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Frédéric Fischer junior (1810-1871) pharmacien et ... - Jos A. Massard

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Notices biographiques<br />

<strong>Frédéric</strong> <strong>Fischer</strong> <strong>junior</strong> (<strong>1810</strong>-<strong>1871</strong>)<br />

<strong>pharmacien</strong> <strong>et</strong> fabricant de gaz d'éclairage<br />

à Luxembourg<br />

<strong>Jos</strong>. A. <strong>Massard</strong><br />

<strong>Frédéric</strong>-Georges-Alexandre (Fritz) <strong>Fischer</strong>,<br />

dit <strong>Fischer</strong> <strong>junior</strong>, 1 est né le 5 mai <strong>1810</strong> à<br />

Trèves (à l’époque le chef-lieu du<br />

département de la Sarre) comme fils de<br />

l’avocat trévirois Mathias <strong>Fischer</strong>. Son frère<br />

aîné Mathias <strong>Jos</strong>eph Charles André, dit<br />

<strong>Fischer</strong> senior, né à Trèves en 1799, s’est<br />

établi en 1827 comme <strong>pharmacien</strong> dans la<br />

ville de Luxembourg (pharmacie de la<br />

Licorne). 2 <strong>Fischer</strong> <strong>junior</strong> est admis à son tour<br />

comme <strong>pharmacien</strong> à Luxembourg le 23<br />

avril 1833. Il achète la même année 3 à<br />

Théodore Nicolas Hochhertz (1778-1853) la<br />

pharmacie du Cygne sise au Marché-aux-<br />

Herbes (Krautmaart en luxembourgeois)<br />

qu’il déplacera en 1839 dans un immeuble de<br />

la rue de la Boucherie (Fleeschiergaass en<br />

luxembourgeois) 4 . Selon Toelle (1920) <strong>et</strong><br />

Nimax (1939) l’achat a été réalisé en 1833;<br />

selon Würth-Majerus (1938) l'achat <strong>et</strong> le<br />

transfert se seraient déroulés tous les deux en<br />

1839 5 .<br />

Fréd. <strong>Fischer</strong> <strong>junior</strong><br />

(Source: Aschmann 1936, Numérisé par la Bibliothèque<br />

nationale de Luxembourg, www.eluxemburgensia.lu)<br />

Le 4 mars 1837, <strong>Fischer</strong> a épousé sa p<strong>et</strong>ite-nièce Catherine <strong>Fischer</strong>, née le 13 novembre<br />

1818 à Luxembourg, fille du marchand de tabac Jean <strong>Fischer</strong>.<br />

Il a été membre fondateur de la Société des sciences naturelles dont il a été le trésorier<br />

de 1856 à 1858. 6 En juill<strong>et</strong> 1858, il a été admis comme membre de la Société<br />

1 Détails biographiques conc. <strong>Fischer</strong> fils: Kugener 2005a: 499; Liez 1886: 42-43.<br />

2 Kugener 2005a: 499. Voir aussi : Liez 1886: 42-43.<br />

3 Toelle 1920: 10 ; Nimax 1939: 13.<br />

4 Würth-Majerus 1938: 45.<br />

5 Würth-Majerus 1938: 45.<br />

6 Willems 1950, <strong>Massard</strong> 2000.<br />

1


archéologique (future section historique de l'Institut grand-ducal). Il a été membre<br />

fondateur de la Société des sciences médicales le 22 septembre 1861.<br />

Fréd. <strong>Fischer</strong> a été naturalisé en 1861. Il est décédé à Luxembourg le 4 janvier <strong>1871</strong> 7 .<br />

•<br />

Liez (1886) <strong>et</strong> Nimax (1939) notent que <strong>Fischer</strong> a été fabricant de gaz. Mersch (1949)<br />

précise qu’en 1857 <strong>Fischer</strong> est devenu propriétaire de l’usine à gaz de la ville de<br />

Luxembourg dont il avait auparavant déjà assumé la direction.<br />

L’histoire de c<strong>et</strong>te usine, résumée par Koltz (1970) 8 , a été racontée en détail par Würth-<br />

Majerus (1938). Son origine remonte à 1838 où le citoyen belge Jean-<strong>Jos</strong>eph Hautcourt<br />

obtient la permission d’établir une usine à gaz dans la ville de Luxembourg. L’usine est<br />

installée dans la rue du St-Esprit. Le gaz est fabriqué par distillation du charbon. Au<br />

début il sert uniquement à l’éclairage des maisons particulières. Il est transporté chez les<br />

clients dans des récipients portables <strong>et</strong> puis transvasé dans les gazomètres privés, d’où<br />

son nom de « gaz portatif ». Vers 1840, Hautcourt s’est associé avec le ferblantier<br />

luxembourgeois François Seywert (1790-1864), chargé de l’entr<strong>et</strong>ien des réverbères à<br />

huile de la ville, <strong>et</strong> ils ont fondé la firme Seywert & Cie. En 1841, la nouvelle firme<br />

obtient l’autorisation d’agrandir l’usine <strong>et</strong> de poser des conduites pour l’éclairage<br />

public. Ces conduites sont en grès; de « portatif », le gaz devient « sédentaire ». En<br />

décembre 1842, les travaux d’agrandissement de l’usine sont terminés. Les premiers<br />

essais avec des réverbères alimentés au gaz sont faits <strong>et</strong> donnent un résultat positif.<br />

Le 10 octobre 1843, un contrat est conclu entre l’administration communale <strong>et</strong> la<br />

« Gesellschaft für die Fabrikation und die Lieferung von Gas », issue de l’ancienne<br />

société remodelée <strong>et</strong> financièrement plus performante à la suite de l’association avec<br />

Pierre Antoine Pescatore (1814-1844), 9 propriétaire d’une partie du terrain de l’usine.<br />

La nouvelle firme est chargée de l’éclairage public pour une durée de dix ans. Dans une<br />

première phase 40 réverbères seront installés aux frais de la ville; pour leur alimentation<br />

en gaz <strong>et</strong> leur entr<strong>et</strong>ien la firme touchera une indemnité mensuelle de 5 francs par pièce.<br />

L’étanchéité des conduites en grès, de même que la situation de l’usine en plein quartier<br />

habité, posera certes un problème, avec des réclamations de plus en plus pressantes,<br />

mais le progrès ne peut plus être arrêté. L’ère du gaz a commencé <strong>et</strong> la fin de l’ancien<br />

éclairage à huile s’annonce.<br />

Par suite du décès prématuré de Pescatore, le 24 octobre 1844, l’association avec<br />

Seywert <strong>et</strong> C ie est dissoute le 14 avril 1846, <strong>et</strong> l’usine à gaz est acquise au profit des<br />

deux enfants mineurs de Pescatore. Dans l’incapacité de s’occuper plus longtemps de la<br />

gestion de l’usine, les tuteurs des enfants chargent le 20 août 1847 le <strong>pharmacien</strong> Fritz<br />

<strong>Fischer</strong> de la sauvegarde les intérêts des héritiers Pescatore. Et <strong>Fischer</strong> prend la<br />

direction de l’usine qu’il finira par ach<strong>et</strong>er dix ans plus tard, en 1857, une transaction<br />

que le « Luxemburger Wort » a commenté de la manière suivante: « Die hiesige<br />

Gasfabrik ist als Eigenthum an Hrn. Apoth. <strong>Fischer</strong>, jun., übergegangen, und verspricht<br />

derselbe, eine helle und billige Gasbeleuchtung zu liefern. Wir glauben, daß die ganze<br />

Gasbeleuchtung der Stadt unter dem neuen Eigenthümer nur gewinnen wird. Es wäre<br />

7<br />

Blum 1981: 282. Cf. : Luxemburger Wort <strong>1871</strong>, Nr. 10 (12. Januar): 3 (Sterbefälle).<br />

8<br />

Koltz 1970: 543-548.<br />

9<br />

Voir au suj<strong>et</strong> de Pierre Antoine Pescatore: Mersch 1949: 514-517.<br />

2


aber auch höchst erwünscht, wenn die Vorstädte durch Gas erleucht<strong>et</strong> werden<br />

könnten. » 10<br />

En juill<strong>et</strong> 1857, <strong>Fischer</strong> a proposé à la ville de Luxembourg un nouveau contrat. Mais,<br />

les pourparlers traînent pendant des années, sans qu’un accord ne soit trouvé. Pendant<br />

tout ce temps, <strong>Fischer</strong> continue à assurer l’éclairage public, tout en se disputant avec<br />

l’administration afin d’obtenir une augmentation de ses indemnités. Irrité par les<br />

exigences de <strong>Fischer</strong>, le conseil communal décide à l’unanimité dans sa séance du 12<br />

septembre 1863 de faire une soumission publique pour la construction d’une nouvelle<br />

usine à gaz. C<strong>et</strong>te soumission est remportée par le baron Raphael von Erlanger de<br />

Francfort-sur-le-Main (Banque Erlanger) qui signe en juill<strong>et</strong> 1864 un contrat avec la<br />

ville de Luxembourg qui lui accorde une concession pour la fourniture de gaz pour une<br />

durée de quarante ans. La nouvelle usine est prête en août 1865. Elle est implantée dans<br />

la vallée de la Pétrusse, donc à l’écart des habitations, évitant ainsi les problèmes de<br />

voisinage qu’avait rencontrés la première.<br />

Mécontent de ce qui se passait, Fréd. <strong>Fischer</strong> avait porté plainte, en février 1864, contre<br />

la ville de Luxembourg parce qu’elle voulait le forcer à enlever les anciennes conduites<br />

sans indemnisation aucune. Il fut débouté par jugement du 1er juin 1864, qui lui accorda<br />

un délai de deux mois pour enlever les conduites, l’alternative étant de les laisser en<br />

place <strong>et</strong> de renoncer au droit de propriété. Ce jugement fut confirmé en deuxième<br />

instance.<br />

Des détails supplémentaires sur l’usine à gaz de la ville de Luxembourg <strong>et</strong> son évolution<br />

sont fournis par Würth-Majerus (1938), Koltz (1970), Heynen (1981, 1991), Heynen <strong>et</strong><br />

al. (1989), Becker (1989); voir aussi: <strong>Massard</strong> (1997: 104s).<br />

•<br />

<strong>Fischer</strong> a publié dans le bull<strong>et</strong>in de la Société des sciences naturelles les articles<br />

suivants traitant de géologie respectivement d’hygiène publique: 11<br />

• Beobachtungen und Ansichten über die Bildung der Bohnerze im Großherzogthum<br />

Luxemburg (1853, t. 1: 105-122).<br />

• Description des minerais de fer dans le grand-duché de Luxembourg (1854, t. 2:<br />

154-181).<br />

• Sur les pierres <strong>et</strong> blocs erratiques du Grand-Duché (1855, t. 3: 212-214).<br />

• Le grès de Luxembourg exploité comme minerai de fer (1855, t. 3: 214).<br />

• Mineralreichthümer unseres Landes (1857, t. 4: 106-119).<br />

• Beobachtungen über Lokaleinflüsse, welche der Gesundheit schädlich zu sein<br />

scheinen (1857, t. 4: 145-150).<br />

• Suite de Recherches <strong>et</strong> observations sur les causes d'insalubrité de certaines eaux<br />

de notre ville <strong>et</strong> des environs <strong>et</strong> Essai d'explication pourquoi telles localités, telles<br />

contrées, tels pays entiers sont plus exposés aux maladies paludéennes <strong>et</strong><br />

putrides, telles que fièvre intermittente, fièvre nerveuse, typhus, fièvre jaune, <strong>et</strong>c.,<br />

<strong>et</strong>c. (1862, t. 5: 43-51). (Un tiré à part de c<strong>et</strong> article de 11 pages est paru en 1862<br />

10 Luxemburger Wort 1857, Nr. 92 (5. August), S. 3.<br />

11 Liez 1886, Blum 1981: 282-283.<br />

3


sous le titre: « Recherches <strong>et</strong> observations sur les causes d'insalubrité de certaines<br />

eaux de notre ville <strong>et</strong> des environs » chez V. Buck à Luxembourg.)<br />

Ses déboires avec la ville de Luxembourg au suj<strong>et</strong> de l’éclairage à gaz ont été à l’origine<br />

de « Entgegnung in Gasangelegenheiten », un pamphl<strong>et</strong> de huit pages paru en 1861<br />

chez l’imprimeur Victor Bück à Luxembourg dont sa femme Catherine <strong>Fischer</strong> était la<br />

belle-soeur 12 .<br />

Dans le « Luxemburger Wort » du 3 avril 1861 un correspondant anonyme a pris la<br />

défense de <strong>Fischer</strong>: 13 « Unter dem Titel “Entgegnung in Gasangelegenheiten” erhielt<br />

ich ebenfalls ein Schriftchen von Herrn <strong>Fischer</strong>. Man muß wirklich gestehen, daß er<br />

Ursache hat sich darüber zu beschweren, wie man seine Rechte auf Forts<strong>et</strong>zung seiner<br />

Industrie und seine Ansprüche auf Wohlwollen von Seiten seiner Mitbürger bei<br />

Besprechung seines Antrages auf einen neuen Contract für öffentliche Beleuchtung so<br />

ganz rücksichtlos übersehen konnte.<br />

Seit der langen Reihe von Jahren, wie er angibt 14 Jahren, ist es uns nicht zu Ohren<br />

gekommen, daß er seinen Abnehmern und den Administrationen irgend Ursache zu<br />

ernsten Klagen gegeben hätte, es ist dagegen allgemein bekannt, daß er die Direction<br />

des Etablissements im Interesse der früheren Besitzer und der Stadt in einem Stande<br />

übernahm, die ein Aufhören der Gasbeleuchtung mit jedem Augenblick befürchten ließ.<br />

Seit dieser Zeit verschwanden die früheren Klagen und Befürchtungen.<br />

Wir haben ihm also wirklich die Fortdauer der Gasbeleuchtung bis zum heutigen Tag<br />

zu verdanken und hat er seither jede Ursache über Klagen von Gefahren,<br />

Unterbrechungen, Streitigkeiten mit den Abnehmern, wie solche in andern Städten<br />

häufig vorkommen, ganz vermieden. »<br />

L'auteur de c<strong>et</strong>te mise au point précise encore qu'il a pu vérifier les pièces <strong>et</strong> les calculs<br />

de l'offre de <strong>Fischer</strong> <strong>et</strong> que les reproches formulés à son égard par Jean François Eydt,<br />

l'architecte de la ville de Luxembourg, ne sont pas fondés.<br />

•<br />

Remarquons encore que selon Aschmann (1936) <strong>Fischer</strong> <strong>junior</strong> aurait effectué l'analyse<br />

chimique de la min<strong>et</strong>te luxembourgeoise pour le compte de Norbert M<strong>et</strong>z (1811-1885),<br />

maître de forge à Eich. 14<br />

•<br />

En 1869, 15 Fréd. <strong>Fischer</strong> <strong>junior</strong> a cédé son officine à son fils Jean-Pierre <strong>Frédéric</strong> reçu<br />

<strong>pharmacien</strong> le 21 novembre 1863. Né à Luxembourg, le 8 décembre 1839, le fils<br />

12 Mersch 1967: 185.<br />

13 Luxemburger Wort 1861, Nr. 40 (3. April): 1-2.<br />

14 Aschmann 1936: 13. L'auteur remercie Georges Theves de lui avoir signalé l'article d'Aschmann.<br />

15 Liez 1886: 47, Toelle 1920, Mersch 1967: 185 <strong>et</strong> Kugener 2005a: 499 indiquent l’année 1879, une<br />

faute d’impression chez le premier copiée par les autres. Sur la liste des <strong>pharmacien</strong>s publiée par le<br />

Mémorial II (1869): 164 (liste arrêtée le 12 mai 1869), Fréd. <strong>Fischer</strong> est inscrit pour la première fois<br />

comme <strong>pharmacien</strong> sans officine, alors que le nom de son fils n’est plus suivi de la mention « sans<br />

officine » comme c’était encore le cas dans le Mémorial II (1868): 4 (liste arrêtée le 30 décembre 1867).<br />

4


<strong>Fischer</strong> épousera le 7 septembre 1869 Marie Wurth (1847-1916). 16 En 1896, il vendra<br />

l’officine au <strong>pharmacien</strong> Aloyse Kuborn-Lassner (1866-1958) 17 , le premier président de<br />

la « Société pour la protection des animaux » fondée en 1908 18 . J.-P. <strong>Frédéric</strong> <strong>Fischer</strong><br />

décédera à Luxembourg le 29 mai 1902. Il a été le frère du négociant-chapelier <strong>et</strong><br />

historien <strong>Jos</strong>eph <strong>Fischer</strong>-Ferron (1843-1902) dont les publications ont été relevées par<br />

Martin Blum <strong>et</strong> auquel Evy Friedrich a consacré l’une de ses causeries radiophoniques. 19<br />

Sources:<br />

Aschmann, Camille (1936): Daten aus der Luxemburger Eisenindustrie. XXI. -<br />

Luxemburger Illustrierte A-Z 1936, Nr. 17 (26. Apr.): 12-13; Nr. 19 (10. Mai):<br />

8-9.<br />

Becker, Romain (1989): Le secteur de l'énergie. - In: Martin Gerges (éd.): Mémorial<br />

1989. La Société luxembourgeoise de 1839 à 1989. Luxembourg, Les<br />

Publications Mosellanes: 838-864.<br />

Blum, Martin (1981): Bibliographie luxembourgeoise ou catalogue raisonné de tous les<br />

ouvrages ou travaux littéraires publiés par des Luxembourgeois ou dans le<br />

Grand-Duché actuel de Luxembourg. Première partie: Les auteurs connus.<br />

Nouvelle édition, complétée, avec introduction <strong>et</strong> index analytique, par Carlo<br />

Hury. First published 1902-1932. Reprinted 1981. - München, Kraus<br />

International Publications, vol. 1: A-L, XXXIII-756 p.<br />

<strong>Fischer</strong>, Fréd. (1861): Entgegnung in Gasangelegenheiten. - Luxemburg, V. Bück, 8 p.<br />

Friedrich, Evy (1985): Kalennerblieder. Bd. 5. - Lëtzebuerg, J.P. Krippler, 392 p.<br />

Heynen, R., S. Meyers & R. Thill (réd.) (1989): 150 ans de gaz à Luxembourg : édité à<br />

l'occasion du 150e anniversaire de l'introduction du gaz à Luxembourg-Ville. -<br />

Luxembourg, Administration communale, 95 p.<br />

Heynen, Roger (1981): Le service du gaz de la ville de Luxembourg. - In: Section de<br />

musique des Services industriels de la Ville de Luxembourg: 50 Joer<br />

"Tramsmusek". Luxembourg: 168-183.<br />

Heynen, Roger (1991): 150 ans de gaz à Luxembourg. - Revue technique<br />

luxembourgeoise 1991 (3): 77-92.<br />

Koltz, J.-P. (1970): Baugeschichte der Stadt und Festung Luxemburg. - Luxemburg,<br />

743 p.<br />

Kugener, Henri (2005a): Die zivilen und militärischen Ärzte und Apotheker im<br />

Großherzogtum Luxemburg. Band 1/3 (A-G). - Luxemburg, Eigenverlag, pp. 1-<br />

652.<br />

Kugener, Henri (2005b): Die zivilen und militärischen Ärzte und Apotheker im<br />

Großherzogtum Luxemburg. Band 2/3 (H-R). - Luxemburg, Eigenverlag, pp.<br />

653-1342.<br />

16 Mersch 1967: 185; Kugener 2005a: 500.<br />

17 Pierre-Aloyse Kuborn, né le 22 juin 1866 à Bascharage, décédé le 28 janvier 1958 à<br />

Howald/Hespérange, époux de Julie Lassner, membre du collège médical, officier de l’ordre de la<br />

couronne de chêne (Kugener 2005b: 890).<br />

18 Schummer 1934.<br />

19 Blum 1981: 287; Friedrich 1985: 48.<br />

5


Liez, Nicolas (1886): Dictionnaire avec des notices biographiques de tous les membres<br />

du corps médical luxembourgeois pendant le XIXe siècle. Avec une biographie<br />

du Docteur Félix Schaan. - Luxembourg, Impr. Vve M. Bourger-Blum, 167 p.<br />

Luxemburger Wort (1857): Luxemburger Wort 1857, Nr. 92 (5. August), S. 3.<br />

Luxemburger Wort (1861): Eingesandt. Luxemburger Wort 1861, Nr. 40 (3. April): 1-2.<br />

Luxemburger Wort (<strong>1871</strong>): Luxemburger Wort <strong>1871</strong>, Nr. 10 (12. Januar): 3<br />

(Sterbefälle).<br />

<strong>Massard</strong>, <strong>Jos</strong>. A. (1997): 1886-1996: Hundertzehn Jahre elektrisches Licht in<br />

Echternach. Ein Beitrag zur Geschichte der öffentlichen und privaten<br />

Beleuchtung im 19. und frühen 20. Jahrhundert in Luxemburg mit Blick ins<br />

deutsche Grenzgebi<strong>et</strong>. - In: Annuaire de la Ville d'Echternach 1996: 101-144.<br />

<strong>Massard</strong>, <strong>Jos</strong>. A. (2000): Les origines de la Section des Sciences de l’Institut grandducal.<br />

In: Institut grand-ducal, Section des sciences naturelles, physiques <strong>et</strong><br />

mathématiques, 1850-2000: Les sciences à l’aube du 21e siècle. Cycle de<br />

conférences du 12 octobre au 21 décembre 2000 au Centre Universitaire de<br />

Luxembourg. Luxembourg: 10-20.<br />

Mersch, Jules (1949): Les Pescatore. - Biographie nationale du pays de Luxembourg,<br />

fasc. 2: 448-569 .<br />

Mersch, Jules (1967): La famille Wurth. - Biographie nationale du pays de Luxembourg,<br />

fasc. 15: 165-378.<br />

Nimax, Alfred (1939): Pharmaciens du passé. - Bull<strong>et</strong>in de la Société des sciences<br />

médicales du Grand-Duché de Luxembourg, mai 1939: 9-17.<br />

Schummer, Henry (1934): 25 Jahre Tierschutzverein. - In: Der Luxemburger<br />

Tierschutzverein. Zu seinem 25jährigen Jubiläum. - Luxemburg, G. Soupert, 3-<br />

11.<br />

Toelle, Antoine (1920): Kurze Geschichte des Apothekerwesens im Großherzogtum<br />

Luxemburg. - Luxemburg, V. Buck, 19 p.<br />

Willems, Alphonse (1950): Vie <strong>et</strong> activité de la Section des Sciences Naturelles,<br />

Physiques <strong>et</strong> Mathématiques de l'Institut Grand-Ducal de Luxembourg de 1850-<br />

1950. - Archives de l'Institut grand-ducal de Luxembourg, Section des sciences<br />

naturelles, physiques <strong>et</strong> mathématiques, N.S., 19: 9-27.<br />

Würth-Majerus, Paul (1938): Hundert Jahre Gas in der Stadt Luxemburg. - Ons<br />

Hémecht 1938 (1): 1-62.<br />

Echternach<br />

Version du 8 octobre 2012<br />

http://massard.info/pdf/<strong>Fischer</strong>F.pdf<br />

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