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CMJN JEUDI 5 JUILLET 2001 RÉGIONPRATIQUE URGENCES � Police: 117. � Feu: 118. � Urgence-santé et ambulance: 144. � Permanence médicale, poste de police: 913 10 17. � Pharmacie d’office: Sunstore, Centre Métropole, jusqu’à 19h30, ensuite, appeler la Police locale tél. 913 10 17. � Turbinage: Châtelot: 0-24h, 2 turbines (sous réserve de modification). Répondeur: 913 41 36. BIBLIOTHÈQUES � Bibliothèque de la Ville: lu 14-20h, ma-ve 10-20h, sa 10-16h. Bibliothèque des Jeunes: rue de la Ronde et rue président-Wilson, lu-ve 13h45-18h, sa 10-12h. Ludothèque: lu/je 15h30-18h, ma 15h30-19h. Bibliothèque chrétienne «Le Papyrus», Parc 84, lu-ve 16-19h, sa 9-12h. PISCINES � Piscine des Arêtes: lu/je/di 9-18h, ma 9-19h, me/ve 10- 21h, sa 10-12h/14-20h. � Piscine des Mélèzes: tous les jours 9-20 heures. AGENDA AUJOURD’HUI � Cifom-Ester Salle de musique, 17h30, remise des CFC du secteur tertiaire Cifom-Ester. � Concert Au CAR, Serre 12, 20h, concert en faveur de l’orphelinat de Binh Duong (Vietnam), projet soutenu par «Ecole de vie»; au programme David (chanson française), Christophe (guitare, instrumental), Saskatchewan (metal), Djembé, Vacuum (metal sympathique). DEMAIN � Promos aux Planchettes Début de la fête 16h30, avec des jeux; dès 19h, repas et boissons. Par beau temps dans la cour du collège, en cas de pluie dans la grange du pavillon. � Cifom-Ecole d’art, Salle de musique, 14h, remise de diplômes. � Cifom-Ester, Salle de musique, 17h30, remise des diplômes de culture générale. LA CHAUX-DE-FONDS L’IMPARTIAL PAGE 8 Cure de jouvence pour le kiosque à musique Patrimoine � Pas entretenu, martyrisé par des vandales, le pavillon Art nouveau du parc des Crêtets, quasi centenaire, pourra revivre une nouvelle jeunesse une fois restauré Par Léo Bysaeth Les promeneurs matinaux ont été surpris, hier, en traversant le parc des Crêtets. Un homme en bleu de travail démantibulait les barrières du kiosque à musique. Aucune crainte à avoir. L’homme se nomme Olivier Robert-Tissot. Serrurier et ferronnier d’art, il a été mandaté par la Ville pour restaurer tous les fers forgés du pavillon. Ce monument Art nouveau est en piteux état. Victime du vandalisme et du manque d’entretien, il nécessitait une intervention d’urgence, préconisée dès fin 1998. «Relativement peu transformé, ce kiosque est l’un des beaux monuments de ce type en Suisse, explique Jean-Daniel Jeanneret, du Service d’urbanisme de la Crème solaire et casquette étaient nécessaires, hier après-midi, au stade de la Charrière, à La Chaux-de-Fonds, où une cinquantaine de jeunes du centre IMC prenaient leurs marques pour les épreuves d’athlétisme des joutes. Quatre équipes se mesuraient sur le tartan pour des épreuves de sprint, d’endurance, de saut et de lancer de boulet. Un slalom de chaises roulantes permettait aux enfants et adolescents plus lourdement handicapés de participer de manière moins physique. Et à leurs coéquipiers de s’époumoner, qui ne ménageaient pas leurs encouragements. Car depuis lundi, les activités sportives se suivent et ne se ressemblent pas, pour ces 6 à 18 ans, de retour d’une semaine verte à Montana: basketball, hockey, course de Ville. Ces éléments deviennent de plus en plus rares.» Classé monument d’importance régionale par le canton en 1999, le pavillon va être complètement restauré cette année. Olivier Robert-Tissot va enlever toute la ferronnerie démontable. En atelier, il va reforger les éléments manquants: volutes, motifs végétaux, pointes. «Dans les garde-corps (barrières Grosses sueurs sur le tartan Centre IMC � Après le camp, une semaine de joutes Lancer du boulet et course à pied figuraient au programme d’athlétisme d’hier. PHOTO LEUENBERGER vélo, minigolf, athlétisme et course d’orientation figurent au programme des joutes sportives annuelles. Sans oublier un match de football entre profs et élèves, qui s’est déroulé mardi après-midi en trois manches et qui a vu la victoire, de justesse, des adultes. Histoire de motiver les jeunes sportifs, quatre équipes de même valeur ont été constituées. Les Télétubbies (maillot vert) se frottent ainsi à l’équipe de Tasmanie (en rouge), à Cardinal (en blanc) et à Squale (en bleu). Un capitaine d’équipe avait auparavant été élu très démocratiquement au centre, avec campagne électorale et décorum. L’équipe victorieuse sera connue demain soir, en même temps que le centre, au complet, fera bombance avant les départs en vacances. /frk inférieures), il manque une centaine de ces éléments», estime le forgeron. Rongés par le temps? «Non, c’est clairement du vandalisme», affirme-t-il. Après le travail de rapiéçage (forge et soudure), les éléments démontables (gardecorps et frise supérieure) seront envoyés à Morat, dans une entreprise spécialisée. Après le traitement qu’ils subiront, «ils Un élément du patrimoine Art nouveau Construit en 1905-1906, le pavillon du parc des Crêtets avait été commandé par la Société d’embellissement. Considéré comme d’importance régionale, il a été classé par le canton en août 1999. Ce monument Art nouveau, illustration de la mode de l’embellissement qui s’empara des villes occidentales à la fin du XIXe siècle, est l’œuvre de l’architecte communal de l’époque, Ernest Jenni. Le maître d’état était la maison zurichoise Suter-Strehler & C°, entreprise qui existe toujours. Sous sa nouvelle rai- son sociale Suter-Strehler Successeurs AG, elle se dédie désormais uniquement à la vente et à la distribution de meubles de jardin! A l’époque, le coût de l’objet se montait à 6100 francs (plus 3800 francs de travaux incombant à la commune). A comparer avec les 170.000 francs que va coûter la réfection, 95 ans plus tard. Une importante correspondance de l’entreprise Suter- Strehler & C° nous renseigne sur les choix techniques de détail et les problèmes mineurs liés au chantier. Il ressort que cette construction est unique, mais composée presque exclusivement d’éléments préfabriqués choisis sur catalogue. Béton, néons... Cet objet d’inspiration Art nouveau revient de loin. Comme le remarque Jean-Daniel Jeanneret, il a remarquablement bien résisté aux intempéries et aux affres humaines, ceci malgré un manque d’entretien chronique (un seul coup de peinture en 93 ans de service). Il y a mieux: en 1952, un employé zélé de la commune proposait, entre autres solutions envisa- geables, de «supprimer cet accoutrement fin de siècle et construire un nouveau pavillon, avec abatson en béton armé, adossé au talus, c’est-à-dire laissant aux auditeurs une plus grande terrasse». Autres variantes: mise en place d’une couverture en aluminium sur la structure ancienne, inversion de la parabole du plafond, mise en place de néons, etc. Autant de solutions qui ne furent finalement pas retenues. Ouf! /lby Renseignements tirés pour l’essentiel de l’étude de Jean-Daniel Jeanneret, Service d’urbanisme de la Ville, décembre 1998 La gamme commune, c’est enrichissant Disque � «Nûr», premier CD d’Asmia, inauguré à l’ABC Les oreilles grandes ouvertes aux musiques du monde, Asmia (Association des musiciens d’ici et d’ailleurs) a été créée l’automne dernier afin de participer à la compréhension d’autres cultures, a rappelé Sylvain Borella, président. Non pour les mettre seules en évidence mais en les confrontant entre elles. «Nûr», CD orchestré autour de la voix profonde d’Ahmad Mohammad et inauguré hier soir à l’ABC, en est la première et édifiante réalisation. Ahmad Mohammad est originaire du Pakistan-Est, il vit depuis vingt ans à La Chaux-de- Fonds. Initié par son frère, il chante depuis l’âge de quatre ans. Il a suivi ensuite des cours de musique classique indienne. Les textes sont issus des cultures traditionnelles de l’Inde et du Bengale. Exemplaires brouilleurs de frontières et inventeurs de cli- tiendront pendant 30 ou 40 ans sans aucun entretien», précise Olivier Robert-Tissot. La dalle, qui repose sur des poutrelles métalliques corrodées, irrécupérables, sera démolie et refaite en béton armé. Les travaux commencent aujourd’hui. Les colonnes resteront en place et subiront un traitement en douceur, confié au marbrier Joseph Mathez. «Il s’agit d’un sablage à basse pression, précise ce dernier. Des microscories sont projetées sur la fonte pour en enlever la peinture. On s’arrête dès qu’on voit le métal.» Ce travail mats, les musiciens – Claude Junod, flûte alto, Jean-Daniel Stämpfli, clavier, Marion Bélisle, violoncelle, Jérôme Corea, contrebasse, René Dambury, percussion – ont soutenu hier en concert la voix d’Ahmad Mohammad. Toute une architecture étonnante d’harmonie, d’imagination, inattendue, se structure et puis à nouveau la voix profonde vous gagne à son jeu, pas par goût de la virtuosité mais pour atteindre le langage inarticulé du rêve, tandis que les musiciens, en une parfaite synthèse, vous convient à prendre les chemins du monde. Ce premier CD est en souscription. D’autres musiciens, de toutes origines, ont participé à sa réalisation. Les compositions sont signées Jean-Daniel Stämpfli, Georges Cabassi, Ibrahim Galissa. /DDC Asmia, rue des Terreaux 12, 2300 La Chaux-de-Fonds Marion Bélisle, violoncelle, et Claude Junod, flûte alto, entourent Ahmad Mohammad. PHOTO LEUENBERGER se fera au mois d’août, une fois que la nouvelle dalle sera sèche. Au programme: sablage le matin, peinture l’après-midi, pour éviter tout risque de corrosion sur le métal mis à nu. La couverture – en tôle repoussée imitant la tuile – sera également complètement refaite par un artisan, qui n’a pas encore été désigné. Touche finale, les lampes, pratiquement toutes cassées, seront remplacées et l’éclairage remis en service. Et après? En avant la zizique! /LBY Olivier Robert-Tissot, serrurier et ferronnier d’art, va devoir forger des dizaines de pièces manquantes. PHOTO GALLEY ENBREF BRADERIE � Un don de la Loterie romande. Bonne nouvelle pour le comité de la Braderie et Fête de la montre qui prépare fébrilement la prochaine édition (31 août, 1er et 2 septembre 2001). Dans sa répartition des bénéfices, la Loterie romande a alloué 8000 francs pour l’organisation de la fête. Un montant bienvenu pour le budget qui n’est pas encore complètement couvert. Avis aux intéressés. /réd Depuis mardi à 18h jusqu’à hier à la même heure, l’équipe d’ambulanciers de piquet au poste permanent du SIS est intervenue cinq fois sur le territoire de La Chaux-de-Fonds, pour deux accidents de sport, deux malaises et un transport de malade. Les sapeurs-pompiers sont sortis pour une alarme automatique sans suite. /réd LES SOCIÉTÉS LOCALES SE TROUVENT EN PAGE 39 Avis urgent 132-97548 CANTON DE NEUCHÂTEL OFFICES DES POURSUITES RÉALISATIONS IMMOBILIÈRES Révocation de la vente aux enchères d’un immeuble locatif A la demande du créancier gagiste, la vente aux enchères de Parcelle(s) no(s) 3867 Cadastres(s) de La Chaux-de-Fonds fixée en date du vendredi 6 juillet 2001 à 10 heures est annulée. CANTON DE NEUCHÂTEL OFFICES DES POURSUITES RÉALISATIONS IMMOBILIÈRES
JEUDI 5 JUILLET 2001 LES MONTAGNES Six ans, montre en main... Horlogerie � Les premiers CFC d’horlogers praticiens obtenus par étapes ont été remis. Deux nouveaux diplômés se confient Propos recueillis par Françoise Kuenzi Ils sont les premiers horlogers praticiens à avoir acquis leur CFC par étapes successives: Clelia Granata, 33 ans, Chaux-de- Fonnière, et Fabrice Petignat, 29 ans, de Saint-Imier, font partie de la première volée – deux dames, six messieurs – de la fameuse formation modulaire en horlogerie ayant effectué le module terminal (lire aussi en page 7). Ces véritables héros de la formation en entreprise ont ainsi passé 2000 heures, deux soirs par semaine de 18h à 22h et le samedi matin, durant cinq à six ans, pour décrocher leur titre. Ils en soupirent d’aise. Vous avez désormais en poche un CFC d’horloger, obtenu en emploi, donc en plus de votre travail quotidien. A-t-il été difficile à décrocher? Clelia Granata: C’était surtout long. Six ans, c’est vraiment un maximum, d’autant que le module terminal prend deux ans. Je suis heureuse d’être au bout. Fabrice Petignat: C’est vrai, c’est long, même si j’ai réussi à terminer la formation en cinq ans. Mais cela ne représente pas forcément un aboutissement. Ainsi, nous allons suivre, cet automne, un cours sur les chronographes. Et rien ne nous empêche de Un atlas des beautés du Jura franco-suisse Géographie � Façonné par l’homme ou la nature, le paysage n’est pas immuable Le Conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement du Doubs édite un atlas des paysages de Franche-Comté et de la montagne jurassienne en particulier. «Le paysage est le résultat de la rencontre d’un territoire et d’une société. Il est une formidable mémoire qui enregistre, dans le temps et l’espace, les marques des activités humaines.» Cet ouvrage de référence de 400 pages décrit par le menu les différentes typologies de paysage rencontrées dans le Jura franc-comtois. La classification scientifique retenue situe le paysage du Pays horloger dans le «second plateau»: «Outre l’effet de l’altitude, le passage entre le premier et le second plateau se lit dans la physionomie du paysage: les résineux dominent les peuplements forestiers, le bois se mêle abondammment à la pierre dans la construction traditionnelle. La topographie de plateau est accidentée par toute une série de rides alignées qui préfigurent les plissements de la haute chaîne». A l’intérieur du second plateau, le val de Morteau se singularise fortement: «Le val de Morteau doit avant tout son identité à une très forte humanisation. Par-delà la frontière avec Le Locle et La Chaux-de-Fonds, le val forme une sorte de conurbation d’altitude unique en Europe. Ateliers d’horlo- Clelia Granata et Fabrice Petignat ont leur CFC en poche, mais ils démarreront à l’automne un nouveau cours sur les chronographes. Quand on a pris goût à l’effort... PHOTO LEUENBERGER continuer des spécialisations, par exemple en pendulerie ou au Wostep. Avez-vous tout de même pu conserver une vie sociale? C. G. Durant les deux dernières années, je n’ai plus rien fait d’autre en dehors de mes heures de travail, je n’avais plus envie de sortir, je ne pensais qu’à ça... D’autres, dans la volée, avaient un époux ou des enfants, et leur mérite est encore plus grand. F. P. J’ai heureusement continué de pratiquer plusieurs sports, mais c’est vrai que sur le plan personnel, une vie à Les paysages de Franche-Comté et du haut pays francosuisse ont leur atlas. PHOTO PRÊTRE gerie et de micromécanique se mêlent à la trame des habitations, pour donner au paysage son caractère singulier». Paysage dompté Le caractère évolutif du paysage s’oppose à l’illusion de son immuabilité. Le paysage du Haut-Doubs horloger n’échappe pas naturellement à une métamorphose souvent dictée par l’homme procédant à l’aménagement de son territoire. Les évolutions de l’ocupation des sols mesurées par les auteurs de l’atlas de 1984 à 1987 sont très sensibles du val de Morteau au plateau de deux est difficile à gérer. J’en sais quelque chose... Quel était votre parcours professionnel avant de démarrer la formation modulaire? Où en êtes-vous aujourd’hui? C. G. Je faisais du visitage final. C’était ennuyeux et j’avais envie d’avancer dans la branche. Aujourd’hui, je travaille chez Kelek, et je me forme depuis le début de la semaine au montage de modules horlogers. C’est nettement plus intéressant. F. P. J’ai un CFC de boulanger-pâtissier, mais j’ai dû changer de métier parce que Maîche. L’espace agricole a ainsi reculé de 2083 hectares au cours de cette période, alors que dans le même temps les forêts et milieux semi-naturels ont gagné 1637 hectares de terrain. Les territoires artificialisés ont progressé de 446 hectares, dont 302 colonisés par l’habitat et 75 conquis par de nouvelles implantations de zones commerciales et artisanales. L’atlas formule des recommandations à l’attention des aménageurs et en particulier des forestiers, afin de conserver des îlots de nature dans un paysage de plus en plus dompté. /PRA j’étais allergique aux farines. Après avoir effectué de nombreux petits boulots en usine, j’ai eu une proposition dans une fabrique d’horlogerie. Mais j’avais envie d’obtenir des papiers, un diplôme. Aujourd’hui, et depuis trois ans, je travaille chez Longines, au service après-vente. C’est une activité très complète et je m’y plais beaucoup. Pour l’avenir, les deux diplômés ont surtout envie de progresser dans leur métier. Et s’ils doivent à nouveau se former, ils n’hésiteront pas. Ils ne sont plus à cinq ou six années près... /FRK L’IMPARTIAL PAGE 9 Une entreprise du Haut s’impose comme leader dans son domaine Succès � Après dix ans d’activité dans l’ingénierie électrique, Projelectro ouvre une antenne à Neuchâtel «Q uand je me suis lancé, on m’attendait au virage. Récemment, on me disait encore que sur dix entreprises qui se créent, une seule passe le cap des dix ans!» Jean-Pierre Ramseyer, fondateur-directeur de Projelectro SA, entreprise d’ingénierie électrique chauxde-fonnière, peut présenter une activité qui s’est considérablement développée. «Nous nous occupons non seulement de tout ce qui est électricité, mais aussi de programmation en informatique, d’automation industrielle, de télématique – deux créneaux en plein développement. Nous cherchons ce qui correspond le mieux aux besoins de nos clients et cela de manière neutre, en leur laissant le choix du matériel.» Ce bureau spécialisé peut présenter une longue liste de références, s’étant penché sur des hôpitaux (La Chaux-de-Fonds et actuellement le nouvel hôpital Pourtalès), de nombreux immeubles industriels (Ismeca, Baxter, Tornos-Bechler, Csem, Cartier, etc.), des bâtiments de collectivités publiques (centre d’entretien des Travaux publics, Cridor, dépôt TC de La Chaux-de- Fonds), et même des théâtres (ABC, Théâtre de la Ville) et une église (Sacré-Cœur); l’énumération n’est pas exhaus- La vie en musique, parcours somptueux Le Locle � Nouvelle saison de l’Association des concerts Six concerts: la tonalité de la saison 2001-2002 de l’Association des concerts du Locle (ACL) est à la richesse, à l’éclectisme, à la consolidation des conquêtes de naguère. Issue de sa fusion, en 1950, avec la Société de musique, l’ACL remplit depuis lors une mission culturelle dont on ne saurait se passer dans les Montagnes. Dans l’excellente acoustique du temple du Locle, dans la proximité des interprètes et du public, la musique de chambre trouve un cadre idéal. Ces atouts n’ont échappé à aucun mélomane averti, empressé d’année en année à marquer sa fidélité à l’ACL. La collégialité du comité illustre bien l’esprit dans lequel les membres composent un cycle, les préférences personnelles annuleraient cette objectivité qui est la condition première de l’ouverture. La sélection 2001- 2002, opérée parmi les nombreuses offres qui parviennent aux organisateurs, n’a retenu que les œuvres, les ensembles qui, à des titres divers, méritent d’être entendus. Jeudi 4 octobre. Piano à quatre mains. Catherine Courvoisier et Eve-Anouk Jebejian joueront Poulenc, Debussy, Brahms, Dvorak et Barber. Samedi 13 octobre. Concert supplémentaire offert aux abonnés ACL. Il s’agit de la clôture de la 12e Semaine artistique du Rotary, proposée par les étudiants tive. Pour Expo.02, cette entreprise est chargée de la partie électrique du concept de sécurité. En dix ans, l’effectif des collaborateurs a passé de deux à onze personnes, avec des qualifications au top niveau en électricité, informatique, télématique, et deux détenteurs de maîtrise dont le patron et un collaborateur qui a réussi ses examens la semaine dernière. Depuis 1991, huit apprentis ont été formés. ayant suivi le cours de maîtrise donné par le Quatuor Brodsky de Londres. Au programme l’op 18 de Beethoven. Vendredi 14 décembre. Concert gratuit dans le cadre des manifestations du 850e anniversaire de la ville du Locle. Le Chœur Cantores Amicitiae de Roumanie interprétera des chants traditionnels et des chants de Noël. Vendredi 25 janvier 2002. Wiener Klaviertrio, Wolfgang Redik, violon, Markus Trefny, violoncelle, Stefan Mendl, piano, proposent un programme Beethoven, Arensky et Schubert. Vendredi 8 février 2002. Orchestre de chambre suisse, soliste Sarah Rumer, flûte. Œuvres de Janacek, Vivaldi, Dvorak. Vendredi 15 mars 2002. Chant et piano. Hans-Jürg Rickenbacher, ténor, interprétera le Winterreise de Schubert. Il sera accompagné par Esther Walker, pianiste. Concerts des Amis Les Amis des concerts d’orgue du Locle proposent quatre concerts le dimanche, à 17h, au temple. 4 novembre. Maria Boila, violon et Simon Peguiron, orgue. 3 février 2002. Ensemble vocal de Saint-Maurice, direction Pascal Crittin, à l’orgue Maryclaude Huguenin-Paratte. 17 février 2002. Barbara Minder, flûte, Nicolas Viatte, orgue. 17 mars 2002. Emmanuel Le Divellec, orgue. /DDC Pour se rapprocher des grands chantiers en cours (Pourtalès et Expo.02), Projelectro ouvrira prochainement une succursale à Neuchâtel, déplaçant trois collaborateurs au cheflieu. La célébration de cette première décennie a été l’occasion de retrouvailles entre tous les collaborateurs (y compris les anciens); et, encore, l’équipe actuelle est conviée à un voyage surprise cette fin de semaine. /IBR Fondateur et directeur de Projelectro SA, Jean-Pierre Ramseyer marque avec satisfaction les dix ans de son entreprise. PHOTO GALLEY
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