LA BÉQUILLE 2011 - Moto Club Tous Vents
LA BÉQUILLE 2011 - Moto Club Tous Vents
LA BÉQUILLE 2011 - Moto Club Tous Vents
Create successful ePaper yourself
Turn your PDF publications into a flip-book with our unique Google optimized e-Paper software.
22<br />
2010<br />
Solotour<br />
Par Raymonde, Jessica et Ludovic<br />
����������������������������<br />
Par la famille des bleus dit : « les Schtroumpfs »<br />
����������<br />
Tout d’abord, laissez nous planter le décor de cette<br />
grande aventure…<br />
Une guilde de guerriers et guerrières de la route se<br />
retrouvant pour partager ensemble la plus grande<br />
quête de l’humanité, soit la recherche d’une plante<br />
rare appelée la verveine.<br />
Nos compagnons se retrouvèrent tout d’abord dans<br />
la petite ville d’Octodure (Martigny) pour le départ<br />
de l’épopée.<br />
Les cieux n’étaient pas particulièrement cléments<br />
mais la bonne humeur était de mise. Ainsi les routes<br />
qui nous conduisirent à travers Chamonix, Grenoble,<br />
Villard de Lans furent rapidement traversées pour<br />
nous emmener dans une taverne au luxe des plus<br />
particuliers avec bains thermaux et sauna, le tout<br />
suivi d’une fabuleuse boustifaille en compagnie de<br />
notre serveur « poil de carotte »…<br />
����������<br />
Les chemins se suivent mais ne se ressemblent pas,<br />
ainsi Denis chef de meute voulut tester MonMonde<br />
pour l’Himalaya (chemin non goudronné !!!).<br />
Le reste de la journée, ensoleillée cette fois-ci, se<br />
passa bien tranquillement pour nous faire parvenir<br />
à la taverne nocturne du Solotour, l’hôtel le Grand<br />
Connétable.<br />
Nous retrouvâmes là, toute la clique du MCTV participant<br />
à la quête de la Verveine et combattant lors<br />
du repas du soir contre la purée au fromage à grands<br />
coups de ciseaux.<br />
����������<br />
De bonne heure le matin, tous souriants nous reprîmes<br />
notre épopée à la suite de Martine, qui décida<br />
de nous faire découvrir d’autres horizons luxuriants…<br />
Nous arrivâmes tout de même dans une ferme loin<br />
sur la colline pour partager, comme des frères, une<br />
bonne ripaille.<br />
La nuit tombée, et de retour à l’hôtel après avoir<br />
suivi des routes nommées « circuits » (aller savoir<br />
pourquoi il y avait une ligne blanche ???) où nos<br />
destriers dépassèrent les 200 (!!!), les bardes Pugin et<br />
Bathion firent raisonner l’hôtel de chansons salaces<br />
et paillardes le tout arrosé de Mauresques et de la<br />
précieuse Verveine.