Es - Kfconstructioninc.com

Fe : facteur de correction pour l’épaisseur,
Fe = 0.90 - 0.0267 X (Et - E)
Et : épaisseur moyenne de tolérance: Es - 10 mm,
E : épaisseur moyenne mesurée (mm),
Es : épaisseur spécifiée (requise) dans le cahier spécial
des charges "S".
3. Rejet d’un lot
Un lot est constitué d’une surface de 3000 m 2 , toute surface
inférieure sera considérée comme un lot.
Si l’épaisseur moyenne d’une dalle de béton d’un lot unitaire est
inférieure à l’épaisseur critique, la dalle doit être enlevée et
remplacée par l’entrepreneur à ses frais par une dalle ayant
l’épaisseur spécifiée.
Ec = Es - 25mm
Ec = Épaisseur critique
Es = Épaisseur spécifiée dans les devis
3.6.6.2 Résistance à la compression
1. Échantillonnage
L’échantillonnage sera prélevé selon une table de hasard.
Les échantillons sont prélevés et les essais sont effectués selon
les méthodes incluses dans la norme BNQ 2621-900. Un lot
représente 450 m 3 ou moins d’un béton de même classe livré à
l’intérieur d’une période de 30 jours, le cycle est de un échantillon
par lot de 100 mètres cubes.
2. Révision du prix unitaire pour résistance non-conforme
Si la résistance moyenne d’un lot unitaire se situe entre la
résistance critique (29 MPa pour les trottoirs et bordures, ou 80%
de fc') et la résistance spécifiée fc' (35 MPa pour les trottoirs et
bordures) le prix unitaire (PU) est ajusté (PRr) à l’aide de la
formule suivante:
PRr = PU x R
Rt
PRr : prix révisé pour la résistance,
R : résistance moyenne mesurée,
PU : prix unitaire bordereau,
Rt résistance moyenne tolérable,
Rt = fc' + 0,01 x (kd)
fc' : résistance spécifiée,
d : indice de dispersion des échantillons du lot
d = (Ri - R) 2
30

n-1
Ri : résistance de chacun des échantillons du lot,
R : résistance moyenne mesurée du lot,
n : nombre d’échantillons,
k : facteur d’acceptation suivant le nombre
d’échantillons.
3. Rejet d’un lot
31
n k
2 - 88
3 - 9
4 10
5 19
6 26
7 31
8 34
9 38
10 41
Si la résistance moyenne d’un lot est inférieure à la résistance
critique, soit 80% de fc', ou 29 MPa pour un béton utilisé dans des
structures (15 MPa pour un béton d’enrobage), le béton est
refusé et l’ouvrage doit être repris aux frais de l’entrepreneur.
3.6.6.3 Résistance et épaisseur non conformes
Si l’épaisseur et la résistance sont non conformes simultanément, les deux
facteurs de correction s’appliquent de la façon suivante:
PR = PRr x PRe
3.6.6.4 Recours de l’entrepreneur
Pour obtenir une meilleure estimation de la résistance et de l’épaisseur,
l’entrepreneur peut faire prélever, par un laboratoire indépendant reconnu
par l’Ingénieur, un nombre égal de carottes semblables selon la norme
ASTM-C174.
Les carottes sont prélevées et essayées en présence de l’Ingénieur, les
résultats obtenus sont combinés avec ceux obtenus par l’Ingénieur pour le
calcul de l’épaisseur et de la résistance moyenne du lot considéré; les
résultats sont transmis directement à l’Ingénieur par le laboratoire.
L’entrepreneur assume le coût du carottage et des essais supplémentaires.

3.7 TROTTOIRS, BORDURES ET TROTTOIRS-BOULEVARDS
3.7.1 Description
La construction ou la réparation des trottoirs, bordures et trottoirs-boulevards inclut
le sciage, l’enlèvement des trottoirs, bordures et trottoirs-boulevards existants et
autres matériaux, la récupération et le nettoyage des repères géodésiques, la
préparation du lit, la mise en place de la fondation, la confection proprement dite et
autres travaux connexes.
3.7.2 Préparation du lit
La préparation du lit comprend: les terrassements et tous les travaux nécessaires
pour donner au lit la forme déterminée par les plans et profils (article 3.2 du présent
cahier des charges).
La surface du lit doit être stable, uniforme, exempte de dépression et conforme au
profil déterminé par le chargé de projets.
3.7.3 Fondation de pierre
À moins d’indications contraires, le matériau de la fondation est une pierre
concassée de calibre 20-0 (article 2.2.4 du présent cahier des charges) posée sur
une épaisseur de 150 mm et compactée à 95% de la densité maximale « Proctor
modifié ».
3.7.4 Coffrages
Les coffrages doivent suivre exactement le profil et les alignements établis; l’emploi
de coffrages pliés ou tordus n’est pas permis.
De plus, ils doivent résister sans se déformer au poids du matériel utilisé et aux
poussées latérales dues à la masse et à la vibration du béton; ils doivent rester en
place durant 24 heures au moins après la mise en place du béton. L’équipement
utilisé pour les enlever ne doit pas s’appuyer sur le béton frais.
Les coffrages doivent être faits d’acier d’égale rigidité ou de bois plané de 38 mm
d’épaisseur. Dans les courbes, les coffrages sont plus minces pour permettre de
suivre la courbure. L’écart, permis pour le profil établi sera de ± 5 mm dans 3
mètres.
Après leur mise en place, les coffrages seront nettoyés, huilés, puis vérifiés à l’aide
d’une règle de 3 m ; ils seront corrigés si une dépression de 5 mm ou plus apparaît
sous la règle et devront respecter la norme BNQ 2624.210.
La pente devra respecter une dénivelée de 20 mm sur la verticale pour un (1) m
pour l’horizontale (soit une pente de 2 %). La tolérance sera de ± 5 mm.
3.7.5 Rampes de voiture et de trottoir, dalles de puits d’accès et de
chambres de transformateur
Des rampes de voiture et de trottoir ainsi que des dalles de puits d’accès et de
chambres de transformateur doivent être faites dans les trottoirs là où les plans en
montrent l’emplacement approximatif. Aucune rémunération additionnelle ne sera
payée à l’entrepreneur pour ces travaux.
Une armature devra être utilisée dans ces rampes et ces dalles, celle-ci doit être
conforme à l’article 2.5.2 du présent cahier des charges et ne doit pas être déposée
directement sur la pierre.
32

La pente devra respecter une dénivelée de 20 mm à 40 mm sur la verticale pour un
(1) m pour l’horizontale (soit une pente de 2 % à 4 % maximum). La tolérance sera
de ± 5 mm.
3.7.6 Mise en place du béton
La mise en place se fait conformément à l’article 3.6.5.4 et dans les conditions
fixées à l’article 3.6.5.1 du présent cahier des charges.
Aucun ajustement du mélange n’est toléré lors de la livraison.
Un délai de 120 minutes est requis avant une coulée de béton afin de permettre
l’inspection des coffrages par l’arrondissement de Verdun.
3.7.7 Joints
Des joints de retrait seront faits à 1,5 mètre d’intervalle, et fabriqués à l’aide d’un
outil marqueur dont la trace au passage n’excède pas 20 mm en profondeur et
10 mm en largeur. Les bords de cette rainure doivent être arrondis suivant un arc
de cercle de 6 mm de rayon. Les joints seront perpendiculaires à l’axe longitudinal
du trottoir.
Les joints d’isolement, de retrait-flexion, de construction de dilatation et d’esthétique
doivent être exécutés selon la norme BNQ 2829-520.
Des joints de dilatation seront faits à 6 m d’intervalle, ainsi qu’à chaque endroit
critique tels que: poteau, bouche d’incendie, rayon, puisard, rampe de véhicule et à
tout autre endroit désigné par l’Ingénieur; ils doivent avoir 25 mm de largeur et leur
profondeur sera l’épaisseur du trottoir; ils seront perpendiculaires à l’axe longitudinal
du trottoir et parfaitement verticaux; ils comprennent 6 goujons de 20M munis d’une
cartouche de dilatation, tel que montré à la norme T-3.
En raccordant une section neuve de trottoir à un joint existant, ce dernier ne doit pas
être endommagé; les goujons doivent être graissés, le tout sans frais
supplémentaire.
Les bouches d’incendie, les puisards, les regards d’égouts, les fondations de
propriété, les trottoirs privés et autres doivent être isolés du trottoir au moyen d’une
bande bitumineuse de 12 mm d’épaisseur; les poteaux doivent être isolés du trottoir
au moyen d’une boîte en bois dont le diamètre aura 200 mm de plus que celui du
poteau; deux goujons par face seront placés dans les planches de bois et la boîte
sera remplie de mélange bitumineux.
3.7.8 Raccordement avec les trottoirs, bordures et trottoirs-boulevards
existants
Pour raccorder une nouvelle construction avec les trottoirs, bordures ou trottoirsboulevards
existants, l’entrepreneur doit y construire un joint de dilatation et, au
besoin, refaire la section contiguë du trottoir existant afin d’en corriger les
défectuosités et le niveau, tel que montré à la norme T-3.
3.7.9 Finition du béton
La surface du béton doit être aplanie au moyen d’une règle reposant sur les
coffrages et finie avec une taloche. Avant la prise du béton, le finissage est
complété pour éliminer les irrégularités et la surface est bouchardée.
L’usage de la truelle d’acier est prohibé.
33

Les joints des dalles et les bords sont alors arrondis selon un arc de 6 mm de rayon
tel qu’indiqué à la norme T-3.
Les trottoirs construits auront une pente vers la bordure tel qu’indiqué à la norme
T-1.
3.7.10 Mûrissement du béton
Le mûrissement du béton se fait conformément à l’article 3.6.5.5 du présent cahier
des charges.
3.7.11 Protection du béton
La circulation des piétons sur le trottoir sera interdite durant les quarante-huit
(48) heures suivant la pose du béton. L’entrepreneur devra fournir et maintenir les
barricades et les signaux et affecter des signaleurs à cette tâche; il sera responsable
de toute détérioration du béton durant le temps où la circulation est interdite sur le
trottoir.
3.7.12 Traitement de la surface du béton
Entre 3 et 7 jours après la pose du béton, l’entrepreneur doit imperméabiliser la
surface. Cette protection est obtenue par une double application d’un mélange en
parties égales d’huile de lin bouillie et de kérosène. Le traitement se fait sur une
surface nettoyée, sèche, par une température supérieure à 10°C, à raison de 9 litres
par 100 mètres carrés (m 2 ); une attention spéciale doit être apportée pour éviter
que le mélange n’entre en contact avec les surfaces bitumineuses.
34

Mesurage et mode de paiement
Les trottoirs et les trottoirs-boulevards sont mesurés au mètre carré (m 2 ), les
bordures au mètre linéaire. La surface des grilles d’arbres et autres sont exclus.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- le sciage, la démolition et l’enlèvement des matériaux existants jusqu’au
niveau du lit,
- la préparation du lit :
- la fourniture et la pose d’une fondation de pierre ;
- la pose du béton et autres travaux connexes tels que: coffrages, finition,
entrées de garage, joints, fourniture et pose de l’armature etc. ;
- le traitement de surface.
3.7.13 Bordures de granite
3.7.13.1 Qualité de granite
Le granite employé dans la fabrication de bordures doit être de qualité
uniforme, non altéré et physiquement sain.
Il doit posséder les qualités physiques suivantes, testées selon les
procédures ASTM appropriées, par un laboratoire reconnu.
Résistance à la compression
(à sec, dans tous les sens)
Résistance à la flexion
(à sec, dans tous les sens
35
minimum 140 MPa
minimum 10,5 MPa
Absorption d’eau (%) masse) maximum 0,4%
Masse volumique minimum 2550 kg/m 3
3.7.13.2 Qualité de la fabrication
Les bordures de granite seront fabriquées de telle sorte que les
dimensions, les finis et l’équerrage respectent les tolérances suivantes:
Longueur des sections : minimum 1,0 mètre
Hauteur de sections - dessous bosselé : 80 mm -30 mm
Largeur des sections : ±5 mm
Fini bosselé : ±50 mm
Équerrage des faces : ±5 mm
Les arêtes des bordures doivent être droites et sans écornures.
La couleur de granite sera Calédonia original. Certaines variations de
couleur seront acceptables, pourvu que les qualités physiques du granite
ne soient pas affectées.

3.7.13.3 Installation des bordures
Préparation de la fondation
Le lit de la bordure doit être bien drainé et uniformément compacté. On
construira un coussin de 150 mm de pierre concassée 20-0 mm,
compactée à 95% de la densité maximale "Proctor modifié". Le niveau fini
coussin devra se situer 100 mm sous le niveau de la bordure.
Mise en place des bordures
Chaque section de bordure portera appui sur deux (2) monticules de
support de 300 mm, constitués de béton maigre. On placera les sections
de bordure selon l’alignement requis, et on compactera les extrémités afin
d’amener la bordure au niveau spécifié, en s’assurant qu’un vide de
100 mm demeure sous la bordure. On devra s’assurer de prendre les
précautions nécessaires pour ne pas les endommager.
Entre chaque section de bordure, on laissera un joint de 12 mm qui sera
par la suite rempli de mortier constitué d’une partie de ciment pour deux (2)
parties de sable. Lorsque la bordure est adjointe à un trottoir, on laissera
un joint de 40 mm dans lequel on fera pénétrer le béton du trottoir et qu’on
remplira ensuite de mortier. Enfin, on procédera ensuite à la mise en place
de lit de béton maigre de 100 mm sous la bordure. Si nécessaire, on
placera un coffrage afin de retenir le béton sous les bordures.
Afin de protéger l’intégrité de l’installation, on ne procédera à aucun travail
de compactage, de bétonnage ou de pavage avant une période d’au moins
quarante-huit (48) heures.
Béton maigre :
Résistance en compression à 28 jours: 15 MPa minimum
Résistance en flexion à 10 jours: 4 MPa minimum
Contenu en ciment (10, 20 ou 30): 22 kg/m 2 minimum
Rapport eau/ciment: 0,75 maximum
Calibre du gros granulat: 20-5 mm
Teneur en air: 5% à 8%
Affaissement: 80 mm
3.7.13.4 Caractéristiques des bordures
Dessus: Sciées
Dessous: Bosselées
Faces (avant):: Bosselées
Faces (arrière): Bosselées avec dégagement sciées de 100 mm
Largeur: 152 mm ou 6"
Hauteur: 457 mm ou 18"
Mesurage et mode de paiement
Les bordures préfabriquées en granite sont mesurées et payées au mètre.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
36

- le sciage, la démolition et l’enlèvement des matériaux existants
jusqu’au niveau du lit,
- la préparation du lit :
- la fourniture et la pose d’une fondation de pierre ;
- la construction de l’appui en béton et des joints de mortier.
3.7.14 Dommages au mobilier urbain
L’entrepreneur doit réinstaller, à ses frais, les enseignes, luminaires, feux de
circulation et autres qui auront été déplacés lors de la construction du trottoir.
Il doit remplacer, à ses frais et à la satisfaction de l’Ingénieur, le gazon, les clôtures,
les haies, les arbres (norme T-9) et autres qui ont été endommagés lors des travaux;
le gazon est remis en état selon la procédure suivante :
- préparation de la surface: enlèvement des déchets, cailloux, mauvaises
herbes, bourrelets, remblai des dépressions,
- ameublement du sol sur une profondeur de 100 mm,
- amendement du sol avec de la terre végétale,
- fertilisation du sol avec un engrais approuvé,
- gazonnement par plaquage avec un gazon approuvé, convenablement
posé et roulé,
- arrosage uniforme et adéquat.
Quatre semaines après la pose du gazon l’Ingénieur procède à l’inspection; il
approuve les travaux, exige des rectifications ou impose une déduction sur le prix du
contrat.
L’entrepreneur est responsable des arbres pour une période d’un an après leur
plantation; il doit remplacer sans frais les arbres et autres qui n’auront pas fait
preuve d’une croissance satisfaisante.
3.7.15 Révision du prix unitaire
La construction et la réparation des trottoirs, bordures et trottoirs-boulevards sont
soumises à l’article 3.6.6 du présent cahier des charges.
3.8 COURS D’EAU
3.8.1 Description
Lors de la construction ou de la réparation de trottoir ou de bordure, ou de drain
longitudinal dans une rue déjà construite, on procède généralement à la réparation
du cours d’eau; cette réparation inclut l’excavation nécessaire du bord de la rue, la
réparation du lit, la mise en place de la fondation et la réfection de la section de rue
dans son état initial.
37

3.8.2 Méthode de construction
3.8.2.1 Coupe et enlèvement du pavage
L’entrepreneur doit d’abord scier le pavage sur toute son épaisseur à l’aide
d’une scie mécanique, à une distance constante de 500 mm de la bordure
ou de 1 m de la bordure dans le cas d’une construction de drain
longitudinal.
L’enlèvement du pavage se fera en même temps que celui du trottoir ou de
la bordure.
3.8.2.2 Stabilité du pavage existant
L’entrepreneur demeure responsable de la stabilité du pavage existant.
3.8.2.3 Réparation de la chaussée
Après la construction du trottoir ou de la bordure ou du drain longitudinal,
l’entrepreneur doit réparer la chaussée qui doit être reconstituée dans son
état initial.
La réparation sera conforme aux exigences de l’article 3.3 du présent
cahier des charges. Dans le cas de chaussée en béton, l’article 3.6
s’applique. Dans tous les cas la norme P-4 sera respectée.
Mesurage et mode de paiement
La réparation du cours d’eau sera mesurée et payée au mètre linéaire.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’enlèvement du pavage et des matériaux jusqu’au niveau du lit,
- la fourniture, la pose et le compactage de la fondation,
- la réparation de la chaussée,
- la réparation des endroits endommagés par l’entrepreneur.
Le coût du sciage est inclus dans le prix du trottoir ou de la bordure.
3.9 REGARDS, PUISARDS ET CHAMBRES DE VANNE
3.9.1 Description
3.9.1.1 Renivellement
Le renivellement de cadres de regards, puisards, chambres de vanne et
autres localisés sur les plans est fait dans le but de rencontrer les
nouveaux profils ; le nombre est indiqué dans le bordereau ; le
renivellement doit être fait avant la pose du béton de ciment ou du
revêtement bitumineux.
Mesurage et mode de paiement
Le renivellement est payé à l’unité.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
38

- l’enlèvement du cadre existant,
- la fourniture et la pose des pièces et matériaux d’ajustement,
- la fourniture et la pose d’un mortier de finition,
3.9.1.2 Réparation
3.10 TRAVAUX DIVERS
La réparation des regards, puisards, chambres de vanne et autres se fait à
la demande de l’Ingénieur.
Mesurage et mode de paiement
La réparation est payée au mètre linéaire de hauteur.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’excavation, la démolition de la section à réparer et l’enlèvement
des matériaux,
- la fourniture et la pose des pièces et matériaux nécessaires pour
reconstruire cette section jusqu’à 300 mm de la surface,
- la pose et le compactage du matériel d’excavation jusqu’à la
fondation de la rue,
Le coût de la réparation des derniers 300 mm est inclus dans le prix
unitaire du renivellement.
Les regards, puisards et autres endommagés par l’entrepreneur seront
réparés à ses frais.
3.9.1.3 Désaffectation de puisard
La désaffectation des puisards se fait à la demande de l’Ingénieur.
Mesurage et mode de paiement
Un prix à l’unité est fourni pour la désaffectation de puisard.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- la démolition du puisard existant, l’excavation et l’enlèvement des
matériaux,
- le blocage de la conduite de service avec des briques et du béton,
- le remblayage et le compactage du matériel d’excavation jusqu’à la
fondation de la rue, la main-d’œuvre, l’équipement ainsi que toutes
les dépenses connexes.
Toutes les pièces (anneaux, têtes et grilles) des puisards doivent être
remises au Service des Travaux Publics.
3.10.1 Trottoirs et entrées de garage privées
L’entrepreneur devra réparer, à ses frais et à la satisfaction de l’Ingénieur, les
parties endommagées des trottoirs et entrées de garage privés.
39

S’il y a modification de niveau du trottoir nécessitant la réfection du trottoir privé ou
la réfection de l’entrée de garage privée, ces travaux supplémentaires seront payés
en surplus selon le prix unitaire indiqué au bordereau. Ces travaux seront exécutés
suite au décoffrage du trottoir de la Ville.
3.10.1.1 Trottoirs et entrées de garage privés en béton de ciment
Lorsque la reconstruction de sections de trottoirs ou d’entrées de garage
privés en béton de ciment est nécessaire, l’entrepreneur doit procéder à la
reconstruction de ces sections. L’Ingénieur indiquera les sections à
reconstruire.
Les entrées privées en béton de ciment seront goujonnées au trottoir
comme s’il s’agissait d’un joint de dilatation transversal (voir norme T-2 du
cahier B).
Mesurage et mode de paiement
Les trottoirs et entrées de garage privées en béton de ciment sont mesurés
au mètre carré (m 2 ).
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- le sciage, la démolition et l’enlèvement du béton de ciment et
des matériaux jusqu’au niveau du lit ;
- la préparation du lit :
- la fourniture et la pose d’une fondation de pierre conforme à
l’article 3.7.3 du présent cahier des charges ;
- la fourniture et la pose de goujons,
- la fourniture et la pose du béton de 150 mm d’épaisseur ;
- le traitement de la surface.
3.10.1.2 Trottoirs et entrées de garage privés en pavé de béton
Lorsque la reconstruction de sections de trottoirs ou d’entrées de garage
privés en pavé de béton est nécessaire, l’entrepreneur doit procéder à la
reconstruction de ces sections. L’Ingénieur indiquera les sections à
reconstruire.
Mesurage et mode de paiement
Les trottoirs et entrées de garage privées en pavé de béton sont mesurés
au mètre carré (m 2 ).
Le prix unitaire comprend: la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’enlèvement et la récupération du pavé de béton incluant les
bordures jusqu’au niveau du lit;
- la réparation du lit;
- la fourniture du pavé de béton, au besoin, incluant les
bordures de même type, de même forme et de couleur
identiques au pavé de béton en place s’il y a lieu;
- la pose du pavé de béton incluant les bordures;
40

3.10.1.3 Entrées de garage en béton bitumineux
Lorsque la reconstruction de sections d’entrées de garage en béton
bitumineux est nécessaire, l’entrepreneur doit procéder à la reconstruction
de ces sections. L’Ingénieur indiquera les sections à reconstruire.
Mesurage et mode de paiement
Les entrées de garage en béton bitumineux sont mesurées au mètre carré
(m 2 ).
Le prix unitaire comprend: la fourniture et la livraison des matériaux, la
mise en œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
3.10.2 Plate-bande asphaltée
- le sciage, la démolition et l’enlèvement du revêtement de
béton bitumineux et des matériaux jusqu’au niveau du lit ;
- la fourniture et la pose d’une fondation de pierre concassée
de calibre 20-0 conforme à l’article 2.2.4 du présent cahier
des charges, posée sur une épaisseur de 300 mm et
compactée à 95% de la densité maximale « Proctor modifié ».
- la fourniture, la pose et le compactage d’un enrobé
bitumineux d’une épaisseur de 75 mm posé à la main (EB20
de 50 mm et EB10S de 25mm);
- la réparation des accotements à leur état initial;
Une plate-bande est une section en asphalte située entre le trottoir en béton et la
bordure ou à l’arrière du trottoir ou à l’arrière de la bordure; un drainage doit être
construit selon la norme T-7. La plate-bande asphaltée doit être conforme à la
norme T-8.
Mesurage et mode de paiement
La plate-bande asphaltée est mesurée au mètre carré (m 2 ). La surface des grilles
d’arbres et autres sont exclus.
Le prix unitaire comprend: la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’excavation du matériel existant,
- la préparation du lit,
- la fourniture, la pose d’une fondation de 300 mm de pierre concassée de
calibre 20-0 conforme à l’article 2.2.4 du présent cahier des charges et
le compactage à 95% de la densité maximale "Proctor modifié",
- la fourniture, la pose et le compactage d’une couche de surface de
mélange bitumineux conforme à l’article 3.4.3 du présent cahier des
charges.
3.10.3 Remblai de pierre
Lorsque requis, la pierre concassée de calibre 20-0 conforme à l’article 2.2.4 du
présent cahier des charges est fournie pour le remplissage des coupes, la réfection
des sections de fondation, entrées temporaires et autres travaux à la demande de
l’Ingénieur.
41

Mesurage et mode de paiement
Le remblai de pierre est mesuré à la tonne.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- la fourniture, la pose et le compactage à 95% de la densité maximale
"Proctor modifié" par couches uniformes d’épaisseur maximale de
150 mm,
- toutes dépenses connexes.
3.10.4 Revêtement asphaltique manuel
Lorsque requis par l’Ingénieur pour des réparations mineures, un revêtement
asphaltique EB10 C de 25 à 50 mm d’épaisseur est posé à la main aux endroits
indiqués. Au préalable un liant d’accrochage doit être appliqué conformément au
cahier "D" des revêtements bitumineux.
Mesurage et mode de paiement
Le revêtement asphaltique est payé au mètre carré (m 2 )
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- la fourniture, la pose du liant d’accrochage
- la fourniture, la pose et le compactage du mélange bitumineux
- toutes dépenses connexes.
3.10.5 Fourniture et pose de gazon
Lorsque requis par l’Ingénieur, des travaux de pose du gazon seront exécutés aux
endroits indiqués.
Mesurage et mode de paiement
Le gazon est mesuré au mètre carré (m 2 )
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’amendement du sol avec de la terre végétale,
- la fourniture et la pose de gazon en plaque,
- l’arrosage du gazon,
- toutes dépenses connexes.
3.10.6 Drain longitudinal
Lorsque requis par l’Ingénieur, un drain longitudinal conforme à la norme P-2 doit
être posé.
La section courante de ce drain comprend: de la pierre concassée de calibre
20-10 enveloppée d’une membrane géotextile de type GÉO-9 de Solmax-Texel ou
d’un équivalent approuvé par l’Ingénieur; le chevauchement de la membrane doit
être d’au moins 300 mm. La pente du drain suit celle de la ligne d’infrastructure;
dans tous les cas, elle va du point haut vers le puisard, le point haut étant indiqué
dans la liste des points fournie par l’Ingénieur.
42

L’entrepreneur doit d’abord scier le pavage sur toute son épaisseur à l’aide d’une
scie mécanique, à une distance constante de 1 m de la bordure. L’enlèvement du
pavage se fera en même temps que celui du trottoir et demeure responsable de la
stabilité du pavage existant.
Le raccordement au puisard se fait à 900 mm du profil final du trottoir ou de la
bordure.
Un tuyau de un (1) m est placé de part et d’autre du puisard. Ce tuyau est en tôle
ondulée galvanisée (T.T.O.G.) de calibre 16.
Le remblayage du coussin de pierre 20-0 mm ou d’un matériel pulvérisé (approuvé
par l’Ingénieur) du dessus du drain.
Mesurage et mode de paiement
Le drain longitudinal est mesuré au mètre linéaire (m) de puisard à puisard (centre à
centre).
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- la localisation et l’excavation sous chaque service public,
- l’excavation, la préparation et le compactage du lit,
- la fourniture et la pose de la membrane,
- la fourniture et la pose de la pierre 20-10
- le raccordement au puisard,
- la fourniture et la pose du tuyau,
- le remblayage,
- les travaux connexes.
3.10.7 Cadre, guide et grille de puisard
Lorsque requis par l’Ingénieur, un ensemble de cadre et grille (cadre, guide et grille)
de puisard ajustable sera installé.
Mesurage et mode de paiement
L’ensemble, comprenant un cadre, un guide et une grille est mesuré et payé à
l’unité.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’enlèvement de l’ancien cadre et grille,
- la pose et le nivellement d’un cadre et d’un tampon fabriqués par
Mueller Canada, modèle ajustable AJ-750 avec guide conique ou un
équivalent approuvé par l’Ingénieur.
3.10.8 Cadre de regard d’égout ou de chambre de vanne
Lorsque requis par l’Ingénieur, un ensemble de cadre et tampon (cadre, guide et
couvercle) de regards ou chambres de vanne ajustable sera installé.
43

Mesurage et mode de paiement
L’ensemble, comprenant un cadre, un guide et un couvercle est mesuré et payé à
l’unité.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’enlèvement de l’ancien cadre et grille,
- la pose et le nivellement d’un cadre et d’un tampon fabriqués par
Mueller Canada, modèle ajustable AJ-775-SR avec guide conique ou un
équivalent approuvé par l’Ingénieur.
3.10.9 Couvercle de regard d’égout
Lorsque requis par l’Ingénieur, un couvercle de regard d’égout ajustable sera
installé.
Mesurage et mode de paiement
Le couvercle est mesuré et payé à l’unité.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’enlèvement et la disposition de l’ancien couvercle,
- l’installation d’un couvercle fabriqué par Mueller Canada pour cadre et
tampon ajustable avec l’inscription :
« ÉGOUT SANITAIRE VERDUN » ou « ÉGOUT PLUVIAL VERDUN »
ou un équivalent approuvé par l’Ingénieur.
3.10.10 Couvercle de regard de chambre de vanne
Lorsque requis par l’Ingénieur, un couvercle de chambre de vanne ajustable sera
installé.
Mesurage et mode de paiement
Le couvercle est mesuré et payé à l’unité.
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’enlèvement et la disposition de l’ancien couvercle,
- l’installation d’un couvercle fabriqué par Mueller Canada pour cadre et
tampon ajustable avec l’inscription :
« AQUEDUC VERDUN »
ou un équivalent approuvé par l’Ingénieur.
3.10.11 Réfection de coupe
La réfection de coupe à travers la Ville consiste à reconstruire la couche de pavage
suite à une tranchée d’excavation.
Mesurage et mode de paiement
La réfection de coupe est mesurée et payée au mètre carré (m 2 ).
Le prix unitaire comprend : la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
44

- le sciage, la démolition et l’enlèvement du revêtement de béton
bitumineux temporaire de 50 mm à 100 mm d’épaisseur,
- la mise en forme et le compactage de la pierre concassée en place de
calibre 20-0 à 95% de la densité maximale « Proctor modifié ».
- la fourniture, la pose et le compactage d’un enrobé bitumineux d’une
épaisseur de 100 mm conforme à l’article 3.4.3 du présent cahier des
charges.
3.10.12 Abat-poussière
Lorsque les véhicules circulent sur la rue et que les conditions climatiques causent
un excès de poussière nuisible à la circulation et à l’environnement, la surface doit
être traitée à l’aide de l’abat-poussière CALCLO 35. L’abat-poussière est appliqué à
l’aide d’un distributeur à pression qui ne doit pas endommager la surface de
roulement.
Mesurage et mode de paiement
Aucune rémunération ne sera versée à l’entrepreneur pour l’abat-poussière. Il en
tiendra compte en établissant ses prix unitaires.
3.10.13 Excavation de souches d’arbres
Lors de l’exécution de son travail, si l’entrepreneur rencontre des souches d’arbres,
il devra les enlever et les transporter hors du site. La Ville ne dispose pas de
dépotoir; l’entrepreneur indiquera à l’Ingénieur l’endroit où il désire transporter les
souches avant le début des travaux.
Mesurage et mode de paiement
La souche d’arbre est mesurée et payée à l’unité.
Le prix unitaire comprend : l’excavation, la main-d’œuvre, le transport, la mise au
rebut et toutes dépenses connexes.
3.10.14 Piste cyclable
Lorsque requis par l’Ingénieur, des travaux de construction de piste cyclable d’une
largeur de trois mètres (3 m) de largeur seront exécutés aux endroits indiqués.
Mesurage et mode de paiement
La piste cyclable est mesurée au mètre carré (m 2 ).
Le prix unitaire comprend: la fourniture et la livraison des matériaux, la mise en
œuvre et toutes dépenses pour l’exécution des travaux suivants :
- l’excavation du matériau existant,
- la préparation du lit,
- la fourniture et la pose d’une membrane de type Géo-9 ou équivalent,
- la fourniture, la pose d’une fondation de 300 mm de pierre concassée de
calibre 20-0 conforme à l’article 2.2.4 du présent cahier des charges et
le compactage à 95% de la densité maximale "Proctor modifié",
- la fourniture, la pose et le compactage d’un revêtement bitumineux de
75 mm en deux couches conforme à l’article 3.4.3 du présent cahier des
charges.
45

3.11 PÉRIODE DE GARANTIE
La période de garantie pour tous les travaux mentionnés dans ce cahier des charges
sera de vingt-quatre (36) mois à partir de la date d’acceptation provisoire par la Ville.
46

PROPRIÉTAIRE
Ville de Montréal
Arrondissement de Verdun
4555, rue de Verdun
Verdun (Québec)
H4G 1M4
INGÉNIEURS
Division de l’ingénierie
4555, rue de Verdun
Suite 208
Téléphone : 514 765-7075
Fax : 514 765-7007
CAHIER « D »
CAHIER SPÉCIAL DES CHARGES
POUR
LES REVETEMENTS BITUMINEUX
Cahier D
Révision : février 2009

TABLE DES MATIÈRES
1. GÉNÉRALITÉS ...........................................................................................................1
1.1 BUT DU DEVIS ...........................................................................................................1
2. MATÉRIAUX................................................................................................................1
2.1 SOURCES D’APPROVISIONNEMENT ......................................................................1
2.2 GROS GRANULAT .....................................................................................................1
2.2.1 Granulométrie .......................................................................................................... 1
2.2.2 Nombre pétrographique ........................................................................................... 1
2.2.3 Durabilité.................................................................................................................. 1
2.2.4 Résistance à l’abrasion ............................................................................................ 1
2.2.5 Propreté ................................................................................................................... 1
2.3 GRANULAT FIN ..........................................................................................................1
2.3.1 Granulométrie .......................................................................................................... 2
2.3.1.1 Sable et criblure ......................................................................................................2
2.3.1.2 Filler minéral............................................................................................................2
2.3.2 Substances nuisibles................................................................................................ 2
2.3.3 Durabilité.................................................................................................................. 2
2.4 LIANTS D’ACCROCHAGE OU D’IMPRÉGNATION...................................................2
2.4.1 Émulsions de bitume ................................................................................................ 2
2.4.2 Bitumes fluidifiés ...................................................................................................... 3
2.5 ENROBÉS BITUMINEUX............................................................................................3
2.5.1 Formules .................................................................................................................. 3
2.5.2 Exigences et écarts admissibles .............................................................................. 3
2.5.2.1 Spécifications ..........................................................................................................3
2.5.2.2 Écarts admissibles ..................................................................................................5
3. TRAVAUX ...................................................................................................................6
3.1 CENTRALES D’ENROBAGE......................................................................................6
3.1.1 Matériel .................................................................................................................... 6
3.1.2 Production................................................................................................................ 6
3.1.2.1 Normes....................................................................................................................6
3.1.2.2 Dosage....................................................................................................................6
3.1.2.3 Température ...........................................................................................................6
3.1.2.4 Durée de malaxage.................................................................................................7
3.1.3 Inspection et contrôle ............................................................................................... 7
3.2 TRANSPORT DES ENROBÉS BITUMINEUX ............................................................7
3.3 CONSTRUCTION........................................................................................................7
3.3.1 Conditions générales................................................................................................ 7
3.3.2 Préparation de la surface ......................................................................................... 7
i

3.3.2.1 Surface granulaire...................................................................................................7
3.3.2.2 Surface pavée .........................................................................................................8
3.3.3 Matériel .................................................................................................................... 8
3.3.3.1 Épandeuse mécanique ou finisseur........................................................................8
3.3.3.2 Rouleaux .................................................................................................................8
3.3.3.3 Outils manuels ........................................................................................................9
3.3.4 Mise en place de l’enrobé......................................................................................... 9
3.3.4.1 Épandage................................................................................................................9
3.3.4.2 Joints.......................................................................................................................9
3.3.4.3 Irrégularités .............................................................................................................9
3.3.4.4 Nettoyage des outils manuels ...............................................................................10
3.3.5 Compactage de l’enrobé ........................................................................................ 10
3.3.5.1 Compactage..........................................................................................................10
3.3.5.2 Densité des enrobés .............................................................................................10
3.3.5.3 Caractéristiques des couches de revêtement.......................................................10
3.3.6 Ouverture de la chaussée à la circulation............................................................... 10
3.4 APPROBATION DES ENROBÉS .............................................................................10
3.4.1 Approbation de la formule ...................................................................................... 10
3.4.2 Approbation des matériaux..................................................................................... 11
3.4.3 Approbation en chantier ......................................................................................... 11
3.4.4 Approbation finale .................................................................................................. 11
3.4.4.1 Carottage ..............................................................................................................11
3.4.4.2 Approbation...........................................................................................................11
3.4.4.3 Recours de l’entrepreneur.....................................................................................11
ii

1.1 BUT DU DEVIS
1. GÉNÉRALITÉS
Le but de ce devis est de décrire les matériaux, la préparation et la pose de béton
bitumineux; tous les matériaux et les méthodes de préparation et de construction
doivent être conformes aux normes établies dans ce devis.
2. MATÉRIAUX
2.1 SOURCES D’APPROVISIONNEMENT
L’entrepreneur doit informer l’Ingénieur par écrit des sources d’approvisionnement
des matériaux qu’il a l’intention d’employer. Cette information doit être reçue au
moins trente (30) jours avant l’acquisition des matériaux.
Des échantillons de tous les matériaux doivent être soumis à l’Ingénieur pour des
essais qualitatifs.
Conformément à l’article 7 du cahier général des charges, les matériaux ne peuvent
être transportés à pied d’œuvre qu’après l’approbation écrite de l’Ingénieur.
2.2 GROS GRANULAT
Le gros granulat consiste de pierre concassée composée de particules propres,
dures, durables, saines, ni plates, ni allongées, libres de tout revêtement d’argile.
2.2.1 Granulométrie
La granulométrie est fonction du type d’enrobé exigé.
2.2.2 Nombre pétrographique
Le nombre pétrographique déterminé selon la norme BNQ-2560-900 doit être
inférieur à 120.
2.2.3 Durabilité
La perte de l’essai Mg S04 effectué selon la norme BNQ-2560-450 doit être
inférieure à 12%.
2.2.4 Résistance à l’abrasion
La perte à l’essai, Los Angeles effectué selon la norme BNQ-2560-400 doit être
inférieure à 50%.
2.2.5 Propreté
Le pourcentage de particules fines déterminé selon la norme BNQ-2560-350 (3560-
260) doit être inférieur à 1.0.
2.3 GRANULAT FIN
Le granulat fin est du sable, de la criblure ou du filler minéral composés de
particules propres, dures, durables, libres de tout revêtement d’argile.
1

2.3.1 Granulométrie
2.3.1.1 Sable et criblure
Ils ne doivent pas contenir plus de 14% de particules passant le tamis
80µm; toutes les particules doivent passer le tamis 5 mm. La teneur
maximum de particules de grosseur inférieure à 5 µm est limitée à 4%.
2.3.1.2 Filler minéral
Le filler minéral doit répondre aux spécifications suivantes:
2.3.2 Substances nuisibles
TAMIS PASSANT (%)
630 microns 100
315 microns 95 - 100
80 microns 65 - 100
Le pourcentage en masse de substances nuisibles comme l’argile, le mica, le
schiste graphitique, etc. doit être inférieur à 2.
2.3.3 Durabilité
La perte à l’essai MgSO effectué selon la norme BNQ-2560-450 doit être inférieure
à 12%.
2.4 LIANTS D’ACCROCHAGE OU D’IMPRÉGNATION
Les liants d’accrochage ou d’imprégnation utilisables sont de deux sortes:
- les émulsions de bitume,
- les bitumes fluidifiés.
2.4.1 Émulsions de bitume
Les émulsions de bitume peuvent être anioniques ou cationiques et sont de trois
espèces:
- RS, à rupture rapide,
- MS, à rupture moyenne,
- SS, à rupture lente.
Les émulsions de bitume doivent être conformes à la norme 41O5 du Ministère
(CCDG).
2

2.4.2 Bitumes fluidifiés
Les bitumes fluidifiés sont obtenus par dissolution de bitume dans un solvant
hydrocarboné et sont de quatre espèces :
- RC à séchage rapide,
- RM à séchage mi-rapide,
- MC à séchage moyen,
- SC à séchage lent.
Les bitumes fluidifiés doivent être conformes à la norme 41O4 du Ministère
(CCDG).
2.5 ENROBÉS BITUMINEUX
2.5.1 Formules
L’entrepreneur doit, avant de débuter la fabrication des enrobés, soumettre à
l’Ingénieur, pour approbation, la granularité des granulats ainsi que le type de la
teneur en liant qu’il entend utiliser.
2.5.2 Exigences et écarts admissibles
2.5.2.1 Spécifications
Les enrobés à chaud formulés susceptibles d’être utilisés doivent être
conformes aux spécifications du tableau 1.
3

TABLEAU 1 - TYPES DE MELANGES BITUMINEUX (CCDG)
TYPE EB-20 EB-14 EB-10S EB-10C EB-5
Usage Base Surface,
couche
unique
Nombre minimal de
classes granulaires
distinctes à utiliser
TAMIS
Pourcentage du poids total
28 mm
20 mm
14 mm
10 mm
5 mm
2.5 mm
1.25 mm
630 µm
315 µm
160 µm
80 µm
% Liant (minimum)
Fluage (mm)
Stabilité (N)
Vide (%) (1)
VAM combl/(%)
4
Surface
Correction Rapiéçage
manuel
3 3 2 2 1
100
95-100
65-88
48-78
34-55
24-45
16-39
9-31
6-23
4-15
3-8
4.2
2-4
9000
2-5
85
___
100
95-100
75-90
50-65
29-47
20-40
14-34
10-26
5-17
3-8
4.7
2-4
9000
2-5
85
___
___
___
92-100
50-65
27-50
18-42
12-35
8-26
5-17
4-10
4.8
2-4
9000
2-5
85
___
___
___
94-100
66-78
45-65
30-50
20-40
14-29
7-18
4-10
5.2
note 1
2-4
9000
2-5
85
100
85-100
65-90
___
25-65
18-48
8-30
4-12
6.0
2-4.5
* Le liant bitumineux est un bitume liquide de type MC-250, une émulsion
bitumineuse de type HF-1000M ou une émulsion inversée. Si un bitume liquide est
utilisé, un agent tension-actif doit être ajouté.
7000
2-5
85

2.5.2.2 Écarts admissibles
Les écarts individuels admissibles dans l’enrobé par rapport à la formule
établie sont:
TAMIS INDIVIDUELS ECARTS ADMISSIBLES
% passant le tamis 10 mm ± 5
% passant le tamis 25 mm ± 6
% passant le tamis 80 mm ± 2
% de bitume ± 0.5
Somme des % passant les tamis
20 mm, 12.5 mm, 10 mm, 5 mm, 2.5
mm, 1.25 mm, 630 µm,
3.15 µm, 160 µm, 80 µm
5
± 25
% de vide ± 1.5

3.1 CENTRALES D’ENROBAGE
3.1.1 Matériel
3. TRAVAUX
Les centrales d’enrobage servant à la production d’enrobés à chaud doivent être
conformes à la norme ASTM-D995 et être équipées d’un système récupérateur de
poussière conforme aux exigences du ministère du Développement Durable, de
l’Environnement et des Parcs (MDDEP).
Les centrales à tambour-sécheur-enrobeur doivent posséder en plus les
particularités suivantes:
a.) Un système intégré groupant et synchronisant les brûleurs, les pompes
à bitume, les pesées de granulats, les contrôleurs d’humidité et de
température d’enrobé; ce système doit être calibré annuellement et
après chaque déménagement; le certificat d’inspection doit être
montré à l’Ingénieur sur demande.
b.) Un système permettant de varier le bitume et la pente du sécheurenrobeur.
c.) Un silo pour emmagasiner le mélange à la sortie du sécheur-enrobeur.
d.) Un système d’alimentation à froid permettant le dosage et
l’échantillonnage des granulats.
e.) Des totaliseurs de granulat et de bitume permettant de calculer en tout
temps la teneur en bitume de l’enrobé fabriqué.
3.1.2 Production
3.1.2.1 Normes
La production de la centrale doit être telle que l’enrobé fourni rencontre la
norme ASTM-D3515.
3.1.2.2 Dosage
L’entrepreneur doit doser, peser ou mesurer séparément, les fines
d’apport, les granulats fins, les gros granulats, les granulats bitumineux et
le bitume dans les proportions exactes suivant lesquelles ils doivent être
mélangés.
3.1.2.3 Température
A leur arrivée dans le malaxeur, les granulats et le bitume doivent avoir à
15°C près la même température. A la sortie du mala xeur, l’enrobé doit
avoir une température telle que le bitume ait une viscosité cinématique
comprise entre 150 et 300 centistokes. Toutefois, la température de
malaxage est toujours comprise entre 110°C et 150°C et à 5°C près de la
température optimum spécifiée par l’Ingénieur. La raffinerie doit fournir les
données relatives à la viscosité du bitume.
6

3.1.2.4 Durée de malaxage
La durée du malaxage doit permettre d’obtenir un mélange homogène
dans lequel toutes les particules sont uniformément enrobées; par contre il
faut éviter tout malaxage prolongé et toute opération pouvant provoquer un
durcissement indu du bitume.
3.1.3 Inspection et contrôle
L’Ingénieur ou son représentant peut en tout temps, avoir accès à la centrale pour
vérifier la conformité de la préparation des enrobés aux normes du présent devis.
3.2 TRANSPORT DES ENROBÉS BITUMINEUX
Les camions servant au transport des enrobés doivent avoir une benne étanche
munie d’un fond métallique. La benne doit être exempte de poussière, de criblures,
d’huiles et de toute matière pouvant détériorer l’enrobé. Elle doit être munie d’une
bâche de dimensions suffisantes pour couvrir tout l’enrobé et le protéger contre le
refroidissement et les intempéries.
L’Ingénieur ou son représentant peut refuser tout camion dont la capacité, les
dimensions, l’état ou la vitesse entravent la marche normale des opérations.
Toutes les charges doivent être livrées assez tôt pour permettre l’épandage et le
cylindrage à la clarté. Il n’est jamais permis de surchauffer un mélange pour
contrebalancer le refroidissement causé par le trajet. La perte de température des
mélanges, entre le moment de la mise en camion au poste d’enrobage et le moment
de la mise en place sur le chantier, ne doit pas excéder 15°C.
3.3 CONSTRUCTION
3.3.1 Conditions générales
La préparation et la mise en place des enrobés bitumineux doivent se faire dans des
conditions climatiques favorables. Il n’est pas permis d’opérer lorsque l’humidité des
granulats affecte la température de l’enrobé et la cadence des opérations, ou
lorsque la surface à recouvrir est détrempée, couverte de flaques d’eau ou de boue.
La température de la surface à recouvrir doit être supérieure à 5°C; ainsi, aucun
revêtement souple préparé et posé à chaud ne peut être mis en place après le
15 octobre sans une autorisation écrite de l’Ingénieur.
Il est interdit d’appliquer un liant durant une pluie, sur une surface humide ou lorsque
la température de l’air ambiant est inférieure à 10°C.
Au cours des opérations et durant le durcissement d’un mélange, la circulation des
véhicules doit être détournée ou contrôlée selon les instructions de l’Ingénieur.
3.3.2 Préparation de la surface
3.3.2.1 Surface granulaire
La mise en forme de la chaussée doit se faire en corrigeant les profils
longitudinal et transversal et en donnant à la chaussée le bombement et
les dévers requis. Elle doit se faire sur toute la largeur de la chaussée ou
selon les spécifications des plans et devis, de façon à obtenir une surface
uniforme. Toute irrégularité ou dépression excédant 10 mm doit être
corrigée.
7

3.3.3 Matériel
La surface de la chaussée doit être sèche, libre de matériaux étrangers et
compactée selon les exigences du cahier général des charges.
A partir d’une liste de points, l’entrepreneur doit compléter le piquetage en
reportant tous les points nécessaires à la construction, de façon à
permettre une vérification facile et rapide.
3.3.2.2 Surface pavée
La surface à recouvrir doit être nettoyée de toute boue durcie et
débarrassée de toute matière non adhérente. Les défectuosités de toutes
sortes, les bourrelets et surplus accumulés dans les fissures, les joints ou
ailleurs doivent être enlevés et mis au rebut; si nécessaire, la surface doit
être balayée mécaniquement pour enlever toute poussière ou matière
nuisible.
Lorsque requis par les plans et devis ou par l’Ingénieur, les surfaces
raboteuses et irrégulières sont corrigées par planage mécanique ou à l’aide
d’un enrobé bitumineux que l’entrepreneur doit poser et compacter douze
(12) heures avant la pose de la couche subséquente.
3.3.3.1 Épandeuse mécanique ou finisseur
Les enrobés sont répandus mécaniquement au moyen d’un finisseur
automoteur capable de placer l’enrobé bitumineux selon l’alignement, la
pente et le bombement indiqués par l’Ingénieur. Les finisseurs sont munis
de trémies et de vis distributrices de manière à placer l’enrobé
uniformément à l’avant des régaleuses ajustables.
L’Ingénieur peut autoriser l’utilisation d’une rallonge hydraulique pour
compléter des sections à largeurs excédentaires variables ou pour éviter
des obstacles comme les grilles, les couvercles de regard et de puisard
etc.
3.3.3.2 Rouleaux
Les rouleaux doivent permettre d’obtenir la compacité et les
caractéristiques de surface conformes; les trois types suivants sont
acceptés:
- rouleaux à pneus,
- rouleaux statiques à cylindres d’acier,
- rouleaux vibrants à cylindres d’acier.
Aucun rouleau pouvant affecter ou endommager les constructions
souterraines ou avoisinantes ne doit être utilisé.
8

3.3.3.3 Outils manuels
Les pilons servant à densifier l’enrobé aux endroits inaccessibles aux
rouleaux, doivent peser au moins 10 kg et avoir une surface maximum de
300 cm 2 . Les pilons peuvent être remplacés par des compacteurs
mécaniques approuvés par l’Ingénieur. L’entrepreneur doit avoir, à sa
disposition, une règle de 3 m. munie d’un niveau pour vérifier la pente et
l’uni du revêtement. Aux abords des regards, puisards, chambres de
vanne ainsi que de tout autre service d’utilité publique, l’entrepreneur doit
utiliser un fer chaud pour la finition du revêtement.
3.3.4 Mise en place de l’enrobé
3.3.4.1 Épandage
Le mode opératoire (vitesse, durée d’arrêt, etc.) d’une épandeuse
mécanique doit permettre la réalisation d’un revêtement dont la densité et
les caractéristiques sont conformes aux exigences. Tout enrobé dont la
composition ou la température n’est pas conforme aux spécifications doit
être rejeté.
Aux endroits inaccessibles au finisseur, l’enrobé est répandu
manuellement; l’enrobé est réparti également et étalé en couche meuble
de densité uniforme à l’aide de râteaux ou de houes en ayant soin d’éviter
la ségrégation; l’entrepreneur doit ensuite vérifier la surface avec une règle
et corriger les inégalités.
3.3.4.2 Joints
Les joints longitudinaux doivent être parallèles aux lignes du tracé.
L’enrobé doit être posé de façon à ne pas laisser de joint longitudinal à
compléter le lendemain.
Entre les nouvelles et les anciennes chaussées ou entre les travaux de
deux journées consécutives, les joints sont faits en vue d’assurer une
liaison parfaite, continue et imperméable. Tout joint froid (température
inférieure à 40°C) transversal ou longitudinal doit être sectionné et
badigeonné d’une couche uniforme de liant d’accrochage.
Toutes les surfaces de contact des bordures, des trottoirs et autres
structures doivent être badigeonnées d’une couche mince et uniforme
d’émulsion ou de bitume liquide afin d’assurer un joint permanent et
étanche; ce liant est appliqué au taux de 0.25 litre/m 2 ; l’Ingénieur peut
exiger l’application d’une telle couche d’amorçage pour améliorer
l’adhérence des revêtements.
3.3.4.3 Irrégularités
Immédiatement après la mise en place d’une couche et avant de
commencer le compactage, la surface doit être vérifiée et les inégalités
corrigées. Les accumulations de matériau sont enlevées au moyen d’une
pelle ou d’une houe; les dentelures et autres dépressions sont nivelées et
comblées par du mélange chaud. Il est interdit de projeter l’enrobé en
surface de manière à ce que les granulats se déploient en éventail.
9

3.3.4.4 Nettoyage des outils manuels
Lorsque les outils manuels sont nettoyés au feu, l’entrepreneur doit
prendre garde de ne pas les porter à des températures assez élevées pour
brûler l’enrobé; lorsque ces outils sont nettoyés à l’huile, le récipient d’huile
est placé dans un endroit tel que l’enrobé ne puisse être endommagé.
3.3.5 Compactage de l’enrobé
Les stipulations suivantes sont applicables à toutes les couches de revêtement.
3.3.5.1 Compactage
Le compactage doit être terminé avant le coucher du soleil. La surface de
roulement et la compacité seront conformes aux spécifications, les joints
transversaux et longitudinaux parfaitement imperméables.
3.3.5.2 Densité des enrobés
Après le compactage de chaque couche, le pourcentage de vide des
mélanges doit être compris entre 2 et 8%.
La compacité du revêtement est le rapport de la densité brute de la carotte
prélevée sur la route et la densité maximale "Rice". Ce rapport doit être de
92 à 98%. La densité brute est déterminée selon la méthode d’essai
LC26-040 du Ministère; la densité "Rice" est déterminée selon la méthode
d’essai LC26-045 du Ministère.
3.3.5.3 Caractéristiques des couches de revêtement
Chaque couche doit avoir une texture uniforme, sans ségrégation, être
régulière et conforme aux tracés et pentes prescrits. Toute irrégularité ou
dépression excédant 5 mm dans 3 mm doit être corrigée.
3.3.6 Ouverture de la chaussée à la circulation
Si la circulation est admise par l’Ingénieur sur une section donnée avant la pose
d’une couche supérieure, la surface de la couche inférieure doit être parfaitement
nettoyée avant de la recouvrir. L’Ingénieur peut exiger une application de liant
d’accrochage aux frais de l’entrepreneur.
Le contrôle de la circulation durant l’exécution des travaux est fait par l’entrepreneur.
Il doit pourvoir à la signalisation et maintenir au besoin des signaleurs qui
empêchent le passage des véhicules sur l’enrobé fraîchement posé.
3.4 APPROBATION DES ENROBÉS
L’approbation des enrobés se fait en quatre phases.
3.4.1 Approbation de la formule
L’Ingénieur vérifie les données fournies par l’entrepreneur et l’avise de sa décision;
si la formule soumise n’est pas acceptée, l’entrepreneur doit en soumettre une
autre.
10

3.4.2 Approbation des matériaux
A la suite des essais effectués sur les échantillons de matériaux fournis par
l’entrepreneur, l’Ingénieur informe ce dernier de sa décision; si les résultats ne sont
pas conformes, l’entrepreneur doit s’approvisionner ailleurs.
3.4.3 Approbation en chantier
Dès le début des opérations de pavage, l’Ingénieur vérifie par l’analyse d’un premier
lot d’échantillons si les écarts admissibles dans le mélange, par rapport à la formule
soumise, sont conformes à l’article 2.5.2 du présent cahier des charges. S’il y a lieu,
l’entrepreneur doit apporter à la formule proposée les correctifs nécessaires.
3.4.4 Approbation finale
3.4.4.1 Carottage
La compacité et l’épaisseur des couches de revêtement bitumineux sont
vérifiées au moyen d’échantillons prélevés par carottage.
Les carottes sont prélevées et mesurées selon la norme BNQ-2300-040, à
raison d’un lot de trois échantillons par 200 mètres de revêtement,
l’emplacement de prélèvement étant déterminé de façon aléatoire par
l’Ingénieur.
3.4.4.2 Approbation
Après l’analyse globale des résultats d’essais et avant le paiement des
travaux de revêtement bitumineux, l’Ingénieur procède à l’approbation
finale si les travaux sont conformes aux plans et devis; si les travaux ne
sont pas conformes, le prix unitaire du revêtement est révisé selon les
stipulations du cahier spécial des charges (cahier "B").
3.4.4.3 Recours de l’entrepreneur
Si l’entrepreneur désire une meilleure estimation de la compacité, il peut
faire prélever, à ses frais, un nombre égal de carottes semblables, en se
conformant aux conditions suivantes:
- les carottes sont prélevées et mesurées selon la norme BNQ-2300-
040;
- l’emplacement de prélèvement est déterminé de façon aléatoire;
- le prélèvement, les mesures des épaisseurs et de compacité
doivent être faits par un laboratoire indépendant reconnu par
l’Ingénieur;
- le carottage et les essais supplémentaires doivent être effectués en
présence de l’Ingénieur;
- les résultats des essais seront communiqués à l’Ingénieur
directement par le laboratoire.
Les résultats des carottes prises par l’Ingénieur et par l’entrepreneur seront
combinés pour l’obtention de valeurs moyennes de l’épaisseur et de la
compacité.
11

Les trous creusés dans le revêtement lors du prélèvement des carottes par
l’Ingénieur et par l’entrepreneur seront remplis immédiatement après par
l’entrepreneur et à ses frais, avec un enrobé bitumineux identique.
12

Annexe 2
Étude de caractérisation environnementale des sols et
étude géotechnique sommaire

• Commission scolaire Lester
B. Pearson
Caractérisation environnementale des
sols et étude géotechnique sommaire
École Verdun, 610, avenue Desmarchais
Montréal (Québec)
Rapport :
Final
Projet n° :
LBPG-000051297-003150
Préparé par :
Les Services exp inc.
8487, 19ème avenue
Montréal (Québec) H1Z 4J2
Tél. : 514 521-4290
Téléc. : 514 521-4637
Date :
16 mars 2012

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CONFIDENTIALITÉ ET UTILISATION DU RAPPORT
Le présent rapport a été rédigé par Les Services exp inc. à la demande du ou des clients mentionnés
à la page couverture. Cette évaluation environnementale a été effectuée pour les seules fins
mentionnées dans le présent rapport et ne doit en aucun temps servir à d’autres fins. Toute
reproduction, publication ou communication des renseignements, résultats et conclusions inclus dans
le présent rapport à des tiers, en totalité ou en partie, par moyen électronique ou autre est interdite
sans le consentement écrit préalable des Services exp inc. et du ou des clients ayant demandé cette
évaluation environnementale de site Les Services exp inc. ne sauraient être tenus responsables de
tout dommage résultant de l’utilisation, par le ou les clients mentionnés à la page couverture de ce
rapport de même que des tiers, des renseignements, des résultats, ou des conclusions de même que
de toute décision pouvant être basés sur la présente évaluation environnementale et son rapport.
Le ou les clients conviennent et s’engagent à obtenir l’autorisation écrite et préalable des Services
exp inc. avant de transmettre ce rapport à un tiers. À défaut, le ou les clients s’engagent à tenir
indemnes Les Services exp inc. de tout dommage pouvant résulter d’une divulgation du rapport à un
tiers.
Si le présent rapport fait référence à des résultats d’essais, lesdits résultats visent uniquement
l’échantillon identifié au rapport.
Le présent rapport d’évaluation environnementale est de nature confidentielle et est protégé par les
lois et règlements applicables en matière de protection des renseignements.
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Liste de distribution
Client :
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Nom Coordonnées
Madame Carla Sfairy, M. Arch.
Gestionnaire de projet
2 copies papier, 1 copie numérique
Copie conforme :
Nom Coordonnées
Monsieur François Proulx, ingénieur
1 copie numérique
Département des Ressources matérielles
Commission scolaire Lester B.Pearson
1925, avenue Brookdale
Dorval (Québec) H9P 2Y7
Les Services exp inc.
425, boul. Maisonneuve
Montréal (Québec) H3A 3G5
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Table des matières
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1. Introduction ................................................................................................................. 1
1.1 Mandat ............................................................................................................................................ 1
1.2 Contexte et objectifs ........................................................................................................................ 1
1.3 Méthodologie ................................................................................................................................... 1
2. Localisation du site ..................................................................................................... 2
3. Méthodologie des travaux de caractérisation environnementale ............................ 3
3.1 Localisation des infrastructures souterraines ................................................................................. 3
3.2 Stratégie d’échantillonnage et localisation des sondages .............................................................. 3
3.3 Sondages ........................................................................................................................................ 3
3.4 Installation des tubes d’observation ................................................................................................ 4
3.5 Procédure d’échantillonnage .......................................................................................................... 4
3.6 Examen visuel et lecture de composés organiques volatils (COV) ................................................ 4
3.7 Programme analytique .................................................................................................................... 4
3.8 Programme d’assurance qualité ..................................................................................................... 6
3.10 Conductivité hydraulique ................................................................................................................. 7
4. Résultats des travaux de caractérisation .................................................................. 8
4.1 Stratigraphie des sols ...................................................................................................................... 8
4.1.1 Remblais ............................................................................................................................ 8
4.1.2 Dépôt naturel ...................................................................................................................... 9
4.1.3 Socle rocheux .................................................................................................................... 9
4.2 Caractéristiques hydrogéologiques ...............................................................................................10
4.2.1 Drainage de surface .........................................................................................................10
4.2.2 Niveau d’eau souterraine .................................................................................................10
4.2.3 Conductivité hydraulique ..................................................................................................10
5. Interprétation des résultats des analyses chimiques ............................................. 11
5.1 Sols ...............................................................................................................................................11
5.1.1 Sélection des critères .......................................................................................................11

Table des matières (suite)
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Page
5.1.2 Interprétation des résultats ..............................................................................................11
5.2 Matières résiduelles ......................................................................................................................12
5.3 Analyse des résultats des mesures de contrôle de la qualité .......................................................12
6. Recommandations géotechniques sommaires ....................................................... 14
6.1 Description du projet .....................................................................................................................14
6.2 Excavations et soutènement .........................................................................................................14
6.3 Pentes d’excavation ......................................................................................................................15
6.4 Assise et enrobage des conduites ................................................................................................15
6.5 Réutilisation des matériaux d’excavation ......................................................................................16
7. Estimation des volumes ............................................................................................ 17
8. Gestion environnementale des sols contaminés et des matières résiduelles ...... 19
9. Conclusions et recommandations environnementales .......................................... 20
9.1 Limitations du mandat ...................................................................................................................20
9.2 Résultats de l’étude de caractérisation des sols ...........................................................................20
10. Glossaire .................................................................................................................... 22

Liste des tableaux
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Page
Tableau 3-1 : Programme d’analyses chimiques ...................................................................................... 5
Tableau 3-2 : Duplicata de chantier et de laboratoire ............................................................................... 6
Tableau 3-3 : Programme d’essais de laboratoire .................................................................................... 7
Tableau 4-1 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage ........................................................ 8
Tableau 4-2 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage et sédimentométrie ........................ 9
Tableau 4-3 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage ........................................................ 9
Tableau 4-4 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage et sédimentométrie ........................ 9
Tableau 4-5 : Calculs de conductivité hydraulique.................................................................................. 10
Tableau 7-1 : Polygones d’intervention ................................................................................................... 17
Tableau 7-2 : Polygones de matières résiduelles ................................................................................... 18

Liste des annexes
Annexe A Plan de localisation régional (L01)
Plan de localisation des sondages (L02)
Annexe B Rapports de forage
Annexe C Rapports d’essais de laboratoire
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Annexe D Tableaux de compilation des résultats des analyses chimiques
Annexe E Certificats d’analyses chimiques
Annexe F Grille de gestion des sols contaminés excavés intérimaire
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1. Introduction
1.1 Mandat
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Les services professionnels des Services exp inc. ont été retenus par la commission scolaire Lester B.
Pearson afin de réaliser une caractérisation environnementale des sols et étude géotechnique sommaire
sur la propriété de l’école Verdun, localisée au 610, avenue Desmarchais à Montréal, au coin sud-ouest
de l’intersection de la rue de Verdun et de l’avenue Desmarchais. Celle-ci correspond au numéro de lot
1 437 266 du cadastre du Québec de la circonscription foncière de Montréal. Le site est actuellement
occupé par une école et une garderie privée.
1.2 Contexte et objectifs
Cette étude est effectuée dans le cadre d’un projet de réfection des aires pavées (stationnement et cour
d’école), des murets de soutènement, d’allèges de fenêtres, de clôtures et d’aires de jeux sur l’ensemble
de l’école Verdun. Une caractérisation environnementale est donc requise dans le but de vérifier si le
niveau de contamination des sols rencontre les lignes directrices de la Politique de protection des sols et
de réhabilitation des terrains contaminés du MDDEP ainsi que les exigences du Règlement sur la
protection et la réhabilitation des terrains. Cette étude permettra également de vérifier la présence ou
l’absence de contamination en vue d’anticiper la gestion des sols qui seront excavés. De plus, les travaux
de forage serviront à déterminer l’épaisseur du recouvrement bitumineux ainsi que l’épaisseur et la
nature de la fondation de chaussée et, par la suite, à émettre des recommandations géotechniques
sommaires.
La superficie approximative visée par les travaux de réfection de l’école Verdun est de 3 027 mètres
carrés. La partie gazonnée située à l’est de l’entrée principale du bâtiment de la propriété n’est pas visée
par les présents travaux puisqu’elle a été réhabilitée en 2009 suivant les informations fournies par le
représentant de la commission scolaire Lester B. Pearson.
1.3 Méthodologie
Les travaux réalisés dans le cadre du présent mandat ont compris :
• la localisation des services enfouis;
• la réalisation de 12 forages;
• l’échantillonnage des sols en continu dans les sondages à des fins d’analyses chimiques et d’essais
en laboratoire;
• le relevé des coordonnées et le nivellement des sondages;
La présente caractérisation environnementale se réfère aux principes généraux de la norme
CSA Z769-00 (mai 2003) de l’Association canadienne de normalisation et du Guide de caractérisation du
MDDEP ainsi qu'aux versions les plus récentes des guides d’échantillonnage du MDDEP.
Les limitations au présent mandat sont présentées à la section 9.1 de ce rapport.
Le présent rapport contient la description de ces travaux de reconnaissance, la synthèse des résultats
obtenus ainsi que nos conclusions et recommandations.
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2. Localisation du site
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Le site à l’étude est localisé au 610, avenue Desmarchais, à Montréal dans l’arrondissement Verdun et il
est désigné par le lot 1 437 266 du cadastre du Québec de la circonscription foncière de Montréal. Il
couvre une superficie totale d’environ 3 430 mètres carrés. Un bâtiment en forme de H est présent dans
lequel se trouvent l’école élémentaire Verdun et une garderie privée. Le bâtiment est entouré d’une cour
d’école pavée et clôturée dans les parties nord-ouest, nord-est, sud et ouest, d’un stationnement dans la
partie ouest et d’une portion gazonnée dans la partie nord du terrain. Aux fins de la présente étude,
l’orientation de la rue Verdun a été considérée comme étant nord-sud.
Les coordonnées centrales du site à l’étude sont les suivantes :
• latitude : 45° 27' 15'' Nord;
• longitude : 73° 34' 22'' Ouest.
L’emplacement du site à l’étude est montré sur le plan de localisation régional (1 : 20 000) joint à l’annexe
A du présent rapport. Aucun certificat de localisation ne nous a été fourni dans le cadre du présent
mandat.
Selon le règlement de zonage de la municipalité, la propriété est située dans un secteur résidentiel et
institutionnel et le zonage du terrain est institutionnel.
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3. Méthodologie des travaux de caractérisation environnementale
Les travaux d'investigation visant à caractériser les sols aux emplacements identifiés comme présentant
un risque de contamination potentielle des sols ont été effectués sur le terrain et en laboratoire.
Ils se sont déroulés entre le 1 er et le 6 février 2012 suivant le programme préalablement établi dans l’offre
de service présentée le 27 janvier 2012 à M. François Proulx agissant comme représentant de notre
firme.
3.1 Localisation des infrastructures souterraines
La vérification, auprès des autorités et/ou firmes privées compétentes, de la position des services publics
souterrains (égouts, aqueduc, gaz, électricité, téléphone, etc.) a été effectuée par nos services.
3.2 Stratégie d’échantillonnage et localisation des sondages
L’approche ciblée a ponctuellement été utilisée pour caractériser les sols à proximité d’un réservoir
emmuré situé dans la partie sud-ouest du sous-sol du bâtiment. Les travaux ont donc consisté à la
réalisation d'un forage de 4,27 mètres de profondeur qui a été localisé à l’extérieur vis-à-vis d’un réservoir
emmuré au sous-sol du bâtiment.
De plus, l’approche systématique avec des maillages égaux ou inférieurs à 350 mètres carrés a été
utilisée étant donné qu’aucune zone susceptible d’être contaminée autre que les remblais hétérogènes et
l’horizon de matières résiduelles n’était suspectée.
Des tubes d’observation ont été installés dans trois forages répartis uniformément sur le terrain à l’étude
afin de permettre la mesure du niveau de l’eau souterraine.
Toutes les élévations mentionnées dans le présent rapport sont géodésiques.
La position approximative des forages implantés dans le cadre du présent mandat est montrée sur le plan
de localisation inclus à l’annexe A du rapport.
3.3 Sondages
Les forages, identifiés F-01 à F-09, ont été exécutés par l’équipe de Fora-Sol inc à l’aide d’une foreuse
sur chenille de marque Sedi-drill. Les forages F-10 à F-12 ont été exécutés par Prélev-Sol inc. à l’aide
d’une Geomachine, puisque certaines zones des travaux trop exigües ne permettaient pas le passage
d’une foreuse conventionnelle. L'ensemble de ces forages ont atteint une profondeur variant entre 1,8 et
4,3 mètres sous la surface du terrain actuel. Des cuillères fendues de 76 millimètres de diamètre
(calibre H) ont été utilisées sur les premiers 61 centimètres afin de permettre une meilleure identification
des matériaux granulaires en place. Toutefois, son utilisation n’a pas pu être effective sur tous les forages
compte tenu du sol gelé sur les premiers 60 centimètres d’épaisseur environ. Ensuite, des cuillères
fendues standards de 51 millimètres de diamètre (calibre B) ont été utilisées pour prélever les remblais
de surface et le dépôt naturel. Les résidus de tarière ont été utilisés pour le remplissage des trous de
forage.
Tous les travaux de terrain ont été réalisés sous la supervision constante d'un technicien de notre firme.
Les rapports de forage, inclus à l'annexe B, présentent tous les renseignements recueillis sur le terrain.
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3.4 Installation des tubes d’observation
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Trois tubes d’observation ont été installés dans les trous des forages F-2, F-5 et F-8 afin de connaître le
niveau de l’eau souterraine en vue de son éventuelle gestion lors des futurs travaux d’excavation.
Les niveaux d’eau et la date de la prise des mesures sont indiqués dans les rapports des forages joints à
l’annexe B.
3.5 Procédure d’échantillonnage
Afin d'éviter toute contamination croisée, les outils appelés à être en contact avec les échantillons de sols
ont été soigneusement nettoyés avant chaque prélèvement à l’eau savonneuse et à l’aide d’une brosse
pour être ensuite successivement rincés à l'acide nitrique (HNO3) à 10 %, à l’eau distillée, à l’acétone et à
l’hexane puis de nouveau à l’acétone et à l’eau distillée afin de déloger toute matière susceptible d’être
source de contamination. Les eaux et les produits de lavage ont été récupérés dans des contenants
étanches et acheminés à nos bureaux où ils ont été entreposés temporairement dans des barils de
205 litres avant d’être récupérés par une entreprise spécialisée dans la récupération et le traitement des
matières dangereuses.
Les échantillons de sols ainsi prélevés ont été conservés au frais dans des récipients neufs et étanches
fournis par le laboratoire d’analyses, le tout gardé dans une glacière portative contenant de la glace.
Chaque échantillon était clairement identifié (date de l’échantillonnage, numéro d’échantillon, initiales du
technicien, numéro de projet, etc.).
Ces procédures sont conformes à celles recommandées dans les guides d’échantillonnage à des fins
d’analyses environnementales et de caractérisation des terrains du MDDEP.
3.6 Examen visuel et lecture de composés organiques volatils (COV)
Suivant les travaux de chantier, tous les échantillons prélevés ont été acheminés à notre laboratoire où ils
ont fait l’objet d’un examen visuel.
Subséquemment, tous les échantillons ont été soumis à un photo-ionisateur de type Photovac 2020
Pro Plus (détecteur portatif par photo-ionisation) afin d’y mesurer des concentrations en composés
organiques volatils (COV). Ces lectures de COV sont utilisées comme outil de sélection afin d’évaluer les
échantillons qui sont potentiellement contaminés. Il est à noter que les concentrations de volatils ne sont
pas toujours en corrélation avec les résultats analytiques des sols.
Les échantillons de sols ayant indiqué les concentrations de COV les plus élevées ont été sélectionnés
pour fins d’analyses chimiques en laboratoire.
3.7 Programme analytique
Toutes les analyses ont été effectuées par le laboratoire Maxxam Analytique inc. Maxxam est accrédité
par le MDDEP pour les paramètres analysés et utilise de nombreux protocoles internes de contrôle
qualité/assurance qualité (CQ/AQ) qui incluent l’analyse de duplicata de laboratoire (DL) pour les
échantillons de sols et d’eau souterraine.
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Les paramètres de dépistage de base que sont les hydrocarbures pétroliers C10 à C50, les hydrocarbures
aromatiques polycycliques (HAP) et les métaux, ont été utilisés pour vérifier la qualité environnementale
des matériaux de remblai d’origine inconnue. Ces paramètres sont ceux les plus fréquemment rencontrés
selon le Bilan sur la gestion des terrains contaminés du MDDEP (Hébert, 2006).
Conformément aux lignes directrices formulées à la section 4.2 (tableau 3) du Guide de caractérisation
des terrains publié par le MDDEP, les paramètres d’analyses chimiques ont également été sélectionnés
en fonction du type de produits pétroliers, soit :
• pour le diesel/mazout domestique (huile à chauffage) : les hydrocarbures pétroliers C10 à C50, les
hydrocarbures aromatiques monocycliques (HAM) et les hydrocarbures aromatiques polycycliques
(HAP).
Pour un échantillon de remblai identifié comme une matière résiduelle, l’analyse du lixiviat de cet
échantillon pour les paramètres du règlement sur les matières dangereuses a aussi été réalisée.
Les échantillons sélectionnés ont été transmis à Maxxam où le programme d’analyses chimiques suivant
a été réalisé :
Tableau 3-1 : Programme d’analyses chimiques
Paramètres*
Hydrocarbures pétroliers
C10 à C50
Sols
Nombre
Duplicata
de chantier
(sol)
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Total
20 2 22
13 métaux 20 2 22
Lixiviat (Règlement sur les matières
dangereuses)
Hydrocarbures aromatiques
polycycliques (HAP)
Hydrocarbures aromatiques
monocycliques (HAM)
1 0 1
20 2 22
1 0 1
Soufre total 1 0 1
* Pour les méthodes analytiques, voir les certificats d’analyses à l’annexe E
Chacun des envois au laboratoire d’analyses était accompagné d’un bordereau de transmission sur
lequel figuraient la liste des échantillons envoyés et l’identification des analyses requises.
Les certificats d'analyses chimiques délivrés par le laboratoire sont inclus à l'annexe E du présent
rapport.

3.8 Programme d’assurance qualité
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Afin de vérifier la reproductibilité des travaux d’échantillonnage, des mesures de contrôle de la qualité ont
été mises en œuvre sur 10 pour cent des échantillons analysés. Deux échantillons ont été prélevés en
double (duplicata de chantier) et identifiés par des numéros fictifs pour être analysés avec les autres
échantillons à l’insu du laboratoire sous-traitant. Dans le cas des sols, les échantillons ont d’abord été
composés et homogénéisés puis divisés en deux contenants pour constituer l’échantillon original et le
duplicata.
Tableau 3-2 : Duplicata de chantier et de laboratoire
Échantillon
original
F1-CF2
F7-CF4
Duplicata
associé
Dup 4
(DC)
Dup 3
(DC)
Date de
l’échantillonnage
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Paramètres Matrice
1 er février 2012 HP C10 à C50, métaux et HAP Sol
2 février 2012 HP C10 à C50, métaux et HAP Sol
F5-CF3 (DL) 1 er février 2012 Métaux Sol
F8-CF1A (DL) 2 février 2012 Métaux MR
F11-CF2B (DL) 6 février 2012 HP C10 à C50 et HAP Sol
F12-CF2 (DL) 6 février 2012 HP C10 à C50 et HAP Sol
DL : Duplicata de laboratoire / DC : Duplicata de chantier / MR : Matière résiduelle
La validité et la reproductibilité des résultats ont été vérifiées à partir du calcul du pourcentage de
différence relative (PDR) entre l’échantillon original et son duplicata déterminé à partir de la formule
suivante :
PDR =
( échantillon
− duplicata)
×
( échantillon
+ duplicata)
2
Selon les recommandations du MDDEP (2008), le pourcentage de différence relative visé entre
l’échantillon original et le duplicata doit être inférieur à 30 %. Dans le cas où la différence avec les
résultats obtenus sur l’échantillon original est inférieure à cinq fois la limite de détection rapportée (LDR),
le PDR n’a pas à être calculé en raison des écarts importants au niveau des concentrations avoisinant la
LDR.
En plus de cette mesure de contrôle de la qualité, le laboratoire sous-traitant a appliqué ses propres
mesures de contrôle de la qualité requises par son accréditation.
Les résultats de ces mesures de contrôle de la qualité sont discutés à la section 5.3 du présent rapport.
Les résultats des contrôles internes du laboratoire sous-traitant sont détaillés sur les certificats d'analyses
chimiques délivrés inclus à l'annexe E du présent rapport.
100

3.9 Essais laboratoire
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Suivant la sélection des échantillons des sols aux fins d’analyses chimiques, d’autres échantillons ont été
sélectionnés pour préciser la description physique et certaines caractéristiques géotechniques des sols
en place. Le programme d’essais de laboratoire suivant a donc été réalisé :
Tableau 3-3 : Programme d’essais de laboratoire
Essais Norme Nombre
Analyse granulométrique par tamisage LC 21-040 10
Analyse granulométrique par tamisage et
sédimentométrie
LC 21-040 et
NQ 2501-10
Conductivité hydraulique -- 2
Teneur en eau LC 22-201 12
Les courbes granulométriques obtenues sont présentées sur les rapports d’essais inclus à l'annexe C du
présent rapport.
3.10 Conductivité hydraulique
Aucun essai de perméabilité n’a été réalisé, toutefois, une conductivité hydraulique des sols a été
calculée suite aux analyses granulométriques par sédimentométrie réalisées. Cette conductivité
hydraulique a été calculée selon la formule mathématique de Hazen, tirée du Foundation Engineering.
Les résultats sont présentés dans les rapports d’essais de laboratoire joints à l’annexe C du présent
rapport.
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2

4. Résultats des travaux de caractérisation
4.1 Stratigraphie des sols
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Les sondages ont permis d'établir, à leur emplacement, la stratigraphie suivante.
4.1.1 Remblais
Dans le stationnement :
Sous une couche de revêtement bitumineux de 80 millimètres d’épaisseur, une couche de sable brun,
avec des traces de silt et de gravier a été retrouvée sur une épaisseur variant entre 0,10 et 0,51 mètre.
Dans la cour d’école :
Directement sous une couche de revêtement bitumineux d’une épaisseur variant entre 50 et
150 millimètres, une couche de matières résiduelles composée généralement de sable noir, de mâchefer,
de scories, de béton de ciment et de brique a été retrouvée sur des épaisseurs variant entre 100 et
510 millimètres sous la surface du terrain actuel, dans cinq des huit forages exécutés dans la cour
d’école (F-4, F-5, F-7, F-8 et F-12). Toutefois, dans le forage F-12, la couche de matière résiduelle était
uniquement composée de mortier et de briques rouges. Dans les sondages F-3 et F-6, sous la couche de
revêtement bitumineux, une couche de pierre concassée d’une épaisseur de 150 millimètres a été
identifiée. Localement, au droit du forage F-9, une couche de remblai composée d’un silt sableux brun
avec un peu d’argile et des traces de gravier était présente.
Sous les couches de pierre concassée ou de matières résiduelles, un remblai composé de silt brun à
brun-gris avec des proportions variables en sable (un peu de sable à sableux), avec des traces à un peu
d’argile et des traces de gravier a été retrouvé. Localement, au droit des forages F-7 et F-12, un silt et
sable avec des traces d’argile et de gravier était retrouvé. La présence de 5 à 10% de débris (briques, de
béton de ciment et parfois de mâchefer) a été identifiée dans ces dernières couches de remblai, à
l’exception du forage F-6.
Dans la portion gazonnée :
Sous une couche de terre végétale de surface d’une épaisseur variant entre 300 et 510 millimètres, une
couche de matières résiduelles composée de sable noir, de briques, de mâchefer, de mortier et de
scories a été identifiée sur 180 millimètres d’épaisseur. Sous la couche de matières résiduelles, un
remblai composé de silt sableux brun-gris ou brun à brun-vert avec des traces à un peu d’argile et des
traces de gravier était présent.
Les résultats d’analyses granulométriques par tamisage et par sédimentométrie effectuées sur des
échantillons prélevés dans le remblai sont présentés dans les tableaux suivants :
Tableau 4-1 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage
Échantillon Matrice
Profondeur
(mètres)
Proportion des constituants (%)
Cailloux Gravier Sable < 80 µm
F2-CF3 Remblai 1,22 à 1,83 0 4 29,4 66,6
F5-CF2 Remblai 0,61 à 1,22 0 8 36,6 55,4
F7-CF1B Remblai 0,25 à 0,61 0 11 33,6 55,4
F9-CF1 Remblai 0,15 à 0,61 0 4 22,4 73,6
F12-CF3 Remblai 1,22 à 1,83 0 2 37,2 60,8
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Tableau 4-2 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage et sédimentométrie
Échantillon Matrice
Profondeur
(mètres)
Proportions des constituants (%)
Gravier Sable Silt Argile
F1-CF3 Remblai 1,22 à 1,83 11,0 24,1 50,8 14,1
4.1.2 Dépôt naturel
Sous les remblais, le dépôt naturel a été identifié au droit de tous les forages. Il se décrivait tout d’abord
comme un silt sableux avec des traces d’argile et de gravier, puis avec la profondeur, le dépôt naturel se
décrivait comme un silt avec des proportions variables en argile (traces à un peu d’argile) et en sable
(traces à un peu de sable), avec des traces et de gravier.
La couleur du dépôt naturel passait du brun à brun-gris au gris vers 2,4 mètres de profondeur.
Selon les indices N de l’essai de pénétration standard, la compacité du dépôt naturel a été qualifiée de
lâche à très dense.
La description détaillée des sols et du socle rocheux est présentée dans les rapports de forage fournis à
l’annexe B.
Les résultats d’analyses granulométriques par tamisage et par sédimentométrie effectuées sur des
échantillons prélevés dans le dépôt naturel sont présentés dans les tableaux suivants :
Tableau 4-3 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage
Échantillon Matrice
Profondeur
(mètres)
Proportion des constituants (%)
Cailloux Gravier Sable < 80 µm
F2-CF6 Dépôt naturel 3,05 à 3,66 0 2 2,1 95,9
F4-CF4 Dépôt naturel 1,83 à 2,44 0 7 27,7 65,3
F5-CF5 Dépôt naturel 2,44 à 3,05 0 3 30,8 66,2
Tableau 4-4 : Résultats d’analyses granulométriques par tamisage et sédimentométrie
Échantillon Matrice
Profondeur
(mètres)
Proportions des constituants (%)
Gravier Sable Silt Argile
F8-CF7 Dépôt naturel 3,66 à 4,27 3,0 9,6 68,4 19,0
4.1.3 Socle rocheux
Le socle rocheux n’a pas été rencontré lors de la réalisation des forages. Ces derniers ont tous été
interrompus entre 1,8 et 4,3 mètres de profondeur sans atteindre le socle rocheux
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4.2 Caractéristiques hydrogéologiques
4.2.1 Drainage de surface
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Sur le site à l’étude, le drainage de surface s’effectue principalement par ruissellement et/ou infiltration
sur le couvert végétal dans la portion de l’aire gazonnée ou par ruissellement vers les égouts pluviaux
présents dans la cour d’école ou dans la ruelle bordant le stationnement ou vers les égouts municipaux
situés le long de la rue de Verdun ou de l’avenue Desmarchais.
4.2.2 Niveau d’eau souterraine
Le niveau d’eau a été mesuré dans les tubes d’observation localisés au droit des forages F-2, F-5 et F-8,
après un délai de stabilisation de plus de 10 jours.
À ce moment, le niveau de l'eau souterraine se situait à une profondeur variant entre 2,1 et 2,5 mètres
sous la surface du sol.
4.2.3 Conductivité hydraulique
La conductivité hydraulique a été estimée selon la formule de Hazen tirée du Foundation Engineering.
Les résultats sont présentés dans le tableau suivant :
Tableau 4-5 : Calculs de conductivité hydraulique
Forage Nature des sols au niveau de l’essai Coefficient de perméabilité (K)
F1-CF3 Silt sableux, un peu d’argile et de gravier [1,4 x 10-4 cm/s]
F2-CF7
Silt, un peu d’argile, traces de sable et de
gravier
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[6,4 x 10-5 cm/s ]

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5. Interprétation des résultats des analyses chimiques
Les résultats des analyses chimiques ont été interprétés en fonction des critères génériques d’usage
établis dans la Politique de protection des sols et de réhabilitation des terrains contaminés et le
Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains (RPRT) 1 .
5.1 Sols
5.1.1 Sélection des critères
Pour les sols, la Politique et le RPRT prévoient trois niveaux de critères génériques pour plusieurs
paramètres et ces niveaux (A, B, C) peuvent être résumés comme suit :
Niveau A : Teneurs de fond pour les paramètres inorganiques et limite de quantification
pour les paramètres organiques.
Niveau B : Limite maximale acceptable pour un terrain à vocation résidentielle, récréative et
institutionnelle. Sont également inclus les terrains à vocation commerciale dans
un secteur résidentiel; ces valeurs correspondent à celles de l’annexe I du
RPRT.
Niveau C : Limite maximale acceptable pour des terrains à vocation commerciale, non
situés dans un secteur résidentiel, et pour des terrains à usage industriel ainsi
que certains usages récréatifs non sensibles; ces valeurs correspondent à celles
de l’annexe II du RPRT.
Ces critères génériques servent également à déterminer la façon dont les sols contaminés doivent être
gérés et éliminés, lors de la réalisation de travaux d’excavation, en fonction des lignes directrices émises
dans la Grille de gestion des sols contaminés excavés intérimaire tirée de la Politique citée
précédemment. Par ailleurs, des concentrations maximales ont été établies dans le Règlement sur
l’enfouissement des sols contaminés (RESC) à partir desquelles l’enfouissement est prohibé, ce qui
implique que les sols contaminés à ce niveau doivent être traités à un niveau acceptable avant d’être
enfouis.
Compte tenu de la vocation institutionnelle du site et du secteur à l’étude, le critère B doit être considéré
comme étant le seuil effectif de contamination.
5.1.2 Interprétation des résultats
Interprétés en fonction des critères génériques décrits ci-dessus, les résultats des analyses chimiques
montrent que :
• Les concentrations mesurées en hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) sont généralement
inférieures aux différents critères A, à l'exception d'un échantillon prélevé en surface du terrain actuel
au droit du forage F-10 qui présente des concentrations de niveau B-C et de quatre échantillons
prélevés dans le remblai au droit des forages F-1, F-5 et F-8, qui présentent des concentrations de
niveau A-B.
1 Le Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains [Q-2, r.18.1.01] (RPRT), lorsque applicable, adopte les critères B et
C de la Politique comme valeurs limites réglementaires (annexes I et II du règlement), bien qu’il n’y réfère pas sous ce vocable.
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• Les concentrations mesurées en hydrocarbures pétroliers C10 à C50 sont généralement de niveau
inférieur au critère A ou inférieur à la limite de détection analytique, à l'exception de deux échantillons
prélevés au droit des forages F-3 et F-8.
• Finalement, les concentrations mesurées en métaux sont toutes de niveau A-B ou inférieur aux
critères A, hormis le duplicata de chantier de l'échantillon F7-CF4 (DUP-3), pour le paramètre du
manganèse qui est de niveau B-C. Une répétition de l'analyse a toutefois été effectuée et la moyenne
des concentrations de manganèse à considérer serait alors de niveau A-B.
Une des concentrations mesurées n’est donc pas compatible avec l’usage de la propriété, soit au droit du
polygone F-10 entre 0,0 et 0,51 mètre de profondeur.
Les résultats des analyses effectuées sur les échantillons de sols prélevés au droit des forages F-1 à F-4
et F-6 à F-12 sont présentés au tableau C-1 de l’annexe C.
5.2 Matières résiduelles
Interprétés en fonction des critères génériques décrits ci-dessus et pour les paramètres sélectionnés, les
résultats des analyses chimiques effectués sur des échantillons de matières résiduelles montrent que :
• La concentration de niveau C-RESC mesurée pour le paramètre de l’arsenic et celle mesurée pour le
soufre total, dans les échantillons F5-CF1 et F11-CF2A, ne seront pas retenues aux fins de gestion
du fait que ces échantillons seront classifiés comme des matières résiduelles et non pas comme des
sols contaminés. Les résultats des analyses chimiques sur le lixiviat de cette matière résiduelle
permettront ainsi de la classifier comme matière résiduelle dangereuse ou non-dangereuse.
Un essai de lixiviation a été réalisé sur l’échantillon F5-CF1 et les concentrations mesurées ne
dépassaient pas les critères du Règlement sur les matières dangereuses (RMD). Ces résultats
permettent de classifier les remblais similaires composés de plus de 50% de débris (tels qu’identifiés au
droit des forages F-4, F-5, F-7, F-8 et F-12) comme une matière résiduelle non-dangereuse.
Les résultats des analyses effectuées sur les échantillons de matières résiduelles prélevés sont
présentés aux tableaux D-2 et D-3 de l’annexe D.
5.3 Analyse des résultats des mesures de contrôle de la qualité
Au niveau des mesures de contrôle de qualité, les résultats d’analyses chimiques des duplicata de
chantier DUP-4 et DUP-3, qui sont les duplicata des échantillons de sols originaux F1-CF2 et F7-CF4, ont
révélé des écarts de concentrations par rapports à leur échantillon d’origine.
Le duplicata DUP 4 de l’échantillon F1-CF2, a révélé des écarts variant entre 40 et 66% pour le
paramètre de l’étain pour les métaux et pour le paramètre des hydrocarbures pétroliers C10 à C50,
engendrant des plages de critères génériques différentes, soient inférieures à A ou AB. Toutefois, les
concentrations pour les paramètres des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) présentaient un
écart inférieur à 30 % entre elles et correspondaient aux mêmes plages de critères génériques, soit la
plage A-B. La plage A-B étant confirmée pour les paramètres des hydrocarbures pétroliers, aucune
reprise d’analyse n’a été effectuée.
Le duplicata DUP 3 de l’échantillon F7-CF4, a révélé des écarts de concentrations inférieurs à 30% pour
les paramètres des hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP) et celui pour les hydrocarbures
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pétroliers C10 à C50 était aussi inférieur à 30%. Toutefois, des écarts variant jusqu’à 85% ont été notés
pour les paramètres de l’arsenic, du cobalt, du manganèse et du plomb pour les métaux, engendrant un
changement de plages des critères génériques, soit de A-B à inférieure à A pour les paramètres de
l’arsenic, du cobalt et du plomb et de A-B à B-C pour le paramètre du manganèse. Une reprise d’analyse
a été effectuée sur le duplicata DUP 3 pour le paramètre du manganèse et le nouveau résultat présentait
également un écart supérieur à 30% par rapport au duplicata de chantier DUP-3 et par rapport à
l’échantillon original. De ce fait, une moyenne des trois résultats pour le paramètre du manganèse a été
effectuée et une concentration moyenne de niveau A-B a été considérée pour cet échantillon.
Brièvement, les résultats des duplicata de laboratoire réalisés sur les échantillons F5-CF-3, F8-CF1A,
F11-CF2B et F12-CF2 ont démontré que la variabilité des résultats était aussi acceptable pour
l’ensemble des paramètres analysés.
Toutes les limites de détection rapportées par le laboratoire sous-traitant sont inférieures aux critères et
normes applicables.
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6. Recommandations géotechniques sommaires
Les conclusions et recommandations formulées dans les paragraphes qui suivent sont basées sur
l'hypothèse de la représentativité des conditions géotechniques relevées au droit des forages implantés
dans le cadre du présent mandat. Ces recommandations reposent également sur les informations qui
nous ont été transmises au moment du début du présent mandat et dont il est fait état ci-après.
Les conditions rencontrées entre les forages peuvent éventuellement différer de celles observées à
l'emplacement des forages.
Les recommandations qui suivent sont d’ordre général et pourraient devoir être ajustées aux conditions
particulières rencontrées, le cas échéant.
6.1 Description du projet
Dans le cadre d’un projet de réfection de l’école Verdun, il est prévu de refaire les fondations granulaires
et le pavage des aires de circulation (incluant le stationnement et la cour d’école) et d’aménager des
aires de jeux (incluant terrains de soccer et une aire de jeux avec un revêtement caoutchouté). Les
travaux de réfection des aires de circulation du stationnement couvriront une superficie approximative de
284 mètres carrés et la nouvelle structure de chaussée aura 450 millimètres d’épaisseur. Les autres
surfaces pavées de la cour d’école ainsi que de l’aire de jeux avec le revêtement caoutchouté couvriront
une superficie approximative de 1 904 mètres carrés. Dans ces secteurs, l’épaisseur totale de la
fondation granulaire et du revêtement bitumineux ou caoutchouté sera de 300 millimètres. De plus,
l’aménagement d’une aire de jeux pour terrains de soccer est également prévu, couvrant une superficie
approximative de 434 mètres carrés. Les premiers 400 millimètres du remblai existant seront remplacés
par la nouvelle fondation du terrain de soccer, y compris son revêtement de gazon. Quant au réseau
pluvial existant, il sera en majorité conservé. Toutefois, l’entrée de service de l’aqueduc et celle de l’égout
sanitaire seront remplacées. Le radier de l’égout sanitaire existant serait situé à une profondeur d’environ
2,5 à 3,0 mètres sous la surface du terrain actuel.
6.2 Excavations et soutènement
D'après les résultats des forages, les excavations seront généralement réalisées dans des remblais de
pierre concassée et/ou de matières résiduelles et/ou dans des remblais hétérogènes silto-sableux. Les
excavations dans les remblais pourront donc être effectuées à l'aide d'engins conventionnels. Toutefois,
compte tenu que de minces couches de pierre concassée ou de matières résiduelles ont été observées, il
est recommandé d’utiliser un godet à lames sans dents afin de bien ségréger les couches de matières
résiduelles et/ou de pierre concassée de celle de remblai sous-jacente.
Le niveau de l’eau souterraine a été mesuré entre 2,1 et 2,5 mètres sous la surface du terrain actuel,
indiquant que la nappe phréatique sera vraisemblablement située au-dessous des profondeurs
d’excavation prévues pour la mise en place des nouvelles fondations granulaires, soit au-dessous des
fonds des excavations de surface. Toutefois, pour les travaux d’excavation de l’entrée de service
d’aqueduc et d’égout sanitaire il est probable qu’il y ait des infiltrations d'eau dans l’excavation.
De fait, toute infiltration d’eau lors des travaux d’excavation de même que toutes les eaux de précipitation
et de ruissellement devront être évacuées de façon à ce que le fond des excavations soit maintenu à sec,
sur une épaisseur suffisante pour permettre la réalisation des travaux. Avant de permettre leur rejet à
l’égout, la qualité environnementale des eaux pouvant s’être accumulées dans le fond des excavations
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devra être conforme aux normes du Règlement relatif aux rejets des eaux usées dans les réseaux
d'égout et les cours d'eau de la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM).
6.3 Pentes d’excavation
Compte tenu de la faible profondeur d’excavation prévue (entre 300 et 600 millimètres), aucune
recommandation n’est requise pour les pentes d’excavation. Cependant, si une excavation devait
excéder une profondeur d’un mètre comme pour le remplacement de l’entrée de service d’aqueduc et
d’égout sanitaire, des pentes latérales temporaires d'excavation n'excédant pas 2,0 verticalement pour
1,0 horizontalement (2,0 V : 1,0 H) pourront être adoptées dans le mort-terrain, sur approbation en
chantier d’un ingénieur géotechnicien.
Compte tenu qu’il s’agit d’excavations temporaires aux fins de construction, l’entrepreneur restera
entièrement responsable du choix des pentes et des mesures pour en assurer la stabilité. Dans la
situation où ces pentes d'excavation ne pourraient être respectées en raison d’un volume d'excavation
trop important ou de toute autre contrainte, un soutènement temporaire adapté aux conditions d'eau
souterraine et aux sols en place devra être envisagé.
Les pentes devront être conformes aux normes de la Commission de la santé et de la sécurité du travail
du Québec (CSST) afin de réaliser les travaux de façon sécuritaire pour les travailleurs. Devant tout signe
d'instabilité des parois, les pentes devront être immédiatement adoucies et/ou un soutènement
temporaire adapté aux conditions d'eau souterraine et aux sols en place devra être installé.
Les parois d'excavation devront être adéquatement protégées contre l'érosion à l'aide, par exemple, de
bâches. De plus, les déblais devront être placés à une distance du bord des excavations au moins égale
à la profondeur de celles-ci afin de ne pas surcharger le dessus des pentes.
6.4 Assise et enrobage des conduites
Les caractéristiques et les conditions de mise en place de l’assise et de l’enrobage des conduites
d’aqueduc et d’égout sanitaire font l’objet de critères normalisés. Le fond des tranchées d’excavation sera
généralement constitué de sols granulaires compacts à denses et localement très denses. Dans des
conditions sèches ou, dans le cas contraire, avec un contrôle adéquat des conditions d’eau souterraine,
aucune instabilité particulière des fonds des excavations n’est à craindre pour l’aire du stationnement, de
la cour d’école et des aires de jeux.
La mise en place de l’assise et de l’enrobage des conduites de même que les conditions d’excavation de
travaux de ce type font l’objet d’un devis normalisé intitulé « Travaux de construction – clauses
techniques générales – conduites d’eau potable et d’égouts » (NQ-1809-300/2004) qui est applicable aux
travaux d’infrastructures existantes.
Le dépôt naturel sur lequel l’assise des conduites sera mise en place devra être intact (non remanié),
stable et en tout temps protégé du gel et maintenu dans cet état jusqu’à la fin de la mise en place de
l’enrobage des conduites. Les sols remaniés, le cas échéant, devront être excavés et remplacés par un
matériau d’emprunt granulaire de type « classe B » géotechniquement et environnementalement
acceptable, adéquatement mis en place et densifié.
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6.5 Réutilisation des matériaux d’excavation
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Compte tenu que des fondations granulaires en pierre concassée ont été retrouvés au droit de deux
sondages uniquement, sur une faible épaisseur de 150 millimètres seulement et que, généralement, le
revêtement de béton bitumineux est directement sur la couche de matières résiduelles (mâchefer), il est
possible que cette pierre concassée soit vraisemblablement mélangée à la couche de matières
résiduelles (mâchefer) et il n’est donc pas recommandé de réutiliser ces matériaux pour le remblayage.
Advenant qu’une quantité suffisante de pierre concassée soit rencontrée au droit des polygones F-03 et
F-06, elle pourra être mise en réserve et réutilisée comme matériaux de remblayage ordinaire
(anciennement classe B), si elle est exempte de terre végétale, de matières organiques, de matières
résiduelles (débris) et de particules d'un diamètre supérieur à 300 millimètres, et si sa qualité
environnementale est confirmée en pile avant sa réutilisation.
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7. Estimation des volumes
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L’estimation préliminaire des volumes de sols contaminés et des matières résiduelles présents sur le site
à l’étude ou devant être gérés lors des travaux d’excavation projetés est basée sur l’ensemble des
résultats obtenus dans le cadre de la présente caractérisation environnementale. Les épaisseurs de sols
contaminés et de matières résiduelles ont été évaluées en fonction des observations recueillies lors des
sondages ainsi qu'à partir des résultats des analyses chimiques. Ces volumes pourraient donc varier en
fonction des conditions rencontrées ailleurs qu’à l’emplacement des sondages réalisés.
L’estimation des superficies affectées a été basée sur la méthode des mi-distances entre les sondages
de niveau de contamination différent. En présence de plusieurs contaminants dans une même couche, le
niveau de contamination le plus élevé parmi les paramètres analysés a été considéré.
Le premier tableau d’estimation présente les volumes de remblais de niveau A-B et de niveau B-C ainsi
que ceux des remblais inférieurs aux différents critères A jusqu’aux profondeurs visées par les travaux
d’excavation et/ou jusqu’aux profondeurs visées par les travaux de réhabilitation, le cas échéant.
Tableau 7-1 : Polygones d’intervention
Polygone Matrice Contaminant
de à
Superficie
Épaisseur affectée
(mètre 2 )
Volumes estimés (mètre 3 (mètre) (mètre)
)
A A-B B-C
F-01 R M, HAP 0,08 0,52 0,44 162 -- 71 --
F-02 R * 0,08 0,1 0,02 122 -- 2 --
F-02 R -- 0,1 0,52 0,42 122 51 -- --
F-03 PC * 0,05 0,2 0,15 151 -- 23 --
F-03 R HP, M 0,2 0,6 0,4 151 -- 60 --
F-04 R DB 0,3 0,52 0,22 329 72 -- --
F-06 PC M 0,15 0,3 0,15 322 -- 48 --
F-06 R M 0,3 0,6 0,3 322 -- 97 --
F-07 R DB 0,25 0,52 0,27 314 85 -- --
F-08 R 0,38 0,6 0,22 314 -- 69 --
F-09 R M 0,15 0,3 0,15 347 -- 52 --
F-09 R M 0,3 0,6 0,3 347 -- 104 --
F-10 TV M, HAP 0 0,51 0,51 200 -- 102
F-11 TV * 0 0,3 0,3 205 -- 62
F-11 R * 0,48 0,6 0,12 205 -- 25 --
Total : 208 551 164
TV = Terre végétale; R = remblai; PC = pierre concassée, * = niveau de contamination présumé, DB = débris.
À la lumière de ces résultats, au total, près de 164 mètres cubes de sols contaminés B-C, 551 mètres
cubes de sols contaminés A-B (incluant 71 mètres cubes de pierre concassée) et 208 mètres cubes de
sols de niveau inférieurs à A (incluant 157 mètres cubes comportant des débris) seraient présents au
droit des portions visées par les travaux de réaménagement sur le site à l’étude.
Ces volumes doivent être considérés à titre indicatif et pourraient varier par rapport aux quantités réelles
en place.
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Le second tableau suivant montre les données utilisées pour l’estimation des volumes de matières
résiduelles, c’est-à dire la couche de pavage qui peut être classifiée comme une matière résiduelle
recyclable ainsi que la couche de mâchefer, qui selon les analyses chimiques, peut être classifiée comme
une matière résiduelle non-dangereuse.
Tableau 7-2 : Polygones de matières résiduelles
Polygone
Classification
(type de
matières
résiduelles)
de
(mètre)
à
(mètre)
Épaisseur
(mètre)
Aire
tributaire
(mètre 2 )
F-01 BB 0,00 0,08 0,08 162 13
F-02 BB 0,00 0,08 0,08 122 10
F-03 BB 0,00 0,05 0,05 151 8
F-04 BB 0,00 0,15 0,15 329 49
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Pavage Matières
résiduelles
(mètre nondangereuses
3 )
F-04 MA 0,15 0,3 0,15 329 49
F-05 BB 0,00 0,13 0,13 326 42
F-05 MA 0,13 0,61 0,48 326 156
F-06 BB 0,00 0,15 0,15 322 48
F-07 BB 0,00 0,15 0,15 314 47
F-07 MA 0,15 0,25 0,10 314 31
F-08 BB 0,00 0,15 0,15 308 46
F-08 MA 0,15 0,38 0,23 308 71
F-09 BB 0,00 0,15 0,15 347 52
F-10 MA 0,51 0,69 0,18 200 36
F-11 MA 0,30 0,48 0,18 205 37
F-12 BB 0,00 0,1 0,10 233 23
F-12 MA 0,10 0,61 0,51 233 119
BB = Béton bitumineux; MA = Mâchefer.
Total : 338 499
À la lumière de ces résultats, au total, près de 499 mètres cubes de matières résiduelles non
dangereuses (mâchefer) et près de 338 mètres cubes de matières résiduelles recyclables (béton
bitumineux) seraient présents au droit des portions visées par les travaux de réaménagement sur le site à
l’étude.
Ces volumes doivent être considérés à titre indicatif et pourraient varier par rapport aux quantités réelles
en place.
Les polygones et les profondeurs d’intervention de sols contaminés et de matières résiduelles sont
montrés au plan de localisation inclus à l’annexe A du présent rapport.

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8. Gestion environnementale des sols contaminés et des matières
résiduelles
Des volumes approximatifs de 164 mètres cubes de remblais de niveau B-C, 551 mètres cubes de
remblais de niveau A-B, de 208 mètres cubes de remblais inférieurs aux différents critères A, de
499 mètres cubes de matières résiduelles non dangereuses et de 338 mètres cubes de matières
résiduelles recyclables (béton bitumineux) devront être gérés lors des travaux d’excavation pour la mise
en place des nouvelles fondations granulaires et des nouveaux revêtements (bitumineux, caoutchouté et
de gazon).
Sur ces bases, une gestion environnementale des remblais et matières résiduelles excavés devra être
considérée lors des travaux d’excavation pour les nouveaux aménagements. Nous recommandons
également qu’une surveillance des travaux de gestion environnementale soit effectuée durant les travaux
d’excavation, surtout pour la ségrégation de la couche de matières résiduelles non dangereuses
(mâchefer).
Les surplus de remblais de niveau B-C, A-B et les différentes matières résiduelles devront être éliminés
dans des sites d’élimination autorisés par le MDDEP. S’ils ne contiennent pas de débris, les matériaux
d’excavation dont les concentrations sont inférieures aux différents critères A pourront être éliminés
hors-site sans contraintes environnementales particulières. Dans le cas contraire, ils devront être éliminés
dans un site d’élimination autorisé. Toute autre manipulation devra être réalisée sous réserve de
l’application des dispositions de l’article 4 du Règlement sur le stockage et les centres de transfert de sols
contaminés (RSCTSC).
Les conditions de terrain entre les forages sont toutefois susceptibles de varier et la présence de sols
contaminés ailleurs qu’à l’emplacement des forages ne peut être écartée. Par conséquent, dans le cadre
de la surveillance des travaux d’excavation, une attention particulière devra être portée à la présence
d’autres indices organoleptiques de contamination. Dans la situation où des sols présentant des indices
de contamination seraient découverts dans le cadre des travaux d’excavation, ceux-ci devront être mis en
réserve pour être caractérisés avant leur disposition hors site.
Dans l’éventualité où des sols contaminés devaient être temporairement mis en piles dans le cadre des
travaux d’excavation, des membranes de polyéthylène devront être prévues sous et sur les piles pour
éviter la lixiviation des contaminants potentiels suite au ruissellement ou à la percolation des eaux de
pluie. Les résultats de caractérisation permettront de gérer ou d’éliminer ces matériaux conformément à
la Grille de gestion des sols contaminés excavés intérimaire tirée de la Politique de protection des sols et
de réhabilitation des terrains contaminés et aux règlements cités précédemment (RESC – RSCTSC).
La gestion environnementale des sols contaminés et des matières résiduelles associés à chacun de
polygones d’intervention est également montrée sur le plan de l’annexe A du présent rapport.
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9. Conclusions et recommandations environnementales
9.1 Limitations du mandat
Les conclusions et recommandations formulées dans les paragraphes qui suivent sont basées sur les
observations faites sur les lieux lors des travaux, sur les éléments qui étaient visibles ou détectables à ce
moment de même que sur les diverses informations disponibles ou colligées dans le cadre de cette
investigation.
Nos conclusions et recommandations reposent également sur l'hypothèse de la représentativité, au
périmètre du bâtiment, des conditions relevées au droit des sondages implantés dans le cadre du présent
mandat et des résultats des analyses chimiques. Les conditions ailleurs qu’à l’emplacement des
sondages peuvent varier.
Les conditions dont il est fait état dans le présent rapport peuvent toutefois être modifiées suite aux
activités ou aux opérations courantes sur le site à l'étude ou sur les terrains avoisinants. Dans une telle
situation, les conclusions et recommandations présentées ci-après pourraient en être affectées.
Par ailleurs, ces conclusions et recommandations sont également basées sur les différentes lois et
politiques ainsi que les règlements environnementaux qui étaient en vigueur au moment de la rédaction
du présent rapport. Toute modification apportée à ces lois, règlements ou politiques de même que tout
changement de vocation du site à l’étude sont susceptibles de les affecter. Le présent rapport ne peut, en
aucun cas, être considéré comme étant un avis juridique ni comme une évaluation environnementale de
site.
9.2 Résultats de l’étude de caractérisation des sols
Les travaux ci-dessus présentés, effectués sur le terrain et en laboratoire, ont consisté en la réalisation
de 12 forages et avaient comme objectifs de caractériser les remblais existants et de faire une première
évaluation des volumes de remblais devant être excavés en fonction de leur niveau de contamination ou
de leur classification.
En résumé, les résultats de la présente caractérisation environnementale ont révélé que :
Directement sous le revêtement de béton bitumineux, une couche de matières résiduelles d’une
épaisseur variant entre 0,10 à 0,54 mètre a été identifiée dans 6 des 12 forages réalisés, ce qui
représente un volume de 499 mètres cubes.
Outre cette couche de matières résiduelles non dangereuses identifiée sur la majeure partie du périmètre
du bâtiment et la couche de terre végétale en surface de niveau B-C, au droit des polygones F-10 et F-11
dans l’entrée du bâtiment, la qualité environnementale de l’ensemble des échantillons de sols provenant
des 10 autres forages n’excède pas le niveau B des critères génériques de la Politique de protection des
sols et de réhabilitation des terrains contaminés du MDDEP et les valeurs limites établies de l’annexe I
du Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains (RPRT).
Au total, des volumes approximatifs de 499 mètres cubes de matières résiduelles non dangereuses, de
338 mètres cubes de matières résiduelles recyclables (béton bitumineux), de 164 mètres cubes de sols
contaminés B-C, de 551 mètres cubes de remblais de niveau A-B et de 208 mètres cubes de remblais
pouvant contenir des débris de niveau inférieurs aux critères A seront générés comme surplus lors des
travaux d’excavation. Tous ces matériaux d’excavation devront donc être transportés hors-site dans des
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lieux autorisés, conformément au Règlement sur le stockage et les centres de transfert de sols
contaminés (RSCTSC) et à la Grille de gestion des sols contaminés excavés intérimaire tirée de la
Politique de protection des sols et de réhabilitation des terrains contaminés.
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10. Glossaire
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Amélioration à la norme (CSA Z768-01) : Parmi les améliorations possibles à une EES phase I,
mentionnons les suivantes : a) conclusions plus détaillées que celles exigées à l’article 9.7 de la
norme CSA Z768-01; b) évaluations des risques; c) mesures pouvant être prises pour confirmer,
réfuter ou délimiter la pollution (exemple : levé géophysique, etc.).
Client : Désigne, notamment mais sans limitation, un particulier, une société de personnes, une société
par actions ou toute autorité publique fédérale, provinciale, municipale, qui nous mandate pour
l’EES phase I.
Description écologique : Milieux critiques ou sensibles (marécages ou habitats prioritaires pour la
faune), espèces en voie de disparition ou vulnérables sur le terrain, ressources importantes ou
sensibles pour la diversité biologique dans le terrain et à ses limites.
Évaluation environnementale de site (EES) phase I / Caractérisation préliminaire phase I:
Processus systématique, décrit respectivement dans la norme CSA Z768-01 et le Guide de
caractérisation des terrains (MDDEP), selon lequel l’évaluateur(trice) environnemental(e) s’efforce
de déterminer si un terrain à l’étude est déjà affecté par une contamination ou s’il est exposé à des
risques de contamination et ce, à partir d’une revue de l’information existante, d’une visite des lieux
et d’une ou des entrevues afin d’établir l’historique du terrain et des activités qui y ont eu lieu.
L’EES phase I ne comprend pas de processus d’échantillonnage, d’analyse et de mesurage, sauf
dans les cas où le client ou l’évaluateur (trice) environnemental(e) convient d’améliorations (voir
section 1.4). Dans le cas où la présence d’une contamination est soupçonnée la phase II doit alors
être amorcée.
Évaluation environnementale de site (EES) phase II / Caractérisation préliminaire phase II :
Processus systématique, décrit respectivement dans la norme CSA Z769 et le Guide de
caractérisation des terrains (MDDEP), dont l’objectif est de confirmer la présence ou l’absence de
contaminant, alors que l’évaluateur(trice) environnemental(e) s’efforce de caractériser ou de
délimiter à l’aide de sondages et d’analyses d’échantillons, les concentrations ou les quantités de
substances problématiques reliées à un site et de comparer ces niveaux aux critères et normes en
vigueur.
GERLED : Depuis 1983, le MDDEP se préoccupe activement de la problématique des terrains
contaminés sur le territoire québécois.Le programme GERLED (Groupe d’étude et de restauration
des lieux d’élimination de déchets), mis sur pied à cette époque, a permis au Ministère de réaliser
un inventaire exhaustif des dépôts de résidus industriels au Québec.
Matières dangereuses : Matière qui pourrait dans certaines conditions d’exposition, présenter des
risques reconnaissables pour la santé humaine ou le milieu naturel. Les critères relatifs aux
matières dangereuses sont établis en fonction des exigences règlementaires appropriées.
MDDEP : Le ministère de l'Environnement ayant connu diverses dénominations par le passé, l’acronyme
MDDEP a été utilisé dans le présent rapport pour désigner l'actuel ministère du Développement
durable, de l'Environnement et des Parcs et ses désignations antérieures (MENVIQ, MEF et
MENV).
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LBPG-00051297-00-31-50
Portée des travaux : Celle-ci inclut le client pour qui l’EES phase I est réalisée, le site en cause, les
objectifs de l’étude, la méthodologie employée, et toute amélioration s’il y a lieu.
Site : Sous-ensemble ou combinaison de terrains, tel que défini par la portée des travaux. Les termes
« site », « terrain » et « propriété » sont synonymes dans ce rapport.
Terrain adjacent : Terrains limitrophes ou voisins du terrain faisant l’objet de l’évaluation.
SIH : Le Système d’information hydrogéologique est un outil de recherche sur le site Web du MDDEP,
pour informer sur les puits et forages qui ont été réalisés sur le territoire québécois depuis l'entrée
en vigueur du Règlement sur les eaux souterraines en 1967. On y trouve, par exemple, la
description lithologique au droit du forage, la profondeur du puits, la méthode de forage qui a été
employée et le matériau du tubage.L’information hydrogéologique qui est rendue disponible par le
Système d’information hydrogéologique (SIH) provient, en grande partie, de rapports de forages
réalisés par les puisatiers pour des ouvrages de captage desservant des résidences privées en
eau potable. Le SIH n’offre pas un inventaire exhaustif de tous les ouvrages de captage existants
au Québec, il contient seulement l’information sur des puits profonds (ou tubulaires) réalisés sur le
territoire du Québec depuis 1967. De plus, un certain nombre de puits profonds forés depuis 1967
n’y figure pas. Enfin, les puits de surface tout comme les captages de sources n’y sont pas
répertoriés. Le SIH est donc incomplet.
X:\Projets\LBPG\00051297\003150\Réalisation du mandat\G-Rapports\RAP-MTL213503.doc

Annexe A –
Plan de localisation régional (L01)
Plan de localisation des sondages (L02)
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LBPG-00051297-00-31-50
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Annexe B –
Rapports de forage
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École Verdun, 610, avenue Desmarchais, Montréal (Québec)
LBPG-00051297-00-31-50
x:\projets\lbpg\00051297\003150\réalisation du mandat\g-rapports\rap-mtl213503.doc

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,42
0,00
16,34
0,08
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
15,20
1,22
14,59
1,83
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
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DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Sable brun, traces de silt et
de gravier.
Remblai : Silt sableux brun, un peu
d'argile et de gravier.
Fin du forage à 1,8 mètre de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034939,70
EST : 299074,00
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
CF:
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
ET:
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
33
4
79
11
4
23
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC, Dup 4
AG, Séd
w = 19,3%
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-1
2012-02-01
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,49
0,00
16,41
0,08
16,39
0,10
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
14,66
1,83
13,44
3,05
12,22
4,27
LBPG-00051297-003150
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DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Sable brun, traces de silt et
de gravier.
Remblai : Silt sableux brun, un peu
d'argile, traces de gravier.
Terrain naturel : Silt sableux gris, un
peu d'argile, traces de gravier.
Compacité moyenne.
Silt gris, un peu d'argile, traces de
sable et de gravier. Saturé.
Compacité moyenne.
Fin du forage à 4,3 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m): 2,13
DATE: 2012-02-16
NORD :
5034916,20
EST : 299072,60
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CF-7
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
62
42
88
63
83
71
92
14
6
26
18
17
13
16
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC, AG
w = 15,0%
AG
w = 18,7%
AC
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-2
2012-02-01
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,82
0,00
16,77
0,05
16,62
0,20
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
14,99
1,83
13,77
3,05
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Pierre concassée. Présence
de moins de 5% de débris (brique).
Remblai : Silt brun à brun-gris, un peu
de sable, traces d'argile et de gravier.
Présence de matières organiques
entre 0,6 et 1,2 mètre de profondeur
et de 5-10% de débris (brique, béton
de ciment) entre 0,2 et 1,2 mètre de
profondeur.
Terrain naturel : Silt gris, un peu
d'argile, traces de sable et de gravier.
Compacité dense.
Fin du forage à 3,1 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034897,80
EST : 299079,40
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
54
42
71
75
58
18
5
15
36
33
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-3
2012-02-01
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,97
0,00
16,82
0,15
16,66
0,30
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
15,14
1,83
14,53
2,44
13,31
3,66
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Matières résiduelles (sable
noir, mâchefer, scories).
Remblai : Silt sableux brun, un peu
d'argile, traces de gravier. Présence
de moins de 5% de débris (brique)
entre 0,6 et 1,2 mètre de profondeur.
Terrain naturel : Silt sableux brun, un
peu d'argile, traces de gravier.
Compacité moyenne.
Silt gris, un peu d'argile, traces de
sable et de gravier. Compacité
moyenne.
Fin du forage à 3,7 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034900,50
EST : 299096,10
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
61
50
50
100
63
75
13
10
11
22
24
17
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC
AG
w = 13,5%
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-4
2012-02-01
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
17,09
0,00
16,96
0,13
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
16,48
0,61
15,26
1,83
14,04
3,05
13,43
3,66
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Matières résiduelles (sable
noir, brique, mâchefer).
Remblai : Silt et sable brun à
brun-noir, traces d'argile et de gravier.
Présence de moins de 5% de débris
(brique).
Terrain naturel : Silt sableux brun, un
peu d'argile, traces de gravier.
Compacité moyenne à très dense.
Silt gris, un peu d'argile, traces de
sable et de gravier. Compacité
moyenne.
Fin du forage à 3,7 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m): 2,47
DATE: 2012-02-16
NORD :
5034917,20
EST : 299108,40
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
47
38
33
75
75
71
20
7
5
13
55
11
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC
AG
w = 20,0%
AC
AG
w = 13,3%
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-5
2012-02-01
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,84
0,00
16,69
0,15
16,54
0,30
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
15,01
1,83
13,79
3,05
13,18
3,66
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Pierre concassée (20-0
mm).
Remblai : Silt brun, un peu de sable à
sableux, un peu d'argile, traces de
gravier. Présence de matières
organiques entre 0,3 et 0,6 mètre de
profondeur.
Terrain naturel : Silt sableux brun, un
peu d'argile, traces de gravier,
devenant gris vers 2,4 mètres de
profondeur. Compacité moyenne.
Silt gris, un peu d'argile, traces de
sable et de gravier. Compacité lâche.
Fin du forage à 3,7 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034899,20
EST : 299132,50
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
83
38
46
38
100
71
15
6
6
12
27
9
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC (CF-1A)
AC
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-6
2012-02-01
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,79
0,00
16,64
0,15
16,54
0,25
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
14,35
2,44
12,83
3,96
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Matières résiduelles (sable
noir, brique, béton de ciment).
Remblai : Silt et sable brun, un peu
d'argile, traces à un peu de gravier.
Présence de 5-10% de débris (brique,
béton de ciment), entre 0,3 et 1,8
mètre de profondeur.
Terrain naturel : Silt gris, un peu de
sable, traces d'argile et de gravier.
Saturé. Compacité dense à moyenne.
Fin du forage à 4,0 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034911,40
EST : 299137,70
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CF-7
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
72
4
50
100
75
42
100
14
4
13
20
40
20
R
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AG
w =16,8%
AC (CF-1B)
AC, Dup 3
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-7
2012-02-02
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,89
0,00
16,74
0,15
16,51
0,38
16,28
0,61
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
14,22
2,67
12,62
4,27
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Matières résiduelles (sable
noir, mâchefer, scories).
Remblai : Silt sableux brun, traces de
gravier. Présence de 5-10% de débris
(brique).
Remblai : Silt sableux brun, un peu
d'argile, traces de gravier. Présence
de moins de 5% de débris (brique)
entre 0,6 et 2,4 mètres de profondeur.
Terrain naturel : Silt gris, un peu
d'argile, traces de sable et de gravier.
Saturé à 3,7 mètres de profondeur.
Compacité moyenne à dense.
Fin du forage à 4,3 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m): 2,49
DATE: 2012-02-16
NORD :
5034941,30
EST : 299139,40
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CF-7
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
83
21
33
71
71
83
83
14
8
9
10
38
14
20
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC (CF-1A)
AC
Séd
w = 13,9%
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-8
2012-02-02
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,73
0,00
16,58
0,15
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
14,29
2,44
13,07
3,66
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Silt sableux brun, un peu
d'argile, traces de gravier. Présence
de 5-10% de débris (béton de ciment,
mâchefer) entre 0,2 et 0,9 mètre de
profondeur.
Terrain naturel : Silt brun, un peu de
sable, traces d'argile et de gravier,
devenant gris à 3,1 mètres de
profondeur. Saturé à 3,1 mètres de
profondeur. Compacité moyenne.
Fin du forage à 3,7 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE: Tarière
MARTEAU: MASSE = 63,50 kg CHUTE: 0,76 m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034965,10
EST : 299138,20
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
83
33
71
75
92
75
19
9
20
15
24
12
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AG
w = 23,1%
AC
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-9
2012-02-02
2012-03-16
TECHNICIEN: N. Beauregard
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Fora-Sol inc. (Sédidrill)
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,98
0,00
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
16,47
0,51
16,29
0,69
14,54
2,44
13,32
3,66
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Remblai : Terre végétale brune.
Remblai : Matières résiduelles (sable
noir, brique, mâchefer, scories).
Remblai : Silt sableux brun-gris,traces
d'argile et de gravier.
Terrain naturel : Silt gris, un peu
d'argile, traces de sable et de gravier.
Saturé. Compacité très dense.
Fin du forage à 3,7 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE:
MARTEAU: MASSE = kg CHUTE: m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034965,40
EST : 299101,80
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
CF:
ET:
50
67
67
92
100
79
50
33
46
41
134
101
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC
AC
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-10
TECHNICIEN: Y. Mokrane
2012-02-06
2012-03-16
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Prélèv-Sol/Géomachine
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
17,09
0,00
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
16,79
0,30
16,61
0,48
15,87
1,22
14,35
2,74
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Remblai : Terre végétale.
Remblai : Matières résiduelles (sable
noir, scories, brique, mortier,
mâchefer).
Remblai : Silt sableux brun à
brun-vert, un peu d'argile, traces de
gravier.
Terrain naturel : Silt brun à brun-gris,
un peu de sable à sableux, traces de
gravier et d'argile.
Fin du forage à 2,7 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE:
MARTEAU: MASSE = kg CHUTE: m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034950,70
EST : 299101,20
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
CF:
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CF-6
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
ET:
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
42
100
63
91
45
100
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC (CF-2A)
AC (CF-2B)
AC
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-11
TECHNICIEN: Y. Mokrane
2012-02-06
2012-03-16
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Prélèv-Sol/Géomachine
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

C:\GEOTEC\Style\General\Français\Log_exp_fo.sty
PI.
5
Élév.
Prof.
(m)
M.
16,83
0,00
16,73
0,10
1
2
3
10
15
DOSSIER No.:
PROJET:
ENDROIT:
NIVEAU DE BASE:
4
5
16,22
0,61
15,00
1,83
13,78
3,05
LBPG-00051297-003150
Caractérisation environnementale et étude géotechnique sommaire
École Verdun - 610, avenue Desmarchais, Montréal (Qc)
DESCRIPTION
Niveau actuel du sol
Béton bitumineux.
Remblai : Matières résiduelles
(mortier, brique).
Remblai : Silt et sable brun, un peu
d'argile, traces de gravier.
Terrain naturel : Silt brun-gris, un peu
d'argile, traces de sable et de gravier.
Fin du forage à 3,1 mètres de
profondeur.
STRAT.
RAPPORT DE FORAGE
Géodésique TUBAGE:
MARTEAU: MASSE = kg CHUTE: m
COORDONNÉES: LONGITUDE : °
LATITUDE : °
NIVEAU D'EAU: PROFONDEUR (m):
DATE:
NORD :
5034969,10
EST : 299081,80
EAU
ÉTAT
ÉCHANTILLONS
CF:
TYPE RÉC. N /
& NO. % RQD
CF-1
CF-2
CF-3
CF-4
CF-5
CAROTTIER FENDU
TM: TUBE MINCE
ET:
TARIÈRE
CR: CAROTTE DE CALIBRE :
PROF. COUPE STRATIGRAPHIQUE ÉCHANTILLONS
65
58
59
50
82
ODEUR
FAIBLE
MOYENNE
FORTE
AC
AG
w = 19,4%
ESSAIS Cu
Cur
Nc
FORAGE:
DATE DU FORAGE:
DATE DU RAPPORT:
COMPILÉ PAR:
VÉRIFIÉ PAR:
PAGE: 1
F-12
TECHNICIEN: Y. Mokrane
2012-02-06
2012-03-16
M. Lhémery
J. Castonguay
de: 1
FOREUR: Prélèv-Sol/Géomachine
PÉNÉTRATION DYNAMIQUE
ET RÉSISTANCE AU CISAILLEMENT
CHANTIER
Nc
LABO
w
10 20 30 40 50 60 70 80 90 100

Annexe C –
Rapports d’essais de laboratoire
Commission scolaire Lester B. Pearson
Caractérisation environnementale des sols et étude géotechnique sommaire
École Verdun, 610, avenue Desmarchais, Montréal (Québec)
LBPG-00051297-00-31-50
x:\projets\lbpg\00051297\003150\réalisation du mandat\g-rapports\rap-mtl213503.doc

BFB
ACBBBB
BF
AB
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
C
ECF BB
ECFA BBE
CACACBAC
BBB
BABAC
AF
FC DF
ECBB D
AF
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
AAEAA
DCB
ABBC DEB F
F
F
F
F
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
EAA
F
F
CAB BCBBBBACABBBCA
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
DCBDABBA CBECCBB
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
ACACD
EBBCACA AABA

Client : Commission scolaire Lester B. Pearson Matériau :
Projet : Caractérisation environnementale et Sondage :
géotechnique sommaire, école Verdun
610, avenue Desmarchais, Verdun
Localisation :
ANALYSE GRANULOMÉTRIQUE
LC 21-040 & NQ 2501-025
Remblai
F-1 / CF-3
De 1,22 m à 1,83 m
N o dossier : Prélevé le : Reçu le:
Échantillon n o LBPG-00051297-003150
2012-02-01,02 et 06
2012-02-14
: MO-3806
Échantillonné par : exp
Réf. Client:
Pourcentage passant
0,001 0,010 0,01
0,100 0,10
1,000 1
10,000 10
100,000 100
100 0,002
0,08
0,4
2 5
20 80
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
ARGILE
PARTICULES FINES
SILT
Fraction Fine
Argile Silt
14,1 50,8
D10 (mm) D30 (mm)
0,001 0,008
ABC
DEBFC
EB
EC
(mm) (%) (mm) (%)
80,00 100 2,000 86,0
56,00 100 1,250 83,0
40,00 100 0,630 79,0
31,50 100 0,315 75,0
20,00 92 0,160 70,0
14,00 92 0,080 64,9
10,00 89 0,046 56,2
5,00 89,0 0,034 49,9
FIN
SABLE
MOYEN
GRAVIER
GROS FIN GROS
POURCENTAGES DES FRACTIONS GRANULOMÉTRIQUES
TABLEAU DES POURCENTAGES PASSANTS
Diamètre (mm)
Remarque: Silt sableux, un peu d'argile et de gravier
Conductivité hydraulique (1) : 1,4 x 10 -4 cm/s
(1) Calcul théorique selon "Foundation Engineering" (formule de Hazen)
CAILLOUX
Vérifié par: Approuvé par :
Lynda Lebrun, technicienne senior Johane Castonguay, ing., EESA
Chef de laboratoire Directrice Environnement
300
BLOCS
Fraction Grossière
Sable (%) Gravier (%) Cailloux (%) Blocs (%)
24,1
11,0 0,0 0,0
D60 (mm)
Cu Cc Wn (%)
0,074 61,7 0,7 13,4
(mm) (%)
0,0219 45,3
0,0129 40,6
0,0093 34,3
0,0073 28,1
0,0051 21,9
0,0036 17,2
0,0025 15,6
0,0015 12,5
DESCRIPTION DE L'ÉCHANTILLON
Échantillon
Profondeur
Nomenclature (ASTM D2487)

BB
ACBBBB
B
ABF
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
AACBCA
ECF B B
ECFA BBE
CACACBAC
FBBB
BABAC
AF
FC DF
ECBB D
AF F
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
F
AAEAA
DCB
ABBC DEB F
AECFFCFB
F F F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F
EAA
F
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
ACACD
CAB BACBBCBBBACABBBCA
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
DCBDABBA CBECCBB
F
F
EBBCACA AABA

Client : Commission scolaire Lester B. Pearson Matériau :
Projet : Caractérisation environnementale et Sondage :
géotechnique sommaire, école Verdun
610, avenue Desmarchais, Verdun
Localisation :
ANALYSE GRANULOMÉTRIQUE
LC 21-040 & NQ 2501-025
Terrain naturel
F-8 / CF-7
De 3,66 m à 4,27 m
N o dossier : Prélevé le : Reçu le:
Échantillon n o LBPG-00051297-003150
2012-02-01, 02 et 06
2012-02-14
: MO-3807
Échantillonné par : exp
Réf. Client:
Pourcentage passant
0,001 0,010 0,01
0,100 0,10
1,000 1
10,000 10
100,000 100
100 0,002
0,08
0,4
2 5
20 80
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
ARGILE
PARTICULES FINES
SILT
Fraction Fine
Argile Silt
19,0 68,4
D10 (mm)
0,001
D30 (mm)
0,004
ABC
DEBFC
EB
EC
FIN
SABLE
TABLEAU DES POURCENTAGES PASSANTS
(mm) (%) (mm) (%)
80,00 100 2,000 96,0
56,00 100 1,250 94,0
40,00 100 0,630 93,0
31,50 100 0,315 91,0
20,00 100 0,160 89,0
14,00 100 0,080 87,4
10,00 98 0,044 81,6
5,00 97,0 0,031 77,9
MOYEN
Diamètre (mm)
GRAVIER
GROS FIN GROS
POURCENTAGES DES FRACTIONS GRANULOMÉTRIQUES
Remarque: Silt, un peu d'argile, traces de sable et de gravier
Conductivité hydraulique (1) : 6,4 x 10 -5 cm/s
(1) Calcul théorique selon "Foundation Engineering" (formule de Hazen)
CAILLOUX
Vérifié par: Approuvé par :
Lynda Lebrun, technicienne senior Johane Castonguay, ing., EESA
Chef de laboratoire Directrice Environnement
300
BLOCS
Fraction Grossière
Sable (%) Gravier (%) Cailloux (%) Blocs (%)
9,6
3,0 0,0 0,0
D60 (mm)
Cu Cc Wn (%)
0,012 15,4 1,2 19,3
(mm) (%)
0,0206 68,7
0,0124 59,4
0,0090 52,0
0,0074 44,5
0,0050 37,1
0,0035 29,7
0,0025 20,4
0,0014 16,7
DESCRIPTION DE L'ÉCHANTILLON
Échantillon
Profondeur
Nomenclature (ASTM D2487)

BB
ACBBBB
BFF
ABFF
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
C
ECF BB
ECFA BBE
CACACBAC
BBB
BABAC
AF
FC DFF
ECBB D
AF
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
F
F
AAEAA
DCB
ABBC DEB F
F
F
F
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F
EAA
F
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
F
ACACD
CAB BCBACBBACABACBBBBCA
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
DCBDABBA
EBBCACA
CBECCBB
AABA

BB
ACBBBB
B
ABF
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
C
ECF BB
ECFA BBE
CACACBAC
BBB
BABAC
AF
FC DF
ECBB D
AF F
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
F
AAEAA
DCB
ABBC DEB F
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F
EAA
F
F
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
ACACD
CAB BCBACBBACABACBBBBCA
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
DCBDABBA CBECCBB
F
F
EBBCACA AABA

BB
ACBBBB
B
ABF
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
AACBCA
ECF BB
ECFA BBE
CACACBAC
FBBB
BABAC
AF
FC DF
ECBB D
AF F
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
AAEAA
DCB
ABBC DEB F
F
F
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F
EAA
F
F
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
ACACD
CAB BCBACBBACABACBBBBCA
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
DCBDABBA CBECCBB
F
F
EBBCACA AABA

BB
ACBBBB
B
ABF
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
BCA
ECF BB
ECFA BBE
CACACBAC
BBFB
BABAC
AF
FC DF
ECBB D
AF F
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
F
AAEAA
DCB
ABBC DEB FF
F
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F
EAA
F
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
ACACD
CAB BCBABACBBACABACBBBBCA
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
F
F
DCBDABBA
EBBCACA
CBECCBB
AABA

FFBB
ACBBBB
B
AB
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
EBCABDABBCA ABCAD
AACBCA
ECF BB
ECFA BBE
CACACBAC
BBB
BABAC
AF
FC D
ECBB D
AF F
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
F
AAEAA
DCB
ABBC DEB F
F
F
F
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
EAA
F
F
CAB BBBCABACBBCBBBACA
AAFDBF
CAB C ACA
A A A
F F
ACACD
ABCAB ABCAB ABCAB
ABCAB
F
F
DCBDABBA
EBBCACA
CBECCBB
AABA

EAA
BAAAA
A
A
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
CAAA
ABCAD
B
ECF AA
ECFA AAD
BBBAB
EAAAEA
AEAB
AF
FC C
ECBB D
AF
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
E
AAEAA
DCB
AAB CDA EF
E
E
AECFFCFB
E E BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
E
EAA
E
E E
AAFDBF
BA B B
E E E
E E E
ACACD
BA AABEABAABABAAAAB
ABA ABA ABA
ABA
CBACEAA BADBBEAEA
DAABB A

FAA
BAAAA
A
AE
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
CAAA
ABCAD
B
ECF AA
ECFA AAD
BBBAB
FAAAFEA
AFAB
AF
FC C
ECBB D
AF
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
E
AAEAA
DCB
AAB CDA EF
F
E
F
F
AECFFCFB
FE FE E E BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F E
EAA
FE E
F F
E
AAFDBF
BA B B
F F F
F F F
ACACD
BA ABFAAAABABAAAAB
ABA ABA ABA
ABA
CBACFAA
DAABB
BADBBFAFA
A

FAEA
BAAAA
AE
A
ESSAIS SUR SOL, GRANULATS
ET AUTRES MATÉRIAUX
CAAA
ABCAD
B
ECF AA
ECFA AAD
BBBAB
FAAAFA
AFAB
AF
FC CE
ECBB D
AF
AFBAC B
ACADFBCD
DCA
DCB B
A
F
AAEAA
DCB
AAB CDA EF
E
F E
F E
AECFFCFB
F F BF BF AFDDAA AFDDAA DCADFA
DCADFA
F
EAA
F E
F F
E
BA AABFABAABAAAB
AAFDBF
BA B B
F F F
F F F
ACACD
ABA ABA ABA
ABA
CBACFAA BADBBFAFA
DAABB A

Annexe D –
Commission scolaire Lester B. Pearson
Caractérisation environnementale des sols et étude géotechnique sommaire
École Verdun, 610, avenue Desmarchais, Montréal (Québec)
LBPG-00051297-00-31-50
Tableaux de compilation des résultats des
analyses chimiques
x:\projets\lbpg\00051297\003150\réalisation du mandat\g-rapports\rap-mtl213503.doc

Tableau D.1
Interprétation des résultats (mg/kg ou ppm) des analyses chimiques d'échantillons de sols
A B C B A DB DB EF E C CA B B
F E B BEEAC E E B DB E DE BAA CA
ABCDEFABC CC
EF
ABCDEFB
ACDF
AF
F
EF
ACFA
ACF
EDFD
DBDCFD
DCF
CF
F
DFD
FABCDBEBCAB
ACEE
ABCFABCABC
CDDC
ACDDC
ACDDC
ACDDC
ACDDC
ECDDC
EADC
DC
DCEE
ABCFABCDABC
DEDC
DEDC
DEADC
CDFDEADC
CDFADC
CDFADEDC
CDFDDEADC
CDFBADC
ADC
CDFDEADC
CDFADC
CDFADC
CDFADC
ECDFDEADC
ADEDC
ADC
DDFADC
EDEADC
EDC
DDEADC
ADC
EDEDC
EDEDC
EDEDC
AEDEDC
ECDECAECAEAC EE EE
AEACDDABCCDE EE EE
DCDEAEDDACACECCECED
Commission scolaire Lester B. Pearson
École Verdun - 610, ave Desmarchais, Montréal
X:\Projets\LBPG\00051297\003150\Réalisation du mandat\F-Tableaux\E1-Tableau complet sols 2012- LBPG-51297.xls Page 11 de x

ABCDEFABC CC
EF
ABCDEFB
ACDF
AF
F
EF
ACFA
ACF
EDFD
DBDCFD
DCF
CF
F
DFD
FABCDBEBCAB
ACEE
ABCFABCABC
CDDC
ACDDC
ACDDC
ACDDC
ACDDC
ECDDC
EADC
DC
DCEE
ABCFABCDABC
DEDC
DEDC
DEADC
CDFDEADC
CDFADC
CDFADEDC
CDFDDEADC
CDFBADC
ADC
CDFDEADC
CDFADC
CDFADC
CDFADC
ECDFDEADC
ADEDC
ADC
DDFADC
EDEADC
EDC
DDEADC
ADC
EDEDC
EDEDC
EDEDC
AEDEDC
ECDECAECAEAC EE EE
AEACDDABCCDE EE EE
DCDEAEDDACACECCECED
Tableau D.1
Interprétation des résultats (mg/kg ou ppm) des analyses chimiques d'échantillons de sols
B B A
F B E D B AE B E
0,1
Commission scolaire Lester B. Pearson
École Verdun - 610, ave Desmarchais, Montréal
X:\Projets\LBPG\00051297\003150\Réalisation du mandat\F-Tableaux\E1-Tableau complet sols 2012- LBPG-51297.xls Page 12 de x

Tableau D.2
Interprétation des résultats (mg/kg ou ppm) des analyses chimiques d'échantillons de matières résiduelles
A B BB CDEFCD CDFCDE CDECFCD
ABCDEFABC CC
EF
ABCDEFB
ACDF
AF
F
EF
ACFA
ACF
EDFD
DBDCFD
DCF
CF
F
DFD
FABCDBEBCAB
ACEE
ABCFABCABC
CDDC
ACDDC
ACDDC
ACDDC
ACDDC
ECDDC
EADC
DC
DCEE
ABCFABCDABC
DEDC
DEDC
DEADC
CDFDEADC
CDFADC
CDFADEDC
CDFDDEADC
CDFBADC
ADC
CDFDEADC
CDFADC
CDFADC
CDFADC
ECDFDEADC
ADEDC
ADC
DDFADC
EDEADC
EDC
DDEADC
ADC
EDEDC
EDEDC
EDEDC
AEDEDC
ECDECAECAEAC EE EE
AEACDDABCCDE EE EE
DCDEAEDDACACECCECED
Commission scolaire Lester B. Pearson
École Verdun - 610, ave Desmarchais, Montréal
X:\Projets\LBPG\00051297\003150\Réalisation du mandat\F-Tableaux\E2-Tableau complet MR.xls Page 11 de x

A
BCDEFEDDCEDDCCDCE
EDE
A
AB CDCE
FAFB CDC D
FAFB CDCE
AB CDC
AB CDC
AB CDCCC
AB CDC CDC
AB CDCE
AB CDC
CD
CDC
CDC
EDE
ABCDCEDEAD
A
FEEEEEEEEEEBDCEADC CC A C
FEEEEEEEEEEDCECCEDC
FEEEEEEEEEEBDCEADC
CD
CD
CD
FAB CD CD
FAB CD CD
FAB CD CD
FAB CD
FADDB CD
CD CD
ADB CD
ADB CD
ADB CD
ADB CD
DAB CD
CD CD
CD
ADDB CD
CD
CD CDE
CD CD
CD CD
CD CD
CD CDE
D CD CD
DDE CD CD
CCDEDCCCDCCDC
DCDEFECCDCDD
FECCCCDCCCD
CEDCCCDE
DECE
FCCCECCECFE
E
EC
Commission scolaire Lester B.Pearson
École Verdun - 610, ave Desmarchais, Montréal

Annexe E –
Certificats d’analyses chimiques
Commission scolaire Lester B. Pearson
Caractérisation environnementale des sols et étude géotechnique sommaire
École Verdun, 610, avenue Desmarchais, Montréal (Québec)
LBPG-00051297-00-31-50
x:\projets\lbpg\00051297\003150\réalisation du mandat\g-rapports\rap-mtl213503.doc

Attention: Mélanie Lhemery
Les Services exp Inc.
MONTRÉAL rue 19e Avenue
8487, 19e Avenue
Montréal, PQ
Canada H1Z 4J2
# DE DOSSIER MAXXAM: B206356
Reçu: 2012/02/09, 16:20
Matrice: SOL
Nombre d'échantillons reçus: 20
Votre # de commande: L-003-17000
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Adresse du site: VERDUN
Votre # Bordereau: E844842, E-844842, E-844843
Date du rapport: 2012/02/23
Ce rapport a préséance sur tous les rapports précédents pour le même numéro de dossier Maxxam
CERTIFICAT D'ANALYSES
Date de l' Date
Analyses Quantité extraction Analysé Méthode de laboratoire Référence primaire
Aluminium pour fluorure lixiviés 1 2012/02/14 2012/02/14 STL SOP-00006 MA.200- Mét 1.2
Hydrocarbures pétroliers (C10-C50) 19 2012/02/15 2012/02/15 STL SOP-00172 MA. 416-C10-C50 1.0
Hydrocarbures pétroliers (C10-C50) 1 2012/02/21 2012/02/21 STL SOP-00172 MA. 416-C10-C50 1.0
Frais de gestion 20 N/A 2012/02/09
Fluorures lixiviés 1 N/A 2012/02/15 STL SOP-00038 SM 4500-F-C
Mercure lixivié 1 2012/02/14 2012/02/14 STL SOP-00006 MA.200 - Mét 1.2
Hydrocarbures aromatiques monocycliques 1 2012/02/14 2012/02/14 STL SOP-00145 MA. 400 - COV 1.1
Métaux lixiviés 1 2012/02/14 2012/02/14 STL SOP-00006 MA.200- Mét 1.2
Métaux par ICP 19 2012/02/13 2012/02/15 STL SOP-00006 MA.200- Mét 1.2
Métaux par ICP 1 2012/02/22 2012/02/22 STL SOP-00006 MA.200- Mét 1.2
Nitrate et/ou Nitrite lixiviés 1 N/A 2012/02/14 STL SOP-00014 MA. 300 - Ions 1.3
Hydrocarbures aromatiques polycycliques 11 2012/02/15 2012/02/15 STL SOP-00178 MA. 400 - HAP 1.1
Hydrocarbures aromatiques polycycliques 9 2012/02/15 2012/02/16 STL SOP-00178 MA. 400 - HAP 1.1
Soufre 1 N/A 2012/02/15 STL SOP-00028 MA. 310-CS 1.0
Lix.-espèces inorg.(TCLP, EPA 1311) 1 2012/02/13 2012/02/13 STL SOP-00024 MA.100-Lix. com.1.0
Uranium lixivié 1 2012/02/14 2012/02/14 STL SOP-00006 MA.200- Mét 1.2
clé de cryptage
Lorena Dibenedetto
23 Feb 2012 16:24:43 -05:00
Veuillez adresser toute question concernant ce certificat d'analyse à votre chargé(e) de projets
LORENA DI BENEDETTO, B.Sc., chimiste, Chargée de projet
Email: LDibenedetto@maxxam.ca
Phone# (514) 448-9001 Ext:4262
====================================================================
Maxxam a mis en place des procédures qui protègent contre l’utilisation non autorisée de la signature électronique et emploie les
"signataires" requis, conformément à la section 5.10.2 de la norme ISO/CEI 17025:2005(E). Veuillez vous référer à la page des signatures de
validation pour obtenir les détails des validations pour chaque division.
Page 1 de 39 2012/02/23 16:22

Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 1 Q 1 5 5 2 2 Q 1 5 5 2 3 Q 1 5 5 2 4
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F1-CF2 F2-CF3 F3-CF2 F2-CF7 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 17 12 22 16
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 0.1 ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 0.2 ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 0.1 ND ND ND 0.1 970854
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 0.3 ND ND ND 0.1 970854
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND ND ND ND 0.1 970854
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 0.1 ND ND ND 0.1 970854
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 0.4 ND 0.1 ND 0.1 970854
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND ND ND 0.1 970854
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 0.3 ND ND ND 0.1 970854
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 0.3 ND 0.1 ND 0.1 970854
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 82 78 76 79 970854
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 78 49 ( 1 ) 65 55 970854
D14-Terphenyl % - - - - 90 95 99 97 970854
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du contrôle qualité
rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 1 Q 1 5 5 2 2 Q 1 5 5 2 3 Q 1 5 5 2 4
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F1-CF2 F2-CF3 F3-CF2 F2-CF7 LDR Lot CQ
D8-Acenaphthylene % - - - - 88 81 83 82 970854
D8-Naphtalène % - - - - 86 79 81 78 970854
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 5 Q 1 5 5 2 6 Q 1 5 5 2 7 Q 1 5 5 2 8
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F4-CF2 F5-CF3 F6-CF1A F6-CF2 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 22 18 12 18
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND ND ND ND 0.1 970854
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.2 ND ND 0.1 970854
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND ND ND 0.1 970854
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 ND 0.1 ND ND 0.1 970854
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.1 ND ND 0.1 970854
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 77 74 74 79 970854
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 51 41 ( 1 ) 49 ( 1 ) 51 970854
D14-Terphenyl % - - - - 95 94 92 97 970854
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du contrôle qualité
rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 5 Q 1 5 5 2 6 Q 1 5 5 2 7 Q 1 5 5 2 8
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F4-CF2 F5-CF3 F6-CF1A F6-CF2 LDR Lot CQ
D8-Acenaphthylene % - - - - 81 80 79 83 970854
D8-Naphtalène % - - - - 79 77 77 81 970854
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 9 Q 1 5 5 3 0 Q 1 5 5 3 1 Q 1 5 5 3 1
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F7-CF1B F7-CF4 F11-CF2B F11-CF2B LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
% Humidité % - - - - 14 13 20 20
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND ND ND ND 0.1 970854
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 0.1 0.1 970854
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND ND ND 0.1 970854
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND 0.1 ND 0.1 970854
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 ND 0.1 970854
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 76 77 73 76 970854
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 47 ( 1 ) 43 ( 1 ) 47 ( 1 ) 52 970854
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du contrôle qualité
rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 9 Q 1 5 5 3 0 Q 1 5 5 3 1 Q 1 5 5 3 1
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F7-CF1B F7-CF4 F11-CF2B F11-CF2B LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
D14-Terphenyl % - - - - 94 96 91 95 970854
D8-Acenaphthylene % - - - - 80 81 77 80 970854
D8-Naphtalène % - - - - 78 80 77 81 970854
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 2 Q 1 5 5 3 3 Q 1 5 5 3 4 Q 1 5 5 3 5
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D DUP 3 DUP 4 F8-CF1A F8-CF3 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 13 15 16 14
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 0.2 ND ND 0.1 970854
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 0.1 ND ND 0.1 970854
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 ND 0.2 0.1 ND 0.1 970854
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND ND ND ND 0.1 970854
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 0.1 ND ND 0.1 970854
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.4 0.2 ND 0.1 970854
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND ND ND 0.1 970854
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 ND 0.3 0.1 ND 0.1 970854
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.3 0.1 ND 0.1 970854
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 ND 0.1 970854
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 76 82 68 78 970854
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 39 ( 1 ) 80 41 ( 1 ) 58 970854
D14-Terphenyl % - - - - 93 90 95 96 970854
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du contrôle qualité
rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
Page 8 de 39 2012/02/23 16:22

Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 2 Q 1 5 5 3 3 Q 1 5 5 3 4 Q 1 5 5 3 5
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D DUP 3 DUP 4 F8-CF1A F8-CF3 LDR Lot CQ
D8-Acenaphthylene % - - - - 79 88 78 83 970854
D8-Naphtalène % - - - - 80 86 78 79 970854
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6 Q 1 5 5 3 7 Q 1 5 5 3 8 Q 1 5 5 3 9
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F5-CF1 F11-CF2A F10-CF3 F9-CF2 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 16 19 24 12
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 0.1 0.2 ND ND 0.1 970854
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 0.1 ND ND ND 0.1 970854
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 0.2 0.2 ND ND 0.1 970854
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND ND ND 0.1 970854
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND ND ND ND 0.1 970854
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 0.1 0.1 ND ND 0.1 970854
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 0.2 0.4 ND ND 0.1 970854
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND ND ND 0.1 970854
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND ND ND 0.1 970854
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND ND ND 0.1 970854
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 0.5 0.5 ND ND 0.1 970854
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 0.3 0.6 ND ND 0.1 970854
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 0.2 0.4 ND ND 0.1 970854
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 0.6 0.7 ND ND 0.1 970854
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 0.5 0.5 ND ND 0.1 970854
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 0.3 0.3 ND ND 0.1 970854
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 0.1 0.1 ND ND 0.1 970854
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 72 70 79 77 970854
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 44 ( 1 ) 38 ( 1 ) 61 52 970854
D14-Terphenyl % - - - - 82 80 99 95 970854
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du contrôle qualité
rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6 Q 1 5 5 3 7 Q 1 5 5 3 8 Q 1 5 5 3 9
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F5-CF1 F11-CF2A F10-CF3 F9-CF2 LDR Lot CQ
D8-Acenaphthylene % - - - - 84 82 83 81 970854
D8-Naphtalène % - - - - 84 80 78 78 970854
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 4 0 Q 1 5 5 4 0
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F12-CF2 F12-CF2 LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
% Humidité % - - - - 16 16
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 970854
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 970854
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 970854
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 ND ND 0.1 970854
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 970854
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND ND 0.1 970854
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 970854
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 970854
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 970854
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND 0.1 970854
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND 0.1 970854
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 ND ND 0.1 970854
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 970854
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 970854
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 970854
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 970854
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 970854
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 79 82 970854
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 47 ( 1 ) 48 ( 1 ) 970854
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais
l’ensemble du contrôle qualité rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 4 0 Q 1 5 5 4 0
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F12-CF2 F12-CF2 LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
D14-Terphenyl % - - - - 96 100 970854
D8-Acenaphthylene % - - - - 83 85 970854
D8-Naphtalène % - - - - 79 83 970854
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HYDROCARBURES PAR GCFID (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 1 Q 1 5 5 2 2 Q 1 5 5 2 3 Q 1 5 5 2 4
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F1-CF2 F2-CF3 F3-CF2 F2-CF7 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 17 12 22 16
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 200 ND 320 ND 100 970848
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 77 76 75 75 970848
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
ID Maxxam Q 1 5 5 2 5 Q 1 5 5 2 6 Q 1 5 5 2 7 Q 1 5 5 2 8
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F4-CF2 F5-CF3 F6-CF1A F6-CF2 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 22 18 12 18
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 ND ND ND ND 100 970848
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 74 77 74 76 970848
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HYDROCARBURES PAR GCFID (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 9 Q 1 5 5 3 0 Q 1 5 5 3 1 Q 1 5 5 3 1
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F7-CF1B F7-CF4 F11-CF2B F11-CF2B LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
% Humidité % - - - - 14 13 20 20
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 ND ND ND ND 100 970848
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 77 77 73 72 970848
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
ID Maxxam Q 1 5 5 3 2 Q 1 5 5 3 3 Q 1 5 5 3 4 Q 1 5 5 3 5
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D DUP 3 DUP 4 F8-CF1A F8-CF3 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 13 15 16 14
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 ND ND 370 ND 100 970848
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 72 73 70 72 970848
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HYDROCARBURES PAR GCFID (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6 Q 1 5 5 3 7 Q 1 5 5 3 8
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F5-CF1 Lot CQ F11-CF2A F10-CF3 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 16 19 24
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 120 972779 150 ND 100 970848
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 83 972779 70 73 970848
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
ID Maxxam Q 1 5 5 3 9 Q 1 5 5 4 0 Q 1 5 5 4 0
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F9-CF2 F12-CF2 F12-CF2 LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
% Humidité % - - - - 12 16 16
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 ND ND ND 100 970848
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 72 70 72 970848
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAM PAR GC/MS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 4
Date d'échantillonnage 2012/02/01
# Bordereau E-844842
U n i t é s A B C D F2-CF7 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 16
VOLATILS
Benzène mg/kg 0.1 0.5 5 5 ND 0.1 970215
Chlorobenzène mg/kg 0.2 1 10 10 ND 0.2 970215
1,2-Dichlorobenzène mg/kg 0.2 1 10 10 ND 0.2 970215
1,3-Dichlorobenzène mg/kg 0.2 1 10 10 ND 0.2 970215
1,4-Dichlorobenzène mg/kg 0.2 1 10 10 ND 0.2 970215
Ethylbenzène mg/kg 0.2 5 50 50 ND 0.2 970215
Styrène mg/kg 0.2 5 50 50 ND 0.2 970215
Toluène mg/kg 0.2 3 30 30 ND 0.2 970215
Xylènes totaux mg/kg 0.2 5 50 50 ND 0.2 970215
Récupération des Surrogates (%)
4-Bromofluorobenzène % - - - - 97 970215
D10-Ethylbenzène % - - - - 106 970215
D4-1,2-Dichloroéthane % - - - - 99 970215
D8-Toluène % - - - - 101 970215
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 1 Q 1 5 5 2 2 Q 1 5 5 2 3 Q 1 5 5 2 4 Q 1 5 5 2 5
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F1-CF2 F2-CF3 F3-CF2 F2-CF7 F4-CF2 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 17 12 22 16 22
MÉTAUX
Argent (Ag) mg/kg 2 20 40 200 ND ND ND ND ND 0.8 970082
Arsenic (As) mg/kg 6 30 50 250 ND 5 7 6 ND 5 970082
Baryum (Ba) mg/kg 200 500 2000 10000 69 94 130 61 94 5 970082
Cadmium (Cd) mg/kg 1.5 5 20 100 ND ND ND ND ND 0.5 970082
Cobalt (Co) mg/kg 15 50 300 1500 3 11 11 9 9 2 970082
Chrome (Cr) mg/kg 85 250 800 4000 10 15 22 14 21 2 970082
Cuivre (Cu) mg/kg 40 100 500 2500 10 39 39 37 24 2 970082
Etain (Sn) mg/kg 5 50 300 1500 6 ND ND ND ND 4 970082
Manganèse (Mn) mg/kg 770 1000 2200 11000 160 660 440 580 300 2 970082
Molybdène (Mo) mg/kg 2 10 40 200 ND ND 1 ND ND 1 970082
Nickel (Ni) mg/kg 50 100 500 2500 9 28 32 24 23 1 970082
Plomb (Pb) mg/kg 50 500 1000 5000 21 12 13 10 13 5 970082
Zinc (Zn) mg/kg 110 500 1500 7500 35 84 90 78 75 10 970082
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 2 6 Q 1 5 5 2 6 Q 1 5 5 2 7 Q 1 5 5 2 8 Q 1 5 5 2 9
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/01 2012/02/02
# Bordereau E-844842 E-844842 E-844842 E-844842 E-844842
U n i t é s A B C D F5-CF3 F5-CF3 F6-CF1A F6-CF2 F7-CF1B LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
% Humidité % - - - - 18 18 12 18 14
MÉTAUX
Argent (Ag) mg/kg 2 20 40 200 ND ND ND ND ND 0.8 970082
Arsenic (As) mg/kg 6 30 50 250 7 7 9 ND 5 5 970082
Baryum (Ba) mg/kg 200 500 2000 10000 140 160 120 140 100 5 970082
Cadmium (Cd) mg/kg 1.5 5 20 100 ND ND ND ND ND 0.5 970082
Cobalt (Co) mg/kg 15 50 300 1500 8 8 6 12 9 2 970082
Chrome (Cr) mg/kg 85 250 800 4000 14 14 8 20 20 2 970082
Cuivre (Cu) mg/kg 40 100 500 2500 25 27 29 41 38 2 970082
Etain (Sn) mg/kg 5 50 300 1500 ND ND ND ND ND 4 970082
Manganèse (Mn) mg/kg 770 1000 2200 11000 350 380 260 390 370 2 970082
Molybdène (Mo) mg/kg 2 10 40 200 1 2 3 2 ND 1 970082
Nickel (Ni) mg/kg 50 100 500 2500 20 20 15 31 26 1 970082
Plomb (Pb) mg/kg 50 500 1000 5000 32 34 32 13 12 5 970082
Zinc (Zn) mg/kg 110 500 1500 7500 110 110 140 88 84 10 970082
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 0 Q 1 5 5 3 1 Q 1 5 5 3 2 Q 1 5 5 3 2
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844842 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F7-CF4 F11-CF2B DUP 3 Lot CQ DUP LDR Lot CQ
3 RÉPÉTÉ
% Humidité % - - - - 13 20 13 13
MÉTAUX
Argent (Ag) mg/kg 2 20 40 200 ND ND ND 970082 0.8 970082
Arsenic (As) mg/kg 6 30 50 250 6 13 10 970082 5 970082
Baryum (Ba) mg/kg 200 500 2000 10000 88 130 130 970082 5 970082
Cadmium (Cd) mg/kg 1.5 5 20 100 ND ND ND 970082 0.5 970082
Cobalt (Co) mg/kg 15 50 300 1500 7 8 16 970082 2 970082
Chrome (Cr) mg/kg 85 250 800 4000 17 17 17 970082 2 970082
Cuivre (Cu) mg/kg 40 100 500 2500 43 29 47 970082 2 970082
Etain (Sn) mg/kg 5 50 300 1500 ND ND ND 970082 4 970082
Manganèse (Mn) mg/kg 770 1000 2200 11000 440 380 1100 970082 780 2 973087
Molybdène (Mo) mg/kg 2 10 40 200 ND ND 2 970082 1
Nickel (Ni) mg/kg 50 100 500 2500 24 22 38 970082 1
Plomb (Pb) mg/kg 50 500 1000 5000 13 25 65 970082 5
Zinc (Zn) mg/kg 110 500 1500 7500 89 70 93 970082 10
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 3 Q 1 5 5 3 4 Q 1 5 5 3 4 Q 1 5 5 3 5 Q 1 5 5 3 7
Date d'échantillonnage 2012/02/01 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D DUP 4 F8-CF1A F8-CF1A F8-CF3 F11-CF2A LDR Lot CQ
Dup.
de Lab.
% Humidité % - - - - 15 16 16 14 19
MÉTAUX
Argent (Ag) mg/kg 2 20 40 200 ND ND ND ND ND 0.8 970082
Arsenic (As) mg/kg 6 30 50 250 ND 9 7 6 73 5 970082
Baryum (Ba) mg/kg 200 500 2000 10000 95 78 51 ( 1 ) 110 450 5 970082
Cadmium (Cd) mg/kg 1.5 5 20 100 ND ND ND ND ND 0.5 970082
Cobalt (Co) mg/kg 15 50 300 1500 6 4 3 12 8 2 970082
Chrome (Cr) mg/kg 85 250 800 4000 16 7 6 19 6 2 970082
Cuivre (Cu) mg/kg 40 100 500 2500 19 28 20 ( 1 ) 45 44 2 970082
Etain (Sn) mg/kg 5 50 300 1500 ND ND ND ND ND 4 970082
Manganèse (Mn) mg/kg 770 1000 2200 11000 300 150 120 750 360 2 970082
Molybdène (Mo) mg/kg 2 10 40 200 ND ND ND 1 10 1 970082
Nickel (Ni) mg/kg 50 100 500 2500 16 12 10 34 24 1 970082
Plomb (Pb) mg/kg 50 500 1000 5000 25 28 21 13 23 5 970082
Zinc (Zn) mg/kg 110 500 1500 7500 55 73 53 ( 1 ) 110 39 10 970082
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du contrôle qualité rencontre
les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 8 Q 1 5 5 3 9 Q 1 5 5 4 0
Date d'échantillonnage 2012/02/02 2012/02/02 2012/02/02
# Bordereau E-844843 E-844843 E-844843
U n i t é s A B C D F10-CF3 F9-CF2 F12-CF2 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 24 12 16
MÉTAUX
Argent (Ag) mg/kg 2 20 40 200 ND ND ND 0.8 970082
Arsenic (As) mg/kg 6 30 50 250 6 6 6 5 970082
Baryum (Ba) mg/kg 200 500 2000 10000 98 94 62 5 970082
Cadmium (Cd) mg/kg 1.5 5 20 100 ND ND ND 0.5 970082
Cobalt (Co) mg/kg 15 50 300 1500 9 11 9 2 970082
Chrome (Cr) mg/kg 85 250 800 4000 22 16 16 2 970082
Cuivre (Cu) mg/kg 40 100 500 2500 34 36 37 2 970082
Etain (Sn) mg/kg 5 50 300 1500 ND ND ND 4 970082
Manganèse (Mn) mg/kg 770 1000 2200 11000 370 800 490 2 970082
Molybdène (Mo) mg/kg 2 10 40 200 ND ND ND 1 970082
Nickel (Ni) mg/kg 50 100 500 2500 28 35 25 1 970082
Plomb (Pb) mg/kg 50 500 1000 5000 13 13 11 5 970082
Zinc (Zn) mg/kg 110 500 1500 7500 77 86 79 10 970082
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX-LIXIVIAT LABO (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6
Date d'échantillonnage 2012/02/01
# Bordereau E-844843
U n i t é s F5-CF1 LDR Lot CQ
% Humidité % 16
MÉTAUX
Mercure (Hg) mg/L ND 0.01 970491
Arsenic (As) mg/L ND 0.004 970491
Baryum (Ba) mg/L 1.2 0.005 970491
Bore (B) mg/L ND 0.1 970491
Cadmium (Cd) mg/L ND 0.002 970491
Chrome (Cr) mg/L ND 0.007 970491
Plomb (Pb) mg/L 0.01 0.01 970491
Sélénium (Se) mg/L ND 0.005 970491
Uranium (U) mg/L ND 0.02 970491
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
PARAMÈTRES CONVENTIONNELS (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6
Date d'échantillonnage 2012/02/01
# Bordereau E-844843
U n i t é s A B C F5-CF1 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - 16
CONVENTIONNELS
Soufre (S) % 0.04 0.1 0.2 0.37 0.01 970691
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
PARAMÈTRES CONVENTIONNELS-LIXIVIAT LABO (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6
Date d'échantillonnage 2012/02/01
# Bordereau E-844843
U n i t é s F5-CF1 LDR Lot CQ
% Humidité % 16
CONVENTIONNELS
Fluorure (F) mg/L ND 1 970485
Nitrate(N) et Nitrite(N) mg/L ND 0.2 970480
Nitrites (N-NO2-) mg/L ND 0.2 970480
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
Page 25 de 39 2012/02/23 16:22

Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
LIXIVIAT (SOL)
ID Maxxam Q 1 5 5 3 6
Date d'échantillonnage 2012/02/01
# Bordereau E-844843
U n i t é s F5-CF1 Lot CQ
% Humidité % 16
Lixiviat
Poids de l'échantillon (g) n/a 20.0 970021
pH de l'eau déionisée n/a 5.68 970021
pH du pré-test n/a 1.68 970021
pH final du lixiviat n/a 5.28 970021
Volume fluide d'extraction 1 (ml) n/a 400 970021
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
REMARQUES GÉNÉRALES
État des échantillons à l'arrivée: BON excepté pour
Hydrocarbures pétroliers (C10-C50): Analyses demandées avec délai de conservation dépassé: Q15536
Tous les résultats sont calculés sur une base sèche excepté lorsque non-applicable.
A,B,C,D: Ces critères proviennent de l'Annexe 2 de la "Politique de protection des sols et de réhabilitation des terrains contaminés. Pour les
analyses de métaux(et métalloides) dans les sols, le critère A désigne la " Teneur de fond Secteur Basses-Terres du Saint-Laurent ".
Le critère D, provient de l'Annexe 1 du "Règlement sur l'enfouissement des sols contaminés ".
Ces références ne sont rapportées qu'à titre indicatif et ne doivent être interprétées dans aucun autre contexte.
A,B-eau souterraine: A=Critère pour fin de consommation; B=Critère pour la résurgence dans les eaux de surface ou infiltration dans les égouts.
Ces références ne sont rapportées qu'à titre indicatif et ne doivent être interprétées dans aucun autre contexte.
- = Ce composé ne fait pas parti de la réglementation.
HAP PAR GCMS (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité (blanc fortifié et blanc de méthode), ni
pour les surrogates.
HYDROCARBURES PAR GCFID (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés pour la récupération des échantillons de contrôle de qualité (blanc fortifié et surrogates).
Veuillez noter que les résultats ont été corrigés pour le blanc de méthode.
HAM PAR GC/MS (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité (blanc fortifié et blanc de méthode), ni
pour les surrogates.
Veuillez noter que les échantillons sont analysés par Headspace GC/MS.
MÉTAUX (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité, ni pour le blanc de méthode.
Veuillez noter que l'échantillon "Q15532-01" n'est pas homogène.
Échantillon Q15532, Métaux par ICP: Test répété.
MÉTAUX-LIXIVIAT LABO (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité, ni pour le blanc de lixiviat.
PARAMÈTRES CONVENTIONNELS (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité, ni pour le blanc de méthode.
PARAMÈTRES CONVENTIONNELS-LIXIVIAT LABO (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité, ni pour le blanc de méthode.
Les limites de détections indiquées sont multipliées par les facteurs de dilution utilisés pour l'analyse des échantillons.
Veuillez noter que les résultats ci-dessus n'ont pas été corrigés pour le blanc de lixiviat.
LIXIVIAT (SOL)
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B206356 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité, ni pour le blanc de méthode.
Les résultats ne se rapportent qu'aux objets soumis à l'essai.
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Rapport Assurance Qualité
Dossier Maxxam: B206356
Les Services exp Inc.
Attention: Mélanie Lhemery
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
P.O. #: L-003-17000
Adresse du site: VERDUN
Lot Date
AQ/CQ Analysé
Num Init Type CQ Paramètre aaaa/mm/jj Valeur Réc Unités
970021 RC3 Blanc de méthode pH de l'eau déionisée 2012/02/13 5.68 n/a
pH final du lixiviat 2012/02/13 4.92 n/a
Volume fluide d'extraction 1 (ml) 2012/02/13 400 n/a
970082 JS2 Blanc fortifié Argent (Ag) 2012/02/14 122 %
Arsenic (As) 2012/02/14 93 %
Baryum (Ba) 2012/02/14 90 %
Cadmium (Cd) 2012/02/14 95 %
Cobalt (Co) 2012/02/14 94 %
Chrome (Cr) 2012/02/14 93 %
Cuivre (Cu) 2012/02/14 95 %
Etain (Sn) 2012/02/14 92 %
Manganèse (Mn) 2012/02/14 94 %
Molybdène (Mo) 2012/02/14 91 %
Nickel (Ni) 2012/02/14 95 %
Plomb (Pb) 2012/02/14 99 %
Zinc (Zn) 2012/02/14 100 %
Blanc de méthode Argent (Ag) 2012/02/14 ND, LDR=0.8 mg/kg
Arsenic (As) 2012/02/14 ND, LDR=5 mg/kg
Baryum (Ba) 2012/02/14 ND, LDR=5 mg/kg
Cadmium (Cd) 2012/02/14 ND, LDR=0.5 mg/kg
Cobalt (Co) 2012/02/14 ND, LDR=2 mg/kg
Chrome (Cr) 2012/02/14 ND, LDR=2 mg/kg
Cuivre (Cu) 2012/02/14 ND, LDR=2 mg/kg
Etain (Sn) 2012/02/14 ND, LDR=4 mg/kg
Manganèse (Mn) 2012/02/14 ND, LDR=2 mg/kg
Molybdène (Mo) 2012/02/14 ND, LDR=1 mg/kg
Nickel (Ni) 2012/02/14 ND, LDR=1 mg/kg
Plomb (Pb) 2012/02/14 ND, LDR=5 mg/kg
Zinc (Zn) 2012/02/14 ND, LDR=10 mg/kg
970215 JF2 Blanc fortifié 4-Bromofluorobenzène 2012/02/14 96 %
D10-Ethylbenzène 2012/02/14 105 %
D4-1,2-Dichloroéthane 2012/02/14 96 %
D8-Toluène 2012/02/14 100 %
Benzène 2012/02/14 90 %
Chlorobenzène 2012/02/14 90 %
1,2-Dichlorobenzène 2012/02/14 85 %
1,3-Dichlorobenzène 2012/02/14 91 %
1,4-Dichlorobenzène 2012/02/14 88 %
Ethylbenzène 2012/02/14 94 %
Styrène 2012/02/14 90 %
Toluène 2012/02/14 90 %
Xylènes totaux 2012/02/14 95 %
Blanc de méthode 4-Bromofluorobenzène 2012/02/14 95 %
D10-Ethylbenzène 2012/02/14 110 %
D4-1,2-Dichloroéthane 2012/02/14 101 %
D8-Toluène 2012/02/14 101 %
Benzène 2012/02/14 ND, LDR=0.1 mg/kg
Chlorobenzène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
1,2-Dichlorobenzène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
1,3-Dichlorobenzène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
1,4-Dichlorobenzène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
Ethylbenzène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
Styrène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
Toluène 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
Xylènes totaux 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/kg
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Rapport Assurance Qualité (Suite)
Dossier Maxxam: B206356
Les Services exp Inc.
Attention: Mélanie Lhemery
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
P.O. #: L-003-17000
Adresse du site: VERDUN
Lot Date
AQ/CQ Analysé
Num Init Type CQ Paramètre aaaa/mm/jj Valeur Réc Unités
970480 AL8 BL. LIXIVIAT Nitrate(N) et Nitrite(N) 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/L
Nitrites (N-NO2-) 2012/02/14 ND, LDR=0.2 mg/L
Blanc fortifié Nitrate(N) et Nitrite(N) 2012/02/14 97 %
Nitrites (N-NO2-) 2012/02/14 93 %
Blanc de méthode Nitrate(N) et Nitrite(N) 2012/02/14 ND, LDR=0.02 mg/L
Nitrites (N-NO2-) 2012/02/14 ND, LDR=0.02 mg/L
970485 MR4 BL. LIXIVIAT Fluorure (F) 2012/02/14 ND, LDR=1 mg/L
Blanc fortifié Fluorure (F) 2012/02/14 100 %
970491 SC5 BL. LIXIVIAT Mercure (Hg) 2012/02/14 ND, LDR=0.01 mg/L
Arsenic (As) 2012/02/14 ND, LDR=0.004 mg/L
Baryum (Ba) 2012/02/14 0.006, LDR=0.005 mg/L
Bore (B) 2012/02/14 0.2, LDR=0.1 mg/L
Cadmium (Cd) 2012/02/14 ND, LDR=0.002 mg/L
Chrome (Cr) 2012/02/14 ND, LDR=0.007 mg/L
Plomb (Pb) 2012/02/14 ND, LDR=0.01 mg/L
Sélénium (Se) 2012/02/14 ND, LDR=0.005 mg/L
Uranium (U) 2012/02/14 ND, LDR=0.02 mg/L
Blanc fortifié Mercure (Hg) 2012/02/14 101 %
Arsenic (As) 2012/02/14 98 %
Baryum (Ba) 2012/02/14 94 %
Bore (B) 2012/02/14 104 %
Cadmium (Cd) 2012/02/14 95 %
Chrome (Cr) 2012/02/14 97 %
Plomb (Pb) 2012/02/14 96 %
Sélénium (Se) 2012/02/14 94 %
Uranium (U) 2012/02/14 97 %
Blanc de méthode Mercure (Hg) 2012/02/14 ND, LDR=0.01 mg/L
Arsenic (As) 2012/02/14 ND, LDR=0.004 mg/L
Baryum (Ba) 2012/02/14 ND, LDR=0.005 mg/L
Bore (B) 2012/02/14 ND, LDR=0.1 mg/L
Cadmium (Cd) 2012/02/14 ND, LDR=0.002 mg/L
Chrome (Cr) 2012/02/14 ND, LDR=0.007 mg/L
Plomb (Pb) 2012/02/14 ND, LDR=0.01 mg/L
Sélénium (Se) 2012/02/14 ND, LDR=0.005 mg/L
Uranium (U) 2012/02/14 ND, LDR=0.02 mg/L
970691 DKH Matériau de
référence certifié Soufre (S) 2012/02/15 99 %
Blanc de méthode Soufre (S) 2012/02/15 0.01, LDR=0.01 %
970848 YW Blanc fortifié 1-Chlorooctadécane 2012/02/15 79 %
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) 2012/02/15 89 %
Blanc de méthode 1-Chlorooctadécane 2012/02/15 79 %
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) 2012/02/15 ND, LDR=100 mg/kg
970854 EP Blanc fortifié D10-Anthracène 2012/02/15 86 %
D12-Benzo(a)pyrène 2012/02/15 73 %
D14-Terphenyl 2012/02/15 104 %
D8-Acenaphthylene 2012/02/15 87 %
D8-Naphtalène 2012/02/15 80 %
Acénaphtène 2012/02/15 80 %
Acénaphtylène 2012/02/15 81 %
Anthracène 2012/02/15 85 %
Benzo(a)anthracène 2012/02/15 86 %
Benzo(a)pyrène 2012/02/15 66 %
Benzo(b+j+k)fluoranthène 2012/02/15 73 %
Benzo(c)phénanthrène 2012/02/15 84 %
Benzo(ghi)pérylène 2012/02/15 69 %
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Rapport Assurance Qualité (Suite)
Dossier Maxxam: B206356
Les Services exp Inc.
Attention: Mélanie Lhemery
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
P.O. #: L-003-17000
Adresse du site: VERDUN
Lot Date
AQ/CQ Analysé
Num Init Type CQ Paramètre aaaa/mm/jj Valeur Réc Unités
970854 EP Blanc fortifié Chrysène 2012/02/15 89 %
Dibenz(a,h)anthracène 2012/02/15 68 %
Dibenzo(a,i)pyrène 2012/02/15 23 ( 1 ) %
Dibenzo(a,h)pyrène 2012/02/15 58 %
Dibenzo(a,l)pyrène 2012/02/15 60 %
7,12-Diméthylbenzanthracène 2012/02/15 62 %
Fluoranthène 2012/02/15 82 %
Fluorène 2012/02/15 94 %
Indéno(1,2,3-cd)pyrène 2012/02/15 69 %
3-Méthylcholanthrène 2012/02/15 67 %
Naphtalène 2012/02/15 79 %
Phénanthrène 2012/02/15 86 %
Pyrène 2012/02/15 83 %
2-Méthylnaphtalène 2012/02/15 71 %
1-Méthylnaphtalène 2012/02/15 70 %
1,3-Diméthylnaphtalène 2012/02/15 75 %
2,3,5-Triméthylnaphtalène 2012/02/15 75 %
Blanc de méthode D10-Anthracène 2012/02/15 85 %
D12-Benzo(a)pyrène 2012/02/15 53 %
D14-Terphenyl 2012/02/15 102 %
D8-Acenaphthylene 2012/02/15 88 %
D8-Naphtalène 2012/02/15 85 %
Acénaphtène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Acénaphtylène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Anthracène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(a)anthracène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(a)pyrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(b+j+k)fluoranthène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(c)phénanthrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(ghi)pérylène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Chrysène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenz(a,h)anthracène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenzo(a,i)pyrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenzo(a,h)pyrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenzo(a,l)pyrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
7,12-Diméthylbenzanthracène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Fluoranthène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Fluorène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Indéno(1,2,3-cd)pyrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
3-Méthylcholanthrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Naphtalène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Phénanthrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
Pyrène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
2-Méthylnaphtalène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
1-Méthylnaphtalène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
1,3-Diméthylnaphtalène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
2,3,5-Triméthylnaphtalène 2012/02/15 ND, LDR=0.1 mg/kg
972779 MP Blanc fortifié 1-Chlorooctadécane 2012/02/21 83 %
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) 2012/02/21 99 %
Blanc de méthode 1-Chlorooctadécane 2012/02/21 83 %
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) 2012/02/21 ND, LDR=100 mg/kg
973087 AL5 Matériau de
référence certifié Manganèse (Mn) 2012/02/22 94 %
Blanc fortifié Manganèse (Mn) 2012/02/22 103 %
Blanc de méthode Manganèse (Mn) 2012/02/22 ND, LDR=2 mg/kg
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Rapport Assurance Qualité (Suite)
Dossier Maxxam: B206356
Les Services exp Inc.
Attention: Mélanie Lhemery
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
P.O. #: L-003-17000
Adresse du site: VERDUN
Blanc de lixiviat: Blanc contenant les réactifs utilisés dans le processus de lixiviation. Sert à évaluer toutes contaminations de procédure.
Matériau de référence certifié: Matériau dont une ou plusieurs valeurs des propriétés sont certifiées par une procédure techniquement
valide, délivré par un organisme de certification et accompagné d’un certificat. Sert à évaluer l’exactitude d’une méthode analytique.
Blanc fortifié: Blanc auquel a été ajouté une quantité connue d’un ou de plusieurs composés chimiques d’intérêts. Sert à évaluer la
récupération des composés d’intérêts.
Blanc de méthode: Une partie aliquote de matrice pure soumise au même processus analytique que les échantillons, du prétraitement au
dosage. Sert à évaluer toutes contaminations du laboratoire.
Surrogate: Composé se comportant de façon similaire aux composés analysés et ajouté à l’échantillon avant l’analyse. Sert à évaluer la
qualité de l’extraction.
LDR = Limite de détection rapportée
Réc = Récupération
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du
contrôle qualité rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Dossier Maxxam: B206356
Page des signatures de validation
Les résultats analytiques ainsi que les données de contrôle-qualité contenus dans ce rapport furent vérifiés et validés par les
personnes suivantes:
ALEXANDRE LEMIRE, M.Sc., Analyste 2
ALAIN SAINT-JEAN, B.Sc., Chimiste, Superviseur
ABDESLAM SIAIDA, Analyste II
NOUREDDINE CHAFIAAI, B.Sc., Chimiste
MARIE-CLAUDE POUPART, B.Sc., Chimiste
DELIA BARBUL, B.Sc., Chimiste
Page 33 de 39 2012/02/23 16:22

Dossier Maxxam: B206356
Page des signatures de validation
Les résultats analytiques ainsi que les données de contrôle-qualité contenus dans ce rapport furent vérifiés et validés par les
personnes suivantes:
MARIA CHRIFI ALAOUI, B.Sc., Chimiste
MADINA HAMROUNI, B.Sc., Chimiste
TIEN NGUYEN THI, B.Sc., Chimiste
====================================================================
Maxxam a mis en place des procédures qui protègent contre l’utilisation non autorisée de la signature électronique et emploie les "signataires" requis,
conformément à la section 5.10.2 de la norme ISO/CEI 17025:2005(E). Veuillez vous référer à la page des signatures de validation pour obtenir les détails
des validations pour chaque division.
Page 34 de 39 2012/02/23 16:22

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Page 36 de 39 2012/02/23 16:22

Page 37 de 39 2012/02/23 16:22

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Attention: Mélanie Lhemery
Les Services exp Inc.
MONTRÉAL rue 19e Avenue
8487, 19e Avenue
Montréal, PQ
Canada H1Z 4J2
# DE DOSSIER MAXXAM: B208307
Reçu: 2012/02/21, 16:05
Matrice: SOL
Nombre d'échantillons reçus: 2
CERTIFICAT D'ANALYSES
Votre # de commande: L-003-17000
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Adresse du site: VERDUN
Votre # Bordereau: e846804
Date du rapport: 2012/02/23
Date de l' Date
Analyses Quantité extraction Analysé Méthode de laboratoire Référence primaire
Hydrocarbures pétroliers (C10-C50) 2 2012/02/22 2012/02/23 STL SOP-00172 MA. 416-C10-C50 1.0
Frais de gestion 2 N/A 2012/02/22
Métaux par ICP 2 2012/02/22 2012/02/22 STL SOP-00006 MA.200- Mét 1.2
Hydrocarbures aromatiques polycycliques 2 2012/02/22 2012/02/22 STL SOP-00178 MA. 400 - HAP 1.1
clé de cryptage
Rita Kurdoghlanian
23 Feb 2012 09:15:10 -05:00
Veuillez adresser toute question concernant ce certificat d'analyse à votre chargé(e) de projets
LORENA DI BENEDETTO, B.Sc., chimiste, Chargée de projet
Email: LDibenedetto@maxxam.ca
Phone# (514) 448-9001 Ext:4262
====================================================================
Maxxam a mis en place des procédures qui protègent contre l’utilisation non autorisée de la signature électronique et emploie les
"signataires" requis, conformément à la section 5.10.2 de la norme ISO/CEI 17025:2005(E). Veuillez vous référer à la page des signatures de
validation pour obtenir les détails des validations pour chaque division.
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B208307 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 2 4 0 7 4 Q 2 4 0 7 5
Date d'échantillonnage 2012/02/06 2012/02/06
# Bordereau e846804 e846804
U n i t é s A B C D F11-CF4 F10-CF1 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 14 40
HAP
Acénaphtène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.1 0.1 973184
Acénaphtylène mg/kg 0.1 10 100 100 ND ND 0.1 973184
Anthracène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.8 0.1 973184
Benzo(a)anthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 1.1 0.1 973184
Benzo(a)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 0.7 0.1 973184
Benzo(b+j+k)fluoranthène mg/kg 0.1 1 10 136 ND 1.4 0.1 973184
Benzo(c)phénanthrène mg/kg 0.1 1 10 56 ND 0.2 0.1 973184
Benzo(ghi)pérylène mg/kg 0.1 1 10 18 ND 0.3 0.1 973184
Chrysène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 1.1 0.1 973184
Dibenz(a,h)anthracène mg/kg 0.1 1 10 82 ND 0.1 0.1 973184
Dibenzo(a,i)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 973184
Dibenzo(a,h)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 973184
Dibenzo(a,l)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 973184
7,12-Diméthylbenzanthracène mg/kg 0.1 1 10 34 ND ND 0.1 973184
Fluoranthène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 2.8 0.1 973184
Fluorène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 0.2 0.1 973184
Indéno(1,2,3-cd)pyrène mg/kg 0.1 1 10 34 ND 0.4 0.1 973184
3-Méthylcholanthrène mg/kg 0.1 1 10 150 ND ND 0.1 973184
Naphtalène mg/kg 0.1 5 50 56 ND 0.1 0.1 973184
Phénanthrène mg/kg 0.1 5 50 56 ND 2.6 0.1 973184
Pyrène mg/kg 0.1 10 100 100 ND 1.9 0.1 973184
2-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 973184
1-Méthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 973184
1,3-Diméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 973184
2,3,5-Triméthylnaphtalène mg/kg 0.1 1 10 56 ND ND 0.1 973184
Récupération des Surrogates (%)
D10-Anthracène % - - - - 92 92 973184
D12-Benzo(a)pyrène % - - - - 74 74 973184
D14-Terphenyl % - - - - 96 102 973184
D8-Acenaphthylene % - - - - 88 88 973184
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B208307 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HAP PAR GCMS (SOL)
ID Maxxam Q 2 4 0 7 4 Q 2 4 0 7 5
Date d'échantillonnage 2012/02/06 2012/02/06
# Bordereau e846804 e846804
U n i t é s A B C D F11-CF4 F10-CF1 LDR Lot CQ
D8-Naphtalène % - - - - 82 86 973184
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B208307 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
HYDROCARBURES PAR GCFID (SOL)
ID Maxxam Q 2 4 0 7 4 Q 2 4 0 7 5
Date d'échantillonnage 2012/02/06 2012/02/06
# Bordereau e846804 e846804
U n i t é s A B C D F11-CF4 F10-CF1 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 14 40
HYDRO. PÉTROLIERS TOTAUX
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) mg/kg 300 700 3500 10000 ND ND 100 973182
Récupération des Surrogates (%)
1-Chlorooctadécane % - - - - 75 82 973182
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Les Services exp Inc.
Dossier Maxxam: B208307 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
MÉTAUX (SOL)
ID Maxxam Q 2 4 0 7 4 Q 2 4 0 7 5
Date d'échantillonnage 2012/02/06 2012/02/06
# Bordereau e846804 e846804
U n i t é s A B C D F11-CF4 F10-CF1 LDR Lot CQ
% Humidité % - - - - 14 40
MÉTAUX
Argent (Ag) mg/kg 2 20 40 200 ND ND 0.8 973224
Arsenic (As) mg/kg 6 30 50 250 5 16 5 973224
Baryum (Ba) mg/kg 200 500 2000 10000 99 150 5 973224
Cadmium (Cd) mg/kg 1.5 5 20 100 ND ND 0.5 973224
Cobalt (Co) mg/kg 15 50 300 1500 10 6 2 973224
Chrome (Cr) mg/kg 85 250 800 4000 16 21 2 973224
Cuivre (Cu) mg/kg 40 100 500 2500 40 32 2 973224
Etain (Sn) mg/kg 5 50 300 1500 ND ND 4 973224
Manganèse (Mn) mg/kg 770 1000 2200 11000 630 380 2 973224
Molybdène (Mo) mg/kg 2 10 40 200 1 1 1 973224
Nickel (Ni) mg/kg 50 100 500 2500 28 15 1 973224
Plomb (Pb) mg/kg 50 500 1000 5000 10 83 5 973224
Zinc (Zn) mg/kg 110 500 1500 7500 88 130 10 973224
ND = inférieur à la limite de détection rapportée
LDR = Limite de détection rapportée
Lot CQ = Lot contrôle qualité
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Dossier Maxxam: B208307 Votre # du projet: LBPG-51297-3150
Date du rapport: 2012/02/23 Adresse du site: VERDUN
Votre # de commande: L-003-17000
Initiales du préleveur: NB
REMARQUES GÉNÉRALES
État des échantillons à l'arrivée:
Hydrocarbures pétroliers (C10-C50): Échantillon reçu congelé.: Q24074, Q24075
Métaux par ICP: Échantillon reçu congelé.: Q24074, Q24075
Hydrocarbures aromatiques polycycliques: Échantillon reçu congelé.: Q24074, Q24075
Tous les résultats sont calculés sur une base sèche excepté lorsque non-applicable.
A,B,C,D: Ces critères proviennent de l'Annexe 2 de la "Politique de protection des sols et de réhabilitation des terrains contaminés. Pour les
analyses de métaux(et métalloides) dans les sols, le critère A désigne la " Teneur de fond Secteur Basses-Terres du Saint-Laurent ".
Le critère D, provient de l'Annexe 1 du "Règlement sur l'enfouissement des sols contaminés ".
Ces références ne sont rapportées qu'à titre indicatif et ne doivent être interprétées dans aucun autre contexte.
A,B-eau souterraine: A=Critère pour fin de consommation; B=Critère pour la résurgence dans les eaux de surface ou infiltration dans les égouts.
Ces références ne sont rapportées qu'à titre indicatif et ne doivent être interprétées dans aucun autre contexte.
- = Ce composé ne fait pas parti de la réglementation.
HAP PAR GCMS (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité (blanc fortifié et blanc de méthode), ni
pour les surrogates.
HYDROCARBURES PAR GCFID (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés pour la récupération des échantillons de contrôle de qualité (blanc fortifié et surrogates).
Veuillez noter que les résultats ont été corrigés pour le blanc de méthode.
MÉTAUX (SOL)
Veuillez noter que les résultats n'ont pas été corrigés ni pour la récupération des échantillons de contrôle qualité, ni pour le blanc de méthode.
Les résultats ne se rapportent qu'aux objets soumis à l'essai.
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Rapport Assurance Qualité
Dossier Maxxam: B208307
Les Services exp Inc.
Attention: Mélanie Lhemery
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
P.O. #: L-003-17000
Adresse du site: VERDUN
Lot Date
AQ/CQ Analysé
Num Init Type CQ Paramètre aaaa/mm/jj Valeur Réc Unités
973182 MCF Blanc fortifié 1-Chlorooctadécane 2012/02/23 95 %
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) 2012/02/23 91 %
Blanc de méthode 1-Chlorooctadécane 2012/02/23 82 %
Hydrocarbures Pétroliers (C10-C50) 2012/02/23 110, LDR=100 mg/kg
973184 MA1 Blanc fortifié D10-Anthracène 2012/02/22 88 %
D12-Benzo(a)pyrène 2012/02/22 80 %
D14-Terphenyl 2012/02/22 100 %
D8-Acenaphthylene 2012/02/22 90 %
D8-Naphtalène 2012/02/22 84 %
Acénaphtène 2012/02/22 97 %
Acénaphtylène 2012/02/22 97 %
Anthracène 2012/02/22 119 %
Benzo(a)anthracène 2012/02/22 96 %
Benzo(a)pyrène 2012/02/22 92 %
Benzo(b+j+k)fluoranthène 2012/02/22 92 %
Benzo(c)phénanthrène 2012/02/22 93 %
Benzo(ghi)pérylène 2012/02/22 86 %
Chrysène 2012/02/22 94 %
Dibenz(a,h)anthracène 2012/02/22 86 %
Dibenzo(a,i)pyrène 2012/02/22 87 %
Dibenzo(a,h)pyrène 2012/02/22 70 %
Dibenzo(a,l)pyrène 2012/02/22 80 %
7,12-Diméthylbenzanthracène 2012/02/22 67 %
Fluoranthène 2012/02/22 104 %
Fluorène 2012/02/22 103 %
Indéno(1,2,3-cd)pyrène 2012/02/22 100 %
3-Méthylcholanthrène 2012/02/22 101 %
Naphtalène 2012/02/22 97 %
Phénanthrène 2012/02/22 107 %
Pyrène 2012/02/22 99 %
2-Méthylnaphtalène 2012/02/22 94 %
1-Méthylnaphtalène 2012/02/22 85 %
1,3-Diméthylnaphtalène 2012/02/22 85 %
2,3,5-Triméthylnaphtalène 2012/02/22 77 %
Blanc de méthode D10-Anthracène 2012/02/22 94 %
D12-Benzo(a)pyrène 2012/02/22 80 %
D14-Terphenyl 2012/02/22 100 %
D8-Acenaphthylene 2012/02/22 88 %
D8-Naphtalène 2012/02/22 84 %
Acénaphtène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Acénaphtylène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Anthracène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(a)anthracène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(a)pyrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(b+j+k)fluoranthène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(c)phénanthrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Benzo(ghi)pérylène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Chrysène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenz(a,h)anthracène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenzo(a,i)pyrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenzo(a,h)pyrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Dibenzo(a,l)pyrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
7,12-Diméthylbenzanthracène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Fluoranthène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Fluorène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
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Rapport Assurance Qualité (Suite)
Dossier Maxxam: B208307
Les Services exp Inc.
Attention: Mélanie Lhemery
Votre # du projet: LBPG-51297-3150
P.O. #: L-003-17000
Adresse du site: VERDUN
Lot Date
AQ/CQ Analysé
Num Init Type CQ Paramètre aaaa/mm/jj Valeur Réc Unités
973184 MA1 Blanc de méthode Indéno(1,2,3-cd)pyrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
3-Méthylcholanthrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Naphtalène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Phénanthrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
Pyrène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
2-Méthylnaphtalène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
1-Méthylnaphtalène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
1,3-Diméthylnaphtalène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
2,3,5-Triméthylnaphtalène 2012/02/22 ND, LDR=0.1 mg/kg
973224 AL5 Blanc fortifié Argent (Ag) 2012/02/22 130 ( 1 ) %
Arsenic (As) 2012/02/22 103 %
Baryum (Ba) 2012/02/22 103 %
Cadmium (Cd) 2012/02/22 98 %
Cobalt (Co) 2012/02/22 100 %
Chrome (Cr) 2012/02/22 102 %
Cuivre (Cu) 2012/02/22 105 %
Etain (Sn) 2012/02/22 95 %
Manganèse (Mn) 2012/02/22 102 %
Molybdène (Mo) 2012/02/22 96 %
Nickel (Ni) 2012/02/22 103 %
Plomb (Pb) 2012/02/22 101 %
Zinc (Zn) 2012/02/22 102 %
Blanc de méthode Argent (Ag) 2012/02/22 ND, LDR=0.8 mg/kg
Arsenic (As) 2012/02/22 ND, LDR=5 mg/kg
Baryum (Ba) 2012/02/22 ND, LDR=5 mg/kg
Cadmium (Cd) 2012/02/22 ND, LDR=0.5 mg/kg
Cobalt (Co) 2012/02/22 ND, LDR=2 mg/kg
Chrome (Cr) 2012/02/22 ND, LDR=2 mg/kg
Cuivre (Cu) 2012/02/22 ND, LDR=2 mg/kg
Etain (Sn) 2012/02/22 ND, LDR=4 mg/kg
Manganèse (Mn) 2012/02/22 ND, LDR=2 mg/kg
Molybdène (Mo) 2012/02/22 ND, LDR=1 mg/kg
Nickel (Ni) 2012/02/22 ND, LDR=1 mg/kg
Plomb (Pb) 2012/02/22 ND, LDR=5 mg/kg
Zinc (Zn) 2012/02/22 ND, LDR=10 mg/kg
Blanc fortifié: Blanc auquel a été ajouté une quantité connue d’un ou de plusieurs composés chimiques d’intérêts. Sert à évaluer la
récupération des composés d’intérêts.
Blanc de méthode: Une partie aliquote de matrice pure soumise au même processus analytique que les échantillons, du prétraitement au
dosage. Sert à évaluer toutes contaminations du laboratoire.
Surrogate: Composé se comportant de façon similaire aux composés analysés et ajouté à l’échantillon avant l’analyse. Sert à évaluer la
qualité de l’extraction.
LDR = Limite de détection rapportée
Réc = Récupération
( 1 ) La récupération ou l'écart relatif (RPD) pour ce composé est en dehors des limites de contrôle, mais l’ensemble du
contrôle qualité rencontre les critères d’acceptabilité pour cette analyse
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Dossier Maxxam: B208307
Page des signatures de validation
Les résultats analytiques ainsi que les données de contrôle-qualité contenus dans ce rapport furent vérifiés et validés par les
personnes suivantes:
CORINA TUE, B.Sc. Chimiste
DANIELA MAZILU, B.Sc. Chimiste
MARIA CHRIFI ALAOUI, B.Sc., Chimiste
====================================================================
Maxxam a mis en place des procédures qui protègent contre l’utilisation non autorisée de la signature électronique et emploie les "signataires" requis,
conformément à la section 5.10.2 de la norme ISO/CEI 17025:2005(E). Veuillez vous référer à la page des signatures de validation pour obtenir les détails
des validations pour chaque division.
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Annexe F –
Commission scolaire Lester B. Pearson
Caractérisation environnementale des sols et étude géotechnique sommaire
École Verdun, 610, avenue Desmarchais, Montréal (Québec)
LBPG-00051297-00-31-50
Grille de gestion des sols contaminés excavés intérimaire
x:\projets\lbpg\00051297\003150\réalisation du mandat\g-rapports\rap-mtl213503.doc

Centres de traitement et lieux
d'enfouissement autorisés
Liste des experts
Loi et règlements
Protection des sols et réhabilitation
des terrains contaminés
Publications
Répertoire des dépôts de sols et de
résidus industriels
Répertoire des terrains contaminés
ABACABDAEFAAEABABAAAABBAAAA
CAAABAEABAABEBAEABAAAABAE
ABCDEAFFFACEAFCCEF
DEEF
CAFEAFFFDEEFDFECC
AAAAEAEEAAAAA
EAAAEAAAA
CAAACAAAAAACAAAAAA
EAAAAAAEE
AEAEACECCAAAAA
AAAAAAACAAAEAA
A
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* * EAAAAEAAEEA
* * * AAAAAAAAEAAECA
EAAEEAAAADBFFCEFF
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EAEAAEAAAECAA
EAAAAABCDEAFFFACEAFCCEF
DEEF
AAAAAAA
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AEAEAA

CHAPITRE F
Devis technique
Structure
Les Services exp inc.

COMMISSION SCOLAIRE LESTER B.PEARSON COFFRAGES POUR BÉTON SECTION 02 10 00
École primaire Verdun
Réfection des aires asphaltées, de mur de
soutènement, d’escaliers, de panneaux et
de mur de béton, de clôtures, d’allèges de fenêtres
et enlèvement du sol contaminé du terrain de l’école
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PROJET N° : LBPG-00051297-005030 2006-05
PARTIE 1 GÉNÉRALITÉS
1.1 PORTÉE DES TRAVAUX
.1 Fournir toute la main-d’œuvre, les matériaux, l'équipement, l'outillage et les services requis pour
l'exécution complète des travaux de coffrage requis pour les réparations, montrés sur les plans
et spécifiés dans la présente section.
1.2 SECTIONS CONNEXES
.1 Section 03200 – Armatures pour béton.
.2 Section 03300 – Béton et produits de réparation.
1.3 RÉFÉRENCES
.1 Sauf stipulation ou indication contraire sur les dessins, les travaux doivent être exécutés
conformément à la dernière édition en vigueur des normes et codes suivants.
.1 CSA-A23.1, « Béton - Constituants et exécution des travaux »
.2 Rapport ACI 347R, « Guide to Formwork For Concrete »
.3 CAN/CSA-086, « Règle de calcul aux états limites des charpentes de bois »
.4 CAN/CSA-0141, « Bois débité de résineux »
.5 CSA-0121, « Contreplaqué en sapin de Douglas »
.6 CSA-151, « Contreplaqué en bois de résineux canadiens »
.7 CSA-S269.1, « Falsework for Construction Purposes »
.8 CAN/CSA-S269.3, « Coffrages »
.9 Code de santé et sécurité au travail
1.4 DESSINS D'ATELIER
.1 À moins de directives contraires de la part de l'Ingénieur, les dessins d'atelier des coffrages
doivent être préparés avant la construction des coffrages et sont sujets à revue. L'Entrepreneur
doit faire approuver ses méthodes de coffrage par l'autorité ayant juridiction.
.2 Les dessins d'atelier doivent indiquer clairement la méthode de construction et le calendrier des
travaux, les matériaux, la disposition des joints, attaches, étais, revêtements intérieurs, et
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Réfection des aires asphaltées, de mur de
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PROJET N° : LBPG-00051297-005030 2006-05
l'emplacement des pièces temporaires encastrées. Les dessins doivent être signés par un
ingénieur membre de l'Ordre des ingénieurs du Québec.
.3 Les dessins des coffrages doivent clairement indiquer les séquences de ré-étaiement, s'il y a
lieu, ainsi que la position des étais.
1.5 MESURAGE AUX FINS DE PAIEMENT
.1 Le coût des travaux de coffrage pour béton est inclus dans le prix global forfaitaire de la
soumission. À défaut d'un item spécifique au bordereau de soumission, le coût est inclus dans
le prix du béton. Il n'y a pas de mesurage pour fins de paiement.
PARTIE 2 PRODUITS
2.1 MATÉRIAUX
.1 Matériaux de coffrage.
.1 Pour la mise en place de béton ne présentant pas de caractéristiques architecturales
particulières, utiliser des coffrages en bois et en produits dérivés du bois conformes aux
normes CSA-0151, CSA-0121 et CAN/CSA-086.
.2 Pour la mise en place de béton présentant des caractéristiques architecturales
particulières, utiliser des matériaux de coffrages conformes à la norme CSA-A23.1.
.2 Tirants pour coffrages.
.1 Dans le cas du béton ne devant pas présenter de caractéristiques architecturales,
utiliser des tirants métalliques amovibles ou à découpage rapide, de longueur fixe ou
réglable, ne comptant aucun dispositif qui pourrait laisser sur la surface du béton des
trous d’un diamètre supérieur à 25 mm et ayant une profondeur minimale de 15 mm de
la surface du béton après le décoffrage.
.2 Dans le cas du béton devant présenter des caractéristiques architecturales, utiliser des
tirants équipés de cônes de plastique et de bouchons en béton gris pâle de 20 mm de
diamètre et de 25 mm de longueur.
.3 Revêtement intérieur pour coffrages.
.1 Contre-plaqué : Douglas taxifolié conforme à la norme CSA-0121 à revêtement de
moyenne densité, rives équarries de 19 mm d’épaisseur.
.4 Agent de décoffrage : huile minérale incolore, non toxique, à faible teneur en composé
organique volatile (COV), exempte de kérosène.
.5 Matériaux pour ouvrages d’étaiements temporaires : conformes à la norme CSA-S269.1.
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2.2 COFFRAGES PRÉFABRIQUÉS
.1 Si l'Entrepreneur utilise un sous-traitant en coffrage préfabriqué, il doit suivre les instructions
suivantes :
.1 L'Entrepreneur général doit vérifier toutes les dimensions verticales et horizontales des
coffrages, cambrures, angle de rotation, etc., avant chaque coulée.
.2 L'Entrepreneur doit ajouter tout le contreventement nécessaire pour conserver les
coffrages en ligne droite et parfaitement perpendiculaires lors des opérations de
bétonnage.
.3 La période de maintien des coffrages est la même que pour les coffrages traditionnels.
.4 Après le décoffrage, l'Entrepreneur doit enlever toutes les bosses, remplir les vides et
meuler le béton où nécessaire afin de donner une surface lisse et de belle apparence.
.5 Les coffrages préfabriqués ne sont pas permis pour le béton apparent.
2.3 HUILE DE DÉCOFFRAGE
.1 Partout où le béton doit rester apparent, on doit utiliser des agents de décoffrage qui ne tachent
pas. On ne doit utiliser que la quantité de matériau minimale et enlever toute quantité qui aurait
pu atteindre l'armature. Lorsque la surface de béton est destinée à recevoir un enduit de finition
permanent, l'agent de décoffrage doit être compatible avec l'enduit.
2.4 MOULURES DE CHANFREIN
.1 Sauf indication contraire, aux coins saillants des surfaces visibles, des moulures de chanfrein
fabriquées de pin ou de PVC doivent être utilisées de manière à former un chanfrein d'une
dimension minimale de 25 mm à 45°.
PARTIE 3 EXÉCUTION
3.1 CONSTRUCTION
.1 L'Entrepreneur demeure le seul maître des moyens et méthodes d'exécution, en assume seul la
responsabilité. L'intervention de l'Ingénieur ne dégage pas l'Entrepreneur de ses
responsabilités ; inversement, sa non-intervention ne constitue pas pour autant une approbation
de ces moyens ou méthodes. Signaler aussitôt toute discordance entre les plans de structure,
d'architecture, de mécanique et d'électricité.
.2 Avant d'entreprendre la construction des coffrages, vérifier les alignements, niveaux et
s'assurer que les dimensions correspondent à celles indiquées dans les dessins. Coordonner
l'emplacement du béton apparent avec les plans d'architecture.
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.3 Obtenir l'approbation de l'Ingénieur avant de couler du béton directement dans le sol. Avant de
couler le béton, dresser les parois et aplanir le fond de la zone creusée. Enlever la terre lâche.
.4 Construire les ouvrages provisoires selon la norme CSA-S269.1.
.5 Les coffrages doivent être installés de façon à obtenir une surface dans le même plan que les
surfaces environnantes tout en conservant un recouvrement des armatures de 50 mm, et de
manière à éviter les fuites du béton sur le pourtour de la réparation.
.6 Pour les surfaces de béton apparentes, aligner les joints des coffrages et les rendre étanches.
Réduire au minimum le nombre de joints dans les coffrages.
.7 Se reporter aux dessins d’architecture dans le cas d’éléments en béton à fini architectural
apparent.
.8 Des étais et contreventements adéquats doivent être mis en place pour assurer la stabilité des
coffrages et résister de façon sécuritaire aux charges statiques et dynamiques auxquelles les
coffrages seront soumis.
.9 Les coffrages doivent être neufs, parfaitement étanches et suffisamment rigides pour pouvoir
résister à la poussée d’un béton très fluide sans subir de déformation.
3.2 TRAITEMENT DES SURFACES
.1 Nettoyer l’intérieur des coffrages de tout débris à l’aide d’un jet d’air ou d’un jet d’eau sous
pression ou bien d’un aspirateur.
.2 Par température froide, à moins que les coffrages et le coulage du béton ne s'effectuent dans
une enceinte chauffée, ne pas utiliser d'eau pour nettoyer les coffrages. Utiliser de l'air
comprimé ou autres méthodes pour enlever les corps étrangers.
.3 Enduire les surfaces intérieures des coffrages d'un agent ne tachant pas et facilitant
l'enlèvement des coffrages. Appliquer cet agent avant l'installation de l'acier d'armature, des
appareils d'ancrage et des pièces encastrées.
.4 Prendre soin de ne pas enduire l'armature. L'armature qui est souillée par l'agent de décoffrage
doit être nettoyée au savon ou à la vapeur avant le bétonnage.
.5 Lorsque la surface finie doit être peinte, l'agent de décoffrage appliqué aux surfaces des
coffrages doit laisser la surface de béton libre d'huile ou de graisse.
.6 Saturer la surface intérieure des coffrages non traités, sujets au rétrécissement et à l'absorption
d'eau, avec de l'eau propre et la tenir humide jusqu'à la coulée du béton.
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3.3 OUVERTURES ET ANCRAGES
.1 Des ouvertures coffrées doivent être prévues pour les tuyaux, conduits, manchons et autres
ouvrages encastrés et traversant les membrures de béton. Prévoir une armature additionnelle
autour des ouvertures, tel qu'indiqué aux plans.
.2 Incorporer les ancrages, les manchons et les autres pièces noyées requises pour les ouvrages
spécifiés dans d’autres sections. Veiller à ce que tous les ancrages et toutes les pièces noyées
ne fassent pas saillie sur des surfaces devant être revêtues d’un produit de finition, une couche
de peinture par exemple.
.3 Aucun coffrage ou mise en place d'ouvertures, rainures, évidements, châsses, manchons, etc.
ne doit être effectué à moins d'être spécifiquement indiqué sur les plans ou approuvé
préalablement à l'installation par l'Ingénieur.
3.4 ATTESTATION DE CONFORMITÉ
.1 Après chaque inspection, l'Ingénieur de l'Entrepreneur doit préparer une attestation signée et
scellée de la conformité des travaux pour autoriser le bétonnage.
.2 L'Ingénieur ne procédera à l'autorisation de bétonnage que lorsque toutes les exigences
énoncées dans la présente section auront été satisfaites.
3.5 DÉCOFFRAGE
.1 L'Entrepreneur demeure toujours le seul responsable si les coffrages et les étaiements sont
enlevés avant que le béton n'ait atteint la résistance minimale exigée dans le devis.
.2 De façon générale, avec l'approbation de l'Ingénieur, le décoffrage peut être effectué après les
périodes de temps suivantes (ces périodes représentent le cumul du nombre de jours où la
température est supérieure à 10°C) :
.1 3 jours pour les réparations du mur de soutènement et des façades du bâtiment.
.2 1 jour pour les réparations des escaliers.
.3 Compléter le mûrissement du béton de façon appropriée et traiter et protéger le béton apparent
de la manière spécifiée lorsque les coffrages sont enlevés pendant la période de mûrissement.
.4 S'il faut utiliser de nouveau les coffrages et les ouvrages provisoires, se conformer à la norme
CSA-A23.1.
FIN DE LA SECTION
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École élémentaire Verdun – projet 1116
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PARTIE 1 GÉNÉRALITÉS
1.1 PORTÉE DES TRAVAUX
.1 L'Entrepreneur doit fournir tous les services, les matériaux, la main-d’œuvre et l'équipement
nécessaires pour la fabrication, le pliage, le transport et la pose de l'acier d'armature du béton
armé en barres ou en treillis, tel que montré sur les plans et spécifié dans la présente section.
.2 L'Entrepreneur doit préparer tous les dessins de localisation de l'armature et toutes les listes de
pliage des barres, incluant les poids en conformité avec la pratique courante et les dessins de
conception.
1.2 SECTIONS CONNEXES
.1 Section 03100 – Coffrages pour béton.
.2 Section 03300 – Béton et produits de réparation.
1.3 RÉFÉRENCES
.1 Sauf indication contraire dans le devis ou sur les dessins, les travaux doivent être exécutés
conformément aux normes et codes suivants, dernière édition :
.1 CSA-A23.1, « Béton - Constituants et exécution des travaux ».
.2 CSA G30.3, « Fil d'acier étiré à froid pour l'armature du béton ».
.3 CSA G30.5, « Treillis d'acier à mailles soudées pour l'armature du béton ».
.4 CAN/CSA G30.18, « Barres d'acier en billettes pour l'armature du béton ».
.5 CSA G30.14, « Fil d'acier crénelé pour l'armature du béton ».
.6 CSA G30.15, « Treillis d'acier crénelé à mailles soudées pour l'armature du béton ».
.7 « Manuel des normes recommandées » publié par l'Institut d'acier d'armature du
Canada.
1.4 DESSINS D'ATELIER
.1 Le Fournisseur d'acier d'armature doit préparer les dessins d'atelier requis pour le projet. S'il en
fait la demande, une copie de ces dessins est remise à l'Ingénieur.
.2 Les dessins d'atelier doivent indiquer clairement les dimensions des barres, l'espacement,
l'emplacement et les quantités d'armature, de treillis, d'entures mécaniques, de chaises,
d'espaceurs et de supports, et les barres qui y sont montrées doivent être marquées suivant un
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PROJET N° : LBPG-0051297-005030 2006-05
code d'identification permettant de les placer correctement sans devoir consulter les dessins de
construction, conformément aux prescriptions du « Manuel des normes recommandées » publié
par l'Institut d'acier d'armature du Canada.
.3 Fournir les détails relatifs à la mise en place des armatures dans des conditions particulières.
.4 Sauf indication contraire, les longueurs de chevauchement des barres doivent respecter les
exigences et les longueurs de scellement des barres et doivent être conformes à la norme
CSA-23.3.
1.5 SUBSTITUTS
.1 Il faut obtenir l'approbation écrite de l'Ingénieur pour substituer aux barres prescrites des barres
de dimensions différentes.
1.6 MODIFICATIONS
.1 Si la nature du sol exige des changements aux élévations des murs, l'Entrepreneur doit fournir
au Fabricant et à l'Ingénieur les niveaux finaux avant de commencer la fabrication de l'acier
d'armature.
PARTIE 2 PRODUITS
2.1 MATÉRIAUX
.1 Tous les matériaux doivent être neufs et de fabrication canadienne. Les matériaux
endommagés ou corrodés doivent être immédiatement retirés des ouvrages et remplacés par
des matériaux neufs.
.2 Les matériaux doivent être conformes aux stipulations indiquées ci-dessous, sauf indication
contraire sur les dessins.
.1 Acier d'armature : barres en acier à billettes, de nuance 400 R à haute adhérence,
conformes à la norme CAN/CSA G30.18, sauf indication contraire.
.2 Acier d'armature soudable : barres à haute adhérence en acier faiblement allié et
soudable de nuance 400 W conforme à la norme CAN/CSA G30.18. Les barres doivent
porter la mention « W ».
.3 Fil à ligatures : fil d'acier recuit et étiré à froid, conforme à la norme CSA G30.3.
.4 Treillis en fils d'acier à haute adhérence : conforme à la norme CSA G30.14.
.5 Treillis en fils d'acier soudés : conforme à la norme CSA G30.5. Fournir en feuilles
plates seulement.
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2.2 FAÇONNAGE
.6 Chaises, traversins, supports de barres, espaceurs : suffisamment résistants et
appropriés aux armatures utilisées, conformes à la norme CSA-A23.1. Les éléments en
contact avec les coffrages doivent être en béton, en plastique ou en métal recouvert de
plastique jusqu'à une distance d'au moins 15 mm de la face du coffrage.
.7 Les jonctions mécaniques doivent être approuvées par l'Ingénieur.
.1 Façonner les armatures conformément à la norme CSA-A23.1, ainsi qu’au « Manuel des
normes recommandées » publié par l’Institut d’acier d’armature du Canada.
.2 Pour les chevauchements de barres non indiqués aux plans, utiliser les longueurs de classe
« B » en traction selon la norme CSA A 23.3.
.3 L'Ingénieur doit approuver l'emplacement des entures autres que celles indiquées dans les
dessins de mise en place de l'acier.
.4 Expédier les lots de barres d'armature clairement identifiés en conformité avec la liste des
barres et les détails de pliage de ces dernières.
2.3 CONTRÔLE DE LA QUALITÉ À LA SOURCE
.1 Remettre à l’Ingénieur, s’il en fait la demande, une copie certifiée du rapport des essais ayant
été effectués en usine, faisant état des résultats des analyses physique et chimique de l’acier
d’armature.
.2 S’il en fait la demande, informer l’Ingénieur de la source d’approvisionnement proposée pour les
matériaux à fournir.
PARTIE 3 EXÉCUTION
3.1 PLIAGE SUR LE CHANTIER
.1 Sauf indication contraire ou autorisation de l'Ingénieur, ne pas plier les barres d'armature sur le
chantier.
.2 Lorsque l'Entrepreneur obtient l'autorisation requise, plier les barres sans les chauffer, en
appliquant lentement une pression constante.
.3 Remplacer les barres qui présentent des fissurations ou des fendillements
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3.2 PRÉPARATION
.1 L'armature doit toujours être protégée contre tout dommage. Elle doit, lorsqu'elle est mise en
place, être nette et exempte d'écailles dues à la fabrication ou à la rouille, de peinture, d'huile
ou autres matières étrangères. Toutefois, si elle porte à sa surface des écailles non adhérentes
provenant de la fabrication, de la rouille et de la poussière, elle doit être brossée et nettoyée à
la satisfaction de l'Ingénieur.
.2 L'Entrepreneur doit prévoir un endroit sec pour l'entreposage de l'armature sur le chantier. De
plus, l'armature doit être soulevée de terre d'au moins 100 mm afin de la protéger contre les
saletés.
3.3 MISE EN PLACE DES ARMATURES
.1 La mise en place de l'armature doit être faite par un spécialiste reconnu ayant au moins cinq
ans d'expérience dans ce domaine.
.2 Mettre en place l'acier d'armature selon les indications des dessins d'atelier et la norme
CSA-A23.1.
.3 Utiliser seulement des barres d'armature nettes, sans rouille friable, huile ou défectuosité.
L'armature qui est souillée par l'agent de décoffrage doit être nettoyée au savon ou à la vapeur
avant le bétonnage.
.4 Montrées ou non aux plans, prévoir les barres d’armature nécessaires aux supports de l’acier
d’armature principal.
.5 Tout l’acier d’armature devra être installé avant la mise en place du béton.
.6 L'Ingénieur doit être averti au moins 24 heures d'avance pour l'inspection de la pose de
l'armature. Le bétonnage ne débute qu'après l'autorisation de l'Ingénieur. L'Ingénieur peut
refuser et demander à enlever tout le béton qui peut avoir été coulé en contravention de cette
stipulation.
3.4 CHEVAUCHEMENT
.1 Chevaucher les armatures tel qu’indiqué sur les plans.
.2 Sauf indication contraire, les longueurs de chevauchement et les longueurs de prolongement
des barres au-delà des points critiques doivent être conformes à la norme CSA-A23.3 et aux
indications des dessins.
.3 Obtenir l’approbation de l’Ingénieur pour les localisations de chevauchement d’armatures autres
que celles montrées sur les plans.
.4 Faire le chevauchement des feuilles de treillis sur une surface d’au moins 10 %, mais jamais
inférieure à une maille.
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3.5 SUPPORTS ET ATTACHES
.1 Dans les murs, l'armature doit être solidement attachée aux coffrages à tous les 2 mètres dans
les deux sens. S'il y a deux rangs d'armature, des séparateurs doivent être utilisés.
.2 Bien retourner les fils d’attache des barres de façon à respecter le recouvrement.
3.6 GOUJONNAGE D’ARMATURE
.1 Les goujons d’armature installés dans du béton déjà coulé devront être exécutés en utilisant le
système à base d’époxy HIT, HY-150 de Hilti.
.2 La longueur de scellement des goujons est celle indiquée dans le tableau des longueurs de
scellement indiquées sur les plans.
FIN DE LA SECTION
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PARTIE 1 GÉNÉRALITÉS
1.1 PORTÉE DES TRAVAUX
.1 Fournir tous les matériaux, la main-d'œuvre, l'équipement et les services nécessaires à
l’exécution de tous les travaux de réparation du mur de soutènement, des escaliers, de
panneaux et de mur de béton et d’allèges de fenêtres comme indiqué sur les plans ou spécifié
dans le présent devis.
.2 Démolir les marches d’escalier en vue d’une reconstruction totale et ce, tel qu’indiqué aux
plans.
.3 Démolir les parois de la chambre en béton tel que montré sur les plans. Par la suite, les
fenêtres situées à l’intérieur de la chambre sont à fermer avec du béton.
.4 Construire la partie du mur de soutènement après la démolition de l’escalier situé sur la rue
Verdun.
.5 L'installation d'articles qui doivent être fournis et qui sont spécifiés dans les autres divisions du
présent devis mais qui entrent dans le béton est incluse dans ce chapitre.
1.2 SECTIONS CONNEXES
.1 Section 03100 – Coffrages pour béton.
.2 Section 03200 – Armatures pour béton.
1.3 RÉFÉRENCES
.1 Sauf indication contraire dans les devis ou sur les dessins, les travaux doivent être exécutés
conformément à la dernière édition des normes et codes suivants :
.2 CSA-A23.1, « Béton - Constituants et exécution des travaux ».
.3 CSA-A23.2, « Essais concernant le béton ».
.4 CSA-A23.3, « Calcul des ouvrages en béton ».
.5 Tome IV «Matériaux» MTQ.
.6 NQ 2621-900, « Bétons de masse volumique normale et constituants ».
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.7 NQ 2621-905, « Bétons de ciment de masse volumique normale et constituants – Protocole de
certification ».
1.4 MESURAGE AUX FINS DE PAIEMENT
.1 Le coût des travaux de béton est inclus au prix global forfaitaire de la soumission. À défaut d'un
item spécifique au bordereau, le coût est inclus dans le montant global de la soumission. Il n'y a
pas de mesurage aux fins de paiement. L'Entrepreneur peut réclamer mensuellement au
prorata de l'estimation de l'avancement des travaux.
.2 Le coût comprend notamment la fourniture des formules de mélange du béton, la fourniture des
matériaux, la préparation, le transport et la mise en place du béton, des joints de construction,
le traitement de mûrissement, la protection du béton, la correction des surfaces, la finition du
béton, l'installation des articles et pièces noyés dans le béton, le scellement des boulons au
coulis, le coulis sous les plaques de bases, etc., et toutes dépenses incidentes.
.3 L'exécution de joints de construction fait partie des travaux réguliers de l'Entrepreneur et ne lui
donne droit à aucun supplément.
1.5 ASSURANCE DE LA QUALITÉ
.1 Au moins quatre (4) semaines avant d'entreprendre les travaux de bétonnage, soumettre à
l'approbation de l’Ingénieur les méthodes proposées pour le contrôle de la qualité des éléments
suivants :
a. Protection par temps chaud,
b. Protection par temps froid.
c. Finition.
d. Exécution des joints.
e. Cure.
.2 Tout le béton doit être fabriqué en usine. L'usine de béton doit être détentrice d'un certificat de
qualité de l'Association Béton Québec (ABQ) attestant que l'usine possède les ressources
physiques et humaines pour être en mesure de produire un béton de qualité ainsi qu’un
certificat de conformité selon le document NQ 02621-905.
.3 Au moins quatre (4) semaines avant le début des travaux de bétonnage, soumettre à l’Ingénieur
pour information les formules de mélange du béton incluant les dosages des constituants ainsi
que leurs provenances.
.4 Au moins quatre (4) semaines avant le début des travaux de réparations, soumettre à
l’Ingénieur pour information les fiches techniques de produits ou matériaux prévus pour les
travaux objet des plans et devis.
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1.6 RENCONTRE PRÉBÉTONNAGE
.1 Une rencontre prébétonnage réunissant les intervenants doit être réalisée relativement à la
mise en œuvre du béton. Cette rencontre est utile pour échanger sur les alternatives de
spécification pour la commande de béton, déterminer clairement les responsabilités des
intervenants et établir le cadre de réalisation de l’épreuve de convenance (s’il y a lieu).
PARTIE 2 MUR DE SOUTÈNEMENT ET ESCALIERS
2.1 MATÉRIAUX
.1 Ciment Portland : de type GUb-F/SF ou GUb-S/SF (sauf indication contraire).
.2 L'Entrepreneur doit employer le même fournisseur de ciment pour l'ouvrage en entier. Tout
changement doit être approuvé par l’Ingénieur.
.3 Ajouts cimentaires, laitier, fumée de silice, cendre volante, pouzzolane naturelle, conformes à la
norme CSA-A23.1.
.4 Granulats : utiliser des granulats fins et des gros granulats de densité normale conformes à la
norme CSA-A23.1.
.5 Réactivité alcalis-granulats : à moins de provenir d'une source déjà acceptée par l’Ingénieur,
soumettre un rapport d'essais effectués par un laboratoire reconnu par lui, qui atteste que les
granulats utilisés dans la fabrication du béton ne sont pas susceptibles de provoquer une
expansion excédant les valeurs de la norme CSA-A23.2.
.6 Réducteur d’eau : utiliser un réducteur d’eau conforme au type A de la norme ASTM C494.
.7 Entraîneur d’air : utiliser un entraîneur d'air conforme à la norme ASTM C260 à base d'acide
gras ou de détergent synthétique.
.8 Retardateur de prise : un retardateur de prise conforme au type D de la norme ASTM C494
peut être utilisé lors du bétonnage par temps chaud ou lorsqu'un délai supérieur à celui prescrit
au présent devis est nécessaire, sujet à l'acceptation de l’Ingénieur. L’utilisation d’un réducteur
d'eau comme retardateur de prise est interdit.
.9 Superplastifiant : un superplastifiant conforme au type F de la norme ASTM C494 peut être
utilisé pour fluidifier le béton et obtenir un affaissement plus élevé, tout en maintenant le rapport
eau/liant au niveau spécifié. Il peut être ajouté en usine ou au chantier.
.10 Accélérateur de prise : un accélérateur de prise non corrosif et sans chlorures conforme au
type C de la norme ASTM C494 peut être utilisé, sujet à l'acceptation de l’Ingénieur. L'utilisation
du chlorure de calcium est interdite.
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.11 Inhibiteur de corrosion : si l’ajout d’un inhibiteur de corrosion est prescrit dans les documents
contractuels, la solution du produit utilisé doit contenir pas moins de 30 ± 2 % de nitrite de
calcium. Le dosage en inhibiteur de corrosion devra être déterminé en fonction de la teneur en
chlorure éventuelle de l’ouvrage, ou lorsque non spécifié, sera de 12 litres minimum par mètre
cube de béton.
.12 Résistance à l’écaillage : les bétons des classes d’exposition C-1, A-1, C-2 et A-2 doivent avoir
des valeurs de résistance à l’écaillage qui respectent les limites spécifiées à la norme
NQ 2621-900.
2.2 FORMULES DE MÉLANGE
.1 Sauf indication contraire aux plans, les réparations des zones de béton délaminé du mur de
soutènement sont prévues avec coffrages sans surépaisseur en utilisant un béton de masse
volumique normale de type V-S et pour la construction de la partie du mur et des escaliers le
béton est de type V et ce, conformément à la norme 3101 MTQ et répondant aux spécifications
du tableau suivant :
Type de béton et
usage
V-S (MTQ)
Réparation zones
délaminées du mur de
soutènement
V-S (MTQ)
Construction du mur
de soutènement et
des escaliers
Résistance
35 MPa
35 MPa
Masse liante
(kg/m³)
GUb-F/SF ou
GUb-S/SF
(365 kg)
GUb-F/SF ou
GUb-S/SF
(365 kg)
Caractéristiques du béton
Rapport
eau/liant
0,38
à
0,42
Gros
granulats
(mm)
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Teneur en air
Affaissement
(mm)
Réseau de
vides d’air
(L max en
µm)
Perméabilité
ions chlore
max.
(Coulombs)
5-14 5 à 8 % 130 ± 30 230 1000
0,45 5-20 5 à 8 % 80 ± 30 230 1500
(1) En tout temps, le béton doit demeurer sous le point de ségrégation et demeurer conforme à la norme
CSA-A23.1. L’affaissement est avant l’ajout de superplastifiant et de 130 ± 30 mm après l’ajout de
superplastifiant si utilisé.
(2) Le réseau des bulles d'air dans le béton durci doit comporter un facteur d’espacement moyen maximum
de 230 µm sans qu’un seul résultat n’excède 260 µm.

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.2 Pour les coins du mur de soutènement ainsi que les zones de petite dimension, les réparations
sont prévues avec un mortier cimentaire de type SikaRepair ou équivalent. De plus, il faut
prévoir l’installation d’une cornière en acier inoxydable dans chaque coin de mur de
soutènement afin d’empêcher la dégradation du béton suite au passage répétitif des engins de
déneigement. Ces cornières doivent être fixées avec ancrages dans le mur de soutènement.
2.3 RÉPARATION AVEC COFFRAGE SANS SURÉPAISSEUR
.1 Délimiter la surface à réparer par un trait de scie de 20 mm de profondeur.
.2 Les surfaces de béton délaminé à réparer doivent être détectées et précisées en utilisant un
marteau de géologue ou de maçon.
.3 Les surfaces à réparer doivent avoir une forme carrée ou rectangulaire et dépasser d’au moins
150 mm le pourtour de la surface endommagée.
.4 Les traits de scie ne doivent pas se croiser aux angles d’une réparation ; la délimitation est
finalisée à l’aide d’un marteau pneumatique manuel de 7 kg. Les surfaces à réparer doivent être
intégrées en une seule si elles se trouvent à moins de 600 mm l’une de l’autre.
.5 Démolir le béton jusqu’au béton sain et jusqu’à une profondeur minimale de 100 mm.
.6 La préparation des surfaces doit être réalisée à l’aide d’un jet d’eau haute pression ou d’un jet
abrasif humide sur les barres d’armature ayant été exposées lors de la démolition, pour enlever
toute la rouille détachable. Une pellicule de rouille fortement adhérente peut être tolérée dans
les zones plus difficiles d’accès, comme le dessous des barres.
2.4 PRÉPARATION
.1 Le fabricant du béton est responsable de la formulation du mélange de béton et l’entrepreneur
et le fabricant du béton ont la responsabilité conjointe de fournir un béton de maniabilité
convenable pour l'ouvrage à bétonner et qui, au point de livraison, aura les caractéristiques
exigées dans le présent devis et dans les documents contractuels. Étant donné que la
manipulation et le transport peuvent altérer les caractéristiques du béton tel que fabriqué à la
centrale de dosage, l'entrepreneur et ses sous-traitants doivent prendre les précautions
nécessaires lors de la manipulation et du transport du béton, et fournir au fabricant du béton
toutes les informations nécessaires afin qu'il en tienne compte lors de la formulation du
mélange de béton et du dosage.
.2 Obtenir l'autorisation de l’Ingénieur avant de couler le béton et le prévenir, 24 heures à l'avance,
de l'exécution de ces travaux. Aucune coulée de béton ne doit être entreprise sans l'autorisation
de l’Ingénieur.
.3 Le pompage du béton n'est permis qu'après avoir fait approuver le matériel et le mélange.
.4 S'assurer que les armatures et les pièces noyées ne sont pas déplacées pendant la mise en
place du béton.
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.5 Enduire la surface du béton et de l’armature d’une colle de type SikaTop Armatec 110 de Sika
ou équivalent approuvé.
.6 Avant de couler le béton, obtenir l'autorisation de l’Ingénieur quant à la méthode proposée pour
protéger le béton pendant le bétonnage et pendant la cure par temps chaud (plus de 27 ºC) ou
froid.
.7 Tenir un registre du bétonnage indiquant avec précision la date et l'emplacement de chaque
coulée, les caractéristiques du béton, la température de l'air et les échantillons prélevés.
.8 Aux endroits où du béton neuf est liaisonné à un ouvrage existant, forer des trous dans le béton
existant, y introduire des goujons en acier constitués de barres d'armature en acier à haute
adhérence et bien noyer ces derniers avec du coulis à compensation de retrait (sauf si indiqué
autrement) afin de les ancrer et de les maintenir aux positions indiquées.
.9 Aucune charge ne doit être imposée aux nouveaux éléments en béton avant que l’Ingénieur ne
l'ait autorisée.
2.5 TRANSPORT ET MANUTENTION DU BÉTON
.1 Le transport et la manutention du béton doivent être conformes aux exigences de la norme
CSA-A23.1.
.2 Chaque gâchée de béton doit être entièrement déversée dans les coffrages moins de deux
heures après le début du dosage.
.3 Rebuter tout béton ayant séjourné plus de 15 minutes dans le conduit de la pompe.
.4 Il n'est jamais permis d'ajouter de l'eau au béton avant de le déverser du camion-malaxeur, à
moins que le Laboratoire en ait donné l’autorisation. Le cas échéant, la quantité d’eau ajoutée
est inscrite sur le bordereau de livraison.
2.6 CONDITIONS DE TEMPÉRATURE
.1 Pour la mise en place, la cure et la protection du béton (écran protecteur, mise en place le soir),
lorsque la température extérieure est de 27C ou plus, sauf indication contraire, se conformer
aux exigences de la norme CSA-A23.1. Suivre les recommandations du rapport ACI-305R
« Hot Weather Concreting » de l'American Concrete Institute.
.2 Lorsque la température est de 5°C ou moins, ou lorsqu'il est possible qu'elle descende à ce
niveau ou plus bas au cours des 24 heures suivant la mise en place du béton, se conformer aux
exigences de la norme CSA-A23.1. Suivre les recommandations du rapport ACI 306R « Cold
Weather Concreting » de l'American Concrete Institute qui demande de maintenir la
température du béton à 10C pendant cinq (5) jours et d’atteindre une résistance minimale de
7 MPa au béton. De plus, lorsqu’il est possible que la température ambiante soit inférieure à
-10°C durant les 48 heures suivant la coulée, l’ouvrage doit être recouvert adéquatement et le
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chauffage est obligatoire. Éviter de surchauffer le béton en place. Les appareils dégageant des
gaz carboniques ne peuvent être utilisés que si ces gaz sont évacués hors de l'abri.
.3 L'autorisation accordée par l’Ingénieur de bétonner lorsque la température extérieure est
inférieure à 5°C ou supérieure à 27°C ne dégage d'aucune façon l'Entrepreneur de son entière
responsabilité relativement à la résistance et à la durabilité du béton qui sera mis en œuvre.
2.7 MISE EN ŒUVRE
.1 Exécuter les ouvrages en béton coulé en place conformément à la norme CSA-A23.1.
.2 L'Entrepreneur doit déléguer un de ses contremaîtres pour diriger toutes les opérations de
bétonnage.
.3 Manchons et éléments à noyer
a. Aucun manchon, conduit, tuyau ou autre ouverture ne doit traverser une poutrelle, une
poutre, un chapiteau de colonne ou une colonne, sauf indication contraire ou
autorisation de l’Ingénieur.
b. Après avoir obtenu l'approbation de l’Ingénieur, ménager les ouvertures et placer les
manchons, les attaches, les étriers de suspension et les autres éléments noyés
indiqués sur les dessins ou spécifiés ailleurs. Les manchons et les ouvertures de plus
de 100 x 100 mm qui ne sont pas indiqués doivent être approuvés par l’Ingénieur.
c. Il est interdit d'enlever ou de déplacer des armatures pour poser des pièces de
quincaillerie. Si les éléments à noyer dans le béton ne peuvent être placés aux endroits
prescrits, faire approuver toute modification par l’Ingénieur avant de couler le béton.
d. Vérifier l'emplacement et les dimensions des manchons et des ouvertures indiquées sur
les dessins.
e. Si requis, mettre en place les éléments spéciaux à noyer, aux fins des essais de
résistance, selon les indications et les exigences des méthodes d'essai non destructif
du béton.
.4 Boulons d'ancrage
a. Fixer les boulons d'ancrage aux gabarits, selon les plans d'ancrage du corps de métier
approprié, avant de couler le béton.
b. Les gabarits sont faits d'une pièce de contreplaqué de 25 mm d'épaisseur et de
dimensions plus grandes que la plaque de base des colonnes d'acier.
2.8 CONSOLIDATION DU BÉTON
.1 Pour la consolidation du béton, respecter les exigences de la norme CSA-A23.1.
.2 Utiliser des vibrateurs mécaniques internes seulement et en confier le maniement à des
opérateurs qualifiés. Le diamètre et la fréquence de ces vibrateurs sont sujets à l'approbation
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de l’Ingénieur. S'il est impossible d'utiliser des vibrateurs à immersion, des vibrateurs à forme
peuvent être utilisés.
2.9 CURE ET PROTECTION DU BÉTON
.1 Le traitement de mûrissement doit respecter les exigences de la norme CSA-A23.1.
.2 L'utilisation de produits de cure ne peut être considérée qu'avec l'autorisation de l’Ingénieur et
seulement dans les cas où le mûrissement humide est impossible. Autrement, l'Entrepreneur
doit considérer l'une ou l'autre des méthodes de la norme CSA-A23.1.
.3 La période de mûrissement ne doit pas avoir une durée inférieure à 7 jours à une température
d'au moins 10°C.
.4 S'assurer que, pendant toute la durée de sa cure, le béton n'est sollicité par aucune surcharge
et qu'il est adéquatement protégé contre les chocs violents, les vibrations excessives, les
intempéries et autres perturbations. Sur les dalles sur le sol, aucun chargement ni circulation
d'équipement n'est permis durant la période de mûrissement de 7 jours.
.5 Si les produits de cure sont utilisés (obtenir l'approbation préalable de l’Ingénieur), ils doivent
être appliqués aux taux et selon les spécifications du Fabricant (minimum deux couches
croisées). L'Entrepreneur doit aussi s'assurer que les produits de cure utilisés sont compatibles
avec les enduits de finition appliqués.
2.10 JOINTS DE CONSTRUCTION
.1 À moins d'indication contraire sur les plans, les joints de construction dans les murs ne doivent
pas être espacés de plus de 30 mètres, ou à 12 mètres d'une restriction.
.2 L'ajout et le déplacement de joints de construction doivent être approuvés par l’Ingénieur.
.3 Les joints de construction sont faits tels qu'indiqués sur les détails et l'Entrepreneur doit s'y
conformer.
.4 Dans les joints de construction, il faut prévoir des clés de 40 mm de profondeur par 90 mm de
hauteur et enduire la surface du joint déjà en place d'un produit de cure pour briser l'adhérence.
L'Entrepreneur doit laisser écouler au moins 24 heures avant de bétonner un nouveau panneau
entre des panneaux existants.
2.11 INTERRUPTION ET REPRISE DU TRAVAIL
.1 À la reprise du travail, toute trace de laitance et de matières étrangères doit être enlevée et la
surface de béton bien humectée.
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.2 En plus des précautions données ci-dessus, la surface du béton doit être rendue rugueuse et
l'Entrepreneur doit prévoir soit la construction de clés de béton ou la pose de barres d'ancrage
selon les indications de l’Ingénieur.
.3 En général, les interruptions et les reprises du travail doivent se faire autant que possible aux
points faibles de cisaillement, de manière à ne nuire ni à la solidité ni à l'apparence de la
construction.
2.12 FINITION DES SURFACES COFFRÉES
.1 Pour toutes les surfaces de béton, l'Entrepreneur doit corriger les joints mal faits, les vides, les
nids d'abeille, les trous laissés par les tirants et autres surfaces défectueuses. Les corrections
doivent être apportées à la satisfaction de l’Ingénieur. Le mortier de réparation doit être
approuvé par l’ingénieur. Le mortier doit permettre d’obtenir une adhérence sous charge de
traction de plus de 2 MPa, lorsque réalisé en conformité avec la norme CSA A-23.2-6B. Le
mortier doit être résistant aux cycles de gel et de dégel et aux sels de déglaçage. La couleur du
mortier durci doit être comparable à la couleur du béton.
.2 La finition des surfaces coffrées doit rencontrer les exigences de la norme CSA-A23.1.
.3 Au minimum, on doit considérer un fini brut de coffrage tel que décrit à la norme CSA-A23.1.
.4 Pour toutes les surfaces de béton exposées à la vue du public ou devant recevoir un
revêtement collé, un fini lisse de coffrage tel que décrit à la norme CSA-A23.1 doit être
considéré. Les surfaces de béton doivent notamment avoir une couleur et une texture
uniformes, exemptes de tâches (huile, scellant, etc.) et d'imperfections. Une attention
particulière doit être portée pour qu'aucun joint de coffrage ne soit apparent.
2.13 TOLÉRANCES
.1 Si les tolérances spécifiées à la norme CSA-A23.1 n'ont pas été observées lors de la
construction de quelque élément que ce soit de l'ouvrage montré sur les plans, l’Ingénieur peut
exiger que cet élément soit démoli et reconstruit suivant les tolérances dudit article, sans frais
additionnels pour le propriétaire.
2.14 CONTRÔLE DE LA QUALITÉ SUR LE CHANTIER
.1 L'inspection et l'essai du béton et de ses constituants sont effectués par le laboratoire d'essai
désigné par le propriétaire, conformément à la norme CSA-A23.1.
.2 Le propriétaire assume le coût des essais, à moins d'indication contraire dans les devis
généraux.
.3 Chaque échantillon comprend au moins trois spécimens. On prend un minimum d'un
échantillon par coulée et, par la suite, au moins un échantillon par 100 m³ de béton.
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.4 Le laboratoire doit prélever des éprouvettes cylindriques additionnelles lors des travaux de
bétonnage par temps froid. La cure de ces éprouvettes doit se faire au chantier, dans les
mêmes conditions que les coulées de béton dont elles sont extraites.
.5 Les méthodes d'essai non destructif du béton doivent être conformes à la norme CSA-A23.2.
.6 L'inspection et les essais effectués par le Laboratoire mandaté par le propriétaire ne peuvent
remplacer le contrôle de la qualité effectué par l'Entrepreneur ni s'y ajouter, pas plus qu'ils ne
dégagent ce dernier de ses responsabilités contractuelles à cet égard.
2.15 BÉTON DÉFECTUEUX
.1 Si les résultats des essais à 28 jours effectués par le Laboratoire indiquent que le béton d'une
partie déjà construite de l'ouvrage montré sur les plans n'a pas la résistance minimale à la
compression spécifiée, tous les frais occasionnés par l'application des dispositions de la norme
CSA-A23.1 seront à la charge de l'Entrepreneur.
.2 Si le béton d'un élément déjà construit de l'ouvrage montré sur les plans n'a pas la résistance à
la compression requise, ou si cet élément présente des défectuosités qui compromettent son
efficacité structurale, l’Ingénieur exigera que ledit élément soit renforcé ou démoli et reconstruit,
sans frais additionnels pour le propriétaire.
.3 Si le béton d'un élément déjà construit de l'ouvrage montré sur les plans n'a pas la résistance
minimale à la compression spécifiée, mais si, après vérification de ses notes de calculs,
l’Ingénieur juge qu'il n'y a pas lieu d'exiger le remplacement ou le renforcement dudit élément,
l'Entrepreneur assume néanmoins tous les frais de cette vérification.
.4 Le propriétaire peut demander la reconstruction des éléments esthétiques (sans charge
supplémentaire) qui présentent des défauts de mise en forme, de consolidation ou d’autres
défauts qui affectent l’aspect architectural et esthétique d’un élément.
.5 L'Entrepreneur doit sceller, à ses frais et à la satisfaction de l’Ingénieur, toute fissure qui, de
l'avis de celui-ci, a été causée par le retrait du béton et qui affaiblit l'élément où elle s'est
produite, en accroît la perméabilité ou en altère l'apparence.
.6 Vérifier l’adhérence du béton de réparation au béton conservé en frappant la surface avec
marteau de maçon ou de géologue. Un son creux indique un manque d’adhérence et exige une
reprise de réparation dans la zone déficiente.
.7 Faire la correction des surfaces et enlever les bavures du béton sur le pourtour de la surface
réparée.
.8 Remplir les trous laissés par les attaches des coffrages et les cavités laissées par les
ouvertures de bétonnage avec un mortier cimentaire.
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2.16 RÉPARATION ET POSE DU CRÉPI
.1 Dégarnir avec une petite masse de fer toutes les parties décollées pour atteindre une couche
de revêtement intacte ou la surface du mur.
.2 Tailler en biseau les arêtes du revêtement ou les côtés d’une fissure pour assurer une meilleure
prise au nouveau revêtement.
.3 Nettoyer les parties dégarnies avec une brosse et rincer au besoin les dépôts de sels.
.4 Effectuer les réparations nécessaires avec un mortier cimentaire de type SikaTop ou équivalent
2.17 REMPLISSAGE DES TROUS
.1 Les trous laissés après l’enlèvement des poteaux de la clôture existante doivent être remplis
avec un coulis cimentaire de type SikaGrout 212 ou équivalent.
.2 Les parois des trous doivent être brossées, puis nettoyées à l’aide d’un jet d’air comprimé en
insérant le boyau dans le trou.
.3 Les trous doivent être remplis jusqu’au fond avec un coulis cimentaire et la quantité de coulis
doit être suffisante pour combler entièrement le vide durant une seule opération.
PARTIE 3 PANNEAUX ET MUR EN BÉTON (FAÇADES BÂTIMENTS)
3.1 OBTURATION DE FISSURES PAR INJECTION (MUR DE FONDATION)
.1 L’utilisation de résines polyuréthanes à un composant est recommandée pour les fissures
localisées à la surface du mur de fondation. Une résine polyuréthane de type hydrophobe est
recommandée parce que ce produit devient complètement stable une fois sa réaction terminée
(durcissement à l’eau ou à l’humidité), et qu’il montre de très bonnes propriétés d’adhésion au
béton.
.2 Les étapes de réalisation du scellement ou de l’injection des fissures (préparation des surfaces,
mélange des produits, colmatage si requis, injection, travaux de finition…) doivent être
conformes aux spécifications des manufacturiers ainsi qu’aux prescriptions du devis.
.3 Le procédé par injection à l’aide d’une pompe devraient être privilégié afin d’avoir une bonne
pénétration du polyuréthane dans la fissure, favorisant ainsi une meilleur adhérence du produit
aux parois du béton.
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3.2 RÉPARATION DE SURFACE
.1 Les réparations des murs de fondation et des panneaux en béton doivent être réalisées avec un
mortier de rapiéçage, à base de ciment, de type SikaRepair 223 ou équivalent.
.2 Enlever le béton détérioré, les impuretés, huile, graisse et autre matières qui nuisent à
l’adhérence.
.3 Effectuer le travail de préparation avec un marteau-piqueur, décapage au jet d’eau haute
pression ou tout autre moyen mécanique approprié.
.4 Au moment de l’application, les surfaces devraient être humides (saturées et sèches en
surface), sans eau de surface.
.5 La cure est requise et devra être faite selon les recommandations de l’ACI 308 pour les bétons
de ciment.
PARTIE 4 LINTEAUX ET ALLÈGES DE FENÊTRES EN BÉTON
.1 Les réparations des linteaux doivent être réalisées avec un mortier, à base de ciment, de type
SikaRepair 223 Plus ou équivalent.
.2 Prévoir l’ajout de deux (2) barres d’armatures 15M lors de la réparation dans le cas où
l’enlèvement du béton délaminé montre des armatures trop corrodées. Ces barres dépasseront
de 600 mm chaque bout de la réparation.
.3 Enlever le béton détérioré, les impuretés, huile, graisse et autre matières qui nuisent à
l’adhérence
.4 Effectuer le travail de préparation avec un marteau-piqueur, décapage au jet d’eau haute
pression ou tout autre moyen mécanique approprié.
.5 Pour l’acier d’armature, appliquer une couche de revêtement anticorrosion sur l’acier d’armature
incluant les barres d’armature nouvellement posées. Laisser sécher pendant 2 à 3 heures avant
d’appliquer une seconde couche de même épaisseur. L’épaisseur des couches devra être
conforme aux exigences de la fiche technique du produit. Le produit de revêtement
anticorrosion devra être de type Sika Top Armatec 110 EpoCem ou équivalent.
.6 Pour la réparation du béton, appliquer une couche de liaisonnement en utilisant un pinceau, un
rouleau ou un pistolet. Pour de meilleurs résultats, bien travailler le coulis de liaisonnement
dans le substrat pour s’assurer que toutes les irrégularités de surface sont bien recouvertes.
L’agent de liaisonnement devra être de type Sika Top Armatec 110 EpoCem ou équivalent.
.7 Procéder au coffrage de la zone à réparer selon les exigences du devis de coffrage présenté à
la section 03 10 00.
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.8 La mise en place du mortier dans les coffrages doit être réalisée adéquatement afin de combler
la totalité des vides entre le substrat et les coffrages.
PARTIE 5 REVÊTEMENT PROTECTEUR ET DÉCORATIF
.1 Un revêtement protecteur et décoratif, à base d’eau, pouvant ponter les microfissures, anticarbonations
et haute performance doit être appliqué sur le mur de soutènement, les panneaux
et murs de béton, les murs de fondation et les allèges de fenêtres. Ce revêtement doit être de
type SikaGard 550W Elastic ou équivalent.
.2 Avant l’application du revêtement de protection, toutes les surfaces à recouvrir doivent être
sèche, propres, saines et exemptes de traces de gel. Elles doivent être également
débarrassées de tout résidu de produit de murissement, de laitance et autres contaminants
pouvant nuire à l’adhérence. Au besoin, les surfaces doivent être préparées mécaniquement en
les sablant ou en les nettoyant au jet d’eau à haute pression. Les vacuoles, les fentes ou
aspérités du support doivent être bouchées et égalisées à l’aide d’un mortier de type
SikaRepair ou équivalent.
.3 Les températures d’application (substrat et ambiante) doivent se situer entre 5 et 35°C.
.4 À la demande du propriétaire, des essais au chantier doivent être réalisés pour confirmer l’utilité
d’un apprêt, l’acceptabilité du fini, de la couleur et de la qualité du travail effectué.
.5 La pose du revêtement doit être réalisée en deux (2) couches selon le taux de pose indiqué sur
la fiche technique du produit. La deuxième couche est réalisée après un délai minimal de deux
(2) heures à la suite de l’application de la première couche.
PARTIE 6 ENLÈVEMENT DE LA MARGELLE EN BÉTON
.1 Démolir les parois de la margelle en béton jusqu’au radier et la partie supérieure du regard
(400 mm sous le pavage) situé à côté et ce, tel que montré sur les plans. Par la suite, les trois
(3) fenêtres situées à l’intérieur de la margelle sont à obturer avec du béton de type V (35 MPa).
Prévoir des barres d’armatures 15M lors de l’obturation des fenêtres. Ces barres d’armatures
doivent être ancrées dans le béton existant afin d’assurer son liaisonnement avec le béton
nouvellement coulé.
.2 La face apparente du mur en béton laissée après la démolition de la margelle en béton doit être
imperméabilisée avec une membrane élastomère de bitume émulsifié et ce, après l’obturation
des trois fenêtres avec du béton.
.3 L’entrepreneur doit fournir la preuve que la membrane satisfait aux exigences de la norme
CAN/CGSB-37.5-M89.
.4 Suivre les recommandations du manufacturier en ce qui concerne le mûrissement du béton.
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.5 Avant de commencer tout le travail, débarrasser le support de tout ce qui est susceptible de
nuire au liaisonnement de matériaux ; les débarrasser entre autre de ce qui suit : produit de
cure, poussière, peinture, givre, huile de décoffrage et particules non adhérentes.
FIN DE LA SECTION
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Pour chacun des articles du bordereau de soumission, l’Entrepreneur doit fournir un prix, soit unitaire,
soit forfaitaire. Les coûts des travaux connexes requis, non spécifiquement mentionnés dans le devis
mais nécessaires à la réalisation des travaux, doivent être inclus dans les articles les plus appropriés
du bordereau de soumission.
Les quantités indiquées dans le bordereau de soumission sont approximatives et pourraient varier
selon les conditions rencontrées sur le terrain. Seules les quantités réelles seront payées à
l’Entrepreneur. Advenant le cas où des quantités supplémentaires seraient identifiées par
l’Entrepreneur, celui-ci devra les signaler préalablement au responsable des travaux pour
approbation.
L’Entrepreneur doit fournir tout le matériel, les équipements, la machinerie, les matériaux et la maind’œuvre
requis pour la complète exécution des travaux y incluant, sans s’y limiter, tout ce qui est
indiqué dans les descriptions ci-dessous.
Article 2.1.1 : Démolition du béton non sain du mur de soutènement
Fournir un prix au mètre linéaire de mur à réparer pour réaliser la démolition du béton non sain selon
les exigences de l’article 2.3 de la section 02 30 00 et en disposer hors du site des travaux.
Article 2.1.2 : Réparation des coins du mur de soutènement avec un SikaRepair 223 ou équivalent
incluant l’installation de cornières de protection
L’Entrepreneur doit réparer les coins du mur avec du SikaRepair ou équivalent incluant installation
d’une cornière en acier inoxydable dans chaque coin de mur de soutènement afin d’empêcher la
dégradation du béton suite au passage répétitif des engins de déneigement. Ces cornières doivent
être fixées avec des ancrages dans le mur de soutènement. Le prix doit tenir compte de l’ajout de
barre d’armature si nécessaire.
Article 2.1.3 : Réparation en surface du mur de soutènement avec coffrage sans surépaisseur; béton
de type V-S (35MPa)
L’Entrepreneur doit réparer en surface le mur de soutènement avec coffrage sans surépaisseur
(béton de type V-S). Fournir un prix au mètre linéaire incluant l’armature, le coffrage et l’application
d’un agent de liaisonnement de type Sika Top Armatec 110 EpoCem ou équivalent. .
Article 2.1.4 : Démolition des marches des escaliers
Démolir les marches des escaliers, charger, transporter et acheminer les déblais vers un site de
recyclage autorisé.
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Article 2.1.5 : Construction d’escalier; Béton de type V (35 MPa)
Construire un escalier à la place des marches démolies. Le prix doit inclure le coffrage, l’acier
d’armature et le béton de type V (35 MPa), MTQ.
Article 2.1.6 : Démolition complète de l’escalier situé sur la rue Verdun incluant les ailes
Démolir complètement l’escalier situé au niveau de la rue Verdun incluant les ailes ainsi qu’une partie
du trottoir (60 cm de large) en vue de construire un mur à la place.
Article 2.1.7 : Construction d’un mur de soutènement sur la rue Verdun incluant l’assise, le
remblayage et la remise en place du trottoir sur 60 cm de large – béton type V (35 MPa)
Construire un mur de soutènement de trois mètres environ tel que montré aux plans. Le prix doit
inclure le coffrage, l’acier d’armature, le béton de type V, MTQ, le coussin d’assise en MG-20, le
remblayage et la remise en état du trottoir sur une largeur minimale de 60 cm et ce, tel que montré
aux plans.
Article 2.1.8 : Démolition et reconstruction partielle d’un mur de soutènement (accès au chantier)
incluant l’aile de l’escalier – béton de type V (35 MPa)
Démolir et reconstruire partiellement le mur de soutènement (accès au chantier) incluant une aile au
besoin. Le prix doit inclure, le coffrage, l’armature, les goujons d’ancrages et béton de type V, MTQ.
Article 2.1.9 : Remplissage des trous laissés après l’enlèvement des poteaux de la clôture existante
avec un SikaGrout 212 ou équivalent
Les trous laissés après l’enlèvement des poteaux de la clôture existante doivent être complètement
remplis avec un Sika Grout 212 ou équivalent. Le prix doit inclure le nettoyage des trous ainsi que la
finition de la surface.
Article 2.1.10 : Pose d’un crépi sur la surface extérieure du mur de soutènement
Poser un crépi sur la surface extérieure réparée du mur de soutènement selon les exigences de
l’article 2.16 de la section 02 30 00. Le prix doit inclure les petites réparations avant la pose du crépi.
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Articles 2.1.11 et 2.2.5 : Pose d’un revêtement protecteur et décoratif de type Sikagard 550W Elastic
ou équivalent
La pose du revêtement de protection doit être réalisée selon les exigences de la partie 5 de la section
02 30 00 du devis. L’entrepreneur doit indiquer un prix séparé pour les travaux en hauteur à l’article
2.5
Article 2.2.1 : Obturation de fissures par injection d’une résine polyuréthane
L’obturation des fissures par injection tel que décrit dans le devis article 3.1 de la section 02 30 00. Le
prix unitaire doit inclure le nettoyage et la finition de surface de la fissure.
Articles 2.2.2 et 2.2.3 : Réparation en surface du mur de fondation et panneaux en béton avec un
SikaRepair 223 ou équivalent
Les réparations des murs de fondation et des panneaux en béton doivent être réalisées avec un
mortier de rapiéçage, à base de ciment, de type Sika Repair 223 injection tel que décrit dans le devis
article 3.2 de la section 02 30 00. Le prix au mètre carré doit inclure la finition de surface prête à
recevoir le revêtement de protection. L’entrepreneur doit indiquer un prix séparé pour les travaux en
hauteur à l’article 2.3.
Article 2.2.4 : Réparation des linteaux en béton
Les réparations de linteaux doivent être réalisées selon les exigences de la partie 4 de la section 02
30 00 et tel que montré aux plans. Le prix de réparation d’un linteau doit inclure, le produit de
réparation, l’acier d’armature, le coffrage et les produits anticorrosion et liaisonnement.
Article 2.2.6 : Remplissage des trous dans le mur en briques avec un coulis cimentaire (même
couleur que les briques)
Remplir les trous dans le mur en brique avec un coulis cimentaire de même couleur que les briques.
Le prix doit tenir compte de l’aspect esthétique du mur après le remplissage des trous.
Article 2.3.1 : Démolition des parois de la margelle jusqu’au radier ainsi que la partie supérieure du
regard (400 mm sous le pavage)
Démolir les parois en béton de la margelle jusqu’au radier ainsi que la partie supérieure du regard et
ce, sur une profondeur de 400 mm sous le pavage Le prix doit inclure les travaux de démolition et la
disposition des déblais hors du site des travaux.
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Article 2.3.2 : Fermeture de fenêtres avec un béton de type V (35 MPa) incluant ancrage et l’acier
d’armature
Obturer les trois fenêtres existantes avec un béton de type V (35 MP, MTQ). Le prix doit inclure le
coffrage, le béton, l’armature et les ancrages.
Article 2.3.3 : Pose d’une membrane élastomère sur la face extérieure laissée après démolition de la
margelle
Fournir et poser une membrane élastomère sur la face du mur laissée après la démolition de la
margelle en béton. Le prix doit inclure la membrane et la main-d’œuvre nécessaire pour la pose.
FIN DE LA SECTION
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École élémentaire Verdun
Réfection des aires asphaltées, de mur de soutènement, d’escaliers, de
panneaux et de mur de béton, de clôture, d’allèges de fenêtres et
d’enlèvement du sol contaminé du terrain de l’école
N °de projet : 1116
N/Réf. : LBPG-00051297
ANNEXE AU DEVIS TECHNIQUE
STRUCTURE
Partie : Réparation de mur de soutènement, d’escaliers, de panneaux et de mur en
béton, d’allèges et linteaux de fenêtres
PLANS ET CROQUIS
L01 : Localisation des travaux de réparation
L02 : Escalier à démolir et reconstruire
L03 : Construction d’un mur de soutènement
L04 : Réparation avec coffrage sans surépaisseur (mur de soutènement)
L05 : Réparation des linteaux en béton
L06 : Localisation des réparations des façades
L07 : Localisation des réparations des façades
L08 : Localisation des réparations des façades
16 mars 2012
Les Services exp inc.

CHAPITRE G
Devis technique
Environnement
(Enlèvement de réservoir)
Les Services exp inc.

Commission scolaire
Lester B. Pearson
Enlèvement d’un réservoir intérieur
Devis technique
École Verdun 2012-03-16 Page 1 de 7
1 GÉNÉRALITÉS
1.1 Intégration
Les conditions générales et particulières ainsi que les autres sections du devis s’appliquent à
tous les travaux et font partie de ce document contractuel.
1.2 Aptitudes de l’entrepreneur
.1 Être en règle avec la loi sur les relations de travail dans l’industrie de la construction du
Québec;
.2 Détenir la licence de maître installateur catégorie 1.8 (désignée catégorie 4515, jusqu’en
mars 2008) afin d’être autorisé à exécuter des travaux pétroliers;
.3 Avoir l’obligation d’engager des sous traitants dûment reconnus dans leurs domaines
spécifiques et certifiés par les autorités compétentes.
1.3 Exigences des organismes de réglementation
L’entrepreneur doit s’assurer que les travaux sont exécutés conformément aux règlements
provinciaux et municipaux pertinents et obtenir les permis requis entre autres de la Régie du
bâtiment du Québec (RBQ), du ministère du Développement durable, de l’Environnement et des
Parcs (MDDEP) et des autorités municipales. Respecter les règles de santé et sécurité
professionnelles en construction applicables au Québec. Obtenir les autorisations municipales
dans l’éventualité de rejet d’eau dans le réseau d’égout municipal.
L’entrepreneur doit effectuer les travaux pétroliers en conformité avec les lois, règlements et
politiques applicables aux produits pétroliers et à l’environnement.
1.4 Avis à l’entrepreneur
.1 Adapter le travail à celui des autres corps de métier et l’exécuter en temps opportun pour
ne pas retarder le travail des autres;
.2 Adapter le travail afin de ne pas nuire aux opérations du propriétaire (établissement
scolaire, garderie et établissement religieux). Respecter les horaires d’activités et les
exigences du propriétaire;
.3 Sauf aux périodes d’arrêt planifiées, l’entrepreneur doit assurer la continuité des
opérations du propriétaire, du fonctionnement des installations et permettre la circulation
du personnel et des véhicules. La délimitation des aires de circulation au moyen d’une
signalisation conforme est requise et l’entrepreneur doit l’inclure dans le coût de ses
travaux;
.4 Soumettre pour approbation l’emplacement et la superficie de la zone de travail, avant le
début des travaux. Également, soumettre l’emplacement, entre autres, des conteneurs,
des matériaux et de la machinerie lourde;
.5 Respecter les normes environnementales applicables (bruits, rejets liquides, déchets,
poussières, et autres);
\\s-montreal-2\donnees\projets\lbpg\00051297\04-rapports\qual\rapport final\dev-mtl213388 final.doc

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Enlèvement d’un réservoir intérieur
Devis technique
École Verdun 2012-03-16 Page 2 de 7
.6 Particulièrement, prévenir la propagation de poussière due aux travaux, l’éparpillement et
l’accumulation des déchets à la fin de chaque journée de travail. Utiliser des conteneurs
approuvés pour disposer des rebuts et recouvrir l’ensemble de bâches appropriées;
.7 Décontaminer les matériaux de démolition et en disposer afin de favoriser la
revalorisation;
.8 Les lieux doivent être maintenus propres suivant la progression des travaux et
sécuritaires selon la réglementation (Code de sécurité sur les chantiers de construction);
.9 Prendre les mesures pour ne pas endommager les revêtements de sol, les services
publics et tout autre élément adjacent aux travaux. Protéger les éléments, les services, et
les structures adjacentes souterraines et en surface qui doivent être conservés. Exécuter
les réparations ou remplacements, le cas échéant;
.10 L’entrepreneur a la responsabilité de la localisation des services publics souterrains avant
de procéder à des travaux d’excavation. La localisation des services souterrains privés
est disponible auprès du propriétaire;
.11 Exécuter les travaux et les excavations de façon à préserver la stabilité des
infrastructures adjacentes. Aviser le Consultant si des mesures de soutènement sont
requises;
.12 Le périmètre des zones de chantier et, particulièrement, les excavations doit être sécurisé
par l’installation de clôtures métallique de sécurité;
.13 Une signalisation sécuritaire doit être affichée;
.14 L’entrepreneur doit lui-même subvenir à ses besoins de stationnement, pour ses
employés, ses sous-traitants.
1.5 Portée générale
.1 Fournir les matériaux, l’outillage, la machinerie et la main-d’œuvre nécessaires pour
réaliser tous les travaux décrits dans cette section et tel que montré sur les plans
annexés au présent cahier des charges et au croquis joint à l’annexe 1;
.2 Exécuter les travaux de manière à ce qu’ils remplissent les fins pour lesquels ils sont
destinés;
.3 Exécuter aussi les menus ouvrages qui, bien que non décrits aux documents du contrat,
sont nécessaires pour compléter les travaux décrits, incluant l’enlèvement des débris et le
nettoyage du site.
1.6 Échéancier des travaux
.1 Avant de débuter les travaux, l’entrepreneur doit soumettre pour approbation un
cheminement critique élaboré de la progression (étapes ou phases) des travaux en
fonction des besoins de vérification et d’inspection des installations et de coordination
entre les différents intervenants. Ces différentes étapes ou phases doivent s’inscrire
dans le calendrier des travaux de l’ensemble du projet et dont il est fait mention aux
conditions particulières;
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.2 Prévoir et coordonner la programmation des travaux selon les exigences du propriétaire
des lieux en fonction de ses activités. Entre autres, l’échéancier suivant doit être
respecté :
Période des travaux : du 27 juin au 15 août 2012.
1.7 Lois, règlements et codes
L’entrepreneur doit respecter, entre autres, les lois, codes et règlements suivants :
.1 Loi du bâtiment de la Régie du bâtiment du Québec (B-1.1)
.2 Loi sur la qualité de l’environnement (L.R.Q., chapitre Q-2)
.3 Règlement sur les matières dangereuses (c.Q-2, r.15.2)
.4 Code national de prévention des incendies
.5 Règlement sur la protection et la réhabilitation des terrains (L.R.Q., c. Q-2)
.6 Règlement sur l’enfouissement des sols contaminés (Q-2, r.6.01)
.7 Loi sur la santé et la sécurité du travail (L.RQ., c.S.2.1)
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2 EXÉCUTION
2.1 Portée des travaux
Les travaux du présent mandat comprennent, mais sans s’y limiter, ce qui suit :
- Enlèvement d’un réservoir en acier d’une capacité approximative de 5000 gallons
impériaux et de toute la tuyauterie. L’installation est emmurée dans un local adjacent à
la chaufferie au sous-sol de l’immeuble;
- Nettoyage et décontamination des parois de béton du local;
- Vérification de la qualité des sols sous la dalle de plancher à l’emplacement du
réservoir.
2.2 Enlèvement d’un réservoir emmuré
Les travaux consistent à procéder à l’enlèvement d’un réservoir en acier emmuré d’une capacité
approximative de 5000 gallons et de toute la tuyauterie. Sa dimension est d’environ 20 pieds par
8 pieds pour une hauteur de 5 pieds.
Le réservoir est installé dans un local adjacent à celui de la chaufferie. Le réservoir en acier
d’environ 5000 gallons impériaux est ceinturé sur deux côtés par un muret de briques. Une
inspection a permis de constater que le réservoir a été rempli de sable. Aucune fuite significative
n’a été détectée. Deux courts tuyaux (remplissage et évent) sont raccordés sur le dessus du
réservoir et traversent le mur de fondation qui longe le stationnement à l’arrière de l’édifice.
Il est à noter que par sa localisation, l’emplacement du réservoir est considéré un espace clos.
Toutes les mesures requises doivent être apportées, entre autres :
Ouvriers possédant la formation pour les espaces clos;
La mesure en continu de la qualité de l’air;
Le compagnonnage en tout temps;
La disponibilité des équipements de secourisme et de rappel.
De plus, à cause du confinement de l’espace de travail, une ventilation des lieux et le captage ou
l’évacuation des émissions de découpe de l’acier sont nécessaires.
Pour accéder à la zone de travail, on retrouve dans le mur de la chaufferie extérieur donnant sur
le stationnement, une porte existante condamnée qui peut être utilisée par l’entrepreneur si cela
peut l’aider. Cependant, il doit l’enlever et la réinstaller tous les jours afin de condamner
l’ouverture et empêcher une intrusion dans l’école. Il doit prendre entente avec le propriétaire sur
la procédure et respecter les exigences que le propriétaire lui imposera.
L’enlèvement du réservoir ainsi que de la tuyauterie doit se faire suivant la description suivante,
sans s’y limiter :
.1 Fournir et installer la signalisation nécessaire autour de l’aire de travail ainsi que les
éléments de protection nécessaires;
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.2 Vidanger le réservoir de son contenu ainsi que la tuyauterie et autres composantes
interreliées. Les robinets d’arrêt doivent être fermés afin d’isoler des sections ou des
réseaux de tuyauterie, selon les besoins;
.3 Se munir de matériaux absorbants conçus à cet effet afin de récupérer tout déversement
sur les sols adjacents au réservoir;
.4 Effectuer l’enlèvement du sable contenu dans et autour du réservoir (on en retrouve un
peu autour du réservoir) et l’entreposage dans des conteneurs étanches. Disposer vers
un lieu d’enfouissement autorisé par le MDDEP pour des concentrations situées dans la
plage B-C de la Politique de protection des sols et de réhabilitation des terrains
contaminés du MDDEP;
.5 L’échantillonnage et la caractérisation du sable seront effectués par le propriétaire ou son
représentant, si requis par l’entrepreneur pour la gestion de disposition. ;
.6 Retirer et disposer des résidus et dépôts contenus dans le réservoir;
.7 Faire évacuer les vapeurs d’hydrocarbures du réservoir jusqu’à ce que la concentration
des vapeurs inflammables soit inférieure à 10% de la limite d’inflammabilité, sans risque
et sans pollution pour l’environnement et en toute sécurité pour le public;
.8 Faire une vérification de l’état du réservoir pour en évaluer l’étanchéité. Nettoyer
l’intérieur du réservoir;
.9 Lorsque les conditions sécuritaires sont atteintes, procéder au démantèlement;
.10 Évacuer le réservoir du site et en disposer à un emplacement possédant les
accréditations nécessaires à une gestion appropriée. Le bon de réception devra être
transmis au propriétaire;
.11 Enlever toute la tuyauterie à l’intérieur et à l’extérieur du bâtiment. L’entrepreneur doit
calfeutrer hermétiquement les ouvertures dans le mur de fondation. Précédemment,
la tuyauterie aura été vidangée et nettoyée;
.12 Procéder au nettoyage et à la décontamination des parois des murs et de la dalle de
plancher en béton. Les mesures de respect de l’environnement devront être respectées;
.13 Procéder au démantèlement du muret et à la disposition des briques à un site autorisé;
.14 Réaliser quatre (4) percements de la dalle d’un diamètre de 25 cm pour permettre au
propriétaire d’examiner la qualité des sols sous-jacents;
.15 Suite aux explorations, réparer les ouvertures dans la dalle;
.16 Si des signes de contamination sont découverts pendant les travaux d’enlèvement du
réservoir, communiquer immédiatement avec l’ingénieur et suspendre les travaux jusqu’à
nouvel ordre;
.17 La réalisation de tous les travaux devra être réalisée conformément aux règles
applicables pour les produits pétroliers ;
.18 Suite à l’acception des travaux par l’ingénieur, procéder à la démobilisation ainsi qu’au
nettoyage de toute la zone de travail et des couloirs d’accès;
.19 L’entrepreneur doit émettre un certificat de complétion des travaux décrivant la partie de
ses travaux, le billet de réception du réservoir disposé, les preuves de toutes les quantités
manipulées ainsi que toute remarque concernant les problèmes rencontrés au cours des
travaux.
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3 DESCRIPTION DES ARTICLES DU BORDEREAU
Pour chacun des articles du bordereau de soumission, l’entrepreneur doit fournir un prix,
soit unitaire, soit forfaitaire. Les coûts des travaux connexes requis, non spécifiquement
mentionnés dans le devis, mais nécessaires à la réalisation des travaux, doivent être
inclus dans les articles les plus appropriés du bordereau de soumission.
Les quantités indiquées dans le bordereau de soumission sont approximatives et
pourraient varier selon les conditions rencontrées sur le terrain. Seules les quantités
réelles seront payées à l’entrepreneur. Advenant le cas où des quantités supplémentaires
seraient identifiées par l’entrepreneur, celui-ci devra les signaler préalablement au
responsable des travaux pour approbation.
L’entrepreneur doit fournir tout le matériel, les équipements, la machinerie, les matériaux
et la main-d’œuvre requis pour la complète exécution des travaux y incluant, sans s’y
limiter, tout ce qui est indiqué dans les descriptions ci-dessous.
Article 3.1.1 : Enlèvement de réservoir
Fournir un prix unitaire pour réaliser tous les travaux demandés à la section 2 de ce devis
(excluant les points 3.1.2, 3.1.2, 3.2.1 et 3.2.2 du bordereau) pour exécuter l’enlèvement
et la disposition d’un réservoir de 5000 gal. imp.
Article 3.1.2 : Enlèvement et disposition du sable contenu et autour du réservoir
L’entrepreneur doit réaliser l’enlèvement et la disposition du sable contenu dans le
réservoir et du sable retrouvé autour du réservoir. Disposer vers un lieu
d’enfouissement autorisé par le MDDEP pour des concentrations situées dans la
plage B-C de la Politique de protection des sols et de réhabilitation des terrains
contaminés du MDDEP. Dans l’éventualité où les concentrations seraient inférieures ou
supérieures au critère B-C, un ajustement de prix sera réalisé selon la différence de taux
en vigueur au site de disposition retenu entre le prix pour le critère réel et le prix pour le
critère B-C.
Article 3.1.3 : Nettoyage et décontamination des murs et du plancher du plancher du local
L’entrepreneur doit procéder au nettoyage et à la décontamination des parois des
murs et de la surface de la dalle de plancher en béton par brossage avec une solution
de dégraisseur. Les mesures de respect de l’environnement devront être respectées.
Article 3.2.1 : Percement de 4 ouvertures dans la dalle de plancher et réfection du béton
des ouvertures
L’entrepreneur doit réaliser quatre (4) percements de la dalle d’un diamètre de 25 cm
pour permettre au propriétaire d’examiner la qualité des sols sous-jacents.
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Suite aux explorations, réparer les ouvertures dans la dalle avec du béton.
Le béton doit être conforme à la norme CAN/CSA A23.1-04 et avoir une résistance à
la compression de 35 MPa à 28 jours avec un rapport max E/C = 0,4, avoir une
teneur en air entraîné de 5 % à 8 %, des agrégats de 14 mm ø et une classe
d'exposition C-1. Le béton doit posséder un affaissement de 50 mm à 100 mm à la
livraison. Aucune eau ne doit être ajoutée au chantier. Le béton peut être mis en
place avec un superplastifiant permettant un affaissement de 150 mm maximum. Dès
que les opérations de finition sont complétées, l'entrepreneur doit recouvrir d'un
produit de cure formant une membrane toutes les surfaces de béton exposées. Il ne
doit pas s'écouler plus de 2 h entre la fin du bétonnage et la pose du produit. Le
matériau de cure doit être conforme aux exigences de la norme 3501 du MTQ (triple
seal, rite cure - type 2 pigmenté blanc de sternson, sealtight 1220 pigmenté blanc ou
équivalent). La cure du béton doit être réalisée selon l'article 6.12 du BNQ 1809-
500/2006
Article 3.2.2 : Nettoyage, décontamination, démantèlement et disposition du muret de
briques
L’entrepreneur doit procéder au démantèlement du muret et à la disposition des
briques à un site autorisé. Sous l’emplacement du muret, la dalle de béton peut être
grattée et meulée (meulage humide) afin que la surface de la dalle soit lisse et que
l’empreinte du muret soit enlevée.
Article 3.3 : Travaux imprévus d’enlèvement de dalle et de sols contaminés sous la dalle
Un montant provisionnel de quarante mille dollars (40 000,00$) doit être inclus dans le
coût total de la soumission, dans l’éventualité de travaux imprévus reliés à la présence de
contamination sous la dalle du local d’entreposage du réservoir.
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