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7128 Sung Text - Harmonia Mundi

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20. SchenectadyNehemiah Shumway (1761–1843)<strong>Text</strong>: Isaac Watts (1674–1748)Source: William Little and William Smith,The Easy Instructor (Albany, 2nd edition, 1805)From all that dwell below the skies,Let the Creator’s praise arise;Let the Redeemer’s name be sung,Thro’ ev’ry land, by ev’ry tongue.Eternal are Thy mercies, Lord,Eternal truth attends Thy Word;Thy praise shall sound from shore to shore,Till suns shall rise and set no more.21. GreenwichDaniel Read (1757–1836)<strong>Text</strong>: Psalm 73, Isaac Watts, Psalms (1719)Source: The Columbian Harmonist (New Haven, 1797)Lord, what a thoughtless wretch was I,To mourn, and murmur, and repine,To see the wicked plac’d on high,In pride, and robes of honor shine!But O their end, their dreadful end!Thy sanctuary taught me so:On slipp’ry rocks I see them stand,And fiery billows roll below!23. Evening HymnElisha West (1756–after 1808)<strong>Text</strong>: John Leland (1754–1841)Source: The Musical Concert (Northhampton, 1802)The day is past and gone;The evening shades appear:O may we all remember wellThe night of death draws near.We lay our garments by,Upon our beds to rest;So death will soon disrobe us allOf what we here possess.And when we early riseAnd view th’unwearied sun,May we set out to win the prizeAnd after glory run.And when our days are pastAnd we from time remove,O may we in thy bosom rest,The bosom of thy love.Now let them boast how tall they rise,I’ll never envy them again:There they may stand with haughty eyes.’Till they plunge deep in endless pain.Their fancy’d joys, how fast they flee!Just like a dream when man awakes;Their songs of softest harmonyAre but a preface to their plagues.22. DecayStephen Jenks (1772–1856)<strong>Text</strong>: Psalm 103, Isaac Watts, Psalms (1719)Source: The Delights of Harmony (Dedham, 1805)My days are as the grass,Or like the morning flow’r;If one sharp blast sweeps o’er the field,It withers in an hour.


1. ColchesterWilliam Tans’ur (1706–1783)<strong>Text</strong>e : Psaume 122, Brady & Tate,A New Version of the Psalms of David (1696)Source : The Worcester Collection of Sacred Harmony(Worcester, 2 e édition, 1788)Ô quelle joie c’était d’entendrenos tribus dire avec dévotion :peuple d’Israël, lève-toi, rends-toi au templeet célèbre ta fête.Nous devons paraître dans Jérusalemavec nos armées réunies,rangées avec autant de force et de beautéque les tours de la ville.Que la paix demeure toujoursdans ton enceinte sacrée,que tes palais connaissentl’abondance et la prospérité.Je prierai pour le salut de mes frèreset de mes amis, qui ne me sont pas moins chers.Je prierai pour que la paix demeure toujoursentre les tours de Jérusalem.Je rechercherai avant tout ta bontéet souhaiterai toujours te voir triompher,pour l’amour de Sion et du templeoù Dieu daigne demeurer.2. The Humble Suit of a Sinner(L’humble prière d’un pécheur)John Farmer (v. 1570 ; actif 1591–1601)<strong>Text</strong>e : John MarckantSource : Thomas Este,The Whole Booke of Psalmes (3 e édition, 1604)Je me confie à toi, ô Seigneur,vois mon cœur tourmenté,et, si tels sont ta volonté et ton plaisir,délivre-moi de ma douleur,tu vois quelle est ma peine,tu connais mon affliction,et personne ne peut les écarter de moini m’en délivrer.Toi seul le peux, toi dont j’implore l’aide,dont la miséricorde est toujours prompteà soulager tous ceux qui viennent à toipour trouver aide et appui,tu vois mes yeux privés de repos,mes larmes et ma plainte douloureuse,entends ma prière, ô Seigneur,prête attention à ma plainte.C’est pourquoi je te prieet t’implore à nouveaude m’accorder le pardon de mes péchésafin que je puisse reposer en toi.Mon cœur, ma langue et ma voixserviront alors ta gloireet te chanteront toujours des psaumesdans ton église et dans la demeure des saints.3. The Lamentation of a Sinner(La lamentation d’un pécheur)William Parsons (actif 1545–1563)<strong>Text</strong>e : John MarckantSource : Thomas Ravenscroft,The Whole Book of Psalmes (1621)Ô Seigneur, ne détourne pas ta facede celui qui gît prostré,déplorant douloureusement sa vie de péchédevant la porte de miséricorde,porte que tu ouvres largementà ceux qui déplorent leurs péchés :ne ferme pas cette porte devant moi,Seigneur, laisse-moi entrer.Et ne tiens pas comptede la vie que j’ai menée ici-bas :car je sais bien, ô Seigneur,combien vil j’apparaîtrais alors.Il est inutile que je te confesse ma vie,je sais que tu peux direce que j’ai été et suis,je sais que tu le sais bien.Me voici devant la porteoù tu dispenses ton infinie miséricorde,demandant pitié pour mes péchésafin de guérir ma blessure mortelle.Ô Seigneur, il est vain que je redisepourquoi je te supplie et t’implore :ô Seigneur, avant même que je ne demande,tu sais ce que je souhaite obtenir.Pitié, bon Seigneur, aie pitié,c’est là toute ma demande,Seigneur, je n’implore que ta miséricorde,Seigneur, prends pitié.4. The Humble Complaint of a Sinner(L’humble plainte d’un pécheur)John Dowland (1562–1626)<strong>Text</strong>e : Psautier anglais (1562)Source : Ms Lamentatio Henrici Noel (1596)Il serait juste, Seigneur,que ton courrouxvienne châtier mes péchéset mes manquements.Je ne puis le nier,et il me faut avouerque, sans cesse,je transgresse tes lois.Accorde-moi d’échapperà ces ennemis infernauxet à ce lac si profondoù toute miséricorde est bannie.Et j’entonnerai tes chants,fortifié comme le justedans la foi que j’ai de t’appartenir,toi qui es mon seul espoir.


5. Brevity(Brièveté)Abraham Wood (1752–1804)<strong>Text</strong>e : AnonymeSource : Evangelical Harmony (1800)Né de la femme, l’homme vitaussi brièvement qu’une fleur,il fleurit le matin et, le soir,il se flétrit, tombe et meurt.6. Cambridge Short / SouthwellAnonyme<strong>Text</strong>e : Psaume 40, The Psalms, Hymns,and Spiritual Songs, of the Old & New-Testament[“Massachusetts Bay Psalm Book”] (Boston, 9 e éd., 1698)Source de “Cambridge Short” :Massachusetts Bay Psalm Book (Boston, 1698)Source de “Southwell” : James Lyon, Urania (Philadelphia, 1761)Ô Dieu, viens à mon secours,Seigneur, hâte-toi de venir à mon aide.Couvre de honte et confondsceux qui cherchent à me perdre.Que ceux qui se délectent de mes mauxsoient renversés et humiliés.Qu’ils soient renversés, ha, ha,ceux qui disent leur honte par intérêt.À ceux qui ne recherchent que toi,accorde d’être heureux et joyeux en toi ;dis à ceux qui aiment tes voiesqu’ils glorifieront Dieu.Mais viens vite à mon aide,moi qui suis pauvre et indigent,tu es mon appui et ma liberté,ô Seigneur, ne tarde pas.7. WatfordBenjamin West (actif 1760)<strong>Text</strong>e : Anonyme (Psaume 13)Source : Benjamin West, Sacra concerto (1760)Jusques à quand m’oublieras-tu, Seigneur ?Est-ce pour toujours ?Jusques à quand me cacheras-tuta face ?8. The beauty of Isr’el is slainWilliam Knapp (1698?–1768)<strong>Text</strong>e : II Samuel, 1Source : Thomas Walter,The Grounds and Rules of Musick,(Boston, 6 e édition, 1764)Sur les hauteurs, la beauté d’Israël est frappée à mort : commeles puissants sont tombés ! Ne le dites pas à Gat, ne l’annoncezpas dans les rues d’Achqelon ; de peur que les filles des Philistinsne se réjouissent, de peur que les filles des incirconcis ne triomphent.Filles d’Israël, pleurez sur Saül qui vous revêtait de pourpre ausein des délices. Comme les puissants sont tombés dans labataille ! Ô Jonathas, tu as été frappé à mort sur tes hauteurs.Ne le dites pas à Gat, ne l’annoncez pas dans les ruesd’Achqelon.Je souffre pour toi, ô Jonathas mon frère, tu t’es montré très bonenvers moi : ton amour m’était plus merveilleux que l’amour desfemmes. Comme les puissants sont tombés, et comme lesfoudres de guerre ont péri !9. Thomas-TownWilliam Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>e : Mather Byles, Poems on Several Occasions (Boston, 1744)Source : The Continental Harmony (Boston, 1794)Grand Dieu, comme l’homme est fragile !Comme ses minutes sont rapides !Sa vie est brève :il fleurit et meurt comme l’herbe.Devrai-je moi aussi décliner ainsiet sombrer dans la mort ?À toi, je confie mon âme,toi, l’auteur de mon souffle.10. ChesterWilliam Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>e : William BillingsSource : The Singing Master’s Assistant (Boston, 1778)Laissez les tyrans brandir leurs épéeset les humiliantes chaînes de l’esclavage cliqueter,nous ne les craignons pas, nous croyons en Dieu,le Dieu de Nouvelle-Angleterre règne éternellement.Howe, Burgoyne et Clinton,avec Prescot et Cornwallis,complotent de nous renverser,unis en une ligue infernale.Quand Dieu nous inspira pour la bataille,leurs rangs furent rompus et leurs lignes forcées,leurs bateaux furent anéantis sous nos yeuxou promptement repoussés de notre côte.L’Ennemi approche à grands pas arrogants,nos troupes avancent dans un fracas martial,leurs vétérans fuient devant nos jeunes gens,et les généraux cèdent devant des garçons imberbes.


Par quel présent montrerons-nous notre reconnaissance ?Que donnerons-nous en retour au Seigneur ?Chantons des alléluias d’une voix forteet louons son nom à chaque accord.11. ChesterfieldWilliam Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>e : Isaac Watts, Hymns and Spiritual Songs (1707)Source : The New-England Psalm-Singer (Boston, 1770)La mort peut à présent anéantir mon corpset emporter mon esprit :pourquoi les minutes s’écoulent-elles si lentement,pourquoi l’heure de mon salut ne vient-elle pas ?Dieu me réserve au cielune couronne à l’éclat éternel ;au jour du Jugement dernier,le juge juste la placera sur ma tête.Dieu est mon éternel secours,et l’enfer se déchaînera en vain :à lui la plus haute gloireet la louange éternelle. Amen.12. Who is this that cometh from Edom ?William Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>e : William Billings,compilation d’extraits de versets de la Bible(Isaïe, Genèse, Apocalypse, saint Matthieu,Jérémie, saint Jean, Psaumes),des Hymns d’Isaac Watts (1719) et de sa propre poésieSource : The Psalm-Singer’s Amusement (1781)Qui est celui qui vient d’Edom avec des vêtements teints deBoçra ? Qui est-il et quel est son nom ? Il s’appelle Conseillermerveilleux, Dieu tout-puissant, Père éternel, Prince de paix, Êtresuprême, le Premier et le Dernier, l’Alpha et l’Oméga, Silo,Emmanuel, Dieu avec nous, Seigneur de Justice, Semence de laFemme, Celui qui terrasse le Serpent, Silo, Ami de l’Homme, Silo,Agneau de Dieu, Égal au Père, Grâce et Vérité.La miséricorde et la vérité se sont rencontrées,la justice et la paix se sont embrassées.Mais l’heure des ténèbres est venue,et Jésus attend la sentence ;le Romain parle, les juifs répondent,« Que son sang soit sur nous, qu’il meure. »et Ève la séductrice sont cause de la malédiction,mais le nouvel Adam, notre Sauveur et notre Roi,a expié et a effacé nos péchés.Ô que les hommes louent le Seigneur, louez le Créateur tout-puissant.Louez son amour rédempteur. Louez le Seigneur. Alléluia,louez le Seigneur !13. WorcesterAbraham Wood (1752–1804)<strong>Text</strong>e : Isaac Watts, Hymns and Spiritual Songs (1707)Source : A Selection of Sacred Harmony (Philadelphia, 1788)Comme ils sont beaux les soldatsqui se tiennent sur la colline de Sion !Ils apportent le salutet révèlent des paroles de paix !Combien délicieuses sont leurs voix !Combien douce est la nouvelle !Sion, vois ton Sauveur et ton Roi,il règne et triomphe ici.Les guetteurs unissent leurs voixet chantent mélodieusement ;Jérusalem retentit de chants,et la joie envahit les déserts.Le Seigneur étend son brasjusqu’aux confins de la terre :que toutes les nations contemplentleur Sauveur et leur Dieu.14. AmandaJustin Morgan (1747–1798)<strong>Text</strong>e : Psaume 90, Isaac Watts, Psalms (1719)Source : Federal Harmony (New Haven, 1790)Comme un ruisseau qui déborde,la mort nous emporte ; notre vie est un rêve,un conte vide, une fleur du matinqui, coupée, fane en une heure.Ô Seigneur, enseigne-nous la fragilité de l’hommeet, dans ta bonté, donne-nous une vie assez longuepour qu’un sage souci de piéténous prépare à mourir et à demeurer avec toi.Mort et désespoir, que vois-je ?L’Agneau de Dieu pendu au bois de la croix !Des clous rouillés déchirent sa chairet son corps ruisselled’une sanglante sueur.Écoutez ! comme il gémit ! ses cris de douleuront fendu les rochers ; mais voyez ! il meurt !L’heure des ténèbres est passée,le règne du Christ commence.Voyez le grand Accusateur jeté à bas,il ne se relèvera plus.Le vieil Adam enflammé de luxure


5. Brevity(Kurze Spanne)Abraham Wood (1752–1804)<strong>Text</strong>: UnbekanntQuelle: Evangelical Harmony (1800)Des Menschen Leben: eine Blum’;Es währt nur kurze Zeit.Blüht morgens, doch AbendzeitWelkt er dahin, vergeht und stirbt.6. Cambridge Short / SouthwellUnbekannt<strong>Text</strong>: Psalm 40, The Psalms, Hymns, and Spiritual Songs,of the Old & New-Testament[“Massachusetts Bay Psalm Book”](Boston, 9. Ausgabe, 1698)Quelle von “Cambridge Short”:Massachusetts Bay Psalm Book (Boston, 1698)Quelle von “Southwell”: James Lyon, Urania (Philadelphia, 1761)O Gott, so hilf mir doch;O Herr, zu Hilfe komm!Wer meine Seele sucht, den laßErsticken hier in Scham.Verjagt, beschämt sei’n die,Welche mein Schmerz erfreut,Verjagt, ha, ha, die sagen ja,Gerächt sei ihre Tat.Laß, die dich suchen hier,Sich freuen in dir sehr;Wer dein Heil liebt, ruft ewiglich:Gott sei Lob, Preis und Ehr.Doch ich, elend und arm –Gott, eile, rette mich!Du hilfst mir und du machst mich frei,O Herr, nun zögre nicht.7. WatfordBenjamin West (tätig 1760)<strong>Text</strong>: Unbekannt (Psalm 13)Quelle: Benjamin West, Sacra concerto (1760)Wie lange willst du mich vergessen?Soll es für immer sein?Wie lange willst verbergen duVor mir das Antlitz dein?8. The beauty of Isr’el is slainWilliam Knapp (1698?–1768)<strong>Text</strong>: 2. Samuel 1Quelle : Thomas Walter,The Grounds and Rules of Musick, (Boston, 6. Ausgabe, 1764)sonderlicher gewesen, denn Frauenliebe ist. Wie sind die Heldengefallen und die Streitbaren umgekommen!9. Thomas-TownWilliam Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>: Mather Byles, Poems on Several Occasions (Boston, 1744)Quelle: The Continental Harmony (Boston, 1794)Herr Gott, wie schwach ist doch der Mensch!Wie rasch verrinnt sein Leben!Es währt nur eine kurze Zeit:Wie Gras blühen und sterben.Muß denn mein Leben so vergehn,Versinken ich in’n Tod?Dir übergeb ich meinen Geist,Du meiner Seele Gott.10. ChesterWilliam Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>: William BillingsQuelle: The Singing Master’s Assistant (Boston, 1778)Tyrannen schwingen ihr Gewehr,Mit Ketten rasselt Sklaverei –Wir fürchten nichts, wir traun auf Gott,Neuenglands Gott regiert so frei.Howe und Burgoyne und Clinton mitCornwallis, Prescot insgemein,Sie planen unsren Niedergang,Der ganze höllische Verein.Wenn Gott uns rüsten würd zum Kampf,Zusammen bräch ihr ganzes Heer,Zerschmettert wärn die Schiffe allUnd fortgetrieben weit aufs Meer.Die Feinde nahn mit stolzem Schritt,Wir rücken vor mit Kriegsgeschrei,Vor unsrer Jugend Alte fliehn,Gen’räle sind nicht länger frei.Was bringen wir dem Heiland dar?Wie danken wir für diesen Lohn?Wir singen laut HallelujaUnd preisen ihn mit jedem Ton.Die Edelsten in Israel sind auf deinen Höhen erschlagen. Wie sinddeine Helden gefallen! Sagt’s nicht an zu Gath, verkündet’s nichtauf den Gassen zu Askalon, daß sich nicht freuen die Töchter derPhilister, daß nicht frohlocken die Töchter der Unbeschnittenen.Ihr Töchter Israels, weinet über Saul, der euch kleidete mitScharlach säuberlich und schmückte euch mit Kleinoden an euernKleidern. Wie sind die Helden so gefallen im Streit! Jonathan istauf deinen Höhen erschlagen.Sagt’s nicht an zu Gath, verkündet’s nicht auf den Gassen zuAskalon. Es ist mir leid um dich, mein Bruder Jonathan: ich habegroße Freude und Wonne an dir gehabt; deine Liebe ist mir


11. ChesterfieldWilliam Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>: Isaac Watts, Hymns and Spiritual Songs (1707)Quelle: The New-England Psalm-Singer (Boston, 1770)Ach, löse, Tod, den Körper auf,Und heim mein’ Seele trag.Warum verrinnt die Zeit so zäh,Wann ist Erlösungstag?Gott hat die Krone ausgelegt,Die nie verliert die Zier.Der große Richter wird dereinstAufs Haupt sie drücken mir.Gott ist mein ewiglicher Schutz,Die Hölle soll erlahmen.Ihm sei die höchste Ehr gezollt,Er sei gepriesen. Amen.12. Who is this that cometh from Edom?William Billings (1746–1800)<strong>Text</strong>: Zusammengestellt von Billings aus Versen von Jesaja;1. Mose; Offenbarung; Matthäus; Jeremia; Johannes; Psalmen;sowie Isaac Watts, Hymns I (1719) und eigenen GedichtenQuelle: The Psalm-Singer’s Amusement (Boston, 1781)Wer ist der, der von Edom kommt, mit rötlichen Kleidern vonBozra? Wer ist er und wie ist sein Name? Er soll genannt werdenWunderbarer Ratgeber, Mächtiger Gott, ewiger Vater, Friedefürst,Ich bin groß, bin Anfang und Ende, Alpha und Omega, der HeldJuda, Emanuel, Gott mit uns, Herr der Gerechtigkeit, Same derFrau, Schlangenzertreter, Friedefürst, Freund der Menschen, HeldJuda, Lamm Gottes, Gleich dem Vater, Gnade und Wahrheit.Erbarmen und Wahrheit haben sich getroffen,Gerechtigkeit und Frieden haben einander geküßt.Nun ist die dunkle Stunde da,Das Urteil über Jesus nah;Pilatus spricht, die Juden schrein:“Sein Blut auf uns, tot soll er sein”.Tod und Verzweiflung, was seh ich?Das Gotteslamm am Kreuz gericht’.Die Nägel reißen seinen Leib,Es tropft in Mengen blut’ger SchweißAus seinen Poren all.Horcht, wie er stöhnt, sein bittrer SchreiSpaltet den Fels. Doch sieh! Er stirbt!Nun ist vorbei die dunkle NachtUnd Christus übernimmt die Macht.Sieh, wie der Widersacher fälltHerab vom Himmel, nichts ihn hält.Mit Adam, dem ersten, von Eva verführt,Ist auf uns der Fluch, unser Elend gekommen,Doch Adam, der zweite, unser Heiland und KönigHat für uns gebüßt, uns die Sünde genommen.13. WorcesterAbraham Wood (1752–1804)<strong>Text</strong>: Isaac Watts, Hymns and Spiritual Songs (1707)Quelle: A Selection of Sacred Harmony (Philadelphia, 1788)Schau an die schöne Schar:Auf Zions Berg sie stehn,Erlösung tönt aus ihrem MundUnd Friedensworte schön.Lieblich ist ihre Stimm’Und süß erklingt ihr Wort.Zion, schau deinen König an,Er triumphieret dort.Die Wächter stimmen ein,Noch stärker wird der Ton:Jerusalem singt aus voller Kehl,Es singt die Wüste schon.Der Herr entblößt den ArmUnd zeigt ihn aller Welt.Nun sollen alle Volker schaunden Heiland, ihren Held.14. AmandaJustin Morgan (1747–1798)<strong>Text</strong>: Psalm 90, Isaac Watts, Psalms (1719)Quelle: Federal Harmony (New Haven, 1790)Tod spült uns wie ein Fluß hinweg,Das Leben einem Traume gleicht,Leerem Geschwätz, der Blume, dieGeschnitten, abends welkt und weicht.Lehr uns, o Herr, wie schwach der Mensch,Verlängre freundlich unsre Zeit,Bis du uns hilfst mit deiner GnadZu gehn in deine Ewigkeit.15. MontgomeryJustin Morgan (1747–1798)<strong>Text</strong>: Psalm 63, Isaac Watts, Psalms (1719)Quelle: The American Harmony (Philadelphia, 1793)So früh, mein Gott, und ohn VerzugEil ich, zu sehen dich.Mein durst’ge Sinne schmachten hin,Tröstet dein Gnade nicht.Wie Pilger auf dem heißen Sand,Der Sonne ausgesetztNach einem kühlen Bach verlangt,Der ihre Lippen netzt.Ich sah dein’ ganze HerrlichkeitIn deiner Tempel Licht.Mein Gott, laß diese Stunde nahn,Dein göttlich Angesicht.Kein Köstlichkeit bei einem FestIst solch ein selger Lohn,Als wenn ich deine Gnade kost,Wenn ich bei dir darf wohn’.Menschen, preist den großen Gott, preiset seine Schöpferkraft,die Erlösung durch die Liebe, preist den Herrn! Halleluja, preistden Herrn!


Das Leben hier mit aller FreudBewegt mich nicht so tief,Macht meine Stimme nicht so starkWie deine große Lieb.So will ich bis zum letzten TagLobpreisen meinen Herrn,So will ich falten meine HändUnd laß mein Stimme hörn.16. WindhamDaniel Read (1757–1836)<strong>Text</strong>: Isaac Watts, Hymns and Spiritual Songs (1707)Quelle : The Village Harmony (Exeter, 5. Ausgabe, 1800)Breit ist die Straße in den Tod,Und viele wandern sie daher,Jedoch ist schmal der Weisheit Pfad,Nur hier und da ein Wanderer.“Verleugne dich und nimm das Kreuz”,War des Erlösers großes Wort.Gold würd zu Tand, wenn die NaturGewänne diesen Himmelsort.Herr, laß mich hoffen nicht umsonst,Erschaffe neu Herz und Verstand!Dies haben Heuchler nie erreichtUnd Abtrünnige nie gekannt.17. Ode on Music(Ode an die Musik)Oliver Holden (1765–1844)<strong>Text</strong>: Alexander Pope (1688–1744)Quelle: American Harmony (Boston, 1792)Ihr Musen, steigt herab und singt,Haucht Instrumenten Atem ein,Erweckt den Klang der Saiten fein,Macht, daß die Leier klingt.Laßt in wehmütigem KlangFlöten klagen ihren Sang,Laßt Trompeten laut erschallen,Bis von Dächern ringsumherSchrille Echos widerhallen.Während in langgedehnten TönenDie feierlichen Orgeln dröhnen,Hört, hört die Musen, sanft und klarLieblich fallen in das Ohr.Nun immer lauter klingt’s durchs LandUnd füllt den Himmel bis zum Rand.18. All Saints(Allerheiligen)Amariah Hall (1758–1827)<strong>Text</strong>: Isaac Watts, Hymns and Spiritual Songs (1707)Quelle: The Columbian Harmonist No. 2 (New Haven, 1794)Ach käm der Herr hierher zu mir,Dann flöge mein’ Seele schleunigst fort,Flög furchtlos durch des Todes Tor,Und fühlte nicht die Schrecken dort.Herr Jesus macht das TotenbettAls wie ein Daunenkissen weich.Leg ich den Kopf an seine Brust,Geh süß ich ein ins Totenreich.19. Rainbow(Regenbogen)Timothy Swan (1758–1842)<strong>Text</strong>: Psalm 117, Isaac Watts, Psalms (1719)Quelle: The Worcester Collection of Sacred Harmony(Worcester, 2. Ausgabe, 1788)Die Berge stehn durch deine Kraft,Gott ewiglicher Macht.Das Meer wird still auf dein GeheißDie Stürme lassen nach.Die Jahreszeiten, Monat’, Stund’,Erd, Himmel, Luft sind dein;Fällt warmer Regen, kann nur GottDer große Schöpfer sein.Die Ackerfurche trinkt sich satt,Das Korn wächst wunderbar.Dein Segen leuchtet überall,Dein’ Güte krönt das Jahr.20. SchenectadyNehemiah Shumway (1761–1843)<strong>Text</strong>: Isaac Watts (1674-1748)Quelle: William Little und William Smith,The Easy Instructor (Albany, 2. Ausgabe, 1805)Singt, alle Menschen auf der ErdUnd macht des Schöpfers Lob bekannt;Gepriesen sei sein Name lautVon jeder Zunge, jedem Land.Dein Gnade währet ewiglich,Mit Wahrheit geht dein Wort einher,Dein Lob erklingt von Land zu LandBis daß die Sonne scheint nie mehr.


21. GreenwichDaniel Read (1757–1836)<strong>Text</strong>: Psalm 73, Isaac Watts, Psalms (1719)Quelle: The Columbian Harmonist (New Haven, 1797)O Herr, wie war ich doch so dumm,Zu klagen, murren, hadern sehr,Daß Böse man mit hohem RangBedachte und mit Stolz und Ehr.Doch ach, ihr End, ihr schrecklich End!Dein Heiligtum hat ’s mich gelehrt:Auf glatten Felsen stehen sie,Darunter wogt das Feuermeer!Nun laß sie mit der Höhe prahlen,Nie wieder werd ich neidisch sein:Sie mögen stehn mit frecher Stirn,Und stürzen ab in ewge Pein.Die eitlen Freuden fliehn so schnell,Wie Träume, wenn man ist erwacht.Das, was sie singen lieblich süß –Ein Vorspiel ist ’s zu ihrer Plag.22. Decay(Verfall)Stephen Jenks (1772–1856)<strong>Text</strong>: Psalm 103, Isaac Watts, Psalms (1719)Quelle: The Delights of Harmony (Dedham, 1805)Mein Leben ist wie Gras,Wie eine frühe Blum;Ein scharfer Wind bläst übers Feld –Und schon welkt sie dahin.23. Evening Hymn(Abendchoral)Elisha West (1756–nach 1808)<strong>Text</strong>: John Leland (1754-1841)Quelle: The Musical Concert (Northhampton, 1802)Vorbei der Tag, die Schatten schonDes Abends nahn mit MachtO, laßt uns alle denken dran:Nah ist die Todesnacht.Wir streifen unsre Kleider abUnd legen uns zu Bett.Wie bald entkleidet uns der TodVon allem, was uns wert!Und wenn wir früh aufstehnUnd sehn die helle Sonn,Laßt uns den Lauf beginnen froh,Gewinnen reichen Lohn.Und wenn die Zeit ist umUnd wir hinscheiden tun,Dann mögen wir zu dir eingehn,An deinem Busen ruhn.Übersetzung: Ingeborg Neumann

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