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Théâtre du Champ au Roy Médiathèque Guingamp

Théâtre du Champ au Roy Médiathèque Guingamp - MondOral

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Du 18 <strong>au</strong> 29 SEPTEMBREDu 2 <strong>au</strong> 24 OCTOBRETransmission / TreuzkasExposition photographique40Les soins palliatifs<strong>Médiathèque</strong>GratuitÀ découvrir égalementJeudi 20 septembre, 18h30UCO de <strong>Guingamp</strong>Vivant jusqu’à la mortconférence sur le thèmede la fin de la vie, animéepar Monsieur Sacchi,philosophe et présidentde l’Espace de réflexionéthique de Saint-BrieucRése<strong>au</strong>AccompagnéLes rése<strong>au</strong>x de soins palliatifs sont peu connus desprofessionnels, des élus et de la population alors qu’ilspermettent d’accompagner les malades et leurs famillesdans la fin de vie. Il existe <strong>au</strong>jourd’hui trois rése<strong>au</strong>x dans lesCôtes d’Armor dont le Rése<strong>au</strong> Accompagné, qui intervientsur le territoire <strong>du</strong> Pays de <strong>Guingamp</strong> et de la Commun<strong>au</strong>téde communes de Callac.Cette exposition a donc pour objectif de présenter <strong>au</strong> grandpublic ce que sont les soins palliatifs, de faire connaîtrele Rése<strong>au</strong> Accompagné et la situation de l’offre de soinspalliatifs sur le territoire, mais <strong>au</strong>ssi d’informer sur lesapports de la loi <strong>du</strong> 4 mars 2002 et la loi Léonetti <strong>du</strong> 22 avril2005. Pour rendre le thème plus attractif, ce sont deuxpersonnages “Mamm Goz” et “Bihan” (une grand-mèreet son petit-fils) qui vous accompagnent tout <strong>au</strong> long del’exposition.En complément, un montage vidéo propose le témoignaged’une jeune femme suivie par le Rése<strong>au</strong> Accompagné,une présentation <strong>du</strong> service de LISP (Lits Identifiés SoinsPalliatifs) de l’hôpital de <strong>Guingamp</strong>, et un film réalisépar l’association JALMALV (Association d’écoute etd’accompagnement).<strong>Médiathèque</strong>GratuitDans le cadre <strong>du</strong> Festival DigorPhotographies :Gilbert Le GallRéalisation :Dastum Bro-DregerArticle 30 :Dans les États où il existedes minorités ethniques,religieuses ou linguistiquesou des personnesd’origine <strong>au</strong>tochtone,un enfant <strong>au</strong>tochtone ouappartenant à une deces minorités ne peutêtre privé <strong>du</strong> droit d’avoirsa propre vie culturelle,de professer et de pratiquersa propre religionou d’employer sa proprelangue en commun avecles <strong>au</strong>tres membres deson groupe.Conventioninternationaledes droits de l’enfantONU : 20 novembre 1989La transmission est l’action par laquelle une société,une commun<strong>au</strong>té, assure la pérennité de ses valeurs, saculture, son mode de vie dans le temps en les enseignant<strong>au</strong>x nouvelles générations. Sans cet acte fondamental,l’enfant est livré à lui-même, sans repère dans un mondeinconnu. Comme vous le verrez à travers cette expositionde photos, la transmission connaît plusieurs étapes ouplusieurs modes : l’observation, l’imitation, la pratique,l’essai ou encore l’enseignement direct de l’a<strong>du</strong>lte à l’enfant.Grâce à cette action mais <strong>au</strong>ssi <strong>au</strong>x nombreuses personnesqui en ont eu conscience, la musique, la danse, la langue,la culture bretonne ont su traverser les générationsen s’adaptant <strong>au</strong> monde et en s’enrichissant. Ainsi, cesentiment d’appartenance développé chez l’enfant en fait unHomme futur équilibré. Il sait d’où il vient, il est alors prêt àse confronter <strong>au</strong> monde et tracer de nouve<strong>au</strong>x chemins pourses propres enfants.Treuzkas d’ar re yaouank a remziad da remziad zo reiñ an tud’ur gevredigezh, d’ur gumuniezh da zerc’hel gant he spered,he sevena<strong>du</strong>r, he doare da vevañ. Hep se e vefe ret d’urbugel kavout e hent e-unan hep tamm roud ebet. Treuzkasa c’haller ober dindan meur a stumm evel ma weler e-barzhan diskouezadeg skeudennoù-mañ : sellet, adober, ober,klask pe deskiñ war-eeun gant unan bennak. Dre an oberhud-se etre an <strong>du</strong>d ha gant sikour ar re o deus kompreneteo a-bouez derc’hel gant un hengoun e c’hallo ar muzik, andañs, ar yezh, ha sevena<strong>du</strong>r Breizh bevañ e-pad pell en urgemm bep tro un tammig hervez an endro. Ar bugel desavetdiwar ar framm-se a deuio da vezañ Den kempouez : goût araio eus pelec’h emañ o tont. Prest e vo neuze da vont dre arbed ha sevel hentoù nevez evit e vugale d’e dro.41

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