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25.05. – 26.05 Essen
*** NEW – NEU – NEW – NEU
The Changing Language Professions or: Do we still need English
translators? Anglophoner Tag, Essen. Gastgeberorganisation: ATICOM. Info:
www.aticom.de/a-veranstalt.htm
26.05. – 28.05.
XXe CONGRÈS DE L'ASSOCIATION CANADIENNE DE TRADUCTOLOGIE UNIVERSITÉ
DE LA SASKATCHEWAN (SASKATOON) DU 26 AU 28 MAI 2007
LA FORMATION EN TRADUCTION : PÉDAGOGIE, DOCIMOLOGIE ET TECHNOLOGIE
En 1981, Nida publiait son désormais célèbre article, Translators are born, not made,
semant de ce fait la controverse au sein des formateurs de traducteurs. Vingt-cinq
ans plus tard, les efforts déployés par les traductologues en vue de dégager les
connaissances et les compétences mobilisées dans le cadre de l'opération de
traduction viennent réfuter cette prise de position et montrent qu'il est réaliste
d'enseigner – et possible d'apprendre – à traduire. De la performance magistrale au
télé-enseignement, l'enseignement de la traduction fait maintenant l'objet d'une
foule de conceptions didactiques et d'approches pédagogiques toutes les plus
farouchement défendues les unes que les autres. S'il est un point qui semble faire
l'unanimité, c'est celui de la difficulté associée à l'apprentissage de cette science
artistique/cet art scientifique/ce métier qu'est la traduction. Si la partie artistique ou
émotive demeure subjective, on tente de faire de la partie scientifique ou cognitive
de la compétence traductionnelle un élément résolument objectif, au point d'être
quantifiable et évaluable. On reconnaît de plus en plus l'importance du rôle de
l'évaluation de la qualité en traduction – l'Europe travaille actuellement à la mise en
œuvre d'une norme sur la qualité des services de traduction – mais les aspects
docimologiques de l'enseignement de la traduction n'ont pas retenu l'attention à leur
juste mesure. Puisqu'il faut évaluer l'apprentissage de la traduction, quelles sont les
difficultés qui lui sont associées? Les méthodes docimologiques servent-elles tant les
apprenants que les formateurs? Servent-elles les fins des programmes de formation?
Pourquoi ces différences d'exigence entre l'université et le marché du travail? À quoi
peut-on imputer ce clivage entre formation pratique et pratique formative (comme
dans les programmes coopératifs)?