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14 La Passion selon Werther Durée : 1h10 | Tarif 1 Opéra Théâtre Samedi 11 et Dimanche 12 D’après : Goethe et Massenet Mise en scène et adaptation : Claude Enuset Avec : Christophe Herrada Direction musicale et piano : Fanny Lion Une production de La Compagnie du Simorgh et du Théâtre Contregriffe. Avec l’aide de la Province du Brabant wallon et du Centre Culturel du Brabant wallon C’est l’histoire d’une passion amoureuse, l’histoire d’un jeune homme, Werther. Absolu et exalté, tourmenté et risible, excessif et sublime, Werther est tout cela à la fois. Le personnage romantique fascine, fait rire, fait peur et attire. Qu’en est-il de lui aujourd’hui ? En 1774, Goethe publie Les Souffrances du jeune Werther, roman épistolaire qui devait le rendre immensément célèbre en quelques mois. Dans cette histoire sentimentale tragique aux racines autobiographiques, Goethe prête à Werther ses états d’âme les plus déchirants et en fait un jeune homme qui laisse la passion le ronger et le pousse à mettre fin à ses jours. En 1892, Jules Massenet s’inspire de l’œuvre et crée Werther, considéré aujourd’hui comme son opéra le plus personnel. Réunir le « Werther » de Goethe et le « Werther » de Massenet, c’est vouloir s’approcher au plus près du personnage. De l’intimité de la voix parlée à l’éclat déchirant de la voix lyrique, le chanteur Christophe Herrada lie avec brio le jeu d’acteur et la puissance émotionnelle de la musique. new York Durée : 1h15 | Tarif 1 | Dès 14 ans Samedi 18 et Dimanche 19 Galantes scènes Durée : 1h30 | Tarif 1 Spectacle musical Jeudi 16 et Vendredi 17 D’après Arlequin poli par l’amour de Marivaux et La Serva padrona de Pergolesi Texte et mise en scène : Dirk Opstaele Avec : Mieke Laureys, Danny Ronaldo/Geert Vermeulen, Annelore Stubbe et Gordon Wilson Chant : Yu-Hsiang Hsieh (bariton) et Julie Mossay/Ann De Prest (soprano) Musique : Ensemble Stradivaria sous la direction de : Daniel Cuiller Une coproduction de L’Ensemble Leporello, Angers Nantes Opéra et Stradivaria © Cédric Delaunoy © Kurt Van der Elst Texte et mise en scène : Dominique Bréda Avec : Alexandre Crépet, Emmanuel Dekoninck et Alexis Goslain Une production “Les gens de bonne Cie” en coproduction avec le Centre Culturel des Riches-Claires © Dominique Bréda Arlekiss, personnage simple sorti tout droit des forêts, est enlevé par la puissante Madame de Fée, amoureuse de ce dernier. Entourée de son laquais Trivlich et de sa servante Sylvine, elle projette de le civiliser : l’habiller, lui apprendre à danser, à parler. Mais une idylle naît entre Arlekiss et Sylvine, elle-même secrètement convoitée par Trivlich. Et lorsque Madame de Fée surprend les deux amants, les choses tournent mal… Cette libre adaptation de Arlequin poli par l’amour de Marivaux par le metteur en scène Dirk Opstaele marie ingénieusement Commedia dell’arte, chorégraphie et jonglerie. L’Arlequin-circassien y est un personnage aussi virtuose que hilare. Le texte est minutieusement accompagné par l’ensemble baroque Stradivaria (clavecin, violoncelle, violons). Des intermèdes chantés ajoutent un ton lyrique et tragique à cette comédie du 18e siècle, qui touche encore les cœurs d’aujourd’hui. Une osmose exceptionnelle entre comédiens, chanteurs et musiciens au profit d’un spectacle très enlevé, chatoyant, décalé, voire déjanté. (Ouest France) Trente-cinq ans, c’est l’âge qu’avait André, père de Max, lorsqu’il a décidé d’en finir avec la vie en se jetant sous un train. Pour comprendre cet acte qui a conditionné toute son existence, Max s’installe tard dans la nuit sur le quai d’une gare désaffectée, celle du drame. Seul avec un père imaginaire, il revisite son passé. Mais la présence incongrue d’un curieux chef de gare vient perturber son délire… Sur le thème délicat du deuil, cette comédie est ponctuée de moments de rires et de larmes, d’émotion et de cynisme. Après Emma et Purgatoire, au meilleur de sa plume, Dominique Bréda nous présente son spectacle le plus touchant : New York ! Dominique Bréda a saisi avec délicatesse et douceur la souffrance de Max. Pourtant, le spectacle ne laisse en aucun cas une impression sombre de tristesse mais un sentiment d’avoir touché juste les thèmes du pardon, du deuil et de l’espoir aussi. (La Libre Belgique)
Variations sur le rire Durée : 1h10 | Tarif 1 Accueil français Mardi 21 à 16h et 21h Dans la vie, il y a des gens qui rient à ce qui est drôle, il y en a d’autres qui ne rient pas à ce qui est drôle, et d’autres encore qui rient à ce qui n’est pas drôle... Au fond, qu’est-ce qui est drôle ? Marcel Pagnol a écrit : « La source du comique se trouve dans la vie de tous les jours, dans le talent de l’artiste et de celui du rieur. » Une réflexion parmi d’autres qui a nourri le travail de Pierre Trapet. Et vu le succès de ce spectacle l’an dernier, le Festival vous ressert une tranche de rire : venez faire fonctionner vos zygomatiques ! On a quasi autant entendu de variations de rires dans la salle que sur scène ! (L’Avenir Verviers) Annonce 210 x 105 mm_Mise en page 1 2/03/12 11:26 Page1 www.spatourisme.be Texte et mise en scène : Pierre Trapet Avec : Mauro Coceano, Cédrick Lanöe, Carole Montagner et Pierre Trapet Une production de la Compagnie Pierre Trapet et de l’Association du Théâtre Comique de Paris Office du Tourisme de Spa Place Pierre-le-Grand 14 - 4900 - SPA 087 79 53 53 - tourisme@spa-info.be © Rafael Trapet Spectacle familial 16h • 21h annonce théâtre 2012-1.indd 1 3/30/2012 2:34:34 PM Le neveu de Rameau Durée : 1h40 | Tarif 1 sALon BLEu Spectacles à 21 h Jeudi 23 et Vendredi 24 De : Denis Diderot Adaptation : Michel de Warzée et Stéphanie Moriau Mise en scène : Stéphanie Moriau Avec : Michel de Warzée et Nicolas Pirson Une production de la Comédie Claude Volter © Bernard d’Oultremont Ecrit vers 1761, souvent remanié, le texte Le Neveu de Rameau ne parut qu’après la mort de son auteur (1713-1784). Diderot signe ici un dialogue à bâtons rompus entre « Moi », l’auteur lui-même, et « Lui », Jean-François Rameau, neveu du célèbre compositeur Jean-Philippe Rameau. Rameau mène une vie de bohème, imposant sa vision immorale et cynique. Dans cette joute verbale, Diderot pousse Rameau à la réflexion sur la morale et la condition humaine. Lui et Moi ne correspondent pas à leur biographie. Et leur confrontation perdrait beaucoup de son intérêt si elle n’était pas un dialogue de Diderot avec lui-même, qui fut un bohème dans sa jeunesse désordonnée et désargentée, avant de devenir le moraliste un peu conventionnel qui professait que tous les hommes ont un tic, et que le sien était la morale. (La Libre Belgique) © Centre culturel de Spa SaLon BLeu 15 5
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