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8<br />
En toute<br />
inquiétude<br />
Durée : 1h00 | Tarif 2 | Dès 12 ans<br />
Création<br />
mondiale<br />
Cìncali !<br />
Durée : 1h20 | Tarif 2 | Dès 12 ans<br />
Du Samedi 11 au Lundi 13<br />
De et avec : Jean-Luc Piraux<br />
Mise en scène : Olivier Boudon<br />
Une coproduction de l’Atelier Théâtre Jean Vilar, du<br />
Festival Royal de Théâtre de Spa et du Théâtre Pépite, en<br />
partenariat avec le PBA/Eden de Charleroi, les Centres<br />
Culturels Régionaux de Dinant, de Marche-Famenne-<br />
Ardenne, de l’Arrondissement de Huy, de Ath, de la<br />
Maison de la Culture de Tournai, des Centres Culturels<br />
de l’Entité Fossoise, de Aiseau-Presles, et du CRAC’S.<br />
Réalisée avec l’aide du Ministère de la Fédération<br />
Wallonie-Bruxelles, Service du Théâtre et avec le<br />
soutien de Cera Fondation<br />
Mardi 14 et Mercredi 15<br />
Texte et mise en scène de :<br />
Nicolas Bonazzi et Mario Perrotta<br />
Traduction et interprétation :<br />
Hervé Guerrisi<br />
Une production de la Compagnie DéZir<br />
© TVDE<br />
Pinuccio, jeune facteur italien de 16 ans, est resté dans son village<br />
des Pouilles, tout au fond du talon de la botte, pour distribuer le<br />
courrier d’hommes partis chercher fortune dans les mines belges<br />
en période d’après-guerre. Il nous conte les récits de vie de ces<br />
« cìncali » - déformation du terme « zingari » (gitans). On découvre<br />
une politique d’accueil scandaleuse, des conditions sanitaires désastreuses,<br />
bref, l’enfer vécu par ces hommes déracinés.<br />
Assis sur une chaise, les yeux perçants et les mains volubiles, Hervé<br />
Guerrisi raconte avec sobriété et humanité un récit d’une poignante<br />
simplicité. Un livre ouvert sur un pan méconnu de notre passé.<br />
C’est mon histoire. La vôtre peut-être. Hervé Guerrisi<br />
Si le texte frappe si fort, c’est qu’il mêle des faits historiques d’une<br />
terrible réalité à une narration pleine d’espièglerie, de détails<br />
cocasses sur les péripéties amoureuses de notre facteur, d’expressions<br />
fleuries. (Le Soir)<br />
Séraphin, la cinquantaine, cadre dans une grande entreprise, vit<br />
sans se poser la moindre question sur son avenir ou sur celui du<br />
monde. Jusqu’au jour où, sans avoir rien vu venir, il est licencié.<br />
Largué au boulot, dépassé en famille, il est prêt à tout : apprendre<br />
l’anglais, la natation, le langage HTML, la rébellion. Pourtant, quelque<br />
chose résiste. Et si c’était lui-même ?<br />
Seul en scène, Jean-Luc Piraux s’inspire du cheminement de son<br />
père, qu’il a perdu à l’adolescence. Un portrait tout en humanité.<br />
Après Faut y aller ! (2009), le Festival ouvre grand ses portes à<br />
Jean-Luc Piraux pour y présenter en primeur sa nouvelle création.<br />
Une belle histoire de confiance mutuelle, qui se double ici d’un projet<br />
pour lequel le comédien a une tendresse particulière.<br />
Rencontre<br />
avec le<br />
comédien-auteur!<br />
Dimanche 12 • 15h30<br />
un Bouquet<br />
dans la Vase<br />
Durée : 1h05 | Tarif 2<br />
Vendredi 17 et Samedi 18<br />
Choix de textes et mise en place :<br />
Robert Lemaire<br />
Avec : Patrice Eberhaerd, Roselyne<br />
Grange et Robert Lemaire<br />
Accompagnement à l’accordéon :<br />
Christine Henrard<br />
Une production de l’atelier théâtral La Chrysalide<br />
© Olivier Favier © Anne Defru<br />
Le Verviétois Robert Lemaire et ses trois complices font éclore<br />
un spectacle-récital, véritable mosaïque de textes littéraires, de<br />
Bernard Werber à Ken Follett, de Patricia Cornwell à Lou Duran, de<br />
Philippe Roth à John Irving, de Jacques Prévert à Robert Desnos.<br />
« Pendant des années, j’ai sélectionné, au hasard de mes lectures,<br />
des textes d’une certaine intensité dramatique, que ce soit dans le<br />
grandiose ou dans la futilité, dans l’horreur ou dans la beauté. Étaitce<br />
pour exorciser mes peurs ? Et puis, un jour, je me suis décidé à<br />
faire un choix pour les assembler en vue d’un spectacle. »<br />
Un patchwork de mots et d’émotions, une évasion au cœur de la<br />
littérature, rythmée par des airs d’accordéon.<br />
Dès les années ‘60, Robert Lemaire se forme aux différents<br />
métiers techniques et artistiques du théâtre. Il joue la comédie<br />
sur de nombreuses scènes belges et travaille avec de grands<br />
metteurs en scène ( Besson, Kresca, Terzieff, Serron).<br />
Il met en scène la troupe de l’Atelier Théâtral de la Chrysalide dans<br />
L’Assemblée des Femmes (1998) et dans Le Révizor (2001).