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NOCES DE LARMES - Nathan

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Réponses<br />

19<br />

Écriture et souvenir<br />

g • Pourquoi Santiago a-t-il écrit la fin de l’histoire ? Quel rôle le carnet joue-t-il entre Lucas et lui ?<br />

h • Comment Santiago parvient-il à restituer l’exactitude de son souvenir de la mort de Francisco ?<br />

i • Expliquez la dernière phrase du chapitre 7 : « Pour moi, il n’est jamais mort. ».<br />

j • D’après l’épilogue, quel rôle l’histoire de Francisco a-t-elle joué dans l’histoire de Lucas ?<br />

Sujet d’écriture<br />

Un jour, un grand-parent ou un aïeul vous a raconté un événement marquant de son histoire<br />

personnelle. Racontez ce récit et le dialogue qu’il a occasionné.<br />

Débat oral<br />

Pensez-vous qu’il soit important et nécessaire de connaître l’histoire et le passé de votre famille ?<br />

1)<br />

a • Ce sont des expressions franquistes que le narrateur ne reprend pas à son compte et qui<br />

constituent des antiphrases (ironie).<br />

b • « fut expulsé » – « fut arrêté et emmené » – « décréter » – « interdisait » – « avait été fermée » –<br />

« avaient été renvoyés et remplacés » : les verbes indiquent la répression, et plusieurs d’entre<br />

eux, au passif, soulignent que l’action est subie.<br />

c • Eden : allusion au paradis originel dans la Bible. L’Eden est ici tout sauf un paradis puisqu’il<br />

se transforme en camp de prisonniers.<br />

d • Les policiers prennent des libertés, abusent de leur pouvoir en commettant des délits<br />

dans le village Ils deviennent incontrôlables.<br />

e • Ils aggravent la misère en cessant de fournir les boutiques du village pour garder pour eux<br />

le produit des récoltes.<br />

2)<br />

a • Vrai – b. Faux, c’est Francisco. – c • Faux, c’est Dolorès. – d • Une ellipse. – e • La mise à mort<br />

de Francisco, José et Ramón n’est pas racontée. L’ellipse permet d’imaginer la scène et accroît<br />

sa charge tragique.<br />

3)<br />

a • p.113-115 : L’attaque de l’hôpital ; p.115-117 : La libération des prisonniers ; p.117-120 : Un père<br />

livre son fils.<br />

b • Les verbes d’action : « déboula », « se précipitèrent ». Un bref et violent dialogue qui bascule<br />

(« assez de mots » → « allez-vous agir »).<br />

c • Cette scène est violente et pathétique : les faibles et les innocents sont écrasés.<br />

d • L’alternance très rapide de récit, de dialogues et de descriptions donne un rythme rapide<br />

et haletant à la scène, accentué par l’utilisation des impératifs et le jeu des possessifs<br />

(« notre hôpital », « ton village », « le mien »).<br />

e • Dolorès apparaît comme une véritable héroïne : elle fait preuve de sang-froid, d’altruisme<br />

et de courage en sauvant ses camarades.<br />

f • La rupture entre Francisco et son père est évidente dans le dialogue : « Tu me dégoûtes »,<br />

« Tu ne comprends pas ». Simeón passe de « Il est de notre famille » à « il était de notre famille »,<br />

« tu n’es plus mon fils ».<br />

© <strong>Nathan</strong> 2009

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