisation et le suivi des opérations de
prophylaxie sont désormais déléguées aux
GDS. C'est le cas en Bretagne.
-Tout propriétaire ou détenteur de bovinés
d'élevage qui, de matière permanente ou
non, et à quel titre que ce soit détient un ou
plusieurs bovinés au cours de la campagne
de prophylaxie est tenu de réaliser les
opérations de prophylaxie.
-L'éleveur désigne le vétérinaire sanitaire
qu'il choisit pour les prophylaxies.
QUELLES SONT LES MISSIONS DÉLÉGUÉES
PAR L’ÉTAT À GDS BRETAGNE ?
En pratique en Bretagne depuis 2015, c'est
GDS Bretagne qui assure :
- l’organisation des opérations de pro¬
phylaxies,
- le suivi de la réalisation et de la conformité
de ces opérations,
Tous droits réservés à l'éditeur
Quelles sonb les règles de prophylaxie?
Maladie Modalités de réalisation de la prophylaxie
une ASDA conforme.
Le nouveau détenteur doit retourner les
ASDA au directeur de la DD(CS)PP du dé¬
partement où est située son èxptoitation
en vue de l'édition d'un nouveau docu¬
ment.
Élevage allaitant / Sérologie individuelle annuelle sur 20% des bovins âgés de plus
de 24 mois avec un minimum de 10 bovins. En dessous de 10 bovins tous les animaux
sont prélevés.
Élevage laitier / Contrôle annuel sur lait de mélange.
Élevages mixtes / L'atelier laitier et l'atelier allaitant sont soumis respectivement aux
règles de dépistages indiquées ci-dessus.
Le dépistage de la leucose bovine enzootique dans les cheptels qualifiés officiellement
indemne est pratiqué dans chaque commune selon un rythme quinquennal.
Élevage allaitant / Sérologie individuelle annuelle sur 20 % des bovins 24 mois tous les
5 ans selon les mêmes règles d’échantillonnage que la brucellose.
Élevage laitier / Contrôle sur lait de mélange tous les 5 ans.
Ceux dont le lait n'est pas collecté par la laiterie sont soumis à un dépistage sérolo¬
gique comme pour un cheptel allaitant.
Les cheptels qualifiés officiellement indemne de tuberculose bovine sont dispensés
de l'obligation de dépistage collectif, à l'exception des cheptels présentant un risque
sanitaire au titre de l'article 6 de l'arrêté ministériel du 15/09/2003 :
Élevage allaitant et élevage laitier / Les modalités de dépistage varient selon l'appel¬
lation IBR du cheptel.
GDSBRETAGNE 1252066500508

Date : 18/04/2019
Heure : 19:00:04
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Les principes de la prophylaxie bovine et le rôle du GDS
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Publié dans les colonnes de Terra la semaine passée, un communiqué de la FRSEA et des Jeunes
agriculteurs de Bretagne faisait état de l'étonnement de certains éleveurs ayant du faire face à une société
de recouvrement le réclamant le paiement d'arriérés de cotisations au GDS, relance assortie de la menace
de ne plus recevoir leurs ASDA. Dans un long texte transmis à Terra et comme en réponse à la publication
de ce communiqué FRSEA-JA, mais sans y faire référence, le service régional de l'alimentation de la Draaf
Bretagne précise les conditions de la délivrance des ASDA mais aussi le rôle du GDS dans cette mission.
Nous en publions ici les extraits les plus explicites.
- © Gutner archive
En quoi consiste la prophylaxie bovine ?
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Date : 18/04/2019
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La prophylaxie comprend les mesures de prévention et de surveillance contre certaines maladies animales
classées comme danger sanitaire de première (brucellose, leucose bovine enzootique et tuberculose) ou
deuxième catégorie (IBR). Ces mesures sont obligatoires car elles revêtent un intérêt général. Elles ont pour
objectif d’éviter l’apparition de ces maladies et sont à la charge des éleveurs.
Dans la plupart des régions françaises, l’organisation et le suivi des opérations de prophylaxie sont désormais
déléguées aux GDS. C'est le cas en Bretagne.
-Tout propriétaire ou détenteur de bovinés d’élevage qui, de matière permanente ou non, et à quel titre que
ce soit détient un ou plusieurs bovinés au cours de la campagne de prophylaxie est tenu de réaliser les
opérations de prophylaxie.
-L'éleveur désigne le vétérinaire sanitaire qu'il choisit pour les prophylaxies.
Quelles sont les missions déléguées par l’État à GDS Bretagne ?
En pratique en Bretagne depuis 2015, c’est GDS Bretagne qui assure :
- l’organisation des opérations de prophylaxies,
- le suivi de la réalisation et de la conformité de ces opérations,
- le suivi des contrôles sanitaires aux mou-vements et les contrôles spécifiques locaux.
Une convention cadre régionale pluriannuelle (2015-2019) formalise les modalités de cette délégation. Celleci
est complétée par :
une convention technique et financière précisant la nature des tâches déléguées et fixant le montant de la
participation financière de l’État.
La participation financière de l’État ne permet toutefois pas de couvrir toutes les missions réalisées par
GDS Bretagne pour réaliser ces différentes tâches. Cela est d’ailleurs le cas dans la grande majorité des
départements et régions. Un éleveur qui n’adhère pas à GDS Bretagne pour toutes les autres actions
sanitaires proposées ne paye que les services rendus par GDS Bretagne pour les misions déléguées par
l’État. Les services de l’État s’assurent de cette obligation.
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Date : 18/04/2019
Heure : 19:00:04
www.terra.bzh
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 3/3
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- © Terra
Quel lien entre prophylaxies et ASDA ?
L’ASDA (attestations sanitaires à délivrance anticipée) matérialise la qualification sanitaire de l’établissement
de provenance du bovin vis-à-vis de la tuberculose, de la brucellose et de la leucose bovine enzootique.
Les mouvements des bovins sont régis par des règles précises. Un bovin ne peut être introduit dans un
troupeau d'élevage qualifié que :
- s'il respecte les conditions prévues par la réglementation ment des animaux sur le territoire national ;
- s'il est identifié conformément à la réglementation en vigueur ;
- s'il est accompagné d'un document d'accompagnement valide comportant une ASDA conforme.
Le nouveau détenteur doit retourner les ASDA au directeur de la DD(CS)PP du département où est située
son exploitation en vue de l'édition d'un nouveau document.
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Pays : France
Périodicité : Parution Irrégulière
OJD : 6500
Date : 19 avril 2019
Page de l'article : p.9
Journaliste : Paul Jégat
Page 1/1
Les principes de la prophylaxie bovine
eb le rôle du GDS
Publié dans les colonnes de Terra
la semaine passée, un communiqué
de la FRSEA eb des Jeunes
agriculbeurs de Brebagne Paisaib
ébab de l'ébonnemenb de cerbains
éleveurs ayanb du Paire Pace à
une sociébé de recouvremenb le
réclamanb le paiemenb d'arriérés
de cobisabions au GDS, relance
assorbie de la menace de ne plus
recevoir leurs ASDA.
Dans un long bexbe bransmis à
Terra eb comme en réponse à la
publicabion de ce communiqué
FRSEA-JA, mais sans y Paire
réPérence, le service régional
de l'alimenbabion de la DraaP
Brebagne précise les condibions de
la délivrance des ASDA mais aussi
le rôle du GDS dans cebbe mission.
Nous en publions ici les exbraibs les
plus explicibes.
EN QUOI CONSISTE
LA PROPHYLAXIE BOVINE ?
- le suivi des contrôles sanitaires aux mou¬
vements et les contrôles spécifiques locaux.
Une convention cadre régionale pluriannuelle
(2015-2019) formalise les modalités de cette
délégation. Celle-ci est complétée par :
une convention technique et financière
précisant la nature des tâches déléguées et
fixant le montant de la participation financière
de l'État,
La participation financière de l'État ne permet
toutefois pas de couvrir toutes les missions
réalisées par GDS Bretagne pour réaliser ces
différentes tâches. Cela est d'ailleurs le cas
dans la grande majorité des départements
et régions. Un éleveur qui n'adhère pas à
GDS Bretagne pour toutes les autres actions
sanitaires proposées ne paye que les services
rendus par GDS Bretagne pour les misions
déléguées par l'État. Les services de l'État
s’assurent de cette obligation.
reprit par
Draaf Bretagne,
Paul Jégat
Quel lien entre
prophylaxies et ASDA ?
L'ASDA (attestations sanitaires à déli¬
vrance anticipée) matérialise la quali¬
fication sanitaire de l'établissement de
provenance du bovin vis-à-vis de la tuber¬
culose, de la brucellose et de la leucose
bovine enzootique.
Les mouvements des bovins sont régis
par des règles précises. Un bovin ne peut
être introduit dans un troupeau d'élevage
qualifié que :
- s'il respecte les conditions prévues par
la réglementation ment des animaux
sur le territoire national ;
- s'il est identifié conformément à la ré¬
glementation en vigueur ;
- s'il est accompagné d'un document
d'accompagnement valide comportant
La prophylaxie comprend les mesures de
prévention et de surveillance contre certaines
maladies animales classées comme danger
sanitaire de première (brucellose, leucose
bovine enzootique et tuberculose) ou
deuxième catégorie (IBR). Ces mesures sont
obligatoires car elles revêtent un intérêt
général. Elles ont pour objectif d'éviter
l'apparition de ces maladies et sont à la
charge des éleveurs.
Dans la plupart des régions françaises,
l’organisation et le suivi des opérations de
prophylaxie sont désormais déléguées aux
GDS. C'est le cas en Bretagne.
-Tout propriétaire ou détenteur de bovinés
d’élevage qui, de matière permanente ou
non, et à quel titre que ce soit détient un ou
plusieurs bovinés au cours de la campagne
de prophylaxie est tenu de réaliser les
opérations de prophylaxie.
-L'éleveur désigne le vétérinaire sanitaire
qu'il choisit pour les prophylaxies.
0
QUELLES SONT LES MISSIONS DÉLÉGUÉES
PAR L’ÉTAT À GDS BRETAGNE ?
En pratique en Bretagne depuis 2015, c’est
GDS Bretagne qui assure :
- l’organisation des opérations de pro¬
phylaxies,
- le suivi de la réalisation et de la conformité
de ces opérations,
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Quelles sonb les règles de prophylaxie?
Maladie Modalités de réalisation de la prophylaxie

Date : 26 avril 2019
Périodicité : Quotidien
OJD : 749258
Page 1/1
Le Morbihan en bref
Le Groupement de défense sanitaire montré du doigt
Le Groupement de défense sanitaire
(GDS) Bretagne mène une campa¬
gne de recouvrement des factures
impayées depuis l’automne 2018.
« Depuis le 1er avril 2019, les éle¬
veurs et éleveuses, qui n’ont pas
payé ces factures, ne reçoivent plus
les cartes Asda (attestation sanitaire
à délivrance anticipée) », assure la
Confédération paysanne. En effet,
l’État a confié au GDS l’organisation
technique et l’impression des cartes
Asda, ainsi que leur mise à disposi¬
tion auprès des éleveurs et éleveu¬
ses. « Le GDS ne peut utiliser l’émis¬
sion de ces cartes, comme moyen
de pression sur les paysannes et
paysans. » La Confédération paysan¬
ne de Bretagne se rendra ce vendre¬
di, à 11 h, à la Direction régionale de
l’alimentation, de l’agriculture et de la
forêt (DRAAF), à Rennes.
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PAYSAN BRETON ED.FINISTERE
Pays : FR
Périodicité : Hebdomadaire
Date : Du 26 avril au 02
mai 2019
Page de l'article : p.5
Journaliste : TD
Page 1/1
Sans carte verte,
des éleveurs voient rouge
Depuis début avril, la distribution des Attestations sanitaires à délivrance anticipée (Asda)
est suspendue pour certains élevages. « Ces derniers ne son t pas à jour de leur cotisa don,
malgré nos relances », explique-t-on à GDS Bretagne.
SANITAIRE
Suite à une réunion publique
la semaine dernière à Grâces
(22) en présence des respon¬
sables de GDS Bretagne, des
éleveurs du secteur de Guingamp,
rassemblés sous la ban¬
nière de « Collectif Bretagne
OVS », se sont rendus, mer¬
credi 24 avril, au siège de l’ins¬
titution à Ploufragan « pour
réclamer les cartes vertes ». Ils
dénoncent « le coût et l’opacité
des prestations facturées » par
le Groupement, ainsi que « la
difficulté à se libérer pour se
con ten ter d'une form ule limi¬
tée à la partie réglementaire ».
D’autres ne comprennent pas
que, pour le même nombre de
bovins, leur facture ait
« presque doublé » entre 2016
L'action des éleveurs au siège du GDS Bretagne à Ploufragan (22).
animal en brandissant les
velles. En 2018, suite à des im¬
conditions pratiquées dans le payés concernant un millier
Calvados par exemple. « Nos d’éleveurs dans la région re¬
collègues normands paient présentant une somme glo¬
beaucoup moins cher et leur
bale importante, les respon¬
facture est très détaillée : on y sables de GDS Bretagne avait
trouve le prix des obligations enclenché des démarches
emparée du sujet et avait ren¬
contré le Groupement pour
chercher des solutions. Elle
reste d’ailleurs « mobilisée »
sur l’évolution du dossier au¬
jourd'hui.
En février dernier, le président
Jean-François Tréguer avait
décidé d’aller plus loin pour
convaincre les éleveurs de ré¬
gulariser leur situation : « J’ai
demandé à chacun de régler
ses dettes ou du moins d’opter
pour un échéancier de rem¬
boursement courant mars. Dé¬
but avril, nous avons bloqué
la distribution des Asda pour
les personnes qui n’ont pas fait
Sans cartes
cette démarche. »
vertes, des veaux sont bloqués
dans les fermes et la situation
s’envenime. Dans le secteur de
Plogonnec (29), un autre
et 2018... Tous montrent du
réglementaires, des services...
pour se faire payer. Jusqu’au
groupe d'éleveurs est mobilisé.
doigt le tarif breton « très élevé
et non justifié » de 3,23 € par
C'est totalement transparent. »
Ces tensions ne sont pas nou¬
recours à une société de re¬
couvrement. La FRSEA s’était
Des avocats ont été consultés...
TD
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GDSBRETAGNE 7019366500508

Date : 29/04/2019
Heure : 13:49:45
Journaliste : Toma Dagorn
www.paysan-breton.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/2
Sans carte verte, des éleveurs voient rouge
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L’action des éleveurs au siège du GDS Bretagne à Ploufragan (22).
Depuis début avril, la distribution des Attestations sanitaires à délivrance anticipée (Asda) est suspendue pour
certains élevages. « Ces derniers ne sont pas à jour de leur cotisation, malgré nos relances », explique-ton
à GDS Bretagne.
Suite à une réunion publique la semaine dernière à Grâces (22) en présence des responsables de GDS
Bretagne, des éleveurs du secteur de Guingamp, rassemblés sous la bannière de « Collectif Bretagne OVS
», se sont rendus, mercredi 24 avril, au siège de l’institution à Ploufragan « pour réclamer les cartes vertes ».
Ils dénoncent « le coût et l’opacité des prestations facturées » par le Groupement, ainsi que « la difficulté à se
libérer pour se contenter d’une formule limitée à la partie réglementaire ». D’autres ne comprennent pas que,
pour le même nombre de bovins, leur facture ait « presque doublé » entre 2016 et 2018… Tous montrent du
doigt le tarif breton « très élevé et non justifié » de 3,23 € par animal en brandissant les conditions pratiquées
dans le Calvados par exemple.
« Nos collègues normands paient beaucoup moins cher et leur facture est très détaillée : on y trouve le
prix des obligations réglementaires, des services… C’est totalement transparent. » Ces tensions ne sont
pas nouvelles. En 2018, suite à des impayés concernant un millier d’éleveurs dans la région représentant
une somme globale importante, les responsables de GDS Bretagne avait enclenché des démarches pour se
faire payer. Jusqu’au recours à une société de recouvrement. La FRSEA s’était emparée du sujet et avait
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Date : 29/04/2019
Heure : 13:49:45
Journaliste : Toma Dagorn
www.paysan-breton.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
rencontré le Groupement pour chercher des solutions. Elle reste d’ailleurs « mobilisée » sur l’évolution du
dossier aujourd’hui.
En février dernier, le président Jean-François Tréguer avait décidé d’aller plus loin pour convaincre les
éleveurs de régulariser leur situation : « J’ai demandé à chacun de régler ses dettes ou du moins d’opter
pour un échéancier de remboursement courant mars. Début avril, nous avons bloqué la distribution des Asda
pour les personnes qui n’ont pas fait cette démarche. » Sans cartes vertes, des veaux sont bloqués dans les
fermes et la situation s’envenime. Dans le secteur de Plogonnec (29), un autre groupe d’éleveurs est mobilisé.
Des avocats ont été consultés…
Page 2/2
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Date : 01/05/2019
Heure : 04:48:46
www.paysan-breton.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 1/2
Un outil pour expertiser la qualité de la traite
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Le « Test pendant la traite » est réalisé sur une dizaine de vaches par un conseiller spécialiste à l’aide d’un
appareil spécifique, le « Pulsographe PT 5.
En cas de traite « agressive », le Test pendant la traite (TPT) permet d’affiner les réglages de la machine
à traire.
Pendant la traite, le niveau de vide et ses fluctuations sont mesurés à différents endroits de l’installation,
comme à l’embouchure du manchon trayeur et au niveau du tuyau court à lait.
Pour préserver la santé de la mamelle et la qualité du lait, la traite doit être complète, rapide et douce. « Mais
parfois, malgré la réalisation d’un contrôle Opti’Traite® récent et conforme aux recommandations COFIT®,
on observe une traite agressive donnant lieu notamment à des lésions sur les trayons et/ou à des glissements
de manchons trayeurs », explique Daniel Le Clainche, GDS Bretagne. Les élevages concernés peuvent
alors être éligibles au « Test pendant la traite » (TPT) ayant pour objectif d’obtenir un diagnostic pointu et
dynamique du fonctionnement de l’interface « vache – machine à traire – trayeur », propre à chaque élevage.
« Pour résumer, le TPT constitue un outil d’expertise de la qualité de la traite pour optimiser les réglages de
l’installation de traite. »
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 328027837

Date : 01/05/2019
Heure : 04:48:46
www.paysan-breton.fr
Pays : France
Dynamisme : 0
Page 2/2
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À la traite
Le test est réalisé par un conseiller spécialiste à l’aide d’un « Pulsographe PT 5 », un appareil spécifique «
La méthode consiste à mesurer pendant la traite par sondage, sur une dizaine de vaches, le niveau et les
fluctuations du vide en plusieurs points de l’installation de traite : à l’embouchure du manchon trayeur, au
niveau du tuyau court à lait (sous le trayon) et du tuyau long à lait à la sortie du faisceau trayeur et à l’entrée du
lactoduc. » À l’issue de la traite, les données sont analysées et interprétées en concertation avec le contrôleur
Opti’Traite® de l’installation en lien avec les recommandations (voir tableau).
Recommandations TPT
Mesures
Recommandations (en kPa)
Vide moyen sous le trayon 35 à 38
Vide dans la chambre d’embouchure
< 25
du manchon
Fluctuations du vide
< 5
− Pulsation alternée
< 10
− Pulsation simultanée
Réglage du niveau de vide
Daniel Le Clainche qui réalise régulièrement des diagnostics sur le terrain en Bretagne rapporte les principaux
facteurs de risque mis en évidence par le Test Pendant la traite : « Des niveaux du vide trop élevés à l’origine
des lésions sur les trayons et des engorgements de lait dans l’installation à l’origine des glissements de
manchons trayeurs. » Les mesures correctives portent majoritairement sur la modification du réglage du
niveau de vide en lien avec le type d’installation et les pratiques de l’éleveur (type de manchons trayeurs,
technique de pose et dépose des faisceaux trayeurs…).
Tous droits réservés à l'éditeur GDSBRETAGNE 328027837

REVUE DE PRESSE AVRIL 2019
Thème 4 :
Numérique

Date : Avril 2019
Page de l'article : p.17
Pays : FR
Périodicité : Mensuel
Page 1/1
PLATEFORME NUMÉRIQUE
APPLIFARM S'INVESTIT
DANS LA TRAÇABILITÉ
DU BIEN-ÊTRE ANIMAL
La transparence et La traçabiLité des produits
alimentaires sont au cœur des préoccupations
des consommateurs. Leurs attentes prennent
également de plus en plus en compte Le bienêtre
animal, dont Les conditions d'élevage, de
transport et d'abattage. Consciente de ces
enjeux, La start-up rennaise Applifarm1, première
plateforme de valorisation et de traçabilité des
données agricoles, a développé une nouvelle
solution numérique dédiée au bien-être animal.
Elle permet de simplifier la mise en œuvre des
projets consacrés au bien-être animal, de
numériser les audits terrain qui peuvent être
autoalimentés par les données de fournisseurs de
service ou d'objets connectés, de suivre
l'avancement des campagnes terrain, de piloter
des plans de progrès ou encore de piloter des
tableaux de bord.
(1) Créée en 2017, Applifarm compte aujourd'hui 17 entreprises partenaires:
Neovia, Innovai, Evolution, BCEL0, GDS Bretagne, Eilyps, Cogedis, Ceva,
Adisseo, Cecab, Coop de Broons, Valorex, Even, chambre régionale
d'agriculture de Bretagne, Saperfel, Copavenir et le SNGTV.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 7335656500509

CULTIVAR ELEVAGE EST AGRICOLE
ET VITICOLE Date : Avril 2019
Pays : FR
Page de l'article : p.17
Périodicité : Mensuel
Page 1/1
PLATEFORME NUMÉRIQUE
APPUFARM S'INVESTIT
DANS LA TRAÇABILITÉ
DU BIEN-ETRE ANIMAL
La transparence et la traçabilité des produits
alimentaires sont au cœur des préoccupations
des consommateurs. Leurs attentes prennent
également de plus en plus en compte le bienêtre
animal, dont les conditions d'élevage, de
transport et d'abattage. Consciente de ces
enjeux, la start-up rennaise Applifarm1, première
plateforme de valorisation et de traçabilité des
données agricoles, a développé une nouvelle
solution numérique dédiée au bien-être animal.
Elle permet de simplifier la mise en œuvre des
projets consacrés au bien-être animal, de
numériser les audits terrain qui peuvent être
autoalimentés par les données de fournisseurs de
service ou d'objets connectés, de suivre
l'avancement des campagnes terrain, de piloter
des plans de progrès ou encore de piloter des
tableaux de bord.
(1) Créée en 2017, Applifarm compte aujourd'hui 17 entreprises partenaires:
Neovia, Innovai, Evolution, BCELO, GDS Bretagne, Eilyps, Cogedis, Ceva,
Adisseo, Cecab, Coop de Broons, Valorex, Even, chambre régionale
d'agriculture de Bretagne, Saperfel, Copavenir et le SNGTV.
Tous droits réservés à l'éditeur
GDSBRETAGNE 3273456500524

REVUE DE PRESSE AVRIL 2019
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