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6
des Jours
trop longs
Du Vendredi 10 au Dimanche 12 Du Mardi 14 au Jeudi 16
D’après le roman éponyme de : Marie Denis
Texte de : Catherine Meeùs, Eléonore Meeùs
et Stéphanie Van Vyve
Mise en scène : Cécile Van Snick
Avec : Eléonore Meeùs et Stéphanie Van Vyve
En 1961, Cécile, 32 ans, pense être enceinte. Déjà mère de famille
nombreuse, elle ne sait comment accueillir la nouvelle. Naît une
interrogation sur sa condition de femme, de mère et d’épouse,
muselée par les convenances de l’époque.
En 2011, Camille, 32 ans, ne souhaite pas d’enfant. Fraîchement
séparée d’Alex, elle revient dans la maison vide de sa grand-mère,
Cécile. L’occasion de faire le point sur sa décision et de se remémorer
avec tendresse son enfance. Et voici que les voix des deux jeunes
femmes se croisent et se font écho, à 50 ans de distance.
Eléonore Meeùs et sa sœur Catherine se sont penchées sur un roman
écrit par leur grand-mère, Marie Denis, dans les années ‘60.
Stéphanie Van Vyve les a rejointes dans ce projet. Sur scène, elle
accompagne Eléonore pour donner vie à ces destins de femmes.
La Robe de
Gulnara
Un projet de la Compagnie Sans Souci produit par l’Atelier
Durée : 1h15 | Tarif 1 Théâtre Jean Vilar et le Festival Royal de Théâtre de Spa
Durée : 1h10 | Tarif 1
Création
mondiale
Création
De : Isabelle Hubert
Mise en scène : Geneviève Damas
Avec : Maya Boelpaepe, Laurence
Briand, Anne Sylvain, Gérald Wauthia,…
Une coproduction de la compagnie Toc Toc Art, du Festival Royal de
Théâtre de Spa et du Centre Culturel des Riches-Claires
avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles, service du
Théâtre et du Centre des Arts Scéniques
© Isabelle Hubert
Gulnara et Mika sont sœurs. Exilées par la guerre, elles vivent
tant bien que mal avec leur famille, ainsi que des milliers d’autres
réfugiés, à la frontière de l’Arménie et de l’Azerbaïdjan.
Sur ce lopin de terre oublié du reste du monde, la vie continue,
avec ses joies et ses turpitudes. Ainsi, puisque Arif veut l’épouser,
Gulnara a dépensé toutes ses économies pour une robe qui
donnera l’illusion que le bonheur peut encore fleurir au milieu des
cailloux. Mais un événement malencontreux va bouleverser ce
beau projet et la vie des sœurs…
Un texte touchant et poétique, mis en scène par Geneviève
Damas, lauréate du Prix Rossel 2011 pour son premier roman
Si tu passes la rivière. Elle avait déjà marqué le Festival ces dernières
années avec les spectacles Molly et STIB.
Mise en scène : Eric De Staercke
nothing - Rien Avec : Arnaud Crèvecoeur, Aïssatou
Diop, Fanny Hanciaux, Marie-Noëlle
- niks - nada Hébrant, Maud Lefebvre, Valéry Dans une file, neuf personnes attendent… Quoi? Nothing! Pourquoi?
Durée : 1h00 | Tarif 1
Spectacle
sans parole
Vendredi 17 et Samedi 18
Massion, Laetitia Salsano,
Sébastien Schmit et Marc Weiss
Une production du Panach’Club en coproduction
avec l’Atelier 210
© Danielle Pierre
Pour rien! Rien ce n’est pas n’importe quoi! Rien ce n’est pas un petit
peu. Rien c’est tout, c’est l’absolu et l’infini! Rien, c’est la liberté!
Sur scène, dix chaises deviennent le décor d’un ballet surréaliste.
Des personnages plus stéréotypés les uns que les autres déboulent,
un ticket à la main. Et l’attente se transforme en une chorégraphie
visuelle hyper rythmée.
A travers une tranche de vie, les comédiens du Panach’Club
mouillent leurs chemises, dans leur style comico-déchirant-absurdo-romantico-grotesque
à l’esprit Monty pythonien. La création,
visuelle, sonore et totale pourrait aussi s’appeler 2011, l’Odyssée
de l’espace vide, un hommage à Peter Brook et Stanley Kubrick.
Un spectacle où on reste captivé sans manquer une seconde de
ce ballet incongru… Un véritable coup de cœur pour cette création
inventive, drôle et touchante. (La Libre Belgique)